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Capdrot

Capdrot est une commune française située dans le département de la Dordogne, en région Nouvelle-Aquitaine.

Capdrot
Capdrot
Le monument des Croquants Ă  Capdrot.
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Nouvelle-Aquitaine
DĂ©partement Dordogne
Arrondissement Bergerac
Intercommunalité Communauté de communes des Bastides Dordogne-Périgord
Maire
Mandat
Ludovic Papon
2020-2026
Code postal 24540
Code commune 24080
DĂ©mographie
Gentilé Capdrotiens
Population
municipale
463 hab. (2020 en diminution de 5,89 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 11 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 44° 40â€Č 56″ nord, 0° 55â€Č 25″ est
Altitude Min. 143 m
Max. 288 m
Superficie 43,72 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
DĂ©partementales Canton de Lalinde
LĂ©gislatives DeuxiĂšme circonscription
Localisation
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Capdrot
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Capdrot
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Capdrot
Liens
Site web capdrot.fr

    GĂ©ographie

    Généralités

    Au lieu-dit Bonnefond jaillit la source du Dropt, affluent de rive droite de la Garonne. La ForĂȘt de Capdrot, trĂšs largement dĂ©membrĂ©e, est altĂ©rĂ©e par divers implants de rĂ©sineux.

    Communes limitrophes

    Carte de Capdrot et des communes avoisinantes.

    Capdrot est limitrophe de huit autres communes. Au sud-est, son territoire n'est distant que d'une cinquantaine de mĂštres de celui de Blanquefort-sur-Briolance, en Lot-et-Garonne.

    GĂ©ologie

    SituĂ© sur la plaque nord du Bassin aquitain et bordĂ© Ă  son extrĂ©mitĂ© nord-est par une frange du Massif central, le dĂ©partement de la Dordogne prĂ©sente une grande diversitĂ© gĂ©ologique. Les terrains sont disposĂ©s en profondeur en strates rĂ©guliĂšres, tĂ©moins d'une sĂ©dimentation sur cette ancienne plate-forme marine. Le dĂ©partement peut ainsi ĂȘtre dĂ©coupĂ© sur le plan gĂ©ologique en quatre gradins diffĂ©renciĂ©s selon leur Ăąge gĂ©ologique. Capdrot est situĂ©e dans le quatriĂšme gradin Ă  partir du nord-est, un plateau formĂ© de dĂ©pĂŽts siliceux-grĂ©seux et de calcaires lacustres de l'Ăšre tertiaire[1].

    Les couches affleurantes sur le territoire communal sont constituĂ©es de formations superficielles du Quaternaire et de roches sĂ©dimentaires datant pour certaines du CĂ©nozoĂŻque, et pour d'autres du MĂ©sozoĂŻque. La formation la plus ancienne, notĂ©e c5a(2), date du Campanien 1, des calcaires packstone Ă  wackstone crayo-marneux gris blanchĂątres Ă  subalvĂ©olines Ă  silex gris ou noirs. La formation la plus rĂ©cente, notĂ©e CFvs, fait partie des formations superficielles de type colluvions carbonatĂ©es de vallons secs : sable limoneux Ă  dĂ©bris calcaires et argile sableuse Ă  dĂ©bris. Le descriptif de ces couches est dĂ©taillĂ© dans la feuille « no 831 - BelvĂšs » de la carte gĂ©ologique au 1/50 000 de la France mĂ©tropolitaine[2] - [3] et sa notice associĂ©e[4].

    Carte géologique de Capdrot.

    Relief et paysages

    Le dĂ©partement de la Dordogne se prĂ©sente comme un vaste plateau inclinĂ© du nord-est (491 m, Ă  la forĂȘt de Vieillecour dans le Nontronnais, Ă  Saint-Pierre-de-Frugie) au sud-ouest (m Ă  Lamothe-Montravel). L'altitude du territoire communal varie quant Ă  elle entre 143 m et 288 m[5] - [6].

