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LĂ©guillac-de-l'Auche

Léguillac-de-l'Auche est une commune française située dans le département de la Dordogne, en région Nouvelle-Aquitaine.

LĂ©guillac-de-l'Auche
LĂ©guillac-de-l'Auche
Le bourg de LĂ©guillac-de-l'Auche.
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Nouvelle-Aquitaine
DĂ©partement Dordogne
Arrondissement PĂ©rigueux
Intercommunalité Communauté de communes Isle Vern Salembre en Périgord
Maire
Mandat
RĂ©gis Batailler
2020-2026
Code postal 24110
Code commune 24236
DĂ©mographie
Gentilé Leguillacois
Population
municipale
987 hab. (2020 en diminution de 1 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 69 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 45° 11â€Č 08″ nord, 0° 33â€Č 27″ est
Altitude Min. 70 m
Max. 227 m
Superficie 14,31 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction PĂ©rigueux
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton de Saint-Astier
LĂ©gislatives PremiĂšre circonscription
Localisation
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LĂ©guillac-de-l'Auche
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LĂ©guillac-de-l'Auche
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LĂ©guillac-de-l'Auche

    GĂ©ographie

    Généralités

    La commune de LĂ©guillac-de-l'Auche est incluse dans l'aire urbaine de PĂ©rigueux[1].

    Le bourg de Léguillac-de-l'Auche, implanté 5 kilomÚtres au nord-ouest de Saint-Astier et 12 kilomÚtres à l'ouest de Périgueux, reste à l'écart des routes principales. Cependant, la commune est bordée par les routes départementales 3, 43 et 103.

    Communes limitrophes

    Carte de LĂ©guillac-de-l'Auche et des communes avoisinantes.

    LĂ©guillac-de-l'Auche est limitrophe de quatre autres communes. Au sud, le territoire communal de Montrem n'est distant que d'environ 250 mĂštres de celui de LĂ©guillac-de-l'Auche.

    Communes limitrophes de LĂ©guillac-de-l'Auche
    Mensignac
    Saint-Aquilin LĂ©guillac-de-l'Auche Annesse-et-Beaulieu
    Saint-Astier

    GĂ©ologie

    SituĂ© sur la plaque nord du Bassin aquitain et bordĂ© Ă  son extrĂ©mitĂ© nord-est par une frange du Massif central, le dĂ©partement de la Dordogne prĂ©sente une grande diversitĂ© gĂ©ologique. Les terrains sont disposĂ©s en profondeur en strates rĂ©guliĂšres, tĂ©moins d'une sĂ©dimentation sur cette ancienne plate-forme marine. Le dĂ©partement peut ainsi ĂȘtre dĂ©coupĂ© sur le plan gĂ©ologique en quatre gradins diffĂ©renciĂ©s selon leur Ăąge gĂ©ologique. LĂ©guillac-de-l'Auche est situĂ©e dans le troisiĂšme gradin Ă  partir du nord-est, un plateau formĂ© de calcaires hĂ©tĂ©rogĂšnes du CrĂ©tacĂ©[2].

    Les couches affleurantes sur le territoire communal sont constituĂ©es de formations superficielles du Quaternaire et de roches sĂ©dimentaires datant pour certaines du CĂ©nozoĂŻque, et pour d'autres du MĂ©sozoĂŻque. La formation la plus ancienne, notĂ©e c4b-c, date du Santonien moyen Ă  supĂ©rieur, composĂ©e de calcaire crayo-glauconieux avec niveaux Ă  huĂźtres (P. vesicularis), devenant au sommet plus grossier Ă  silex et rudistes (formation de Saint-FĂ©lix-de-Reillac), faciĂšs pouvant Ă©voluer vers des sables fins et grĂšs carbonatĂ©s Ă  rudistes. La formation la plus rĂ©cente, notĂ©e CFp, fait partie des formations superficielles de type colluvions indiffĂ©renciĂ©es de versant, de vallon et plateaux issues d'alluvions, molasses, altĂ©rites. Le descriptif de ces couches est dĂ©taillĂ© dans les feuilles « no 758 - PĂ©rigueux (ouest) » et « no 782 - Mussidan » de la carte gĂ©ologique au 1/50 000 de la France mĂ©tropolitaine[3] - [4] et leurs notices associĂ©es[5] - [6].

