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Saint-PĂ©-de-Bigorre

Saint-Pé-de-Bigorre est une commune française située dans l'ouest du département des Hautes-Pyrénées, en région Occitanie.

Saint-PĂ©-de-Bigorre
Saint-PĂ©-de-Bigorre
L'Ă©glise Saint-Pierre.
Blason de Saint-PĂ©-de-Bigorre
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Occitanie
Département Hautes-Pyrénées
Arrondissement ArgelĂšs-Gazost
Intercommunalité Communauté d'agglomération Tarbes-Lourdes-Pyrénées
Maire
Mandat
Jean-Claude Beaucoueste
2020-2026
Code postal 65270
Code commune 65395
DĂ©mographie
Gentilé Saint-Péens
Population
municipale
1 157 hab. (2020 en diminution de 2,53 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 27 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 43° 06â€Č 10″ nord, 0° 09â€Č 29″ ouest
Altitude Min. 308 m
Max. 1 527 m
Superficie 43,44 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Lourdes
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton de Lourdes-1
LĂ©gislatives DeuxiĂšme circonscription
Localisation
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Saint-PĂ©-de-Bigorre

    Sur le plan historique et culturel, la commune est dans l’ancien comtĂ© de Bigorre, comtĂ© historique des PyrĂ©nĂ©es françaises et de Gascogne. ExposĂ©e Ă  un climat de montagne, elle est drainĂ©e par le gave de Pau, un bras du Gave de Pau, la GĂ©nie Longue, le ruisseau de RieulhĂšs et par divers autres petits cours d'eau. La commune possĂšde un patrimoine naturel remarquable : deux sites Natura 2000 (les « gaves de Pau et de Cauterets (et gorge de Cauterets) » et « granquet-Pibeste et Soum d'Ech »), trois espaces protĂ©gĂ©s (le « Gave de Pau », la rĂ©serve de « Saint-PĂ©-De-Bigorre» et la rĂ©serve naturelle rĂ©gionale du massif du Pibeste-Aoulhet) et cinq zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique.

    Saint-PĂ©-de-Bigorre est une commune rurale qui compte 1 157 habitants en 2020, aprĂšs avoir connu un pic de population de 2 984 habitants en 1846. Elle fait partie de l'aire d'attraction de Lourdes. Ses habitants sont appelĂ©s les Saint-PĂ©ens ou Saint-PĂ©ennes.

    GĂ©ographie

    Localisation

    La commune de Saint-Pé-de-Bigorre se trouve dans le département des Hautes-Pyrénées, en région Occitanie[I 1].

    Elle se situe Ă  23 km Ă  vol d'oiseau de Tarbes[1], prĂ©fecture du dĂ©partement, Ă  12 km d'ArgelĂšs-Gazost[2], sous-prĂ©fecture, et Ă  km de Lourdes[3], bureau centralisateur du canton de Lourdes-1 dont dĂ©pend la commune depuis 2015 pour les Ă©lections dĂ©partementales[I 1]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Lourdes[I 1].

    Les communes les plus proches[Note 1] sont[4] : Peyrouse (3,4 km), Montaut (4,6 km), Lestelle-BĂ©tharram (5,1 km), Saint-Vincent (6,7 km), PoueyferrĂ© (6,9 km), Omex (7,0 km), Loubajac (7,3 km), SĂ©gus (7,6 km).

    Sur le plan historique et culturel, Saint-PĂ©-de-Bigorre fait partie de l’ancien comtĂ© de Bigorre, comtĂ© historique des PyrĂ©nĂ©es françaises et de Gascogne crĂ©Ă© au IXe siĂšcle puis rattachĂ© au domaine royal en 1302, inclus ensuite au comtĂ© de Foix en 1425 puis une nouvelle fois rattachĂ© au royaume de France en 1607. La commune est dans le pays de Tarbes et de la Haute Bigorre[5].

    Carte de la commune de Saint-PĂ©-de-Bigorre et des proches communes.

