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Saint-Sauveur (Dordogne)

Saint-Sauveur (nom officiel), ou Saint-Sauveur-de-Bergerac (nom local), est une commune française située dans le département de la Dordogne, en région Nouvelle-Aquitaine.

Saint-Sauveur
Saint-Sauveur (Dordogne)
La mairie de Saint-Sauveur
Blason de Saint-Sauveur
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Nouvelle-Aquitaine
DĂ©partement Dordogne
Arrondissement Bergerac
Intercommunalité Communauté d'agglomération bergeracoise (nouvelle)
Maire
Mandat
Roland Fray
2020-2026
Code postal 24520
Code commune 24499
DĂ©mographie
Gentilé Salvadoriens
Population
municipale
862 hab. (2020 en augmentation de 4,23 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 93 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 44° 52â€Č 06″ nord, 0° 35â€Č 11″ est
Altitude Min. 50 m
Max. 141 m
Superficie 9,31 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Bergerac (banlieue)
Aire d'attraction Bergerac
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton de Bergerac-2
LĂ©gislatives DeuxiĂšme circonscription
Localisation
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Saint-Sauveur
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Saint-Sauveur
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Saint-Sauveur
Liens
Site web www.saintsauveurdebergerac.com

    GĂ©ographie

    Généralités

    En PĂ©rigord pourpre et dans l'unitĂ© urbaine de Bergerac, la commune de Saint-Sauveur, situĂ©e en rive droite de la Dordogne, n'est cependant pas bordĂ©e par elle, sĂ©parĂ©e de son cours par une bande de terre d'environ 200 Ă  300 mĂštres de large appartenant Ă  la commune de Mouleydier[1]. Au nord, le territoire communal est limitĂ© par le Caudeau, un petit affluent de la Dordogne.

    Le village de Saint-Sauveur, traversé par la route départementale (RD) 21, est situé, en distances orthodromiques, huit kilomÚtres à l'est-nord-est de Bergerac et douze kilomÚtres à l'ouest-nord-ouest de Lalinde.

    La commune est également desservie au nord par la route départementale RD 21E1, en limite sud par la RD 21E2, et du sud-ouest au nord-est par la RD 32.

    Communes limitrophes

    Carte de Saint-Sauveur et des communes avoisinantes.

    Saint-Sauveur est limitrophe de cinq autres communes dont Lembras au nord-ouest sur environ 220 mĂštres. Au sud, son territoire est distant d'environ 230 mĂštres de celui de Saint-Germain-et-Mons.

    Communes limitrophes de Saint-Sauveur
    Lembras Lamonzie-Montastruc Liorac-sur-Louyre
    Saint-Sauveur
    Creysse Mouleydier

    GĂ©ologie

    SituĂ© sur la plaque nord du Bassin aquitain et bordĂ© Ă  son extrĂ©mitĂ© nord-est par une frange du Massif central, le dĂ©partement de la Dordogne prĂ©sente une grande diversitĂ© gĂ©ologique. Les terrains sont disposĂ©s en profondeur en strates rĂ©guliĂšres, tĂ©moins d'une sĂ©dimentation sur cette ancienne plate-forme marine. Le dĂ©partement peut ainsi ĂȘtre dĂ©coupĂ© sur le plan gĂ©ologique en quatre gradins diffĂ©renciĂ©s selon leur Ăąge gĂ©ologique. Saint-Sauveur est situĂ©e dans le quatriĂšme gradin Ă  partir du nord-est, un plateau formĂ© de dĂ©pĂŽts siliceux-grĂ©seux et de calcaires lacustres de l'Ăšre tertiaire[2].

