Chourgnac
Chourgnac, également appelée Chourgnac-d'Ans, est une commune française située dans le département de la Dordogne, en région Nouvelle-Aquitaine.
Chourgnac | |||||
Le village de Chourgnac. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Nouvelle-Aquitaine | ||||
Département | Dordogne | ||||
Arrondissement | Sarlat-la-Canéda | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Terrassonnais Haut Périgord Noir | ||||
Maire Mandat |
Patricia Flageat 2020-2026 |
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Code postal | 24640 | ||||
Code commune | 24121 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Chourgnacois | ||||
Population municipale |
62 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 8,9 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 45° 14′ 06″ nord, 1° 03′ 35″ est | ||||
Altitude | Min. 149 m Max. 260 m |
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Superficie | 6,96 km2 | ||||
Unité urbaine | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Commune hors attraction des villes | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton du Haut-Périgord Noir | ||||
Législatives | Quatrième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Dordogne
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
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Géographie
Généralités
Dans le quart nord-est du département de la Dordogne, la commune de Chourgnac se situe en Périgord central, sur les hauteurs calcaires entre les vallées de l'Auvézère et de son sous-affluent, la Soue.
Le village de Chourgnac, implanté 400 mètres à l'ouest de la route départementale 67, se situe, en distances orthodromiques, huit kilomètres à l'ouest-sud-ouest de Hautefort et onze kilomètres au nord de Thenon.
Communes limitrophes
Chourgnac est limitrophe de quatre autres communes.
Géologie
Situé sur la plaque nord du Bassin aquitain et bordé à son extrémité nord-est par une frange du Massif central, le département de la Dordogne présente une grande diversité géologique. Les terrains sont disposés en profondeur en strates régulières, témoins d'une sédimentation sur cette ancienne plate-forme marine. Le département peut ainsi être découpé sur le plan géologique en quatre gradins différenciés selon leur âge géologique. Chourgnac est située dans le deuxième gradin à partir du nord-est, un plateau formé de roches calcaires très dures du Jurassique que la mer a déposées par sédimentation chimique carbonatée, en bancs épais et massifs[1].
Les couches affleurantes sur le territoire communal sont constituées de formations superficielles du Quaternaire et de roches sédimentaires datant pour certaines du Cénozoïque, et pour d'autres du Mésozoïque. La formation la plus ancienne, notée j2, date du Bajocien, des calcaires oolithiques bioclastiques (localement niveau à polypiers) en alternance avec des calcaires cryptocristallins ou évoluant vers un faciès de calcaire crayeux (secteur nord-ouest). La formation la plus récente, notée CFp, fait partie des formations superficielles de type colluvions indifférenciées de versant, de vallon et plateaux issues d'alluvions, molasses, altérites. Le descriptif de ces couches est détaillé dans la feuille « no 759 - Périgueux (est) » de la carte géologique au 1/50 000 de la France métropolitaine[2] - [3] et sa notice associée[4].
Ère | Période | Époque | Formations géologiques | |||||||||
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Cénozoïque (0 - 66.0) |
Quaternaire (0 - 2.58) |
Holocène |
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Pléistocène | non présent | |||||||||||
Néogène (2.58 - 23.03) |
non présent | |||||||||||
Paléogène (23.03 - 66.0) |
Oligocène |
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Éocène | non présent | |||||||||||
Paléocène | non présent | |||||||||||
Mésozoïque (66.0 - 252.17) |
Crétacé (66.0 - ≃145.0) |
Supérieur |
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inférieur | non présent. | |||||||||||
Jurassique (≃145.0 - 201.3) |
Supérieur | non présent | ||||||||||
Moyen |
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Jurassique inférieur | non présent | |||||||||||
Trias (201.3 - 252.17) |
non présent | |||||||||||
Paléozoïque (252.17 - 541.0) |
non présent |
Relief et paysages
Le département de la Dordogne se présente comme un vaste plateau incliné du nord-est (491 m, à la forêt de Vieillecour dans le Nontronnais, à Saint-Pierre-de-Frugie) au sud-ouest (2 m à Lamothe-Montravel). L'altitude du territoire communal varie quant à elle entre 149 m[5] à la pointe nord de la commune, en limite de celle de Tourtoirac, et 260 m[5] au sud-est[6].
