Aquis Segeste
Aquae Segetae (noté Aquis Segeste sur la table de Peutinger) est une ancienne ville thermale et un sanctuaire de source du Haut Empire romain[1] développé à partir d'un lieu de culte gaulois préexistant.
Aquis Segeste Aquae Segetae | ||||
Lieu de culte | ||||
Localisation | ||||
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Pays | Empire romain | |||
Province romaine | Gaule lyonnaise | |||
Région | Centre-Val de Loire | |||
Département | Loiret | |||
Commune | Sceaux-du-Gâtinais | |||
Type | Vicus | |||
Protection | Classé MH (1986) | |||
Coordonnées | 48° 06′ 56″ nord, 2° 37′ 22″ est | |||
Altitude | 77-101 m | |||
Superficie | 25 ha | |||
Géolocalisation sur la carte : Empire romain
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Loiret
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Histoire | ||||
Époque | Antiquité (Empire romain) | |||
Les vestiges de l'ensemble forment aujourd'hui un site archéologique situé à Sceaux-du-Gâtinais dans le département du Loiret et la région Centre-Val de Loire.
Ce site ne doit pas être confondu avec le site homonyme d'Aquae Segetae (Aquis Segete), ancienne station thermale gallo-romaine située à Moingt, sur le territoire de la commune de Montbrison dans le département de la Loire[2] - [3]
Le site est ouvert au public le dimanche et les jours fériés, entre Pâques et mi-septembre, entre 15h et 18h[4].
Géographie
Le site archéologique se trouve à 2 300 m à l'est du bourg de Sceaux-du-Gâtinais[5], au lieu-dit Le Préau du hameau de La Rivière.
À quelque 500 m plus au sud passe l'ancienne voie romaine d'Agedincum (Sens) à Cenabum (Orléans)[5] - [6] empruntant l'itinéraire suivant : Sens, Les Masures, Saint-Valérien, Montacher-Villegardin, Villegardin, Mardeleuse, Jouy, Les Bordes, Bouttecourt, Petit-Bouttecourt, Bransles, Dordives, Le Pont-de-Dordives, Sceaux-du-Gâtinais, Batilly-en-Gâtinais, Nancray-sur-Rimarde, traversée de la forêt d'Orléans via Ingrannes, Orléans.
Cette voie est aussi appelée localement « chemin de César ». Aquae Segetae s'est développée dans un vallon perpendiculaire à cette voie[5], rejoignant la rivière le Fusain à environ 200 m au sud du chemin de César.
Toponymie
La déesse Segeta
La source thermale est dédiée à la déesse Segeta, déesse de la Loire et déesse du peuple ségusiave, probablement également déesse guérisseuse du fait de son association avec les eaux thermales, à ne pas confondre avec la divinité romaine mineure agricole Segetia (ou Segeste)[7].
Mention de la cité sur la table de Peutinger
La ville apparaît sous le nom d' Aquis Segeste sur la Table de Peutinger[8]. Elle est également connue sous le nom reconstitué d' Aquae Segetae, forme non attestée. En 1973, l'ancien nom de la cité est assuré par la découverte in situ de l'ex-voto dédié par un citoyen romain à Segeta, divinité incontestablement gauloise[9].
D'autres inscriptions dédiées à Segeta ont été trouvées à Bussy-Albieux[10], Feurs[11] et à Moingt[12](commune de Montbrison-Moingt dans la Loire), où un ancien site thermal porte le même nom[2] d'Aquae Segetae (noté Aquis Segete sur la table de Peutinger) depuis au moins le IVe siècle[3].
Inscription dédiée à la déesse Segeta
La plaque circulaire en marbre rose d'un diamètre de 0,60 m, trouvée sur le site en 1973, porte l'inscription suivante :
- AVG•DEAE
- SEGETAE
- T MARIVS PRISCINVS
- V•S•L•M
- EFFICIENDVM CVRAVT
- MARIA SACRA FIL
Soit l'inscription complétée : Aug(ustae) deae Segetae T(itus) Marius Priscinus v(otum) s(olvit) l(ibens) m(erito) efficiendum curav(i)t Maria Sacra fil(ia).
