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MO.CO. Esba

L’École supĂ©rieure des beaux-arts de Montpellier (MO.CO. Esba) est un Ă©tablissement public d’enseignement supĂ©rieur et de recherche Ă  vocation artistique qui relĂšve de la tutelle pĂ©dagogique du ministĂšre de la Culture et de la Communication. Depuis l'annĂ©e 2011, l'Ă©cole est un Établissement public de coopĂ©ration culturelle (EPCC) qui associe des partenariats[1] avec la communautĂ© urbaine Montpellier MĂ©diterranĂ©e MĂ©tropole, le ministĂšre de la Culture et aux travers des projets « FEDER », la RĂ©gion Languedoc-Roussillon et l'Union europĂ©enne[2]. Elle est membre de l’Association nationale des Ă©coles supĂ©rieures d’art[3] regroupant les 43 Ă©coles supĂ©rieures d’art rĂ©parties sur 56 villes en France et Ă  Monaco.

MO.CO. Esba (École supĂ©rieure des beaux-arts de Montpellier).
Histoire
Fondation
1249
Chiffres-clés
Étudiants
184 Ă©tudiants.
Enseignants
23 professeurs titulaires.
Localisation
Pays
Campus
130 rue Yehudi Menuhin.
Ville
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Histoire

C'est au XIIe siĂšcle que l'enseignement de l'art est inclus Ă  l'universitĂ©. L'École de droit et des arts fut crĂ©Ă©e officiellement en 1249, par une bulle pontificale, puis intĂ©grĂ©e de ses premiers statuts, le , Ă  l'universitĂ© de Montpellier par la bulle papale « Quia Sapientia » en regroupant le droit, la mĂ©decine et les arts (trivium et quadrivium)[4].

RĂ©gentĂ© durant des annĂ©es par des collĂ©giales, c'est en 1679, que Jean de Troy[5] (1638-1691) est nommĂ© premier directeur de l'École de peinture de Montpellier par le cardinal Pierre de Bonzi (1631-1703)[6] - [7]. Ce peintre qui demeura entre vingt et trente ans Ă  Montpellier est l'artisan d'un enseignement de l'art dans la ville. Puis c'est François-Xavier Fabre (1766-1837) qui donnera son nom au musĂ©e et dont l'Ă©cole se situe dans les locaux situĂ© sur le boulevard Bonne Nouvelle, Ă  proximitĂ© de l'Esplanade Charles-de-Gaulle.

L'École de peinture de Montpellier devient la SociĂ©tĂ© des beaux-arts de Montpellier en 1779. La ville va crĂ©er en 1872 l'École municipale des beaux-arts et par arrĂȘtĂ© ministĂ©riel de 1882, elle devient l'École rĂ©gionale des beaux-arts et obtient des subventions de l'État. Elle devient ainsi la quatriĂšme Ă©cole rĂ©gionale d'art aprĂšs Lyon, Toulouse et Marseille[8].

Durant l'annĂ©e 1977, l'École rĂ©gionale des beaux-arts devient l'École supĂ©rieure des beaux-arts de Montpellier et dĂ©livre le diplĂŽme national supĂ©rieur d’expression plastique (DNSEP), option art[9].

L’établissement s’implante dĂ©finitivement en centre ville, en 1984, et donne son nom au quartier des « Beaux-Arts »[10].

En 2011[11], l’École supĂ©rieure des beaux-arts de Montpellier prend la forme juridique d’un Ă©tablissement public de coopĂ©ration culturelle (EPCC)[12]. Elle enregistre, cette mĂȘme annĂ©e, un record de rĂ©ussite de 100 % au DiplĂŽme National d’Arts Plastiques (DNAP - 3e annĂ©e)[13].

Durant l'annĂ©e 2018, l’École SupĂ©rieure des beaux-arts intĂšgre le projet initiĂ© par la ville « MO.CO. - Montpellier Contemporain », une structure multi-sites consacrĂ©e Ă  l’art contemporain, qui inclut Ă©galement le centre d'art « MO.CO. PanacĂ©e »[14] et le « MO.CO. HĂŽtel des collections », disposant d'une surface de 3 500 m2 dans l'ancien HĂŽtel Montcalm, prĂšs de la gare de Montpellier-Saint-Roch[15] - [16]. Vanessa Bruno, styliste et chef d’entreprise en est la PrĂ©sidente. Nicolas Bourriaud, critique d’art, cofondateur du Palais de Tokyo et ancien Directeur de l’École des Beaux-Arts de Paris, en est le Directeur[16].

