AccueilđŸ‡«đŸ‡·Chercher

MorizĂšs

MorizĂšs [mɔʁizɛs] est une commune du Sud-Ouest de la France, situĂ©e dans le dĂ©partement de la Gironde (rĂ©gion Nouvelle-Aquitaine).

MorizĂšs
MorizĂšs
La mairie (août 2011)
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Nouvelle-Aquitaine
DĂ©partement Gironde
Arrondissement Langon
Intercommunalité Communauté de communes du Réolais en Sud Gironde
Maire
Mandat
MichĂšle Chovin
2020-2026
Code postal 33190
Code commune 33294
DĂ©mographie
Gentilé Morizéens
Population
municipale
543 hab. (2020 en augmentation de 2,84 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 93 hab./km2
Population
agglomération
6 927 hab. (2020)
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 44° 36â€Č 46″ nord, 0° 05â€Č 23″ ouest
Altitude Min. 10 m
Max. 77 m
Superficie 5,87 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine La Réole
(banlieue)
Aire d'attraction La RĂ©ole
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton du RĂ©olais et des Bastides
LĂ©gislatives DouziĂšme circonscription
Localisation
GĂ©olocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
MorizĂšs
GĂ©olocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
MorizĂšs
GĂ©olocalisation sur la carte : Gironde
Voir sur la carte topographique de la Gironde
MorizĂšs
GĂ©olocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Voir sur la carte administrative de Nouvelle-Aquitaine
MorizĂšs

    Ses habitants sont appelés les Morizéens[1].

    GĂ©ographie

    Cartographies interactive et OpenStreetMap
    Play Pause Stop Précédent Suivant Select
    1. Carte dynamique
    2. Carte Openstreetmap
    3. Carte topographique
    4. Carte avec les communes environnantes

    Commune situĂ©e sur la Vignague et bordĂ©e Ă  l'est par le Dropt, la commune se trouve dans l'Entre-deux-Mers, Ă  61 km au sud-est de Bordeaux, chef-lieu du dĂ©partement, Ă  17 km au nord-est de Langon, chef-lieu d'arrondissement et Ă  km au nord-nord-ouest de La RĂ©ole, chef-lieu de canton[2]. Elle fait partie de l'unitĂ© urbaine de La RĂ©ole et de son aire urbaine.

    Communes limitrophes

    Les communes limitrophes sont Saint-Exupéry, Casseuil, Camiran, Les Esseintes, Gironde-sur-Dropt, Sainte-Foy-la-Longue et Saint-Laurent-du-Plan.

    Les communes limitrophes en sont Camiran au nord-est, Les Esseintes Ă  l'est, Gironde-sur-Dropt au sud, Casseuil au sud-ouest sur Ă  peine plus d'un km, Sainte-Foy-la-Longue Ă  l'ouest, Saint-Laurent-du-Plan au nord-ouest et Saint-ExupĂ©ry au nord.

    Communications et transports

    La commune est essentiellement traversée, dans le bourg, par la route départementale D15 qui relie Gironde-sur-Dropt au sud à Loubens au nord-est et au-delà Monségur.

    L'accĂšs le plus proche Ă  l'autoroute A62 (Bordeaux-Toulouse) est celui de Sortie 4 La RĂ©ole distant de 16 km par la route vers le sud.
    L'accĂšs Sortie 1 Bazas Ă  l'autoroute A65 (Langon-Pau) se situe Ă  27 km vers le sud-sud-ouest.
    L'accĂšs le plus proche Ă  l'autoroute A89 (Bordeaux-Lyon) est celui de l'Ă©changeur autoroutier avec la route nationale 89 qui se situe Ă  42 km vers le nord-ouest.

    La gare SNCF la plus proche est celle, distante de 3,5 km par la route vers le sud, de Gironde-sur-Dropt sur la ligne Bordeaux-SĂšte du TER Aquitaine ; celle de La RĂ©ole, distante de km par la route vers le sud-est, prĂ©sente un trafic plus important.

    Climat

    Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[3]. En 2020, la commune ressort du mĂȘme type de climat dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat ocĂ©anique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[4].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[3]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 13,2 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 2,3 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 8,8 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 15,5 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation[Note 3] : 829 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 11,1 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 6,5 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[7] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[8] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Sauveterre-de-Guyenne », sur la commune de Sauveterre-de-Guyenne, mise en service en 1978[9] et qui se trouve Ă  km Ă  vol d'oiseau[10] - [Note 4], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 13,3 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 809,1 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[11]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche, « Bordeaux-MĂ©rignac », sur la commune de MĂ©rignac, mise en service en 1920 et Ă  51 km[12], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 13,3 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[13], Ă  13,8 °C pour 1981-2010[14], puis Ă  14,2 °C pour 1991-2020[15].

