Accueil🇫🇷Chercher

Études d'arts en France

Les études d'arts en France[1], sont assurées par les lointaines descendantes des anciennes écoles[2] des beaux-arts, des arts décoratifs et des arts industriels (dites depuis des arts appliqués[3] - [4].

Études d'arts en France
Image illustrative de l’article Études d'arts en France
Certification du Ministère de l'Enseignement Supérieur garantissant son contrôle et l'authenticité du diplôme visé.
Lieu France
Établissement École des beaux-arts, Université, IUT, STS
SĂ©lection
Niveau ou grade requis Baccalauréat ou Licence
DiplĂ´me
Durée de la formation 3 ans ou 2 ans
Diplôme délivré En école privée d'arts :

À l'université :

Niveau délivré Bac + 3 (niveau 6) ou Bac + 5 (niveau 7)
Grade délivré Licence ou Master
Débouchés
DiplĂ´mes accessibles Master ou Doctorat
Professions accessibles Artiste

Elles sont destinées soit à développer la pratique d'un art par l'élève, soit à ce qu'il acquière une pédagogie pour l'enseigner, soit afin qu'il occupe des fonctions de critique ou de management des artistes ou des œuvres d'art dans des entreprises privées ou des institutions publiques.

Ces formations artistiques sont marquées par la notion d'auteur et ses divers rapports avec les contraintes artistiques volontaires ou de fait (langages, techniques, matériaux, sens, fonction, utilité, commande, compétition, contexte, traditions, etc.) ainsi que par le regard[5] que l'on porte sur une œuvre poétique. Aujourd'hui, elles se fondent autour de l'économie[6] et de la pratique des arts plastiques et graphiques, de l'architecture d'intérieur, des métiers d'art[7] et de l'artisanat, de la mode ou du design parfois dit industriel. Elles vont, toutefois, largement au-delà (par exemple, dans les domaines numériques ou de la communication) vers un relatif décloisonnent entre les spécialités.

À tort ou à raison, elles ne se confondent pourtant pas[8] avec les études littéraires et poétiques, les écoles d'architecture et d'urbanisme, de musique, de spectacle vivant[9] (théâtre, danse, cirque, arts de la rue, etc.) et de cinéma. Plus généralement on les distingue aussi avec certains domaines aujourd'hui regroupés sous l'appellation d'éducation artistique et culturelle[10] (allant du patrimoine, de l'histoire de l'art aux métiers du livre[11] en passant par l'ingénierie culturelle) dont plusieurs métiers aussi assimilés à l'artisanat[12] (particulièrement la cuisine[13], la parfumerie[14], le paysagisme[15], etc.), aux arts et traditions populaires (comme le folklore) ou, dans un autre registre, de ce qui concernerait le développement personnel ou la psychothérapie[16].

Les compétences techniques et savoirs spécialisés mis en œuvre lors de ces enseignements relèvent aussi d'écoles d'ingénieurs ou de l'apprentissage en atelier, sous la direction d'un maître (anciennement dit en art). De même, les questions abordées au cours de ces cursus sont développées au sein des diverses études théoriques de l'art et de la culture, dont le lieu privilégié est l'université.

Toutefois de nombreux praticiens se revendiquent comme artiste autodidacte[17] (et interrogent de ce fait sur l'utilité de formations, de corps labellisés) ou ont principalement mis en avant la culture générale de chacun dans ces domaines.

Histoire

Jusqu'au XVIIe siècle, l'enseignement des techniques artistiques passe, après l'enseignement des petites écoles publiques, par l'apprentissage à partir de 12 ou 14 ans auprès d'un des maîtres appartenant à une communauté des peintres, des sculpteurs, des joueurs d'instruments, etc. Ces communautés ont dans certaines grandes villes des écoles pour les apprentis appelées académies[18] : l'apprenti n'est pas seulement étudiant, il est aussi employé.

Les écoles d'art actuelles sont héritières de quatre systèmes distincts :