    Les couches affleurantes sur le territoire communal sont constituĂ©es de formations superficielles du Quaternaire et de roches sĂ©dimentaires datant pour certaines du CĂ©nozoĂŻque, et pour d'autres du MĂ©sozoĂŻque. La formation la plus ancienne, notĂ©e c5d, date du Campanien 4, des calcaires crayo-marneux grisĂątres et des calcaires graveleux bioclastiques Ă  orbitoides. La formation la plus rĂ©cente, notĂ©e CF, fait partie des formations superficielles de type colluvions indiffĂ©renciĂ©es sablo-argileuses et argilo-sableuses. Le descriptif de ces couches est dĂ©taillĂ© dans la feuille « no 806 - Bergerac » de la carte gĂ©ologique au 1/50 000 de la France mĂ©tropolitaine[3] - [4] et sa notice associĂ©e[5].

    Carte géologique de Saint-Sauveur.

    Relief et paysages

    Chemin forestier en forĂȘt de Liorac, en limite des communes de Saint-Sauveur (Ă  gauche) et Mouleydier.

    Le dĂ©partement de la Dordogne se prĂ©sente comme un vaste plateau inclinĂ© du nord-est (491 m, Ă  la forĂȘt de Vieillecour dans le Nontronnais, Ă  Saint-Pierre-de-Frugie) au sud-ouest (m Ă  Lamothe-Montravel). L'altitude du territoire communal varie quant Ă  elle entre 50 mĂštres[6] au nord-ouest, lĂ  oĂč le bras sud du Caudeau, appelĂ© Vieux Caudeau, quitte la commune pour servir de limite entre celles de Lembras et Creysse, et 141 mĂštres[6] en deux endroits, de part et d'autre de la route dĂ©partementale 32 et du lieu-dit Piquecaillou[1], 600 mĂštres au nord et 1 200 mĂštres au nord-ouest du bourg de Saint-Sauveur[7].

    Dans le cadre de la Convention europĂ©enne du paysage entrĂ©e en vigueur en France le , renforcĂ©e par la loi du 8 aoĂ»t 2016 pour la reconquĂȘte de la biodiversitĂ©, de la nature et des paysages, un atlas des paysages de la Dordogne a Ă©tĂ© Ă©laborĂ© sous maĂźtrise d’ouvrage de l’État et publiĂ© en [8]. Les paysages du dĂ©partement s'organisent en huit unitĂ©s paysagĂšres[Note 1] - [9]. La commune est dans le Bergeracois, une rĂ©gion naturelle prĂ©sentant un relief contrastĂ©, avec les deux grandes vallĂ©es de la Dordogne et du Dropt sĂ©parĂ©es par un plateau plus ou moins vallonnĂ©, dont la pente gĂ©nĂ©rale s’incline doucement d’est en ouest. Ce territoire offre des paysages ouverts qui tranchent avec les paysages pĂ©rigourdins. Il est composĂ© de vignes, vergers et cultures[10] - [11].

    La superficie cadastrale de la commune publiĂ©e par l'Insee, qui sert de rĂ©fĂ©rence dans toutes les statistiques, est de 9,31 km2[12] - [Note 2]. La superficie gĂ©ographique, issue de la BD Topo, composante du RĂ©fĂ©rentiel Ă  grande Ă©chelle produit par l'IGN, est quant Ă  elle de 9,38 km2[4].

    RĂ©seau hydrographique

    La commune est situĂ©e dans le bassin de la Dordogne au sein du Bassin Adour-Garonne[15]. Elle est drainĂ©e uniquement par le Caudeau et ses bras mĂ©ridionaux, qui constituent un rĂ©seau hydrographique de 2,5 km de longueur totale[16] - [Carte 1].

    Le Caudeau, d'une longueur totale de 38,47 km, prend sa source dans la commune de Veyrines-de-Vergt et se jette dans la Dordogne en rive droite Ă  Bergerac, juste en aval du barrage de Bergerac[17]. Il borde la commune au nord sur deux kilomĂštres et demi, face Ă  Lamonzie-Montastruc et Lembras.

