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Sceaux-du-GĂątinais

Sceaux-du-Gùtinais est une commune française située dans le département du Loiret en région Centre-Val de Loire.

Sceaux-du-GĂątinais
Sceaux-du-GĂątinais
La mairie.
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Centre-Val de Loire
DĂ©partement Loiret
Arrondissement Montargis
Intercommunalité Communauté de communes des Quatre Vallées
Maire
Mandat
CĂ©line Gadois
2020-2026
Code postal 45490
Code commune 45303
DĂ©mographie
Gentilé Scéléens
Population
municipale
626 hab. (2020 en diminution de 3,1 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 20 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 48° 06â€Č 18″ nord, 2° 35â€Č 50″ est
Altitude Min. 77 m
Max. 101 m
Superficie 31,72 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
DĂ©partementales Canton de Courtenay
LĂ©gislatives QuatriĂšme circonscription
Localisation
GĂ©olocalisation sur la carte : France
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Sceaux-du-GĂątinais
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Sceaux-du-GĂątinais
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Sceaux-du-GĂątinais
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Sceaux-du-GĂątinais

    Ses habitants sont appelés les Scéléen(ne)s[1].

    GĂ©ographie

    Localisation et communes limitrophes

    Carte de la commune de Sceaux-du-GĂątinais et des communes limitrophes.

    La commune de Sceaux-du-GĂątinais se trouve dans le quadrant nord-est du dĂ©partement du Loiret, dans la rĂ©gion agricole du GĂątinais riche[2]. À vol d'oiseau, elle se situe Ă  55,9 km d'OrlĂ©ans[3], prĂ©fecture du dĂ©partement, Ă  16,3 km de Montargis[4], sous-prĂ©fecture, et Ă  14,5 km de FerriĂšres-en-GĂątinais, ancien chef-lieu du canton dont dĂ©pendait la commune avant . La commune fait partie du bassin de vie de Beaune-la-Rolande[5] dont elle est Ă©loignĂ©e de 13,0 km[6].

    Les communes les plus proches sont : Courtempierre (1,6 km), Mondreville (4,2 km, en Seine-et-Marne), Bordeaux-en-GĂątinais (5,3 km), Corbeilles (5,4 km), Treilles-en-GĂątinais (5,7 km), Mignerette (5,8 km), MignĂšres (6,8 km), PrĂ©fontaines (km), Lorcy (7,2 km), Gondreville (7,5 km), Auxy (9,1 km), ChĂąteau-Landon (9,2 km), Beaumont-du-GĂątinais (9,6 km) et Gironville (10,3 km)[7].

    Communes limitrophes de Sceaux-du-GĂątinais
    Beaumont-du-GĂątinais
    (Seine-et-Marne)
    Gironville, Mondreville
    (Seine-et-Marne)
    ChĂąteau-Landon
    (Seine-et-Marne)
    Auxy Sceaux-du-GĂątinais Courtempierre
    Bordeaux-en-GĂątinais Corbeilles

    Routes et transports

    Les routes départementales 141 et 841 empruntent le territoire de la commune.

    Lieux-dits et Ă©carts

    La RiviÚre, La Maison Blanche, La Fosse, Le Mesnil, la BottiÚre, le Ponceau, le Gué des Pierres, la Mérie, le Buisson, Vattereau, Paucour, Trivernoux.

    GĂ©ologie

    La commune se situe dans le sud du Bassin parisien, le plus grand des trois bassins sĂ©dimentaires français. Cette vaste dĂ©pression, occupĂ©e dans le passĂ© par des mers peu profondes et des lacs, a Ă©tĂ© comblĂ©e, au fur et Ă  mesure que son socle s’affaissait, par des sables et des argiles, issus de l’érosion des reliefs alentours, ainsi que des calcaires d’origine biologique, formant ainsi une succession de couches gĂ©ologiques[8].