    GĂ©ologie et relief

    RĂ©seau Hayau-BouhadĂšre

    C'est un rĂ©seau fossile d'anciennes pertes des eaux glaciaires creusĂ©es Ă  partir des fissures et fractures des roches. Il se trouve Ă  environ 2,8 km au sud-est de Saint-PĂ©[6]. Il est profond de 145 m et long de 1 300 m. Il forme deux cavitĂ©s qui comuniquent entre elles : la grotte de la BouhadĂšre et le gouffre HayaĂŒ, dont l'entrĂ©e se trouve quelque 80 m plus haut que celle de la BouhadĂšre[7].

    La grotte de la BouhadĂšre est dĂ©couverte par l'abbĂ© Abadie, qui lui donne son nom d'aprĂšs le gros souffle d'air qui en sort : en bigourdan, « bouhadĂšre » dĂ©signe une sorte de soufflet pour attiser les braises. En Ă©tĂ©, l'air chaud entre par l'ouverture supĂ©rieure (celle du gouffre HayaĂŒ), se refroidit Ă  l'intĂ©rieur du rĂ©seau et ressort par l'ouverture infĂ©rieure (celle de la grotte de la BouhadĂšre) ; en hiver la circulation de l'air est inversĂ©e[8].

    Grottes de BĂ©tharram

    Les grottes de BĂ©tharram, Ă  environ 2,8 km Ă  l'ouest de Saint-PĂ©[6], sont dĂ©couvertes en 1819. En 1903 elles sont ouvertes au public.

    Grotte de la Pale ou Tute des Gabarets

    Proche du rĂ©seau Hayau-BouhadĂšre[6], la grotte de la Pale est longue d'environ 250 m ; sa tempĂ©rature varie entre 11 et 13 °C sur toute l'annĂ©e. Elle a Ă©tĂ© creusĂ©e entre deux strates de calcaire urgonien (CrĂ©tacĂ© infĂ©rieur, ~110 Ma) par les eaux de fonte des glaciers occupant alors la vallĂ©e du Gave de Pau, qui ressortaient plus loin ; la cavitĂ©, maintenant assĂ©chĂ©e, a donc deux entrĂ©es. Ses parois sont marquĂ©es de griffures d'ours des cavernes datant d'environ 30 000 ans[9].

    Grotte des Coumates ou Tute des Loirs

    Proche elle aussi du rĂ©seau Hayau-BouhadĂšre[6], la grotte des Coumates est une ancienne perte (??? ) s'ouvrant par une fissure dans la roche. Elle est longue d'environ 350 m et profonde d'environ 70 m. L'abbĂ© Labadie l'a explorĂ©e[10].

    Gouffre de la Borne 109

    Il est prĂšs de la borne 109, l'une des 485 bornes mises en place en 1892 pour marquer le pĂ©rimĂštre de la forĂȘt domaniale. Il est dĂ©couvert en 1982. une succession de puits descend Ă  plus de 108 m de profondeur. Le dĂ©veloppement de ses galeries est d'au moins 1 500 m. Une des branches, qui s'Ă©tend vers l'ouest, passe sous la grotte des Coumates Ă  500 m de distance[11].

    Hydrographie

    Le pont au-dessus du gave de Pau.

    La commune est dans le bassin de l'Adour, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne[12]. Elle est drainĂ©e par le gave de Pau, un bras du Gave de Pau, la GĂ©nie Longue, le ruisseau de RieulhĂšs, l'Artigue de Richou, la Gargante, la GĂ©nie Braque, la MousclĂšre, le ruisseau de Batmale et par divers petits cours d'eau, constituant un rĂ©seau hydrographique de 53 km de longueur totale[13] - [Carte 1].

    Le gave de Pau, d'une longueur totale de 192,8 km, prend sa source dans la commune de Gavarnie-GĂšdre et s'Ă©coule vers le nord-ouest. Il traverse la commune et se jette dans l'Adour Ă  Saint-Loubouer, aprĂšs avoir traversĂ© 88 communes[14].

