Saint-Sauveur (Dordogne)
Saint-Sauveur (nom officiel), ou Saint-Sauveur-de-Bergerac (nom local), est une commune française située dans le département de la Dordogne, en région Nouvelle-Aquitaine.
Saint-Sauveur | |||||
La mairie de Saint-Sauveur | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
RĂ©gion | Nouvelle-Aquitaine | ||||
DĂ©partement | Dordogne | ||||
Arrondissement | Bergerac | ||||
Intercommunalité | Communauté d'agglomération bergeracoise (nouvelle) | ||||
Maire Mandat |
Roland Fray 2020-2026 |
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Code postal | 24520 | ||||
Code commune | 24499 | ||||
DĂ©mographie | |||||
Gentilé | Salvadoriens | ||||
Population municipale |
862 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 93 hab./km2 | ||||
GĂ©ographie | |||||
CoordonnĂ©es | 44° 52âČ 06âł nord, 0° 35âČ 11âł est | ||||
Altitude | Min. 50 m Max. 141 m |
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Superficie | 9,31 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Unité urbaine | Bergerac (banlieue) | ||||
Aire d'attraction | Bergerac (commune de la couronne) |
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Ălections | |||||
DĂ©partementales | Canton de Bergerac-2 | ||||
LĂ©gislatives | DeuxiĂšme circonscription | ||||
Localisation | |||||
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : Dordogne
GĂ©olocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
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Liens | |||||
Site web | www.saintsauveurdebergerac.com | ||||
GĂ©ographie
Généralités
En Périgord pourpre et dans l'unité urbaine de Bergerac, la commune de Saint-Sauveur, située en rive droite de la Dordogne, n'est cependant pas bordée par elle, séparée de son cours par une bande de terre d'environ 200 à 300 mÚtres de large appartenant à la commune de Mouleydier[1]. Au nord, le territoire communal est limité par le Caudeau, un petit affluent de la Dordogne.
Le village de Saint-Sauveur, traversé par la route départementale (RD) 21, est situé, en distances orthodromiques, huit kilomÚtres à l'est-nord-est de Bergerac et douze kilomÚtres à l'ouest-nord-ouest de Lalinde.
La commune est également desservie au nord par la route départementale RD 21E1, en limite sud par la RD 21E2, et du sud-ouest au nord-est par la RD 32.
Communes limitrophes
Saint-Sauveur est limitrophe de cinq autres communes dont Lembras au nord-ouest sur environ 220 mĂštres. Au sud, son territoire est distant d'environ 230 mĂštres de celui de Saint-Germain-et-Mons.
GĂ©ologie
SituĂ© sur la plaque nord du Bassin aquitain et bordĂ© Ă son extrĂ©mitĂ© nord-est par une frange du Massif central, le dĂ©partement de la Dordogne prĂ©sente une grande diversitĂ© gĂ©ologique. Les terrains sont disposĂ©s en profondeur en strates rĂ©guliĂšres, tĂ©moins d'une sĂ©dimentation sur cette ancienne plate-forme marine. Le dĂ©partement peut ainsi ĂȘtre dĂ©coupĂ© sur le plan gĂ©ologique en quatre gradins diffĂ©renciĂ©s selon leur Ăąge gĂ©ologique. Saint-Sauveur est situĂ©e dans le quatriĂšme gradin Ă partir du nord-est, un plateau formĂ© de dĂ©pĂŽts siliceux-grĂ©seux et de calcaires lacustres de l'Ăšre tertiaire[2].
Les couches affleurantes sur le territoire communal sont constituées de formations superficielles du Quaternaire et de roches sédimentaires datant pour certaines du Cénozoïque, et pour d'autres du Mésozoïque. La formation la plus ancienne, notée c5d, date du Campanien 4, des calcaires crayo-marneux grisùtres et des calcaires graveleux bioclastiques à orbitoides. La formation la plus récente, notée CF, fait partie des formations superficielles de type colluvions indifférenciées sablo-argileuses et argilo-sableuses. Le descriptif de ces couches est détaillé dans la feuille « no 806 - Bergerac » de la carte géologique au 1/50 000 de la France métropolitaine[3] - [4] et sa notice associée[5].
