Duras (Lot-et-Garonne)
Duras [dyÊas] est une commune du Sud-Ouest de la France, situĂ©e dans le dĂ©partement de Lot-et-Garonne (rĂ©gion Nouvelle-Aquitaine).
Duras | |||||
Duras vue du chĂąteau. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
RĂ©gion | Nouvelle-Aquitaine | ||||
DĂ©partement | Lot-et-Garonne | ||||
Arrondissement | Marmande | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes du Pays de Duras (siÚge) |
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Maire Mandat |
Bernadette Dreux 2020-2026 |
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Code postal | 47120 | ||||
Code commune | 47086 | ||||
DĂ©mographie | |||||
Gentilé | Duraquois | ||||
Population municipale |
1 214 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 60 hab./km2 | ||||
GĂ©ographie | |||||
CoordonnĂ©es | 44° 40âČ 37âł nord, 0° 11âČ 01âł est | ||||
Altitude | Min. 28 m Max. 128 m |
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Superficie | 20,17 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Commune hors attraction des villes | ||||
Ălections | |||||
DĂ©partementales | Canton des Coteaux de Guyenne (bureau centralisateur) |
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LĂ©gislatives | DeuxiĂšme circonscription | ||||
Localisation | |||||
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : Lot-et-Garonne
GĂ©olocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
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Liens | |||||
Site web | http://www.mairie-duras.fr/ | ||||
Ancien chef-lieu du canton de Duras, la commune est depuis 2015 le bureau centralisateur du canton des Coteaux de Guyenne.
GĂ©ographie
Localisation
La commune de Duras est située à 62,5 km au nord-ouest d'Agen et 62,7 km au sud-est de Bordeaux ainsi qu'à 19,5 km au nord de Marmande et 30,6 km au sud de Bergerac. Elle est limitrophe du département de la Gironde.
Communes limitrophes
Les communes limitrophes sont Savignac-de-Duras, Taillecavat, Saint-Pierre-sur-Dropt, Cours-de-Monségur, Auriac-sur-Dropt, Baleyssagues, Esclottes, Pardaillan et Saint-Sernin.
GĂ©ologie et relief
Située en Guyenne dans le vignoble des cÎtes-de-Duras, la commune de Duras est arrosée par un affluent de la Garonne, le Dropt, qui sert de limite naturelle à la commune au sud, la séparant de Saint-Pierre-sur-Dropt, Taillecavat et Cours-de-Monségur jusqu'au confluent avec la DourdÚze.
La gĂ©ologie de Duras repose sur une succession de dĂ©pĂŽts sĂ©dimentaires â molasses du Fronsadais (argiles Ă filons sableux) Ă©ocĂšnes ou oligocĂšnes, argiles et calcaires de Castillon et calcaires Ă astĂ©ries oligocĂšnes â formant de faibles reliefs plus accentuĂ©s Ă l'est de la commune, entaillĂ©s au nord-ouest et de l'ouest au sud du territoire communal par les vallĂ©es de la DourdĂšze et du Dropt qui y ont dĂ©posĂ© des alluvions rĂ©centes[3].
Voies routiĂšres
Le bourg, implanté sur une hauteur qui domine la vallée du Dropt, est un important carrefour routier sur les routes départementales 708 (ancienne RN 708) et 668 (ancienne RN 668) sur lesquelles viennent se greffer dans un rayon d'un kilomÚtre, les routes départementales 124, 134, 203, 237, 281 et 311.
Transports
Les gares les plus proches sont situées à La Réole sur la Ligne Bordeaux - SÚte et à Sainte-Foy-la-Grande sur la Ligne Bordeaux - Sarlat.
Climat
Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat du Bassin du Sud-Ouest », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[4]. En 2020, la commune ressort du type « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© » dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il sâagit dâune zone de transition entre le climat ocĂ©anique et les climats de montagne et semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[5].
Les paramĂštres climatiques qui ont permis dâĂ©tablir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.