  • Les hĂ©ritières des acadĂ©mies. La plus cĂ©lèbre est L'AcadĂ©mie royale de peinture et de sculpture (1648), oĂą enseignaient les plus grands artistes de l'Ă©poque et dont le but Ă©tait de maintenir la tradition acadĂ©mique par une hiĂ©rarchie des genres (histoire, portrait, paysage…) et par l'Ă©tude des maĂ®tres anciens (voyage en Italie, prix de Rome). Cette institution existe toujours (École nationale supĂ©rieure des beaux-arts). Citons Ă©galement l'AcadĂ©mie de dessin de Dijon, actuelle École nationale supĂ©rieure d'art de Dijon.
  • Les hĂ©ritières des Ă©coles gratuites de dessin, fondĂ©es pour la plupart aux XVIIIe et XIXe siècles. Le but de ces Ă©coles Ă©tait de donner le goĂ»t du beau aux artisans, de leur apprendre la prĂ©cision, la gĂ©omĂ©trie, et le refus de l'ornement et du pittoresque. Des amateurs d'art dĂ©sireux d'apprendre Ă  dessiner suivaient aussi ces cours. Dès les annĂ©es 1880, l'administration des beaux-arts de l'État (aujourd'hui DĂ©lĂ©gation aux arts plastiques du ministère de la Culture) a obtenu un droit de regard sur leurs programmes et certaines ont Ă©tĂ© communalisĂ©es. La grande majoritĂ© des Ă©coles d'art territoriales sont d'anciennes « Ă©coles gratuites de dessin ». comme Ă  Toulouse (1726), Rouen (1741), Lille (1755), Rennes (1757), Amiens (1758), Besançon (1773), etc. Certaines sont passĂ©es directement sous le contrĂ´le de l'État comme les Ă©coles d'arts dĂ©coratifs de Nice ou de Limoges. L'École gratuite de dessin de Paris, fondĂ©e en 1766, orientĂ©e vers les arts appliquĂ©s, est l'actuelle École nationale supĂ©rieure des arts dĂ©coratifs et l'École DuperrĂ© a Ă©tĂ© fondĂ©e en 1864 par Elisa Lemonnier.
  • Les nouvelles Ă©coles nationales d'art fondĂ©es dans les annĂ©es 1970-80 comme la Villa Arson Ă  Nice, l'Ă©cole de photographie d'Arles, L'École nationale supĂ©rieure de crĂ©ation industrielle ou bien l'Ă©cole d'art de Cergy-Pontoise. Conçues en fonction, d'enjeux, de programmes et de pĂ©dagogies spĂ©cifiques, elles relèvent du ministère de la Culture.
  • Les ateliers privĂ©s d'artistes. En effet, jusqu'au dĂ©but du XXe siècle, les artistes un peu renommĂ©s (Prix de Rome…) tiraient un revenu non nĂ©gligeable de l'enseignement qu'ils dispensaient dans leur propre atelier. Les modalitĂ©s de cet enseignement varient beaucoup selon les Ă©poques. Les Ă©tudiants payaient souvent pour chaque sĂ©ance d'atelier et non Ă  l'annĂ©e. Parfois ils avaient la charge d'amener le charbon pour le poĂŞle de l'atelier. C'est souvent un Ă©tudiant, appelĂ© le massier, qui se chargeait de la collecte de l'argent. Dans certains cas, les Ă©tudiants Ă©taient des apprentis, c'est-Ă -dire qu'ils profitaient de l'enseignement de l'artiste en lui servant d'assistants, parfois seulement rĂ©munĂ©rĂ©s sous forme d'hĂ©bergement et de nourriture. Certains de ces ateliers subsistent comme l'AcadĂ©mie de la Grande-Chaumière Ă  Montparnasse et surtout l'AcadĂ©mie Julian Ă  Saint-Germain-des-PrĂ©s.

Depuis le milieu des années 2000, la plupart des établissements territoriaux d'enseignement artistique ont changé de statut pour devenir des Établissements publics de coopération culturelle (EPCC), ce qui leur confère une certaine indépendance vis-à-vis de leurs tutelles et permet des regroupements d'établissements sur plusieurs sites : Lorient, Brest, Quimper et Rennes ; Rouen et Le Havre ; Angoulême et Poitiers ; Tours, Angers et Le Mans ; etc. Certains de ces établissements ne regroupent pas que des écoles d'art : la Haute École des arts du Rhin intègre, outre les écoles de Strasbourg et de Mulhouse, l'Académie de musique de Strasbourg ; L'école supérieure d'art et de design de Saint-Étienne est intégrée à la Cité du design.

École nationale supérieure

Listes actualisées des 45 écoles supérieures d'art[19], dont 11 sont dites nationales et 34 territoriales. Ces écoles totalisaient 10 865 étudiants en 2017-2018[20].

École supérieure

Ces écoles datent parfois du XVIIIe siècle et sont très liées aux communes qui les ont vues naître. Depuis le début des années 2010, la plupart de ces écoles ne sont plus des services municipaux, mais sont partiellement indépendantes de leurs villes de tutelles, structurées en établissements publics de coopération culturelle, avec un conseil d'administration. Certains de ces établissements sont répartis sur plusieurs villes, comme l'école d'art de Bretagne, éclatée sur quatre sites : Rennes, Lorient, Quimper et Brest.

Ces écoles sont accréditées par le ministère de la Culture et habilitées par le Haut Conseil de l'évaluation de la recherche et de l'enseignement supérieur (HCéres) à délivrer les diplômes nationaux du ministère de la Culture. Cette habilitation est donnée lorsque le projet pédagogique, l'encadrement pédagogique, les locaux et les moyens fournis atteignent un niveau d'exigence satisfaisant.

Les diplômes préparés sont le diplôme national d'art (DNA) en trois ans, donnant grade de licence depuis 2018 et le diplôme national supérieur d'expression plastique (DNSEP) en deux ans après avoir obtenu le DNA, donnant grade de Master

Établissements multisites :

Université

L'enseignement d'art plastique ou de musicologie dans les universités vise essentiellement à former des enseignants pour l'enseignement secondaire et il prépare aux concours du CAPES et de l'agrégation. Les départements d'arts plastiques et d'arts visuels se distinguent des écoles d'art par leurs pédagogies, dont l'efficacité repose essentiellement sur des connaissances intellectuelles et des explications rationnelles.