    Carte géologique de Léguillac-de-l'Auche.

    Relief et paysages

    Le dĂ©partement de la Dordogne se prĂ©sente comme un vaste plateau inclinĂ© du nord-est (491 m, Ă  la forĂȘt de Vieillecour dans le Nontronnais, Ă  Saint-Pierre-de-Frugie) au sud-ouest (m Ă  Lamothe-Montravel). L'altitude du territoire communal varie quant Ă  elle entre 70 m et 227 m[7].

    Dans le cadre de la Convention europĂ©enne du paysage entrĂ©e en vigueur en France le , renforcĂ©e par la loi du 8 aoĂ»t 2016 pour la reconquĂȘte de la biodiversitĂ©, de la nature et des paysages, un atlas des paysages de la Dordogne a Ă©tĂ© Ă©laborĂ© sous maĂźtrise d’ouvrage de l’État et publiĂ© en [8]. Les paysages du dĂ©partement s'organisent en huit unitĂ©s paysagĂšres[Note 1] et 14 sous-unitĂ©s[9]. La commune fait partie du PĂ©rigord central, un paysage vallonnĂ©, aux horizons limitĂ©s par de nombreux bois, plus ou moins denses, parsemĂ©s de prairies et de petits champs[10].

    La superficie cadastrale de la commune publiĂ©e par l'Insee, qui sert de rĂ©fĂ©rence dans toutes les statistiques, est de 14,31 km2[11] - [Note 2]. La superficie gĂ©ographique, issue de la BD Topo, composante du RĂ©fĂ©rentiel Ă  grande Ă©chelle produit par l'IGN, est quant Ă  elle de 14,66 km2[4].

    RĂ©seau hydrographique

    Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
    RĂ©seaux hydrographique et routier de LĂ©guillac-de-l'Auche.

    La commune est situĂ©e dans le bassin de la Dordogne au sein du Bassin Adour-Garonne[14]. Elle est drainĂ©e par le Jouis et par divers petits cours d'eau, qui constituent un rĂ©seau hydrographique de 10 km de longueur totale[15] - [Carte 1].

    Le Jouis, affluent de rive droite de l'Isle, traverse la commune de l'ouest au sud-est sur prĂšs de quatre kilomĂštres, servant de limite territoriale au sud sur un kilomĂštre et demi face Ă  Saint-Astier.

    Gestion et qualité des eaux

    Le territoire communal est couvert par le schĂ©ma d'amĂ©nagement et de gestion des eaux (SAGE) « Isle - Dronne ». Ce document de planification, dont le territoire regroupe les bassins versants de l'Isle et de la Dronne, d'une superficie de 7 500 km2, a Ă©tĂ© approuvĂ© le . La structure porteuse de l'Ă©laboration et de la mise en Ɠuvre est l'Ă©tablissement public territorial de bassin de la Dordogne (EPIDOR)[16]. Il dĂ©finit sur son territoire les objectifs gĂ©nĂ©raux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualitĂ© dĂ©finis dans le troisiĂšme SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la pĂ©riode 2022-2027, approuvĂ© le [17].

    La qualitĂ© des eaux de baignade et des cours d’eau peut ĂȘtre consultĂ©e sur un site dĂ©diĂ© gĂ©rĂ© par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversitĂ©[Carte 2].

    Climat

    Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[18]. En 2020, la commune ressort du mĂȘme type de climat dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat ocĂ©anique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[19].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 3]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[18]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 12,4 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 3,3 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 8,1 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 4] : 15,1 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation[Note 5] : 948 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 11,7 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 6,9 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[22] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[23] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Saint-Martin Rib. », sur la commune de Saint-Martin-de-RibĂ©rac, mise en service en 1993[24] et qui se trouve Ă  16 km Ă  vol d'oiseau[25] - [Note 6], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 13,3 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 914,3 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[26]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche, « Bergerac », sur la commune de Bergerac, mise en service en 1988 et Ă  38 km[27], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 13,2 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[28], Ă  13,1 °C pour 1981-2010[29], puis Ă  13,3 °C pour 1991-2020[30].

