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Lamonzie-Montastruc

Lamonzie-Montastruc est une commune française située dans le département de la Dordogne, en région Nouvelle-Aquitaine.

Lamonzie-Montastruc
Lamonzie-Montastruc
Le village de Lamonzie-Montastruc.
Blason de Lamonzie-Montastruc
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Nouvelle-Aquitaine
DĂ©partement Dordogne
Arrondissement Bergerac
Intercommunalité Communauté d'agglomération bergeracoise (nouvelle)
Maire
Mandat
Jean-Michel Dreuil
2020-2026
Code postal 24520
Code commune 24224
DĂ©mographie
Population
municipale
690 hab. (2020 en diminution de 2,4 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 33 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 44° 53â€Č 44″ nord, 0° 35â€Č 37″ est
Altitude Min. 48 m
Max. 162 ou 163 m
Superficie 20,66 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Bergerac
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton de Bergerac-2
LĂ©gislatives DeuxiĂšme circonscription
Localisation
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Lamonzie-Montastruc
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Lamonzie-Montastruc
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Lamonzie-Montastruc
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Lamonzie-Montastruc

    GĂ©ographie

    Généralités

    Au sud du département de la Dordogne, en Périgord pourpre, la commune de Lamonzie-Montastruc est située dans l'aire urbaine de Bergerac.

    Représentations cartographiques de la commune
    Carte OpenStreetMap
    Carte topographique

    Entouré d'une végétation boisée, une centaine de mÚtres à l'est de la route départementale 21, le village de Lamonzie-Montastruc se situe, en distances orthodromiques, dix kilomÚtres au nord-est de Bergerac et treize kilomÚtres à l'ouest-nord-ouest de Lalinde.

    La commune est également desservie par la route nationale 21 sur toute sa bordure ouest ainsi que par les routes départementales 32 au sud-est et 21E1 au sud-ouest.

    Communes limitrophes

    Carte de Lamonzie-Montastruc et des communes avoisinantes.

    Lamonzie-Montastruc est limitrophe de six autres communes dont Liorac-sur-Louyre Ă  l'est sur environ 200 mĂštres. Au sud-ouest, le territoire communal de Creysse n'est distant que d'environ 120 mĂštres de celui de Lamonzie-Montastruc.

    GĂ©ologie

    SituĂ© sur la plaque nord du Bassin aquitain et bordĂ© Ă  son extrĂ©mitĂ© nord-est par une frange du Massif central, le dĂ©partement de la Dordogne prĂ©sente une grande diversitĂ© gĂ©ologique. Les terrains sont disposĂ©s en profondeur en strates rĂ©guliĂšres, tĂ©moins d'une sĂ©dimentation sur cette ancienne plate-forme marine. Le dĂ©partement peut ainsi ĂȘtre dĂ©coupĂ© sur le plan gĂ©ologique en quatre gradins diffĂ©renciĂ©s selon leur Ăąge gĂ©ologique. Lamonzie-Montastruc est situĂ©e dans le troisiĂšme gradin Ă  partir du nord-est, un plateau formĂ© de calcaires hĂ©tĂ©rogĂšnes du CrĂ©tacĂ©[1].

    Les couches affleurantes sur le territoire communal sont constituĂ©es de formations superficielles du Quaternaire et de roches sĂ©dimentaires datant pour certaines du CĂ©nozoĂŻque, et pour d'autres du MĂ©sozoĂŻque. La formation la plus ancienne, notĂ©e c5c, date du Campanien 3, une alternance de marnes Ă  glauconie et de calcaires crayo-marneux jaunĂątres. La formation la plus rĂ©cente, notĂ©e CF, fait partie des formations superficielles de type colluvions indiffĂ©renciĂ©es sablo-argileuses et argilo-sableuses. Le descriptif de ces couches est dĂ©taillĂ© dans la feuille « no 806 - Bergerac » de la carte gĂ©ologique au 1/50 000 de la France mĂ©tropolitaine[2] - [3] et sa notice associĂ©e[4].

    Carte géologique de Lamonzie-Montastruc.