Dans le cadre de la Convention européenne du paysage entrée en vigueur en France le , renforcée par la loi du 8 août 2016 pour la reconquête de la biodiversité, de la nature et des paysages, un atlas des paysages de la Dordogne a été élaboré sous maîtrise d’ouvrage de l’État et publié en [7]. Les paysages du département s'organisent en huit unités paysagères[Note 1] et 14 sous-unités[8]. La commune fait partie du Périgord central, un paysage vallonné, aux horizons limités par de nombreux bois, plus ou moins denses, parsemés de prairies et de petits champs[9].
La superficie cadastrale de la commune publiée par l'Insee, qui sert de référence dans toutes les statistiques, est de 6,96 km2[5] - [10] - [Note 2]. La superficie géographique, issue de la BD Topo, composante du Référentiel à grande échelle produit par l'IGN, est quant à elle de 7,18 km2[3].
Réseau hydrographique
La commune est située dans le bassin de la Dordogne au sein du Bassin Adour-Garonne[13]. Aucun cours d'eau permanent n'est répertorié sur la commune[14] - [Carte 1]. Quelques rares étangs parsèment le territoire communal.
Gestion et qualité des eaux
Bien qu'aucun cours d'eau ne baigne la commune, celle-ci est néanmoins couverte par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Isle - Dronne » pour les eaux de ruissellement et les eaux souterraines. Le SAGE « Isle - Dronne », dont le territoire regroupe les bassins versants de l'Isle et de la Dronne, d'une superficie de 7 500 km2, a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est l'établissement public territorial de bassin de la Dordogne (EPIDOR)[15]. Ils définissent chacun sur leur territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le [16].
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[17]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[18].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[21] complétée par des études régionales[22] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Saint-Yrieix la Pe », sur la commune de Saint-Yrieix-la-Perche, mise en service en 1994[23] et qui se trouve à 33 km à vol d'oiseau[24] - [Note 6], où la température moyenne annuelle est de 11,6 °C et la hauteur de précipitations de 1 164,2 mm pour la période 1981-2010[25]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Brive », sur la commune de Brive-la-Gaillarde, dans le département de la Corrèze, mise en service en 1987 et à 38 km[26], la température moyenne annuelle évolue de 12,7 °C pour la période 1971-2000[27], à 12,7 °C pour 1981-2010[28], puis à 13,0 °C pour 1991-2020[29].
Urbanisme
Typologie
Chourgnac est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 7] - [30] - [31] - [32]. La commune est en outre hors attraction des villes[33] - [34].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (50,6 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (50,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (49,4 %), zones agricoles hétérogènes (48,9 %), prairies (1,7 %)[35].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].
Villages, hameaux et lieux-dits
Outre le bourg de Chourgnac proprement dit, la commune se compose d'autres villages ou hameaux, ainsi que de lieux-dits[36] :
- les Ailleteaux
- le Bastis
- le Cheyrou
- les Forêts
- les Galopières
- le Grand Claud
- Jarrissou
- la Jasse
- Lachèze
- Lafont
- Lescuras
- Lestrade
- le Moulin à Vent
- les Peix
- les Petits Clauds
- le Pigeonnier
- Puy la Croix
- Soumeil.
Prévention des risques
Le territoire de la commune de Chourgnac est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible)[37]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[38].
Chourgnac est exposée au risque de feu de forêt. L’arrêté préfectoral du fixe les conditions de pratique des incinérations et de brûlage dans un objectif de réduire le risque de départs d’incendie. À ce titre, des périodes sont déterminées : interdiction totale du 15 février au 15 mai et du 15 juin au 15 octobre, utilisation réglementée du 16 mai au 14 juin et du 16 octobre au 14 février[39]. En septembre 2020, un plan inter-départemental de protection des forêts contre les incendies (PidPFCI) a été adopté pour la période 2019-2029[40] - [41].
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[42]. Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[43]. 35,6 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (58,6 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national métropolitain)[Carte 3]. Depuis le , en application de la loi ÉLAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 8] - [44].