    Les couches affleurantes sur le territoire communal sont constituĂ©es de formations superficielles du Quaternaire et de roches sĂ©dimentaires datant du CĂ©nozoĂŻque, l'Ăšre gĂ©ologique la plus rĂ©cente sur l'Ă©chelle des temps gĂ©ologiques, dĂ©butant il y a 66 millions d'annĂ©es. La formation la plus ancienne est des sables et grĂšs de Fontainebleau remontant Ă  l’époque OligocĂšne de la pĂ©riode PalĂ©ogĂšne. La formation la plus rĂ©cente est des alluvions rĂ©centes des lits mineurs remontant Ă  l’époque HolocĂšne de la pĂ©riode Quaternaire. Le descriptif de ces couches est dĂ©taillĂ© dans la feuille « n°329 - ChĂąteau-Landon » de la carte gĂ©ologique au 1/50 000Ăšme du dĂ©partement du Loiret[9] - [10] et sa notice associĂ©e[11].

    Carte géologique de la commune.
    Ère PĂ©riode Époque Formations gĂ©ologiques
    CĂ©nozoĂŻque
    (0 - 66.0)
    Quaternaire
    (0 - 2.58)
    HolocĂšne
    Fz :alluvions récentes des lits mineurs, HolocÚne
    PléistocÚne
    NĂ©ogĂšne
    (2.58 - 23.03)
    PliocÚne non présent
    MiocÚne non présent
    PaléogÚne
    (23.03 - 66.0)
    OligocĂšne
    g1CEt :calcaire d'Étampes, Stampien supĂ©rieur
    g1SF :sables et grĂšs de Fontainebleau, Stampien
    ÉocĂšne non prĂ©sent
    PaléocÚne non présent

    Relief

    La superficie cadastrale de la commune publiĂ©e par l’Insee, qui sert de rĂ©fĂ©rences dans toutes les statistiques, est de 31,72 km2[12] - [Note 1]. La superficie gĂ©ographique, issue de la BD Topo, composante du RĂ©fĂ©rentiel Ă  grande Ă©chelle produit par l'IGN, est quant Ă  elle de 31,63 km2[10]. Son relief est relativement plat puisque la dĂ©nivelĂ©e maximale atteint 24 mĂštres. L'altitude du territoire varie entre 77 m et 101 m[15].

    Toponymie

    L'appellation « du Gùtinais » a été accolée au nom de la commune en 1905[16].

    Histoire

    Antiquité

    À l'Ă©poque du Haut Empire romain, l'agglomĂ©ration Ă©tait le siĂšge d'un important sanctuaire de source de la dĂ©esse SĂ©geste, connu sous le nom d'Aquis Segeste[17].

    Moyen Âge

    En 941, le chevalier Lisiard Le Riche donne son domaine de Sceaux en précaire à l'abbaye de Saint-Benoßt-sur-Loire[18].

    Vers 1118, Haymon de Jallemain, deuxiÚme fils de Geoffroy de Gien[19] - [20] et de Doë, dame de Jallemain, est seigneur de Sceaux-du-Gùtinais et en ratifie la cession par son vassal Robert Bonet, aux moines de Néronville. Geoffroy (Geoffroy Ier de Jallemain), leur fils, se porte témoin en 1140 de la donation du péage de Sceaux par Adam de Chailly[21].

    Ancien RĂ©gime

    Sous l'Ancien RĂ©gime, Sceaux dĂ©pendait de l'archidiaconĂ© du GĂątinais et de l'archevĂȘchĂ© de Sens[22] - [23].

    Époque contemporaine

    Entre le et le , plus de 2 800 rĂ©fugiĂ©s espagnols fuyant l'effondrement de la rĂ©publique espagnole devant les troupes de Franco, arrivent dans le Loiret. Devant l'insuffisance des structures d'accueil d’OrlĂ©ans, 46 centres d’accueil ruraux sont ouverts[24], dont un Ă  Sceaux-du-GĂątinais[25].

    Les réfugiés, essentiellement des femmes et des enfants (les hommes sont désarmés et retenus dans le Sud de la France), sont soumis à une quarantaine stricte, vaccinés, le courrier est limité, et le ravitaillement, s'il est peu varié et cuisiné à la française, est cependant assuré[26].

    Une partie des réfugiés rentrent en Espagne, incités par le gouvernement français qui facilite les conditions du retour, ceux préférant rester sont regroupés au camp de la verrerie des Aydes, à Fleury-les-Aubrais[25].

