AccueilđŸ‡«đŸ‡·Chercher

Sainte-Eulalie-d'Ans

Sainte-Eulalie-d'Ans est une commune française située dans le département de la Dordogne, en région Nouvelle-Aquitaine.

Sainte-Eulalie-d'Ans
Sainte-Eulalie-d'Ans
Vue aérienne du village au bord de l'AuvézÚre.
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Nouvelle-Aquitaine
DĂ©partement Dordogne
Arrondissement Sarlat-la-Canéda
Intercommunalité Communauté de communes Terrassonnais Haut Périgord Noir
Maire
Mandat
Bernard Durand
2020-2026
Code postal 24640
Code commune 24401
DĂ©mographie
Gentilé Eulalais
Population
municipale
297 hab. (2020 en augmentation de 3,48 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 25 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 45° 14â€Č 49″ nord, 1° 01â€Č 06″ est
Altitude Min. 122 m
Max. 262 m
Superficie 11,83 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
DĂ©partementales Canton du Haut-PĂ©rigord Noir
LĂ©gislatives QuatriĂšme circonscription
Localisation
GĂ©olocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Sainte-Eulalie-d'Ans
GĂ©olocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Sainte-Eulalie-d'Ans
GĂ©olocalisation sur la carte : Dordogne
Voir sur la carte topographique de la Dordogne
Sainte-Eulalie-d'Ans
GĂ©olocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Voir sur la carte administrative de Nouvelle-Aquitaine
Sainte-Eulalie-d'Ans

    GĂ©ographie

    Généralités

    La commune de Sainte-Eulalie-d'Ans est située dans le nord-est du département de la Dordogne.

    Le bourg de Sainte-Eulalie-d'Ans, traversé par la route départementale 5 qui longe l'AuvézÚre, se situe en distances orthodromiques, dix kilomÚtres au sud-sud-ouest d'Excideuil et autant à l'ouest d'Hautefort.

    Le GR 646, entre Saint-Pantaly-d'Ans et Tourtoirac, traverse le territoire communal au nord de la commune.

    Communes limitrophes

    Sainte-Eulalie-d'Ans est limitrophe de cinq autres communes.

    Communes limitrophes de Sainte-Eulalie-d'Ans
    Coulaures Tourtoirac
    Cubjac-AuvézÚre-Val d'Ans Sainte-Eulalie-d'Ans
    Gabillou Chourgnac

    GĂ©ologie

    SituĂ© sur la plaque nord du Bassin aquitain et bordĂ© Ă  son extrĂ©mitĂ© nord-est par une frange du Massif central, le dĂ©partement de la Dordogne prĂ©sente une grande diversitĂ© gĂ©ologique. Les terrains sont disposĂ©s en profondeur en strates rĂ©guliĂšres, tĂ©moins d'une sĂ©dimentation sur cette ancienne plate-forme marine. Le dĂ©partement peut ainsi ĂȘtre dĂ©coupĂ© sur le plan gĂ©ologique en quatre gradins diffĂ©renciĂ©s selon leur Ăąge gĂ©ologique. Sainte-Eulalie-d'Ans est situĂ©e dans le deuxiĂšme gradin Ă  partir du nord-est, un plateau formĂ© de roches calcaires trĂšs dures du Jurassique que la mer a dĂ©posĂ©es par sĂ©dimentation chimique carbonatĂ©e, en bancs Ă©pais et massifs[1]. Elle est Ă  la fois dans le causse de Cubjac et le causse de Savignac, qui, avec le causse de Thenon, forment un ensemble de collines karstifiĂ©es dans les calcaires liasiques et jurassiques Ă  l'est de PĂ©rigueux jusqu'Ă  Excideuil et Thenon, d'environ 30 km N-S et 15 km O-E, coupĂ© par les vallĂ©es de l'Isle, de l'AuvĂ©zĂšre et de la Loue.