    Urbanisme

    Typologie

    MorizĂšs est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trĂšs peu denses, au sens de la grille communale de densitĂ© de l'Insee[Note 5] - [16] - [17] - [18]. Elle appartient Ă  l'unitĂ© urbaine de La RĂ©ole, une agglomĂ©ration intra-dĂ©partementale regroupant 5 communes[19] et 6 927 habitants en 2020, dont elle est une commune de la banlieue[20] - [21].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de La RĂ©ole, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 20 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de moins de 50 000 habitants[22] - [23].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (90,2 % en 2018), une proportion identique Ă  celle de 1990 (90,3 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : cultures permanentes (55,6 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (16 %), terres arables (11,4 %), forĂȘts (9,8 %), prairies (7,2 %)[24].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[Carte 1].

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de MorizĂšs est vulnĂ©rable Ă  diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse), inondations et sĂ©isme (sismicitĂ© trĂšs faible)[25]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[26].

    Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’ĂȘtre affectĂ©es par le risque d’inondation par dĂ©bordement de cours d'eau, notamment le Dropt et la Vignague. La commune a Ă©tĂ© reconnue en Ă©tat de catastrophe naturelle au titre des dommages causĂ©s par les inondations et coulĂ©es de boue survenues en 1982, 1988, 1999, 2009, 2018 et 2021[27] - [25].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de MorizÚs.

    Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas d’alternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie. La totalitĂ© de la commune est en alĂ©a moyen ou fort (67,4 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 249 bĂątiments dĂ©nombrĂ©s sur la commune en 2019, 249 sont en en alĂ©a moyen ou fort, soit 100 %, Ă  comparer aux 84 % au niveau dĂ©partemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[28] - [Carte 2].

    Par ailleurs, afin de mieux apprĂ©hender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavitĂ©s souterraines permet de localiser celles situĂ©es sur la commune[29].

    Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2005 et par des mouvements de terrain en 1999[25].

    Toponymie

    Selon certains, le nom de la commune viendrait du mot marais. Une autre version donne pour origine le mot maoridaire désignant une antique villa romaine détruite par le feu à la suite d'une épidémie[30].

    Le nom de la commune est MaurisĂšth en gascon, ou plutĂŽt MaurisĂšths, selon la prononciation.

    Bénédicte Boyrie-Fénié cite plusieurs formes anciennes : Mauriazelo (ecclesia Sancti Vincentii de ~), en latin, en 1026-1030, Mauriczelo (de ~), en latin, en 1080, Mauriezed (presbyter de ~), en occitan, en 1115, Maurihazels (parrochia de ~), en occitan, en 1273, Morricia (La ~) ?, en 1307-1317[31]. Les formes de 1115 et de 1273 montrent une hésitation entre la conservation de a prétonique et sa perte. Celle de 1273 contient déjà un s final présent dans beaucoup de noms bordelais et bazadais. Dauzat et Rostaing donnent comme étymologie le nom d'homme latin Mauritius, avec le suffixe -ellum[32]. ErnÚst NÚgre opte pour Mauricellus et suppose une attraction des finales en -Ús[33].

    Mais ni Mauritius, ni Mauricellus n'expliquent a prĂ©tonique attestĂ© du XIe siĂšcle au XIIIe siĂšcle. VoilĂ  pourquoi P.-H. Billy, citĂ© par BĂ©nĂ©dicte Boyrie-FĂ©niĂ©, propose un diminutif de Maurias, lieu situĂ© dans la commune de Montagoudin, Ă  7,5 km, associĂ© au suffixe -ellum, qui donne -eth en gascon[34] - [31].

    La question de -s final pourrait ĂȘtre liĂ©e Ă  d'autres cas, comme les noms en -ac devenus -ats (graphie classique occitane -acs)[35]. -s serait la marque d'un collectif : los maurisĂšths seraient, Ă  une certaine Ă©poque, les habitants de *MaurisĂšth; ensuite, se serait faite une confusion entre la nom des habitants et celui du lieu. La perte de la diphtongue -au- de la premiĂšre syllabe dans la graphie française MorizĂšs est peut-ĂȘtre due Ă  la prononciation gavache (la Petite Gavacherie Ă©tait plus grande aux siĂšcles prĂ©cĂ©dents qu'Ă  l'Ă©poque rĂ©cente). Et l'attestation Ă©nigmatique de 1307-1317, qui semble annoncer la forme française, si ce n'est pas une erreur, est l'occasion de signaler que Gironde-sur-Dropt, commune limitrophe de MorizĂšs, avait dĂ©jĂ  un nom saintongeais en 1087[36]. Mais les deux faits sont peut-ĂȘtre sans rapport.

    Histoire

    À la RĂ©volution, la paroisse Saint-Maurice de MorizĂšs forme la commune de MorizĂšs[37].

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    juillet 1932 dĂ©cembre 1962 Jean Sourbet[38] † CNI Conseiller gĂ©nĂ©ral (1945-1962), dĂ©putĂ© (1946-1962), ministre de l'Agriculture (1955-1956)
    

    juin 1995 mars 2008 Liliane Bienvenu-Sourbet CPNT
    mars 2008 mars 2014 Jeannine Cuvillier
    mars 2014 En cours MichÚle Brissaud-Chovin Retraitée
    Les données manquantes sont à compléter.