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Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Ănergie et du Climat[8] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[9] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. La station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France installĂ©e sur la commune et mise en service en 1962 permet de connaĂźtre en continu l'Ă©volution des indicateurs mĂ©tĂ©orologiques[10]. Le tableau dĂ©taillĂ© pour la pĂ©riode 1981-2010 est prĂ©sentĂ© ci-aprĂšs.
Mois | jan. | fév. | mars | avril | mai | juin | jui. | août | sep. | oct. | nov. | déc. | année |
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Température minimale moyenne (°C) | 2,4 | 2,7 | 4,8 | 6,7 | 10,2 | 13,2 | 15 | 14,9 | 12,1 | 9,7 | 5,4 | 3,1 | 8,4 |
Température moyenne (°C) | 5,8 | 6,9 | 9,8 | 12 | 15,8 | 19,1 | 21,2 | 21,1 | 18,1 | 14,5 | 9,2 | 6,4 | 13,4 |
Température maximale moyenne (°C) | 9,3 | 11,2 | 14,8 | 17,4 | 21,4 | 24,9 | 27,4 | 27,4 | 24 | 19,3 | 13,1 | 9,6 | 18,4 |
Record de froid (°C) date du record |
â17,8 16.01.1985 |
â14 09.02.12 |
â10 01.03.05 |
â2,3 21.04.1991 |
0,8 06.05.1975 |
3,2 01.06.06 |
7 02.07.12 |
5,2 30.08.1986 |
3 27.09.10 |
â3,4 25.10.03 |
â7,5 18.11.07 |
â12 26.12.1962 |
â17,8 1985 |
Record de chaleur (°C) date du record |
19 28.01.1987 |
25 27.02.19 |
26 20.03.05 |
29,8 08.04.11 |
33,5 18.05.1992 |
38 27.06.11 |
41,5 23.07.19 |
40,3 04.08.03 |
36,3 03.09.05 |
31,6 03.10.1985 |
26 07.11.15 |
20,2 15.12.1989 |
41,5 2019 |
Précipitations (mm) | 68,3 | 60,9 | 57,4 | 77,3 | 71 | 58,6 | 51,2 | 58,8 | 67,6 | 74 | 80,6 | 78,1 | 803,8 |
Urbanisme
Typologie
Duras est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4] - [11] - [12] - [13]. La commune est en outre hors attraction des villes[14] - [15].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne dâoccupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (87,6 % en 2018), nĂ©anmoins en diminution par rapport Ă 1990 (91,1 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : terres arables (40,2 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (28,8 %), prairies (12,2 %), forĂȘts (9,3 %), cultures permanentes (6,4 %), zones urbanisĂ©es (3,1 %)[16].
L'IGN met par ailleurs Ă disposition un outil en ligne permettant de comparer lâĂ©volution dans le temps de lâoccupation des sols de la commune (ou de territoires Ă des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă aujourd'hui)[Carte 1].
Risques majeurs
Le territoire de la commune de Duras est vulnĂ©rable Ă diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse), inondations, mouvements de terrains et sĂ©isme (sismicitĂ© trĂšs faible). Il est Ă©galement exposĂ© Ă un risque technologique, le transport de matiĂšres dangereuses[17]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[18].
Risques naturels
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles dâĂȘtre affectĂ©es par le risque dâinondation par une crue Ă dĂ©bordement lent de cours d'eau, notamment le Dropt et la DourdĂšze. La commune a Ă©tĂ© reconnue en Ă©tat de catastrophe naturelle au titre des dommages causĂ©s par les inondations et coulĂ©es de boue survenues en 1982, 1983, 1999, 2009, 2018 et 2021[19] - [17].