Ăre | PĂ©riode | Ăpoque | Formations gĂ©ologiques | ||||||||||
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CĂ©nozoĂŻque (0 - 66.0) |
Quaternaire (0 - 2.58) |
HolocĂšne |
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PléistocÚne |
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NĂ©ogĂšne (2.58 - 23.03) |
non présent | ||||||||||||
PaléogÚne (23.03 - 66.0) |
OligocÚne | non présent | |||||||||||
ĂocĂšne |
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PaléocÚne | non présent | ||||||||||||
MĂ©sozoĂŻque (66.0 - 252.17) |
CrĂ©tacĂ© (66.0 - â145.0) |
Supérieur |
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inférieur | non présent. | ||||||||||||
Jurassique (â145.0 - 201.3) |
non présent | ||||||||||||
Trias (201.3 - 252.17) |
non présent | ||||||||||||
Paléozoïque (252.17 - 541.0) |
non présent |
Relief et paysages
Le dĂ©partement de la Dordogne se prĂ©sente comme un vaste plateau inclinĂ© du nord-est (491 m, Ă la forĂȘt de Vieillecour dans le Nontronnais, Ă Saint-Pierre-de-Frugie) au sud-ouest (2 m Ă Lamothe-Montravel). L'altitude du territoire communal varie quant Ă elle entre 50 mĂštres[6] au nord-ouest, lĂ oĂč le bras sud du Caudeau, appelĂ© Vieux Caudeau, quitte la commune pour servir de limite entre celles de Lembras et Creysse, et 141 mĂštres[6] en deux endroits, de part et d'autre de la route dĂ©partementale 32 et du lieu-dit Piquecaillou[1], 600 mĂštres au nord et 1 200 mĂštres au nord-ouest du bourg de Saint-Sauveur[7].
Dans le cadre de la Convention europĂ©enne du paysage entrĂ©e en vigueur en France le , renforcĂ©e par la loi du 8 aoĂ»t 2016 pour la reconquĂȘte de la biodiversitĂ©, de la nature et des paysages, un atlas des paysages de la Dordogne a Ă©tĂ© Ă©laborĂ© sous maĂźtrise dâouvrage de lâĂtat et publiĂ© en [8]. Les paysages du dĂ©partement s'organisent en huit unitĂ©s paysagĂšres[Note 1] - [9]. La commune est dans le Bergeracois, une rĂ©gion naturelle prĂ©sentant un relief contrastĂ©, avec les deux grandes vallĂ©es de la Dordogne et du Dropt sĂ©parĂ©es par un plateau plus ou moins vallonnĂ©, dont la pente gĂ©nĂ©rale sâincline doucement dâest en ouest. Ce territoire offre des paysages ouverts qui tranchent avec les paysages pĂ©rigourdins. Il est composĂ© de vignes, vergers et cultures[10] - [11].
La superficie cadastrale de la commune publiée par l'Insee, qui sert de référence dans toutes les statistiques, est de 9,31 km2[12] - [Note 2]. La superficie géographique, issue de la BD Topo, composante du Référentiel à grande échelle produit par l'IGN, est quant à elle de 9,38 km2[4].
RĂ©seau hydrographique
La commune est située dans le bassin de la Dordogne au sein du Bassin Adour-Garonne[15]. Elle est drainée uniquement par le Caudeau et ses bras méridionaux, qui constituent un réseau hydrographique de 2,5 km de longueur totale[16] - [Carte 1].
Le Caudeau, d'une longueur totale de 38,47 km, prend sa source dans la commune de Veyrines-de-Vergt et se jette dans la Dordogne en rive droite Ă Bergerac, juste en aval du barrage de Bergerac[17]. Il borde la commune au nord sur deux kilomĂštres et demi, face Ă Lamonzie-Montastruc et Lembras.
- Le Caudeau en limite de Lamonzie-Montastruc (Ă gauche) et de Saint-Sauveur.
- RĂ©seaux hydrographique et routier de Saint-Sauveur.
Gestion et qualité des eaux
Le territoire communal est couvert par le schĂ©ma d'amĂ©nagement et de gestion des eaux (SAGE) « Dordogne Atlantique ». Ce document de planification, dont le territoire correspond au sousâbassin le plus aval du bassin versant de la Dordogne (aval de la confluence Dordogne - VĂ©zĂšre)., d'une superficie de 2 700 km2 est en cours d'Ă©laboration. La structure porteuse de l'Ă©laboration et de la mise en Ćuvre est l'Ă©tablissement public territorial de bassin de la Dordogne (EPIDOR)[18]. Il dĂ©finit sur son territoire les objectifs gĂ©nĂ©raux dâutilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualitĂ© dĂ©finis dans le troisiĂšme SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la pĂ©riode 2022-2027, approuvĂ© le [19].
La qualitĂ© des eaux de baignade et des cours dâeau peut ĂȘtre consultĂ©e sur un site dĂ©diĂ© gĂ©rĂ© par les agences de lâeau et lâAgence française pour la biodiversitĂ©[Carte 2].