Dans l'ensemble, l'apprentissage des connaissances pratiques, techniques et du savoir-faire artistique, qu'il s'agisse du dessin, de la perspective, de la composition, de la sculpture, ou du jeu d'instrument, n'est pas considéré comme important[34] dont les budgets de fonctionnement et la durée des cours sont incompatibles avec une philosophie d'atelier[35]. En revanche, les étudiants disposent d'une grande autonomie et d'un large accès à la recherche académique. Il semble que les étudiants qui tirent le meilleur parti d'un tel cursus sont, comme toujours, ceux qui ont déjà suivi une formation (parfois artistique) ou qui comptent intégrer une autre école après.

La réforme LMD, entrée en application récemment, a notamment favorisé les échanges dans l'enseignement supérieur (universitaire ou non), donc entre les écoles d'art d'Europe ou dans le monde. Il faut noter que toutes les facultés d'arts plastiques ne permettent pas de pousser les études au-delà de la licence ou du master. Les universités françaises accueillent environ 8500 étudiants en cursus d'arts plastiques[20].

Les UFR d'arts plastiques[36]

École d'arts appliqués

Enseignement public

Les écoles d'arts appliqués sont des écoles post-bac dont certaines proposent aussi un bac option arts appliqués. Elles peuvent être parfois intégrées à un lycée technique. Les écoles d'arts appliqués délivrent différents diplômes (Bac +2 à Bac +5) : brevet de technicien supérieur (BTS, Bac +2) jusqu'en 2021, diplôme des métiers d'arts (DMA, Bac +3) jusqu'en 2020, diplôme national des métiers d’arts et du design (DN MADE, Bac +3)[37], diplôme supérieur d'arts appliqués (DSAA, Bac +5), diplôme national d'art (DNA, Bac +3), diplôme national supérieur d'expression plastique (DNSEP, Bac+5), licences (Bac +3) et masters (Bac +5) en partenariat avec une université.
Au total, les écoles d'arts appliqués publiques proposent environ 300 formations différentes, réparties dans 80 établissements, et totalisent environ 9000 étudiants[20]. Les diplômes d'arts appliqués peuvent se préparer dans les écoles suivantes :

Enseignement privé

Le rapport de la cour des comptes dénombre 166 écoles d'art privées en France, qui accueillent entre 15 000 et 20 000 étudiants. Les frais d'inscription dans ces établissements sont compris dans une fourchette qui va de 6000 à 13000 euros[20]. Cinq de ces établissements dispensent un diplôme visé par le ministère de l'Enseignement supérieur et de la Recherche : L'école Émile Cohl, L'école de design Nantes-Atlantique, l'école Camondo, l'Institut français de la mode et Strate École de design[20]. Les autres établissements proposent des diplômes le plus souvent reconnus par l'état car inscrit au RNCP (Registre National des Certifications Professionnelles) ils ont la même valeur et comptent également des crédits ECTS (European Credits Transfer System en anglais, soit système européen de transfert et d'accumulation de crédits en français).

Écoles consulaires, ou du secteur industriel

Ces écoles concernent essentiellement les domaines du design, du stylisme et de la mode. Les écoles consulaires dépendent des chambres de commerce et d'industrie, les autres, bien que privées, ont parfois conservée un lien avec le ministère de l'Industrie.

Les Ă©coles de stylisme et de mode :

Les Compagnons du devoir sont des structures associatives destinées à la formation et à l'apprentissage de plusieurs métiers artisanaux suivant les traditions du compagnonnage, lointaines descendantes des confréries et corporations du Moyen Âge.

De très nombreuses autres formations par alternance du domaine artisanal ont aussi lieu dans des Centres de formation d'apprentis (CFA). Certaines formations continues pour adultes sont faites en collaboration avec les Greta. Les CFA peuvent être associatifs, privés, municipaux, sous tutelle de l'Éducation Nationale, du ministère de l'Agriculture, ou gérés par les Chambres de commerce et d'industrie territoriales (CCT), les Chambres de métiers et de l'artisanat (CMA) et les Chambres d'agriculture. Les diplômes délivrés vont du niveau V aux Masters professionnels.

Classe préparatoire

Il existe plusieurs types de formations de préparations aux écoles d'art.

Les classes ou ateliers préparatoires aux écoles d'art permettent de préparer les concours des différentes écoles d'art. L'association nationale des classes préparatoires publiques aux écoles supérieures d'art (APPEA) regroupe 21 de ces classes préparatoires[38]. Les 12 classes préparatoires aux études supérieures-classes d’approfondissement en arts plastiques (CPES-CAAP) sont également publiques. Conventionnées avec des départements d'universités, elles permettent de valider une première année de licence (60 crédits ECTS). Enfin, il existe un grand nombre de classes préparatoires privées reconnues par l'État ou non. La qualité de la formation et le taux de réussite aux concours sont variables, selon le contrôle que l'État a sur le programme. A part les CPES-CAAP, ces classes préparatoires ne délivrent pas d’ECTS mais remettent un certificat de fin d’étude[39] - [40].

