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48e rĂ©giment d'infanterie

Le 48e régiment d'infanterie (48e RI) est un régiment d'infanterie de l'Armée de terre française créé sous la Révolution à partir du régiment d'Artois, un régiment français d'Ancien Régime

48e rĂ©giment d’infanterie
Image illustrative de l’article 48e régiment d'infanterie
Insigne rĂ©gimentaire de 48e rĂ©giment d’infanterie

Création 26 avril 1610
Dissolution 12 juin 1998
Pays Drapeau de la France France
Branche Armée de terre
Type RĂ©giment d'infanterie
RĂ´le Infanterie
Garnison Guingamp
Ancienne dénomination Régiment d'Artois
Devise "Dur comme roc"
Inscriptions
sur l’emblème
Hohenlinden 1800
Austerlitz 1805
Auerstaedt 1806
Isly 1844
Verdun 1916
l'Aisne 1918
la Marne 1918
Anniversaire Isly 1844
(fête du régiment, le 14 août)
Guerres Guerres napoléoniennes
Guerre de 1870
Première Guerre mondiale
Bataille de France
Guerre d'Algérie (Événements d'Algérie)
Fourragères Aux couleurs du ruban de la croix de guerre 1914-1918
DĂ©corations La Croix de guerre 1914-1918 deux palmes
Commandant historique Colonel Chanzy

Création et différentes dénominations

Colonels / Chefs de corps

  • : Joseph Alexandre de Villeneuve-Tourette
  • : Paul Louis Dargiot de La Ferrière
  • : Edme Étienne Borne Desfourneaux
  • 1794 : chef de brigade Antoine Arnaud
  • 1803 : Pierre Joseph Cassinne
  • 1805 : Joseph Barbanègre
  • 1809 : Joseph Groisne
  • 1812 : Pelet
  • 1813 : Adrien Lamorial Jean Marie de Warenghien de Flory
  • 1815 : Pecaldy
  • 1815 : Louis Jean-Baptiste Cornebize
  • 1817 : colonel de Loridant
  • 1830 : colonel Charlet
  • 1833 : colonel Rambaud
  • 1840 : colonel Leblond
  • 1842 : colonel Regnaud
  • 1848 : colonel Lafond de Villiers
  • 1853 : colonel Vidal de Lauzun
  • 1856 : Toussaint Bazile Olivier
  • 1863 : colonel Chapizon
  • 1864 : Alfred Chanzy
  • 1868 : colonel Turnier
  • 1868 : colonel Rogier
  • 1870 : lieutenant-colonel Koch
  • 1870 : lieutenant-colonel Bourrel
  • 1871 : colonel Rogier
  • 1875 : colonel Gerder
  • 1879 : colonel Verrier
  • 1882 : colonel de coulange
  • 1887 : colonel d'Hugonneau de Boyart
  • 1889 : colonel Brunet
  • 1893 : colonel Malafosse
  • 1900 : colonel Vermeil de Conchard
  • 1908 : colonel Bailly
  • 1913 : colonel de Flotte
  • 1914 : lieutenant-colonel Edou
  • 1914 : chef de bataillon Bouchard
  • 1914 : lieutenant-colonel Sousselin
  • 1915 : lieutenant-colonel Reynies
  • 1916 : lieutenant-colonel Moineville
  • 1917 : lieutenant-colonel Huet du Rotois
  • 1917 : lieutenant-colonel VanniĂ©re
  • 1918 : lieutenant-colonel Imbert
  • 1925 : colonel Detanger
  • 1926 : colonel Guitton
  • 1929 : colonel Rey
  • 1930 : colonel Lacombe
  • 1933 : colonel Monget
  • 1936 : colonel Monniot
  • 1938 : colonel Apillas
  • 1940 : lieutenant-colonel de Rosmorduc
  • 1945 : colonel Reymond
  • 1945 : lieutenant-colonel de Franclieu
  • 1945 : lieutenant-colonel de Stabenrath
  • 1956 : chef de bataillon Le blanc
  • ? : capitaine Riquier
  • ? : chef de bataillon Mathey
  • 1958 : chef de bataillon Pochat
  • 1971 :colonel Archier
  • 1976 : lieutenant-colonel Quemener
  • 1979 : colonel Kermoal
  • 1985 : colonel Turluer
  • 1989 : colonel Le Picard
  • 1992 : colonel Jarry
  • 1955 :colonel Michel
  • dissolution du rĂ©giment.