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des affaissements et effondrements liĂ©s aux cavitĂ©s souterraines (hors mines) et des tassements diffĂ©rentiels[20]. Afin de mieux apprĂ©hender le risque dâaffaissement de terrain, un inventaire national permet de localiser les Ă©ventuelles cavitĂ©s souterraines sur la commune[21].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas dâalternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie[22]. La totalitĂ© de la commune est en alĂ©a moyen ou fort (91,8 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 2]. Depuis le , en application de la loi ELAN, diffĂ©rentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maĂźtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situĂ©s dans une zone classĂ©e en alĂ©a moyen ou fort[Note 5] - [23].
Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 2002, 2003 et 2011, par des mouvements de terrain en 1999 et par des glissements de terrain en 1994[17].
Toponymie
La forme la plus ancienne de Duras pourrait provenir du celte duros signifiant hauteur fortifiée, racine à laquelle aurait été ajouté le suffixe -acum.
Le duras est aussi un cĂ©page de la rĂ©gion gaillacoise auquel on a voulu donner les mĂȘmes origines.
Histoire
La ville de Duras est née en 1137 ou peu aprÚs, lorsque le vicomte de Bezaume (probablement Guillaume-Amanieu de Gabardan) a saccagé la ville voisine de Saint-Eyrard (oc), dépendante de l'abbaye bénédictine de La Réole, et forcé sa population à se déplacer prÚs de son chùteau (dont on déduit qu'il existait déjà ). Entre 1137 et 1233, date de la mention d'un prior de Duras, le prieuré de Saint-Eyrard, possession de l'abbaye de La Réole, a lui aussi été transféré à Duras[24].
Ce lieu a donné son nom à une branche de la maison de Durfort. Il fut érigé en marquisat en 1609 et en duché de Duras en 1689.
HĂ©raldique
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Les armes de Duras se blasonnent ainsi : ĂcartelĂ© d'argent et de gueules. |
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Politique et administration
Liste des maires
Jumelages
- Saint-Trond (Belgique) depuis 1998[26]
Population et société
Ăvolution dĂ©mographique
L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[27]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2004[28].
En 2020, la commune comptait 1 214 habitants[Note 6], en diminution de 7,19 % par rapport Ă 2014 (Lot-et-Garonne : â0,72 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Pyramide des Ăąges
La population de la commune est relativement ĂągĂ©e. En 2018, le taux de personnes d'un Ăąge infĂ©rieur Ă 30 ans s'Ă©lĂšve Ă 22,4 %, soit en dessous de la moyenne dĂ©partementale (30,2 %). Ă l'inverse, le taux de personnes d'Ăąge supĂ©rieur Ă 60 ans est de 48,4 % la mĂȘme annĂ©e, alors qu'il est de 33,1 % au niveau dĂ©partemental.
En 2018, la commune comptait 579 hommes pour 672 femmes, soit un taux de 53,72 % de femmes, légÚrement supérieur au taux départemental (51,96 %).
Les pyramides des ùges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Enseignement
La commune relÚve de l'académie de Bordeaux.
La ville administre une école maternelle et une école élémentaire communales[33] et le département gÚre un collÚge : le collÚge Lucien Sigala[34] qui a un taux de réussite de 98% au DNB 2020[35].
La commune administre Ă©galement une crĂšche (MAM)
Manifestations culturelles et festivités
- Juillet, Aout : marchés nocturnes le jeudi soir, projection son et lumiÚres sur les façades du chùteau tous les dimanches, mardis et jeudis ;
- Juillet : festival de musique Ă©lectronique Durassic Festival, FĂȘte du 14 Juillet avec feu d'artifice et projection son et lumiĂšres au chĂąteau ;
- 15 août : brocante ;
- AoĂ»t : fĂȘte mĂ©diĂ©vale (jeux anciens, animations gratuites dans la ville, spectacle payant au pied du chĂąteau), fĂȘte du vin ;
- Septembre : les Ducales, concert de musique classique au sein du chĂąteau ;
- Octobre : rassemblement d'Halloween;
- Décembre : marché de Noël.
