Vic-en-Bigorre
Vic-en-Bigorre est une commune française située dans le nord du département des Hautes-Pyrénées, en région Occitanie.
Vic-en-Bigorre | |||||
HĂŽtel de ville de Vic-en-Bigorre. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
RĂ©gion | Occitanie | ||||
Département | Hautes-Pyrénées | ||||
Arrondissement | Tarbes | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Adour Madiran (siÚge) |
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Maire Mandat |
Clément Menet 2020-2026 |
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Code postal | 65500 | ||||
Code commune | 65460 | ||||
DĂ©mographie | |||||
Gentilé | Vicquois | ||||
Population municipale |
4 831 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 152 hab./km2 | ||||
Population agglomération |
5 219 hab. (2020) | ||||
GĂ©ographie | |||||
CoordonnĂ©es | 43° 23âČ 11âł nord, 0° 03âČ 14âł est | ||||
Altitude | Min. 192 m Max. 323 m |
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Superficie | 31,86 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Unité urbaine | Vic-en-Bigorre (ville-centre) |
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Aire d'attraction | Tarbes (commune de la couronne) |
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Ălections | |||||
DĂ©partementales | Canton de Vic-en-Bigorre (bureau centralisateur) |
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LĂ©gislatives | DeuxiĂšme circonscription | ||||
Localisation | |||||
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Hautes-Pyrénées
GĂ©olocalisation sur la carte : Occitanie
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Liens | |||||
Site web | mairie-vic-bigorre.fr/ | ||||
Sur le plan historique et culturel, la commune est dans lâancien comtĂ© de Bigorre, comtĂ© historique des PyrĂ©nĂ©es françaises et de Gascogne. ExposĂ©e Ă un climat de montagne, elle est drainĂ©e par l'Adour, l'Ăchez, le Lys, le canal de Luzerte, le canal du Moulin, le ruisseau de DibĂšs, le ruisseau de la Poutge et par divers autres petits cours d'eau. La commune possĂšde un patrimoine naturel remarquable : un site Natura 2000 (la « vallĂ©e de l'Adour ») et quatre zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique.
Vic-en-Bigorre est une commune rurale qui compte 4 831 habitants en 2020. Elle est dans l'unité urbaine de Vic-en-Bigorre et fait partie de l'aire d'attraction de Tarbes. Ses habitants sont appelés les Vicquois ou Vicquoises.
GĂ©ographie
Localisation
La commune de Vic-en-Bigorre se trouve dans le département des Hautes-Pyrénées, en région Occitanie[I 1].
Elle se situe à 17 km à vol d'oiseau de Tarbes[1], préfecture du département [2], bureau centralisateur du canton de Vic-en-Bigorre dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[I 1] La commune est par ailleurs ville-centre du bassin de vie de Vic-en-Bigorre[I 1].
Les communes les plus proches[Note 1] sont[3] : Saint-LĂ©zer (2,5 km), Artagnan (2,7 km), CamalĂšs (3,3 km), Caixon (3,4 km), Sanous (4,2 km), Pujo (4,3 km), Nouilhan (4,4 km), Liac (4,9 km).
Sur le plan historique et culturel, Vic-en-Bigorre fait partie de lâancien comtĂ© de Bigorre, comtĂ© historique des PyrĂ©nĂ©es françaises et de Gascogne crĂ©Ă© au IXe siĂšcle puis rattachĂ© au domaine royal en 1302, inclus ensuite au comtĂ© de Foix en 1425 puis une nouvelle fois rattachĂ© au royaume de France en 1607. La commune est dans le pays de Tarbes et de la Haute Bigorre[4].
Vic-en-Bigorre est limitrophe de 14 autres communes dont Maubourguet au nord par un simple quadripoint, aux Aléas, ainsi que Bazillac au sud-est.
GĂ©ologie et relief
Vic-en-Bigorre se situe en plaine entre deux séries de coteaux ; cette situation a été façonnée par le fleuve l'Adour et ses affluents.
Il en résulte que les sols contiennent beaucoup de galets roulés par les cours d'eau en provenance des montagnes ; ces galets ont d'ailleurs été utilisés de maniÚre prépondérante comme matériau de construction dans la région, ils font partie de l'identité du Pays du Val d'Adour. L'altitude de la mairie de Vic-en-Bigorre est de 216 mÚtres environ.