Climat
Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[20]. En 2020, la commune ressort du mĂȘme type de climat dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il sâagit dâune zone de transition entre le climat ocĂ©anique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[21].
Les paramĂštres climatiques qui ont permis dâĂ©tablir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă la normale 1971-2000[Note 3]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.
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Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Ănergie et du Climat[24] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[25] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Bergerac », sur la commune de Bergerac, mise en service en 1988[26] et qui se trouve Ă 8 km Ă vol d'oiseau[27] - [Note 6], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 13,2 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[28], Ă 13,1 °C pour 1981-2010[29], puis Ă 13,3 °C pour 1991-2020[30].
Urbanisme
Typologie
Saint-Sauveur est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 7] - [31] - [32] - [33]. Elle appartient à l'unité urbaine de Bergerac, une agglomération inter-départementale regroupant 22 communes[34] et 64 187 habitants en 2020, dont elle est une commune de la banlieue[35] - [36].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Bergerac, dont elle est une commune de la couronne[Note 8]. Cette aire, qui regroupe 73 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[37] - [38].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne dâoccupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des forĂȘts et milieux semi-naturels (53,7 % en 2018), une proportion identique Ă celle de 1990 (54,1 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : forĂȘts (50,8 %), prairies (17,8 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (13,3 %), zones urbanisĂ©es (10,3 %), terres arables (4,9 %), milieux Ă vĂ©gĂ©tation arbustive et/ou herbacĂ©e (2,9 %)[39].
L'Ă©volution de lâoccupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut ĂȘtre observĂ©e sur les diffĂ©rentes reprĂ©sentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et les cartes ou photos aĂ©riennes de l'IGN pour la pĂ©riode actuelle (1950 Ă aujourd'hui)[Carte 3].
Prévention des risques
Le territoire de la commune de Saint-Sauveur est vulnĂ©rable Ă diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse), inondations, feux de forĂȘts, mouvements de terrains et sĂ©isme (sismicitĂ© trĂšs faible)[40]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[41].
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles dâĂȘtre affectĂ©es par le risque dâinondation par dĂ©bordement de cours d'eau, notamment le Caudeau. La commune a Ă©tĂ© reconnue en Ă©tat de catastrophe naturelle au titre des dommages causĂ©s par les inondations et coulĂ©es de boue survenues en 1982 et 1999[42] - [40]. Le risque inondation est pris en compte dans l'amĂ©nagement du territoire de la commune par le biais du plan de prĂ©vention des risques inondation (PPRI) de la « vallĂ©e du Caudeau », couvrant 14 communes et approuvĂ© le , pour les crues du Caudeau[43] - [44].
Saint-Sauveur est exposĂ©e au risque de feu de forĂȘt. LâarrĂȘtĂ© prĂ©fectoral du fixe les conditions de pratique des incinĂ©rations et de brĂ»lage dans un objectif de rĂ©duire le risque de dĂ©parts dâincendie. Ă ce titre, des pĂ©riodes sont dĂ©terminĂ©es : interdiction totale du 15 fĂ©vrier au 15 mai et du 15 juin au 15 octobre, utilisation rĂ©glementĂ©e du 16 mai au 14 juin et du 16 octobre au 14 fĂ©vrier[45]. En septembre 2020, un plan inter-dĂ©partemental de protection des forĂȘts contre les incendies (PidPFCI) a Ă©tĂ© adoptĂ© pour la pĂ©riode 2019-2029[46] - [47].
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements diffĂ©rentiels[48]. Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas dâalternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie[49]. 44,9 % de la superficie communale est en alĂ©a moyen ou fort (58,6 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national mĂ©tropolitain)[Carte 4]. Depuis le , en application de la loi ĂLAN, diffĂ©rentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maĂźtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situĂ©s dans une zone classĂ©e en alĂ©a moyen ou fort[Note 9] - [50].
La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 1991, 1997, 2005 et 2011 et par des mouvements de terrain en 1999[40].
Toponymie
Bien que le nom officiel de la commune soit Saint-Sauveur[51], elle porte localement le nom de Saint Sauveur de Bergerac, comme le prouvent les panneaux routiers du bourg et le site internet du Pays du Grand Bergeracois[52], du fait de la proximitĂ© de Bergerac et Ă cause de l'homonymie avec Saint-Sauveur-Lalande (anciennement appelĂ©e Saint-Sauveur[53]), situĂ©e dans le mĂȘme dĂ©partement, Ă trente kilomĂštres au nord-ouest, Ă vol d'oiseau.
