AccueilđŸ‡«đŸ‡·Chercher

Lacapelle-Biron

Lacapelle-Biron est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de Lot-et-Garonne (région Nouvelle-Aquitaine).

Lacapelle-Biron
Lacapelle-Biron
Place du monument aux morts.
Blason de Lacapelle-Biron
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Nouvelle-Aquitaine
DĂ©partement Lot-et-Garonne
Arrondissement Villeneuve-sur-Lot
Intercommunalité Communauté de communes Fumel Vallée du Lot
Maire
Mandat
Nadine Lafon
2020-2026
Code postal 47150
Code commune 47123
DĂ©mographie
Gentilé Capelains et capelaines
Population
municipale
414 hab. (2020 en diminution de 8,41 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 30 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 44° 36â€Č 04″ nord, 0° 53â€Č 48″ est
Altitude Min. 145 m
Max. 243 m
Superficie 13,96 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton du Fumélois
LĂ©gislatives TroisiĂšme circonscription
Localisation
GĂ©olocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Lacapelle-Biron
GĂ©olocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Lacapelle-Biron
GĂ©olocalisation sur la carte : Lot-et-Garonne
Voir sur la carte topographique de Lot-et-Garonne
Lacapelle-Biron
GĂ©olocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Voir sur la carte administrative de Nouvelle-Aquitaine
Lacapelle-Biron

    Les habitants sont les capelains et capelaines.

    GĂ©ographie

    Localisation

    Située dans la vallée de la LÚde en limite du département de la Dordogne.

    Communes limitrophes

    Les communes limitrophes sont Soulaures, Biron, Blanquefort-sur-Briolance et Gavaudun.

    Communes limitrophes de Lacapelle-Biron[1]
    Biron
    (Dordogne)
    Soulaures
    (Dordogne)
    Lacapelle-Biron Blanquefort-sur-Briolance
    Gavaudun

    Hameaux et lieux-dits

    Saint-Avit (village natal de Bernard Palissy[2]) hameau situé dans la vallée sur la LÚde en limite de Gavaudun. Maisons à colombages, et en pierre, patrimoine historique. Chaque été, exposition de céramistes au musée Bernard Palissy.

    Climat

    Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[3]. En 2020, la commune ressort du mĂȘme type de climat dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat ocĂ©anique et les climats de montagne et le climat semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[4].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[3]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 13 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 2,7 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 9,1 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 15,3 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation[Note 3] : 880 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 11,4 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 6,6 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[7] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[8] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. La station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France installĂ©e sur la commune et en service de 1986 Ă  2008 permet de connaĂźtre l'Ă©volution des indicateurs mĂ©tĂ©orologiques[9]. Le tableau dĂ©taillĂ© pour la pĂ©riode 1981-2010 est prĂ©sentĂ© ci-aprĂšs.

    Statistiques 1981-2010 et records LACAPELLE-BIRON-PAILLOLES (47) - alt : 195 m 44° 36â€Č 18″ N, 0° 54â€Č 42″ E
    Statistiques établies sur la période 1986-2008 - Records établis sur la période du 01-02-1986 au 31-12-2008
    Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
    Température minimale moyenne (°C) 1,6 1,6 3,7 5,5 9,3 12,1 13,8 13,9 10,9 8,9 4,1 2,2 7,3
    Température moyenne (°C) 5,5 6,4 9,2 11,2 15,6 18,6 20,5 20,7 17,3 14 8,4 6 12,8
    Température maximale moyenne (°C) 9,5 11,1 14,8 16,9 21,8 25 27,3 27,6 23,7 19,1 12,7 9,8 18,3
    Record de froid (°C)
    date du record
    −17,9
    17.01.1987
    −12,6
    10.02.1986
    −12,6
    01.03.05
    −5
    07.04.08
    −1
    06.05.02
    3,5
    01.06.06
    5,5
    22.07.08
    3,5
    30.08.1986
    2
    25.09.08
    −4,8
    25.10.03
    −10,4
    17.11.07
    −12,5
    30.12.1996
    −17,9
    1987
    Record de chaleur (°C)
    date du record
    18,4
    28.01.02
    23
    15.02.1998
    26
    20.03.05
    30,5
    30.04.05
    34,1
    30.05.01
    39
    22.06.03
    38
    27.07.05
    40,5
    05.08.03
    37,5
    03.09.05
    31
    04.10.04
    23
    03.11.05
    18,9
    16.12.1989
    40,5
    2003
    Précipitations (mm) 70,9 70,5 66,5 95,8 80 73,4 60,4 63,8 74,9 87,7 81,3 78,4 903,6
    Source : « Fiche 47123001 » [PDF], sur donneespubliques.meteofrance.fr, édité le : 06/01/2022 dans l'état de la base

    Urbanisme

    Typologie

    Lacapelle-Biron est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4] - [10] - [11] - [12]. La commune est en outre hors attraction des villes[13] - [14].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des forĂȘts et milieux semi-naturels (51,2 % en 2018), une proportion sensiblement Ă©quivalente Ă  celle de 1990 (50 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : forĂȘts (51,2 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (30,7 %), prairies (15,1 %), zones urbanisĂ©es (2,9 %)[15].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[Carte 1].