    • Le Caudeau en limite de Lamonzie-Montastruc (Ă  gauche) et de Saint-Sauveur.
      Le Caudeau en limite de Lamonzie-Montastruc (Ă  gauche) et de Saint-Sauveur.
    • Carte en couleur prĂ©sentant le rĂ©seau hydrographique de la commune
      RĂ©seaux hydrographique et routier de Saint-Sauveur.

    Gestion et qualité des eaux

    Le territoire communal est couvert par le schĂ©ma d'amĂ©nagement et de gestion des eaux (SAGE) « Dordogne Atlantique ». Ce document de planification, dont le territoire correspond au sous‐bassin le plus aval du bassin versant de la Dordogne (aval de la confluence Dordogne - VĂ©zĂšre)., d'une superficie de 2 700 km2 est en cours d'Ă©laboration. La structure porteuse de l'Ă©laboration et de la mise en Ɠuvre est l'Ă©tablissement public territorial de bassin de la Dordogne (EPIDOR)[18]. Il dĂ©finit sur son territoire les objectifs gĂ©nĂ©raux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualitĂ© dĂ©finis dans le troisiĂšme SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la pĂ©riode 2022-2027, approuvĂ© le [19].

    La qualitĂ© des eaux de baignade et des cours d’eau peut ĂȘtre consultĂ©e sur un site dĂ©diĂ© gĂ©rĂ© par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversitĂ©[Carte 2].

    Climat

    Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[20]. En 2020, la commune ressort du mĂȘme type de climat dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat ocĂ©anique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[21].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 3]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[20]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 12,6 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 2,2 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 8 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 4] : 15,1 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation[Note 5] : 857 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 11,7 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 6,8 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[24] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[25] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Bergerac », sur la commune de Bergerac, mise en service en 1988[26] et qui se trouve Ă  km Ă  vol d'oiseau[27] - [Note 6], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 13,2 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[28], Ă  13,1 °C pour 1981-2010[29], puis Ă  13,3 °C pour 1991-2020[30].

    Urbanisme

    Typologie

    Saint-Sauveur est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trĂšs peu denses, au sens de la grille communale de densitĂ© de l'Insee[Note 7] - [31] - [32] - [33]. Elle appartient Ă  l'unitĂ© urbaine de Bergerac, une agglomĂ©ration inter-dĂ©partementale regroupant 22 communes[34] et 64 187 habitants en 2020, dont elle est une commune de la banlieue[35] - [36].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Bergerac, dont elle est une commune de la couronne[Note 8]. Cette aire, qui regroupe 73 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de 50 000 Ă  moins de 200 000 habitants[37] - [38].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des forĂȘts et milieux semi-naturels (53,7 % en 2018), une proportion identique Ă  celle de 1990 (54,1 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : forĂȘts (50,8 %), prairies (17,8 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (13,3 %), zones urbanisĂ©es (10,3 %), terres arables (4,9 %), milieux Ă  vĂ©gĂ©tation arbustive et/ou herbacĂ©e (2,9 %)[39].

    L'Ă©volution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut ĂȘtre observĂ©e sur les diffĂ©rentes reprĂ©sentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et les cartes ou photos aĂ©riennes de l'IGN pour la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[Carte 3].

    Prévention des risques

    Le territoire de la commune de Saint-Sauveur est vulnĂ©rable Ă  diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse), inondations, feux de forĂȘts, mouvements de terrains et sĂ©isme (sismicitĂ© trĂšs faible)[40]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[41].

    Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’ĂȘtre affectĂ©es par le risque d’inondation par dĂ©bordement de cours d'eau, notamment le Caudeau. La commune a Ă©tĂ© reconnue en Ă©tat de catastrophe naturelle au titre des dommages causĂ©s par les inondations et coulĂ©es de boue survenues en 1982 et 1999[42] - [40]. Le risque inondation est pris en compte dans l'amĂ©nagement du territoire de la commune par le biais du plan de prĂ©vention des risques inondation (PPRI) de la « vallĂ©e du Caudeau », couvrant 14 communes et approuvĂ© le , pour les crues du Caudeau[43] - [44].

