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Juan Branco

Juan Branco [ˈxwan ˈbɟɐ̃ko][note 1], nĂ© le Ă  Estepona (Espagne), est un activiste politique et avocat franco-espagnol.

Juan Branco
Juan Branco en 2019.
Biographie
Naissance
Nom de naissance
Juan Paulo Branco LĂłpez
Nationalités
espagnole (depuis )
française (depuis )
Formation
Activités
PĂšre
Autres informations
Partis politiques
Directeur de thĂšse
Site web

Fils du producteur de cinéma portugais Paulo Branco, il grandit dans un milieu aisé. Encore étudiant, il se fait remarquer en s'opposant à la loi Hadopi et s'engage en politique, d'abord auprÚs de Dominique de Villepin puis au sein du parti politique Les Verts.

Docteur en droit et avocat, il devient notamment en 2015 le conseiller juridique en France de WikiLeaks et de Julian Assange. En 2017, il défend Jean-Luc Mélenchon dans l'« affaire OAS », puis se présente aux élections législatives en Seine-Saint-Denis avec le soutien de La France insoumise. Il s'éloigne de ce parti par la suite.

Il participe au mouvement des Gilets jaunes et défend des figures du mouvement, dont Maxime Nicolle. En 2019, il publie Crépuscule, un pamphlet critiquant l'accession au pouvoir d'Emmanuel Macron.

ClassĂ© Ă  l'extrĂȘme gauche[1] - [2] - [3], ses positions sont qualifiĂ©es de populistes[4] - [5], complotistes[4] - [5] et rĂ©volutionnaires[6] - [7] - [8].

Situation personnelle

Origines et vie privée

NĂ© en Espagne dans la commune d'Estepona, en Andalousie, Juan Branco est le fils du producteur de cinĂ©ma portugais Paulo Branco et de la psychanalyste espagnole Dolores LĂłpez. Il grandit en Andalousie puis Ă  Paris, entre le 5e et le 6e arrondissement[9]. Il a deux sƓurs et un frĂšre[10]. Il est naturalisĂ© français en 2010[11].

Il vit une enfance « dorĂ©e » dans le quartier Saint-Germain-des-PrĂ©s, oĂč sa famille cĂŽtoie de nombreuses personnalitĂ©s, notamment Catherine Deneuve et Raoul Ruiz[12].

En 2018 et 2019, il dĂ©clare percevoir le revenu de solidaritĂ© active aprĂšs avoir renoncĂ© Ă  des revenus en tant qu’avocat[13].

Il habite dans le 6e arrondissement de Paris[12] - [14].

Formation

AprĂšs une scolaritĂ© passĂ©e au sein des Ă©coles publiques de la rue Cujas et de la rue Victor-Cousin[15], il Ă©tudie Ă  l'École alsacienne, un Ă©tablissement privĂ© du 6e arrondissement. Selon ses propres termes, « on peut s'y reproduire et socialiser sans crainte d'ĂȘtre contaminĂ© par de mauvaises frĂ©quentations ». Il affirme Ă©galement avoir « un grand mĂ©pris pour le conformisme de tous ces hĂ©ritiers »[16]. Il utilise alors les rĂ©seaux sociaux pour commenter le physique de ses camarades ; son camarade Gabriel Attal se plaint alors de ses agissements auprĂšs de la direction de l’établissement[12].

Il intĂšgre en 2007 l'Institut d'Ă©tudes politiques de Paris (IEP) oĂč il relance le cinĂ©-club et se fait remarquer par le directeur de l'Ă©tablissement, Richard Descoings, qui lui confie la mission de prendre des photos pour alimenter son compte Facebook[17]. Des annĂ©es aprĂšs que la veuve de celui-ci lui a demandĂ© de prononcer un Ă©loge funĂšbre au nom des Ă©tudiants de l’école Ă  son enterrement, il dĂ©clare : « Toutes les flatteries Ă©taient instrumentales, avaient l'objectif de m'absorber pour me faire servir le systĂšme[16] ». Lors de ses Ă©tudes au sein de l'IEP, il obtient un DEUG de philosophie et droit co-accrĂ©ditĂ© par l'UniversitĂ© Paris 1 en 2009[18], Ă  la suite duquel il est admis sur dossier au dĂ©partement littĂ©rature et langages (LILA) de l'École Normale SupĂ©rieure (ENS Ulm)[13] - [19] la mĂȘme annĂ©e, et termine son bachelor de l'IEP l'annĂ©e suivante[18].

