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Saint-Germain-et-Mons

Saint-Germain-et-Mons [sɛ̃ ʒɛʁmɛ̃ e mɔ̃s] est une commune française situĂ©e dans le dĂ©partement de la Dordogne, en rĂ©gion Nouvelle-Aquitaine.

Saint-Germain-et-Mons
Saint-Germain-et-Mons
Le bourg de Saint-Germain-et-Mons.
Blason de Saint-Germain-et-Mons
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Nouvelle-Aquitaine
DĂ©partement Dordogne
Arrondissement Bergerac
Intercommunalité Communauté d'agglomération bergeracoise (nouvelle)
Maire
Mandat
Michelle Dorange
2020-2026
Code postal 24520
Code commune 24419
DĂ©mographie
Gentilé Saint-Germinois
Population
municipale
874 hab. (2020 en augmentation de 10,35 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 62 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 44° 50â€Č 41″ nord, 0° 35â€Č 38″ est
Altitude Min. 17 m
Max. 133 m
Superficie 14,13 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Bergerac (banlieue)
Aire d'attraction Bergerac
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton de Bergerac-2
LĂ©gislatives DeuxiĂšme circonscription
Localisation
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Saint-Germain-et-Mons
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Saint-Germain-et-Mons
Liens
Site web saintgermainetmons.com

    GĂ©ographie

    Généralités

    Au sud du département de la Dordogne, en Bergeracois, dans l'aire urbaine de Bergerac, la commune de Saint-Germain-et-Mons est bordée au nord par la Dordogne qui la sépare de Creysse et Mouleydier, elle est arrosée par un de ses affluents, le Couillou, et dans une moindre mesure au sud-ouest, par le Gouzou, principal affluent de la Conne.

    Au croisement des routes départementales (RD) 21 et 37, le bourg se situe, en distances orthodromiques, neuf kilomÚtres à l'est de Bergerac et douze kilomÚtres à l'ouest de Lalinde.

    Le sud de la commune est Ă©galement desservi par la RD 21E3.

    Communes limitrophes

    Carte de Saint-Germain-et-Mons et des communes avoisinantes.

    Saint-Germain-et-Mons est limitrophe de sept autres communes. Au nord, son territoire est distant d'environ 230 mĂštres de celui de Saint-Sauveur.

    Communes limitrophes de Saint-Germain-et-Mons
    Creysse Mouleydier Saint-Agne
    Cours-de-Pile Saint-Germain-et-Mons Verdon
    Saint-Nexans Saint-Aubin-de-Lanquais

    GĂ©ologie

    SituĂ© sur la plaque nord du Bassin aquitain et bordĂ© Ă  son extrĂ©mitĂ© nord-est par une frange du Massif central, le dĂ©partement de la Dordogne prĂ©sente une grande diversitĂ© gĂ©ologique. Les terrains sont disposĂ©s en profondeur en strates rĂ©guliĂšres, tĂ©moins d'une sĂ©dimentation sur cette ancienne plate-forme marine. Le dĂ©partement peut ainsi ĂȘtre dĂ©coupĂ© sur le plan gĂ©ologique en quatre gradins diffĂ©renciĂ©s selon leur Ăąge gĂ©ologique. Saint-Germain-et-Mons est situĂ©e dans le quatriĂšme gradin Ă  partir du nord-est, un plateau formĂ© de dĂ©pĂŽts siliceux-grĂ©seux et de calcaires lacustres de l'Ăšre tertiaire[1].

    Les couches affleurantes sur le territoire communal sont constituĂ©es de formations superficielles du Quaternaire et de roches sĂ©dimentaires datant pour certaines du CĂ©nozoĂŻque, et pour d'autres du MĂ©sozoĂŻque. La formation la plus ancienne, notĂ©e c5e, date du Campanien 5, des calcaires bioclastiques jaunĂątres Ă  rudistes, orbitoides media, Larrazetia, calcaires grĂ©seux jaunes Ă  grands silex versicolores, lumachelles Ă  huĂźtres. La formation la plus rĂ©cente, notĂ©e CF, fait partie des formations superficielles de type colluvions indiffĂ©renciĂ©es sablo-argileuses et argilo-sableuses. Le descriptif de ces couches est dĂ©taillĂ© dans les feuilles « no 806 - Bergerac » et « no 830 - Eymet » de la carte gĂ©ologique au 1/50 000 de la France mĂ©tropolitaine[2] - [3] et leurs notices associĂ©es[4] - [5].