    Urbanisme

    Typologie

    Sceaux-du-Gùtinais est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2] - [27] - [28] - [29]. La commune est en outre hors attraction des villes[30] - [31].

    Occupation des sols

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (93,5 % en 2018), une proportion identique Ă  celle de 1990 (93,5 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : terres arables (85,9 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (6,8 %), forĂȘts (5,1 %), zones urbanisĂ©es (1 %), prairies (0,8 %), milieux Ă  vĂ©gĂ©tation arbustive et/ou herbacĂ©e (0,4 %)[32].

    L'Ă©volution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut ĂȘtre observĂ©e sur les diffĂ©rentes reprĂ©sentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et les cartes ou photos aĂ©riennes de l'IGN pour la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[Carte 1].

    • Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
      Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
    • Carte orthophotographique de la commune en 2016.
      Carte orthophotographique de la commune en 2016.

    Voies de communication et transports

    RĂ©seau routier principal de la commune de Sceaux-du-GĂątinais (avec indication du trafic routier 2014).

    Risques majeurs

    La commune de Sceaux-du-GĂątinais est vulnĂ©rable Ă  diffĂ©rents alĂ©as naturels : climatiques (hiver exceptionnel ou canicule), mouvements de terrains ou sismique (sismicitĂ© trĂšs faible)[33]. Entre 1989 et 2019, un arrĂȘtĂ© ministĂ©riel ayant portĂ© reconnaissance de catastrophe naturelle a Ă©tĂ© pris pour le territoire de la commune pour des inondations et coulĂ©es de boues[34].

    Le territoire de la commune peut ĂȘtre concernĂ© par un risque d'effondrement de cavitĂ©s souterraines non connues. Une cartographie dĂ©partementale de l'inventaire des cavitĂ©s souterraines et des dĂ©sordres de surface a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ©e. Il a Ă©tĂ© recensĂ© sur la commune plusieurs effondrements de cavitĂ©s[35].

    Par ailleurs, le sol du territoire communal peut faire l'objet de mouvements de terrain liés à la sécheresse. Le phénomÚne de retrait-gonflement des argiles est la conséquence d'un changement d'humidité des sols argileux. Les argiles sont capables de fixer l'eau disponible mais aussi de la perdre en se rétractant en cas de sécheresse[36]. Ce phénomÚne peut provoquer des dégùts trÚs importants sur les constructions (fissures, déformations des ouvertures) pouvant rendre inhabitables certains locaux. Celui-ci a particuliÚrement affecté le Loiret aprÚs la canicule de l'été 2003. Une petite partie du territoire de la commune est exposée à un aléa « moyen » face à ce risque, selon l'échelle définie par le Bureau de recherches géologiques et miniÚres (BRGM)[37].

    Depuis le , la France dispose d’un nouveau zonage sismique divisant le territoire national en cinq zones de sismicitĂ© croissante[38]. La commune, Ă  l’instar de l’ensemble du dĂ©partement, est concernĂ©e par un risque trĂšs faible[34].

    Politique et administration

    Bloc communal : Commune et intercommunalités

    La paroisse de Sceaux acquiert le statut de municipalitĂ© avec le dĂ©cret du de l'AssemblĂ©e Nationale[39] puis celui de « commune », au sens de l'administration territoriale actuelle, par le dĂ©cret de la Convention nationale du 10 brumaire an II ()[40]. Il faut toutefois attendre la loi du sur l'organisation municipale pour qu'un rĂ©gime juridique uniforme soit dĂ©fini pour toutes les communes de France, point de dĂ©part de l’affirmation progressive des communes face au pouvoir central[41].

    La commune change de dénomination en 1905 et prend alors le nom de Sceaux-du-Gùtinais. Aucun événement de restructuration majeure du territoire, de type suppression, cession ou réception de territoire, n'a affecté la commune depuis sa création[42].

    Localisation de la commune de Sceaux-du-Gùtinais dans la communauté de communes des Quatre Vallées.