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat des marges montargnardes », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[15]. En 2020, la commune ressort du type « climat de montagne » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en premiÚre approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, la température décroßt rapidement en fonction de l'altitude. On observe une nébulosité minimale en hiver et maximale en été. Les vents et les précipitations varient notablement selon le lieu[16].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[15]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 12,6 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 2,6 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 5,5 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 3] : 13,4 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation : 1 272 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 11,5 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 10,4 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[18] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[19] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Lourdes », sur la commune de Lourdes, mise en service en 1881[20] et qui se trouve Ă  km Ă  vol d'oiseau[21] - [Note 4], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 13,3 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 1 426,7 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[22]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche, « Tarbes-Lourdes-PyrĂ©nĂ©es », sur la commune d'Ossun, mise en service en 1946 et Ă  14 km[23], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 12,2 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[24], Ă  12,6 °C pour 1981-2010[25], puis Ă  12,9 °C pour 1991-2020[26].

    Espaces protégés

    La protection rĂ©glementaire est le mode d’intervention le plus fort pour prĂ©server des espaces naturels remarquables et leur biodiversitĂ© associĂ©e[27] - [28]. Dans ce cadre, la commune fait partie[29].

    Trois espaces protégés sont présents sur la commune :

    RĂ©seau Natura 2000

    Sites Natura 2000 sur le territoire communal.

    Le rĂ©seau Natura 2000 est un rĂ©seau Ă©cologique europĂ©en de sites naturels d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique Ă©laborĂ© Ă  partir des directives habitats et oiseaux, constituĂ© de zones spĂ©ciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spĂ©ciale (ZPS)[Note 5]. Deux sites Natura 2000 ont Ă©tĂ© dĂ©finis sur la commune au titre de la directive habitats[35] :

    • les « gaves de Pau et de Cauterets (et gorge de Cauterets) », d'une superficie de 482 ha, sont un site est localisĂ© sur deux domaines biogĂ©ographiques : 42 % pour le domaine atlantique et 58 % pour le domaine alpin. Il sconstituent des rĂ©seaux linĂ©aires sĂ©lectionnĂ©s pour leurs capacitĂ©s d'accueil du saumon Salmo salar[36] ;
    • « granquet-Pibeste et Soum d'Ech », d'une superficie de 7 259 ha, reprĂ©sente un des aquifĂšres importants du dĂ©partement avec un milieu karstique remarquable.[37] ;

    Zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique

    L’inventaire des zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de rĂ©aliser une couverture des zones les plus intĂ©ressantes sur le plan Ă©cologique, essentiellement dans la perspective d’amĂ©liorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux diffĂ©rents dĂ©cideurs un outil d’aide Ă  la prise en compte de l’environnement dans l’amĂ©nagement du territoire. Quatre ZNIEFF de type 1[Note 6] sont recensĂ©es sur la commune[38] :

    et une ZNIEFF de type 2[Note 7] - [38] : les « massifs calcaires de l'EstibĂšte, du Granquet et du Pibeste, forĂȘt de TrĂšs Crouts, vallĂ©e du Bergons et crĂȘtes » (17 871 ha), couvrant 24 communes dont trois dans les PyrĂ©nĂ©es-Atlantiques et 21 dans les Hautes-PyrĂ©nĂ©es[43].

    • Carte des ZNIEFF de type 1 sur la commune.
      Carte des ZNIEFF de type 1 sur la commune.
    • Carte de la ZNIEFF de type 2 sur la commune.
      Carte de la ZNIEFF de type 2 sur la commune.

    Urbanisme

    Typologie

    Saint-Pé-de-Bigorre est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 8] - [44] - [I 2] - [45].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Lourdes, dont elle est une commune de la couronne[Note 9]. Cette aire, qui regroupe 45 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de moins de 50 000 habitants[I 3] - [I 4].

    Occupation des sols

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des forĂȘts et milieux semi-naturels (75,9 % en 2018), une proportion identique Ă  celle de 1990 (75,7 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : forĂȘts (70,8 %), prairies (16,6 %), milieux Ă  vĂ©gĂ©tation arbustive et/ou herbacĂ©e (4,9 %), terres arables (3 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (2,8 %), zones urbanisĂ©es (1,7 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de vĂ©gĂ©tation (0,2 %)[46].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[Carte 2].