    Relief et paysages

    Le dĂ©partement de la Dordogne se prĂ©sente comme un vaste plateau inclinĂ© du nord-est (491 m, Ă  la forĂȘt de Vieillecour dans le Nontronnais, Ă  Saint-Pierre-de-Frugie) au sud-ouest (m Ă  Lamothe-Montravel). L'altitude du territoire communal varie quant Ă  elle entre 48 m[5] au sud-ouest du lieu-dit Landrevie Basse, lĂ  oĂč le Caudeau quitte la commune pour servir de limite entre celles de Lembras et Saint-Sauveur et 162[5] ou 163 m[6] Ă  l'extrĂȘme nord, en bordure de la commune de Saint-Georges-de-Montclard, Ă  l'ouest du lieu-dit le Garry[5] - [7].

    Dans le cadre de la Convention europĂ©enne du paysage entrĂ©e en vigueur en France le , renforcĂ©e par la loi du 8 aoĂ»t 2016 pour la reconquĂȘte de la biodiversitĂ©, de la nature et des paysages, un atlas des paysages de la Dordogne a Ă©tĂ© Ă©laborĂ© sous maĂźtrise d’ouvrage de l’État et publiĂ© en [8]. Les paysages du dĂ©partement s'organisent en huit unitĂ©s paysagĂšres[Note 1] et 14 sous-unitĂ©s[9]. La commune fait partie du PĂ©rigord central, un paysage vallonnĂ©, aux horizons limitĂ©s par de nombreux bois, plus ou moins denses, parsemĂ©s de prairies et de petits champs[10].

    La superficie cadastrale de la commune publiĂ©e par l'Insee, qui sert de rĂ©fĂ©rence dans toutes les statistiques, est de 20,66 km2[5] - [11] - [Note 2]. La superficie gĂ©ographique, issue de la BD Topo, composante du RĂ©fĂ©rentiel Ă  grande Ă©chelle produit par l'IGN, est quant Ă  elle de 20,67 km2[3].

    RĂ©seau hydrographique

    La commune est situĂ©e dans le bassin de la Dordogne au sein du Bassin Adour-Garonne[14]. Elle est drainĂ©e par le Caudeau, la Louyre, la Seyze, et par divers petits cours d'eau, qui constituent un rĂ©seau hydrographique de 20 km de longueur totale[15] - [Carte 1].

    Le Caudeau, d'une longueur totale de 38,47 km, prend sa source dans la commune de Veyrines-de-Vergt et se jette dans la Dordogne en rive droite Ă  Bergerac, juste en aval du barrage de Bergerac[16]. Il traverse la commune sur six kilomĂštres du nord-est au sud-ouest, marquant la limite avec Saint-Sauveur sur plus de deux kilomĂštres.

    La Louyre, d'une longueur totale de 25,51 km, prend sa source dans la commune de Val de Louyre et Caudeau (territoire de l'ancienne commune de Cendrieux) et se jette dans le Caudeau en rive gauche sur la commune, une centaine de mĂštres Ă  l'ouest du bourg[17], aprĂšs avoir traversĂ© l'est de la commune sur trois kilomĂštres.

    La Seyze (ou Galinat dans sa partie amont), d'une longueur totale de 9,58 km, prend sa source Ă  Montagnac-la-Crempse et se jette dans le Caudeau en rive droite Ă  Lembras, face Ă  Creysse[18] - [19]. Elle sert de limite territoriale Ă  l'ouest avec Queyssac sur prĂšs de deux kilomĂštres et demi.

    • Le Caudeau marque la limite entre Lamonzie-Montastruc et Saint-Sauveur.
      Le Caudeau marque la limite entre Lamonzie-Montastruc et Saint-Sauveur.
    • La Louyre juste en amont de son confluent avec le Caudeau.
      La Louyre juste en amont de son confluent avec le Caudeau.
    • La Seyze marque la limite entre Lamonzie-Montastruc et Queyssac.
      La Seyze marque la limite entre Lamonzie-Montastruc et Queyssac.
    • Carte en couleur prĂ©sentant le rĂ©seau hydrographique de la commune
      RĂ©seaux hydrographique et routier de Lamonzie-Montastruc.

