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Saint-Martial-d'Albarède

Saint-Martial-d'Albarède est une commune française située dans le département de la Dordogne, en région Nouvelle-Aquitaine.

Saint-Martial-d'Albarède
Saint-Martial-d'Albarède
Le village de Saint-Martial-d'Albarède.
Blason de Saint-Martial-d'Albarède
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Dordogne
Arrondissement Nontron
Intercommunalité Communauté de communes Isle-Loue-Auvézère en Périgord
Maire
Mandat
Francis Cipierre
2020-2026
Code postal 24160
Code commune 24448
Démographie
Gentilé Albarédiens
Population
municipale
479 hab. (2020 en diminution de 0,21 % par rapport à 2014)
Densité 47 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 19′ 37″ nord, 1° 02′ 00″ est
Altitude Min. 132 m
Max. 286 m
Superficie 10,28 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Excideuil
(banlieue)
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton d'Isle-Loue-Auvézère
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Saint-Martial-d'Albarède
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Saint-Martial-d'Albarède
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Saint-Martial-d'Albarède

    Géographie

    Généralités

    La commune de Saint-Martial-d'Albarède se situe dans le quart nord-est du département de la Dordogne. Aux franges orientales du Périgord, la commune s'inscrit dans le pays d'Excideuil qui correspond au bassin de la basse Loue. Cette région d'Excideuil appartient au Périgord jurassique qui n'occupe qu'une étendue restreinte entre les terrains cristallins et liasiques du nord-ouest et le Crétacé du sud-ouest[1]. Sous le hameau de Prunier se trouve le ruisseau souterrain dit de Prunier. Ce réseau, bien distinct de celui de Sarconnat, vient cependant resurgir à proximité, au pied de la même ligne continue d'abrupts et de petits rochers. Il alimente deux fontaines, l'une de trop-plein et l'autre de débouché pérenne. À l'ouest de Liaurou, sur la rive gauche de la Loue, jaillit une fontaine qui pourrait être une résurgence trop-plein d'un réseau souterrain.

    Communes limitrophes

    Carte de Saint-Martial-d'Albarède et des communes avoisinantes.

    Saint-Martial-d'Albarède est limitrophe de six autres communes. Au nord-est, son territoire est distant d'environ 600 mètres de celui de Saint-Médard-d'Excideuil.

    Géologie

    Situé sur la plaque nord du Bassin aquitain et bordé à son extrémité nord-est par une frange du Massif central, le département de la Dordogne présente une grande diversité géologique. Les terrains sont disposés en profondeur en strates régulières, témoins d'une sédimentation sur cette ancienne plate-forme marine. Le département peut ainsi être découpé sur le plan géologique en quatre gradins différenciés selon leur âge géologique. Saint-Martial-d'Albarède est située dans le deuxième gradin à partir du nord-est, un plateau formé de roches calcaires très dures du Jurassique que la mer a déposées par sédimentation chimique carbonatée, en bancs épais et massifs[2]. Elle est dans le causse de Cubjac, qui, avec le causse de Savignac et le causse de Thenon, forme un ensemble de collines karstifiées dans les calcaires liasiques et jurassiques à l'est de Périgueux jusqu'à Excideuil et Thenon, d'environ 30 km N-S et 15 km O-E, coupé par les vallées de l'Isle, de l'Auvézère et de la Loue.

    Les couches affleurantes sur le territoire communal sont constituées de formations superficielles du Quaternaire et de roches sédimentaires datant pour certaines du Cénozoïque, et pour d'autres du Mésozoïque. La formation la plus ancienne, notée l4, date du Toarcien, composée d'argiles et marnes grises (formation de Tourtoirac), marnes dolomitiques pyriteuses au sommet, parfois calcaires marneux à la base. La formation la plus récente, notée CFp, fait partie des formations superficielles de type colluvions indifférenciées de versant, de vallon et plateaux issues d'alluvions, molasses, altérites. Le descriptif de ces couches est détaillé dans la feuille « no 759 - Périgueux (est) » de la carte géologique au 1/50 000 de la France métropolitaine[3] - [4] et sa notice associée[5].

    Carte géologique de Saint-Martial-d'Albarède.