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Lacapelle-Biron est vulnĂ©rable Ă  diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse), inondations, feux de forĂȘts, mouvements de terrains et sĂ©isme (sismicitĂ© trĂšs faible)[16]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[17].

    Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’ĂȘtre affectĂ©es par le risque d’inondation par une crue Ă   dĂ©bordement lent de cours d'eau, notamment la LĂšde. La commune a Ă©tĂ© reconnue en Ă©tat de catastrophe naturelle au titre des dommages causĂ©s par les inondations et coulĂ©es de boue survenues en 1982, 1993, 1999, 2003 et 2009[18] - [16].

    Lacapelle-Biron est exposĂ©e au risque de feu de forĂȘt. Depuis le , les dĂ©partements de la Gironde, des Landes et de Lot-et-Garonne disposent d’un rĂšglement interdĂ©partemental de protection de la forĂȘt contre les incendies. Ce rĂšglement vise Ă  mieux prĂ©venir les incendies de forĂȘt, Ă  faciliter les interventions des services et Ă  limiter les consĂ©quences, que ce soit par le dĂ©broussaillement, la limitation de l’apport du feu ou la rĂ©glementation des activitĂ©s en forĂȘt. Il dĂ©finit en particulier cinq niveaux de vigilance croissants auxquels sont associĂ©s diffĂ©rentes mesures[19] - [20].

    Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des affaissements et effondrements liĂ©s aux cavitĂ©s souterraines (hors mines) et des tassements diffĂ©rentiels[21]. Afin de mieux apprĂ©hender le risque d’affaissement de terrain, un inventaire national permet de localiser les Ă©ventuelles cavitĂ©s souterraines sur la commune[22].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Lacapelle-Biron.

    Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas d’alternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie[23]. 94,5 % de la superficie communale est en alĂ©a moyen ou fort (91,8 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 2]. Depuis le , en application de la loi ELAN, diffĂ©rentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maĂźtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situĂ©s dans une zone classĂ©e en alĂ©a moyen ou fort[Note 5] - [24].

    Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 2002 et 2003 et par des mouvements de terrain en 1999[16].

    Histoire

    Le 21 mai 1944, lors d'une opĂ©ration contre le Maquis engagĂ©e sur un front allant de Villeneuve-sur-Lot Ă  Frayssinet-le-GĂ©lat, des Ă©lĂ©ments de la 2e division SS Das Reich raflent 54 hommes[25]. 49 seront dĂ©portĂ©s dans les camps de concentration de Dachau et Mauthausen[26], 23 n'en reviendront jamais. D'autres rafles et Ă©pisodes sanglants ont lieu Ă  DĂ©villac, Vergt-de-Biron, Frayssinet-le-GĂ©lat, Salles, Fumel, Monsempron-Libos, Montagnac-sur-LĂšde, le mĂȘme jour[27].

    HĂ©raldique

    Blason de Lacapelle-Biron Blason
    D'azur à trois bandes d'argent chargées de neuf boulets de charbon de sable, 2, 5 et 2.
    DĂ©tails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.
    Alias
    Alias du blason de Lacapelle-Biron
    Alias du blason de Lacapelle-Biron
    D'argent semé de charbons ardents de gueules, à trois bandes d'azur[28].

    Politique et administration

    Mairie.
    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    Les données manquantes sont à compléter.
    mai 1988 mai 2020 Christian Saint-BĂ©at PS MĂ©decin
    mai 2020 En cours Nadine Lafon[29]

    DĂ©mographie

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[30]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2007[31].