Les classes préparatoires aux grandes écoles (CPGE) littéraires A/L option Arts Plastiques[41] et ENS-C Arts & Design[42] permettent après deux ans l'entrée en écoles d'art, bien que leur objectif principal soit d'intégrer les écoles normales supérieures (ENS).

Enfin, la mise à niveau en arts appliqués (MANAA) était, jusqu'en 2019, une formation d'une durée d'un an permettant d'intégrer les brevets de technicien supérieur (BTS) en design, les diplômes des métiers d'art (DMA) et certaines écoles d'art. La MANAA, les BTS en design et les DMA ont été remplacés dans les établissements publics par le diplôme national des métiers d’arts et du design (DNMADE) d'une durée de 3 ans et conférant le grade de licence (180 crédits ECTS)[43] - [44] - [45].

  • École Nationale supĂ©rieure des Beaux-Arts de Paris, Via Ferrata
  • La classe prĂ©paratoire des Ateliers d’arts plastiques de la communautĂ© d’agglomĂ©ration Évry Centre Essonne - (Essonne)
  • École Nationale SupĂ©rieure des Beaux-Arts de Lyon
  • Arcades (Atelier de recherche, de crĂ©ation artistique et d'enseignement supĂ©rieur) Issy-les-Moulineaux (Hauts-de-Seine)
  • École supĂ©rieure d'art Pays Basque
  • Classe prĂ©paratoire de Cherbourg (Manche) intĂ©grĂ©e Ă  l'École SupĂ©rieure des Arts & MĂ©dias de Caen/Cherbourg
  • PrĂ©pa École des Beaux arts Émile DaubĂ© SAINT-BRIEUC École municipale des beaux-arts de Saint-Brieuc
  • CAAP (Classe d'approfondissement en arts plastiques)de Fontenay-sous-Bois
  • CAAP (Classe d'approfondissement en arts plastiques)de Gagny
  • École municipale des beaux-arts de Saint-Brieuc
  • École municipale des beaux-arts de Sète
  • École municipale des beaux-arts de La Seyne-sur-Mer
  • École municipale des beaux-arts de Châteauroux
  • École municipale des beaux-arts de Beauvais
  • École municipale des beaux-arts/galerie Édouard-Manet, Gennevilliers
  • École des beaux-arts du Genevois (EBAG - Annemasse Haute-Savoie), gĂ©rĂ©e par la communautĂ© de communes
  • École d'art GĂ©rard-Jacot (Belfort)
  • PASARTIC, PrĂ©paration Ă  l'accès aux Ă©tudes SupĂ©rieures en Art et Technologies de l'information et de la Communication - Institut de l'image de l'ocĂ©an Indien - Le Port
  • École professionnelle supĂ©rieure d'arts appliquĂ©s et d'architecture de la Ville de Paris - Ivry-sur-Seine

Lycée

En France, la majorité des écoles d'art sont accessibles aux titulaires du baccalauréat ou équivalent, et n'exigent pas de diplômes supplémentaires[46]. Elles recrutent alors les candidats en fonction de leur motivation, leur expérience pratique et leur culture artistique lors d'un entretien, après une sélection par concours ou sur dossier (sauf à l'université). Certains entretiens ont comme point de départ le portfolio présentant des travaux de l'étudiant. Enfin, d'autres élèves s'orientent vers des écoles européennes[47] en fonction de leur programme de formation, des critères de sélection ou des droits d'inscription.

Lycée technologique (Bac STD2A)

Les élèves des enseignements d'exploration (ex-EDD) « Création et activités artistiques[48] » (ou de l'enseignement facultatif d'arts[49]) puis des enseignements obligatoires[50] leur succédant au sein du baccalauréat général, du baccalauréat technologique « Design et arts appliqués » (STD2A2[51]) et de certaines filières du baccalauréat professionnel « artisanat et métiers d'arts[52] », seront favorisés, suivant les écoles, par leur cursus mixte.

Tout en ayant des objectifs et des débouchés différents, les diplômes professionnels en arts graphiques comme le brevet de technicien (BT), le brevet des métiers d'art (BMA) ou l'option histoire des arts[53] de la filière littéraire, peuvent aussi être une voie d'accès aux écoles, mais plus aléatoire selon les modes de recrutement : contenu du concours ou profil d'élève recherché par celles-ci.