    Urbanisme

    Typologie

    Léguillac-de-l'Auche est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 7] - [31] - [32] - [33].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de PĂ©rigueux, dont elle est une commune de la couronne[Note 8]. Cette aire, qui regroupe 49 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de 50 000 Ă  moins de 200 000 habitants[34] - [35].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (69 % en 2018), une proportion sensiblement Ă©quivalente Ă  celle de 1990 (69,6 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (39,1 %), forĂȘts (28 %), terres arables (27,5 %), zones urbanisĂ©es (2,9 %), prairies (2,4 %), milieux Ă  vĂ©gĂ©tation arbustive et/ou herbacĂ©e (0,1 %)[36].

    L'Ă©volution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut ĂȘtre observĂ©e sur les diffĂ©rentes reprĂ©sentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et les cartes ou photos aĂ©riennes de l'IGN pour la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[Carte 3].

    Villages, hameaux et lieux-dits

    Outre le bourg de LĂ©guillac-de-l'Auche proprement dit, le territoire se compose d'autres villages ou hameaux, ainsi que de lieux-dits[37] :

    • Armagnac
    • Baby
    • le Bas But
    • Bel-Air
    • BĂ©nivau
    • les Biarneix
    • Blanchou
    • Boudeau
    • le But
    • Caroly
    • Cayot
    • la Chabane
    • Aux Champs
    • les Combes
    • la Croix Pintoux
    • Crouzet
    • la Croze
    • Faucherie
    • la Faye
    • la Font de l'Auche
    • la Font Chauvet
    • Girondeau
    • Glenon
    • les Granges
    • la GrĂšzerie
    • Jalabrou
    • Labat
    • Levrault
    • Leypine
    • Leyterie
    • Linard
    • le Maine
    • Maison Neuve
    • Martinie
    • les Martres
    • le Mas
    • la Massoulie
    • Merlet
    • le Moutot
    • les Palissannes
    • PĂ©pinie
    • Perpezat
    • le Petit Moulin
    • les Plantes
    • PomerĂšde
    • les Pouzes
    • Puy le Ciel
    • Puychaud
    • les Quatre Routes
    • les Renaudies
    • Sirieix
    • le Sol de Dyme
    • Taboury
    • les TuiliĂšres
    • Vaucombes
    • VĂ©dry
    • VeyriĂšras.

    Prévention des risques

    Le territoire de la commune de LĂ©guillac-de-l'Auche est vulnĂ©rable Ă  diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse), feux de forĂȘts, mouvements de terrains et sĂ©isme (sismicitĂ© trĂšs faible)[38]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[39].

    LĂ©guillac-de-l'Auche est exposĂ©e au risque de feu de forĂȘt. L’arrĂȘtĂ© prĂ©fectoral du fixe les conditions de pratique des incinĂ©rations et de brĂ»lage dans un objectif de rĂ©duire le risque de dĂ©parts d’incendie. À ce titre, des pĂ©riodes sont dĂ©terminĂ©es : interdiction totale du 15 fĂ©vrier au 15 mai et du 15 juin au 15 octobre, utilisation rĂ©glementĂ©e du 16 mai au 14 juin et du 16 octobre au 14 fĂ©vrier[40]. En septembre 2020, un plan inter-dĂ©partemental de protection des forĂȘts contre les incendies (PidPFCI) a Ă©tĂ© adoptĂ© pour la pĂ©riode 2019-2029[41] - [42].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Léguillac-de-l'Auche.

    Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements diffĂ©rentiels[43]. Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas d’alternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie[44]. 97,4 % de la superficie communale est en alĂ©a moyen ou fort (58,6 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national mĂ©tropolitain)[Carte 4]. Depuis le , en application de la loi ÉLAN, diffĂ©rentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maĂźtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situĂ©s dans une zone classĂ©e en alĂ©a moyen ou fort[Note 9] - [45].

    La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1999, 2018 et 2021, par la sécheresse en 1989, 1992, 2005 et 2011 et par des mouvements de terrain en 1999[38].

    Toponymie

    La plus ancienne mention écrite connue du village date de l'an 1219, sous le nom de parochia (paroisse) de Lagulac[46]. Sont relevés ensuite Lagulhacum en 1289, Lenguilhacum en 1350, « Léguilhac » au XVIe siÚcle, « L'Aiguillat de Lauche » en 1596 et « Le Guillac, fon de Lauche » au XVIIIe siÚcle[46]. Sur la carte de Cassini représentant la France entre 1756 et 1789, le village est identifié sous le nom de Layguillac de Lauche[47]. L'Auche est mentionnée beaucoup plus tardivement, en 1471, sous la forme Lauchas, transformée en « Loches » au XVIIIe siÚcle[46].