La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982 et 1999, par la sécheresse en 1989 et par des mouvements de terrain en 1999[37].
Toponymie
Le nom du village provient d'un nom de personnage gallo-roman Scaurinus auquel le suffixe -acum a été apposé, indiquant le « domaine de Scaurinus »[45].
En occitan limousin[46], la commune porte le nom de Chornhac[47].
Les habitants de la commune se nomment les Chourgnacois[48].
Si le nom officiel de la commune est Chourgnac[49], elle est localement appelée « Chourgnac-d'Ans », en référence au pays d'Ans, du nom de l'ancienne châtellenie qui regroupait dix-huit paroisses au XIVe siècle[50].
Histoire
Une présence humaine préhistorique est attestée sur le territoire communal par un gisement datant du Moustérien[45].
La première mention connue du nom du village apparaît au XIe siècle sous la forme « Eschaurniac » qui devient « Chournhac » au XIVe siècle[45].
Jusqu'à la fin de la guerre de Cent Ans, la paroisse de Chourgnac a dépendu de la châtellenie d'Ans, celle-ci passant à plusieurs reprises sous dominations anglaise puis française[51]. En 1600, Henri IV, comte de Périgord, vend à Jean de Marqueyssac, seigneur d'Hautefort de Bruzac, le droit de justice sur la paroisse de Chourgnac[51].
Sur la carte de Cassini représentant la France entre 1756 et 1789, le village est identifié sous le nom d'« Eychourgnac »[52].
Politique et administration
Rattachements administratifs et électoraux
La commune de Chourgnac a, dès 1790, été rattachée au canton d'Orse qui dépendait du district d'Excideuil. Les districts sont supprimés en 1795, et le canton d'Orse en 1801. La commune est alors rattachée au canton de Hautefort, lui-même dépendant de l'arrondissement de Périgueux[5].
Dans le cadre de la réforme de 2014 définie par le décret du 21 février 2014, le canton de Hautefort disparaît aux élections départementales de mars 2015[53]. La commune est alors rattachée électoralement au canton du Haut-Périgord Noir.
En 2017, Chourgnac est rattachée à l'arrondissement de Sarlat-la-Canéda[54] - [55].
Intercommunalité
Au 1er janvier 1995, Chourgnac intègre dès sa création la communauté de communes du Pays de Hautefort. Celle-ci disparaît le 31 décembre 2013, remplacée au 1er janvier 2014 par une nouvelle intercommunalité élargie, la communauté de communes du Terrassonnais en Périgord noir Thenon Hautefort, renommée communauté de communes Terrassonnais Haut Périgord Noir en .
Administration municipale
La population de la commune étant inférieure à 100 habitants au recensement de 2017, sept conseillers municipaux ont été élus en 2020[56] - [57].
Liste des maires
Équipements et services publics
Enseignement
Début 2015, Chourgnac, Sainte-Eulalie-d'Ans, Saint-Pantaly-d'Ans et Tourtoirac sont organisées en regroupement pédagogique intercommunal (RPI) au niveau des classes de primaire. Chourgnac et Saint-Pantaly-d'Ans n'ayant plus d'école, Tourtoirac accueille les enfants en maternelle, en cours préparatoire et en cours élémentaire 1re année ; Sainte-Eulalie-d'Ans s'occupe du cours élémentaire 2e année et du cours moyen (CM1 et CM2).
Justice
Dans le domaine judiciaire, Chourgnac relève[61] :
- du tribunal judiciaire, du tribunal pour enfants, du conseil de prud'hommes et du tribunal de commerce de Périgueux ;
- du pôle Nationalité du tribunal judiciaire de Périgueux (compétent uniquement dans le domaine de la nationalité) ;
- de la cour d'appel, du tribunal administratif et de la cour administrative d'appel de Bordeaux.
Population et société
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[62]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[63].
En 2020, la commune comptait 62 habitants[Note 13], en diminution de 10,14 % par rapport à 2014 (Dordogne : −0,85 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Économie
Emploi
En 2015[65], parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs représentent trente personnes, soit 46,9 % de la population municipale. Le nombre de chômeurs (trois) a augmenté par rapport à 2010 (deux) et le taux de chômage de cette population active s'établit à 10,7 %.