Historique des garnisons, combats et batailles

RĂ©volution et Empire

  • Drapeau du 1er bataillon du 48e rĂ©giment d'infanterie de ligne de 1791 Ă  1793
    Drapeau du 1er bataillon du 48e régiment d'infanterie de ligne de 1791 à 1793
  • Drapeau du 2e bataillon du 48e rĂ©giment d'infanterie de ligne de 1791 Ă  1793
    Drapeau du 2e bataillon du 48e régiment d'infanterie de ligne de 1791 à 1793

En , le 2e bataillon embarque à Brest pour Saint-Domingue et participer à stopper la Révolution haïtienne. En débarquant, ce bataillon ainsi que les 2e bataillons des 9e et 32e régiment d'infanterie se révoltèrent et allèrent rejoindre les soldats du régiment du Port-au-Prince qui s'étaient insurgés.
Les 2e bataillons des 32e et 48e régiment d'infanterie furent supprimés[2] - [3].

Colonels tués ou blessés en commandant le régiment pendant cette période : À Krasnoé (Russie 1812), le colonel Pelet charge plusieurs fois les Russes à la tête de son régiment. Le bras fracassé d'un coup de biscaïen, il reste à cheval jusqu'au moment où, atteint aux deux jambes, il tombe et est emporté de force hors du champ de bataille par ses soldats.

De 1815 Ă  1848

Second Empire

1870-1871

  • Au , le 48e rĂ©giment d'infanterie de ligne fait partie de l'ArmĂ©e du Rhin.

Avec le 2e régiment de tirailleurs algériens du colonel Suzzoni, le 48e forme la 2e Brigade aux ordres du général Lefebvre. Cette 2e Brigade avec la 1re brigade du général L'Hériller, deux batteries de 4 et une de mitrailleuses, une compagnie du génie constituent la 3e division d’infanterie commandée par le général de division Raoult.
Cette division d'infanterie évolue au sein du 1er corps d'armée ayant pour commandant en chef le maréchal de Mac Mahon, duc de Magenta. (Bataille de Frœschwiller-Wœrth.)

Le , le 4e bataillon du 48e de ligne forme le 25e régiment de marche[12].

De 1871 Ă  1914

En mai 1871, le régiment a son dépôt à Dreux.

Le , le 48e régiment de ligne fusionne avec le 48e régiment de marche.

En septembre 1873, le 48e régiment d'infanterie de ligne est rattaché à la 48e brigade de la 24e division d'infanterie (Angoulême)[13].

Soldat français, observateur à son poste.

Première Guerre mondiale

1914

  • Un labyrinthe de tranchĂ©es en 1915. "Honneurs Ă  nos morts".
    Un labyrinthe de tranchées en 1915. "Honneurs à nos morts".
  • Un guetteur au Bois Foulon en 1914-1918.
    Un guetteur au Bois Foulon en 1914-1918.
  • Un fantassin du 48e RI en ordre d'attaque Ă  la bataille de Guise.
    Un fantassin du 48e RI en ordre d'attaque Ă  la bataille de Guise.

1915

  • Bataille de Chantecler.
  • Le Labyrinthe (devant leur tĂ©nacitĂ© et les pertes qu'ils causèrent aux Allemands, ces derniers baptisèrent les soldats du 10e corps dont le 48e Bouchers du Labyrinthe).
  • - : Argonne

1916

La fourragère aux couleurs du ruban de la Croix de guerre 1914-1918 accordée en 1918 et un soldat, clairon, du 48e RI durant la bataille de la Marne.
  • Mars - : Verdun
  • Champagne ( - ).

1917

1918

  • Pertes:
  • 2 114 hommes

Le courage de deux officiers du 48e RI en 1914-1918

  • Capitaine BrĂ©bant très vigoureux, Ă©nergique, brave, ayant fait toute la campagne.