Depuis , le maire de Clapiers, Éric Penso est nommĂ© Ă  la prĂ©sidence de l'Ă©tablissement[17]. En 2021, Numa Hambursin, auteur, critique d'art et commissaire d'exposition, devient le nouveau directeur[18].

Enseignement

Une des salles d'informatique du MO.CO.ESBA.

Le MO.CO. Esba propose aux Ă©tudiants un environnement mĂ©thodologique et scientifique ayant pour objectif de dĂ©velopper les capacitĂ©s de crĂ©ation et acquĂ©rir progressivement et durablement l'autonomie nĂ©cessaire pour l'avenir des auteurs et des crĂ©ateurs. Les Ă©tudiants doivent ĂȘtre aptes Ă  exercer une activitĂ© professionnelle dans les domaines de l'art, de la crĂ©ation, de la culture ou de l'enseignement.

L'essentiel des axes dominants de l’établissement sont[19] :

  • Une Ă©quipe pluridisciplinaire et expĂ©rimentĂ©e d'enseignants, comprenant nombre d’artistes et de chercheurs ;
  • Un prĂ©sentiel quotidien de professionnels et d’artistes ;
  • Une organisation rĂ©guliĂšre de confĂ©rences rĂ©alisĂ©s par des personnalitĂ©s invitĂ©es ;
  • La communication des Ă©tudiants avec les anciens diplĂŽmĂ©s ;
  • La rencontre avec d'autres Ă©tablissements d'enseignement supĂ©rieur, dont les universitĂ©s et les Ă©coles d'art ;
  • Le contact avec le monde des entreprises, des expositions et des Ă©ditions ;
  • Un parc de matĂ©riels permettant la rĂ©alisation des projets les plus Ă©laborĂ©s.

Des bilans individuels sont organisés, chaque semestre, sous forme de réunion pour suivre les travaux des étudiants. Ces derniers permettent d'évaluer l'engagement personnel aux travers d'une prestation orale sur la détermination, l'évolution et la singularité du parcours en cours ainsi que des évolutions dans le travail réalisé. Conçus comme une approche pédagogique, le but des bilans est d'apporter une progression individuelle et personnalisée[20].

Concours d'admission

L'admission est rĂ©servĂ©e aux Ă©tudiants ĂągĂ©s de 18 ans rĂ©volus et 35 ans au maximum. Le dĂ©pĂŽt du dossier se fait avant la fin du premier trimestre de l'annĂ©e, les Ă©preuves se dĂ©roulent au dĂ©but du deuxiĂšme trimestre et les rĂ©sultats sont publiĂ©s dans les journĂ©es suivantes. Les candidats doivent ĂȘtre titulaire d'un baccalaurĂ©at ou d’un titre Ă©quivalent au baccalaurĂ©at français ou Ă©tranger. Le concours se dĂ©roule autour de deux Ă©preuves. L'une Ă©crite portant sur la culture gĂ©nĂ©rale et l'expression plastique. L'autre orale, auprĂšs d'un jury, pour argumenter sur la base de la prĂ©sentation d’un dossier personnel.

Le dossier d'inscription est accessible sur le site de l'Esba[21].

DiplĂŽmes

Le MO.CO. Esba forme à deux diplÎmes nationaux agréés par le ministÚre de la Culture et un DiplÎme d'établissement.

Il correspond Ă  un niveau d’études bac + 3 et valide les trois premiĂšres annĂ©es du cursus correspondant Ă  la phase programme.
Ce diplĂŽme sanctionne le suivi et la rigueur de l’implication dans le cursus artistique et valide la capacitĂ© de l’étudiant Ă  s’engager dans un travail personnel et argumentĂ©.
Il correspond Ă  un niveau d’études bac + 5 avec un grade de Master en Ă©cole d’art et ne peut ĂȘtre acquis qu'aprĂšs l'obtention du diplĂŽme national d’arts plastiques (DNAP). Le DNSEP est inscrit au rĂ©pertoire national des certifications professionnelles (RNCP).
Le DNSEP valide la capacitĂ© de l’étudiant Ă  affirmer une pratique personnelle, Ă  dĂ©velopper des propositions plastiques et conceptuelles originales et Ă  s’inscrire dans des projets de recherche.
  • « Saison 6 », post-diplĂŽme rĂ©servĂ© aux Ă©tudiants du MO.CO.ESBA ayant obtenu leur DNSEP dans les 3 annĂ©es prĂ©cĂ©dentes. Ce diplĂŽme est un diplĂŽme d’établissement et n’est pas comptabilisĂ© dans le cursus Licence-Master-Doctorat.