Il obtient un M1 de littérature moderne en 2011, suivi d'un M2 de philosophie politique et d'un Master affaires publiques en 2012, accrédités par l'Université Paris IV et l'IEP de Paris respectivement[18] - [20] - [21]. L'année suivante, il obtient un M2 de géopolitique co-accrédité entre l'ENS Ulm et l'Université Paris 1, et devient « auditeur libre » de l'ENS[18].

Sous la direction de l'historien du droit Jean-Louis HalpĂ©rin, il commence un doctorat en droit international et philosophie du droit. Sa thĂšse, soutenue Ă  l'ENS Ulm 8 mois plus tard, lui confĂšre le titre de docteur en droit[22] - [23]. Ses travaux portant sur la Cour pĂ©nale internationale sont rĂ©compensĂ©s en 2015 par l'un des prix de thĂšse de l'institut universitaire Varenne — devenu prix Louis-Joinet —, catĂ©gorie « justice pĂ©nale internationale »[24].

Ce doctorat obtenu en huit mois lui permet d'intégrer un centre régional de formation à la profession d'avocat (CRFPA) sans passer par le trÚs sélectif examen d'entrée à l'école d'avocat[25] - [26].

L'Express indique en 2019 qu’il a mentionnĂ© sur son curriculum vitĂŠ « chargĂ© de sĂ©minaire Ă  l'École normale supĂ©rieure », ce qu’il n’a pas Ă©tĂ©. Juan Branco rĂ©pond Ă  l’hebdomadaire : « Cela ne change strictement rien dans les faits, que ce soit organisĂ© par un Ă©lĂšve ou non[13] - [16]. »

Juriste puis avocat

Il travaille en tant que collaborateur extérieur au ministÚre français des Affaires étrangÚres pendant un an[16].

SalariĂ© au dĂ©partement de français de l'universitĂ© Yale entre 2013 et 2014, il devient chercheur invitĂ© Ă  la Yale Law School[21], oĂč il collabore au Yale Journal of International Law (en)[27]. En 2015, il est recrutĂ© en tant que Senior Research Fellow au Max Planck Institute Luxembourg for Procedural Law, dont la directrice est HĂ©lĂšne Ruiz-Fabri, l'une des rapporteurs de sa thĂšse[28]. Il y gagne huit mille euros de salaire et prĂ©cise Ă  ce sujet : « Je ne savais pas quoi en faire. C’était un peu dĂ©stabilisant »[29].

Dans le mĂȘme temps, aprĂšs avoir collaborĂ© avec l'organisation en tant que bĂ©nĂ©vole pendant quelques mois, il intĂšgre l'Ă©quipe de dĂ©fense de WikiLeaks et Julian Assange, sous la direction de Baltasar GarzĂłn[16] - [30]. En tant que conseiller juridique, il reprĂ©sente alors publiquement l'organisation, notamment lors des rĂ©vĂ©lations d'espionnage de la National Security Agency (NSA) en 2015, relatives aux prĂ©sidents de la RĂ©publique française ainsi qu'Ă  ses grandes entreprises[31] - [32]. Il participe aux nĂ©gociations diplomatiques pour obtenir le droit d'asile Ă  Assange, auxquelles l'ÉlysĂ©e finit par opposer une fin de non recevoir[33] - [34]. DĂ©crit par Le SupplĂ©ment comme « l'homme dans l'ombre » de Julian Assange[35], chargĂ© notamment des procĂ©dures auprĂšs de l'ONU et des rapports avec certains États[36], il dĂ©crit Ă  de nombreuses reprises les risques inhĂ©rents au travail avec WikiLeaks[37], notamment au contact des agences de renseignement, et dĂ©finit l'organisation comme une « bibliothĂšque mondiale des appareils de pouvoir[38]. »

Avocat depuis , il dĂ©fend notamment Jean-Luc MĂ©lenchon lors de l'affaire dite « OAS »[39] - [40], ainsi que son pĂšre, opposĂ© Ă  Terry Gilliam et au festival de Cannes dans le cadre de l’affaire « Don Quichotte »[41].

RecrutĂ© en par l'ONU en RĂ©publique centrafricaine en tant qu'expert indĂ©pendant[42], il est chargĂ© avec deux autres personnes de l'Ă©laboration de la stratĂ©gie des poursuites du procureur de la Cour pĂ©nale spĂ©ciale centrafricaine[43]. LiĂ© par une clause de confidentialitĂ©, il accuse le , de façon publique sur Twitter, les forces de la Mission multidimensionnelle intĂ©grĂ©e des Nations unies pour la stabilisation en Centrafrique (MINUSCA) d'ĂȘtre Ă  l’origine d'un massacre Ă  Bangui[44], Moins d'une semaine plus tard, il est expulsĂ© du pays et allĂšgue que ceci est le rĂ©sultat de la « culture d'impunitĂ© » de l'institution[45].