Hydrographie
Elle est drainĂ©e par l'Adour, l'Ăchez, le Lys, le canal de Luzerte, le canal du Moulin, le ruisseau de la Poutge, un bras de l'Echez, un bras de l'Echez, un bras de l'Echez, Canal de CamalĂšs, Canal de la Herray et par divers petits cours d'eau, constituant un rĂ©seau hydrographique de 34 km de longueur totale[6] - [Carte 1].
L'Adour, d'une longueur totale de 308,8 km, se forme dans la vallée de Campan en Haute-Bigorre de la réunion de trois torrents : l'Adour de Payolle, l'Adour de Gripp et l'Adour de Lesponne et s'écoule vers le nord. Il traverse la commune et se jette dans le golfe de Gascogne à Anglet, aprÚs avoir traversé 118 communes[7].
L'Ăchez, d'une longueur totale de 64,1 km, prend sa source dans la commune de Germs-sur-l'Oussouet et s'Ă©coule vers le nord. Il traverse la commune et se jette dans l'Adour Ă Maubourguet, aprĂšs avoir traversĂ© 26 communes[8].
Le Lys, d'une longueur totale de 29,6 km, prend sa source dans la commune de Ger et s'Ă©coule vers le nord. Il traverse la commune et se jette dans l'Ăchez Ă Larreule, aprĂšs avoir traversĂ© 10 communes[9].
Le canal de Luzerte, d'une longueur totale de 10,1 km, prend sa source dans la commune de Siarrouy et s'écoule vers le nord. Il traverse la commune et se jette dans le Lys à Caixon, aprÚs avoir traversé 5 communes[10].
Le canal du Moulin, d'une longueur totale de 12,5 km, prend sa source dans la commune d'Oursbelille et s'Ă©coule vers le nord. Il se jette dans l'Ăchez sur le territoire communal, aprĂšs avoir traversĂ© 5 communes[11].
Climat
Le climat est tempĂ©rĂ© de type ocĂ©anique dĂ» Ă l'influence proche de l'ocĂ©an Atlantique situĂ© Ă peu prĂšs 150 km plus Ă l'ouest. La proximitĂ© des PyrĂ©nĂ©es fait que la commune profite d'un effet de foehn, il peut aussi y neiger en hiver, mĂȘme si cela reste inhabituel.
La station météorologique de Météo-France installée sur la commune et mise en service en 1987 permet de connaßtre en continu l'évolution des indicateurs météorologiques[12]. Le tableau détaillé pour la période 1981-2010 est présenté ci-aprÚs.
Mois | jan. | fév. | mars | avril | mai | juin | jui. | août | sep. | oct. | nov. | déc. | année |
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Température minimale moyenne (°C) | 0,2 | 1 | 3,5 | 6 | 10,2 | 13,2 | 14,7 | 14,7 | 11,2 | 7,8 | 3,6 | 0,9 | 7,3 |
Température moyenne (°C) | 5,5 | 6,7 | 9,5 | 11,5 | 15,8 | 18,9 | 20,7 | 20,8 | 17,5 | 13,8 | 8,8 | 5,9 | 13 |
Température maximale moyenne (°C) | 10,7 | 12,3 | 15,4 | 17 | 21,5 | 24,6 | 26,6 | 26,9 | 23,9 | 19,8 | 13,9 | 10,8 | 18,7 |
Record de froid (°C) date du record |
â10 27.01.07 |
â12 08.02.12 |
â9,3 01.03.05 |
â3,4 04.04.1996 |
0,5 06.05.19 |
3,4 01.06.06 |
6 08.07.1990 |
4,7 29.08.1998 |
1,1 25.09.02 |
â4 25.10.03 |
â10,7 23.11.1988 |
â12 25.12.01 |
â12 2012 |
Record de chaleur (°C) date du record |
22,5 01.01.22 |
26,8 24.02.1990 |
29,2 21.03.1990 |
30,3 09.04.11 |
33,5 30.05.01 |
39,7 22.06.03 |
39,7 20.07.1989 |
40,4 04.08.03 |
36,1 12.09.16 |
34,1 04.10.04 |
26,6 01.11.20 |
22,6 15.12.1989 |
40,4 2003 |
Précipitations (mm) | 81,9 | 68 | 71,7 | 111,5 | 99,8 | 71,5 | 56,4 | 57,4 | 66,6 | 74,8 | 91 | 75 | 925,6 |
RĂ©seau Natura 2000
Le rĂ©seau Natura 2000 est un rĂ©seau Ă©cologique europĂ©en de sites naturels d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique Ă©laborĂ© Ă partir des directives habitats et oiseaux, constituĂ© de zones spĂ©ciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spĂ©ciale (ZPS)[Note 2]. Un site Natura 2000 a Ă©tĂ© dĂ©fini sur la commune au titre de la directive habitats : la « vallĂ©e de l'Adour »[14], d'une superficie de 2 694 ha, un espace oĂč les habitats terrestres et aquatiques abritent une flore et une faune remarquable et diversifiĂ©e, avec la prĂ©sence de la Loutre et de la Cistude d'Europe[15].
Zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique
Lâinventaire des zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de rĂ©aliser une couverture des zones les plus intĂ©ressantes sur le plan Ă©cologique, essentiellement dans la perspective dâamĂ©liorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux diffĂ©rents dĂ©cideurs un outil dâaide Ă la prise en compte de lâenvironnement dans lâamĂ©nagement du territoire. Deux ZNIEFF de type 1[Note 3] sont recensĂ©es sur la commune[16] : « l'Adour, de BagnĂšres Ă Barcelonne-du-Gers » (2 786 ha), couvrant 59 communes dont 18 dans le Gers, une dans les Landes et 40 dans les Hautes-PyrĂ©nĂ©es[17] et le « rĂ©seau hydrographique de l'Ăchez » (392 ha), couvrant 26 communes dont trois dans les PyrĂ©nĂ©es-Atlantiques et 23 dans les Hautes-PyrĂ©nĂ©es[18] et deux ZNIEFF de type 2[Note 4] - [16] :
- l'« Adour et milieux annexes » (3 634 ha), couvrant 60 communes dont 18 dans le Gers, une dans les Landes et 41 dans les Hautes-Pyrénées[19] ;
- le « plateau de Ger et coteaux de l'ouest tarbais » (6 409 ha), couvrant 26 communes dont six dans les Pyrénées-Atlantiques et 20 dans les Hautes-Pyrénées[20].
- Carte des ZNIEFF de type 1 sur la commune.
- Carte des ZNIEFF de type 2 sur la commune.
Urbanisme
Typologie
Vic-en-Bigorre est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5] - [21] - [I 2] - [22]. Elle appartient à l'unité urbaine de Vic-en-Bigorre, une agglomération intra-départementale regroupant 2 communes[I 3] et 5 219 habitants en 2020, dont elle est ville-centre[I 4] - [I 5].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Tarbes, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 153 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[I 6] - [I 7].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne dâoccupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (69,7 % en 2018), nĂ©anmoins en diminution par rapport Ă 1990 (74,2 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : terres arables (51,4 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (18,3 %), forĂȘts (16,3 %), zones urbanisĂ©es (12,3 %), eaux continentales[Note 7] (1,7 %)[23].
L'IGN met par ailleurs Ă disposition un outil en ligne permettant de comparer lâĂ©volution dans le temps de lâoccupation des sols de la commune (ou de territoires Ă des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă aujourd'hui)[Carte 2].
- Carte des infrastructures et de l'occupation des sols en 2018 (CLC) de la commune.
- Carte orthophotogrammétrique de la commune.
Logement
En 2012, le nombre total de logements dans la commune est de 2 619[I 8].
Parmi ces logements, 85,3 % sont des résidences principales, 2,3 % des résidences secondaires et 12,5 % des logements vacants.
Voies de communication et transports
Cette commune est desservie par les routes dĂ©partementales DâŻ935 et DâŻ934 et les routes dĂ©partementales DâŻ4, DâŻ6 et DâŻ7.