    Les couches affleurantes sur le territoire communal sont constituĂ©es de formations superficielles du Quaternaire et de roches sĂ©dimentaires datant pour certaines du CĂ©nozoĂŻque, et pour d'autres du MĂ©sozoĂŻque. La formation la plus ancienne, notĂ©e j2, date du Bajocien, des calcaires oolithiques bioclastiques (localement niveau Ă  polypiers) en alternance avec des calcaires cryptocristallins ou Ă©voluant vers un faciĂšs de calcaire crayeux (secteur nord-ouest). La formation la plus rĂ©cente, notĂ©e CFp, fait partie des formations superficielles de type colluvions indiffĂ©renciĂ©es de versant, de vallon et plateaux issues d'alluvions, molasses, altĂ©rites. Le descriptif de ces couches est dĂ©taillĂ© dans la feuille « no 759 - PĂ©rigueux (est) » de la carte gĂ©ologique au 1/50 000 de la France mĂ©tropolitaine[2] - [3] et sa notice associĂ©e[4].

    Carte géologique de Sainte-Eulalie-d'Ans.

    Relief et paysages

    Le village de Saint-Eulalie-d'Ans.

    Le dĂ©partement de la Dordogne se prĂ©sente comme un vaste plateau inclinĂ© du nord-est (491 m, Ă  la forĂȘt de Vieillecour dans le Nontronnais, Ă  Saint-Pierre-de-Frugie) au sud-ouest (m Ă  Lamothe-Montravel). L'altitude du territoire communal varie quant Ă  elle entre 122 mĂštres[5] Ă  l'ouest, au nord-ouest du Camp de CĂ©sar, lĂ  oĂč l'AuvĂ©zĂšre quitte la commune pour entrer sur celle de Cubjac-AuvĂ©zĂšre-Val d'Ans (territoire de l'ancienne commune de Saint-Pantaly-d'Ans), et 262 mĂštres[5] Ă  l'extrĂȘme nord, dans le causse de Cubjac, en limite des communes de Coulaures et Tourtoirac, au nord du lieu-dit Toulifaut[6].

    Dans le cadre de la Convention europĂ©enne du paysage entrĂ©e en vigueur en France le , renforcĂ©e par la loi du 8 aoĂ»t 2016 pour la reconquĂȘte de la biodiversitĂ©, de la nature et des paysages, un atlas des paysages de la Dordogne a Ă©tĂ© Ă©laborĂ© sous maĂźtrise d’ouvrage de l’État et publiĂ© en [7]. Les paysages du dĂ©partement s'organisent en huit unitĂ©s paysagĂšres[Note 1] - [8]. La commune fait partie du PĂ©rigord central, un paysage vallonnĂ©, aux horizons limitĂ©s par de nombreux bois, plus ou moins denses, parsemĂ©s de prairies et de petits champs[9].

    La superficie cadastrale de la commune publiĂ©e par l'Insee, qui sert de rĂ©fĂ©rence dans toutes les statistiques, est de 11,83 km2[5] - [10] - [Note 2]. La superficie gĂ©ographique, issue de la BD Topo, composante du RĂ©fĂ©rentiel Ă  grande Ă©chelle produit par l'IGN, est quant Ă  elle de 11,81 km2[3].

    RĂ©seau hydrographique

    La commune est située dans le bassin de la Dordogne au sein du Bassin Adour-Garonne[13]. Elle est drainée par l'AuvézÚre, et par un petit cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de km de longueur totale[14] - [Carte 1].

    L'AuvĂ©zĂšre, d'une longueur totale de 112,19 km, prend sa source en CorrĂšze dans la commune de Benayes et se jette dans l'Isle en rive droite, en limite de Bassillac et Auberoche et Escoire, face Ă  Antonne-et-Trigonant[15] - [16]. Elle traverse la commune du nord-est Ă  l'ouest sur six kilomĂštres, lui servant de limite naturelle sur deux kilomĂštres, en deux tronçons, face Ă  Tourtoirac et Cubjac-AuvĂ©zĂšre-Val d'Ans (territoire de l'ancienne commune de Saint-Pantaly-d'Ans).

    • L'AuvĂ©zĂšre Ă  Sainte-Eulalie-d'Ans.
      L'AuvézÚre à Sainte-Eulalie-d'Ans.
    • Le pont sur l'AuvĂ©zĂšre.
      Le pont sur l'AuvézÚre.
    • Carte en couleur prĂ©sentant le rĂ©seau hydrographique de la commune
      RĂ©seaux hydrographique et routier de Sainte-Eulalie-d'Ans.