Traduction : « À l'auguste déesse Segeta, T. Marius Priscinus s'est acquitté de son vœu de bonne grâce : Maria Sacra, sa fille, a pris soin de le réaliser ».
Le donateur porte les trois noms (tria nomina) des citoyens romains, et sa fille porte des noms latins[13].
Histoire
Cette cité secondaire d'une superficie d'environ 25 hectares[14] était une des cinquante-deux villes d'eau de l'Empire romain[15]. Elle est située près du Loing, à la jonction des territoires des Sénons et des Carnutes[16].
Située au nord-est dans le département du Loiret, Aquis Segeste est dans la zone de recouvrement des territoires des Sénons et des Carnutes, où elle fait partie d'une constellation de complexes similaires : Montbouy, Triguères, Bonnée, Bouzy-la-Forêt[5] et autres.
Le matériel trouvé sur le site montre que son occupation est antérieure à la conquête romaine, mais sa remarquable croissance se fait pendant l'époque des Flaviens[5] (69 à 96), pour atteindre son apogée au IIe siècle. Les thermes sont très marqués par les dégâts de la fin du IIe siècle, mais le site reprend son élan au début du IIIe siècle avec des remaniements importants. L'invasion de 275 lui marque un nouveau coup d'arrêt, surmonté lors de l'époque constantinienne qui suit. Au IVe siècle elle est détruite[5], ou abandonnée et noyée par la montée des eaux[17]. Deux cimetières mérovingiens importants découverts dans Sceaux-du-Gâtinais et un troisième repéré à environ 2 000 m au nord-ouest du bourg, indiquent que celui-ci a pris la relève pour ce qui est de l'occupation humaine. Cette tendance se perpétue au Moyen Âge et à l'époque moderne.
Aquae Segetae est oubliée[5], bien qu'elle soit encore mentionnée sous le nom d'Aquis Segeste sur la carte romaine appelée Table de Peutinger où elle est symbolisée, comme d'autres villes d'eau d'importance majeure, par un bâtiment carré fermé sur un bassin central[15] - [8].
Le site est redécouvert au début du XIXe siècle par Jean-Baptiste Jollois, qui l'identifie de façon erronée comme étant Vellaunodunum, un oppidum sénonais mentionné par César dans ses Commentaires[18]. Sur la base de la Table de Peutinger et du nombre d'artéfacts trouvés ailleurs, de nombreux écrivains ont situé la ville à une quarantaine de kilomètres au sud-est de son emplacement réel, sur le territoire de la commune de Montbouy, la confondant ainsi avec le complexe de sanctuaire de source, temple, fanum, et thermes de Craon jouxtant l'amphithéâtre de Chenevières[19] - [20].
En 1873, l'abbé Cosson retrouve le tracé des quelque 25 km d'aqueduc qui conduisaient les eaux des sources de Quiers-sur-Bézonde à Aquae Segetae. Puis en 1917, Jacques Soyer, archiviste du Loiret, identifie les vestiges du site à l'Aquis Segeste de la Table de Peutinger. Des sondages sont réalisés en 1950 par l'abbé Mouflet et Michel Roncin. Le seuil de la porte ouest du sanctuaire est fortuitement découvert en 1963. Les premières fouilles sérieuses commencent cette année-là : Michel Roncin dégage le sanctuaire de source. De 1966 à 1976, les fouilles sont réalisées par une équipe de la Société d'émulation de Montargis complétée par des bénévoles. Les premières prospections aériennes ont lieu en 1971. En 1973, on trouve dans le nymphée l'ex-voto citant la déesse Segeta, qui permet de clore définitivement le débat quant à l'attribution de ce nom au site[9] - [18].