Risques majeurs
Le territoire de la commune de Vic-en-Bigorre est vulnĂ©rable Ă diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse), inondations, mouvements de terrains et sĂ©isme (sismicitĂ© modĂ©rĂ©e). Il est Ă©galement exposĂ© Ă un risque technologique, le transport de matiĂšres dangereuses[24]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[25].
Risques naturels
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles dâĂȘtre affectĂ©es par le risque dâinondation par dĂ©bordement de cours d'eau, notamment l'Adour, l'Ăchez, le Lys, le canal du Moulin et le canal de Luzerte. La cartographie des zones inondables en ex-Midi-PyrĂ©nĂ©es rĂ©alisĂ©e dans le cadre du XIe Contrat de plan Ătat-rĂ©gion, visant Ă informer les citoyens et les dĂ©cideurs sur le risque dâinondation, est accessible sur le site de la DREAL Occitanie[26]. La commune a Ă©tĂ© reconnue en Ă©tat de catastrophe naturelle au titre des dommages causĂ©s par les inondations et coulĂ©es de boue survenues en 1982, 1993, 1999, 2009 et 2019[27] - [24].
Vic-en-Bigorre est exposĂ©e au risque de feu de forĂȘt. Un plan dĂ©partemental de protection des forĂȘts contre les incendies a Ă©tĂ© approuvĂ© par arrĂȘtĂ© prĂ©fectoral le pour la pĂ©riode 2020-2029. Le prĂ©cĂ©dent couvrait la pĂ©riode 2007-2017. Lâemploi du feu est rĂ©gi par deux types de rĂ©glementations. Dâabord le code forestier et lâarrĂȘtĂ© prĂ©fectoral du , qui rĂ©glementent lâemploi du feu Ă moins de 200 m des espaces naturels combustibles sur lâensemble du dĂ©partement. Ensuite celle Ă©tablie dans le cadre de la lutte contre la pollution de lâair, qui interdit le brĂ»lage des dĂ©chets verts des particuliers. LâĂ©cobuage est quant Ă lui rĂ©glementĂ© dans le cadre de commissions locales dâĂ©cobuage (CLE)[28]
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[29].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas dâalternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie. La totalitĂ© de la commune est en alĂ©a moyen ou fort (44,5 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 1 978 bĂątiments dĂ©nombrĂ©s sur la commune en 2019, 1 978 sont en en alĂ©a moyen ou fort, soit 100 %, Ă comparer aux 75 % au niveau dĂ©partemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[30] - [Carte 3].
Par ailleurs, afin de mieux apprĂ©hender le risque dâaffaissement de terrain, l'inventaire national des cavitĂ©s souterraines permet de localiser celles situĂ©es sur la commune[31].
Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[24].
Risque technologique
Le risque de transport de matiĂšres dangereuses sur la commune est liĂ© Ă sa traversĂ©e par une ligne de chemin de fer et une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est susceptible dâavoir des effets graves sur les biens, les personnes ou l'environnement, selon la nature du matĂ©riau transportĂ©. Des dispositions dâurbanisme peuvent ĂȘtre prĂ©conisĂ©es en consĂ©quence[32].
Toponymie
On trouvera les principales informations dans le Dictionnaire toponymique des communes des Hautes-Pyrénées de Michel Grosclaude et Jean-François Le Nail[33] qui rapporte les dénominations historiques du village :
DĂ©nominations historiques :
- Bic (XIIe siĂšcle, cartulaire de Bigorre) ;
- Big (v. 1200-1230, ibid.) ;
- Vich (1256, Trésor des Chartes, J 294) ;
- apud Vicum, latin (1285, montre Bigorre) ;
- apud Vicum Bigore, latin (1300, enquĂȘte Bigorre) ;
- de Vico, de Byco, de Bico Bigore, latin (ibid.) etc. ;
- Bic (1429, censier de Bigorre) ;
- Vic-Bigorre (fin XVIIIe siĂšcle, carte de Cassini).
- Vic-de-Bigorre a été employé au XXe siÚcle[34].
Ătymologie : latin vicus (= bourg, village).
Nom occitan : Vic de BigĂČrra.