  • Auray (Brec'h) (Morbihan) : lycĂ©e des mĂ©tiers d'art Bertrand-du-Guesclin
  • Bellignat (Ain) : lycĂ©e Arbez-Carme
  • Besançon (Doubs) : CFA acadĂ©mique
  • Bobigny (Seine-Saint-Denis) : lycĂ©e professionnel Alfred-Costes
  • Bordeaux (Gironde) : lycĂ©e professionnel Toulouse-Lautrec
  • Colombes (Hauts-de-Seine) : lycĂ©e Claude-Garamont
  • Grenoble (Isère) : lycĂ©e professionnel AndrĂ©-Argouges
  • Illkirch-Graffenstaden (Bas-Rhin) : lycĂ©e Gutenberg
  • JouĂ©-lès-Tours (Indre-et-Loire) : lycĂ©e professionnel d'Arsonval
  • Lattes (HĂ©rault) : lycĂ©e Champollion
  • Lisieux (Calvados) : lycĂ©e professionnel Paul-Cornu
  • Lyon (RhĂ´ne) : lycĂ©e professionnel du Premier Film
  • Marseille (Bouches-du-RhĂ´ne) : lycĂ©e professionnel LĂ©onard-de-Vinci
  • Montereau-Fault-Yonne (Seine-et-Marne) : lycĂ©e AndrĂ©-Malraux
  • Paris : lycĂ©e professionnel des Arts graphiques
  • Saint-Pierre (La RĂ©union) : lycĂ©e professionnel de Saint-Pierre
  • Senlis (Oise) : lycĂ©e professionnel Amyot-d'Inville
  • Toulouse (Haute-Garonne) : lycĂ©e professionnel Jolimont
  • Tourcoing (Nord) : lycĂ©e professionnel Le Corbusier
  • bac pro Artisanat et mĂ©tiers d'art
    • option arts de la pierre
    • option Ă©bĂ©niste
    • option horlogerie (DSN 2009 : en attente JO)
    • option marchandisage visuel
    • option mĂ©tiers de l'enseigne et de la signalĂ©tique
    • option tapisserie d'ameublement
    • option verrerie scientifique et technique
    • option vĂŞtement et accessoires de mode
  • BMA Art de la reliure et de la dorure
  • BMA Art du bijou et du joyau
  • BMA Arts et techniques du verre
  • BT Dessinateur en arts appliquĂ©s
    • spĂ©cialitĂ© cĂ©ramique
    • spĂ©cialitĂ© tapisserie de lisse
    • spĂ©cialitĂ© volumes architecturaux
  • BT Dessinateur maquettiste option arts graphiques
  • Formation d'Ă©cole spĂ©cialisĂ©e DiplĂ´me d'arts graphiques
  • Formation d'Ă©cole spĂ©cialisĂ©e DiplĂ´me de fin d'Ă©tudes secondaires des mĂ©tiers d'art (DFESMA)
  • Formation d'Ă©cole spĂ©cialisĂ©e DiplĂ´me national d'orientation professionnelle d'art dramatique
  • Formation d'Ă©cole spĂ©cialisĂ©e DiplĂ´me rĂ©gional des mĂ©tiers d'art option sculpture sur bois - restauration statuaire
  • Formation d'Ă©cole spĂ©cialisĂ©e PrĂ©paration Ă  l'accès aux Ă©tudes supĂ©rieures en art et aux technologies de l'information et de la communication
  • Formation d'Ă©cole spĂ©cialisĂ©e Classe d'art dramatique
  • CAP Artisanat et MĂ©tiers d'Arts option Dessinateur d'ExĂ©cution en Communication Graphique (DECG)
  • CAP Artisanat et MĂ©tiers d'Arts option SignalĂ©tique, Enseigne et DĂ©cor
  • CAP Artisanat et MĂ©tiers d'Arts option SĂ©rigraphie Industriel
  • CAP Art du bijou et du joyau (DSN 2009 : en attente de JO)
  • CAP Art et techniques de la bijouterie-joaillerie
  • CAP Arts de la broderie
    • Dominante broderie Ă  la main
    • Dominante broderie automatisĂ©e
    • Dominante broderie sur machine
  • CAP Arts de la reliure
  • CAP Arts du bois
    • option marqueteur
    • option sculpteur ornemaniste
    • option tourneur
  • CAP Arts et techniques du verre
    • option dĂ©corateur sur verre
    • option tailleur graveur
    • option verrier Ă  la main
    • option verrier au chalumeau
    • option vitrailliste
  • Classe de seconde spĂ©cifique Seconde spĂ©cifique option BT dessinateur en arts appliquĂ©s
  • FCIL Arts du bois : techniques d'autrefois
  • Formation d'Ă©cole spĂ©cialisĂ©e Seconde filière des mĂ©tiers d'art
  • MC Art de la cuisine allĂ©gĂ©e

Débouchés

Le secteur de l'art est souvent pointé du doigt pour sa précarité et son intégration sur le marché du travail difficile.

Bibliographie

Histoire

  • Nikolaus Pevsner, Les AcadĂ©mies d'art, Paris, 1999 [trad. de la 1re Ă©d. anglaise de 1940] (ISBN 2-85226-520-6)
    Critiquée pour être centrée sur les enjeux qui ont abouti au Bauhaus, et à sa philosophie, cette synthèse historique n'est toujours pas remplacée.