De 1976 à 1985, le site est inondé et les fouilles en conséquence arrêtées. La commune de Sceaux-du-Gâtinais, le Ministère de la Culture, l'association Segeta et l'Association pour les fouilles archéologiques nationales (AFAN), s'allient de 1985 à 1988 pour installer une station permanente de pompage[18] et en profitent pour faire classer le site, qui devient Monument historique le [1]. Pendant les six années suivantes, l'université d'Orléans devient partenaire du ministère de la Culture, de l'association Segeta et de l'AFAN, pour fouiller le site et plus précisément le sanctuaire de source. De 2000 à 2005, le Ministère de la Culture, l'AFAN et l'Institut national de recherches archéologiques préventives (INRAP) travaillent à la mise en valeur du site et à des travaux de restauration. Des sondages et études géophysiques sont également effectués sur les thermes du sud. Les fouilles à proprement parler sont reprises en 2005[18].
Description
Aquis Segeste comprend l'ensemble classique des lieux cultuels et culturels gallo-romains centrés sur une source : un sanctuaire abritant une source sacrée, des thermes et un théâtre[1]. Ce site particulièrement développé inclut aussi un îlot urbain, des ateliers d'artisans, une nécropole et une aire cultuelle et funéraire. Le tout se déploie sur 25 hectares, dont 15 hectares d'espace urbanisé[14].
Commençant à la voie romaine, le cardo s'en éloigne à la perpendiculaire vers le nord sur un peu plus de 700 mètres. À 150 mètres à sa droite, vers l'est, on passe d'abord devant la nécropole qui s'étend en longueur vers le nord à partir de la voie romaine. Ensuite viennent 9 hectares de l'enceinte sacrée de 200 m de longueur sur 75 m de largeur, également orientée approximativement nord-sud. Dans son prolongement se trouve le sanctuaire de source, de même largeur pour un peu moins de 100 m de long. Sur son côté nord s'élevait le fanum et, immédiatement au coin nord-est du sanctuaire, l'amphithéâtre. Au nord de cet ensemble s'étend une large aire cultuelle et funéraire.
Sur le côté gauche du cardo, vers l'ouest, on trouve d'abord une zone de bâti non identifié. Une voie de passage perpendiculaire au cardo (équivalent à une partie ouest de decumanus) la sépare d'une zone de 12 hectares aménagée à la manière romaine et densément occupée : des pâtés de maisons, coupés de rues à angle droit, s'organisent autour d'un forum rectangulaire de 50 m de large sur 100 m de long environ, peut-être divisé en deux carrés par une rue transverse[14].
Le sanctuaire de source, clos par un péribole, était bâti autour d'une grande cour ouverte de 75 m de large sur 100 m de long, entourée d'un portique à colonnade formant galerie. On peut encore voir en place les seuils de ses deux portes d'accès sur le côté sud qui a été fouillé, ainsi que le début des côtés est et ouest y attenant. Les côtés est et ouest des galeries abritaient des pièces dont l'usage est encore mal déterminé, si ce n'est qu'elles abritaient des activités liées aux besoins des pèlerins : échoppes d'artisans, salles de soins[21] ; sur le côté ouest, l'une d'elles semble avoir été occupée par un tabletier fabriquant des ex-votos[22], une autre par un artisan travaillant l'os[21] (présence d'aiguilles à coudre), une troisième par une activité de soins possible[21] (guérisseur ophtalmologiste travaillant sur la cataracte[22] ?). Dans l'une d'elles, on a retrouvé un grand nombre de coquilles d'huîtres (restauration[21] ou travail de la nacre ?). Pour l'une des deux boutiques attenantes à celle de l'oculiste, d'autres sources suggèrent des activités de bronzier[22]. Au long du péribole sud, on a mis au jour des soupiraux attestant de l'existence de caves sous la galerie.