    Gestion et qualité des eaux

    Le territoire communal est couvert par le schĂ©ma d'amĂ©nagement et de gestion des eaux (SAGE) « Dordogne Atlantique ». Ce document de planification, dont le territoire correspond au sous‐bassin le plus aval du bassin versant de la Dordogne (aval de la confluence Dordogne - VĂ©zĂšre)., d'une superficie de 2 700 km2 est en cours d'Ă©laboration. La structure porteuse de l'Ă©laboration et de la mise en Ɠuvre est l'Ă©tablissement public territorial de bassin de la Dordogne (EPIDOR)[20]. Il dĂ©finit sur son territoire les objectifs gĂ©nĂ©raux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualitĂ© dĂ©finis dans le troisiĂšme SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la pĂ©riode 2022-2027, approuvĂ© le [21].

    La qualitĂ© des eaux de baignade et des cours d’eau peut ĂȘtre consultĂ©e sur un site dĂ©diĂ© gĂ©rĂ© par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversitĂ©[Carte 2].

    Climat

    Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[22]. En 2020, la commune ressort du mĂȘme type de climat dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat ocĂ©anique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[23].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 3]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[22]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 12,7 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 2,8 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 9,4 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 4] : 15,4 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation[Note 5] : 853 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 12 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 6,8 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[26] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[27] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Bergerac », sur la commune de Bergerac, mise en service en 1988[28] et qui se trouve Ă  10 km Ă  vol d'oiseau[29] - [Note 6], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 13,2 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[30], Ă  13,1 °C pour 1981-2010[31], puis Ă  13,3 °C pour 1991-2020[32].

    Urbanisme

    Typologie

    Lamonzie-Montastruc est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 7] - [33] - [34] - [35].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Bergerac, dont elle est une commune de la couronne[Note 8]. Cette aire, qui regroupe 73 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de 50 000 Ă  moins de 200 000 habitants[36] - [37].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des forĂȘts et milieux semi-naturels (65,5 % en 2018), une proportion sensiblement Ă©quivalente Ă  celle de 1990 (64,5 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : forĂȘts (62,2 %), prairies (19,8 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (11,5 %), terres arables (3,3 %), milieux Ă  vĂ©gĂ©tation arbustive et/ou herbacĂ©e (3,3 %)[38].

    L'Ă©volution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut ĂȘtre observĂ©e sur les diffĂ©rentes reprĂ©sentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et les cartes ou photos aĂ©riennes de l'IGN pour la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[Carte 3].

    Prévention des risques

    Le territoire de la commune de Lamonzie-Montastruc est vulnĂ©rable Ă  diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse), inondations, feux de forĂȘts, mouvements de terrains et sĂ©isme (sismicitĂ© trĂšs faible). Il est Ă©galement exposĂ© Ă  un risque technologique, le transport de matiĂšres dangereuses[39]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[40].

    Risques naturels

    Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’ĂȘtre affectĂ©es par le risque d’inondation par dĂ©bordement de cours d'eau, notamment le Caudeau et la Louyre. La commune a Ă©tĂ© reconnue en Ă©tat de catastrophe naturelle au titre des dommages causĂ©s par les inondations et coulĂ©es de boue survenues en 1982, 1988 et 1999[41] - [39]. Le risque inondation est pris en compte dans l'amĂ©nagement du territoire de la commune par le biais du plan de prĂ©vention des risques inondation (PPRI) de la « vallĂ©e du Caudeau », couvrant 14 communes et approuvĂ© le , pour les crues du Caudeau[42] - [43].

    Lamonzie-Montastruc est exposĂ©e au risque de feu de forĂȘt. L’arrĂȘtĂ© prĂ©fectoral du fixe les conditions de pratique des incinĂ©rations et de brĂ»lage dans un objectif de rĂ©duire le risque de dĂ©parts d’incendie. À ce titre, des pĂ©riodes sont dĂ©terminĂ©es : interdiction totale du 15 fĂ©vrier au 15 mai et du 15 juin au 15 octobre, utilisation rĂ©glementĂ©e du 16 mai au 14 juin et du 16 octobre au 14 fĂ©vrier[44]. En septembre 2020, un plan inter-dĂ©partemental de protection des forĂȘts contre les incendies (PidPFCI) a Ă©tĂ© adoptĂ© pour la pĂ©riode 2019-2029[45] - [46].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Lamonzie-Montastruc.

    Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements diffĂ©rentiels[47]. Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas d’alternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie[48]. 62,6 % de la superficie communale est en alĂ©a moyen ou fort (58,6 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national mĂ©tropolitain)[Carte 4]. Depuis le , en application de la loi ÉLAN, diffĂ©rentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maĂźtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situĂ©s dans une zone classĂ©e en alĂ©a moyen ou fort[Note 9] - [49].

    La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2005 et 2011 et par des mouvements de terrain en 1999[39].

    Toponymie

    Les premiÚres mentions du village de « Lamonzie » remontent au XIIIe siÚcle sous les formes La Monzia puis La Monsia. Tiré de l'occitan « mongia » qui représente un couvent de moniales, le nom du village atteste l'existence d'un ancien établissement religieux[50]. Sur la carte de Cassini représentant la France entre 1756 et 1789, le village est identifié sous le nom de la Mongie[51].

    « Montastruc » est également relevé au XIIIe siÚcle sous les formes Montastrucus et Rappayrium de Monte Astruco (repaire de Montastruc), qui indiquent la position surélevée du lieu (en occitan mont, provenant du latin mons). Astruc peut se référer soit à un nom de personne chanceuse, soit à la position favorable du lieu[50].

    En occitan, la commune porte le nom de La MĂłngia de Mont Astruc[52].

    Histoire

    Grottes au pied du chĂąteau de Montastruc.

    Des traces de présences acheuléenne[50] et moustérienne ont été découvertes dans la grotte du Gué de la Roque[53].

    Des habitats troglodytiques sont présents sur le site du chùteau de Montastruc.

    Au début de la Révolution, l'ancienne commune du Quartier de Villebois fusionne avec celle de Lamonzie-Montastruc[54].

    Politique et administration

    Rattachements administratifs

    La commune de Lamonzie-Montastruc a, dĂšs 1790, Ă©tĂ© rattachĂ©e au canton de Liorac qui dĂ©pendait du district de Bergerac. En 1800, le canton de Liorac est supprimĂ©, de mĂȘme que les districts, et la commune est rattachĂ©e au canton de Bergerac dĂ©pendant de l'arrondissement de Bergerac. En 1973, le canton de Bergerac est scindĂ© en deux et Lamonzie-Montastruc est dĂ©sormais rattachĂ©e au canton de Bergerac-2[5].

    Intercommunalité

    En 2002, Lamonzie-Montastruc intÚgre la communauté de communes des Trois Vallées du Bergeracois. Cette structure intercommunale fusionne avec deux autres pour former au la communauté d'agglomération bergeracoise. Celle-ci fusionne avec la communauté de communes des Coteaux de SigoulÚs au pour former la nouvelle communauté d'agglomération bergeracoise.

    Administration municipale

    La population de la commune Ă©tant comprise entre 500 et 1 499 habitants au recensement de 2017, quinze conseillers municipaux ont Ă©tĂ© Ă©lus en 2020[55] - [56].