    La commune est membre de la communauté de communes des Quatre Vallées depuis sa création le . Cette intercommunalité succÚde au SIVOM de FerriÚres-en-Gùtinais, créé en , et au SIVOM de Corbeilles[43].

    La loi du pour l'accÚs au logement et un urbanisme rénové, dite loi ALUR, fait évoluer de maniÚre significative les compétences en matiÚre d'urbanisme, dont certaines sont transférées de la commune à la communauté de communes[44].

    La loi du portant nouvelle organisation territoriale de la RĂ©publique (dite loi NOTRe), visant une rĂ©duction du nombre d'intercommunalitĂ©s en France, fait passer de 5 000 Ă  15 000 habitants, sauf exceptions, le seuil dĂ©mographique minimal pour constituer une communautĂ© de communes et a un impact sur les pĂ©rimĂštres des intercommunalitĂ©s du dĂ©partement du Loiret dont le nombre passe de 28 Ă  16. Mais la communautĂ© de communes des Quatre VallĂ©es ne voit pas son pĂ©rimĂštre changer[45] et la commune de Sceaux-du-GĂątinais en reste donc membre. Cette loi a toutefois un impact sur ses compĂ©tences avec l'attribution par exemple de la gestion des milieux aquatiques et de la prĂ©vention des inondations Ă  partir du [46].

    Circonscriptions de rattachement

    Sous l'Ancien RĂ©gime, Ă  la veille des États gĂ©nĂ©raux de 1789, la paroisse de Sceaux Ă©tait rattachĂ©e sur le plan ecclĂ©siastique de l'ancien diocĂšse de Sens[47] et sur le plan judiciaire au bailliage de Montargis[48].

    La loi du divise le pays en 83 dĂ©partements dĂ©coupĂ©s chacun en six Ă  neuf districts eux-mĂȘmes dĂ©coupĂ©s en cantons regroupant des communes. Les districts, tout comme les dĂ©partements, sont le siĂšge d’une administration d’État et constituent Ă  ce titre des circonscriptions administratives. La commune de Sceaux-du-GĂątinais est alors incluse dans le canton de Corbeilles, le district de Montargis et le dĂ©partement du Loiret[49].

    La recherche d’un Ă©quilibre entre la volontĂ© d’organiser une administration dont les cadres permettent l’exĂ©cution et le contrĂŽle des lois d’une part, et la volontĂ© d’accorder une certaine autonomie aux collectivitĂ©s de base (paroisses, bourgs, villes) d’autre part, s’étale de 1789 Ă  1838[50]. Les dĂ©coupages territoriaux Ă©voluent ensuite au grĂ© des rĂ©formes visant Ă  dĂ©centraliser ou recentraliser l'action de l'État. La rĂ©gionalisation fonctionnelle des services de l'État (1945-1971) aboutit Ă  la crĂ©ation de rĂ©gions[51]. L'acte I de la dĂ©centralisation de 1982-1983 constitue une Ă©tape importante en donnant l'autonomie aux collectivitĂ©s territoriales, rĂ©gions, dĂ©partements et communes[52]. L'acte II intervient en 2003-2006[53], puis l'acte III en 2012-2015.

    Le tableau suivant présente les rattachements, au niveau infra-départemental, de la commune de Sceaux-du-Gùtinais aux différentes circonscriptions administratives et électorales ainsi que l'historique de l'évolution de leurs territoires.