Commandant de haute valeur de la 3e compagnie, perpĂ©tuellement au contact de l'ennemi pendant huit jours de bataille a rĂ©ussi Ă  plusieurs reprises dans des conditions difficiles Ă  rompre le combat sans laisser un homme mĂŞme blessĂ© aux mains de l'ennemi. Il s'est distinguĂ© plus rĂ©cemment par son entrain Ă  la tĂŞte de sa compagnie qui a fait une centaine de prisonniers, une blessure deux citations. Cet officier fut blessĂ© grièvement le d'un Ă©clat d'obus, puis brĂ»lĂ© par l'ypĂ©rite au Bois de la tuilerie le lors de l'attaque du Bois du Plessier. Au cours des opĂ©rations du au , n'a cessĂ© de se dĂ©penser sans compter. Toujours sur la brèche, de jour comme de nuit communiquant Ă  tous son Ă©nergie, exaltant le moral de ses hommes, faisant lui-mĂŞme le coup de feu. Il a Ă©tĂ© un bel exemple pour sa compagnie qui, malgrĂ© de dures fatigues, a fourni un effort extraordinaire et causĂ© Ă  l'ennemi des pertes Ă©levĂ©es.

  • Commandant Paul Adolphe Champel.

Il est nĂ© Ă  Agon en 1866. Le , il est Ă  la tĂŞte du 1er bataillon lors de l'assaut du Mont Cornillet, Ă  l'est de Reims ; blessĂ© et fait prisonnier, il est soignĂ© dans l'ouvrage allemand creusĂ© dans le mont. Il est tuĂ© dans l'explosion de l'obus français de 400 mm qui anĂ©antit l'ensemble des personnels des galeries souterraines allemandes le . Son corps, retrouvĂ© en 1974 dans l'infirmerie de la forteresse, a Ă©tĂ© inhumĂ© dans l'ossuaire no 16 du cimetière franco-allemande de Warmeriville[15].

Entre-deux-guerres 1919-1939

  • Ă€ l'issue de la Première Guerre mondiale, le 48e rĂ©giment d'infanterie vient tenir garnison Ă  Guingamp. Au cours de la pĂ©riode de l'entre-deux guerres, certains de ses Ă©lĂ©ments sont dĂ©tachĂ©s Ă  Brest, puis Ă  Saint-Brieuc et Ă  Landerneau.

Seconde Guerre mondiale

  • Ă€ la mobilisation de , le 48e rĂ©giment d'infanterie est dirigĂ© avec le 65e RI et le 137e RI sur la frontière dans le secteur de Sarreguemines.
  • Le 48e est embarquĂ© Ă  destination du Pas-de-Calais direction Boulogne oĂą il prend ses quartiers d'hiver.
  • Ă€ la suite de l'offensive allemande du , le 48e est envoyĂ© en Belgique oĂą il doit tenir la position dĂ©fensive sur la rive de l'Escaut au nord-ouest d'Anvers.
  • Le , une puissante attaque d'infanterie ennemie Ă  Armentières sur la route de Boulogne, puis Ă  Lambres, appuyĂ©e par de l'artillerie et des mortiers sur Witternesse est repoussĂ©e. Le 48e RI se replie sur une voie ferrĂ©e de Berguette ; Ă  court de munitions, il est capturĂ© après une attaque de chars et de l'infanterie. Le 3e bataillon subit le mĂŞme sort. Les morts du 48e RI au cours des combats (environ 80 hommes) ont Ă©tĂ© enterrĂ©s par des civils au cimetière de Blessypagesperso-orange.fr (lien).

Depuis 1945[1]