Dotation de crédits européens

Une dotation en crĂ©dits europĂ©ens (ECTS) a Ă©tĂ© mise en place pour 33 semaines de cours rĂ©parties en deux semestres reprĂ©sentant une annĂ©e universitaire.

Le nombre maximum de crĂ©dits europĂ©ens pouvant ĂȘtre attribuĂ©s pour chacun des semestres est de 30.

L'accession de l’étudiant au semestre suivant implique l’obtention d’au moins 24 crĂ©dits europĂ©ens, Ă  l’exception du passage au semestre 3, qui doit nĂ©cessiter d’obtenir 60 crĂ©dits, du passage au semestre 6, qui demande de possĂ©der 150 crĂ©dits et du passage au semestre 10, qui requiert l'obtention de 270 crĂ©dits.

Pour obtenir des crĂ©dits manquants du semestre prĂ©cĂ©dent, il peut ĂȘtre accordĂ© six crĂ©dits compensatoires par une concertation collĂ©giale des enseignants de l’annĂ©e concernĂ©e, en fonction de l’engagement avĂ©rĂ© de l’étudiant.

Quel que soit le cursus choisi, l’étudiant ayant Ă  disposition 120 crĂ©dits europĂ©ens Ă  l’issue des quatre premiers semestres, obtient le certificat d’études d’arts plastiques (CEAP) qui lui est dĂ©livrĂ© par le directeur de l’établissement.

Tous les crĂ©dits europĂ©ens correspondant Ă  un cycle, ils sont validĂ©s avant la prĂ©sentation de ce diplĂŽme, hors crĂ©dits attachĂ©s aux Ă©preuves du diplĂŽme. Aucun crĂ©dit ne peut ĂȘtre substituĂ© Ă  ceux attachĂ©s Ă  la rĂ©ussite des Ă©preuves du diplĂŽme.

Le redoublement pour les Ă©tudiants n’ayant pas obtenu le nombre minimum de crĂ©dits europĂ©ens requis pour le passage aux semestres 3, 5, 7 et 9 ou pour la prĂ©sentation du diplĂŽme est soumis Ă  l’autorisation exclusive du conseil pĂ©dagogique de l’établissement (CPE).

Les Ă©tudiants n'ayant pas acquis tous les crĂ©dits europĂ©ens aux Ă©preuves des diplĂŽmes sont autorisĂ©s Ă  s’inscrire une seule et unique fois dans l’établissement[20].

Recherche

L'unité de recherche (UR) est établie sous le nom de projet ELanS[19] : Espaces, subjectivités et langages. Il est construit sur un tronc commun pour déployer ou associer la multiplicité d'activités de recherche en art, au sein du MO.CO.ESBA et en rapport avec son contexte local, régional, national et international.

Dans la continuité des évolutions des derniÚres années, la recherche est une mise en crise des pratiques artistiques habituelles par l'adoption et l'invention de nouvelles méthodes pour faire face à de nouvelles problématiques.

Par définition, la recherche ne peut se confondre avec la pédagogie et garde une spécificité quant à la nature de ses activités, objectifs, méthodes et des résultats attendus.

Cette relative autonomie de recherche n'est pourtant aucunement de l'ordre d'une absolue indépendance ni de l'autarcie. Ce sont les enseignants qui font la recherche et c'est l'ensemble de l'équipe pédagogique qui élabore collectivement les voies d'explorations. Lesquelles sont associées aux contenus des enseignements qu'ils dispensent. Cette approche est quotidiennement validée par le conseil pédagogique et de recherche (CPR), le conseil scientifique pédagogique et de la recherche (CSPVE) et le conseil d'administration (CA).

Personnalités liées

Liste non exhaustive, classée en ordre croissant d'années de naissances.