    • Carte en couleurs prĂ©sentant l'occupation des sols.
      Carte des infrastructures et de l'occupation des sols en 2018 (CLC) de la commune.
    • Photo aĂ©rienne en couleurs de la commune.
      Carte orthophotogrammétrique de la commune.

    Logement

    En 2012, le nombre total de logements dans la commune est de 654[I 5].
    Parmi ces logements, 79,0 % sont des résidences principales, 8,7 % des résidences secondaires et 12,3 % des logements vacants.

    Voies de communication et transports

    Cette commune est desservie par la route dĂ©partementale D 937. De mĂȘme, la gare de Saint-PĂ©-de-Bigorre fait partie de la ligne Toulouse - Bayonne.

    • Transports Ă  Saint-PĂ©-de-Bigorre
    • Passage Ă  niveau.
      Passage Ă  niveau.
    • Pont.
      Pont.
    • Voie ferrĂ©e.
      Voie ferrée.
    • La gare en 2018.
      La gare en 2018.

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Saint-PĂ©-de-Bigorre est vulnĂ©rable Ă  diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse), inondations, feux de forĂȘts, mouvements de terrains et sĂ©isme (sismicitĂ© moyenne). Il est Ă©galement exposĂ© Ă  un risque technologique, le transport de matiĂšres dangereuses[47]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[48].

    Risques naturels

    Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’ĂȘtre affectĂ©es par le risque d’inondation par dĂ©bordement de cours d'eau, notamment le gave de Pau. La cartographie des zones inondables en ex-Midi-PyrĂ©nĂ©es rĂ©alisĂ©e dans le cadre du XIe Contrat de plan État-rĂ©gion, visant Ă  informer les citoyens et les dĂ©cideurs sur le risque d’inondation, est accessible sur le site de la DREAL Occitanie[49]. La commune a Ă©tĂ© reconnue en Ă©tat de catastrophe naturelle au titre des dommages causĂ©s par les inondations et coulĂ©es de boue survenues en 1982, 1987, 1998, 1999, 2009, 2012 et 2013[50] - [47].

    Saint-PĂ©-de-Bigorre est exposĂ©e au risque de feu de forĂȘt. Un plan dĂ©partemental de protection des forĂȘts contre les incendies a Ă©tĂ© approuvĂ© par arrĂȘtĂ© prĂ©fectoral le pour la pĂ©riode 2020-2029. Le prĂ©cĂ©dent couvrait la pĂ©riode 2007-2017. L’emploi du feu est rĂ©gi par deux types de rĂ©glementations. D’abord le code forestier et l’arrĂȘtĂ© prĂ©fectoral du , qui rĂ©glementent l’emploi du feu Ă  moins de 200 m des espaces naturels combustibles sur l’ensemble du dĂ©partement. Ensuite celle Ă©tablie dans le cadre de la lutte contre la pollution de l’air, qui interdit le brĂ»lage des dĂ©chets verts des particuliers. L’écobuage est quant Ă  lui rĂ©glementĂ© dans le cadre de commissions locales d’écobuage (CLE)[51]

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Saint-Pé-de-Bigorre.

    Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des mouvements de sols liés à la présence d'argile et des tassements différentiels[52].

    Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas d’alternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie. 28,4 % de la superficie communale est en alĂ©a moyen ou fort (44,5 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 534 bĂątiments dĂ©nombrĂ©s sur la commune en 2019, 257 sont en en alĂ©a moyen ou fort, soit 48 %, Ă  comparer aux 75 % au niveau dĂ©partemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[53] - [Carte 3].

    Par ailleurs, afin de mieux apprĂ©hender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavitĂ©s souterraines permet de localiser celles situĂ©es sur la commune[54].

    Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999, 2013 et 2021[47].

