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Casseuil

Casseuil (Cassulh en gascon) est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Gironde en région Nouvelle-Aquitaine.

Casseuil
Casseuil
La mairie (janv. 2010).
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Gironde
Arrondissement Langon
Intercommunalité Communauté de communes du Réolais en Sud Gironde
Maire
Mandat
François Merveilleau
2020-2026
Code postal 33190
Code commune 33102
Démographie
Gentilé Casseuillais
Population
municipale
376 hab. (2020 en diminution de 5,05 % par rapport à 2014)
Densité 59 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 35′ 11″ nord, 0° 06′ 48″ ouest
Altitude Min. 8 m
Max. 122 m
Superficie 6,34 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Saint-Macaire
(banlieue)
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton du Réolais et des Bastides
Législatives Douzième circonscription
Localisation
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Casseuil
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Casseuil

    Ses habitants sont appelés les Casseuillais[1].

    Géographie

    Cartographies interactive et OpenStreetMap
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    1. Carte dynamique
    2. Carte Openstreetmap
    3. Carte topographique
    4. Carte avec les communes environnantes

    Située sur la Garonne, la commune de Casseuil se trouve à 56 km au sud-est de Bordeaux, chef-lieu du département, à 12 km à l'est de Langon, chef-lieu d'arrondissement et à km à l'ouest de La Réole, chef-lieu de canton[2].

    Les communes limitrophes en sont Morizès au nord, Gironde-sur-Dropt à l'est, Caudrot à l'ouest, et Sainte-Foy-la-Longue au nord-ouest. Sur la rive gauche (sud) de la Garonne, se trouve la commune de Barie. Les communes limitrophes sont Morizès, Barie, Caudrot, Gironde-sur-Dropt et Sainte-Foy-la-Longue.

    Communes limitrophes de Casseuil
    Sainte-Foy-la-Longue Morizès
    Caudrot Casseuil Gironde-sur-Dropt

    Rive gauche de la Garonne
    Barie

    Le sud de la commune est traversé d'est en ouest par la rivière du Dropt qui se jette dans la Garonne sur le territoire de la commune voisine de Caudrot.

    La principale voie de communication qui traverse la commune est la route départementale 1113, ancienne route nationale 113 (Bordeaux-Marseille) qui mène à Langon vers l'ouest et à La Réole vers l'est.

    L'accès à l'autoroute A62 (Bordeaux-Toulouse) le plus proche est celui de Sortie 03 Langon se situe à 14 km vers l'ouest-sud-ouest ; celui de Sortie 04 La Réole se situe à 15 km vers le sud-est.

    L'accès Sortie Bazas à l'autoroute A65 (Langon-Pau) se situe à 23 km vers le sud-sud-ouest.

    Le territoire communal est traversé par la ligne SNCF Bordeaux-Sète du TER Aquitaine et le village se trouve à égales distances (deux à trois km) des gares des communes voisines, Caudrot et Gironde-sur-Dropt.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[3]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[4].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[3]

    • Moyenne annuelle de température : 12,6 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,8 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 8,3 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 15,6 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 803 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,6 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[7] complétée par des études régionales[8] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Sauveterre-de-Guyenne », sur la commune de Sauveterre-de-Guyenne, mise en service en 1978[9] et qui se trouve à 12 km à vol d'oiseau[10] - [Note 4], où la température moyenne annuelle est de 13,3 °C et la hauteur de précipitations de 809,1 mm pour la période 1981-2010[11]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Bordeaux-Mérignac », sur la commune de Mérignac, mise en service en 1920 et à 51 km[12], la température moyenne annuelle évolue de 13,3 °C pour la période 1971-2000[13], à 13,8 °C pour 1981-2010[14], puis à 14,2 °C pour 1991-2020[15].

    Urbanisme

    Typologie

    Casseuil est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5] - [16] - [17] - [18]. Elle appartient à l'unité urbaine de Saint-Macaire, une agglomération intra-départementale regroupant 8 communes[19] et 9 390 habitants en 2020, dont elle est une commune de la banlieue[20] - [21]. La commune est en outre hors attraction des villes[22] - [23].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (69,5 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (85,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : cultures permanentes (31,2 %), forêts (19,3 %), zones agricoles hétérogènes (15,2 %), prairies (13,4 %), terres arables (9,7 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (6,5 %), eaux continentales[Note 6] (4,6 %)[24].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Casseuil est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible)[25]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[26].

    Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment la Garonne et le Dropt. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1988, 1999 et 2009[27] - [25].

    Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des affaissements et effondrements liés aux cavités souterraines (hors mines) et des éboulements, chutes de pierres et de blocs[28]. Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[29].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Casseuil.

    Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 99,9 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (67,4 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 204 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 204 sont en en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 84 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[30] - [Carte 2].

    Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[29].

    Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2003 et 2017 et par des mouvements de terrain en 1999[25].

    Toponymie

    Le toponyme Casseuil est issu du gaulois cassanos, signifiant chêne[31].

    Histoire

    A Casseuil, la Seigneurie de Montalban portait en 1712 le nom de Château ou maison noble de Lamothe Montauban. Cette seigneurie avait droit de péage sur la Garonne et droit de sépulture dans l'église de Casseuil.

    À l'emplacement de cette Mothe féodale protégeant le gué du Pas Saint Georges se trouvait le Palais de Charlemagne appelé la "Villa Cassinogilum". Ainsi c'est à Montalban que naquit en 778 Louis 1er le Pieux dit le débonnaire (c'est-à-dire de bonne naissance) et qui fut le premier Roi de France ("empereur d'occident") à être sacré à Reims en 816 par le Pape Étienne IV en souvenir du baptême de Clovis. C'est certainement en souvenir de ce Palais de Charlemagne à Montalban que le hameau jouxtant la demeure s'appelle encore aujourd'hui 'Le Paradis".

    La Villa Cassinogilum de Charlemagne était étendue sur tout le village de Casseuil et protégée par le Pas Saint Georges à l'Ouest, le Castéra au Sud Est et à l'Est par ce qui est devenu le château de Pudris.

    Des relevés effectués le 8 septembre 2014 permettent d'affirmer qu'un souterrain reliait le Palais de Charlemagne à Montalban jusqu'à l'actuel château de Pudris, ancienne fortification protégeant le Palais de Charlemagne.

    Le château de Gironde sur Dropt, rasé lors de la construction du chemin de fer était une fortification avancée du Palais de Charlemagne ainsi que le Château de Castets en Dorthe.

    Des relevés effectués le 8 septembre 2014 ont mis en évidence l'existence d'une grande salle de 120 m2 dans l'axe exact du château actuel de Montalban, corroborant les sources documentaires déjà connues sur le palais de Charlemagne.

    À la Révolution, la paroisse Saint-Pierre de Casseuil forme la commune de Casseuil[32].

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    1794 1813 Louis Menou
    1813 1814 Joseph Menou
    1814 1821 Jean Dunogues
    1821 1830 Vicomte Dunogues
    1830 1830 Neveu Barthalos
    1830 1848 Pierre Ballereau
    1848 1852 François Brown
    1852 1854 Jacques Ballereau
    1854 1865 Jean Bellod
    1865 1870 Pierre Lehaut
    1870 1883 Jacques Ballereau
    1883 1929 Pierre Ballereau
    1929 1935 Joseph Hoquetis
    1935 1959 François Leaud
    1959 1970 Armand Lecourt
    1971 1977 Raymond Richard
    1977 1984 Franck Lalanne
    1984 1995 Jean Claude Masson
    mars 2008 En cours François Merveilleau[33] MoDem Cadre
    Les données manquantes sont à compléter.

    Communauté de communes

    Le 1er janvier 2014, la communauté de communes du Réolais ayant été supprimée, la commune de Casseuil s'est retrouvée intégrée à la communauté de communes du Réolais en Sud Gironde siégeant à La Réole.

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[34]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[35].