Directeurs

Professeurs

Anciens professeurs
  • Jean Antoine Giral (1713-1787), en section architecture ;
  • Jean Coustou (1719-1791)[24], en section peinture ;
  • Jean Louis Journet (1720-1789)[24], en section sculpture ;
  • Dominique Joseph Vanderburch (1722-1785), en section peinture ;
  • Jacques Donnat (1742-1824)[24], en section architecture ;
  • Jacques AndrĂ© Édouard Vanderburch (1756-1804)[24], en section peinture ;
  • Charles Matet (1791-1870), en section peinture ;
  • Ernest Michel (1833-1902), en section peinture ;
  • Antonin Trinquier (1833-XIXe siĂšcle)[24], en section peinture ;
  • Édouard Marsal (1845-1929), en section peinture ;
  • Louis-Jacques Guigues (1873-1943)3e_RĂ©publique_Ă _l'École_des_Beaux-Arts_de_Montpellier_de_Bernard_Derrieu4_22-1">[22], en section sculpture ;
  • Georges Dezeuze (1905-2004) en 1945[25], dans la section peinture ;
  • Pierre Nocca (1916-2016), de 1965 Ă  1985 en section sculpture ;
  • Alain ClĂ©ment (1941-), de 1970 Ă  1977 ;
  • Daniel Dezeuze (1942-), de 1977 Ă  2002.
Professeurs actuels
  • Marcos Ávila Forero (dessin) ;
  • Caroline Boucher (sculpture, installation) ;
  • Gilles Balmet (dessin, peinture) ;
  • LĂŠtitia Delafontaine (volume, installation) ;
  • JoĂ«lle Gay (sculpture, moulage, installation) ;
  • Corine Girieud (thĂ©orie, histoire de l’art) ;
  • Yohann Gozard (photographie, image) ;
  • Sylvain Grout (vidĂ©o, cinĂ©ma, son, installation) ;
  • Miles Hall (enseignement en anglais : peinture) ;
  • Pierre Joseph (volume, installation) ;
  • Alain Lapierre (dessin, Ă©dition) ;
  • Nadia Lichtig (enseignement en anglais : peinture, installation, son) ;
  • Michel Martin (informatique, Infographie, multimĂ©dia) ;
  • Yann MazĂ©as (vidĂ©o, cinĂ©ma, installation) ;
  • Caroline Muheim (dessin, Ă©criture) ;
  • GrĂ©gory Niel (sculpture, installation) ;
  • Patrick Perry (thĂ©orie, histoire de l’art) ;
  • Michael Viala (volume) ;
  • Federico Vitali (vidĂ©o, cinĂ©ma, images animĂ©es) ;
  • Carmelo Zagari (peinture).

Élùves notables

Galerie

  • L'entrĂ©e principale.
    L'entrée principale.
  • Vue des bĂątiments.
    Vue des bĂątiments.
  • L'unitĂ© de recherche.
    L'unité de recherche.
  • L'espace dĂ©tente.
    L'espace détente.
  • L'espace dĂ©tente et rĂ©union en plein air.
    L'espace détente et réunion en plein air.
  • Statue Ă  l'entrĂ©e.
    Statue à l'entrée.