    Gestion et qualité des eaux

    Le territoire communal est couvert par le schĂ©ma d'amĂ©nagement et de gestion des eaux (SAGE) « Isle - Dronne ». Ce document de planification, dont le territoire regroupe les bassins versants de l'Isle et de la Dronne, d'une superficie de 7 500 km2, a Ă©tĂ© approuvĂ© le . La structure porteuse de l'Ă©laboration et de la mise en Ɠuvre est l'Ă©tablissement public territorial de bassin de la Dordogne (EPIDOR)[17]. Il dĂ©finit sur son territoire les objectifs gĂ©nĂ©raux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualitĂ© dĂ©finis dans le troisiĂšme SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la pĂ©riode 2022-2027, approuvĂ© le [18].

    La qualitĂ© des eaux de baignade et des cours d’eau peut ĂȘtre consultĂ©e sur un site dĂ©diĂ© gĂ©rĂ© par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversitĂ©[Carte 2].

    Climat

    Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[19]. En 2020, la commune ressort du mĂȘme type de climat dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat ocĂ©anique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[20].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 3]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[19]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 12,3 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 3,4 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 7,9 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 4] : 15,2 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation[Note 5] : 934 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 12,6 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 7,2 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[23] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[24] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « La Coquille », sur la commune de La Coquille, mise en service en 1982[25] et qui se trouve Ă  33 km Ă  vol d'oiseau[26] - [Note 6], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 11,9 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 1 199 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[27]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche, « Brive », sur la commune de Brive-la-Gaillarde, dans le dĂ©partement de la CorrĂšze, mise en service en 1987 et Ă  41 km[28], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 12,7 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[29], Ă  12,7 °C pour 1981-2010[30], puis Ă  13,0 °C pour 1991-2020[31].

    Espaces protégés

    La protection rĂ©glementaire est le mode d’intervention le plus fort pour prĂ©server des espaces naturels remarquables et leur biodiversitĂ© associĂ©e[32] - [33].

    La commune fait partie du bassin de la Dordogne, un territoire d'une superficie de 24 000 km2 reconnu rĂ©serve de biosphĂšre par l'UNESCO en et se situe dans sa « zone de transition »[34].

    RĂ©seau Natura 2000

    Le rĂ©seau Natura 2000 est un rĂ©seau Ă©cologique europĂ©en de sites naturels d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique Ă©laborĂ© Ă  partir des directives habitats et oiseaux, constituĂ© de zones spĂ©ciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spĂ©ciale (ZPS)[Note 7].

    Aucun site Natura 2000 n'a été défini sur la commune[36].

    Zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique

    Au nord de la commune, le GR 646 traverse le causse de Cubjac.

    L'inventaire des zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de rĂ©aliser une couverture des zones les plus intĂ©ressantes sur le plan Ă©cologique, essentiellement dans la perspective d’amĂ©liorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux diffĂ©rents dĂ©cideurs un outil d’aide Ă  la prise en compte de l’environnement dans l’amĂ©nagement du territoire.

    En 2022, une ZNIEFF est recensĂ©e sur la commune d’aprĂšs l'INPN[37].

    Cette ZNIEFF de type 2[Note 8] est une zone calcaire boisĂ©e, le « causse de Cubjac », qui concerne les coteaux en rive droite de l'AuvĂ©zĂšre et ceux en rive gauche de l'Isle et de son affluent, la Loue, sur treize communes, depuis Escoire au sud-ouest jusqu'Ă  Saint-RaphaĂ«l au nord-est, et notamment en rive droite de l'AuvĂ©zĂšre, les coteaux au nord de la commune s'Ă©tendant sur plus de km2[38]. L'intĂ©rĂȘt majeur de cette ZNIEFF rĂ©side dans la prĂ©sence d'une espĂšce dĂ©terminante de plantes, la SpirĂ©e Ă  feuilles de millepertuis (Spiraea hypericifolia subsp. obovata), et une autre espĂšce de plantes protĂ©gĂ©e au titre de la Directive habitats de l'Union europĂ©enne, le Poirier Ă  feuilles en cƓur (Pyrus cordata)[39].

    Sites remarquables

    Le moulin des Ormeaux.

    Le site du moulin sur l'AuvézÚre, en amont du bourg de Sainte-Eulalie-d'Ans, est classé depuis 1976[40].

    Le site du bourg, sur plus de 10 hectares, est inscrit depuis 1975[41].

