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Barie

Barie est une commune française située dans le département de la Gironde, en région Nouvelle-Aquitaine.

Barie
Barie
L'hôtel de ville (mars 2009).
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Gironde
Arrondissement Langon
Intercommunalité Communauté de communes du Réolais en Sud Gironde
Maire
Mandat
Bernard Pagot
2020-2026
Code postal 33190
Code commune 33027
Démographie
Gentilé Bariauds, Bariots
Population
municipale
285 hab. (2020 en diminution de 1,38 % par rapport à 2014)
Densité 53 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 34′ 16″ nord, 0° 06′ 49″ ouest
Altitude Min. 7 m
Max. 18 m
Superficie 5,33 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton du Réolais et des Bastides
Législatives Douzième circonscription
Localisation
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Barie
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Barie
Liens
Site web www.barievillage.fr/

    Ses habitants sont appelés les Bariauds[1] ou Bariots[2].

    Géographie

    La commune de Barie se situe sur la rive gauche (sud) de la Garonne, à 58 km au sud-est de Bordeaux, chef-lieu du département, à 13 km à l'est de Langon, chef-lieu d'arrondissement, et à 11 km au nord d'Auros, chef-lieu de canton[3].

    Communes limitrophes

    Les communes limitrophes sont Floudès à l'est, Bassanne au sud-est, Castets et Castillon au sud et sud-ouest (anciennement Castillon-de-Castets au sud et Castets-en-Dorthe au sud-ouest). Sur la rive droite de la Garonne, se trouvent Caudrot à l'ouest, Casseuil au nord-ouest et Gironde-sur-Dropt au nord-est.

    Communes limitrophes de Barie
    Caudrot Casseuil

    La Garonne
    Gironde-sur-Dropt
    Barie Floudès
    Castets et Castillon Bassanne

    Communications et transports

    La commune est essentiellement desservie par la route départementale D 226 qui conduit vers le sud-ouest à Castets et Castillon et vers l'est à Floudès et La Réole.
    L'autoroute la plus proche est l'autoroute A62 (Bordeaux-Toulouse) dont l'accès no 4 de La Réole est distant de 12 km par la route vers le sud-est.
    L'accès no 1 de Bazas à l'autoroute A65 (Langon-Pau) se situe à 22 km vers le sud-ouest.

    La gare SNCF la plus proche est celle de Caudrot distante de km au nord. Celle de La Réole qui propose plus de trafic se trouve à km vers le nord-est. Dans ces deux gares, le réseau est celui de la ligne Bordeaux - Sète du TER Nouvelle-Aquitaine.

    La Garonne

    Le territoire est constitué par des alluvions de la Garonne qui dessine, à cet endroit, d'importants méandres.

    Située dans une région inondable, la commune a subi de nombreuses crues au cours de son histoire. Les plus récentes ont eu lieu en 1930, 1935 et en 1952, les eaux atteignant respectivement une hauteur de 11,26 m, 10,43 m et 10,41 m. La dernière, du 16 au 22 décembre 1981, a dépassé 10,60 m[4].
    En février 2013, certaines routes entre le fleuve et les digues ont été interdites à la circulation, la Garonne ayant atteint un niveau de 7,45 m.
    Un nouveau pic a été atteint le 16 décembre 2019 avec un niveau de 8,88 m suivi d'une décrue puis d'un niveau de 7,92 m le 24.
    C'est la raison pour laquelle une longue digue préventive court le long de la Garonne sur tout le territoire communal. Ladite digue se prolonge sur les territoires des communes voisines, celui de Castets-en-Dorthe vers le sud-ouest, ceux de Floudès, du quartier du Rouergue à La Réole et de Fontet vers l'est.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[5]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[6].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[5]

    • Moyenne annuelle de température : 13 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 1,8 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 8,2 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 15,1 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 833 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,5 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[9] complétée par des études régionales[10] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Sauveterre-de-Guyenne », sur la commune de Sauveterre-de-Guyenne, mise en service en 1978[11] et qui se trouve à 14 km à vol d'oiseau[12] - [Note 4], où la température moyenne annuelle est de 13,3 °C et la hauteur de précipitations de 809,1 mm pour la période 1981-2010[13]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Bordeaux-Mérignac », sur la commune de Mérignac, mise en service en 1920 et à 52 km[14], la température moyenne annuelle évolue de 13,3 °C pour la période 1971-2000[15], à 13,8 °C pour 1981-2010[16], puis à 14,2 °C pour 1991-2020[17].

    Urbanisme

    Typologie

    Barie est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5] - [18] - [19] - [20]. La commune est en outre hors attraction des villes[21] - [22].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (81,2 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (90,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (77,6 %), zones urbanisées (9,4 %), eaux continentales[Note 6] (7,5 %), zones agricoles hétérogènes (3,6 %), forêts (1,9 %)[23].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Barie est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations et séisme (sismicité très faible)[24]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[25].

    Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment la Garonne, le Dropt et la Bassanne. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1999, 2009 et 2021[26] - [24].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Barie.

    Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 99,9 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (67,4 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 163 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 163 sont en en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 84 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[27] - [Carte 2].

    Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[28].

    Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[24].

    Toponymie

    Selon une étymologie populaire, la commune doit son nom aux variations, en gascon bariats, de la Garonne. En réalité, l'étymologie semble être *vallia, dérivée de vallis , «vallée», les deux l intervocaliques évoluant régulièrement en r et le v se prononçant b[29].

    Le nom de la commune se dirait Varía en gascon : il s'agit d'une erreur de Bénédicte Boyrie-Fénié reprise imprudemment sur l'article en occitan, l'accent aigu sur le i n'apportant aucune information supplémentaire est une faute[30] - [31].

    Histoire

    En 1763, l'abbé Expilly présente le village ainsi :

    « Barie, Paroisse & Jurisdiction, dans le Bazadois, en Guyenne, Diocese de Bazas, Parlement & Intendance de Bordeaux, Election de Comdom. On y compte 187 feux. Cette Paroisse est située sur la rive gauche de la Garonne, à une lieue & deux tiers E. de Langon. La Jurisdiction de Barie ne comprend qu'une seule Paroisse, qui est celle de son nom. »[32]

    À la Révolution, la paroisse Sainte-Catherine de Barie forme la commune de Barie[33].

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    1807 François Marceau
    1808 1830 Arnaud Dubos
    1830 1832 Jean Giresse
    1832 1835 Jacques Duzan
    1835 1855 Bernard Giresse
    1855 1860 Raymond Duzan
    1860 1879 Jean Giresse
    1879 1900 François Rabat
    1900 1916 Destout Jean
    1946 1970 Liarçou René
    1970 …
    1977 ? Robert Crouzet
    mars 2001 En cours Bernard Pagot[34] Agriculteur retraité
    Les données manquantes sont à compléter.

    Tendances politiques et résultats

    À l'analyse des résultats des scrutins électoraux depuis le début du XXIe siècle et exception faite de l'élection présidentielle de 2002 dont le résultat a été à l'image du résultat national, l'électorat est globalement de gauche (63,86 % pour Ségolène Royal en 2007 soit 15 points de plus qu'au niveau national et 73,75 % pour François Hollande en 2012 soit 22 points de plus qu'au niveau national) avec un relatif manque d'attirance pour l'extrême droite (18,48 % pour le FN alors qu'il réalise 24,71 % au niveau national) bien qu'au premier tour des élections cantonales de 2011, le candidat FN, Jean Le Guern, ait obtenu 24 voix sur 106 suffrages exprimés soit 22,64 % (et seulement 14,07 % au niveau du canton).

    Intercommunalité

    Le 1er janvier 2014, la communauté de communes du Pays d'Auros ayant été supprimée, la commune de Barie s'est retrouvée intégrée à la communauté de communes du Réolais en Sud Gironde siégeant à La Réole.
    En matière de développement socio-économique, la commune est adhérente, à l'instar des anciennes communes de la CC du Pays d'Auros, du syndicat mixte du Pays des Rives de Garonne.

    Démographie

    D'une population assez constante, aux alentours de 900 habitants, jusqu'à l'aube de la troisième République, la commune a subi un exode rural lent et régulier depuis cette époque en perdant près des trois quarts de la population initiale. Un léger regain s'amorce, depuis le début des années 2000, correspondant à la ruralisation des citadins.

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[47]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[48].

    En 2020, la commune comptait 285 habitants[Note 7], en diminution de 1,38 % par rapport à 2014 (Gironde : +7,23 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    900868891845870922877885883
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    850881849844760690678655664
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    636607566478465394405363378
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
    333289277260234211271289283
    2014 2019 2020 - - - - - -
    289289285------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[49] puis Insee à partir de 2006[50].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Lieux et monuments

    L'église Sainte-Catherine, déplacée à deux reprises à cause des inondations, est un édifice construit en 1776, intéressant par sa façade à trois registres verticaux. Le portail dont les voussures s'accompagnent de chapiteaux sculptés s'accompagne, au rez-de-chaussée, de fenêtres hautes et étroites[4]. L'église a été dotée, dans la seconde partie du XIXe siècle et sous l'impulsion de Mgr Donnet, archevêque de Bordeaux, d'un clocher à flèche de pierre.

    • L'église Sainte-Catherine (mars 2009)
      L'église Sainte-Catherine (mars 2009)
    • Barie vue de Casseuil (rive droite de la Garonne) (août 2008)
      Barie vue de Casseuil (rive droite de la Garonne) (août 2008)
    • Le port (juin 2009)
      Le port (juin 2009)
    • Une digue entre la Garonne et le village (juin 2009)
      Une digue entre la Garonne et le village (juin 2009)
    • Passage d'une route dans la digue (juin 2009) Des traverses de bois (batardeaux) sont insérées entre les deux épaulements latéraux de façon à ralentir l'écoulement des eaux.
      Passage d'une route dans la digue (juin 2009)
      Des traverses de bois (batardeaux) sont insérées entre les deux épaulements latéraux de façon à ralentir l'écoulement des eaux.
    • Champ d'osiers en décembre, peu avant la récolte (déc. 2009)
      Champ d'osiers en décembre, peu avant la récolte (déc. 2009)
    • Le monument aux morts au cimetière (mai 2009)
      Le monument aux morts au cimetière (mai 2009)

    Personnalités liées à la commune

    • Marie Ndiaye, qui a vécu à Barie de 2001 à 2007 avec son mari Jean-Yves Cendrey et ses trois enfants[51]. Leur maison est reste leur résidence secondaire.