    Relief et paysages

    Le département de la Dordogne se présente comme un vaste plateau incliné du nord-est (491 m, à la forêt de Vieillecour dans le Nontronnais, à Saint-Pierre-de-Frugie) au sud-ouest (m à Lamothe-Montravel). L'altitude du territoire communal varie quant à elle entre 132 mètres[6] à l'extrême-ouest, là où la Loue quitte la commune et entre sur celle de Saint-Pantaly-d'Excideuil, et 286 mètres[6] tout au sud, au sud du lieu-dit la Gondie[7].

    Dans le cadre de la Convention européenne du paysage entrée en vigueur en France le , renforcée par la loi du 8 août 2016 pour la reconquête de la biodiversité, de la nature et des paysages, un atlas des paysages de la Dordogne a été élaboré sous maîtrise d’ouvrage de l’État et publié en [8]. Les paysages du département s'organisent en huit unités paysagères[Note 1] - [9]. La commune fait partie du Périgord central, un paysage vallonné, aux horizons limités par de nombreux bois, plus ou moins denses, parsemés de prairies et de petits champs[10].

    La superficie cadastrale de la commune publiée par l'Insee, qui sert de référence dans toutes les statistiques, est de 10,28 km2[6] - [11] - [Note 2]. La superficie géographique, issue de la BD Topo, composante du Référentiel à grande échelle produit par l'IGN, est quant à elle de 10,68 km2[4].

    Réseau hydrographique

    La commune est située dans le bassin de la Dordogne au sein du Bassin Adour-Garonne[14]. Elle est drainée par la Loue et par divers petits cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de km de longueur totale[15] - [Carte 1].

    La Loue, d'une longueur totale de 50,87 km, prend sa source dans la Haute-Vienne dans la commune de Saint-Yrieix-la-Perche et se jette dans l'Isle en rive gauche à Coulaures[16] - [17]. Elle traverse la commune d'est en ouest sur trois kilomètres et demi dont 750 mètres servent de limite naturelle, face à Saint-Pantaly-d'Excideuil.

    • La Loue au pont de l'ancienne voie ferrée.
      La Loue au pont de l'ancienne voie ferrée.
    • La Loue au sud du bourg.
      La Loue au sud du bourg.
    • Lavoir sur la Loue.
      Lavoir sur la Loue.
    • Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
      Réseaux hydrographique et routier de Saint-Martial-d'Albarède.

    Gestion et qualité des eaux

    Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Isle - Dronne ». Ce document de planification, dont le territoire regroupe les bassins versants de l'Isle et de la Dronne, d'une superficie de 7 500 km2, a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est l'établissement public territorial de bassin de la Dordogne (EPIDOR)[18]. Il définit sur son territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le [19].

    La qualité des eaux de baignade et des cours d’eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversité[Carte 2].

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[20]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[21].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[20]

    • Moyenne annuelle de température : 12,1 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3,8 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 8,1 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 4] : 15,3 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 5] : 971 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 13 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 7,4 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[24] complétée par des études régionales[25] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « La Coquille », sur la commune de La Coquille, mise en service en 1982[26] et qui se trouve à 24 km à vol d'oiseau[27] - [Note 6], où la température moyenne annuelle est de 11,9 °C et la hauteur de précipitations de 1 199 mm pour la période 1981-2010[28]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Brive », sur la commune de Brive-la-Gaillarde, dans le département de la Corrèze, mise en service en 1987 et à 43 km[29], la température moyenne annuelle évolue de 12,7 °C pour la période 1971-2000[30], à 12,7 °C pour 1981-2010[31], puis à 13,0 °C pour 1991-2020[32].

    Espaces protégés

    La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[33] - [34].

    La commune fait partie du bassin de la Dordogne, un territoire d'une superficie de 24 000 km2 reconnu réserve de biosphère par l'UNESCO en et se situe dans sa « zone de transition »[35].

    Réseau Natura 2000

    Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 7].

    Aucun site Natura 2000 n'a été défini sur la commune[37].

    Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

    Le causse de Cubjac entre les Farges et la Gondie.

    L'inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

    En 2022, aucune ZNIEFF n'est recensée sur la commune d’après l'INPN[38].