    Carte géologique de Saint-Germain-et-Mons.

    Relief et paysages

    La vallée de la Dordogne à Saint-Germain-et-Mons.

    Le dĂ©partement de la Dordogne se prĂ©sente comme un vaste plateau inclinĂ© du nord-est (491 m, Ă  la forĂȘt de Vieillecour dans le Nontronnais, Ă  Saint-Pierre-de-Frugie) au sud-ouest (m Ă  Lamothe-Montravel). L'altitude du territoire communal varie quant Ă  elle entre 17 mĂštres[6] Ă  l'extrĂȘme nord-ouest, lĂ  oĂč la Dordogne quitte la commune et sert de limite entre Cours-de-Pile et Creysse et 133 mĂštres[6] au sud, prĂšs du lieu-dit les Vayllaux, en limite de Saint-Aubin-de-Lanquais[7].

    Dans le cadre de la Convention europĂ©enne du paysage entrĂ©e en vigueur en France le , renforcĂ©e par la loi du 8 aoĂ»t 2016 pour la reconquĂȘte de la biodiversitĂ©, de la nature et des paysages, un atlas des paysages de la Dordogne a Ă©tĂ© Ă©laborĂ© sous maĂźtrise d’ouvrage de l’État et publiĂ© en [8]. Les paysages du dĂ©partement s'organisent en huit unitĂ©s paysagĂšres[Note 1] - [9]. La commune est dans le Bergeracois, une rĂ©gion naturelle prĂ©sentant un relief contrastĂ©, avec les deux grandes vallĂ©es de la Dordogne et du Dropt sĂ©parĂ©es par un plateau plus ou moins vallonnĂ©, dont la pente gĂ©nĂ©rale s’incline doucement d’est en ouest. Ce territoire offre des paysages ouverts qui tranchent avec les paysages pĂ©rigourdins. Il est composĂ© de vignes, vergers et cultures[10] - [11].

    La superficie cadastrale de la commune publiĂ©e par l'Insee, qui sert de rĂ©fĂ©rence dans toutes les statistiques, est de 14,13 km2[6] - [12] - [Note 2]. La superficie gĂ©ographique, issue de la BD Topo, composante du RĂ©fĂ©rentiel Ă  grande Ă©chelle produit par l'IGN, est quant Ă  elle de 14,2 km2[3].

    RĂ©seau hydrographique

    Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
    RĂ©seaux hydrographique et routier de Saint-Germain-et-Mons.

    La commune est situĂ©e dans le bassin de la Dordogne au sein du Bassin Adour-Garonne[15]. Elle est drainĂ©e par la Dordogne, le Couillou et le Gouzou, qui constituent un rĂ©seau hydrographique de 15 km de longueur totale[16] - [Carte 1].

    La Dordogne, d'une longueur totale de 483,1 km, prend naissance sur les flancs du puy de Sancy (1 885 m), dans la chaĂźne des monts Dore, traverse six dĂ©partements dont la Dordogne dans sa partie sud, et conflue avec la Garonne Ă  Bayon-sur-Gironde, pour former l'estuaire de la Gironde[17] - [18]. Elle borde la commune au nord sur plus de trois kilomĂštres, face Ă  Mouleydier et Creysse.

    Autre affluent de la Dordogne, le Couillou traverse la commune de l'est au nord sur cinq kilomĂštres et demi, lui servant de limite naturelle sur 750 mĂštres face Ă  Saint-Aubin-de-Lanquais.

    Affluent de la Conne et sous-affluent de la Dordogne, le Gouzou arrose le sud-ouest de la commune sur deux kilomÚtres et demi, dont un sert de limite naturelle en quatre tronçons, face à Cours-de-Pile, Saint-Nexans et Saint-Aubin-de-Lanquais.