Lors du mouvement des Gilets jaunes, il devient l'avocat de figures de la contestation, tels Maxime Nicolle, Christophe Dettinger et Stéphane Espic[46] - [47] - [48].

En , il dĂ©pose Ă  la CPI, conjointement avec Omer Shatz, une communication de 250 pages sur la politique migratoire europĂ©enne, accusant les dirigeants de l'Union europĂ©enne de crimes contre l'humanitĂ©[49]. PrĂ©sentĂ© par un consortium de mĂ©dias internationaux comme le travail des deux avocats[50] - [51] - [52] - [53], il s'agit en rĂ©alitĂ© du « rĂ©sultat d'un projet de clinique pro-bono Â» rĂ©alisĂ© par huit Ă©tudiants d'un des masters de Science Po Paris[54].

. Le rapport affirme qu'une attaque systĂ©matique et gĂ©nĂ©ralisĂ©e aurait Ă©tĂ© menĂ©e contre des civils en mer MĂ©diterranĂ©e et en Libye entre 2014 et 2019. Le document n'est pas fondĂ© sur une « enquĂȘte ou de nouvelles preuves » mais sur l'analyse de dĂ©clarations, dĂ©cisions et rapports europĂ©ens[55]. Le ministĂšre français des Affaires Ă©trangĂšres français rĂ©agit en indiquant que « cette accusation [
] ne repose sur aucun fondement juridique »[56].

En 2020, il devient l'avocat lors du procĂšs en appel de Marvel Fitness, Youtuber ayant harcelĂ© plusieurs Youtubers fitness, aprĂšs qu'il a Ă©tĂ© condamnĂ© en premiĂšre instance et placĂ© en dĂ©tention provisoire, ainsi que de l'un des accusĂ©s dans l'affaire Mila[57]. Marvel Fitness est libĂ©rĂ© et condamnĂ© en appel Ă  dix-huit mois de prison avec sursis dont deux fermes. Juan Branco qualifie ce procĂšs de "conflit de cour de rĂ©crĂ©ation qui n’aurait pas dĂ» ĂȘtre judiciarisĂ©"[58].

En 2022, il devient l'avocat de LaLiga en France[59].

Il représente également en appel Damien Tarel, condamné pour avoir souffleté Emmanuel Macron, défendant "un geste purgatoire qui a soulagé beaucoup de Français"[60].

Activités dans les médias

Branco a écrit des chroniques pour L'Humanité, Libération, Lignes et Esprit[61] - [62] - [63] - [64], et développe une critique médias, notamment dans le cadre de son ouvrage Crépuscule[65] - [66] - [67].

Parcours politique

Aujourd'hui, Juan Branco est classĂ© Ă  l'extrĂȘme gauche[1] - [2] - [3], ses positions sont qualifiĂ©es de populistes[4] - [5], complotistes[4] - [5] et rĂ©volutionnaires[6] - [7] - [8].

Villepinisme, Les Verts et Parti socialiste

Logo de Jeune République, mouvement lancé par Juan Branco et proche de Dominique de Villepin.

Alors qu'il Ă©tudie Ă  Sciences Po, il s'engage auprĂšs du directeur Richard Descoings dans des projets de rĂ©forme de l'Ă©cole[68]. RĂ©putĂ© proche de Dominique de Villepin[12], il rejoint les Jeunes Verts, dirigeant la section Île-de-France et se mobilisant notamment contre la politique migratoire europĂ©enne et la directive retour[11] - [69] - [70].

France Info indique : « AprĂšs s'ĂȘtre prĂ©sentĂ© sur une liste des Verts aux municipales en 2008 Ă  Paris, il crĂ©e Ă  la fin de sa deuxiĂšme annĂ©e le think tank Jeune RĂ©publique, identifiĂ© comme proche de Dominique de Villepin. « Sur les idĂ©es, il y a toujours eu une certaine cohĂ©rence, par contre je me suis cherchĂ© sur la façon de les dĂ©fendre », explique-t-il[16]. »

Lors de la campagne prĂ©sidentielle de 2012, il s’engage au sein du Parti socialiste et travaille au sein du pĂŽle culture de la campagne de François Hollande. Il affirme que Dominique de Villepin lui a proposĂ© d’intĂ©grer son Ă©quipe au moment oĂč celui-ci entendait briguer l’ÉlysĂ©e[13] - [71].