Histoire
Antiquité
Avant l'Ă©poque romaine, Vic-en-Bigorre Ă©tait un bourg de l'oppidum de Bigorra, ancienne capitale des Bigerriones. AprĂšs la conquĂȘte de l'Aquitaine par les Romains (en 56 av. J.-C. par Publius Crassus), le bourg celtibĂ©rique se dĂ©veloppait en vicus gallo-romain. Sur le territoire de l'oppidum, les Gallo-Romains Ă©rigeaient au IVe siĂšcle une fortification, le Castrum Bigorra, aujourd'hui dĂ©nommĂ©e Saint-LĂ©zer.
Moyen Ăge
Les comtes de Bigorre sĂ©journĂšrent Ă Vic qui est alors l'une des principales villes de Bigorre. Ils la dĂ©laissent cependant au IXe siĂšcle et en 1151, Vic fut Ă©rigĂ©e en commune. La ville est alors libre de s'administrer elle-mĂȘme.
Ăpoque contemporaine
- Bertrand BarÚre, député des Hautes-Pyrénées à la Convention et célÚbre orateur de la Révolution française, s'est marié en 1785 dans l'église paroissiale Saint-Martin.
- Elle fut chef-lieu de district de 1790 Ă 1795.
Cadastre napoléonien de Vic-en-Bigorre
Le plan cadastral napoléonien de Vic-en-Bigorre est consultable sur le site des archives départementales des Hautes-Pyrénées[35].
Politique et administration
Tendances politiques et résultats
Le résultat de l'élection présidentielle de 2012 dans cette commune est le suivant[36] :
Candidat | Premier tour | Second tour | |||
---|---|---|---|---|---|
Voix | % | Voix | % | ||
Eva Joly (EĂLV) | 58 | 1,97 | |||
Marine Le Pen (FN) | 549 | 18,67 | |||
Nicolas Sarkozy (UMP) | 658 | 22,37 | 1 135 | 40,54 | |
Jean-Luc MĂ©lenchon (FG) | 396 | 13,46 | |||
Philippe Poutou (NPA) | 43 | 1,46 | |||
Nathalie Arthaud (LO) | 15 | 0,51 | |||
Jacques Cheminade (SP) | 5 | 0,17 | |||
François Bayrou (MoDem) | 286 | 9,72 | |||
Nicolas Dupont-Aignan (DLR) | 40 | 1,36 | |||
François Hollande (PS) | 891 | 30,30 | 1 665 | 59,46 | |
Inscrits | 3 734 | 100,00 | 3 734 | 100,00 | |
Abstentions | 734 | 19,66 | 718 | 19,23 | |
Votants | 3 000 | 80,34 | 3 016 | 80,77 | |
Blancs et nuls | 59 | 1,58 | 216 | 5,78 | |
Exprimés | 2 941 | 78,76 | 2 800 | 74,99 |
Le résultat de l'élection présidentielle de 2017 dans cette commune est le suivant[37] :
Candidat | Premier tour | DeuxiĂšme tour | ||||
---|---|---|---|---|---|---|
Voix | % | Voix | % | |||
Nicolas Dupont-Aignan (DLF) | 128 | 4,56 | ||||
Marine Le Pen (FN) | 704 | 25,08 | 970 | 41,00 | ||
Emmanuel Macron (EM) | 634 | 22,59 | 1 396 | 59,00 | ||
BenoĂźt Hamon (PS) | 160 | 5,70 | ||||
Nathalie Arthaud (LO) | 17 | 0,61 | ||||
Philippe Poutou (NPA) | 32 | 1,14 | ||||
Jacques Cheminade (SP) | 4 | 0,14 | ||||
Jean Lassalle (RES) | 117 | 4,17 | ||||
Jean-Luc MĂ©lenchon (LFI) | 563 | 20,06 | ||||
François Asselineau (UPR) | 19 | 0,68 | ||||
François Fillon (LR) | 429 | 15,28 | ||||
Inscrits | 3 706 | 100,00 | 3 706 | 100,00 | ||
Abstentions | 824 | 22,23 | 959 | 25,88 | ||
Votants | 2 882 | 77,77 | 2 747 | 74,12 | ||
Blancs | 53 | 1,43 | 281 | 7,58 | ||
Nuls | 22 | 0,59 | 100 | 2,70 | ||
Exprimés | 2 807 | 75,74 | 2 366 | 63,84 |
Liste des maires
Historique administratif
Pays et sĂ©nĂ©chaussĂ©e de Bigorre, quarteron de Vic, chef-lieu du canton de Vic-en-Bigorre. Baloc est commune en 1790 avant de lui ĂȘtre rattachĂ©e entre 1791 et 1801[40].