    Urbanisme

    Typologie

    Sainte-Eulalie-d'Ans est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 9] - [42] - [43] - [44]. La commune est en outre hors attraction des villes[45] - [46].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (50,5 % en 2018), en augmentation par rapport Ă  1990 (48,2 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : forĂȘts (46,4 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (41,5 %), prairies (5,2 %), cultures permanentes (3,3 %), milieux Ă  vĂ©gĂ©tation arbustive et/ou herbacĂ©e (3,1 %), terres arables (0,5 %)[47].

    L'Ă©volution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut ĂȘtre observĂ©e sur les diffĂ©rentes reprĂ©sentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et les cartes ou photos aĂ©riennes de l'IGN pour la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[Carte 3].

    Prévention des risques

    Le territoire de la commune de Sainte-Eulalie-d'Ans est vulnĂ©rable Ă  diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse), inondations, feux de forĂȘts, mouvements de terrains et sĂ©isme (sismicitĂ© trĂšs faible)[48]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[49].

    Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’ĂȘtre affectĂ©es par le risque d’inondation par dĂ©bordement de cours d'eau, notamment l'AuvĂ©zĂšre. La commune a Ă©tĂ© reconnue en Ă©tat de catastrophe naturelle au titre des dommages causĂ©s par les inondations et coulĂ©es de boue survenues en 1982, 1993, 1999, 2003 et 2008[50] - [48].

    Sainte-Eulalie-d'Ans est exposĂ©e au risque de feu de forĂȘt. L’arrĂȘtĂ© prĂ©fectoral du fixe les conditions de pratique des incinĂ©rations et de brĂ»lage dans un objectif de rĂ©duire le risque de dĂ©parts d’incendie. À ce titre, des pĂ©riodes sont dĂ©terminĂ©es : interdiction totale du 15 fĂ©vrier au 15 mai et du 15 juin au 15 octobre, utilisation rĂ©glementĂ©e du 16 mai au 14 juin et du 16 octobre au 14 fĂ©vrier[51]. En septembre 2020, un plan inter-dĂ©partemental de protection des forĂȘts contre les incendies (PidPFCI) a Ă©tĂ© adoptĂ© pour la pĂ©riode 2019-2029[52] - [53].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Sainte-Eulalie-d'Ans.

    Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements diffĂ©rentiels[54]. Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas d’alternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie[55]. 29,7 % de la superficie communale est en alĂ©a moyen ou fort (58,6 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national mĂ©tropolitain)[Carte 4]. Depuis le , en application de la loi ÉLAN, diffĂ©rentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maĂźtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situĂ©s dans une zone classĂ©e en alĂ©a moyen ou fort[Note 10] - [56].

    La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1995 et 2011 et par des mouvements de terrain en 1999[48].

    Toponymie

    Le nom de Sainte-Eulalie-d'Ans tire ses origines de son appartenance à la chùtellenie d'Ans et de sainte Eulalie[57], martyre chrétienne morte au début du IVe siÚcle[58].

    La premiĂšre apparition du nom remonte au XIIe siĂšcle sous la forme latine de Sancta Eulalia[57].

    En occitan la commune se nomme Senta EulĂ lia d'Ans[59].

    Histoire

    En 1120, une bulle du pape Calixte II précise que l'église de Sainte-Eulalie dépend de l'abbaye de Tourtoirac[60].

    Au Moyen Âge, Sainte-Eulalie-d'Ans dĂ©pendait de la chĂątellenie d'Ans[61].

    En 1824, l'ancienne commune de Saint-Pardoux-d'Ans a fusionnĂ© avec Sainte-Eulalie-d'Ans avant d'ĂȘtre rattachĂ©e en 1875 Ă  Saint-Pantaly-d'Ans.

    Dans la nuit du 23 au , tout un cĂŽtĂ© du parapet du pont qui franchit l'AuvĂ©zĂšre s'est Ă©croulĂ© dans l'eau[62]. La circulation y est totalement interdite, y compris aux piĂ©tons, ce qui oblige Ă  faire un dĂ©tour de cinq kilomĂštres par Coulaures ou Saint-Pantaly-d'Ans pour passer d'une rive Ă  l'autre[62]. L'ouvrage qui date du XIXe siĂšcle a Ă©tĂ© remis en service en , et sa rĂ©paration a coĂ»tĂ© plus de 380 000 euros, dont 34 % Ă  la charge de la commune[63].