ImpliquĂ© dans le mouvement des IndignĂ©s, devenu proche de Julian Assange du fait de son implication dans le combat sur la loi Hadopi[72], Ă©ditĂ© par Alain Badiou, Michel Surya et Barbara Cassin[72], il intervient pendant cette pĂ©riode aux cĂŽtĂ©s de Noam Chomsky[72], Jean-Luc Godard[73] et Baltasar GarzĂłn[74] sur des problĂ©matiques ayant trait aux droits d'auteur, aux violences de masse et Ă  la surveillance dans l'Ăšre numĂ©rique[75]. Il intĂšgre l'Ă©quipe de campagne du Partido X (en), issu des indignĂ©s, lors des Ă©lections europĂ©ennes de 2014 en Espagne[76] - [77]. En 2016, lors du procĂšs sur la mort de Zyed Benna et Bouna TraorĂ©, qui avait donnĂ© lieu aux Ă©meutes de 2005, il relate en direct le dĂ©roulement des audiences, Ă©crits qui font l'objet d'une adaptation audiovisuelle interprĂ©tĂ©e notamment par Disiz et Kery James[78] - [79].

En 2009, aux cÎtés de la Quadrature du Net[80], il s'engage contre le projet de loi favorisant la diffusion et la protection de la création sur internet[81] (dit « Hadopi ») en créant la plateforme Création, Public, Internet et en rédigeant, en , une lettre ouverte s'opposant au projet qui est signée par des personnalités du monde cinématographique, dont son pÚre, Catherine Deneuve, Chantal Akerman et Christophe Honoré[82].

Son livre RĂ©ponses Ă  Hadopi, paru un an aprĂšs, propose l'Ă©laboration d'un nouveau systĂšme lĂ©gal et financier pour l'industrie du cinĂ©ma[83]. Membre du pĂŽle « culture, audiovisuel et mĂ©dias » — dirigĂ© par AurĂ©lie Filippetti — de la campagne prĂ©sidentielle de François Hollande en 2012[84], Juan Branco dĂ©fend une rĂ©forme de l'exception culturelle française avec l'abrogation de la loi Hadopi et la dĂ©pĂ©nalisation des Ă©changes culturels non-commerciaux en pair-Ă -pair[85] - [86]. Selon Juan Branco, c’est Ă  la suite d'une campagne de lobbying provenant d'une partie des industries culturelles qu’il est rĂ©voquĂ©, au lendemain de l'Ă©lection prĂ©sidentielle[85] - [87]. AurĂ©lie Filippetti affirme pour sa part que c'est son refus d'accĂ©der Ă  la demande de Juan Branco de devenir son directeur de cabinet qui est la cause de son dĂ©part[88]. Celle-ci affirme :

« Il a travaillĂ© quelques mois avec moi. Il Ă©tait jeune et recommandĂ© par Richard Descoings, l’ancien directeur de Sciences Po. Ensuite, il a exigĂ© d’ĂȘtre mon directeur de cabinet lorsque je suis devenue ministre, Ă  22 ans. [
] Quand j’ai refusĂ©, il a vrillĂ© totalement, affirmant avoir enregistrĂ© nos conversations [
] et surtout plaidant l’idĂ©e que j’avais sacrifiĂ© mes idĂ©aux, et lui-mĂȘme, pour devenir ministre. [
] Il est dangereux, intelligent et habile. [
] Il est Ă  la fois mĂ©galo, mythomane et trĂšs, trĂšs manipulateur[12] - [16]. »

La France insoumise et opposition Ă  Emmanuel Macron

Critique virulent d'Emmanuel Macron trĂšs en amont de son Ă©lection et appelant le journaliste Marc Endeweld Ă  enquĂȘter sur lui dĂšs 2013[89], il affirme que les modalitĂ©s d'accession au pouvoir de celui-ci dĂ©termineront l'exercice de son pouvoir[68]. À partir de 2016, il dĂ©crit la possible Ă©lection du candidat d’En marche comme le prĂ©alable Ă  l'Ă©lection de Marine Le Pen, dĂ©fendant le vote blanc entre les deux tours de l’élection prĂ©sidentielle de 2017[90].