    La premiĂšre partie du nom de la commune, LĂ©guillac, dĂ©coulerait peut-ĂȘtre d'un personnage gallo-roman non dĂ©terminĂ©. Le suffixe -acum[46], indique un domaine appartenant Ă  une personne. Bien que l'auche soit la francisation de l'occitan auca dĂ©signant l'oie[Note 10], il est bien plus probable qu'ici, son origine dĂ©rive de l'occitan « aucho, oucho », reprĂ©sentant des terres dĂ©frichĂ©es de longue date, proches du village[46].

    En occitan, la commune porte le nom de Lagulhac de l'Aucha[48].

    Histoire

    Période mérovingienne

    Sur la commune de LĂ©guillac-de-l'Auche furent dĂ©couverts en 1967 deux sarcophages mĂ©rovingiens, et un autre squelette sans sarcophage, Ă  mĂȘme la terre, soit trois squelettes[Note 11].

    Cette exhumation eut lieu entre les lieux-dits Linard et Girondeau, et Ă  un autre endroit, une prairie situĂ©e sur une colline appelĂ©e BĂ©niveau. Cette colline surplombe le site oĂč furent dĂ©couvertes les sĂ©pultures mĂ©rovingiennes, un lieu-dit qui ne porte pas de rĂ©centes traces d'habitation (il est possible qu'au fil du temps les gens des villages alentour y aient pris les pierres pour reconstruire ailleurs, ou tout simplement, il n'y a jamais eu d'habitation en pierres).

    Dans ces sépultures mérovingiennes, on ne découvrit ni arme, ni bouclier, mais il y avait, dans l'un des sarcophages, une boucle de ceinture plaquée or, avec des morceaux de verre brisé incrustés, de différentes couleurs : vert, bleu et rouge. Il y avait aussi trois emplacements vides sur la boucle ; trois morceaux de verre manquaient, le temps n'ayant pas voulu nous faire parvenir cet objet dans son état de perfection d'origine.

    Le dĂ©couvreur, Monsieur Émile (Guy) Moulles, fit cette dĂ©couverte en labourant pour la premiĂšre fois le site aprĂšs l'avoir dĂ©frichĂ©. Il garda chez lui pendant plus d'une vingtaine d'annĂ©es cet objet rare avant de le remettre, au dĂ©but des annĂ©es 2000, au musĂ©e du PĂ©rigord, Ă  PĂ©rigueux.

    À l'Ă©poque, en 1967, la tĂ©lĂ©vision Ă©tait venue sur place pour faire un petit documentaire.

    Les os des squelettes furent eux, envoyĂ©s dans un laboratoire Ă  Bordeaux, oĂč ils furent datĂ©s entre 350 et 450 ans apr. J.-C., Ă©poque des premiers chefs mĂ©rovingiens, Clodion le Chevelu ou MĂ©rovĂ©e, et avant le rĂšgne de Clovis.

    Moyen-Âge

    En 1209, au lieu-dit la Faye, trois moines fondent un prieuré augustinien (Sancta Maria de la Faia) dépendant de l'abbaye angoumoisine Notre-Dame de La Couronne[49].

    Politique et administration

    Rattachements administratifs

    DÚs 1790, la commune de Léguillac-de-l'Auche a été rattachée au canton de Saint-Astier qui dépendait du district de Perigueux jusqu'en 1795, date de suppression des districts. En 1801, le canton est supprimé et la commune est rattachée au canton de Grignols dépendant de l'arrondissement de Périgueux. Il change de nom et devient le canton de Saint-Astier en 1829, à la suite du transfert du chef-lieu de Grignols vers Saint-Astier[50].

    Lors de l'importante rĂ©forme de 2014 dĂ©finie par le dĂ©cret du et supprimant la moitiĂ© des cantons du dĂ©partement, la commune reste attachĂ©e au mĂȘme canton[51].

    Intercommunalité

    Fin 2002, Léguillac-de-l'Auche intÚgre dÚs sa création la communauté de communes Astérienne Isle et Vern. Celle-ci disparaßt le , remplacée au par une nouvelle intercommunalité élargie, la communauté de communes Isle Vern Salembre en Périgord.