    Dans le cadre de la Convention europĂ©enne du paysage entrĂ©e en vigueur en France le , renforcĂ©e par la loi du 8 aoĂ»t 2016 pour la reconquĂȘte de la biodiversitĂ©, de la nature et des paysages, un atlas des paysages de la Dordogne a Ă©tĂ© Ă©laborĂ© sous maĂźtrise d’ouvrage de l’État et publiĂ© en [7]. Les paysages du dĂ©partement s'organisent en huit unitĂ©s paysagĂšres[Note 1] et 14 sous-unitĂ©s[8]. La commune fait partie du PĂ©rigord noir, un paysage vallonnĂ© et forestier, qui ne s’ouvre que ponctuellement autour de vallĂ©es-couloirs et d’une multitude de clairiĂšres de toutes tailles. Il s'Ă©tend du nord de la VĂ©zĂšre au sud de la Dordogne (en amont de Lalinde) et est riche d’un patrimoine exceptionnel[9].

    La superficie cadastrale de la commune publiĂ©e par l'Insee, qui sert de rĂ©fĂ©rence dans toutes les statistiques, est de 43,72 km2[5] - [10] - [Note 2]. La superficie gĂ©ographique, issue de la BD Topo, composante du RĂ©fĂ©rentiel Ă  grande Ă©chelle produit par l'IGN, est quant Ă  elle de 43,96 km2[3].

    RĂ©seau hydrographique

    La commune est situĂ©e pour partie dans le bassin de la Dordogne et pour partie dans le bassin de la Garonne au sein du Bassin Adour-Garonne[13]. Elle est drainĂ©e par le Dropt, le Soulauret, le ruisseau de Moulinio, le ruisseau du Moulin Neuf et par divers petits cours d'eau, qui constituent un rĂ©seau hydrographique de 21 km de longueur totale[14] - [Carte 1].

    Le Dropt, d'une longueur totale de 132,47 km, prend sa source deux kilomĂštres et demi Ă  l'est du bourg de Capdrot et se jette en rive droite de la Garonne en limite de Caudrot et de Casseuil, face Ă  Barie[15] - [16]. Il arrose la commune d'est en ouest sur plus de six kilomĂštres, servant de limite naturelle avec celle de Monpazier sur 600 mĂštres.

    Son affluent de rive droite le ruisseau de Moulinio prend sa source dans le nord-ouest du territoire communal qu'il arrose en direction du sud sur plus de trois kilomĂštres et demi.

    Le ruisseau du Moulin Neuf, affluent de rive gauche du Dropt, prend sa source dans le sud de la commune qu'il baigne sur prĂšs de deux kilomĂštres et demi.

    Autre affluent de rive gauche du Dropt, le Soulauret marque la limite territoriale au sud-ouest sur 650 mĂštres face Ă  Soulaures.

    Gestion et qualité des eaux

    Le territoire communal est couvert par les schĂ©mas d'amĂ©nagement et de gestion des eaux (SAGE) « Dordogne amont », « Dordogne Atlantique » et « Dropt ». Le SAGE « Dordogne amont », dont le territoire s'Ă©tend des sources de la Dordogne jusqu'Ă  la confluence de la VĂ©zĂšre Ă  Limeuil, d'une superficie de 9 700 km2 est en cours d'Ă©laboration. La structure porteuse de l'Ă©laboration et de la mise en Ɠuvre est l'Ă©tablissement public territorial de bassin de la Dordogne (EPIDOR)[17]. Le SAGE « Dordogne Atlantique », dont le territoire correspond au sous‐bassin le plus aval du bassin versant de la Dordogne (aval de la confluence Dordogne - VĂ©zĂšre)., d'une superficie de 2 700 km2 est en cours d'Ă©laboration. La structure porteuse de l'Ă©laboration et de la mise en Ɠuvre est Ă©galement l'EPIDOR[18]. Le SAGE « Dropt », dont le territoire correspond au bassin versant du Dropt, d'une superficie de 1 522 km2, a Ă©tĂ© approuvĂ© le . La structure porteuse de l'Ă©laboration et de la mise en Ɠuvre est le syndicat mixte EPIDROPT[19]. Ils dĂ©finissent chacun sur leur territoire les objectifs gĂ©nĂ©raux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualitĂ© dĂ©finis dans le troisiĂšme SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la pĂ©riode 2022-2027, approuvĂ© le [20]. La majeure partie centrale de la commune dĂ©pend du SAGE Dropt.