La source sacrée jaillissait au milieu du sanctuaire de source. Son eau était canalisée jusqu'au nymphée, puis, traversant l'enceinte sud du sanctuaire, elle alimentait les thermes curatifs situés de l'autre côté du péribole[23]. Le nymphée est situé dans l'enceinte du sanctuaire de l'eau, près du côté sud : il a été fouillé en 1973[18], dégageant le premier nymphée polylobé antique connu en France. Il était abrité dans une construction à abside[24]. L'eau de la source était ferrugineuse[5], mais des analyses modernes n'ont révélé aucune propriété particulière. Dans le bassin et ses alentours, des offrandes votives et des ex-voto étaient déposés par les pèlerins[24]. Parmi ceux retrouvés, la nature de beaucoup d'entre eux suggère des demandes à la divinité concernant la fertilité, des problèmes de stérilité, ou postnataux[22] (risus ou petit buste d'enfant rieur, divinité féminine sortant de l'eau ; cependant, une offrande pouvait aussi bien être une prière à la déesse que l'expression de la gratitude pour ses bienfaits ou objet s en métal évoquant la partie du corps à faire soigner[25]
L'enceinte sacrée, accolée au sud du sanctuaire de source, incluait deux salles de thermes : l'un de ces bains, à caractère thérapeutique, situé contre le côté sud du sanctuaire de source, était alimenté par un canal en provenance directe du nymphée. Les fouilles y ont mis au jour des ex-voto qui y étaient déposés comme dans le nymphée, puisque l'eau n'y était pas moins sacrée. Ont également été découverts l'hypocauste, le caldarium, le couloir desservant et le frigidarium attenant[23].
L'autre établissement de bains, plus grand, était à 300 m au sud du premier (mais toujours dans l'enceinte sacrée) et destiné au public ; un aqueduc de près de 25 km de long amenait jusqu'aux thermes l'eau des sources de Quiers-sur-Bezonde[18].
Le fanum, fermant le côté nord du sanctuaire de source, était bâti sur un plan carré et entouré d'une galerie. Des ex-voto étaient placés sur ses murs. La partie centrale d'un fanum, la cella, abritait habituellement la statue de la divinité honorée. Ici, le fanum n'ayant pas été fouillé, aucune statue n'a encore été retrouvée. Mais un demi-buste d'Apollon (dont la médecine est une des nombreuses attributions) ou de Mercure a été trouvé près du nymphée[26].
Le théâtre (48° 07′ 00,4″ N, 2° 37′ 23,61″ E) adossé au coteau, qui mesure 104 m de diamètre, était l'un des plus grands de la Gaule[27] : il pouvait accueillir de 13 000 à 14 000 spectateurs[15]. L'arc de cercle de sa cavea est clairement visible sur les photos aériennes. À terre, il est signalé par des débris de matériaux de construction[5].
Notes et références
Notes
Références
- « Les vestiges d'un ensemble monumental gallo-romain à vocation cultuelle », notice no PA00099018, base Mérimée, ministère français de la Culture
- Thierry Argant, Montbrison-Moingt, Avenue thermale. Bassin de rétention des eaux pluviales - Panorama, vol. I : Textes (rapport d'opération d'archéologie préventive), Archeodunum, , 141 p. (lire en ligne), p. 33, section "Les sources thermales".
- Jean-E. Dufour et Marguerite Gonon, Dictionnaire topographique du département de la Loire [« Dictionnaire topographique du Forez et des paroisses du Lyonnais et du Beaujolais formant le département de la Loire »], Mâcon, Protat frères, (réimpr. 2006, publications de l'université de Rennes), 1184 p. (lire en ligne), p. 575-577.
- Annick Smaguine, « À la découverte de la ville gallo-romaine aquis-segetae », La république du centre, (consulté en ).
- Françoise Dumasy, « Les théâtres ruraux des Carnutes et des Sénons : leur implantation et leurs rapports avec la Civitas », Revue archéologique du Centre de la France, t. 13, nos 3-4, , p. 195-218 (lire en ligne).
- « Site archéologique d'Aquis Segeste (patrimoine) »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), sur loiret.com, Conseil général du Loiret (consulté le ).
- Daniel Nony, « À la recherche de Segeta » (Séance du 23 mai 1979), Bulletin de la Société nationale des Antiquaires de France « 1978-1979 », , p. 244-246 (lire en ligne).
- « Table de Peutinger, feuillet 3 », sur hs-augsburg.de (consulté en ).
- Marianne Mulon, « Anthropotoponymes – Appropriations, Commémorations », dans Jean-Claude Boulanger (éd.), Actes du XVIe Congrès international des sciences onomastiques, 16-22 août 1987, Québec, Université Laval, (lire en ligne), p. 15-39 (voir p. 20).