    Administration municipale

    La population de la commune Ă©tant comprise entre 500 et 1 499 habitants au recensement de 2017, quinze conseillers municipaux ont Ă©tĂ© Ă©lus en 2020[52] - [53].

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    Les données manquantes sont à compléter.
    ? mai 1884 Antoine Rapnouil
    mai 1884 avril 1885 Ernest Jauvinaud
    avril 1885 (1890 ou aprĂšs)[Note 12] Raoul Deshorties
    [Note 12]?
    (1897 ou avant)[Note 12] 1904 Justin Bardy
    mai 1904 août 1906 Pierre Arthur Linard[Note 13]
    août 1906 novembre 1906 Pierre Bouthier Adjoint faisant fonctions de maire
    novembre 1906 mai 1925 Pierre Bouthier
    mai 1925 mars 1928 Fernand Laronze[Note 14]
    mars 1928 mai 1935 Hilaire Lacombe
    mai 1935 ? Ephrem Laventure
    octobre 1944 mai 1945 Jean Baylet
    mai 1945 (1964 ou 1965) Pierre Morvan
    mars 1965 mars 1977 Jean Dupuy
    mars 1977 mars 1989 Maurice Voiry DVG
    mars 1989 mars 2003 Michel Berger[Note 13]
    avril 2003 mars 2008 Micheline Vergnaud DVD
    mars 2008[54] juillet 2020 Didier Banizette PS[55] Aide-soignant
    juillet 2020[56] En cours RĂ©gis Batailler PCF

    Jumelages

    Panneau de jumelage de LĂ©guillac-de-l'Auche.

    Drapeau de l'Écosse Letham (Écosse) depuis 2011[57]

    Équipements et services publics

    Justice

    Dans le domaine judiciaire, LĂ©guillac-de-l'Auche relĂšve[58] :

    Population et société

    DĂ©mographie

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[59]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2006[60].

    En 2020, la commune comptait 987 habitants[Note 15], en diminution de 1 % par rapport à 2014 (Dordogne : −0,85 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    699589619675650688678684713
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    675701693694676651645629599
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    565539540457446443411398415
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    440383377493635636812945981
    2020 - - - - - - - -
    987--------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[50] puis Insee Ă  partir de 2006[61].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Manifestations culturelles et festivités

    La fĂȘte votive de la commune s'effectue sous le patronage de saint Cloud et se tient donc chaque annĂ©e aux alentours du [62].

    Économie

    Emploi

    En 2015[63], parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs reprĂ©sentent 495 personnes, soit 50,1 % de la population municipale. Le nombre de chĂŽmeurs (quarante-trois) a lĂ©gĂšrement diminuĂ© par rapport Ă  2010 (quarante-quatre) et le taux de chĂŽmage de cette population active s'Ă©tablit Ă  8,8 %.

    Établissements

    Au , la commune compte 54 Ă©tablissements[64], dont 31 au niveau des commerces, transports ou services, neuf dans l'agriculture, la sylviculture ou la pĂȘche, six dans la construction, cinq dans l'industrie, et trois relatifs au secteur administratif, Ă  l'enseignement, Ă  la santĂ© ou Ă  l'action sociale[65].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • Le chĂąteau du But.
      Le chĂąteau du But.
    • L'Ă©glise saint-Cloud.
      L'Ă©glise saint-Cloud.
    • Vitrail reprĂ©sentant saint Cloud.
      Vitrail représentant saint Cloud.
    • La nef de l'Ă©glise.
      La nef de l'Ă©glise.
    • Vue prise depuis le site du Mas.
      Vue prise depuis le site du Mas.

    Patrimoine naturel

    Ancienne carriĂšre Ă  chaux
    le long de la vallée du Jouis.

    Deux zones de la commune sont classées comme ZNIEFF :

    • au sud, la vallĂ©e du ruisseau le Jouis (ou le Jouy)[69], notamment bordĂ©e par des anciennes carriĂšres d'oĂč l'on extrayait le calcaire pour fabriquer de la chaux,
    • au nord-est, la forĂȘt de la Faye[70], massif composĂ© principalement de chĂȘnes pĂ©donculĂ©s, se trouve en petite partie sur le territoire communal.

    Pour approfondir

    Bibliographie

    • Françoise Bourreau-Raluy, LĂ©guillac-de-l'Auche du PalĂ©olithique Ă  l'Ăšre numĂ©rique, Éditions les Livres de l'Îlot, 2016.