    Saint-Sauveur est exposĂ©e au risque de feu de forĂȘt. L’arrĂȘtĂ© prĂ©fectoral du fixe les conditions de pratique des incinĂ©rations et de brĂ»lage dans un objectif de rĂ©duire le risque de dĂ©parts d’incendie. À ce titre, des pĂ©riodes sont dĂ©terminĂ©es : interdiction totale du 15 fĂ©vrier au 15 mai et du 15 juin au 15 octobre, utilisation rĂ©glementĂ©e du 16 mai au 14 juin et du 16 octobre au 14 fĂ©vrier[45]. En septembre 2020, un plan inter-dĂ©partemental de protection des forĂȘts contre les incendies (PidPFCI) a Ă©tĂ© adoptĂ© pour la pĂ©riode 2019-2029[46] - [47].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Saint-Sauveur.

    Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements diffĂ©rentiels[48]. Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas d’alternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie[49]. 44,9 % de la superficie communale est en alĂ©a moyen ou fort (58,6 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national mĂ©tropolitain)[Carte 4]. Depuis le , en application de la loi ÉLAN, diffĂ©rentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maĂźtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situĂ©s dans une zone classĂ©e en alĂ©a moyen ou fort[Note 9] - [50].

    La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 1991, 1997, 2005 et 2011 et par des mouvements de terrain en 1999[40].

    Toponymie

    Panneau d'entrée dans le village.

    Bien que le nom officiel de la commune soit Saint-Sauveur[51], elle porte localement le nom de Saint Sauveur de Bergerac, comme le prouvent les panneaux routiers du bourg et le site internet du Pays du Grand Bergeracois[52], du fait de la proximitĂ© de Bergerac et Ă  cause de l'homonymie avec Saint-Sauveur-Lalande (anciennement appelĂ©e Saint-Sauveur[53]), situĂ©e dans le mĂȘme dĂ©partement, Ă  trente kilomĂštres au nord-ouest, Ă  vol d'oiseau.

    La premiÚre mention écrite connue du village remonte au XVIe siÚcle sous la forme latine Sanctus Salvator de la Mongia, se référant au village proche de La Mongie, situé au nord. Au XVIIIe siÚcle apparaßt le nom de Saint-Sauveur de Clairans, par rapport à Clairans, à l'est[54].

    Saint-Sauveur est le nom mystique de JĂ©sus-Christ[55].

    En occitan, la commune porte le nom de Sent Salvador[56].

    Histoire

    En plusieurs lieux du territoire communal ont été révélées des traces d'occupation humaine au Paléolithique[54].

    La commune de Saint-Sauveur a Ă©tĂ© crĂ©Ă©e en 1790, en mĂȘme temps que la plupart des autres communes françaises.

    Politique et administration

    Rattachements administratifs

    La commune de Saint-Sauveur a, dĂšs 1790, Ă©tĂ© rattachĂ©e au canton de Liorac qui dĂ©pendait du district de Bergerac. En 1800, le canton de Liorac est supprimĂ©, de mĂȘme que les districts, et la commune est rattachĂ©e au canton de Bergerac dĂ©pendant de l'arrondissement de Bergerac[6]. En 1973, le canton de Bergerac est scindĂ© en deux et Saint-Sauveur est dĂ©sormais rattachĂ©e au canton de Bergerac-2.

    Intercommunalité

    En 2002, Saint-Sauveur intÚgre dÚs sa création la communauté de communes des Trois Vallées du Bergeracois. Cette structure intercommunale fusionne avec deux autres pour former au la communauté d'agglomération bergeracoise. Celle-ci fusionne avec la communauté de communes des Coteaux de SigoulÚs au pour former la nouvelle communauté d'agglomération bergeracoise.

    Administration municipale

    La population de la commune Ă©tant comprise entre 500 et 1 499 habitants au recensement de 2017, quinze conseillers municipaux ont Ă©tĂ© Ă©lus en 2020[57] - [58].