    Au nord, une partie du territoire qui fait partie du bassin versant de la Couze est rattachée au SAGE Dordogne Atlantique. Au sud, une zone de plus de km2 n'est concernée par aucun SAGE.

    La qualitĂ© des eaux de baignade et des cours d’eau peut ĂȘtre consultĂ©e sur un site dĂ©diĂ© gĂ©rĂ© par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversitĂ©[Carte 2].

    Climat

    Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[21]. En 2020, la commune ressort du mĂȘme type de climat dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat ocĂ©anique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[22].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 4]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[21]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 12,6 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 2,3 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 9,1 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 5] : 15,3 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation[Note 6] : 909 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 12,1 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 7 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[25] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[26] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Lacapelle-Biron-Pailloles », sur la commune de Lacapelle-Biron, mise en service en 1986[27] et qui se trouve Ă  km Ă  vol d'oiseau[28] - [Note 7], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 12,8 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 903,6 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[29]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche, « Gourdon », sur la commune de Gourdon, dans le dĂ©partement du Lot, mise en service en 1961 et Ă  37 km[30], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 12,4 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[31], Ă  12,7 °C pour 1981-2010[32], puis Ă  13,1 °C pour 1991-2020[33].

    Urbanisme

    Typologie

    Capdrot est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 8] - [34] - [35] - [36]. La commune est en outre hors attraction des villes[37] - [38].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des forĂȘts et milieux semi-naturels (69 % en 2018), nĂ©anmoins en diminution par rapport Ă  1990 (70,9 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : forĂȘts (67,4 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (19,6 %), prairies (8,5 %), terres arables (2,8 %), milieux Ă  vĂ©gĂ©tation arbustive et/ou herbacĂ©e (1,6 %), zones urbanisĂ©es (0,1 %)[39].

    L'Ă©volution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut ĂȘtre observĂ©e sur les diffĂ©rentes reprĂ©sentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et les cartes ou photos aĂ©riennes de l'IGN pour la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[Carte 3].

    Prévention des risques

    Le territoire de la commune de Capdrot est vulnĂ©rable Ă  diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse), inondations, feux de forĂȘts, mouvements de terrains et sĂ©isme (sismicitĂ© trĂšs faible)[40]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[41].

    Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’ĂȘtre affectĂ©es par le risque d’inondation par dĂ©bordement de cours d'eau, notamment le Dropt. La commune a Ă©tĂ© reconnue en Ă©tat de catastrophe naturelle au titre des dommages causĂ©s par les inondations et coulĂ©es de boue survenues en 1982, 1999, 2003 et 2008[42] - [40].

    Capdrot est exposĂ©e au risque de feu de forĂȘt. L’arrĂȘtĂ© prĂ©fectoral du fixe les conditions de pratique des incinĂ©rations et de brĂ»lage dans un objectif de rĂ©duire le risque de dĂ©parts d’incendie. À ce titre, des pĂ©riodes sont dĂ©terminĂ©es : interdiction totale du 15 fĂ©vrier au 15 mai et du 15 juin au 15 octobre, utilisation rĂ©glementĂ©e du 16 mai au 14 juin et du 16 octobre au 14 fĂ©vrier[43]. En septembre 2020, un plan inter-dĂ©partemental de protection des forĂȘts contre les incendies (PidPFCI) a Ă©tĂ© adoptĂ© pour la pĂ©riode 2019-2029[44] - [45].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Capdrot.

    Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements diffĂ©rentiels[46]. Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas d’alternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie[47]. 94,1 % de la superficie communale est en alĂ©a moyen ou fort (58,6 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national mĂ©tropolitain)[Carte 4]. Depuis le , en application de la loi ÉLAN, diffĂ©rentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maĂźtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situĂ©s dans une zone classĂ©e en alĂ©a moyen ou fort[Note 9] - [48].

    La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 2005 et 2011 et par des mouvements de terrain en 1999[40].