    Risque technologique

    Le risque de transport de matiĂšres dangereuses sur la commune est liĂ© Ă  sa traversĂ©e par une infrastructure ferroviaire. Un accident se produisant sur une telle infrastructure est susceptible d’avoir des effets graves sur les biens, les personnes ou l'environnement, selon la nature du matĂ©riau transportĂ©. Des dispositions d’urbanisme peuvent ĂȘtre prĂ©conisĂ©es en consĂ©quence[55].

    Toponymie

    Carte de Cassini (entre 1756 et 1789) avec Saint-PĂ©-de-Bigorre Ă  l'ouest de Lourdes.

    Les dénominations historiques du village suivantes se trouvent dans le Dictionnaire toponymique des communes des Hautes-Pyrénées de Michel Grosclaude et Jean-François Le Nail[56] :

    DĂ©nominations historiques :

    • in loco Generensi, latin (1022, Marca, Histoire de BĂ©arn) ;
    • Garsia Anerio et Anerio Garsiae et Donato Generensibus, latin (v. 1080, cartulaire de Saint-PĂ©) ;
    • Generensis cenobii, latin (1083, cartulaire de Bigorre) ;
    • Petrus Generensis, latin (1175, cartulaire de Saint-Savin) ;
    • De Sancto Petro, latin (XIIe siĂšcle, cartulaires Bigorre) ;
    • Sent Per de Generes (v. 1200-1230, ibid.) ;
    • Ieres (XIIe siĂšcle ou XIIIe siĂšcle, livre vert de BĂ©nac) ;
    • monasterio Generensi, latin (1272, cartulaire Saint-PĂ©) ;
    • Geyres, la vesiau de Geyres (1281, cartulaire Saint-PĂ©) ;
    • Geeres, abat de Geres (1283, procĂšs Bigorre) ;
    • De Generesio, latin (1313, Debita regi Navarre ; 1342, pouillĂ© Tarbes).
    • Sent Per, Sent Pe (1429, censier de Bigorre) ;
    • Semper de Geires, Sanctper, Sanctpe, Sempe (1541, ADPA, B 1010) ;
    • SempĂ©, SenpĂ© (1614, Guillaume Mauran) ;
    • Saint-PĂ© de Gierres ou de Generez (1760, Larcher, pouillĂ© de Tarbes) ;
    • St PĂ© (fin XVIIIe siĂšcle, carte de Cassini) ;
    • prend le nom de Saint-PĂ©-de-Bigorre en 1962.

    Étymologie : Sent-Pùr : forme gasconne de Sanctus Petrus.

    Nom gascon : Sent-PĂšr.

    Histoire

    Cadastre napoléonien de Saint-Pé-de-Bigorre

    Le plan cadastral napoléonien de Saint-Pé-de-Bigorre est consultable sur le site des archives départementales des Hautes-Pyrénées[57].

    Politique et administration

    Tendances politiques et résultats

    Liste des maires

    La mairie en 2018.
    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    Les données manquantes sont à compléter.
    mars 2001 mars 2008 Bruno Lepore UMP Conseiller général du canton de Saint-Pé-de-Bigorre
    mars 2008 En cours
    (au 12 juin 2020[60])
    Jean-Claude Beaucoueste PRG Conseiller général du canton de Saint-Pé-de-Bigorre
    • Mairie et office du tourisme.
      Mairie et office du tourisme.
    • Fontaine et place.
      Fontaine et place.

    Historique administratif

    Pays et sénéchaussée de Bigorre, quarteron de Lourdes, chef-lieu de canton de Saint-Pé (1790), de Lourdes (1801), Saint-Pé-de-Bigorre (depuis 1802). Prend le nom de Saint-Pé-de-Bigorre en 1962[61].

    Intercommunalité

    Saint-Pé-de-Bigorre appartient à la Communauté d'agglomération Tarbes-Lourdes-Pyrénées créée en et qui réunit 86 communes.

    Services publics

    La commune de Saint-PĂ©-de-Bigorre dispose d'une agence postale.

    Population et société

    Évolution dĂ©mographique

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[63]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2005[64].