DĂ©bats et enjeux actuels

  • Jean-Baptiste Dotari, « En France, les Ă©coles d'arts sont en danger », dans Les Inrockuptibles, du (en ligne).
  • Jean-NoĂ«l Lafargue, Ă€ quoi sert un Ă©tudiant en arts plastiques ?, dans Le dernier des blogs [hyperbate.fr], (en ligne).
  • Jean-Michel Lucas[54], Repenser la place de l’art et de la crĂ©ation dans la sociĂ©tĂ© et auprès de la population [SĂ©minaire aux Halles de Schaerbeek], Bruxelles, 2008 (en ligne).
  • Actes des Assises nationales des Ă©coles supĂ©rieures d'art, Rennes, 6 et , Rennes, 2008 (en ligne).
  • Kunst lehren = teaching art, sous la dir. de Heiki Belzer et Daniel Birnbaum (en), Cologne, 2007 (ISBN 978-3-86560-339-5) (en ligne).
  • Sur l’art et les moyens de son expĂ©rience. Pourquoi, comment rendre contemporain l’art ? ÉlĂ©ments de rĂ©flexions sur les outils de transmission, entretiens rĂ©unis par Christophe Domino, Paris, 2005 (en ligne).
  • Art et savoir : de la connaissance Ă  la connivence, sous la dir. d'Isabelle Kustosz, avec Mario Borillo, Alain Cambier, Inès Champey, et al., Paris, 2004 (Les Rendez-vous d'Archimède) (ISBN 2-7475-6133-X) (partiellement en ligne).
  • Fred Forest, Repenser l'art et son enseignement : les Ă©coles de vie, Paris, 2002 (ISBN 2-74753-409-X) (en ligne).
  • Pierre Bourdieu, Questions sur l'art pour et avec les Ă©lèves d'une Ă©cole d'art mise en question, dans Penser l'art a l'Ă©cole, dir. par I. Champey, Arles, 2001, p. 13-54 (ISBN 2-74273-293-4) (en ligne).
  • Yves Michaud, Enseigner l'art ? : analyses et rĂ©flexions sur les Ă©coles d'art, NĂ®mes, 1993 ; nouv. Ă©d. 1999 (ISBN 2-87711-209-8).

Ă€ propos du secondaire

Statut de l'artiste et les questions institutionnelles

  • Nathalie Heinich, ĂŠtre artiste : les transformations du statut des peintres et des sculpteurs, Paris, 1996 ; repr. 2005 et 2012 (50 questions) (ISBN 2-25203-532-3).
    Ouvrage pratique et synthétique, dont les questions ne concernent pas les seuls peintres et sculpteurs. Voir aussi les nombreuses publications de N. Heinich sur les conditions des artistes et de l'art dans notre société.
  • VĂ©ronique Chambaud, Guide juridique et fiscal de l'artiste, 4e ed., Éditions Dunod, 2010 (ISBN 978-2-10-053091-5).
  • [PDF] Cour des comptes, L'enseignement supĂ©rieur en arts plastiques, communication Ă  la commission des finances du SĂ©nat, dĂ©cembre 2020 (lire en ligne)

Notes et références

  1. Pour un panorama plus complet, consulez déjà les formations de culture.fr, les enseignements artistiques de eduscol.education.fr (et aussi les adresses utiles ou les formations sur culture.gouv.fr). Et :
    • Une carte, datant de 2008, de l'ensemble des formations aux mĂ©tiers des arts et de la culture, Ă©tait sur l'ancien site education.arts.culture.fr.
    • Les fiches de l'ONISEP peuvent ĂŞtre un bon complĂ©ment (faire une recherche par formation, après).
    • On peut aussi consulter le dossier Le panorama des formations artistiques du magazine L’Étudiant, ou le commercial et très incomplet Guide des Ă©coles d'art et des stages. Formations artistiques, hors-sĂ©rie annuel d'Artistes magazine (ISSN 1152-9296).
  2. Pour un bref historique des établissements d'enseignement artistique à Paris depuis la Révolution française, on peut écouter la synthèse de Jean-Michel Leniaud lors des questions du public de la conférence d'ouverture du séminaire de recherche Histoire de la pédagogie de la création artistique : état de l'art et perspectives [après la 81e minute] du 14 octobre 2016. « Cette distinction de lieux et d'enseignements [entre les arts décoratifs, puis les arts appliqués, avec ce qui était encore les beaux-arts avant 1968] est le résultat de l'histoire et répond aussi à une certaine idéologie. Dans l'esprit de ceux qui ont conçu cette distinction, il y avait l'idée d'une supériorité considérable, en terme professionnel, entre les beaux-arts et les arts appliqués. » 1h23m44
  3. Stéphane Laurent, L'Art utile, les écoles d'art sous le Second Empire et la Troisième République, Paris, L'Harmattan, 1998.
  4. Cet article est issu de la Liste des Ă©coles d'art en France.
  5. « […] les arts visuels constituent un système d'interprétation du monde qui inclut la pensée, le mythe, la mémoire, la sensibilité la plus singulière, la conscience de l'histoire… Mais la perception de toutes ces strates de signification passe par le regard. On ne peut approcher de ce système qu'au prix d'un effort, comme on ne peut saisir le sens d'un texte qu'après l'avoir lu, mot après mot. »

