Montagnac-sur-LĂšde
Montagnac-sur-LÚde est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de Lot-et-Garonne (région Nouvelle-Aquitaine). Cette ville est à l'origine de la boutade populaire : "qui a pété, a le cul chaud." (dicton aussi attribué à la cÎte d'Ivoire)
Montagnac-sur-LĂšde | |||||
Mairie. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
RĂ©gion | Nouvelle-Aquitaine | ||||
DĂ©partement | Lot-et-Garonne | ||||
Arrondissement | Villeneuve-sur-Lot | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes des Bastides en Haut-Agenais Périgord | ||||
Maire Mandat |
Yvon Setze 2020-2026 |
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Code postal | 47150 | ||||
Code commune | 47181 | ||||
DĂ©mographie | |||||
Population municipale |
271 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 14 hab./km2 | ||||
GĂ©ographie | |||||
CoordonnĂ©es | 44° 32âČ 33âł nord, 0° 50âČ 42âł est | ||||
Altitude | 130 m Min. 85 m Max. 231 m |
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Superficie | 19,55 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Commune hors attraction des villes | ||||
Ălections | |||||
DĂ©partementales | Canton du Haut-Agenais PĂ©rigord | ||||
LĂ©gislatives | TroisiĂšme circonscription | ||||
Localisation | |||||
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : Lot-et-Garonne
GĂ©olocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
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GĂ©ographie
Localisation
Commune située sur la LÚde.
Communes limitrophes
Les communes limitrophes sont Gavaudun, Lacaussade, Monflanquin, Monségur, Paulhiac et Salles.
Climat
Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat du Bassin du Sud-Ouest », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[2]. En 2020, la commune ressort du type « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© » dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il sâagit dâune zone de transition entre le climat ocĂ©anique et les climats de montagne et semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].
Les paramĂštres climatiques qui ont permis dâĂ©tablir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.
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Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Ănergie et du Climat[6] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[7] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Lacapelle-Biron-Pailloles », sur la commune de Lacapelle-Biron, mise en service en 1986[8] et qui se trouve Ă 8 km Ă vol d'oiseau[9] - [Note 4], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 12,8 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 903,6 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[10]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche, « Agen-La Garenne », sur la commune d'Estillac, mise en service en 1941 et Ă 48 km[11], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 13,1 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[12], Ă 13,4 °C pour 1981-2010[13], puis Ă 13,8 °C pour 1991-2020[14].
Urbanisme
Typologie
Montagnac-sur-LÚde est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5] - [15] - [16] - [17]. La commune est en outre hors attraction des villes[18] - [19].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne dâoccupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (75,3 % en 2018), nĂ©anmoins en diminution par rapport Ă 1990 (77,1 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : terres arables (45,4 %), forĂȘts (24,8 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (18,9 %), prairies (11 %)[20].
L'IGN met par ailleurs Ă disposition un outil en ligne permettant de comparer lâĂ©volution dans le temps de lâoccupation des sols de la commune (ou de territoires Ă des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă aujourd'hui)[Carte 1].
Risques majeurs
Le territoire de la commune de Montagnac-sur-LĂšde est vulnĂ©rable Ă diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse), inondations, feux de forĂȘts, mouvements de terrains et sĂ©isme (sismicitĂ© trĂšs faible)[21]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[22].
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles dâĂȘtre affectĂ©es par le risque dâinondation par une crue Ă dĂ©bordement lent de cours d'eau, notamment la LĂšde et la Leyze. La commune a Ă©tĂ© reconnue en Ă©tat de catastrophe naturelle au titre des dommages causĂ©s par les inondations et coulĂ©es de boue survenues en 1982, 1993, 1999, 2003, 2008 et 2009[23] - [21].
Montagnac-sur-LĂšde est exposĂ©e au risque de feu de forĂȘt. Depuis le , les dĂ©partements de la Gironde, des Landes et de Lot-et-Garonne disposent dâun rĂšglement interdĂ©partemental de protection de la forĂȘt contre les incendies. Ce rĂšglement vise Ă mieux prĂ©venir les incendies de forĂȘt, Ă faciliter les interventions des services et Ă limiter les consĂ©quences, que ce soit par le dĂ©broussaillement, la limitation de lâapport du feu ou la rĂ©glementation des activitĂ©s en forĂȘt. Il dĂ©finit en particulier cinq niveaux de vigilance croissants auxquels sont associĂ©s diffĂ©rentes mesures[24] - [25].