    Gestion et qualité des eaux

    Le territoire communal est couvert par le schĂ©ma d'amĂ©nagement et de gestion des eaux (SAGE) « Dordogne Atlantique ». Ce document de planification, dont le territoire correspond au sous‐bassin le plus aval du bassin versant de la Dordogne (aval de la confluence Dordogne - VĂ©zĂšre)., d'une superficie de 2 700 km2 est en cours d'Ă©laboration. La structure porteuse de l'Ă©laboration et de la mise en Ɠuvre est l'Ă©tablissement public territorial de bassin de la Dordogne (EPIDOR)[19]. Il dĂ©finit sur son territoire les objectifs gĂ©nĂ©raux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualitĂ© dĂ©finis dans le troisiĂšme SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la pĂ©riode 2022-2027, approuvĂ© le [20].

    La qualitĂ© des eaux de baignade et des cours d’eau peut ĂȘtre consultĂ©e sur un site dĂ©diĂ© gĂ©rĂ© par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversitĂ©[Carte 2].

    Climat

    Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[21]. En 2020, la commune ressort du mĂȘme type de climat dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat ocĂ©anique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[22].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 3]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[21]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 12,8 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 2,6 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 9,2 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 4] : 15,2 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation[Note 5] : 816 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 12,1 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 6,8 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[25] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[26] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Bergerac », sur la commune de Bergerac, mise en service en 1988[27] et qui se trouve Ă  km Ă  vol d'oiseau[28] - [Note 6], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 13,2 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[29], Ă  13,1 °C pour 1981-2010[30], puis Ă  13,3 °C pour 1991-2020[31].

    Milieux naturels et biodiversité

    La Dordogne au pont de Mouleydier, entre Mouleydier à gauche et Saint-Germain-et-Mons en rive opposée.

    Natura 2000

    La Dordogne est un site du réseau Natura 2000 limité aux départements de la Dordogne et de la Gironde, et qui concerne les 104 communes riveraines de la Dordogne, dont Saint-Germain-et-Mons[32] - [33]. Seize espÚces animales et une espÚce végétale inscrites à l'annexe II de la directive 92/43/CEE de l'Union européenne y ont été répertoriées[34].

    Protection du biotope

    Comme l'ensemble des communes du dĂ©partement baignĂ©es par la Dordogne, Saint-Germain-et-Mons est soumise depuis 1991 Ă  un arrĂȘtĂ© prĂ©fectoral de protection de biotope destinĂ© Ă  favoriser la migration du saumon et la reproduction des lamproies et des aloses[35].

    ZNIEFF

    Saint-Germain-et-Mons fait partie des 102 communes concernĂ©es par la zone naturelle d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) de type II « La Dordogne »[36] - [37], dans laquelle ont Ă©tĂ© rĂ©pertoriĂ©es huit espĂšces animales dĂ©terminantes et cinquante-sept espĂšces vĂ©gĂ©tales dĂ©terminantes, ainsi que quarante-trois autres espĂšces animales et trente-neuf autres espĂšces vĂ©gĂ©tales[38].

    Urbanisme

    Typologie

    Saint-Germain-et-Mons est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trĂšs peu denses, au sens de la grille communale de densitĂ© de l'Insee[Note 7] - [39] - [40] - [41]. Elle appartient Ă  l'unitĂ© urbaine de Bergerac, une agglomĂ©ration inter-dĂ©partementale regroupant 22 communes[42] et 64 187 habitants en 2020, dont elle est une commune de la banlieue[43] - [44].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Bergerac, dont elle est une commune de la couronne[Note 8]. Cette aire, qui regroupe 73 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de 50 000 Ă  moins de 200 000 habitants[45] - [46].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (69,1 % en 2018), nĂ©anmoins en diminution par rapport Ă  1990 (72,8 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (52,4 %), forĂȘts (25,2 %), prairies (10,5 %), terres arables (6,2 %), zones urbanisĂ©es (4,2 %), eaux continentales[Note 9] (1,6 %)[47].

    L'Ă©volution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut ĂȘtre observĂ©e sur les diffĂ©rentes reprĂ©sentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et les cartes ou photos aĂ©riennes de l'IGN pour la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[Carte 3].