Juan Branco se prĂ©sente aux Ă©lections lĂ©gislatives de 2017 dans la douziĂšme circonscription de la Seine-Saint-Denis sous l’étiquette de La France insoumise, dont le dirigeant Jean-Luc MĂ©lenchon a Ă©tĂ© sĂ©duit par son soutien Ă  Julian Assange[12] - [68]. Juan Branco arrive en quatriĂšme position, se voyant Ă©liminĂ© dĂšs le premier tour, avec 13,9 % des suffrages exprimĂ©s et 5,5 % des inscrits. Il est devancĂ© par Jordan Bardella (FN, 15,1 %), Ludovic Toro (UDI, 19,7 %) et StĂ©phane TestĂ© (LREM, 33,8 %), ce dernier Ă©tant Ă©lu au second tour[91] - [92].

Concernant le président de la République, il annonce, en , dans un entretien avec Aude Lancelin et dans un premier passage à Thinkerview, une « tentation autoritaire » découlant des modalités d'accession d'Emmanuel Macron au pouvoir, anticipant une rupture politique majeure ainsi que l'accroissement de la violence politique dans le pays[93].

Devenu l'avocat de Jean-Luc Mélenchon, il abandonne sa défense en , sans que les raisons de cette rupture soient dévoilées[12] - [68].

Dans la foulĂ©e, sur son blog hĂ©bergĂ© par Le Monde, il publie CrĂ©puscule, long document relatant de façon critique l'ascension d'Emmanuel Macron, constituant une attaque au vitriol d'une partie de l'Ă©lite parisienne[94] et appelant Ă  la rĂ©volte populaire. Il y dĂ©crit la Macronie comme « une nouvelle variante du fascisme »[95]. Contre Macron, un premier texte d'ordre philosophique, publiĂ© en , qui paraĂźt chez Divergences en , fait Ă©tat d'une aporie dĂ©mocratique majeure. AprĂšs avoir Ă©tĂ© tĂ©lĂ©chargĂ© environ 100 000 fois, CrĂ©puscule est Ă©ditĂ© aux Ă©ditions Au diable vauvert et s'Ă©coule Ă  150 000 exemplaires[96] - [97]. À l'Ă©tranger, l'ouvrage bĂ©nĂ©ficie Ă©galement d'une couverture, notamment en Espagne, en Belgique[98] et en Suisse[6].

Peu aprÚs la parution de son texte, il est signalé au parquet de la République par la députée Aurore Bergé pour avoir « arm[é] les esprits pour légitimer [l]es violences dans [le] pays »[99]. Récusant toute faute et revendiquant ses écrits[100], il est défendu par WikiLeaks[13], Denis Robert, qui préface la version écrite de son texte, ou encore Pamela Anderson[101].

Il soutient, dĂšs ses dĂ©buts, le mouvement des Gilets jaunes[13]. Il appelle Ă  la destitution d’Emmanuel Macron mais se voit reprocher par certains d’appartenir au « systĂšme ». Le , il est prĂ©sent sur les lieux lorsqu’un chariot Ă©lĂ©vateur force l’entrĂ©e du porte-parolat du gouvernement, exercĂ© par Benjamin Griveaux[16]. En , lors d'un entretien accordĂ© Ă  L'Express, il dĂ©clare au sujet de la Macronie : « Ils ne sont pas corrompus, ils sont la corruption »[95].

Lors des Ă©lections europĂ©ennes de 2019, Juan Branco appelle Ă  l’abstention, ce qui lui attire la dĂ©sapprobation de Jean-Luc MĂ©lenchon[16].

Controverses

Tentative de défense de Salah Abdeslam

En , Valeurs actuelles rĂ©vĂšle que, dans une lettre dĂ©posĂ©e en Ă  la maison d'arrĂȘt de Fleury-MĂ©rogis, Juan Branco propose Ă  Salah Abdeslam, un des terroristes responsables des attentats islamistes de en France, de « congĂ©dier [s]es conseils ». Juan Branco souligne le fait qu'il a le mĂȘme Ăąge que lui et qu'il est, comme lui, un « fils d’immigrĂ© » et « un enfant que ce pays ne considĂ©rera jamais comme le sien ». Il lui Ă©crit aussi n’avoir « jamais partagĂ© la position de [son] avocat bruxellois et de ses confrĂšres » et que le « dĂ©grader ne sert Ă  rien ». Il affirme « partager [son] ressenti quant Ă  la nĂ©cessitĂ© d'imposer une radicalitĂ© dans [sa] ligne de dĂ©fense » et lui propose de continuer Ă  garder le silence ou d'opter pour une « dĂ©fense de rupture », stratĂ©gie choisie par l’avocat Jacques VergĂšs avec les « terroristes » du FLN algĂ©rien. Salah Abdeslam ne donne pas suite Ă  cette lettre[102] - [103].