    Intercommunalité

    La communauté de communes du Réolais ayant été supprimée le au profit de la communauté de communes du Réolais en Sud Gironde siégeant à La Réole, la commune s'y retrouve adhérente.
    En matiÚre de développement socio-économique, la commune est adhérente, à l'instar des anciennes communes de la Cdc du Réolais, du syndicat mixte du Pays du Haut Entre-deux-Mers (Pays HE2M).

    DĂ©mographie

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[39]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2006[40].

    En 2020, la commune comptait 543 habitants[Note 7], en augmentation de 2,84 % par rapport Ă  2014 (Gironde : +7,23 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    584550628611572636640711620
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    670695681708663653648627700
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    663690715576580588615558553
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    534542514508505507549526545
    2020 - - - - - - - -
    543--------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[41] puis Insee Ă  partir de 2006[42].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • L'Ă©glise Saint-Maurice (aoĂ»t 2011)
      L'église Saint-Maurice (août 2011)
    • Chevet de l'Ă©glise (aoĂ»t 2011)
      Chevet de l'église (août 2011)
    • Buste de Jean Sourbet sur la place Principale (aoĂ»t 2011)
      Buste de Jean Sourbet sur la place Principale (août 2011)
    • Le monument aux morts prĂšs du foyer municipal (aoĂ»t 2011)
      Le monument aux morts prÚs du foyer municipal (août 2011)

    Galerie

    • Une exploitation agricole.
      Une exploitation agricole.
    • L'Ă©glise.
      L'Ă©glise.
    • Les vignes.
      Les vignes.
    • Vue panoramique.
      Vue panoramique.

    Personnalités liées à la commune

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[5].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[6].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en celle d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )

    Références

    1. Nom des habitants de la commune sur habitants.fr, consulté le 6 août 2011.
    2. Distances les plus courtes par la route - Les distances orthodromiques sont respectivement de 46,3 km pour Bordeaux, 14,4 km pour Langon et 5,2 km pour La RĂ©ole. DonnĂ©es fournies par Lion1906.com, consultĂ© le 6 aoĂ»t 2011.
    3. Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
    4. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    5. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    6. Glossaire – PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
    7. « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
    8. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    9. « Station Météo-France Sauveterre-de-Guyenne - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    10. « Orthodromie entre MorizÚs et Sauveterre-de-Guyenne », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station Météo-France Sauveterre-de-Guyenne - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    12. « Orthodromie entre MorizÚs et Mérignac », sur fr.distance.to (consulté le ).
    13. « Station météorologique de Bordeaux-Mérignac - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique de Bordeaux-Mérignac - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Station météorologique de Bordeaux-Mérignac - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    16. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Commune rurale - dĂ©finition », sur le site de l’Insee (consultĂ© le ).
    18. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    19. « Unité urbaine 2020 de La Réole », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    20. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    21. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unitĂ©s urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des Ă©tudes Ă©conomiques, (consultĂ© le ).
    22. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    23. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des Ă©tudes Ă©conomiques, (consultĂ© le ).
    24. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
    25. « Les risques prÚs de chez moi - commune de MorizÚs », sur Géorisques (consulté le )
    26. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur GĂ©orisques (consultĂ© le )
    27. « Dossier départemental des risques majeurs de la Gironde », sur www.gironde.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
    28. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
    29. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de MorizÚs », sur http://www.georisques.gouv.fr/ (consulté le )
    30. Renseignements issus d'un panneau d'informations sur la place principale du village, consulté le 4 août 2011.
    31. BĂ©nĂ©dicte Boyrie-FĂ©niĂ©, Institut occitan, Dictionnaire toponymique des communes de Gironde, Pau, Éditions Cairn, , 402 p. (ISBN 978-2-35068-012-5), p. 224..
    32. Albert Dauzat, Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des Noms de Lieux en France, édition Librairie Guénégaud, 1984, p. 480.
    33. Ernest NÚgre, Toponymie générale de la France, éd. Droz, GenÚve, 1991
    34. Billy (Pierre-Henri), Toponymie de la vallĂ©e du Dropt de l'AntiquitĂ© au Moyen Âge, dans Actes du premier colloque de la vallĂ©e du Dropt, Montflanquin, 19, 20 et 21 octobre 2001, archives dĂ©partementales de Lot-et-Garonne, Agen, 2003, p. 84.
    35. MiquĂšu AudoiĂšr, Ua solucion unica a un problĂšma doble : lo grop -ts, fonetica istorica e toponimia, PaĂ­s Gascons no 269, p. 8-9, OrtĂšs, Noveme-Deceme 2013
    36. Bénédicte Boyrie-Fénié, Dictionnaire toponymique des Communes, Gironde, Cairn, Institut Occitan, Pau, 2008, p. 157.
    37. Historique des communes, p. 36, sur GAEL (Gironde Archives en ligne) des Archives départementales de la Gironde, consulté le 30 mars 2013.
    38. Maires de MorizÚs sur Francegenweb.org, consulté le 28 avril 2014.
    39. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    40. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    41. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
    42. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    Cet article est issu de wikipedia. Text licence: CC BY-SA 4.0, Des conditions supplĂ©mentaires peuvent s’appliquer aux fichiers multimĂ©dias.