    Villages, hameaux et lieux-dits

    Outre le bourg de Saint-Germain-et-Mons proprement dit, la commune se compose d'autres villages ou hameaux, ainsi que de lieux-dits[48] :

    • au Pin
    • Bois de la Cardayre
    • la Borie Neuve
    • Bosredon Bas
    • le Bourdil[49]
    • Champ de la Borie Neuve
    • Champ de la Roque
    • Cireysou
    • la Cocarde
    • Combe du Bournat
    • Cussac
    • la Fontbrune
    • Font-Pieule
    • la Gabarie
    • le Grand Champ
    • Grand Mons
    • le Grand PrĂ©
    • Grand Valat
    • Gravette
    • les Griffouillades
    • les Guichards
    • la Jarthe
    • les Justices
    • le Mayne
    • les Mestraux
    • Monbonard
    • la Montade
    • Moulin Ă  Vent
    • Mourliane
    • la Mouthe
    • les Palaines
    • PĂ©roquet
    • Petit Mons
    • le Pin
    • le Plan
    • Pont-Romieux
    • le Port de Mouleydier
    • le PrĂ© de la LiĂšye
    • PrĂ© du Bourdil
    • le Queyrou
    • le RĂąle
    • les Rivailles
    • Sireygeol
    • le Terme-Bas
    • le Terme-Haut
    • TeyssiĂšres
    • le Tuquet
    • les Vayllaux
    • les Verdames
    • Vignal-Bas.

    Prévention des risques

    Le territoire de la commune de Saint-Germain-et-Mons est vulnĂ©rable Ă  diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse), inondations, feux de forĂȘts, mouvements de terrains et sĂ©isme (sismicitĂ© trĂšs faible). Il est Ă©galement exposĂ© Ă  un risque technologique, la rupture d'un barrage[50]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[51].

    Risques naturels

    La commune fait partie du territoire Ă  risques importants d'inondation (TRI) de Bergerac, regroupant les 22 communes (15 en Dordogne et 7 en Gironde) concernĂ©es par un risque de dĂ©bordement de la Dordogne, un des 18 TRI qui ont Ă©tĂ© arrĂȘtĂ©s fin 2012 sur le bassin Adour-Garonne[52]. Les Ă©vĂ©nements significatifs antĂ©rieurs Ă  2014 sont la crue de 1843 (4 100 m3/s Ă  Bergerac, la crue de rĂ©fĂ©rence historique de pĂ©riode de retour au moins centennale), les crues de 1912, 1944 et 1952 (pĂ©riode de retour de 50 ans) et les crues de 1982 et 1994 (pĂ©riode de retour de 20 ans). Des cartes des surfaces inondables ont Ă©tĂ© Ă©tablies pour trois scĂ©narios : frĂ©quent (crue de temps de retour de 10 ans Ă  30 ans), moyen (temps de retour de 100 ans Ă  300 ans) et extrĂȘme (temps de retour de l'ordre de 1 000 ans, qui met en dĂ©faut tout systĂšme de protection)[53]. La commune a Ă©tĂ© reconnue en Ă©tat de catastrophe naturelle au titre des dommages causĂ©s par les inondations et coulĂ©es de boue survenues en 1982, 1986, 1993, 1994, 1996 et 1999[54] - [50]. Le risque inondation est pris en compte dans l'amĂ©nagement du territoire de la commune par le biais du plan de prĂ©vention des risques inondation (PPRI) de la « vallĂ©e de la Dordogne, de Creysse Ă  Le Buisson », couvrant 20 communes et approuvĂ© le , pour les crues de la Dordogne[55] - [56].

    Saint-Germain-et-Mons est exposĂ©e au risque de feu de forĂȘt. L’arrĂȘtĂ© prĂ©fectoral du fixe les conditions de pratique des incinĂ©rations et de brĂ»lage dans un objectif de rĂ©duire le risque de dĂ©parts d’incendie. À ce titre, des pĂ©riodes sont dĂ©terminĂ©es : interdiction totale du 15 fĂ©vrier au 15 mai et du 15 juin au 15 octobre, utilisation rĂ©glementĂ©e du 16 mai au 14 juin et du 16 octobre au 14 fĂ©vrier[57]. En septembre 2020, un plan inter-dĂ©partemental de protection des forĂȘts contre les incendies (PidPFCI) a Ă©tĂ© adoptĂ© pour la pĂ©riode 2019-2029[58] - [59].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Saint-Germain-et-Mons.

    Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements diffĂ©rentiels[60]. Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas d’alternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie[61]. 96 % de la superficie communale est en alĂ©a moyen ou fort (58,6 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national mĂ©tropolitain)[Carte 4]. Depuis le , en application de la loi ÉLAN, diffĂ©rentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maĂźtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situĂ©s dans une zone classĂ©e en alĂ©a moyen ou fort[Note 10] - [62].

    La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 2005 et 2011 et par des mouvements de terrain en 1993, 1994 et 1999[50].

    Risque technologique

    La commune est en outre situĂ©e en aval du barrage de Bort-les-Orgues, un ouvrage de classe A[Note 11] situĂ© dans le dĂ©partement de la CorrĂšze et faisant l'objet d'un PPI depuis 2009. À ce titre elle est susceptible d’ĂȘtre touchĂ©e par l’onde de submersion consĂ©cutive Ă  la rupture de cet ouvrage[64].

    Toponymie

    Le nom de Saint-Germain se rĂ©fĂšre Ă  Germain l'Auxerrois[65], Ă©vĂȘque d'Auxerre au Ve siĂšcle. Le nom de Mons dĂ©rive de l'occitan mont, lui-mĂȘme dĂ©rivĂ© du latin mons[66].

    En occitan, la commune se nomme Sent GĂšrman e Monts[67].

    Histoire

    Le territoire communal a révélé des traces d'occupation paléolithique et néolithique, notamment des silex taillés[68].

    À Mons, la route de Bergerac Ă©tait surveillĂ©e par une forteresse dont il reste les vestiges d'une tour du XIe siĂšcle[66]. La chapelle de Mons, comme l'Ă©glise de Saint-Germain ont Ă©tĂ© Ă©difiĂ©es Ă  l'Ă©poque romane, puis reconstruites au XIXe siĂšcle[66]. À Pont-Roumieu, les Augustiniens avaient Ă©tabli un prieurĂ©[66].

    Les premiĂšres mentions Ă©crites connues concernant la commune datent de 1273 pour Mons (castrum de Montibus) et 1290 pour Saint-Germain (Sanctus Germanus)[66].

    Sur la carte de Cassini représentant la France entre 1756 et 1789, le village de Saint Germain est identifié sous le nom de Saint Germain de Pontroumieu[69].

    En 1829, les communes de Mons et de Saint-Germain fusionnent sous le nom de Saint-Germain-et-Mons[70].

    Le , le village est incendiĂ© par les Allemands, de mĂȘme que celui de Mouleydier[68].

    La commune a été décorée de la croix de guerre 1939-1945 le , distinction également attribuée à dix-huit autres communes de la Dordogne[71].

    Politique et administration

    Intercommunalité

    En 2002, Saint-Germain-et-Mons intÚgre dÚs sa création la communauté de communes des Trois Vallées du Bergeracois. Cette structure intercommunale fusionne avec deux autres pour former au la communauté d'agglomération bergeracoise. Celle-ci fusionne avec la communauté de communes des Coteaux de SigoulÚs au pour former la nouvelle communauté d'agglomération bergeracoise.

    Administration municipale

    La population de la commune Ă©tant comprise entre 500 et 1 499 habitants au recensement de 2017, quinze conseillers municipaux ont Ă©tĂ© Ă©lus en 2020[72] - [73].

    Liste des maires

    La mairie.
    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    Les données manquantes sont à compléter.
    avant 1988 ? Marcel Roux
    mars 2001[74] juillet 2020 Claude Carpe DVG[75] puis PS Retraité
    juillet 2020[76] En cours Michelle Dorange

    Équipements et services publics

    Justice

    En 2023, dans le domaine judiciaire, Saint-Germain-et-Mons relĂšve[77] :

    Population et société

    DĂ©mographie

    Les habitants de Saint-Germain-et-Mons se nomment les Saint-Germinois[78].

    Jusqu'en 1829, les communes de Mons et de Saint-Germain étaient indépendantes.

    DĂ©mographie de Mons

    Évolution de la population de Mons
    1793 1800 1806 1821
    87919483
    (Source : Ldh/EHESS/Cassini[70])

    DĂ©mographie de Saint-Germain, puis de Saint-Germain-et-Mons

    En 1829, Mons fusionne avec Saint-Germain qui devient Saint-Germain-et-Mons.

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[79]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2004[80].