    Politique et administration

    Rattachements administratifs et Ă©lectoraux

    La commune de Sainte-Eulalie-d'Ans a, dĂšs 1790, Ă©tĂ© rattachĂ©e au canton d'Orse qui dĂ©pendait du district d'Excideuil. Les districts sont supprimĂ©s en 1795, et le canton d'Orse en 1801. La commune est alors rattachĂ©e au canton de Hautefort, lui-mĂȘme dĂ©pendant de l'arrondissement de PĂ©rigueux[5].

    Dans le cadre de la réforme de 2014 définie par le décret du , le canton de Hautefort disparaßt aux élections départementales de mars 2015[64]. La commune est alors rattachée électoralement au canton du Haut-Périgord Noir.

    En 2017, Sainte-Eulalie-d'Ans est rattachée à l'arrondissement de Sarlat-la-Canéda[65] - [66].

    Intercommunalité

    Au , Sainte-Eulalie-d'Ans intÚgre dÚs sa création la communauté de communes du Pays de Hautefort. Celle-ci disparaßt le , remplacée au par une nouvelle intercommunalité élargie, la communauté de communes du Terrassonnais en Périgord noir Thenon Hautefort, renommée communauté de communes Terrassonnais Haut Périgord Noir en .

    Administration municipale

    La population de la commune Ă©tant comprise entre 100 et 499 habitants au recensement de 2017, onze conseillers municipaux ont Ă©tĂ© Ă©lus en 2020[67] - [68].

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    Les données manquantes sont à compléter.
    mai 1840 Jacques Baspeyras
    novembre 1846 1848 François Lagorce Médecin
    mars 1848 Jacques Baspeyras
    août 1851 François Lagorce[Note 11] Médecin
    aoĂ»t 1851 septembre 1863 Élie Richard[Note 12]
    septembre 1863 septembre 1870 Jean Baptiste Merlet
    septembre 1870 décembre 1870 Gustave Hector Brousseaud
    décembre 1870 janvier 1881 Pierre Tronche
    janvier 1881 octobre 1908 Gustave Brousseaud[Note 13]
    février 1909 novembre 1936 Léonard Baleyte[Note 13]
    janvier 1937 (octobre ou novembre) 1937 Jean Pinet
    (octobre ou novembre) 1937 décembre 1937 Délégation spéciale chargée
    d'administrer la commune
    décembre 1937 mai 1945 Léo Baleyte
    mai 1945 juin 1995 Pierre Durand
    juin 1995[69]
    (réélu en mai 2020)
    En cours Bernard Durand SE[70] Gérant de société

    Jumelages

    Panneau de jumelage avec Ans.

    Équipements et services publics

    Enseignement

    Début 2015, Chourgnac, Sainte-Eulalie-d'Ans[71], Saint-Pantaly-d'Ans et Tourtoirac sont organisées en regroupement pédagogique intercommunal (RPI) au niveau des classes de primaire. Chourgnac et Saint-Pantaly-d'Ans n'ayant plus d'école, Tourtoirac accueille les enfants en maternelle, en cours préparatoire et en cours élémentaire 1re année ; Sainte-Eulalie-d'Ans s'occupe du cours élémentaire 2e année et du cours moyen (CM1 et CM2).

    Justice

    Dans le domaine judiciaire, Sainte-Eulalie-d'Ans relĂšve[72] :

    Population et société

    DĂ©mographie

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[73]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2005[74].

    En 2020, la commune comptait 297 habitants[Note 14], en augmentation de 3,48 % par rapport à 2014 (Dordogne : −0,85 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    7027717468041 077980962998991
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 0251 0151 028914783813760756698
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    665665677594572540524447400
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
    402376362311304269302296291
    2015 2020 - - - - - - -
    287297-------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[5] puis Insee Ă  partir de 2006[75].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Remarque

    Lors des recensements de 1831 à 1872 inclus, le village de Saint-Pardoux-d'Ans était intégré à la commune.

    Culture

    Sainte-Eulalie-d'Ans fait partie des communes ayant reçu l'étoile verte espérantiste, distinction attribuée par Espéranto info.

    Manifestations culturelles et festivités

    Exposition de paniers lors de la FĂȘte des paniers 2016.

    En octobre, « FĂȘte des paniers » (19e Ă©dition en 2022 avec la prĂ©sence d'artisans d'art de la vannerie mais Ă©galement de la bijouterie, du bois, de la poterie, etc.)[76].