    Circonscription Nom PĂ©riode Type Évolution du dĂ©coupage territorial
    DistrictMontargis1790-1795AdministrativeLa commune est rattachée au district de Montargis de 1790 à 1795[42] - [49]. La Constitution du 5 fructidor an III, appliquée à partir de vendémiaire an IV (1795) supprime les districts, rouages administratifs liés à la Terreur, mais maintient les cantons qui acquiÚrent dÚs lors plus d'importance[54].
    CantonCorbeilles1790-1801Administrative et électoraleLe , la municipalité de Sceaux est rattachée au canton de Corbeilles[55]. Les cantons acquiÚrent une fonction administrative avec la disparition des districts en 1795.
    FerriĂšres1801-2015Sous le Consulat, un redĂ©coupage territorial visant Ă  rĂ©duire le nombre de justices de paix ramĂšne le nombre de cantons dans le Loiret de 59 Ă  31[56]. Sceaux-du-GĂątinais est alors rattachĂ©e par arrĂȘtĂ© du 9 vendĂ©miaire an X () au canton de FerriĂšres[57] - [42], qui devient canton de FerriĂšres-en-GĂątinais en 2001[55].
    Courtenay2015-ÉlectoraleLa loi du [58] et ses dĂ©crets d'application publiĂ©s en fĂ©vrier et [59] introduisent un nouveau dĂ©coupage territorial pour les Ă©lections dĂ©partementales. La commune est alors rattachĂ©e au nouveau canton de Courtenay[59]. Depuis cette rĂ©forme, plus aucun service de l'État n'exerce sa compĂ©tence sur un territoire s'appuyant sur le nouveau dĂ©coupage cantonal. Le canton a disparu en tant que circonscription administrative de l'État ; il est dĂ©sormais uniquement une circonscription Ă©lectorale dĂ©diĂ©e Ă  l'Ă©lection d'un binĂŽme de conseillers dĂ©partementaux siĂ©geant au conseil dĂ©partemental[60].
    ArrondissementMontargis1801-AdministrativeSceaux, puis Sceaux-du-Gùtinais à partir de 1905, est rattachée à l'arrondissement de Montargis depuis sa création en 1801[42] - [57].
    Circonscription lĂ©gislative4e circonscription2010-ÉlectoraleLors du dĂ©coupage lĂ©gislatif de 1986, le nombre de circonscriptions lĂ©gislatives passe dans le Loiret de 4 Ă  5. Un nouveau redĂ©coupage intervient en 2010 avec la loi du . En attribuant un siĂšge de dĂ©putĂ© « par tranche » de 125 000 habitants, le nombre de circonscriptions par dĂ©partement varie dĂ©sormais de 1 Ă  21[61] - [62]. Dans le Loiret, le nombre de circonscriptions passe de cinq Ă  six[63]. Sceaux-du-GĂątinais, initialement rattachĂ©e Ă  la cinquiĂšme circonscription, est, aprĂšs 2010, rattachĂ©e Ă  la quatriĂšme circonscription[64].

    Collectivités de rattachement

    La commune de Sceaux-du-GĂątinais est rattachĂ©e au dĂ©partement du Loiret et Ă  la rĂ©gion Centre-Val de Loire[65], Ă  la fois circonscriptions administratives de l'État et collectivitĂ©s territoriales.

    Conseil municipal et maire

    Depuis les Ă©lections municipales de 2014, le conseil municipal de Sceaux-du-GĂątinais, commune de moins de 1 000 habitants, est Ă©lu au scrutin majoritaire plurinominal Ă  deux tours, les Ă©lecteurs pouvant modifier les listes, panacher, ajouter ou supprimer des candidats sans que le vote soit nul[66], pour un mandat de six ans renouvelable[67]. Il est composĂ© de 15 membres[68]. L'exĂ©cutif communal, est constituĂ© par le maire, Ă©lu par le conseil municipal, parmi ses membres, pour un mandat de six ans, c'est-Ă -dire pour la durĂ©e du mandat du conseil.

    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    2001 juillet 2020 Chantal Pontlevé[69] Retraitée de l'enseignement
    juillet 2020 En cours CĂ©line Gadois[69] - [70] Technicienne
    Les données manquantes sont à compléter.

    Jumelages

    Équipements et services

    Gestion des déchets

    En 2016, la commune est membre du syndicat mixte de ramassage et de traitement des ordures mĂ©nagĂšres (SMIRTOM) de Montargis, crĂ©Ă© en 1968. Celui-ci assure la collecte et le traitement des ordures mĂ©nagĂšres rĂ©siduelles[Note 3], des emballages mĂ©nagers recyclables et des encombrants en porte Ă  porte et du verre en points d’apport volontaire[71]. Un rĂ©seau de trois dĂ©chĂšteries accueille les encombrants et autres dĂ©chets spĂ©cifiques (dĂ©chets verts, dĂ©chets dangereux, gravats, ferraille, cartons
). Les deux dĂ©chĂšteries les plus proches sont situĂ©es sur les communes de Corquilleroy et Dordives[72]. Le SMIRTOM de Montargis procĂšde Ă©galement Ă  l'Ă©limination et la valorisation Ă©nergĂ©tique des dĂ©chets mĂ©nagers et de ceux issus de la collecte sĂ©lective dans l'unitĂ© d'Amilly, construite en 1969. Une convention de dĂ©lĂ©gation du service public de traitement a Ă©tĂ© conclue en 2013 avec la sociĂ©tĂ© Novergie Centre, filiale Ă©nergie du Groupe Suez pour la valorisation Ă©nergĂ©tique des dĂ©chets[73].