    — Roland Recht, « Apprendre à voir », dans « L'art à l'école : le patrimoine », Paris, 2002, p. 18, Beaux-Arts magazine. numéro spécial (ISSN 0757-2271)

    Voir aussi Hans Belting, Résumé du cours au Collège de France : 2002-2003, Paris, 2004 (pdf en ligne).
  6. Le Répertoire national des certifications professionnelles les répartit traditionnellement entre plusieurs catégories, comme les professionnels des arts, professionnels du spectacle, professionnels de l'intervention sociale et culturelle, personnel des industries des matériaux souples (textile, habillement, cuir), personnel des industries graphiques, personnel des industries de l'ameublement et du bois, personnel artisanal de l'habillement, du cuir et du textile, personnel du travail artisanal des matériaux, personnel artisanal divers, etc.
  7. Voir, en archive, l'ancien site des formations aux métiers d'art.
  8. Sans compter les pratiques considérées comme populaires (voir Carole Launai, De la bricole à l’œuvre, dans Les Peuples de l'art, Paris, 2006) ou amateurs et ce qui relève du sport ou des activités de loisirs, d'occupation.
  9. Voir Enseignement artistique spécialisé en France.
  10. L'ONISEP les classe, pour le secteur d'activités arts, culture, artisanat, en domaines suivants : Activités culturelles, Artisanat d'art, Arts appliqués, Arts du spectacle, Arts graphiques, Arts plastiques.
  11. Voir sur culture.gouv.fr.
  12. Voir sur artisanat.info. et « http://www.metiersdart-artisanat.com/1-19131-Formation-pour-adultes.php?cas=dom »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?) (consulté le ).
  13. Pour les arts du goût, voir sur thales.crdp-nantes.fr.
  14. Voir sur le site etudiant.aujourdhui : Le métier de parfumeur.
  15. Pour les lieux de formation des paysagistes, voir aussi, par exemple, sur f-f-p.org.
  16. Voir Art-thérapie, par exemple, à ce sujet.
  17. Voir l'affirmation d'Hergé, parmi de nombreux cas, dans les extraits de ses entretiens avec Francis Lacassin et Sylvie Andreu : Hergé à la Sorbonne diffusé sur France Culture le 22 mars 1974.
  18. Cf. Nikolaus Pevsner, Les Académies d'art, p. 193-194 et suivantes (1re éd. anglaise 1940). Voir aussi Nathalie Heinich, 1996.
  19. Listes des écoles supérieures d'art et Association nationale des écoles supérieures d'art et design publiques
  20. Cour des comptes, L'Enseignement supérieur en arts plastiques : Communication à la commission des finances du Sénat, , 194 p. (lire en ligne [PDF])
  21. École supérieure d'art Annecy Alpes (ESAAA)
  22. École Média Art du Grand Chalon (EMA fructidor)
  23. Campus Caraïbéen des Arts
  24. Les écoles supérieures d'art de la Ville de Paris
  25. École européenne supérieure de l'image (ÉESI)
  26. École européenne supérieure d’art de Bretagne (EESAB)
  27. Est, depuis 2011, un site de l'École supérieure européenne d'art de Bretagne (EPCC regroupant les écoles de Rennes, Quimper, Lorient, Brest).
  28. École supérieure d'art et design Le Havre-Rouen (ESADHaR)
  29. École supérieure d'art de Lorraine (ESA Lorraine)
  30. École Supérieure d'Art Nord - Pas de Calais / Dunkerque - Tourcoing (Esä)
  31. Haute École des arts du Rhin (HEAR)
  32. ESA Pyrénées
  33. École supérieure d'art et de design - Tours Angers Le Mans (Esad TALM)
  34. Les caractéristiques de l'enseignement universitaire sont : une grande liberté des étudiants et des enseignants, la diversité des cours, la facilité d'accès (pas de concours d'entrée) et la possibilité de poursuivre des recherches théoriques. Cependant, le manque d'objectifs professionnels et d'encadrement des étudiants en est parfois le pendant.
  35. Il y a tout de même des exceptions. Outre les sections particulières (cinéma, photo), les facs d'arts plastiques sont souvent équipées pour la création multimédia, domaine où elles sont historiquement pionnières.
  36. UFR d'arts
  37. « Le DN MADE : une nouvelle formation à la rentrée 2019 », sur www.onisep.fr, Onisep,