    Économie

    Emploi

    En 2015[77], parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs reprĂ©sentent 113 personnes, soit 39,4 % de la population municipale. Le nombre de chĂŽmeurs (21) a augmentĂ© par rapport Ă  2010 (onze) et le taux de chĂŽmage de cette population active s'Ă©tablit Ă  18,6 %.

    Établissements

    Au , la commune compte trente-quatre Ă©tablissements[78], dont quatorze au niveau des commerces, transports ou services, huit dans la construction, six dans l'agriculture, la sylviculture ou la pĂȘche, trois relatifs au secteur administratif, Ă  l'enseignement, Ă  la santĂ© ou Ă  l'action sociale, et trois dans l'industrie[79].

    Entreprises

    Tous secteurs confondus, parmi les entreprises de la Dordogne ayant leur siĂšge social dans le dĂ©partement, les « Établissements Durand » (commerce de gros — commerce interentreprises — alimentaire spĂ©cialisĂ© divers), implantĂ©s Ă  Sainte-Eulalie-d'Ans, se classent 47e, quant au chiffre d'affaires Ă  l'exportation en 2015-2016 avec 815 k€[80].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • La rue principale du village de Sainte-Eulalie-d'Ans.
      La rue principale du village de Sainte-Eulalie-d'Ans.
    • Le chĂąteau de Belsis.
      Le chĂąteau de Belsis.
    • L'Ă©glise Sainte-Eulalie.
      L'Ă©glise Sainte-Eulalie.
    • Vitrail reprĂ©sentant sainte Eulalie.
      Vitrail représentant sainte Eulalie.
    • Le pont sur l'AuvĂ©zĂšre.
      Le pont sur l'AuvézÚre.
    • Pigeonnier dans le village.
      Pigeonnier dans le village.

    Personnalités liées à la commune

    • Albert Dreyfus-SĂ©e (1901-1944), agriculteur installĂ© Ă  Sainte-Eullaie-d'Ans en 1940, il entre dans la RĂ©sistance. ArrĂȘtĂ© le 2 mars 1944, il est fusillĂ© par les Allemands de la division Brehmer le 27 mars suivant au lieu-dit les Potences, Ă  Sainte-Marie-de-Chignac, avec vingt-quatre autres personnes, dont deux ont survĂ©cu, en se faisant passer pour mortes[81].

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Une unité paysagÚre est un pan de territoire qui présente des caractéristiques paysagÚres propres.
    2. La superficie publiĂ©e par l’Insee est la superficie Ă©valuĂ©e en 1975 par le service du cadastre de la Direction GĂ©nĂ©rale des ImpĂŽts, corrigĂ©e des modifications communales intervenues depuis 1975. Elle comprend toutes les surfaces du domaine public et privĂ©, cadastrĂ©es ou non cadastrĂ©es, Ă  l'exception des lacs, Ă©tangs et glaciers de plus d'un kilomĂštre carrĂ© ainsi que des estuaires et ne correspond pas obligatoirement Ă  la surface gĂ©ographique[11] - [12]
    3. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[21].
    4. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    5. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[22].
    6. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    7. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent Ă  maintenir dans un Ă©tat de conservation favorable les types d'habitats et d'espĂšces concernĂ©s, par le biais de mesures rĂ©glementaires, administratives ou contractuelles[35].
    8. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    9. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    10. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
      • au vendeur d'informer le potentiel acquĂ©reur du terrain non bĂąti de l’existence du risque RGA ;
      • au maĂźtre d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maĂźtre d'Ɠuvre, le choix entre fournir une Ă©tude gĂ©otechnique de conception et le respect des techniques particuliĂšres de construction dĂ©finies par voie rĂ©glementaire ;
      • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude gĂ©otechnique de conception, soit de respecter des techniques particuliĂšres de construction dĂ©finies par voie rĂ©glementaire.
    11. Suspendu par le Préfet.
    12. DĂ©missionnaire.
    13. Décédé en fonctions.
    14. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    • Cartes
    1. « Réseau hydrographique de Sainte-Eulalie-d'Ans » sur Géoportail (consulté le 18 juillet 2022).
    2. « Qualité des eaux de riviÚre et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le )
    3. IGN, « Évolution comparĂ©e de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ).
    4. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )

    Références

    1. « Géologie de la Dordogne - Périgord », sur espritdepays.com (consulté le ).
    2. « Carte géologique de Sainte-Eulalie-d'Ans » sur Géoportail (consulté le 14 juin 2022).
    3. « CaractĂ©ristiques gĂ©ologiques et hydrogĂ©ologiques de la commune de Sainte-Eulalie-d'Ans », sur le SystĂšme d’information pour la gestion des eaux souterraines (SIGES) en Occitanie (consultĂ© le )
    4. « Notice associĂ©e Ă  la feuille no 759 - PĂ©rigueux (est) de la carte gĂ©ologique harmonisĂ©e au 1/50 000 de la France mĂ©tropolitaine », sur Infoterre, le site du BRGM (consultĂ© le )
    5. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
    6. IGN, « Répertoire géographique des communes (RGC) 2014 », sur drive.google.com
    7. « Pourquoi un Atlas des paysages du Dordogne ? », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
    8. « Unités paysagÚres de la Dordogne », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
    9. « Portrait du Périgord central », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
    10. Insee, « Comparateur de territoire - Commune de Sainte-Eulalie-d'Ans », sur le site de l'Insee (consulté le )
    11. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Indicateurs en données ouvertes (superficie) », sur l'Observatoire des territoires (consulté le )
    12. Agence nationale de la cohĂ©sion des territoires, « RĂ©pertoire gĂ©ographique des communes d'Île-de-France - dĂ©finition de certains champs (dont la superficie) », sur data.iledefrance.fr (consultĂ© le )
    13. « Cartographie du bassin Adour-Garonne. », sur adour-garonne.eaufrance.fr (consulté le )
    14. « Fiche communale de Sainte-Eulalie-d'Ans », sur le systÚme d'information pour la gestion des eaux souterraines en région Aquitaine (consulté le )
    15. « Confluence AuvézÚre-Isle au nord du Gué RÚde » sur Géoportail (consulté le 18 septembre 2022)..
    16. Sandre, « l'AuvézÚre »
    17. « SAGE Isle - Dronne », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le )
    18. « Caractéristiques du SDAGE Adour-Garonne 2022-2027 », sur www.occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le )
    19. Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
    20. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    21. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    22. Glossaire – PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
    23. « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
    24. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    25. « Station Météo-France La Coquille - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    26. « Orthodromie entre Sainte-Eulalie-d'Ans et La Coquille », sur fr.distance.to (consulté le ).
    27. « Station Météo-France La Coquille - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    28. « Orthodromie entre Sainte-Eulalie-d'Ans et Brive-la-Gaillarde », sur fr.distance.to (consulté le ).
    29. « Station météorologique de Brive - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    30. « Station météorologique de Brive - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    31. « Station météorologique de Brive - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    32. « Les espaces protégés. », sur le site de l'INPN (consulté le )
    33. « Liste des espaces protégés sur la commune de Sainte-Eulalie-d'Ans », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    34. « Réserve de biosphÚre du bassin de la Dordogne », sur mab-france.org (consulté le ).
    35. Réseau européen Natura 2000, MinistÚre de la transition écologique et solidaire
    36. « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Sainte-Eulalie-d'Ans », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    37. « Liste des ZNIEFF de la commune de Sainte-Eulalie-d'Ans », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    38. « Carte du causse de Cubjac (en vert clair) à Sainte-Eulalie-d'Ans » sur Géoportail., consulté le .
    39. [PDF] Causse de Cubjac (Identifiant national 720008221), GEREA, INPN, SPN-MNHN, Paris, consulté le .
    40. [PDF] Moulin à eau, bief et les abords du moulin sur le site de la DREAL Aquitaine, consulté le 5 août 2013.
    41. [PDF] Bourg - Ste-Eulalie-d’Ans sur le site de la DREAL Aquitaine, consultĂ© le 5 aoĂ»t 2013.
    42. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    43. « Commune rurale-dĂ©finition », sur le site de l’Insee (consultĂ© le ).