    En 2020, la commune comptait 1 157 habitants[Note 10], en diminution de 2,53 % par rapport Ă  2014 (Hautes-PyrĂ©nĂ©es : +0,37 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    2 7422 6132 6972 5282 7542 7122 9722 9842 907
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    2 7232 5242 5412 6362 4162 3472 3802 1282 178
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 9691 8381 8161 7901 9081 9251 9531 7521 758
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
    1 4821 5411 5691 4251 2961 2571 2611 2531 257
    2015 2020 - - - - - - -
    1 1631 157-------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[65] puis Insee Ă  partir de 2006[66].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Enseignement

    La commune dépend de l'académie de Toulouse. Elle dispose d'écoles en 2017[67].

    Économie

    Revenus

    En 2018, la commune compte 513 mĂ©nages fiscaux[Note 11], regroupant 1 110 personnes. La mĂ©diane du revenu disponible par unitĂ© de consommation est de 20 530 â‚Ź[I 6] (20 420 â‚Ź dans le dĂ©partement[I 7]).

    Emploi

    Taux de chĂŽmage
    200820132018
    Commune[I 8]10,7 %12,9 %12,4 %
    DĂ©partement[I 9]7,7 %9,4 %9,8 %
    France entiĂšre[I 10]8,3 %10 %10 %

    En 2018, la population ĂągĂ©e de 15 Ă  64 ans s'Ă©lĂšve Ă  645 personnes, parmi lesquelles on compte 75,6 % d'actifs (63,2 % ayant un emploi et 12,4 % de chĂŽmeurs) et 24,4 % d'inactifs[Note 12] - [I 8]. Depuis 2008, le taux de chĂŽmage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est supĂ©rieur Ă  celui de la France et du dĂ©partement.

    La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Lourdes, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pĂŽle[Carte 4] - [I 11]. Elle compte 180 emplois en 2018, contre 239 en 2013 et 292 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi rĂ©sidant dans la commune est de 416, soit un indicateur de concentration d'emploi de 43,3 % et un taux d'activitĂ© parmi les 15 ans ou plus de 50,2 %[I 12].

    Sur ces 416 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 88 travaillent dans la commune, soit 21 % des habitants[I 13]. Pour se rendre au travail, 82,5 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 6,7 % les transports en commun, 4,7 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 6 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 14].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    L'Ă©glise Saint-Pierre.
    Le monument aux morts municipal.
    • Quelques vues de la commune.
    • Rue du Corps franc PommiĂšs.
      Rue du Corps franc PommiĂšs.
    • Église Saint-Michel de RieulhĂšs.
      Église Saint-Michel de Rieulhùs.
    • Chapelle Saint-Marc.
      Chapelle Saint-Marc.
    • Les lavoirs municipaux.
    • Le lavoir de la mairie.
      Le lavoir de la mairie.
    • Le lavoir du Bout du Pont.
      Le lavoir du Bout du Pont.
    • Le lavoir sous le sĂ©minaire.
      Le lavoir sous le séminaire.
    • Le lavoir de Sembres.
      Le lavoir de Sembres.
    • Le lavoir de RieulhĂšs.
      Le lavoir de RieulhĂšs.

    Personnalités liées à la commune

    • Michel CamĂ©lat.
    • Albert Domec surnommĂ© Bambou, est nĂ© le Ă  Saint-PĂ©-de-Bigorre et dĂ©cĂ©dĂ© le . C'Ă©tait un joueur français de rugby Ă  XV qui a terminĂ© sa carriĂšre Ă  Carcassonne, oĂč un stade porte son nom.
    • Jean-Marie Vergez, gĂ©nĂ©ral baron de l'Empire, nĂ© Ă  Saint-PĂ©-de-Bigorre le , mort Ă  Paris le .

    HĂ©raldique

    Blason Blasonnement :
    D'azur Ă  la main de carnation tenant une palme d'argent, brochant sur deux clefs du mĂȘme passĂ©es en sautoir, le tout accostĂ© des mots SAI et NPE en lettres capitales d'or, surmontĂ© d'une couronne royale du mĂȘme, accompagnĂ© de trois Ă©toiles de huit rais aussi d'or, celle de la pointe surmontĂ©e des lettres R et S capitales du mĂȘme[69].
    Commentaires : Ce blason est officiel (vérifié auprÚs de la mairie).