    En 2020, la commune comptait 414 habitants[Note 6], en diminution de 8,41 % par rapport à 2014 (Lot-et-Garonne : −0,72 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    7838138328689701 0691 1071 1211 027
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 0859971 013962942951946912828
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    710642600556546529510408432
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    407396369382433429441443455
    2017 2020 - - - - - - -
    423414-------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[32] puis Insee Ă  partir de 2006[33].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Lieux et monuments

    • Monument dĂ©partemental de la dĂ©portation : Ă©rigĂ© sur la place du village en souvenir de la rafle du [34].
    • Église Saint-Avit au village de Saint-Avit. Église des XIIIe et XVe siĂšcles, classĂ© monument historique en 1954[35].
    • Église Notre-Dame de Lacapelle-Biron.
    • MusĂ©e Bernard-Palissy au village de Saint-Avit.
    • Monument dĂ©partemental de la dĂ©portation.
      Monument départemental de la déportation.
    • Église Saint-Avit.
      Église Saint-Avit.
    • Église Saint-Avit.
      Église Saint-Avit.
    • Église Saint-Avit - nef.
      Église Saint-Avit - nef.
    • MusĂ©e Bernard-Palissy.
      Musée Bernard-Palissy.
    • Saint-Avit -  vue gĂ©nĂ©rale.
      Saint-Avit - vue générale.

    Personnalités liées à la commune

    • Bernard Palissy (~1510-1590), potier, Ă©mailleur, peintre, verrier, Ă©crivain et savant français, serait nĂ©, selon certains, vers 1510 au hameau de Saint-Avit, prĂšs de Lacapelle-Biron[36].
    • Le docteur Samuel Kessel, pĂšre de Joseph Kessel s’est installĂ© pour quelque temps Ă  Lacapelle-Biron avec sa famille en [37]

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[5].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[6].
    4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    5. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
      • au vendeur d'informer le potentiel acquĂ©reur du terrain non bĂąti de l’existence du risque RGA ;
      • au maĂźtre d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maĂźtre d'Ɠuvre, le choix entre fournir une Ă©tude gĂ©otechnique de conception et le respect des techniques particuliĂšres de construction dĂ©finies par voie rĂ©glementaire ;
      • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude gĂ©otechnique de conception, soit de respecter des techniques particuliĂšres de construction dĂ©finies par voie rĂ©glementaire.
    6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )

    Références

    1. Carte IGN sous GĂ©oportail
    2. Louis Audiat, le fait naßtre au lieu-dit Saint-Avit prÚs de Lacapelle-Biron [lire en ligne (page consultée le 1er février 2012)].
    3. Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
    4. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    5. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    6. Glossaire – PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
    7. « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
    8. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    9. « Fiche du Poste 47123001 » [PDF], sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    10. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    11. « Commune rurale - dĂ©finition », sur le site de l’Insee (consultĂ© le ).
    12. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    13. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    14. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
    15. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
    16. « Les risques prÚs de chez moi - commune de Lacapelle-Biron », sur Géorisques (consulté le )
    17. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur GĂ©orisques (consultĂ© le )
    18. « Dossier départemental des risques majeurs de Lot-et-Garonne », sur www.lot-et-garonne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
    19. « RĂšglement interdĂ©partemental de protection de la forĂȘt contre les incendies. », sur www.landes.gouv.fr (consultĂ© le )
    20. « Dossier dĂ©partemental des risques majeurs de Lot-et-Garonne », sur www.lot-et-garonne.gouv.fr (consultĂ© le ), chapitre Feux de forĂȘts.
    21. « Dossier départemental des risques majeurs de Lot-et-Garonne », sur www.lot-et-garonne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
    22. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Lacapelle-Biron », sur http://www.georisques.gouv.fr/ (consulté le )
    23. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
    24. « Sols argileux, sécheresse et construction », sur www.ecologie.gouv.fr (consulté le )
    25. Nicolas Espitalier, « Le jus de groseille », Sud-Ouest Mag, no 509,‎ , p. 1 (ISSN 1760-6454).
    26. Koscielniak (Jean-Pierre), Lacapelle-Biron, 21 mai 1944. Histoire et mémoire d'une rafle de la division Das Reich, Le Passage, MRLG, 2013.
    27. L'affaire de Vergt-de-Biron et Lacapelle-Biron.
    28. Armorial de France.
    29. Michel Deblard« La premiÚre maire de la commune », Sud Ouest édition Dordogne/Lot-et-Garonne, , p. 20.
    30. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    31. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    32. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
    33. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    34. Pierre Bardou, « Mémoires d'Aquitaine - C4667 - Monument départemental aux déportés durant la guerre 1939-1945 à Lacapelle-Biron. », sur http://crdp.ac-bordeaux.fr/bardou/default.htm (consulté le ).
    35. « Eglise Saint-Avit », sur www.pop.culture.gouv.fr (consulté le )
    36. Guy Penaud, Dictionnaire biographique du PĂ©rigord, Éditions Fanlac, 1999, (ISBN 2-86577-214-4), p. 724.
    37. « Sur les traces de Kessel », La DĂ©pĂȘche du Midi, 25 dĂ©cembre 2011.
    Cet article est issu de wikipedia. Text licence: CC BY-SA 4.0, Des conditions supplĂ©mentaires peuvent s’appliquer aux fichiers multimĂ©dias.