Notes et références

  1. Établissements et partenaires, sur le site de l'ESBAMA (consultĂ© le 10 octobre 2016).
  2. Les fonds européen de développement régional (FEDER), sur le site de l'europe-en-france.gouv.fr (consulté le 10 octobre 2016).
  3. « PrĂ©sentation de l'association », sur ANdÉA (consultĂ© le ).
  4. Instruction publique, sciences et arts, sur le site des archives de pierresvives (consulté le 12 octobre 2016).
  5. Jean Troy (1638-1691), sur le site des Musées de Midi-Pyrénées (consulté le 9 octobre 2016).
  6. Charles d'Aigrefeuille, Histoire de la ville de Montpellier, depuis les origines
, chez Jean Martel imprimeur du roy, 1739 2e partie.
  7. Jean Pierre Thomas et EugÚne Thomas, Mémoires historiques sur Montpellier et sur le département de l'Hérault, Paris, Gabon, , XII, fig. et carte, 468, in-8° (OCLC 27142390, BNF 31460839, SUDOC 007587732, présentation en ligne, lire en ligne), p. 204 (consulté le 19 novembre 2018).
  8. [PDF] L’école des Beaux-arts dans l’histoire, sur le site de l'ESBAMA (consultĂ© le 12 octobre 2016).
  9. L'ESBAMA, sur le site de l'artcontemporain-languedocroussillon.fr (consulté le 12 octobre 2016).
  10. L'histoire du Quartier des Beaux-Arts, sur le site de l'Association Beaux-Arts et Pierre Rouge (consulté le 9 octobre 2016).
  11. L'École supĂ©rieure des beaux-arts (ESBAMA), sur le site de Montpellier MĂ©diterranĂ©e MĂ©tropole (consultĂ© le 12 octobre 2016).
  12. L'ESBAMA, l'histoire, sur le site de l'air de Midi (consulté le 12 octobre 2016).
  13. « École supĂ©rieure des beaux-arts de Montpellier agglomĂ©ration : 100 % de rĂ©ussite », Harmonie, Imp. Chirripo, Montpellier AgglomĂ©ration, no 285,‎ , p. 9/48 (prĂ©sentation en ligne, lire en ligne [PDF], consultĂ© le ) (consultĂ© le 10 juillet 2018).
  14. Le projet, publié sur le site de lapanacee.org (consulté le 30 août 2018).
  15. MoCo, Montpellier Contemporain, publié sur le site de Montpellier Méditerranée Métropole (consulté le 30 août 2018).
  16. « L'hÎtel Montcalm, futur quartier général de l'art contemporain », publié le par Nicolas Bonzom, sur le site de 20 Minutes (consulté le 30 août 2018).
  17. Élodie Pochat, « Éric Penso : C’est un engagement de ma part, je le fais par passion ! », sur artistikrezo.com, (consultĂ© le ).
  18. Anne Devailly, « Arts : à Montpellier, le retour de Numa Hambursin », sur Le Monde, (consulté le ).
  19. Liste des Ă©coles : École supĂ©rieure des beaux-arts de Montpellier MĂ©diterranĂ©e MĂ©tropole, sur le site de l'ANdÉA (consultĂ© le 10 octobre 2016).
  20. Cursus livret de l'étudiant, sur le site de l'ESBAMA (consulté le 11 octobre 2016).
  21. Concours d'entrée, sur le site de l'ESBAMA (consulté le 11 octobre 2016).
  22. 3e_RĂ©publique_Ă _l'École_des_Beaux-Arts_de_Montpellier_de_Bernard_Derrieu4-22" class="mw-reference-text">Note du livre de l'art selon la 3e RĂ©publique Ă  l'École des Beaux-Arts de Montpellier de Bernard Derrieu, p. 4.
  23. Camille Descossy (1904-1980), sur le site de l'art contemporain en Languedoc-Roussillon (consulté le 24 octobre 2016).
  24. Note du livre de la Société des beaux-arts de 1779-1787 d'Henri Stein., p. 15.
  25. Biographie de Georges Dezeuze, sur le site de méridianes éditions (consulté le 24 octobre 2016).
  26. Pierre Soulages : « Je me fous de ma mort, tant que mes toiles vivent ».
  27. SoubÚs : Gaston-Bernard Arnal, veut perpétuer l'état d'esprit de Paul Dardé, publié le sur le site du Midi-Libre (consulté le 24 juillet 2019).

Voir aussi

Bibliographie

  • Henri Stein, La SociĂ©tĂ© des beaux-arts de Montpellier 1779-1787 : Extrait des archives de l'art français, t. VII, Paris, Imp. Daupeley-Gouverneur, , 39 p. (lire en ligne [PDF]). Ouvrage utilisĂ© pour la rĂ©daction de l'article.
  • Bernard Derrieu, L'art selon la TroisiĂšme RĂ©publique Ă  l'École des Beaux-Arts de Montpellier, Montpellier, Études hĂ©raultaises, , 7 p. (prĂ©sentation en ligne, lire en ligne [PDF]). Ouvrage utilisĂ© pour la rĂ©daction de l'article.
  • Jean ClaparĂšde, Houdon et la SociĂ©tĂ© des beaux-arts de Montpellier (1779-1784), Montpellier, Études hĂ©raultaises, , 10 p. (prĂ©sentation en ligne, lire en ligne [PDF]).
  • AurĂ©lie L’Hermet, L’École des beaux-arts de Montpellier pendant la pĂ©riode d’entre deux guerres, Montpellier, UniversitĂ© Paul ValĂ©ry (Montpellier 3), .

Articles connexes

Liens externes

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