    En 2020, la commune comptait 376 habitants[Note 7], en diminution de 5,05 % par rapport à 2014 (Gironde : +7,23 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    644644629609621601629634553
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    544541537541531468462450452
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    432445425371376371363323371
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
    356315347361395367357359383
    2015 2020 - - - - - - -
    399376-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[36] puis Insee à partir de 2006[37].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • Une maison, dite Casteras, située dans le bourg est réputée pour avoir été, en 1578, le lieu d'une rencontre entre Henri de Navarre, futur roi de France et Catherine de Médicis[38]. Cette maison date du XVIe siècle (1550) et est inscrite à l'inventaire des monuments historiques depuis 1990[39].
    • La Maison Noble ou Château de Montalban a été reconstruite au XVIIIe siècle et inscrite à l'inventaire des monuments historiques en 2010. Le château de Montalban est le lieu de naissance et de baptême de Louis 1er le Pieux, 1er roi sacré à Reims en souvenir du baptême de Clovis et Empereur d'Occident. Il était le fils de Charlemagne, né en 778, tandis que Charlemagne combattit en Espagne avec au retour l'embuscade de Rolland à Roncevaux par les Basques.
    • L'église Saint-Pierre abrite une frise en marbre datant de l'antiquité et classée monument historique au titre « objet »[40] (cf. aussi section Personnalités liées à la commune dans cet article).
    • Une tour hertzienne située au point culminant de la commune (122 mètres) mesure 120 mètres de hauteur ; c'est l'un des plus hauts bâtiments d'Aquitaine.
    • L'église Saint-Pierre (janv. 2010)
      L'église Saint-Pierre (janv. 2010)
    • Oratoire près de la mairie (janv. 2010)
      Oratoire près de la mairie (janv. 2010)
    • Le monument aux morts dans le cimetière près de l'église (janv. 2010)
      Le monument aux morts dans le cimetière près de l'église (janv. 2010)

    Personnalités liées à la commune

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[5].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[6].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )

    Références

    1. Nom des habitants de la commune sur habitants.fr, consulté le 1er août 2011.
    2. Distances les plus courtes par la route - Les distances orthodromiques sont respectivement de 46,4 km pour Bordeaux, 11,6 km pour Langon et km pour La Réole. Données fournies par Lion1906.com, consulté le 31 mai 2011.
    3. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    4. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    5. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    6. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    7. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    8. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    9. « Station Météo-France Sauveterre-de-Guyenne - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    10. « Orthodromie entre Casseuil et Sauveterre-de-Guyenne », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station Météo-France Sauveterre-de-Guyenne - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    12. « Orthodromie entre Casseuil et Mérignac », sur fr.distance.to (consulté le ).
    13. « Station météorologique de Bordeaux-Mérignac - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique de Bordeaux-Mérignac - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Station météorologique de Bordeaux-Mérignac - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    16. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    18. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    19. « Unité urbaine 2020 de Saint-Macaire », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    20. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    21. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    22. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    23. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    24. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
    25. « Les risques près de chez moi - commune de Casseuil », sur Géorisques (consulté le )
    26. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le )
    27. « Dossier départemental des risques majeurs de la Gironde », sur www.gironde.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
    28. « Dossier départemental des risques majeurs de la Gironde », sur www.gironde.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
    29. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Casseuil », sur http://www.georisques.gouv.fr/ (consulté le )
    30. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
    31. Henriette Walter, L'aventure des mots français venus d'ailleurs, Robert Laffont, p. 44.
    32. Historique des communes, p. 13, sur GAEL (Gironde Archives en ligne) des Archives départementales de la Gironde, consulté le 30 mars 2013.
    33. Commune de Casseuil sur le site de l'AMF, Association des Maires de France, consulté le 1er août 2011.
    34. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    35. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    36. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    37. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    38. Cet évènement semble avoir eu lieu au cours du séjour qu'elle fit à Nérac (Lot-et-Garonne) dans le but de réconcilier le couple Navarre (Henri de Navarre et Marie de Médicis, sa fille), après de la signature de la paix de Bergerac () et avant l'édit du accordant aux protestants des places de sureté en Guyenne et dans le Languedoc.
    39. « Inscription de la maison Casteras », notice no PA00083873, base Mérimée, ministère français de la Culture, consulté le 18 janvier 2010.
    40. « Classement de la frise », notice no PM33000449, base Palissy, ministère français de la Culture, consulté le 18 janvier 2010.
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