Intercommunalité
Vic-en-Bigorre appartient à la communauté de communes Adour Madiran créée en janvier 2017 et qui a la particularité de réunir 72 communes de Bigorre et Béarn.
Services publics
La commune de Vic-en-Bigorre dispose d'une agence postale.
Population et société
Ăvolution dĂ©mographique
L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[42]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2008[43].
En 2020, la commune comptait 4 831 habitants[Note 8], en diminution de 3,46 % par rapport à 2014 (Hautes-Pyrénées : +0,37 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Enseignement
La commune dĂ©pend de l'acadĂ©mie de Toulouse. Elle dispose dâĂ©coles, collĂšge et lycĂ©es en 2016[46].
- Ăcole maternelle : du Petit Bois
- Ăcole Ă©lĂ©mentaire : Pierre Guillard
- Ăcole privĂ©e : Saint-Martin
- CollĂšge : Pierre MendĂšs France, Saint-Martin
- Lycée professionnel : Pierre MendÚs France
- Lycée général : Pierre MendÚs France
- Lycée agricole et forestier : Jean Monnet
L'école maternelle du Petit Bois. L'école primaire Pierre Guillard. Le collÚge Pierre MendÚs France. Le lycée Jean Monnet.
Santé
- Maison des Jeunes et de la Culture : association d'éducation populaire proposant de nombreux services et loisirs aux habitants du territoire : ALSH pendant les vacances 3-11 ans, CLAS du CP à la 3e, Accueil des 12-15 ans, Clubs d'activités pour adulte ou enfants et Animations Locales et Familiales. Site : mjcvic.fr
Sports
- : Vic-en-Bigorre possÚde un club de rugby à XV : l'Union Sportive Vicquoise, champion de France de 2e série 2019, qui a évolué dans le championnat de France de rugby à XV de 2e division fédérale. L'USV a également été championne de France de 2e division en 1977 et 1988, d'Honneur en 1964 et de 3e série en 1939.
- : Vic-en-Bigorre possĂšde un club de football : le Football Club du Val D'Adour.
Le stade de football des Arcales. Le stade de rugby Antoine-Ménoni. La piscine Louis-Fourcade. Le court de paddle-tennis. L'aérodrome. Le gymnase.
Ăconomie
Revenus
En 2018, la commune compte 2 108 mĂ©nages fiscaux[Note 9], regroupant 4 206 personnes. La mĂ©diane du revenu disponible par unitĂ© de consommation est de 19 640 âŹ[I 9] (20 420 ⏠dans le dĂ©partement[I 10]). 39 % des mĂ©nages fiscaux sont imposĂ©s[Note 10] (44,4 % dans le dĂ©partement).
Emploi
2008 | 2013 | 2018 | |
---|---|---|---|
Commune[I 11] | 8 % | 11,7 % | 11,4 % |
DĂ©partement[I 12] | 7,7 % | 9,4 % | 9,8 % |
France entiĂšre[I 13] | 8,3 % | 10 % | 10 % |
En 2018, la population ùgée de 15 à 64 ans s'élÚve à 2 713 personnes, parmi lesquelles on compte 68,3 % d'actifs (56,9 % ayant un emploi et 11,4 % de chÎmeurs) et 31,7 % d'inactifs[Note 11] - [I 11]. En 2018, le taux de chÎmage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est supérieur à celui de la France et du département, alors qu'il était inférieur à celui de la France en 2008.
La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Tarbes, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pÎle[Carte 4] - [I 14]. Elle compte 2 157 emplois en 2018, contre 2 240 en 2013 et 2 114 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 1 565, soit un indicateur de concentration d'emploi de 137,8 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 44 %[I 15].