La premiÚre mention écrite connue du village remonte au XVIe siÚcle sous la forme latine Sanctus Salvator de la Mongia, se référant au village proche de La Mongie, situé au nord. Au XVIIIe siÚcle apparaßt le nom de Saint-Sauveur de Clairans, par rapport à Clairans, à l'est[54].
Saint-Sauveur est le nom mystique de JĂ©sus-Christ[55].
Histoire
En plusieurs lieux du territoire communal ont été révélées des traces d'occupation humaine au Paléolithique[54].
La commune de Saint-Sauveur a Ă©tĂ© crĂ©Ă©e en 1790, en mĂȘme temps que la plupart des autres communes françaises.
Politique et administration
Rattachements administratifs
La commune de Saint-Sauveur a, dĂšs 1790, Ă©tĂ© rattachĂ©e au canton de Liorac qui dĂ©pendait du district de Bergerac. En 1800, le canton de Liorac est supprimĂ©, de mĂȘme que les districts, et la commune est rattachĂ©e au canton de Bergerac dĂ©pendant de l'arrondissement de Bergerac[6]. En 1973, le canton de Bergerac est scindĂ© en deux et Saint-Sauveur est dĂ©sormais rattachĂ©e au canton de Bergerac-2.
Intercommunalité
En 2002, Saint-Sauveur intÚgre dÚs sa création la communauté de communes des Trois Vallées du Bergeracois. Cette structure intercommunale fusionne avec deux autres pour former au la communauté d'agglomération bergeracoise. Celle-ci fusionne avec la communauté de communes des Coteaux de SigoulÚs au pour former la nouvelle communauté d'agglomération bergeracoise.
Administration municipale
La population de la commune étant comprise entre 500 et 1 499 habitants au recensement de 2017, quinze conseillers municipaux ont été élus en 2020[57] - [58].
Liste des maires
Juridictions
Dans le domaine judiciaire, Saint-Sauveur relĂšve[63] :
- du tribunal judiciaire, du tribunal pour enfants, du conseil de prud'hommes, du tribunal de commerce et du tribunal paritaire des baux ruraux de Bergerac ;
- de la cour d'appel de Bordeaux.
Politique environnementale
Dans son palmarÚs 2022, le Conseil national de villes et villages fleuris de France a attribué deux fleurs à la commune[64].
Population et société
DĂ©mographie
Les habitants de Saint-Sauveur se nomment les Salvadoriens[65].
L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[66]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2008[67].
En 2020, la commune comptait 862 habitants[Note 12], en augmentation de 4,23 % par rapport Ă 2014 (Dordogne : â0,85 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Enseignement
En 2012, Saint-Sauveur est organisée en regroupement pédagogique intercommunal (RPI)[69] avec la commune de Lamonzie-Montastruc au niveau des classes de maternelle et de primaire. La commune assure les classes de cours élémentaire et de cours moyen, les classes de maternelle et de cours préparatoire s'effectuant à Lamonzie-Montastruc[70].
Ăconomie
AOC
La commune de Saint-Sauveur est l'une des quatre communes (avec Bergerac, Creysse et Lembras) oĂč est cultivĂ© le vignoble qui produit l'AOC pĂ©charmant[71].
Emploi
En 2015[72], parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs représentent 390 personnes, soit 46,4 % de la population municipale. Le nombre de chÎmeurs (trente-huit) a augmenté par rapport à 2010 (vingt-cinq) et le taux de chÎmage de cette population active s'établit à 9,8 %.
Ătablissements
Au , la commune compte cinquante-huit Ă©tablissements[73], dont trente-deux au niveau des commerces, transports ou services, huit dans la construction, huit relatifs au secteur administratif, Ă l'enseignement, Ă la santĂ© ou Ă l'action sociale, sept dans l'agriculture, la sylviculture ou la pĂȘche, et trois dans l'industrie[74].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- ChĂąteau de Biran, XVIIe siĂšcle,dans un domaine viticole
- ChĂąteau de Grateloup, XVIIIe et XIXe siĂšcles, partiellement inscrit aux monuments historiques depuis 1997[75], dans un site inscrit depuis 1973[76].
- Manoir de Tourondel
- Chartreuse des Bourdies (ou des Bourdiés)
- Ăglise Transfiguration de Notre-Seigneur, de style nĂ©ogothique
- Tombe de Maine de Biran[77].
Le clocher-mur de l'Ă©glise. Le portail de l'Ă©glise. La chartreuse des Bourdies. Tombes de la famille de Biran, dont celle de Maine de Biran.
Patrimoine naturel
La commune prĂ©sente deux zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) :
- Ă la pointe nord-est du territoire communal, sur environ 75 hectares, une ZNIEFF de type II : la forĂȘt de Liorac, refuge de la grande faune[78] - [79].