Cette rĂ©vĂ©lation fait rĂ©agir des avocats, qui dĂ©noncent un « exercice illĂ©gal de la profession ». En effet, quand Juan Branco contacte Salah Abdeslam, il n'est pas encore avocat. MaĂźtre Frank Berton, premier avocat français du terroriste, Ă©voque de possibles poursuites : « Le parquet comme le bĂątonnier pourraient enclencher les poursuites pour exercice illĂ©gal de la profession, voire tentative d'escroquerie. Salah Abdeslam sait parfaitement qui est Juan Branco. En se prĂ©sentant comme son avocat, alors qu'il ne l'Ă©tait pas, Monsieur Branco a franchi la ligne rouge[104]. » Juan Branco revendique l'Ă©criture du courrier en affirmant vouloir « permettre Ă  ceux qui ne sont pas dĂ©fendables d'ĂȘtre dĂ©fendus »[105] - [106] - [107]

RĂ©vĂ©lation de l’homosexualitĂ© de Gabriel Attal

En , il critique sur Twitter la nomination du nouveau secrĂ©taire d'État auprĂšs du ministre de l'Éducation nationale, Gabriel Attal. Il rĂ©vĂšle que celui-ci est liĂ© par un pacs Ă  StĂ©phane SĂ©journĂ©, conseiller de la prĂ©sidence de la RĂ©publique, affirmant ainsi qu'il s'agit d'une « promotion canapĂ© ». À la suite de la polĂ©mique nĂ©e de ses propos, qualifiĂ©s par certains d'« outing », Juan Branco dĂ©clare ne pas avoir voulu faire de la question de l'orientation sexuelle des personnes concernĂ©es le sujet de sa communication[108] mais dĂ©noncer « des rapports de nĂ©potisme avĂ©rĂ©s », notamment « dans le cadre de l'attribution d'une circonscription Ă  M. Attal par son conjoint » mais aussi « Ă  l'AssemblĂ©e nationale, puis au gouvernement, oĂč M. SĂ©journĂ© a Ă©tĂ© un Ă©lĂ©ment clef de l'ascension de son conjoint, sans jamais le rĂ©vĂ©ler »[109].

Conflit avec L’Express

Un article de L'Express, paru le , affirme qu’il n’a pas Ă©tĂ© « chargĂ© de sĂ©minaire » Ă  l'École normale supĂ©rieure, le qualifie de « radical chic qui veut la peau de la Macronie », critique sa proximitĂ© avec le mouvement des Gilets jaunes, rappelant la polĂ©mique avec Gabriel Attal et mettant en doute la sincĂ©ritĂ© de son engagement[13]. Exerçant son droit de rĂ©ponse, publiĂ© par le journal le , Juan Branco reproche Ă  l'article de produire « le portrait unilatĂ©ralement Ă  charge d'un homme de 29 ans, en s'appuyant notamment sur des faits intervenus lors de [sa] minoritĂ© »[110] ; il souligne aussi que L'Express est la propriĂ©tĂ© de l'homme d'affaires Patrick Drahi, durement critiquĂ© dans CrĂ©puscule[111] - [112] - [113].

Portrait et rĂ©vĂ©lations de L’Obs

Dans un long portrait de L'Obs paru le , le journaliste Matthieu Aron affirme que Juan Branco aurait contacté en 2017 la journaliste du Monde Raphaëlle Bacqué afin qu'elle l'aide à obtenir un poste d'éditorialiste.

Il affirme Ă©galement que Juan Branco aurait proposĂ© Ă  Xavier Niel — l'un des actionnaires principaux du Monde et de L'Obs — de devenir prĂ©cepteur de ses enfants (ce que Juan Branco rapporte lui-mĂȘme dans l'ouvrage SignĂ© Branco[15]).

Ce journaliste affirme aussi que Juan Branco déclare avoir été surveillé par la CIA et d'autres agences de renseignement, notamment du fait de son travail avec WikiLeaks[2]. (Le , Mediapart affirme aussi que Juan Branco a été espionné par la CIA lors de ses visites à Julian Assange à Londres[114].)