Établissements
Au , la commune compte onze établissements[66], dont quatre dans l'agriculture, la sylviculture ou la pêche, trois relatifs au secteur administratif, à l'enseignement, à la santé ou à l'action sociale, trois au niveau des commerces, transports ou services, et un dans la construction[67].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- L'église Saint-Sulpice[68], gothique[69] avec clocher-mur, recèle un autel polychrome du XVIIIe siècle[69].
- Sur un hectare, le site de Lachèze, est inscrit à titre historique. Il abrite la demeure natale d'Antoine de Tounens, premier roi d'Araucanie et de Patagonie, la chartreuse de la Chèze datant de 1757[70], transformée en musée des rois d'Araucanie[71], avec mobilier du XIVe siècle[69].
- L'église Saint-Sulpice et le monument aux morts.
- L'église Saint-Sulpice.
- Sa nef.
- Tableau représentant la chartreuse de la Chèze.
- Fontaine à côté de la chartreuse.
Personnalités liées à la commune
- Antoine de Tounens, (1825-1878), né à la Chèze (ou la Chaise), hameau de la commune de Chourgnac. Aventurier, prétendant au trône de la maison royale d'Araucanie et de Patagonie sous le nom de Orllie-Antoine Ier[72].
- Philippe Boiry, (1927-2014), journaliste et professeur d'université. Prétendant au trône de la maison royale d'Araucanie et de Patagonie sous le nom de Philippe Ier[73], est décédé à la Chèze, hameau de la commune de Chourgnac.
Pour approfondir
Articles connexes
Liens externes
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Ressource relative aux organisations :
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Une unité paysagère est un pan de territoire qui présente des caractéristiques paysagères propres.
- La superficie publiée par l’Insee est la superficie évaluée en 1975 par le service du cadastre de la Direction Générale des Impôts, corrigée des modifications communales intervenues depuis 1975. Elle comprend toutes les surfaces du domaine public et privé, cadastrées ou non cadastrées, à l'exception des lacs, étangs et glaciers de plus d'un kilomètre carré ainsi que des estuaires et ne correspond pas obligatoirement à la surface géographique[11] - [12]
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[19].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[20].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
- au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
- au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
- au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
- Révoqué.
- Décédé en fonctions.
- Démissionnaire.
- Dédédée en fonctions. Source : Michel Pitout, Annick Queyroi, le maire du village, est décédée, Sud Ouest édition Périgueux du 8 octobre 2013, p. 22.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
- Cartes
- « Réseau hydrographique de Chourgnac » sur Géoportail (consulté le 17 juillet 2022).
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
Références
- « Géologie de la Dordogne - Périgord », sur espritdepays.com (consulté le ).
- « Carte géologique de Chourgnac » sur Géoportail (consulté le 13 juin 2022).
- « Caractéristiques géologiques et hydrogéologiques de la commune de Chourgnac », sur le Système d’information pour la gestion des eaux souterraines (SIGES) en Occitanie (consulté le )
- « Notice associée à la feuille no 759 - Périgueux (est) de la carte géologique harmonisée au 1/50 000 de la France métropolitaine », sur Infoterre, le site du BRGM (consulté le )
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- IGN, « Répertoire géographique des communes (RGC) 2014 », sur drive.google.com
- « Pourquoi un Atlas des paysages du Dordogne ? », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
- « Unités paysagères de la Dordogne », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
- « Portrait du Périgord central », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
- Insee, « Comparateur de territoire - Commune de Chourgnac », sur le site de l'Insee (consulté le )
- Agence nationale de la cohésion des territoires, « Indicateurs en données ouvertes (superficie) », sur l'Observatoire des territoires (consulté le )
- Agence nationale de la cohésion des territoires, « Répertoire géographique des communes d'Île-de-France - définition de certains champs (dont la superficie) », sur data.iledefrance.fr (consulté le )
- « Cartographie du bassin Adour-Garonne. », sur adour-garonne.eaufrance.fr (consulté le )
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- « SAGE Isle - Dronne », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le )
- « Caractéristiques du SDAGE Adour-Garonne 2022-2027 », sur www.occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le )
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- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
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