- CIL XIII, 1646
- CIL XIII, 01641
- CIL XIII, 01630
- (en) Noémie Beck, Goddesses in Celtic Religion. Cult and Mythology: A Comparative Study of Ancient Ireland, Britain and Gaul (thèse de doctorat d'Études Anglophones, Neil Davie et Daithi O'Hogain dir.), Université Lumière Lyon 2 / University College of Dublin, , 245 p. (lire en ligne), « III (« Gallo-British War-Goddesses? »), sous-chapitre D (« Divine Goddess-Names related to Protection and War »), section 3 (« Goddesses of Victory »), sous-section a (« Segeta (‘Victory’ ») », p. 125.
- J.F. Bradu, « Aquae Segetae : composition de l'espace », Photos aériennes et schéma du site, sur jfbradu.free.fr (consulté en ).
- J.F. Bradu, « Aquae Segetae sur la Table de Peutinger », sur jfbradu.free.fr (consulté en ).
- Christian Cribellier, « Trois siècles de découvertes et trois décennies de recherches sur les agglomérations antiques de la région Centre », Supplément à la Revue archéologique du centre de la France, no 42, , p. 9-25 (lire en ligne). Voir une « carte des agglomérations secondaires de la région Centre » p. 10 et sa légende (liste des lieux) p. 11.
- « Aquae Segetae à Sceaux-du-Gâtinais (Loiret) »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), sur bude-orleans.org, Association Guillaume Budé, section Orléans.
- J.F. Bradu, « Aquae Segetae : les fouilles archéologiques », photos aériennes et schéma du site, sur jfbradu.free.fr (consulté en ).
- Charles-François Dupuis, L'Aquis Segeste de la carte de Peutinger doit être placé à Montbouy, dans l'arrondissement de Montargis (Mémoire lu au congrès scientifique d'Orléans), Orléans, Alex. Jacob, , 23 p. (lire en ligne), p. 4.
-
- M. Barrier, « Montargis aux époques celtique et gallo-romaine, Vellaunodunum des Commentaires (de César) » (2e conférence, 18 décembre 1922), Bulletin de la Société d'Émulation de l'Arrondissement de Montargis, no 2 de la série, 1926 (année 1922), p. 26 (lire en ligne [sur gallica], consulté en ) ;
- « résumé des opinions diverses sur la position de Vellaunodunum » (37e séance, 22 novembre 1923), Bulletin de la Société d'Émulation de l'Arrondissement de Montargis, no 5 de la série, 1928 (années 1923 et 1924), p. 72 (lire en ligne [sur gallica], consulté en ) ; voir aussi dans le même tome les 33e séance le 27 septembre 1923, p. 65,
38e séance le 6 décembre 1923.
Le compte-rendu de la 17e séance, daté 2 novembre 1922, dit que beaucoup d'archéologues situent l'Aquis Segeste de la carte de Peutinger à Craon. - J.F. Bradu, « L'espace cultuel : le sanctuaire de l'eau », sur jfbradu.free.fr (consulté en ).
- L'Yonne gallo-romaine
- J.F. Bradu, « Les thermes curatifs et les thermes publics », sur jfbradu.free.fr (consulté en ).
- J.F. Bradu, « Aquis Segeste - Le sanctuaire de l'eau : le nymphée », sur jfbradu.free.fr (consulté en ).
- Delécolle, op. cit.
- J.F. Bradu, « L'espace cultuel : le temple », sur jfbradu.free.fr (consulté en ).
- J.F. Bradu, « Les théâtres et les amphithéâtres en Gaule », sur jfbradu.free.fr (consulté en ).
Bibliographie
- Roger Dupré, Sceaux-du-Gâtinais - un passé de prestige, association Segeta, , 128 p. (ISBN 978-2-9511-8070-3).
- Anastasia Delécolle (responsable du site archéologique et du futur musée), Dans les coulisses du site archéologique et du futur musée de Segeta, dans Archéologia, N°620, MAI 2023, pp. 54-61
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
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