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des affaissements et effondrements liĂ©s aux cavitĂ©s souterraines (hors mines) et des tassements diffĂ©rentiels[26]. Afin de mieux apprĂ©hender le risque dâaffaissement de terrain, un inventaire national permet de localiser les Ă©ventuelles cavitĂ©s souterraines sur la commune[27].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas dâalternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie[28]. 99,3 % de la superficie communale est en alĂ©a moyen ou fort (91,8 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 2]. Depuis le , en application de la loi ELAN, diffĂ©rentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maĂźtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situĂ©s dans une zone classĂ©e en alĂ©a moyen ou fort[Note 6] - [29].
Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2003 et 2005 et par des mouvements de terrain en 1999[21].
Histoire
Le , lors d'une opĂ©ration contre le maquis engagĂ©e sur un front allant de Villeneuve-sur-Lot Ă Frayssinet-le-GĂ©lat, des Ă©lĂ©ments de la 2e division SS Das Reich raflent plusieurs otages, qui sont enfermĂ©s Ă Vergt-de-Biron avant d'ĂȘtre envoyĂ©s Ă Agen. D'autres rafles et Ă©pisodes sanglants ont lieu Ă Lacapelle-Biron, DĂ©villac, Frayssinet-le-GĂ©lat, Vergt-de-Biron, Salles, Fumel, Monsempron-Libos, le mĂȘme jour[30].
Politique et administration
DĂ©mographie
L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[33]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2007[34]. En 2020, la commune comptait 271 habitants[Note 8], en augmentation de 8,4 % par rapport Ă 2014 (Lot-et-Garonne : â0,72 %, France hors Mayotte : +1,9 %). |
Ăconomie
Montagnac-sur-LÚde, commune rurale du canton de Monflanquin, possÚde plusieurs secteurs d'activité :
- l'agriculture, dont la surface représente environ le tiers de la surface totale de la commune ;
- le tourisme avec de nombreux hébergement de vacances ;
- l'artisanat (garagiste, boulanger, deux menuisiers) ;
- un musée de la Boulangerie, le moulin du Cros[37].
Lieux et monuments
- Historique[38]
LâĂ©glise fut citĂ©e par le Saisimentum de 1271 sous le nom de Parrochia de Montanhaco (capitulaire d'Agen). Le patron en Ă©tait saint Martin de Tours et la fĂȘte fixĂ©e au .
Construite en style roman, elle eut beaucoup Ă souffrir du vandalisme huguenot au temps des guerres de religion, Ă tel point que Nicolas de Villars, Ă©crit en 1601 dans ses MĂ©moires : « Ăglise toute dĂ©couverte exceptĂ© ce qui couvre l'autel qui est tout ruinĂ©. Il ne s'y fait aucun service. »
Le procĂšs-verbal de Mascaron la dĂ©crit ainsi : « LâĂ©glise est champĂȘtre, dans un vallon (sic), longue de 7 cannes, large de 3, haute de 4. Il y a vers cette Ă©poque 15 ou 16 maisons huguenotes dans le village. »
En 1739, Monsieur de Chabannes dĂ©clare : « Il y a trois chapelles du cĂŽtĂ© de lâĂ©vangile le long de la nef dont les voĂ»tes sont crevĂ©es. »
Par contre, en 1769, monsieur de Bonnac affirme : « Les trois chapelles de Notre-Dame-de-Saint-Louis et de Saint-Eutrope sont en bon état. »
RestaurĂ©e en 1850, la toiture fut exhaussĂ©e d'un mĂštre et une voĂ»te remplace le lambris. Trois chapelles furent construites Ă droite de lâĂ©difice et un peu plus tard, on perce six fenĂȘtres dans la nef qui en Ă©tait dĂ©pourvue, les jours Ă©tant pris dans les chapelles.