    44. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    45. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    46. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
    47. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
    48. « Les risques prÚs de chez moi - commune de Sainte-Eulalie-d'Ans », sur Géorisques (consulté le )
    49. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consultĂ© le )
    50. « Dossier départemental des risques majeurs de la Dordogne », sur www.dordogne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
    51. « Dossier dĂ©partemental des risques majeurs de la Dordogne », sur www.dordogne.gouv.fr (consultĂ© le ), chapitre Feux de forĂȘts.
    52. « Protection de la forĂȘt contre les incendies », sur le site de la DREAL de Nouvelle-Aquitaine, (consultĂ© le )
    53. « Plans DĂ©partementaux et Inter-DĂ©partementaux de Protection des ForĂȘts Contre les Incendies », sur le site de la DREAL de Nouvelle-Aquitaine (consultĂ© le )
    54. « Dossier départemental des risques majeurs de la Dordogne », sur www.dordogne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
    55. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
    56. « Sols argileux, sécheresse et construction », sur www.ecologie.gouv.fr (consulté le )
    57. Chantal Tanet et Tristan Hordé, Dictionnaire des noms de lieux du Périgord, p. 376-377, éditions Fanlac, 2000, (ISBN 2-86577-215-2).
    58. A. Dauzat et Ch. Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, 2e édition, p. 586, Librairie Guénégaud, (ISBN 2-85023-076-6).
    59. Le nom occitan des communes du Périgord - Senta Eulàlia d'Ans sur le site du Conseil général de la Dordogne, consulté le 26 septembre 2021.
    60. Abbé Farnier, Autour de l'abbaye de Ligueux, tome II, Le livre d'histoire-Lorisse, 2003 (fac-similé de l'édition de 1931), (ISBN 2-84373-342-1), p. 233.
    61. Abbé Farnier, Autour de l'abbaye de Ligueux, tome II, p. 238, Le livre d'histoire-Lorisse, 2003 (fac-similé de l'édition de 1931), (ISBN 2-84373-342-1).
    62. « Pont effondré, déviation forcée », Sud Ouest édition Périgueux, 26 janvier 2016, p. 13.
    63. Michel Pitout, « La réouverture du pont à la circulation », Sud Ouest édition Périgueux, 30 janvier 2017, p. 23.
    64. Légifrance, « Décret no 2014-218 du 21 février 2014 portant délimitation des cantons dans le département de la Dordogne », sur http://www.legifrance.gouv.fr/ (consulté le ).
    65. [PDF] « ArrĂȘtĂ© portant modification des limites territoriales des arrondissements de Bergerac, Nontron, PĂ©rigueux et Sarlat-la-CanĂ©da du dĂ©partement de la Dordogne », PrĂ©fecture de la Dordogne, 30 dĂ©cembre 2016.
    66. [PDF] Anciens et nouveaux arrondissements au 1er janvier 2017, Préfecture de la Dordogne, 4 janvier 2017.
    67. Article L2121-2 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance, consulté le 10 septembre 2020.
    68. Résultats des élections municipales et communautaires 2020 sur le site du ministÚre de l'Intérieur, consulté le 12 novembre 2020.
    69. Union départementale des maires de la Dordogne, consultée le 27 août 2014.
    70. « Voici vos 557 maires », édition spéciale de Sud Ouest du 3 avril 2008, p. 9.
    71. École primaire de Sainte-Eulalie-d'Ans sur le site de l'AcadĂ©mie de Bordeaux, consultĂ© le 21 janvier 2015.
    72. « Annuaire des juridictions d'une commune », sur le site du ministÚre de la Justice (consulté le ).
    73. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    74. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    75. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    76. « Le village organise sa 19e FĂȘte des paniers », Sud Ouest Ă©dition Dordogne, , p. 27.
    77. Dossier complet - Commune de Sainte-Eulalie-d'Ans (24401) - Activités, emploi et chÎmage - tableaux EMP T2 et EMP T4 sur le site de l'Insee, consulté le 26 décembre 2018.
    78. « Établissement - DĂ©finition », sur Insee (consultĂ© le ).
    79. Dossier complet - Commune de Sainte-Eulalie-d'Ans (24401 - Établissements actifs par secteur d'activitĂ© - tableau CEN T1 sur le site de l'Insee, consultĂ© le 26 dĂ©cembre 2018.
    80. « Export », Sud Ouest éco & entreprises édition Dordogne, novembre 2017, p. 33.
    81. Guy Penaud, préface de Roger Ranoux, Les crimes de la Division « Brehmer », éditions la Lauze, mars 2004, (ISBN 2-912032-65-2), p. 143-163 et 401.
    Cet article est issu de wikipedia. Text licence: CC BY-SA 4.0, Des conditions supplĂ©mentaires peuvent s’appliquer aux fichiers multimĂ©dias.