  • Le 48e RI est reformĂ© par dĂ©cision ministĂ©rielle le , constituĂ© par trois bataillons de sĂ©curitĂ© d'origine FFI de la 22e rĂ©gion militaire.
  • stationnĂ© Ă  Paris
  • Ă  Chauny
  • Villefranche-sur-Cher
  • Guerre d'AlgĂ©rie: formĂ© le par changement de dĂ©nomination du 42e bataillon de tirailleurs algĂ©riens stationnĂ© en Afrique du Nord.
  • Campagne : AlgĂ©rie 1956-1958, BĂ©ni, Ouazzane, Eugène-Étienne, Pont de l'Isser, Tlemcen, Snoussi, Lavayssière, NĂ©grier, Montagnac, Ras Arfour.
  • Dissous le . En tout, le rĂ©giment participera Ă  22 mois de campagne, 7 tuĂ©s au combat.
  • "Ordre du jour no  8" le gĂ©nĂ©ral de division Henri Berthon commandant la 12e division d’infanterie et la zone de l'ouest Oranais. « Le 48e bataillon d’infanterie participant aux opĂ©rations dans divers secteurs, assurant la protection des personnes et des biens dans une rĂ©gion sensible, ce bataillon a rempli les diverses missions qui lui Ă©taient confiĂ©s avec brio. Élevant nos pieuses pensĂ©es vers ceux qui sont tombĂ©s, saluant respectueusement le sacrifice de ceux qui restent meurtris dans leur chair, nous adressons au 48e bataillon d'infanterie, Ă  ses cadres, Ă  ses hommes, le souvenir affectueux et fraternel de ses camarades de combat. Les honneurs Ă  nos morts. »
  • De 1971 Ă  1998, il sera rĂ©giment de rĂ©serve prĂ©vu en mobilisation et pratiquant l'auto-instruction, stationnĂ© Ă  Guingamp.
  • le dissolution du 48e, le drapeau sera roulĂ© devant le rĂ©giment rassemblĂ© par le chef de bataillon le lieutenant-colonel Dubois J. P.


  • Insigne rĂ©gimentaire du 48e RI.
    Insigne rĂ©gimentaire du 48e RI.
  • Insigne rĂ©gimentaire du 48e RĂ©giment Interarme Divisionnaire (RIAD), DUR comme ROC.
    Insigne rĂ©gimentaire du 48e RĂ©giment Interarme Divisionnaire (RIAD), DUR comme ROC.

Faits d’armes notoires [3]

Inscriptions portées sur le drapeau du régiment

Il porte, cousues en lettres d'or dans ses plis, les inscriptions suivantes[16] :

Fourragère aux couleurs de la Croix de guerre 1914-1918
Fourragère aux couleurs de la Croix de guerre 1914-1918
La croix de guerre 1914 1918 avec 4 citations (appartenant au capitaine BrĂ©bant)
- 1 palme de bronze
- 1 Ă©toile de vermeil
- 1 Ă©toile d'argent
et
1 Ă©toile de bronze.

  • RĂ©compenses obtenues au 48e rĂ©giment d'infanterie (Artois, petit vieux) :
    • Officiers de la lĂ©gion d'honneur : 5
    • Chevaliers de la lĂ©gion d'honneur : 19
    • MĂ©daille militaire : 283
    • Citations Ă  l'Ordre de l'ArmĂ©e : 93
    • Citations Ă  l'Ordre du corps d'ArmĂ©e : 147
    • Citations Ă  l'Ordre de la Division : 360
    • Citations Ă  l'Ordre de la Brigade : 680
    • Citations Ă  l'Ordre du RĂ©giment : 1947
  • DĂ©corations Ă©trangères :
    • Belges : 10
    • Russes : 6
    • Anglaises : 4
    • Serbes : 2
    • Italiennes : 1.

Insigne

Son insigne est constitué d'un écu d'argent à la champagne semée d'hermine avec le nombre 48. Au-dessus, sur une banderole d'émail blanc, est inscrite sa devise. La partie supérieure, un dolmen d'argent soutenant un chêne feuille de sinople (en abîme brodant le tronc du chêne).

DĂ©corations

  • Le 48e rĂ©giment d'infanterie, deux fois citĂ© Ă  l'ordre de l'ArmĂ©e, fut dĂ©corĂ© de la Croix de guerre 1914-1918 avec deux palmes, reçut la fourragère aux couleurs du ruban de la Croix de guerre 1914-1918 le .