Santé
Il y a une maison maison mĂ©dicale oĂč sont prĂ©sents mĂ©decins gĂ©nĂ©ralistes, infirmiers, kinĂ©sithĂ©rapeute, ostĂ©opathe et dentiste. Un EHPAD est prĂ©sent sur la commune ainsi qu'une rĂ©sidence pour personnes ĂągĂ©es (MARPA).
Cinéma
En 2012 a été tourné dans la commune le film La Dune de Yossi Aviram.
Sports
- Stade municipal Francois-Ballet.
- Gymnase
- Terrains de pétanque
- Skate parc
Cultes
- Catholique : paroisse Saint-Martin du Dropt.
Ăconomie
Revenus de la population et fiscalité
En 2006, le revenu fiscal mĂ©dian par mĂ©nage Ă©tait de 13 675 âŹ, ce qui plaçait Duras au 26 483e rang parmi les 30 687 communes de plus de 50 mĂ©nages en mĂ©tropole[36].
Emploi
- Agriculture : 128 ha de vignes et 278 de bois.
Entreprises et commerces
- Marché : le lundi matin et le jeudi soir l'été.
- Vignobles des CĂŽtes-de-duras (AOC) et la Maison des vins.
- Fabrique artisanale de chocolats et pruneaux d'Agen (société Guinguet).
- HĂ©bergements touristiques : des gĂźtes, deux hĂŽtels et deux campings dont un municipal assurant Ă©galement une aire pour camping-cars.
- Maison de retraite.
Lieux et monuments
- Chùteau de Duras, XIIe au XVIIe siÚcle, classé monument historique en intégralité depuis 2002[37],
- Tour de l'Horloge, XIIIe et XVIIe siĂšcles, ancienne porte de la ville, inscrite aux monuments historiques depuis 1953[38],
- Ăglise Sainte Marie-Madeleine, construite au dĂ©but du XIXe siĂšcle Ă l'emplacement d'un temple protestant qui avait Ă©tĂ© affectĂ© au culte catholique en 1685, sans clocher. La dĂ©coration intĂ©rieure est due au peintre italien Giovanni Masutti (1934), qui a ĆuvrĂ© dans plusieurs Ă©glises de la rĂ©gion Ă l'Ă©poque.
- Musée des monnaies[39] du XIIe au XIXe siÚcle,
- Sentier botanique[40],
- Le jardin des Vignes Ă la Maison des vins.
- Façade sud-ouest du chùteau.
- La mairie (oct. 2012).
- L'Ă©glise Sainte-Marie-Madeleine, rue Jauffret (oct. 2012).
- La tour de l'Horloge, cÎté ouest (oct. 2012).
- La tour de l'Horloge, cÎté est (oct. 2012).
- Le monument aux morts, place de la RĂ©sistance (oct. 2012).
Personnalités liées à la commune
- Maison de Duras :
- Guy Aldonce Ier de Durfort (1605â1665), marquis de Duras, militaire français ;
- Jacques Henri de Durfort (1625â1704), fils du prĂ©cĂ©dent, marĂ©chal de France et gouverneur de Franche-ComtĂ© sous Louis XIV ;
- Guy Aldonce II de Durfort (1630â1702), frĂšre du prĂ©cĂ©dent, Ă©galement marĂ©chal de France ;
- Marie de Durfort (1648â1689), sĆur des prĂ©cĂ©dents ;
- Louise d'Aumont (1759â1826), duchesse de Mazarin, issue de la famille des Durfort-Duras, devint la princesse Louise de Monaco aprĂšs avoir Ă©pousĂ©, le 15 juillet 1777, le prince de Monaco, futur HonorĂ© IV (1758â1819). Cependant, malgrĂ© un mariage qui dura une vingtaine dâannĂ©es â de 1777 (date du mariage) Ă 1798 (date du divorce), elle nâĂ©tait plus lâĂ©pouse du prince lors de son avĂšnement, aprĂšs la pĂ©riode d'occupation française (1793â1814), le 30 mai 1814. De cette union naquirent deux fils qui rĂ©gnĂšrent lâun aprĂšs lâautre : le prince HonorĂ© V (1778â1841) et le prince Florestan Ier (1785-1856). Le 4 juillet 2017[41], une plaque est dĂ©voilĂ©e par le prince Albert II de Monaco : une des salles de la halle du village (datant du XVe siĂšcle) porte dĂ©sormais le nom de son aĂŻeule, Louise-FĂ©licitĂ©-Victoire dâAumont, hĂ©ritiĂšre des Durfort-Duras.