    Depuis le , la « gestion des déchets ménagers » ne fait plus partie des compétences de la commune mais est une compétence obligatoire de la communauté de communes des Quatre Vallées en application de la loi NOTRe du [74].

    Production et distribution d'eau

    Le service public d’eau potable est une compĂ©tence obligatoire des communes depuis l’adoption de la loi du 30 dĂ©cembre 2006 sur l’eau et les milieux aquatiques[75]. Au , la production et la distribution de l'eau potable sur le territoire communal sont assurĂ©es par le syndicat intercommunal d'alimentation en eau potable de Sceaux-du-GĂątinais - Courtempierre, un syndicat crĂ©Ă© en 1961 desservant deux communes : Courtempierre et Sceaux-du-GĂątinais[76] - [77] - [78]. La loi NOTRe du 7 aoĂ»t 2015 prĂ©voit que le transfert des compĂ©tences « eau et assainissement » vers les communautĂ©s de communes sera obligatoire Ă  compter du . Le transfert d’une compĂ©tence entraĂźne de facto la mise Ă  disposition gratuite de plein droit des biens, Ă©quipements et services publics utilisĂ©s, Ă  la date du transfert, pour l'exercice de ces compĂ©tences et la substitution de la communautĂ© dans les droits et obligations des communes[79] - [80].

    Assainissement

    L’assainissement non collectif (ANC) dĂ©signe les installations individuelles de traitement des eaux domestiques qui ne sont pas desservies par un rĂ©seau public de collecte des eaux usĂ©es et qui doivent en consĂ©quence traiter elles-mĂȘmes leurs eaux usĂ©es avant de les rejeter dans le milieu naturel[81]. En 2017, la communautĂ© de communes des Quatre VallĂ©es assure le service public d'assainissement non collectif (SPANC), qui a pour mission de vĂ©rifier la bonne exĂ©cution des travaux de rĂ©alisation et de rĂ©habilitation, ainsi que le bon fonctionnement et l’entretien des installations[82] - [83].

    Prix de l'eau

    Le « prix de l’eau » doit permettre de financer l’ensemble des investissements (mise en place de nouveaux ouvrages, mise aux normes du patrimoine existant, renouvellement du patrimoine, etc.) mais aussi les frais de fonctionnement du service (frais de personnel du service, Ă©lectricitĂ©, produits de traitement, renouvellement du matĂ©riel, analyses, Ă©limination des dĂ©chets, etc.)[84]. L'observatoire national des services d'eau et d'assainissement publie la description actualisĂ©e des services publics d'eau potable et d'assainissement, qu’il s’agisse de leur organisation, de leur tarif ou de leur performance[85]. Le prix au m3 est calculĂ© pour une consommation annuelle de 120 m3 (rĂ©fĂ©rence INSEE)[86].

    DomaineCommune201020112012201320142015
    Eau potableSceaux-du-GĂątinaisNC[87]1,48[88]1,63[89]1,68[90]1,71[91]1,74[92]
    Loiret1,76[93]1,7[94]1,66[95]1,69[96]
    France1,93[93]1,96[94]2[95]2,03[96]
    AssainissementSceaux-du-GĂątinaisNC[87]NC[88]NC[89]
    Loiret2,07[93]2,19[94]2,25[95]2,38[96]
    France1,73[93]1,82[94]1,85[95]1,89[96]

    Population et société

    DĂ©mographie


    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[97]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2006[98].