    Note :

    • Saint Pierre est reprĂ©sentĂ© avec les clĂ©s et la palme de son martyre.
    • Saint-PĂ© est un toponyme, inspirĂ© de la forme gasconne de Sanctus Petrus (saint Pierre).

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
    2. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[17].
    3. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent Ă  maintenir dans un Ă©tat de conservation favorable les types d'habitats et d'espĂšces concernĂ©s, par le biais de mesures rĂ©glementaires, administratives ou contractuelles[34].
    6. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en gĂ©nĂ©ral limitĂ©e, caractĂ©risĂ©s par la prĂ©sence d’espĂšces, d’association d’espĂšces ou de milieux rares, remarquables, ou caractĂ©ristiques du milieu du patrimoine naturel rĂ©gional ou national.
    7. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    8. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    9. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    10. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    11. Un mĂ©nage fiscal est constituĂ© par le regroupement des foyers fiscaux rĂ©pertoriĂ©s dans un mĂȘme logement. Son existence, une annĂ©e donnĂ©e, tient au fait que coĂŻncident au moins une dĂ©claration indĂ©pendante de revenus et l’occupation d’un logement connu Ă  la taxe d’habitation.
    12. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élÚves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
    • Cartes
    1. « Carte hydrographique de Saint-Pé-de-Bigorre » sur Géoportail (consulté le 4 novembre 2021).
    2. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    3. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
    4. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).

    Site de l'Insee

    1. « Métadonnées de la commune de Saint-Pé-de-Bigorre » (consulté le ).
    2. « Commune rurale - définition » (consulté le ).
    3. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Lourdes » (consulté le ).
    4. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consultĂ© le ).
    5. « Rapport statistique communal pour la commune de Saint-Pé-de-Bigorre », sur insee.fr (consulté en ).
    6. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Saint-Pé-de-Bigorre » (consulté le ).
    7. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans les Hautes-Pyrénées » (consulté le ).
    8. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Saint-Pé-de-Bigorre » (consulté le ).
    9. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans les Hautes-Pyrénées » (consulté le ).
    10. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entiÚre » (consulté le ).
    11. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
    12. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Saint-Pé-de-Bigorre » (consulté le ).
    13. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
    14. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).

    Autres sources

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    2. Stephan Georg, « Distance entre Saint-Pé-de-Bigorre et ArgelÚs-Gazost », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    3. Stephan Georg, « Distance entre Saint-Pé-de-Bigorre et Lourdes », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    4. « Communes les plus proches de Saint-Pé-de-Bigorre », sur www.villorama.com (consulté le ).
    5. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 287-289.
    6. « Saint-Pé-de-Bigorre, carte interactive » sur Géoportail. Couches « Cartes IGN classiques » et « Hydrographie » activées. Les distances à vol d'oiseau se mesurent avec l'outil « Mesurer une distance » dans l'onglet « Outils cartographiques » à droite (symbole de petite clé plate).
    7. « Saint-Pé-de-Bigorre, sentier de découverte en milieu karstique » [PDF], sur gitelourdes.fr (consulté en ), p. 14 du compteur de pages d'Adobe. Coupe schématique du réseau.
    8. gitelourdes.fr
    9. Saint-PĂ©-de-Bigorre, sur gitelourdes.fr, p. 10 du compteur de pages d'Adobe.
    10. Saint-PĂ©-de-Bigorre, sur gitelourdes.fr, p. 16 du compteur de pages d'Adobe.
    11. Saint-PĂ©-de-Bigorre, sur gitelourdes.fr, p. 17 du compteur de pages d'Adobe.
    12. « Le réseau hydrographique du bassin Adour-Garonne. » [PDF], sur draaf.occitanie.agriculture.gouv.fr (consulté le )
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    15. Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
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