Accusations de collusion Ruffin/Macron

En , une polĂ©mique naĂźt aprĂšs qu'il a exhumĂ© l'enregistrement d'un Ă©change entre François Ruffin et Emmanuel Macron. Juan Branco crĂ©e la controverse en livrant une interprĂ©tation considĂ©rĂ©e comme partiale. L'enregistrement, datĂ© de et initialement publiĂ© par Radio Nova, est une discussion relative aux difficultĂ©s Ă©conomiques de l'entreprise isĂ©roise Ecopla. François Ruffin intervient alors qu'Emmanuel Macron a dĂ©missionnĂ© du gouvernement et qu'il prĂ©pare sa candidature Ă  l'Ă©lection prĂ©sidentielle de 2017. Selon Juan Branco, cet enregistrement, censĂ© rĂ©vĂ©ler les dessous d'une communication politique montĂ©e de toutes piĂšces, est la preuve que les spectateurs ont Ă©tĂ© « manipulĂ©s » par les deux hommes, qui auraient mis en scĂšne leur opposition. Branco met ainsi en perspective une nouvelle confrontation intervenue entre Emmanuel Macron et François Ruffin, quelques jours avant sa publication, au sein de l'usine Goodyear, lors de laquelle François Ruffin a affirmĂ© « ne pas supporter que l'on mette en doute sa sincĂ©ritĂ© ». Son interprĂ©tation est contestĂ©e par François Ruffin et le magazine Marianne, qui rappellent que des ouvriers d'Ecopla Ă©taient prĂ©sents lors de l'Ă©change en question[115] - [116] - [117]. Le Figaro indique que cette accusation de collusion entre le dĂ©putĂ© et le prĂ©sident de la RĂ©publique a dĂ©gradĂ© l’image de Juan Branco au sein de La France insoumise[12].

Affaire Benjamin Griveaux

Le , le magazine Le Point rĂ©vĂšle que Juan Branco a Ă©tĂ© consultĂ© en tant qu'avocat par l’activiste russe Piotr Pavlenski, avant que celui-ci mette en ligne des vidĂ©os Ă  caractĂšre sexuel attribuĂ©es Ă  Benjamin Griveaux, ce qui conduit ce dernier Ă  retirer sa candidature Ă  la mairie de Paris. Selon l'hebdomadaire, « le rĂŽle de Juan Branco dans cette affaire pourrait en rĂ©alitĂ© dĂ©passer celui de simple avocat. Selon plusieurs sources, ce dernier aurait lui-mĂȘme sollicitĂ© des personnes dĂ©but fĂ©vrier afin de rĂ©flĂ©chir au moyen de diffuser les vidĂ©os intimes du candidat LREM », ce que l'avocat dĂ©ment[118]. Le site Mediapart rĂ©vĂšle en outre que Piotr Pavlenski et Juan Branco se connaissaient auparavant[119]. Le , le bĂątonnier de Paris - Olivier Cousi - annonce l'ouverture d'une enquĂȘte dĂ©ontologique Ă  la demande du Parquet[120]. Deux jours plus tard, il demande Ă  l'avocat de se retirer de l'affaire en indiquant que « [s’]il n'y a pas en l'Ă©tat du dossier de conflit d'intĂ©rĂȘts », en revanche, « un certain nombre de dĂ©clarations et de comportements dans la presse et dans les mĂ©dias de Juan Branco le mettent dans une situation qui risque d'altĂ©rer l'indĂ©pendance entre son client et lui-mĂȘme »[121]. Juan Branco choisit finalement d'aller Ă  l'encontre de cette recommandation et se joint Ă  maĂźtre Yassine Bouzrou dans la dĂ©fense de l'activiste russe. Il demande Ă©galement une expertise psychiatrique de Griveaux[122].

La premiĂšre personne Ă  avoir diffusĂ© la vidĂ©o serait une Ă©crivaine sous pseudo, ZoĂ© Sagan, qui affirme que Juan Branco lui a envoyĂ© le lien[123]. L’hebdomadaire Le Point estime que Juan Branco a « jouĂ© un rĂŽle flou dans ce qui est devenu « l'affaire Griveaux ». »[124]. Dans le cadre de ses entretiens, Marianne relĂšve l'emploi confus des pronoms « je » et « on », en rĂ©fĂ©rence Ă  Juan Branco[125]. D'aprĂšs LCI, Alexandra de Taddeo, compagne de Piotr Pavlenski et destinataire des vidĂ©os intimes, aurait mĂȘme Ă©voquĂ© dans un message adressĂ© Ă  Juan Branco « la stratĂ©gie de Juan »[126] - [127]. Juan Branco rĂ©pond que sa seule « stratĂ©gie » consistait Ă  dĂ©cider s'il prendrait ou non la parole en cas de garde Ă  vue de son client[128]. Dans ce contexte, Juan Branco saisit le Conseil supĂ©rieur de l'audiovisuel (CSA) aprĂšs un entretien mouvementĂ© avec la journaliste Apolline de Malherbe[129], qui a suggĂ©rĂ© qu'il puisse ĂȘtre « le manipulateur » et Piotr Pavlenski simplement « l’exĂ©cutant »[130]. En parallĂšle, 23 individus saisissent le « Conseil de dĂ©ontologie journalistique et de mĂ©diation » (CDJM) ; considĂ©rant la saisine « partiellement justifiĂ©e », le Conseil conclut que « l'ensemble de l’entretien avec M. Juan Branco tĂ©moigne d'une partialitĂ© envers l'interviewĂ© qui dĂ©passe la libertĂ© d'investigation journalistique, et la derniĂšre phrase prononcĂ©e par Mme Apolline de Malherbe ne respecte pas les rĂšgles dĂ©ontologiques concernant les accusations sans preuve et le dĂ©faut d’offre de rĂ©plique »[131].