  38. « APPEA, le réseau des prépas publiques », sur https://www.appea.fr/ (consulté le )
  39. « L'année préparatoire aux écoles d'art », Onisep,‎ (lire en ligne)
  40. Mathieu Oui, « 10 questions pour bien choisir sa prépa aux écoles d'art », Le Journal des Arts - L'ŒIL n°718,‎ (lire en ligne)
  41. Cf.
  42. « La prépa arts et design », Onisep,‎ (lire en ligne)
  43. Décret n° 2018-367 du 18 mai 2018 relatif au diplôme national des métiers d'art et du design
  44. « DN MADE, MANAA et Prépa Design : quelles différences ? », sur dn-made.com (consulté le )
  45. Martin Rhodes, « Arts appliqués : la mise en œuvre du DN MADE vire au casse-tête », sur www.letudiant.fr/educpros,
  46. Plusieurs cas particuliers sont toutefois à noter : les écoles ou les BTS d'arts appliqués qui privilégient les élèves ayant suivi la filière du secondaire, certaines écoles consulaires qui recrutent plutôt niveaux L2 ou L3, les concours de l'ENS, etc.
  47. Voir, par exemple, quelques écoles de cinéma, design ou mode sur le site letudiant.fr.
  48. Voir le programme de l'enseignement d'exploration Création et activités artistiques, concernant les arts visuels, les arts du son, les arts du spectacle, et le patrimoine.
  49. Voir dans le Programme de l'enseignement facultatif d'arts les domaines artistiques concernés : arts plastiques, cinéma, danse, histoire des arts, musique et théâtre.
  50. Voir le programme et la grilles horaires.
    • Amiens (Somme) : lycĂ©e Louis-Thuillier
    • Anglet (PyrĂ©nĂ©es-Atlantiques) (Bayonne) : lycĂ©e Cantau
    • Aurillac (Cantal) : lycĂ©e de la Communication Saint-GĂ©raud (privĂ©)
    • Bordeaux (Gironde) : Le Mirail (privĂ©)
    • Boulogne-sur-Mer (Pas-de-Calais) : lycĂ©e Mariette
    • Brest (Finistère) : lycĂ©e Vauban
    • Congis-sur-ThĂ©rouanne (Seine-et-Marne) (proximitĂ© de Meaux) : lycĂ©e Le GuĂ© Ă  Tresmes
    • Libourne (Gironde) : lycĂ©e Max-Linder
    • Lodève (HĂ©rault) : lycĂ©e Joseph-Vallot (public)
    • Lyon (RhĂ´ne) : lycĂ©e La Martinière Diderot/Terreaux, lycĂ©e Jean-Paul-Sartre (Ă  Bron), Arts appliquĂ©s Bellecour
    • Montreuil (Seine-Saint-Denis) lycĂ©e EugĂ©nie-Cotton
    • Nantes (Loire-Atlantique) : lycĂ©e Livet
    • Nantes (Loire-Atlantique) : lycĂ©e La Joliverie (privĂ©)
    • Paris : lycĂ©e Auguste Renoir
    • Paris : Institut Sainte-Geneviève rue d'Assas 6e(privĂ©)
    • Paris : lycĂ©e Maximilien Vox
    • PĂ©rigueux (Dordogne) : lycĂ©e Albert-Claveille
    • Quimper (Finistère) : lycĂ©e Leparaclet (privĂ©)
    • Reims (Marne) : lycĂ©e Marc-Chagall
    • Rennes (Ille-et-Vilaine) : lycĂ©e Sainte-Geneviève (privĂ©)
    • Rennes (Ille-et-Vilaine) : lycĂ©e Brequigny
    • Rodez (Aveyron) : lycĂ©e François d'Estaign
    • Roubaix (Nord): E.S.AA.T
    • Rouen (Seine-Maritime): lycĂ©e Jeanne-d'Arc
    • Saint-Étienne (Loire) : lycĂ©e HonorĂ©-d'UrfĂ©
    • Sèvres (Hauts-de-Seine) : lycĂ©e Jean-Pierre-Vernant (ex-lycĂ©e d'État de Sèvres), lycĂ©e de Sèvres
    • ThĂ´nes (Haute-Savoie) (proximitĂ© Annecy) : lycĂ©e Saint-Joseph (privĂ©)
    • Toulouse (Haute-Garonne) : lycĂ©e des Arènes
    • Tours (Indre-et-Loire) : lycĂ©e Choiseul
    • TrĂ©guier (CĂ´tes-d'Armor) : lycĂ©e Joseph-Savina
    • Valence (DrĂ´me) : lycĂ©e Montplaisir (privĂ©)
    • Vincennes (Val-de-Marne) : EBTP (semi-privĂ©)

    Lycée professionnel (BP, BMA, CAP, Bac Pro)

    Avec l'enseignement d'exploration Création et culture design puis de l'enseignement pour le cycle terminal Design et arts appliqués.
  51. Voir en particulier l'option communication visuelle pluri-média.
  52. Voir « http://www2.educnet.education.fr/histoiredesarts/ »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?) (consulté le )
  53. Voir le site de l'IRMA.

Voir aussi

Articles connexes

Liens externes

Cet article est issu de wikipedia. Text licence: CC BY-SA 4.0, Des conditions supplémentaires peuvent s’appliquer aux fichiers multimédias.