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Une unité paysagÚre est un pan de territoire qui présente des caractéristiques paysagÚres propres.
    2. La superficie publiĂ©e par l’Insee est la superficie Ă©valuĂ©e en 1975 par le service du cadastre de la Direction GĂ©nĂ©rale des ImpĂŽts, corrigĂ©e des modifications communales intervenues depuis 1975. Elle comprend toutes les surfaces du domaine public et privĂ©, cadastrĂ©es ou non cadastrĂ©es, Ă  l'exception des lacs, Ă©tangs et glaciers de plus d'un kilomĂštre carrĂ© ainsi que des estuaires et ne correspond pas obligatoirement Ă  la surface gĂ©ographique[12] - [13]
    3. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[20].
    4. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    5. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[21].
    6. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    7. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    8. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    9. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
      • au vendeur d'informer le potentiel acquĂ©reur du terrain non bĂąti de l’existence du risque RGA ;
      • au maĂźtre d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maĂźtre d'Ɠuvre, le choix entre fournir une Ă©tude gĂ©otechnique de conception et le respect des techniques particuliĂšres de construction dĂ©finies par voie rĂ©glementaire ;
      • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude gĂ©otechnique de conception, soit de respecter des techniques particuliĂšres de construction dĂ©finies par voie rĂ©glementaire.
    10. Selon la tradition, une oie tombée dans un gouffre à Mensignac serait ressortie vivante au lieu-dit Font-de-l'Auche, au nord-est du territoire communal, en limite de Mensignac.
    11. Précision utile car les Mérovingiens mettaient parfois deux défunts par sarcophage. Là, il y avait un squelette par sarcophage, et un autre squelette sans.
    12. Registres de délibérations communales absents entre 1890 et 1897.
    13. Décédé en fonctions.
    14. DĂ©missionnaire.
    15. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    • Cartes
    1. « Réseau hydrographique de Léguillac-de-l'Auche » sur Géoportail (consulté le 17 juillet 2022).
    2. « Qualité des eaux de riviÚre et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le )
    3. IGN, « Évolution comparĂ©e de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ).
    4. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )

    Références

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    2. « Géologie de la Dordogne - Périgord », sur espritdepays.com (consulté le ).
    3. « Carte géologique de Léguillac-de-l'Auche » sur Géoportail (consulté le 14 juin 2022).
    4. « CaractĂ©ristiques gĂ©ologiques et hydrogĂ©ologiques de la commune de LĂ©guillac-de-l'Auche », sur le SystĂšme d’information pour la gestion des eaux souterraines (SIGES) en Occitanie (consultĂ© le )
    5. « Notice associĂ©e Ă  la feuille no 758 - PĂ©rigueux (ouest) de la carte gĂ©ologique harmonisĂ©e au 1/50 000 de la France mĂ©tropolitaine », sur Infoterre, le site du BRGM (consultĂ© le )
    6. « Notice associĂ©e Ă  la feuille no 782 - Mussidan de la carte gĂ©ologique harmonisĂ©e au 1/50 000 de la France mĂ©tropolitaine », sur Infoterre, le site du BRGM (consultĂ© le )
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    8. « Pourquoi un Atlas des paysages du Dordogne ? », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
    9. « Unités paysagÚres de la Dordogne », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
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    13. Agence nationale de la cohĂ©sion des territoires, « RĂ©pertoire gĂ©ographique des communes d'Île-de-France - dĂ©finition de certains champs (dont la superficie) », sur data.iledefrance.fr (consultĂ© le )
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    19. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    20. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    21. Glossaire – PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
    22. « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
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    66. Site du ChĂąteau le But
    67. [PDF] DIREN Aquitaine - Site du But
    68. Liste des prieurs de Notre-Dame de La Faye, Bulletin de la Société historique et archéologique du Périgord, année 1874, tome 1, p. 269-270
    69. [PDF] « DIREN Aquitaine - VallĂ©e du Jouis »(Archive.org ‱ Wikiwix ‱ Archive.is ‱ Google ‱ Que faire ?).
    70. [PDF] « DIREN Aquitaine - ForĂȘt de la Faye »(Archive.org ‱ Wikiwix ‱ Archive.is ‱ Google ‱ Que faire ?).
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