Sur ces 1 565 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 613 travaillent dans la commune, soit 39 % des habitants[I 16]. Pour se rendre au travail, 82,7 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 2,4 % les transports en commun, 10,7 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 4,2 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 17].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- LâhĂŽtel de ville date du XVIIIe siĂšcle et XIXe siĂšcle mais a Ă©tĂ© remaniĂ© au XXe siĂšcle.
- Face Ă lui, se dresse La Revanche, Ćuvre du sculpteur vicquois Edmond Desca faisant office de monument aux morts pour la guerre franco-prussienne de 1870.
- Non loin, trĂŽne encore Le Poilu de Martial Caumont, statuaire tarbais symbolisant ici le sacrifice des soldats de la Grande Guerre.
- La halle a été édifiée en 1862 par l'architecte Jean-Jacques Latour (établi à Tarbes de 1842 à sa mort en 1868). Représentative de l'architecture métallique de l'époque, elle est constituée d'une ossature de fonte vitrée suivant l'exemple des pavillons conçus par Victor Baltard (1805-1874) pour les halles centrales de Paris (voir Pavillon Baltard).
- L'Ă©glise Saint-Martin abrite un magnifique retable datant du XVIIe siĂšcle.
- Lavoir.
- Le Monument aux morts municipal Ćuvre de Martial Caumont.
Le lavoir. Monument aux morts municipal
1870-1871.La halle. La halle.
Personnalités liées à la commune
- Jacques-Marie Fourcade (1779-1862) : homme politique né à Vic-en-Bigorre.
- Marie-Barthélémy de Castelbajac (1776-1868) : homme politique né à Vic-en-Bigorre.
- Edmond Desca (1855-1918) : sculpteur né à Vic-en-Bigorre.
- Simin Palay (1874-1965) : poĂšte, Ă©crivain et auteur d'un grand dictionnaire de gascon et bĂ©arnais, il a vĂ©cu quelques annĂ©es Ă Vic-en-Bigorre oĂč ses parents s'installent en 1888.
- Pierre Trouillé, (1907-1986) : haut fonctionnaire français, préfet de la CorrÚze durant la Seconde Guerre mondiale.
- Pipiou Dupuy (1934-2010) : joueur de rugby à XV né et mort à Vic-en-Bigorre.
- Henri Vignes (1916-1985) : résistant et écrivain français né à Vic-en-Bigorre.
HĂ©raldique
Blasonnement :
CoupĂ© : au premier parti : au I d'azur aux trois fleurs de lys d'or, au II Ă©cartelĂ© au 1 et au 4 d'or aux deux vaches de gueules passant l'une sur l'autre, accornĂ©es, onglĂ©es, colletĂ©es et clarinĂ©es d'azur, au 2 de gueules aux chaĂźnes d'or posĂ©es en croix, sautoir et orle, chargĂ©es en cĆur d'une Ă©meraude au naturel, au 3 d'or aux trois pals de gueules, au second d'or au lion de gueules, armĂ© et lampassĂ© d'azur, tenant de ses pattes antĂ©rieures un miroir d'argent bordĂ© de sinople, au manche du mĂȘme[47].
Commentaires : ce blason est officiel (vérifié auprÚs de la mairie). |
Voir aussi
Bibliographie
- Claude Larronde, Histoire de Vic-en-Bigorre, Orthez, Gascogne, 2019, 312 p. (ISBN 978-2-36666-132-3)
Articles connexes
Liens externes
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative Ă plusieurs domaines :
- Ressource relative Ă la musique :
- Ressource relative aux organisations :
- Vic-en-Bigorre sur le site de l'Insee
- Site officiel de la Mairie de Vic-en-Bigorre
- Site de la communauté de communes de Vic-Montaner
- Vic-en-Bigorre sur le site de l'Institut géographique national
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
- Dans les sites Natura 2000, les Ătats membres s'engagent Ă maintenir dans un Ă©tat de conservation favorable les types d'habitats et d'espĂšces concernĂ©s, par le biais de mesures rĂ©glementaires, administratives ou contractuelles[13].
- Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs dâune superficie en gĂ©nĂ©ral limitĂ©e, caractĂ©risĂ©s par la prĂ©sence dâespĂšces, dâassociation dâespĂšces ou de milieux rares, remarquables, ou caractĂ©ristiques du milieu du patrimoine naturel rĂ©gional ou national.
- Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
- Un mĂ©nage fiscal est constituĂ© par le regroupement des foyers fiscaux rĂ©pertoriĂ©s dans un mĂȘme logement. Son existence, une annĂ©e donnĂ©e, tient au fait que coĂŻncident au moins une dĂ©claration indĂ©pendante de revenus et lâoccupation dâun logement connu Ă la taxe dâhabitation.
- La part des ménages fiscaux imposés est le pourcentage des ménages fiscaux qui ont un impÎt à acquitter au titre de l'impÎt sur le revenu des personnes physiques. L'impÎt à acquitter pour un ménage fiscal correspond à la somme des impÎts à acquitter par les foyers fiscaux qui le composent.
- Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élÚves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
- Cartes
- « Carte hydrographique de Vic-en-Bigorre » sur Géoportail (consulté le 4 novembre 2021).
- IGN, « Ăvolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă droite ou Ă gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă gauche de l'Ă©cran.
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
- Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
Site de l'Insee
- « Métadonnées de la commune de Vic-en-Bigorre » (consulté le ).
- « Commune rurale - définition » (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Vic-en-Bigorre » (consulté le ).
- « Base des unités urbaines 2020 », (consulté le ).
- Vianney Costemalle, « Toujours plus dâhabitants dans les unitĂ©s urbaines », (consultĂ© le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Tarbes » (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans lâaire dâattraction dâune ville », (consultĂ© le ).
- Insee : Rapport statistique communal pour la commune de Vic-en-Bigorre
- « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Vic-en-Bigorre » (consulté le ).
- « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans les Hautes-Pyrénées » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Vic-en-Bigorre » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans les Hautes-Pyrénées » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entiÚre » (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
- « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Vic-en-Bigorre » (consulté le ).
- « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
- « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
Autres sources
- Stephan Georg, « Distance entre Vic-en-Bigorre et Tarbes », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
- Stephan Georg, « Distance entre Vic-en-Bigorre et Vic-en-Bigorre », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
- « Communes les plus proches de Vic-en-Bigorre », sur www.villorama.com (consulté le ).
- Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 287-289.
- Carte IGN sous GĂ©oportail
- « Fiche communale de Vic-en-Bigorre », sur le systÚme d'information pour la gestion des eaux souterraines en Occitanie (consulté le )
- Sandre, « l'Adour »
- Sandre, « l'Ăchez »
- Sandre, « le Lys »
- Sandre, « le canal de Luzerte »
- Sandre, « le canal du Moulin »
- « Fiche du Poste 65460002 » [PDF], sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- Réseau européen Natura 2000, MinistÚre de la transition écologique et solidaire
- « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Vic-en-Bigorre », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « site Natura 2000 FR7300889 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le )
- « Liste des ZNIEFF de la commune de Vic-en-Bigorre », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF « l'Adour, de BagnÚres à Barcelonne-du-Gers » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF le « rĂ©seau hydrographique de l'Ăchez » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consultĂ© le ).
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- Michel Grosclaude et Jean-Francois Le Nail, intégrant les travaux de Jacques Boisgontier, Dictionnaire toponymique des communes des Hautes-Pyrénées, Tarbes, Conseil Général des Hautes-Pyrénées, , 348 p. (ISBN 2-9514810-1-2, BNF 37213307)..
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- Archives départementales des Hautes-Pyrénées : Plan cadastral de Vic-en-Bigorre en 1809
- MinistÚre de l'Intérieur - Hautes-Pyrénées (Occitanie), « Résultats de l'élection présidentielle de 2012 à Vic-en-Bigorre » (consulté le ).
- MinistÚre de l'Intérieur - Hautes-Pyrénées (Occitanie), « Résultats de l'élection présidentielle de 2017 à Vic-en-Bigorre » (consulté le ).
- "Les Maires de Vic-Bigorre, de Louis XIV Ă l'An 2000", Claude Larronde
- « Comités municipaux », sur Horizons Le parti (consulté le ).
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- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'Ăcole des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- « Annuaire : RĂ©sultats de recherche », sur le site du ministĂšre de l'Ăducation nationale (consultĂ© le ).
- Passion Bigorre