    En 2020, la commune comptait 874 habitants[Note 12], en augmentation de 10,35 % par rapport à 2014 (Dordogne : −0,85 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    312352335351497485514568550
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    529472498522543594525512518
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    508505505468464465450506488
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
    491464455486523606672702736
    2014 2019 2020 - - - - - -
    792864874------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[6] puis Insee Ă  partir de 2006[81].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    L'économie de la commune repose sur l'élevage (porcins, bovins, caprins, ovins) et l'agriculture (tabac, maïs, céréales, vergers, vignoble de Bergerac).

    Emploi

    En 2015[82], parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs reprĂ©sentent 395 personnes, soit 49,7 % de la population municipale. Le nombre de chĂŽmeurs (41) a augmentĂ© par rapport Ă  2010 (35) et le taux de chĂŽmage de cette population active s'Ă©tablit Ă  10,4 %.

    Établissements

    Au , la commune compte cinquante-sept Ă©tablissements[83], dont vingt-sept au niveau des commerces, transports ou services, quinze dans l'agriculture, la sylviculture ou la pĂȘche, huit dans la construction, cinq dans l'industrie, et deux relatifs au secteur administratif, Ă  l'enseignement, Ă  la santĂ© ou Ă  l'action sociale[84].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • Traces de voie romaine
    • Ancien prieurĂ©
    • Église Sainte-Marguerite du XIXe siĂšcle Ă  clocher-porche, consacrĂ©e le [65].
    • Chapelle Sainte-Marie de Mons[65].
    • Ruines d'une tour du XIe siĂšcle, appelĂ©e tour de Mons.
    • Reliant Mouleydier Ă  Saint-Germain-et-Mons sur les deux rives de la Dordogne, le pont de Mouleydier a Ă©tĂ© mis en service en 1852[85]. Long de 103 mĂštres avec une chaussĂ©e de 4,50 mĂštres de large, celle-ci a Ă©tĂ© Ă©largie Ă  5,50 mĂštres en 2022-2023, avec ajout d'une voie de passage pour piĂ©tons, poussettes et cyclistes, large de 1,40 mĂštre[85] - [86].
    • L'Ă©glise Sainte-Marguerite.
      L'Ă©glise Sainte-Marguerite.
    • Le monument aux morts.
      Le monument aux morts.
    • Dessus de porte datĂ© de 1662, dans le bourg.
      Dessus de porte daté de 1662, dans le bourg.

    HĂ©raldique

    Blason de Saint-Germain-et-Mons Blason
    ÉcartelĂ© au 1) et au 4) de gueules au lion lĂ©opardĂ© d’or sur un mont de sinople mouvant de la pointe, au 2) et au 3) d’azur au pont en dos d’ñne de trois arches d’or, maçonnĂ© de sable, mouvant des flancs et de la pointe, surmontĂ© d’une coquille renversĂ©e d’argent.
    DĂ©tails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Pour approfondir

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Une unité paysagÚre est un pan de territoire qui présente des caractéristiques paysagÚres propres.
    2. La superficie publiĂ©e par l’Insee est la superficie Ă©valuĂ©e en 1975 par le service du cadastre de la Direction GĂ©nĂ©rale des ImpĂŽts, corrigĂ©e des modifications communales intervenues depuis 1975. Elle comprend toutes les surfaces du domaine public et privĂ©, cadastrĂ©es ou non cadastrĂ©es, Ă  l'exception des lacs, Ă©tangs et glaciers de plus d'un kilomĂštre carrĂ© ainsi que des estuaires et ne correspond pas obligatoirement Ă  la surface gĂ©ographique[13] - [14]
    3. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[23].
    4. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    5. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[24].
    6. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    7. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    8. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en celle d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    9. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    10. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
      • au vendeur d'informer le potentiel acquĂ©reur du terrain non bĂąti de l’existence du risque RGA ;
      • au maĂźtre d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maĂźtre d'Ɠuvre, le choix entre fournir une Ă©tude gĂ©otechnique de conception et le respect des techniques particuliĂšres de construction dĂ©finies par voie rĂ©glementaire ;
      • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude gĂ©otechnique de conception, soit de respecter des techniques particuliĂšres de construction dĂ©finies par voie rĂ©glementaire.
    11. Le classement des barrages est fonction de deux paramĂštres : hauteur et volume retenu[63].
    12. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    • Cartes
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