Les deux cloches ont respectivement pour millésimes : 1761 et 1884 (cette derniÚre cloche pesant 900 kilos).
- Descriptif[39]
Le chĆur est vaste et d'une architecture remarquable. VoĂ»tĂ©â en berceau plein cintre, il est sĂ©parĂ©â du cul de four de l'abside par un doubleau. Une arcature plein cintre surcolonnes enceint lâhĂ©micycle. Ce sanctuaire, la seule partie qui remonte Ă lâĂ©poque romane, n'a pas de contreforts. La plupart des chapiteaux sont ornĂ©s d'un seul rang de feuilles bien dĂ©coupĂ©es. Les volutes des angles, profondĂ©ment fouillĂ©es, se rattachent entre elles par des liens en relief, analogues Ă celles des ouvrages de ferronnerie. Tous les tailloirs sont dĂ©corĂ©s de perles. Les trois travĂ©es de la nef sont recouvertes de simples croisĂ©es d'ogives. Les chapelles ont des croisĂ©es doubles, renforcĂ©es de tiercerons. La plupart des arcs reposent sur des consoles reprĂ©sentant des tĂȘtes saillantes. Le dernier des Ă©dicules fut construit en 1545 comme l'atteste l'inscription sur l'un des supports :
« LâM DXLV MAISTRE J
SERAING CURE DE CAU
RIS FIST FAIRE LA PNT(présente) CHA
PELLE A HOUNEUR DE DIEU
DE NOSTRE DAMME DE PITIE
ET DE S. J. EVANGELISTE »
On peut Ă©galement admirer, dans une chapelle latĂ©rale, un curieux autel en bois dorĂ© de dâĂ©poque Renaissance. Ă signaler aussi une ancienne statue de sainte PhilomĂšne.
La façade orientale est flanquĂ©e de deux petites tourelles carrĂ©es reliĂ©es Ă une certaine hauteur par une galerie en porte-Ă -faux sur plusieurs assises. En arriĂšre de cette galerie crĂ©nelĂ©e, sâĂ©lĂšve un pignon Ă arcades qui constitue le clocher.
Cette Ă©glise, dont la taille semble importante, desservait, il y a un peu plus d'un siĂšcle, une paroisse qui comptait encore 923 Ăąmes.
Voir aussi
Articles connexes
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. AprÚs les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[4].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[5].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
- au vendeur d'informer le potentiel acquĂ©reur du terrain non bĂąti de lâexistence du risque RGA ;
- au maĂźtre dâouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maĂźtre d'Ćuvre, le choix entre fournir une Ă©tude gĂ©otechnique de conception et le respect des techniques particuliĂšres de construction dĂ©finies par voie rĂ©glementaire ;
- au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de lâĂ©tude gĂ©otechnique de conception, soit de respecter des techniques particuliĂšres de construction dĂ©finies par voie rĂ©glementaire.
- Il est également vice-président de ces deux syndicats en Aquitaine, président bénévole de la commission de recours gracieux du RSI Aquitaine, cofondateur en 1994 d'une ONG "Orphelins du Rwanda" qui sauve 1 200 enfants au Rwanda, détenteur du prix national de la République française des Droits de l'Homme qu'il reçut en 1995 pour cette initiative
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
- Cartes
- IGN, « Ăvolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă droite ou Ă gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă gauche de l'Ă©cran.
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
Références
- Carte IGN sous GĂ©oportail
- Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,â (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire â PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
- « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions dâoutre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
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- « Dossier départemental des risques majeurs de Lot-et-Garonne », sur www.lot-et-garonne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
- « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Montagnac-sur-LÚde », sur http://www.georisques.gouv.fr/ (consulté le )
- « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
- « Sols argileux, sécheresse et construction », sur www.ecologie.gouv.fr (consulté le )
- L'affaire de Vergt-de-Biron et Lacapelle-Biron
- Fédération française du bùtiment du Lot-et-Garonne
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'Ăcole des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- Moulin du Cros
- dâaprĂšs les documents conservĂ©s aux archives dâAgen
- dâaprĂšs Architecture religieuse de l'Agenais