  • Fourragère aux couleurs du ruban de la croix de guerre 1914 - 1918 dĂ©cernĂ©e au 48e RI.
    Fourragère aux couleurs du ruban de la croix de guerre 1914 - 1918 dĂ©cernĂ©e au 48e RI.
  • Le droit au port de la Fourragère aux couleurs du ruban de la croix de guerre 1914 - 1918. SignĂ© gĂ©nĂ©ral Mangin.
    Le droit au port de la Fourragère aux couleurs du ruban de la croix de guerre 1914 - 1918. Signé général Mangin.
  • DiplĂ´me dĂ©cernĂ© au lieutenant BrĂ©bant du 48e RI (1re bataille de la Marne 1914).
    DiplĂ´me dĂ©cernĂ© au lieutenant BrĂ©bant du 48e RI (1re bataille de la Marne 1914).
  • DiplĂ´me dĂ©cernĂ© au lieutenant BrĂ©bant du 48e RI (Verdun 1916).
    DiplĂ´me dĂ©cernĂ© au lieutenant BrĂ©bant du 48e RI (Verdun 1916).

Personnages célèbres ayant servi au régiment

Régiment d’Artois

48e régiment d'infanterie

Edme Étienne Borne Desfourneaux (1767-1849), général de la Révolution, colonel du 48e régiment d'infanterie en 1793[19].

48e régiment d'infanterie de ligne

Sources et bibliographie

  • Bibliographie fournie par le musĂ©e du château de Vincennes.
  • Ouvrage et bibliographie fournie par le lieutenant-colonel Jean-Paul Dubois, ancien chef de bataillon du 48e RI en 1998.
  • Bibliographie fournie par l'association de recherches et d'Ă©tudes sur la vie des Bretons dans la Grande Guerre, prĂ©sident monsieur Prigent.j (association bretagne 1914-1918)
  • Louis Susane, Histoire de l'ancienne infanterie francaise, tome 5, Volumes 1 Ă  8, J. CorrĂ©ard, Paris, 1871, p. 260 Ă  290
  • Victor Belhomme, Histoire de l'infanterie en France, t. 5, Henri Charles-Lavauzelle, (lire en ligne).

Notes et références

  1. Ouvrage par le lieutenant-colonel Jean-Paul Dubois, ancien chef de bataillon du 48e RI en 1998
  2. Histoire de l'infanterie en France par Belhomme T3 P460-461
  3. Ouvrage 48e RĂ©giment d'Infanterie, Rennes, imprimerie Oberthur 1920.
  4. Histoire de l'infanterie en France de Victor Louis Jean François Belhomme Vol 5 page 151
  5. Belhomme 1902, p. 147.
  6. Belhomme 1902, p. 283.
  7. Belhomme 1902, p. 295.
  8. Belhomme 1902, p. 337.
  9. Belhomme 1902, p. 428.
  10. Belhomme 1902, p. 433.
  11. Belhomme 1902, p. 454.
  12. Belhomme 1902, p. 487.
  13. Belhomme 1902, p. 594.
  14. Bibliographie fournie par l'association de recherches et d'études sur la vie des Bretons dans la Grande Guerre, président monsieur Prigent.j (association bretagne 1914-1918)
  15. Plaque commémorative
  16. DĂ©cision n° 12350/SGA/DPMA/SHD/DAT du 14 septembre 2007 relative aux inscriptions de noms de batailles sur les drapeaux et Ă©tendards des corps de troupe de l'armĂ©e de terre, du service de santĂ© des armĂ©es et du service des essences des armĂ©es, Bulletin officiel des armĂ©es, n° 27, 9 novembre 2007
  17. Bruno Tollon, Louis Peyrusse, « Dame Tholose » et la colonne Dupuy », sur societes-savantes-toulouse.asso.fr, in Mémoires de la Société archéologique du Midi de la France, Toulouse, 2005, t. LXV, p. 252.
  18. E. Pascallet, Revue générale, biographique et nécrologique, sur books.google.fr, Paris, Amyot, 1845, vol. IX, t. I, p. 293.
  19. (en)« French Infantry Regiments and the Colonels who Led Them: 1791 to 1815 », sur napoleon-series.org, juillet 2001.
  20. Napoléon Bonaparte, « La campagne de Russie, 1812 », sur books.google.fr, Correspondance générale publiée par la Fondation Napoléon, Fayard, 2012, t. XII, p. 3089.
  21. Vanessa Lecomte, « Chronologie », in Marina Ferretti Bocquillon (dir.), Maximilien Luce néo-impressionniste, Giverny, Musée des impressionnismes, Milan, Silvana Editoriale Spa, 2010, p. 116.

Voir aussi

Articles connexes

Liens externes

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