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    Les données manquantes sont à compléter.
    février 1790 Tournier Curé
    juin 1790 Basset
    An II An III Burete
    An IV An V Tournier
    An V Chiquot
    An VI Burete
    An VI 1812 Chiquot
    1813 1815 Sirven
    1815 1815 Chiquot
    1815 1825 De Sirven Qualité=
    1825 1826 Basset
    1826 1831 Maine de Biran
    1831 1836 Mirabel
    1837 1838 Maine de Biran
    1839 1844 Valeton
    1844 décembre 1851 Charpenet[Note 10]
    janvier 1852 septembre 1855 Jean Ravinet[Note 11]
    septembre 1855 février 1863 Ludovic de RoyÚre[Note 11]
    février 1863 (1922 ou 1923) Ludovic (Daude-)Lagrave Avocat
    janvier 1923 1952 Edmond Daude-Lagrave MĂ©decin
    décembre 1952 mai 1953 Gaston Chort
    mai 1953 mars 1959 Georges Maury
    mars 1959 mars 1977 Pierre Morand-Monteil Avocat
    mars 1977 mars 2001 Alphonse Deplanque Agent général d'assurances
    mars 2001 juin 2016[59] Daniel Joiret[60] PS[61] Retraité
    juin 2016 septembre 2016 Roland Fray Adjoint faisant fonctions de maire
    septembre 2016
    (réélu en mai 2020[62])
    En cours Roland Fray

    Juridictions

    Dans le domaine judiciaire, Saint-Sauveur relĂšve[63] :

    Politique environnementale

    Dans son palmarÚs 2022, le Conseil national de villes et villages fleuris de France a attribué deux fleurs à la commune[64].

    Population et société

    DĂ©mographie

    Les habitants de Saint-Sauveur se nomment les Salvadoriens[65].

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[66]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2008[67].

    En 2020, la commune comptait 862 habitants[Note 12], en augmentation de 4,23 % par rapport à 2014 (Dordogne : −0,85 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    425366419451393446444460437
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    449420412380371408384359336
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    338338334254251255265250279
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
    284334420529605606733769815
    2018 2020 - - - - - - -
    851862-------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[6] puis Insee Ă  partir de 2006[68].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Enseignement

    En 2012, Saint-Sauveur est organisée en regroupement pédagogique intercommunal (RPI)[69] avec la commune de Lamonzie-Montastruc au niveau des classes de maternelle et de primaire. La commune assure les classes de cours élémentaire et de cours moyen, les classes de maternelle et de cours préparatoire s'effectuant à Lamonzie-Montastruc[70].

    Économie

    AOC

    La commune de Saint-Sauveur est l'une des quatre communes (avec Bergerac, Creysse et Lembras) oĂč est cultivĂ© le vignoble qui produit l'AOC pĂ©charmant[71].

    Emploi

    En 2015[72], parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs reprĂ©sentent 390 personnes, soit 46,4 % de la population municipale. Le nombre de chĂŽmeurs (trente-huit) a augmentĂ© par rapport Ă  2010 (vingt-cinq) et le taux de chĂŽmage de cette population active s'Ă©tablit Ă  9,8 %.

    Établissements

    Au , la commune compte cinquante-huit Ă©tablissements[73], dont trente-deux au niveau des commerces, transports ou services, huit dans la construction, huit relatifs au secteur administratif, Ă  l'enseignement, Ă  la santĂ© ou Ă  l'action sociale, sept dans l'agriculture, la sylviculture ou la pĂȘche, et trois dans l'industrie[74].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • Le clocher-mur de l'Ă©glise.
      Le clocher-mur de l'Ă©glise.
    • Le portail de l'Ă©glise.
      Le portail de l'Ă©glise.
    • La chartreuse des Bourdies.
      La chartreuse des Bourdies.
    • Tombes de la famille de Biran, dont celle de Maine de Biran.
      Tombes de la famille de Biran, dont celle de Maine de Biran.