    Liste des maires

    La mairie.
    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    Les données manquantes sont à compléter.
    1792 1802 Lescot Gay
    1802 1808 Jean Pech PeyriĂšre
    1808 1814 Charles de Vassal
    1814 1815 Jean Rabier
    1815 1815 Jean Lescot
    1815 1817 Charles de Vassal
    1817 1819 Jean Rabier
    1820 1832 François Joseph d'Abzac
    1832 1835 Lescot Gay
    1835 1840 Jean Rabier
    1840 1846 Élie GĂ©raud
    1846 mai 1852 Philippe Henry Montaud[Note 10]
    août 1852 1854 Jean Jacques Loreilhe
    décembre 1854 1864 Pierre Durand
    1865 1870 Philippe Henry Montaud
    1871 décembre 1871 Chord
    décembre 1871 avril 1879 Philippe Henry Montaud
    avril 1879 février 1882 Jean Gay-Lescot
    fĂ©vrier 1882 mars 1885 Étienne Arnouil
    mars 1885 mai 1892 Jean Gay-Lescot
    mai 1892 mai 1896 Pierre Alary
    mai 1896 1923 Gabriel de Lostanges Retraité
    décembre 1923 décembre 1934 Désiré Mourot[Note 11]
    décembre 1934 mai 1935 Frut Adjoint faisant fonctions de maire
    mai 1935 mai 1945 Max Begouën
    mai 1945 avril 1967 Camille Dousset[Note 11] Instituteur
    mai 1967 décembre 1996 Pierre Broussoles[Note 11] Agriculteur
    janvier 1997[57] mai 2020 Alain Monteil SE[58] puis DVG Retraité
    mai 2020 En cours Jean-Michel Dreuil

    Équipements et services publics

    Enseignement

    En 2012, Lamonzie-Montastruc est organisée en regroupement pédagogique intercommunal (RPI)[59] avec la commune de Saint-Sauveur au niveau des classes de maternelle et de primaire. La commune assure le cours préparatoire et la maternelle, les classes de cours élémentaire et de cours moyen s'effectuant à Saint-Sauveur[60].

    Justice

    Dans le domaine judiciaire, Lamonzie-Montastruc relĂšve[61] :

    Population et société

    DĂ©mographie

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[62]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2004[63].

    En 2020, la commune comptait 690 habitants[Note 12], en diminution de 2,4 % par rapport à 2014 (Dordogne : −0,85 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 027652735892982905968983998
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 0021 007912840833796744694634
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    601684607530548522511522448
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
    415351377407539531557563632
    2014 2019 2020 - - - - - -
    707694690------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[5] puis Insee Ă  partir de 2006[64].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Manifestations culturelles et festivités

    • FĂȘte locale le .

    Économie

    La carriÚre de calcaire du Gué de la Roque.

    Emploi

    En 2015[65], parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs reprĂ©sentent 328 personnes, soit 45,9 % de la population municipale. Le nombre de chĂŽmeurs (quarante-sept) a plus que doublĂ© par rapport Ă  2010 (vingt-deux) et le taux de chĂŽmage de cette population active s'Ă©tablit Ă  14,2 %.

    Établissements

    Au , la commune compte soixante-cinq Ă©tablissements[66], dont trente-trois au niveau des commerces, transports ou services, seize relatifs au secteur administratif, Ă  l'enseignement, Ă  la santĂ© ou Ă  l'action sociale, huit dans la construction, six dans l'agriculture, la sylviculture ou la pĂȘche, et deux dans l'industrie[67].

    Entreprises

    La « SA CarriĂšres de Thiviers » exploite une carriĂšre de calcaire crĂ©tacĂ© au lieu-dit le GuĂ© de la Roque. La capacitĂ© d'extraction est de 350 000 tonnes par an[68].

    Culture locale et patrimoine

    Patrimoine civil

    Le chùteau de Bellegarde, implanté à 300 mÚtres au sud du village, sur une hauteur, a été construit au XIVe siÚcle et restauré aux XIXe et XXe siÚcles. Il comporte une porte médiévale et un pavillon Renaissance. Il est inscrit au titre des monuments historiques depuis 2006[69].

    Le chùteau de Montastruc est situé 200 mÚtres au nord-ouest du village. C'était au XIVe siÚcle l'un des fiefs de la famille d'Abzac de la Douze. Rasé en 1438, le chùteau fut reconstruit en 1471 moyennant la soumission de la veuve de Bertrand d'Abzac à l'autorité royale. AprÚs une inscription partielle en 1973 au titre des monuments historiques, il a été inscrit en totalité en 2001[70].

    À plus d'un kilomùtre au nord-est du village, le chñteau de Lescot (ou manoir de Lescot) date du XVIIe siùcle[71].

    Le manoir de Monsac[72] et la chartreuse de la Fourtonie[73] ont été construits au XVIIIe siÚcle.