    En 2020, la commune comptait 626 habitants[Note 4], en diminution de 3,1 % par rapport Ă  2014 (Loiret : +1,88 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    9609138219171 0001 0401 0511 0971 074
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 1401 1421 0731 0531 0401 0181 0161 0351 024
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 007966916758791803813872760
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    687609505471447488577633637
    2020 - - - - - - - -
    626--------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[16] puis Insee Ă  partir de 2006[99].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    • Exploitations agricoles.

    Culture locale et patrimoine

    Lieu de culte d’Aquis Segeste.
    L'Ă©glise Saint-Saturnin.

    Vestiges d'Aquis Segeste

    À l'est de Sceaux-du-GĂątinais au lieu-dit « le PrĂ©au », vestiges d'Aquis Segeste, ensemble monumental rural typiquement gallo-romain Ă  vocation cultuelle et culturelle avec la prĂ©sence d'un des plus grands thĂ©Ăątres de la Gaule[100], est classĂ© monument historique depuis le [17] ; les objets trouvĂ©s sur le site sont conservĂ©s au musĂ©e de Montargis et dans un musĂ©e local.

    Église Saint-Saturnin

    L'église Saint-Saturnin contient un confessionnal en bois classé monument historique au titre objet depuis le [101].

    Personnalités liées à la commune

    Patrimoine naturel

    L’inventaire des zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de rĂ©aliser une couverture des zones les plus intĂ©ressantes sur le plan Ă©cologique, essentiellement dans la perspective d’amĂ©liorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux diffĂ©rents dĂ©cideurs un outil d’aide Ă  la prise en compte de l’environnement dans l’amĂ©nagement du territoire. Le territoire communal de Sceaux-du-GĂątinais ne comprend pas de ZNIEFF[102].

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Louis Marie Prudhomme, Dictionnaire gĂ©ographique et mĂ©thodique de la RĂ©publique française en 120 dĂ©partements, volume 1, Paris, Louis Marie Prudhomme, , 673 p. (lire en ligne).
    • Collectif, Loiret : un dĂ©partement Ă  l'Ă©lĂ©gance naturelle, Paris, Christine Bonneton, , 319 p. (ISBN 978-2-86253-234-9)
    • AbbĂ© Patron, DĂ©partement du Loiret : Dictionnaire des communes, Paris, ComĂ©dit, 1991, rĂ©Ă©dition de 1870 (ISBN 978-2-909112-01-5 et 2-909112-01-2)
    • Claude Motte, Isabelle SĂ©guy & Christine ThĂ©rĂ©, avec la collaboration de Dominique Tixier-Basse, Communes d’hier, communes d’aujourd’hui : Les communes de la France mĂ©tropolitaine, 1801-2001. Dictionnaire d’histoire administrative, Paris, Institut National d’Études DĂ©mographiques,, , 408 p. (ISBN 978-2-7332-1028-4, lire en ligne)

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. La superficie publiĂ©e par l’Insee est la superficie Ă©valuĂ©e en 1975 par le service du cadastre de la Direction GĂ©nĂ©rale des ImpĂŽts, corrigĂ©e des modifications communales intervenues depuis 1975. Elle comprend toutes les surfaces du domaine public et privĂ©, cadastrĂ©es ou non cadastrĂ©es, Ă  l'exception des lacs, Ă©tangs et glaciers de plus d'un kilomĂštre carrĂ© ainsi que des estuaires et ne correspond pas obligatoirement Ă  la surface gĂ©ographique[13] - [14]
    2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    3. Les déchets ménagers résiduels comprennent les déchets obtenus aprÚs extraction des autres fractions, valorisables, de déchets.
    4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    • Cartes
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    Références

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    19. Geoffroi, sire de Gien sur geneanet
    20. Haymon et Geoffroy sont deux prĂ©noms courants dans la famille Le Riche. Étant en sus seigneurs de Sceaux, on peut raisonnablement supposer que ces deux personnages sont des Le Riche Ă©galement?
    21. Un diplÎme inédit de Philippe-Auguste. Acte de partage des biens du chambellan Gautier fondateur de Nemours. Annales de la Société historique et archéologique du Gùtinais, 1906.
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