    Toponymie

    Le toponyme est constituĂ© de Cap "tĂȘte" et Drot, la riviĂšre qui prend sa source dans la commune. Le nom est documentĂ© sous les formes Capdracum (1280)[49], Capdrotum (1317)[49], Caput Drotii[50], Caput Dirsi[51]


    En occitan, la commune porte le nom de Cap DrĂČt[52].

    Histoire

    La famille de Constantin possédait la chùteau de Pechegut, aujourd'hui disparu. Les Constantin arrivés de Sarlat au XVIe siÚcle étaient seigneurs de Castelmerle, de Pechegut[53], de MarsalÚs, de la Bigotie, de FoncarbonniÚre, de RigoulÚs. Pendant les guerres de Religion, le chùteau a été pillé par les troupes protestantes commandées par Annet de Commarque et François de VerriÚre.

    Politique et administration

    Administration municipale

    La population de la commune Ă©tant comprise entre 500 et 1 499 habitants au recensement de 2017, quinze conseillers municipaux ont Ă©tĂ© Ă©lus en 2020[54] - [55].

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    Les données manquantes sont à compléter.
    1983 2010 Jacques Magimel-Pelonnier SE[56] Chirurgien retraité
    mai 2010[57] mai 2020 Patricia Feuillet DVD[58]
    mai 2020 En cours Ludovic Papon

    Équipements et services publics

    Justice

    Dans le domaine judiciaire, Capdrot relĂšve[59] :

    Population et société

    DĂ©mographie

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[60]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2005[61].

    En 2020, la commune comptait 463 habitants[Note 10], en diminution de 5,89 % par rapport à 2014 (Dordogne : −0,85 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 0509291 0821 0421 1621 1951 2531 3351 242
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 2121 1771 1631 1151 1331 0291 0611 0081 002
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 001947898806710696604522502
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
    505435469467502507488485508
    2015 2020 - - - - - - -
    485463-------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[5] puis Insee Ă  partir de 2006[62].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    Emploi

    En 2015[63], parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs reprĂ©sentent 186 personnes, soit 38,4 % de la population municipale. Le nombre de chĂŽmeurs (vingt) est restĂ© inchangĂ© par rapport Ă  2010 et le taux de chĂŽmage de cette population active s'Ă©tablit Ă  10,8 %.

    Établissements

    Au , la commune compte soixante Ă©tablissements[64], dont vingt-huit au niveau des commerces, transports ou services, dix-sept dans l'agriculture, la sylviculture ou la pĂȘche, six dans la construction, cinq relatifs au secteur administratif, Ă  l'enseignement, Ă  la santĂ© ou Ă  l'action sociale, et quatre dans l'industrie[65].

    Entreprises

    Tous secteurs confondus, parmi les cinquante premiĂšres entreprises ayant leur siĂšge social en Dordogne, classĂ©es selon le chiffre d'affaires hors taxes en 2015-2016, la sociĂ©tĂ© « Fruits rouges du PĂ©rigord » (commerce de gros interentreprises de fruits et lĂ©gumes) implantĂ©e Ă  Capdrot se classe 48e avec 23 598 k€[66]. Tous secteurs confondus, elle se classe Ă  la 39e place, quant au chiffre d'affaires Ă  l'exportation, avec 1 050 k€[67].

    Parmi les entreprises dont le siÚge social est en Dordogne, deux sociétés situées à Capdrot se classent parmi les cinquante premiÚres de leur secteur d'activité quant au chiffre d'affaires hors taxes en 2015-2016 :

    • dans les services, la sociĂ©tĂ© Isolife (affrĂštement et organisation des transports), 22e avec 5 632 k€[68] ;
    • dans le commerce, Fruits rouges du PĂ©rigord Ă  la 25e place[69].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    En 1991, en mĂȘme temps que les communes voisines de Monpazier et Biron, la commune de Capdrot a Ă©tĂ© inscrite, Ă  l'initiative du ministĂšre de l'AmĂ©nagement du territoire et de l'Environnement, dans une opĂ©ration « Grand site national[Note 11] », dans le cadre d'une politique de gestion durable du patrimoine liĂ©e au dĂ©veloppement local, afin de prĂ©server et de mettre en valeur son patrimoine architectural et urbain unique. En 2010, Capdrot ne figure plus parmi les 34 Grands sites du territoire français[70].