    Patrimoine naturel

    La forĂȘt de Liorac, Ă  l'est du territoire communal.

    La commune prĂ©sente deux zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) :

    • Ă  la pointe nord-est du territoire communal, sur environ 75 hectares, une ZNIEFF de type II : la forĂȘt de Liorac, refuge de la grande faune[78] - [79].
    • sur 37 hectares au nord de la route dĂ©partementale 32, entre les lieux-dits le Fournicou et les Grands Bois, une ZNIEFF de type I : la station botanique du Fournicou, site sur lequel se rencontre une fougĂšre plutĂŽt endĂ©mique des zones montagnardes[80] - [81], le polystic Ă  aiguillons (Polystichum aculeatum)[82].

    Par ailleurs, le chĂąteau de Grateloup et ses environs reprĂ©sentent sur plus de 12 hectares, un site inscrit[76].

    Personnalités liées à la commune

    Face à l'église, une plaque à la mémoire de Maine de Biran.
    • Famille Gontier de Biran
    • Maine de Biran (1766-1824), philosophe, vĂ©cut en partie au chĂąteau de Grateloup. Il fut inhumĂ© Ă  Paris mais ses restes furent rapatriĂ©s en 1866 Ă  Saint-Sauveur, dans le tombeau de la famille[83].
    • Henri Sicard (1914-1992), est un homme politique, nĂ© Ă  Saint-Sauveur.

    HĂ©raldique

    Blason de Saint-Sauveur (Dordogne) Blason
    Parti, au 1er d'or à trois bandes d'azur ; au chef de gueules chargé d'une porte couverte donjonnée de deux tours d'or et ouverte de gueules, au 2e de gueules au dragon d'or lampassé d'argent mis en pal ; au chef aussi de gueules à la croix cléchée, vidée et pommetée de douze piÚces d'or[84].
    À dextre, les armes de Maine de Biran surmontĂ©es en chef de l'emblĂšme hĂ©raldique de l'entrĂ©e de sa gentilhommiĂšre au chĂąteau de Grateloup.
    À senestre, le « Coulobre », dragon terrassĂ© selon la lĂ©gende par saint Front ; surmontĂ© en chef de la croix occitane.
    DĂ©tails
    Blason validé par le conseil municipal de la commune en 1993[84].

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Une unité paysagÚre est un pan de territoire qui présente des caractéristiques paysagÚres propres.
    2. La superficie publiĂ©e par l’Insee est la superficie Ă©valuĂ©e en 1975 par le service du cadastre de la Direction GĂ©nĂ©rale des ImpĂŽts, corrigĂ©e des modifications communales intervenues depuis 1975. Elle comprend toutes les surfaces du domaine public et privĂ©, cadastrĂ©es ou non cadastrĂ©es, Ă  l'exception des lacs, Ă©tangs et glaciers de plus d'un kilomĂštre carrĂ© ainsi que des estuaires et ne correspond pas obligatoirement Ă  la surface gĂ©ographique[13] - [14]
    3. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[22].
    4. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    5. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[23].
    6. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    7. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    8. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en celle d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    9. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
      • au vendeur d'informer le potentiel acquĂ©reur du terrain non bĂąti de l’existence du risque RGA ;
      • au maĂźtre d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maĂźtre d'Ɠuvre, le choix entre fournir une Ă©tude gĂ©otechnique de conception et le respect des techniques particuliĂšres de construction dĂ©finies par voie rĂ©glementaire ;
      • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude gĂ©otechnique de conception, soit de respecter des techniques particuliĂšres de construction dĂ©finies par voie rĂ©glementaire.
    10. Suspendu de ses fonctions.
    11. DĂ©missionnaire.
    12. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    • Cartes
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    Références

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    84. Saint-Sauveur sur le site du Pays de Bergerac, consulté le 11 mai 2012
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