    • Le chĂąteau de Bellegarde.
      Le chĂąteau de Bellegarde.
    • Le chĂąteau de Montastruc.
      Le chĂąteau de Montastruc.
    • L'entrĂ©e du chĂąteau de Lescot.
      L'entrée du chùteau de Lescot.

    Patrimoine religieux

    L'Ă©glise romane Notre-Dame de l'Assomption prĂ©sente un portail Ă  voussures du XIIe siĂšcle et une coupole Ă  la croisĂ©e du transept. À l'intĂ©rieur de l'Ă©glise sur le sol git une clĂ© de voĂ»te qui pourrait ĂȘtre l'ancienne clĂ© datant d'avant la reconstruction du clocher dans la premiĂšre moitiĂ© du XXe siĂšcle. Hormis le clocher, l'Ă©glise a Ă©tĂ© inscrite aux monuments historiques en 1974[74] - [75].

    • Le clocher de l'Ă©glise.
      Le clocher de l'Ă©glise.
    • Le portail occidental.
      Le portail occidental.
    • Vitrail du couronnement de Marie.
      Vitrail du
      couronnement de Marie.
    • La nef et la chaire.
      La nef et la chaire.

    Patrimoine naturel

    Au sud-est de la commune, un petit secteur d'une cinquantaine d'hectares situĂ© au sud de la route dĂ©partementale 32 fait partie d'une zone naturelle d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) de type II : la forĂȘt de Liorac, refuge de la grande faune[76] - [77].

    HĂ©raldique

    Blason de Lamonzie-Montastruc Blason
    D'argent Ă  la bande et Ă  la bordure d'azur chargĂ©es de neuf besants d'argent, la bande accompagnĂ©e en chef d'une Ă©pĂ©e haute de gueules adextrĂ©e d'une Ă©toile du mĂȘme et, en pointe, d'un renard de gueules les pattes antĂ©rieures emportant un oiseau du mĂȘme.
    DĂ©tails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Pour approfondir

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Une unité paysagÚre est un pan de territoire qui présente des caractéristiques paysagÚres propres.
    2. La superficie publiĂ©e par l’Insee est la superficie Ă©valuĂ©e en 1975 par le service du cadastre de la Direction GĂ©nĂ©rale des ImpĂŽts, corrigĂ©e des modifications communales intervenues depuis 1975. Elle comprend toutes les surfaces du domaine public et privĂ©, cadastrĂ©es ou non cadastrĂ©es, Ă  l'exception des lacs, Ă©tangs et glaciers de plus d'un kilomĂštre carrĂ© ainsi que des estuaires et ne correspond pas obligatoirement Ă  la surface gĂ©ographique[12] - [13]
    3. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[24].
    4. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    5. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[25].
    6. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    7. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    8. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    9. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
      • au vendeur d'informer le potentiel acquĂ©reur du terrain non bĂąti de l’existence du risque RGA ;
      • au maĂźtre d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maĂźtre d'Ɠuvre, le choix entre fournir une Ă©tude gĂ©otechnique de conception et le respect des techniques particuliĂšres de construction dĂ©finies par voie rĂ©glementaire ;
      • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude gĂ©otechnique de conception, soit de respecter des techniques particuliĂšres de construction dĂ©finies par voie rĂ©glementaire.
    10. DĂ©missionnaire.
    11. Décédé en fonctions.
    12. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    • Cartes
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    Références

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    4. « Notice associĂ©e Ă  la feuille no 806 - Bergerac de la carte gĂ©ologique harmonisĂ©e au 1/50 000 de la France mĂ©tropolitaine », sur Infoterre, le site du BRGM (consultĂ© le )
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    77. Carte de localisation de la ForĂȘt de Liorac sur le site de la DREAL Aquitaine, consultĂ© le 30 mars 2017. Afin de visualiser correctement la zone par rapport aux communes, dans la « LĂ©gende » (en bas Ă  gauche), ouvrir la couche « RĂ©fĂ©rentiels » et barrer la couche « Photographie IGN ».
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