Le , Juan Branco, dans un entretien au quotidien Le Parisien, exprime certains doutes concernant l'action de Piotr Pavlenski : « Pour ma part, je n'aurais jamais diffusĂ© ces vidĂ©os », et il accuse de « complicitĂ© », voire de « recel », « ceux qui ont relayĂ© la vidĂ©o, comme [le dĂ©putĂ©] Joachim Son-Forget »[128]. Le Canard enchaĂźnĂ© estime qu'il s'agit d'un revirement de l'avocat, qui cautionnait la veille « l'Ă©norme succĂšs » et le « courage » de l'activiste russe[132]. Dans le mĂȘme temps, Paris Match dĂ©voile une vidĂ©o de dans laquelle Juan Branco imagine la chute de Benjamin Griveaux « en le forçant Ă  une confrontation [aux Ă©lections municipales Ă  Paris] qui [
] forcerait Ă  le voir nu, dans sa laideur »[133] - [134].

Auto-promotion et interventions hostiles sur Wikipédia

En , trois ans aprĂšs un article similaire de L'Obs[135], le journaliste Pierre Sautreuil du Figaro Ă©crit que, « depuis quinze ans, l'essayiste et avocat se sert de l’encyclopĂ©die en ligne sous diverses identitĂ©s pour embellir sa biographie et rĂ©gler ses comptes »[136].

Il affirme que Juan Branco Ă©dite rĂ©guliĂšrement du contenu sur WikipĂ©dia en français et en anglais, sous diverses identitĂ©s, et qu’il a notamment utilisĂ© l’encyclopĂ©die Ă  des fins d’auto-promotion. Parmi les changements effectuĂ©s sur son article, il aurait supprimĂ© le fait que Le Monde n'aurait pas voulu qu'il devienne Ă©ditorialiste, que Xavier Niel n'aurait pas acceptĂ© qu'il devienne le prĂ©cepteur de ses enfants, ou encore qu'il serait entrĂ© Ă  l'École normale supĂ©rieure sur dossier (et donc pas par la voie du concours), ce qui selon l'auteur l’aurait empĂȘchĂ© Ă  l’époque de prĂ©tendre au « prestigieux titre de « normalien »[136] ».

Juan Branco effectuerait Ă©galement de nombreuses modifications « sur les articles et les dĂ©bats relatifs Ă  des hauts fonctionnaires, personnalitĂ©s politiques, hommes d'affaires et anciens Ă©lĂšves de l'École normale supĂ©rieure » et « rĂ©Ă©crit les biographies en leur donnant une teinte nĂ©gative, quand il ne propose pas simplement leur effacement ». En 2019, selon L'Express, il se serait fait passer pour un administrateur de WikipĂ©dia en signant un courriel Ă  l'employeur d'une contributrice avec qui il eut des diffĂ©rends sur la page de Manuel Flam, un ancien professeur Ă  Sciences Po lui ayant mis un zĂ©ro pour absentĂ©isme[137].

Accusation de viol

En , Juan Branco est mis en examen pour viol. Depuis le mois d'avril de la mĂȘme annĂ©e, la victime prĂ©sumĂ©e l’accuse d’avoir abusĂ© d’elle Ă  la suite de la consommation d’un opiacĂ©, la lamaline, au cours d’une soirĂ©e. L'avocat affirme que la relation Ă©tait consentie[138] - [139] - [140].

Publications

Notes et références

Notes

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  1. La prononciation usuelle en France se rapproche plus de [bʁɑ̃ko].

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Annexes

Bibliographie

Liens externes

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