    • Ancienne collĂ©giale, Ă©glise Notre-Dame-de-l'Assomption[71] - [72], ou Notre-Dame la Noire, du nom de la statue conservĂ©e dans l'Ă©glise.
    • Monument des croquants.

    Personnalités liées à la commune

    Il meurt roué sur la place centrale de Monpazier, le 6 août 1637.
    Il Ă©tait Ă  la tĂȘte d'une armĂ©e de 4000 paysans menant de nombreuses expĂ©ditions punitives, pillant fermes et chĂąteaux, entre mai et juillet 1637, dans le sud du PĂ©rigord et en Quercy, Ă  partir de sa base qui se trouvait dans la forĂȘt de BessĂšde.
    Le duc d'Épernon chargea un gentilhomme de Monpazier, Pierre de Molinier, capitaine de cent hommes d'armes, de se saisir de Buffarot.
    Buffarot fut surpris à Monpeyran, prÚs de Villeréal :

    • « Te randĂšs Buffarot » ? - Te rends-tu Buffarot ? demanda Molinier.
    • « Noun pas, tant que me rastara uno tourto et un cantel ! » - Non pas tant que me restera une tourte et un quignon ! rĂ©pondit Buffarot.

    Il est condamné à mort prévÎtalement, c'est-à-dire selon la procédure expéditive du flagrant délit.
    E. Pourquery Ă©crivit : « le sixiesme aoust, jour de foyre, il fust dans la place sur un eschafaut rompu tout vif puis tous les membres, la teste la derniĂšre sans estre bandĂ© ; l'on porta ses membres en divers endroits : son corps sur un serisier et autre Ă  Bernadet, la tĂȘte Ă  BelvĂšs ».

    Pour approfondir

    Bibliographie

    • Jacques Magimel-Pelonnier, Capdrot, lieu de mĂ©moire, dans Les cahiers du Groupe archĂ©ologique de Monpazier, no 12, 2003 (lire en ligne)
    • ÉlisĂ©e CĂ©rou, Le Drot ou le Dropt ? Appellation d'origine ibĂ©rique, suivie d'un culte druidique de l'eau ?, dans Les cahiers du Groupe archĂ©ologique de Monpazier, no 12, 2003 (lire en ligne)
    • Jean-Marie VĂ©drenne, « Capdrot, une chapelle ressuscitĂ©e : Pechegut », dans Bulletin de la SociĂ©tĂ© historique et archĂ©ologique du PĂ©rigord, 2008, tome 135, 4e livraison, p. 809-815 (lire en ligne)

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Une unité paysagÚre est un pan de territoire qui présente des caractéristiques paysagÚres propres.
    2. La superficie publiĂ©e par l’Insee est la superficie Ă©valuĂ©e en 1975 par le service du cadastre de la Direction GĂ©nĂ©rale des ImpĂŽts, corrigĂ©e des modifications communales intervenues depuis 1975. Elle comprend toutes les surfaces du domaine public et privĂ©, cadastrĂ©es ou non cadastrĂ©es, Ă  l'exception des lacs, Ă©tangs et glaciers de plus d'un kilomĂštre carrĂ© ainsi que des estuaires et ne correspond pas obligatoirement Ă  la surface gĂ©ographique[11] - [12]
    3. La ligne de partage des eaux entre le bassin de la Dordogne et le bassin de la Garonne est représentée par une ligne verte en tirets-points.
    4. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[23].
    5. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    6. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[24].
    7. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    8. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    9. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
      • au vendeur d'informer le potentiel acquĂ©reur du terrain non bĂąti de l’existence du risque RGA ;
      • au maĂźtre d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maĂźtre d'Ɠuvre, le choix entre fournir une Ă©tude gĂ©otechnique de conception et le respect des techniques particuliĂšres de construction dĂ©finies par voie rĂ©glementaire ;
      • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude gĂ©otechnique de conception, soit de respecter des techniques particuliĂšres de construction dĂ©finies par voie rĂ©glementaire.
    10. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    11. En 2010, il y a 34 Grands sites sur le territoire français, parmi lesquels la Pointe du Raz, la dune du Pyla ou le Pont du Gard
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