- Claire de Kersaint (1777â1828), Ă©crivain fĂ©ministe, duchesse de Duras.
- David Hume de Godscroft (1558â1629), historien Ă©cossais, a Ă©tĂ© pasteur protestant Ă Duras pour une dĂ©cennie, Ă partir de 1604.
- Jean Orieux (1907â1990), romancier et biographe, est nĂ© Ă Duras et y est enterrĂ©.
- Marguerite Duras (1914â1996), Ă©crivain, nĂ©e Marguerite Donnadieu, dont le nom de plume est une rĂ©fĂ©rence Ă la ville de Duras ; son nom a Ă©tĂ© donnĂ© Ă une place de la ville.
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
- Site officiel de la mairie
- Pays de Duras, informations touristiques
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Duras », sur ehess.fr, Ăcole des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
- Duras sur le site de l'Institut géographique national (archive)
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. AprÚs les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[6].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[7].
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
- au vendeur d'informer le potentiel acquĂ©reur du terrain non bĂąti de lâexistence du risque RGA ;
- au maĂźtre dâouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maĂźtre d'Ćuvre, le choix entre fournir une Ă©tude gĂ©otechnique de conception et le respect des techniques particuliĂšres de construction dĂ©finies par voie rĂ©glementaire ;
- au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de lâĂ©tude gĂ©otechnique de conception, soit de respecter des techniques particuliĂšres de construction dĂ©finies par voie rĂ©glementaire.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
- Cartes
- IGN, « Ăvolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă droite ou Ă gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă gauche de l'Ă©cran.
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
Références
- Nom des habitants de la commune sur habitants.fr, consulté le 27 juillet 2013.
- Carte IGN sous GĂ©oportail
- « Carte géologique de la France au 1/50 000 - Notice no 829 - Duras » [PDF], sur le site Ficheinfoterre du BRGM (consulté le ), p. 22-43.
- Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,â (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire â PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
- « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions dâoutre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
- « Fiche du Poste 47086001 » [PDF], sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - dĂ©finition », sur le site de lâInsee (consultĂ© le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
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- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
- « Les risques prÚs de chez moi - commune de Duras », sur Géorisques (consulté le )
- BRGM, « Ăvaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur GĂ©orisques (consultĂ© le )
- « Dossier départemental des risques majeurs de Lot-et-Garonne », sur www.lot-et-garonne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
- « Dossier départemental des risques majeurs de Lot-et-Garonne », sur www.lot-et-garonne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
- « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Duras », sur http://www.georisques.gouv.fr/ (consulté le )
- « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
- « Sols argileux, sécheresse et construction », sur www.ecologie.gouv.fr (consulté le )
- http://www.duras.free.fr/histoire.php#Le%20paysage%20de%20la%20seigneurie%20et%20la%20formation%20du%20r%C3%A9seau%20paroissial, p. 40
- Guy Brunetaud, « Au départ d'un troisiÚme mandat », Sud Ouest édition Dordogne/Lot-et-Garonne, , p. 21.
- « Atlas français de la coopération décentralisée et des autres actions extérieures », sur MinistÚre des affaires étrangÚres (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'Ăcole des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- Insee, « Ăvolution et structure de la population en 2018 - Commune de Duras (47086) », (consultĂ© le ).
- Insee, « Ăvolution et structure de la population en 2018 - DĂ©partement de Lot-et-Garonne (47) », (consultĂ© le ).
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- Sentier botanique (Domaine les Hauts de Riquet)
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