- sur 37 hectares au nord de la route départementale 32, entre les lieux-dits le Fournicou et les Grands Bois, une ZNIEFF de type I : la station botanique du Fournicou, site sur lequel se rencontre une fougÚre plutÎt endémique des zones montagnardes[80] - [81], le polystic à aiguillons (Polystichum aculeatum)[82].
Par ailleurs, le chùteau de Grateloup et ses environs représentent sur plus de 12 hectares, un site inscrit[76].
Personnalités liées à la commune
- Famille Gontier de Biran
- Maine de Biran (1766-1824), philosophe, vécut en partie au chùteau de Grateloup. Il fut inhumé à Paris mais ses restes furent rapatriés en 1866 à Saint-Sauveur, dans le tombeau de la famille[83].
- Henri Sicard (1914-1992), est un homme politique, né à Saint-Sauveur.
HĂ©raldique
Blason | Parti, au 1er d'or à trois bandes d'azur ; au chef de gueules chargé d'une porte couverte donjonnée de deux tours d'or et ouverte de gueules, au 2e de gueules au dragon d'or lampassé d'argent mis en pal ; au chef aussi de gueules à la croix cléchée, vidée et pommetée de douze piÚces d'or[84].
à dextre, les armes de Maine de Biran surmontées en chef de l'emblÚme héraldique de l'entrée de sa gentilhommiÚre au chùteau de Grateloup. à senestre, le « Coulobre », dragon terrassé selon la légende par saint Front ; surmonté en chef de la croix occitane. |
|
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Détails | Blason validé par le conseil municipal de la commune en 1993[84]. |
Voir aussi
Articles connexes
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Une unité paysagÚre est un pan de territoire qui présente des caractéristiques paysagÚres propres.
- La superficie publiĂ©e par lâInsee est la superficie Ă©valuĂ©e en 1975 par le service du cadastre de la Direction GĂ©nĂ©rale des ImpĂŽts, corrigĂ©e des modifications communales intervenues depuis 1975. Elle comprend toutes les surfaces du domaine public et privĂ©, cadastrĂ©es ou non cadastrĂ©es, Ă l'exception des lacs, Ă©tangs et glaciers de plus d'un kilomĂštre carrĂ© ainsi que des estuaires et ne correspond pas obligatoirement Ă la surface gĂ©ographique[13] - [14]
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. AprÚs les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[22].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[23].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en celle d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
- au vendeur d'informer le potentiel acquĂ©reur du terrain non bĂąti de lâexistence du risque RGA ;
- au maĂźtre dâouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maĂźtre d'Ćuvre, le choix entre fournir une Ă©tude gĂ©otechnique de conception et le respect des techniques particuliĂšres de construction dĂ©finies par voie rĂ©glementaire ;
- au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de lâĂ©tude gĂ©otechnique de conception, soit de respecter des techniques particuliĂšres de construction dĂ©finies par voie rĂ©glementaire.
- Suspendu de ses fonctions.
- DĂ©missionnaire.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
- Cartes
- « Réseau hydrographique de Saint-Sauveur » sur Géoportail (consulté le 18 juillet 2022).
- « Qualité des eaux de riviÚre et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le )
- IGN, « Ăvolution comparĂ©e de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ).
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
Références
- Carte IGN 1836 E
- « Géologie de la Dordogne - Périgord », sur espritdepays.com (consulté le ).
- « Carte géologique de Saint-Sauveur » sur Géoportail (consulté le 14 juin 2022).
- « CaractĂ©ristiques gĂ©ologiques et hydrogĂ©ologiques de la commune de Saint-Sauveur », sur le SystĂšme dâinformation pour la gestion des eaux souterraines (SIGES) en Occitanie (consultĂ© le )
- « Notice associée à la feuille no 806 - Bergerac de la carte géologique harmonisée au 1/50 000 de la France métropolitaine », sur Infoterre, le site du BRGM (consulté le )
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'Ăcole des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
- IGN, « Répertoire géographique des communes (RGC) 2014 », sur drive.google.com
- « Pourquoi un Atlas des paysages du Dordogne ? », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
- « Unités paysagÚres de la Dordogne », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
- « RepÚres géographiques du Bergeracois », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
- « Portrait du Bergeracois », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
- Insee, « Comparateur de territoire - Commune de Saint-Sauveur », sur le site de l'Insee (consulté le )
- Agence nationale de la cohésion des territoires, « Indicateurs en données ouvertes (superficie) », sur l'Observatoire des territoires (consulté le )
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