    Vie locale

    Économie

    La commune a une vocation agricole en raison des terrains alluvionneux propices à la culture. Les principales productions sont les céréales (essentiellement le maïs et le blé), le tabac, les cultures maraîchères, les fraises, les noix, les noisettes ainsi qu'une spécialisation pour l'osier (les vimes en gascon) et le kiwi. Quelques vignes sont disséminées sur le territoire communal.

    Culture

    • L'Opéra de Barie est une association fondée en 2008 dont l’objectif premier est de « proposer au moins une fois par an, en été, loin des grandes métropoles, à la campagne, un opéra ou une opérette oublié et qui mérite d’être découvert ou redécouvert et, en tous cas, une Å“uvre qui retient l'attention »[52].

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[7].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[8].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )

    Références

    1. Nom des habitants de la commune sur habitants.fr, consulté le 4 juillet 2011.
    2. Site officiel de la commune
    3. Distances les plus courtes par la route - Les distances orthodromiques sont respectivement de 47,5 km pour Bordeaux, 10,9 km pour Langon et 8,6 km pour Auros. Données fournies par Lion1906.com, consulté le 4 juillet 2011.
    4. Texte issu d'un panneau d'information situé sur la place principale du bourg, consulté en mai 2009.
    5. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    6. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    7. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    8. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    9. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    10. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    11. « Station Météo-France Sauveterre-de-Guyenne - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    12. « Orthodromie entre Barie et Sauveterre-de-Guyenne », sur fr.distance.to (consulté le ).
    13. « Station Météo-France Sauveterre-de-Guyenne - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    14. « Orthodromie entre Barie et Mérignac », sur fr.distance.to (consulté le ).
    15. « Station météorologique de Bordeaux-Mérignac - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    16. « Station météorologique de Bordeaux-Mérignac - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    17. « Station météorologique de Bordeaux-Mérignac - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    18. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    19. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    20. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    21. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    22. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    23. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    24. « Les risques près de chez moi - commune de Barie », sur Géorisques (consulté le )
    25. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le )
    26. « Dossier départemental des risques majeurs de la Gironde », sur www.gironde.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
    27. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
    28. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Barie », sur http://www.georisques.gouv.fr/ (consulté le )
    29. Bénédicte Boyrie-Fénié, Dictionnaire toponymique des communes, Gironde, ed. CAIRN, Pau, 2008
    30. Jacme Taupiac, Gramatica occitana, chapitre 5 Quora cal metre un accent grafic ?, p. 12, édition Institut d'Estudis Occitans, Toulouse, 1994
    31. Gilbert Narioo, Patric Guilhemjoan, Michel GrosclaudeDictionnaire intermédiaire français-occitan (Gascogne), p. 15, edicions Per Noste, Ortès, 2015
    32. Jean-Joseph Expilly, « Dictionnaire géographique, historique et politique des Gaules et de la France », sur Google books, Desaint et Saillant, (consulté le ), p. 459.
    33. Historique des communes, p. 4, sur GAEL (Gironde Archives en ligne) des Archives départementales de la Gironde, consulté le 26 mars 2013.
    34. Commune de Barie sur le site de l'AMF, Association des Maires de France, consulté le 4 juillet 2011.
    35. Résultats de l'élection présidentielle 2002 à Barie sur le site du ministère de l'Intérieur, consulté le 29 juin 2014.
    36. Résultats des élections législatives 2002 à Barie sur le site du ministère de l'Intérieur, consulté le 29 juin 2014.
    37. Résultats de l'élection présidentielle 2007 à Barie sur le site du ministère de l'Intérieur, consulté le 29 juin 2014.
    38. Résultats des élections législatives 2007 à Barie sur le site du ministère de l'Intérieur, consulté le 29 juin 2014.
    39. Résultats des élections européennes 2009 à Barie sur le site du ministère de l'Intérieur, consulté le 29 juin 2014.
    40. Résultats des élections cantonales 2011 à Barie sur le site du ministère de l'Intérieur, consulté le 29 juin 2014.
    41. Résultats de l'élection présidentielle 2012 à Barie sur le site du ministère de l'Intérieur, consulté le 29 juin 2014.
    42. Résultats des élections législatives 2012 à Barie sur le site du ministère de l'Intérieur, consulté le 29 juin 2014.
    43. Résultats des élections européennes 2014 à Barie sur le site du ministère de l'Intérieur, consulté le 29 juin 2014.
    44. Résultats des élections départementales 2015 à Barie sur le site du ministère de l'Intérieur, consulté le 1er novembre 2015.
    45. Résultats des élections régionales 2015 à Barie sur le site du ministère de l'Intérieur, consulté le 5 janvier 2016.
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