    Cependant, une ZNIEFF de type 2[Note 8], le « causse de Cubjac » concerne les coteaux en rive droite de l'Auvézère et ceux en rive gauche de l'Isle et de son affluent, la Loue, sur treize communes, depuis Escoire au sud-ouest jusqu'à Saint-Raphaël au nord-est, et notamment toute une partie sud de la commune s’étendant sur plus de km2, comme le montre la carte du site[39]. L'intérêt majeur de cette ZNIEFF réside dans la présence d'une espèce déterminante de plantes, la Spirée à feuilles de millepertuis (Spiraea hypericifolia subsp. obovata)), et une autre espèce de plantes protégée au titre de la Directive habitats de l'Union européenne, le Poirier à feuilles en cœur (Pyrus cordata)[40].

    Urbanisme

    Typologie

    Saint-Martial-d'Albarède est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 9] - [41] - [42] - [43]. Elle appartient à l'unité urbaine d'Excideuil, une agglomération intra-départementale regroupant 4 communes[44] et 2 419 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[45] - [46]. La commune est en outre hors attraction des villes[47] - [48].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (49,6 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (48,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (46,9 %), zones agricoles hétérogènes (38,2 %), prairies (11,4 %), zones urbanisées (3,4 %)[49].

    L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].

    Prévention des risques

    Le territoire de la commune de Saint-Martial-d'Albarède est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible)[50]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[51].

    Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment la Loue. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1993, 1999, 2007 et 2008[52] - [50].

    Saint-Martial-d'Albarède est exposée au risque de feu de forêt. L’arrêté préfectoral du fixe les conditions de pratique des incinérations et de brûlage dans un objectif de réduire le risque de départs d’incendie. À ce titre, des périodes sont déterminées : interdiction totale du 15 février au 15 mai et du 15 juin au 15 octobre, utilisation réglementée du 16 mai au 14 juin et du 16 octobre au 14 février[53]. En septembre 2020, un plan inter-départemental de protection des forêts contre les incendies (PidPFCI) a été adopté pour la période 2019-2029[54] - [55].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Saint-Martial-d'Albarède.

    Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[56]. Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[57]. 39,9 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (58,6 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national métropolitain)[Carte 4]. Depuis le , en application de la loi ÉLAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 10] - [58].

    La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 1992, 1995 et 2011 et par des mouvements de terrain en 1999[50].

    Toponymie

    Panneau d'entrée dans le bourg.

    La première mention écrite connue du lieu date de 1157 et se réfère à son église (Ecclesia Sancti Martialis quae juxta Castrum Exidolii : « église Saint Martial qui jouxte le château d'Excideuil »)[59] notée dans le cartulaire d'Uzerche[60]. Au siècle suivant apparait Sancti Martialis de Exidolio. La francisation du nom « Saint Martial » apparaît en 1382 et le nom actuel « Saint Martial d'Albarede » en 1732[59].

    Le nom de la commune fait référence à saint Martial, évêque de Limoges au IIIe siècle[59]. La deuxième partie du nom provient de l'occitan albareda signifiant saulaie, lui-même dérivé du latin populaire °albarus correspondant au saule blanc et au peuplier blanc[59].

    En occitan, la commune se nomme Sent Marçau d'Aubareda[61].

    Histoire

    Le site de l'ancienne brasserie Gangloff.

    Le lieu est le site d'un ancien prieuré de l’abbaye Saint-Martial de Limoges[62]. Amblard, abbé de Saint-Martial de Limoges, acquit d'Adhémar III, vicomte de Limoges, aux environs d'Excideuil, une terre qu'il fit planter en vigne et où il fit bâtir une habitation avec une chapelle (1115-1143). En 1157, à la requête de Pierre du Barry, abbé de Saint-Augustin-lès-Limoges, l'évêque de Périgueux, Raymond III de Mareuil (1149-1178) donna à l’abbé Pierre II de Pithiviers et au couvent de Saint-Martial-de Limoges l'église de Saint Martial près du château d'Excideuil[63]. Le toponyme de Layrache a parfois été associé à ce prieuré[64].

    La paroisse faisait partie de la châtellenie d’Excideuil qui appartenait elle-même aux vicomtes de Limoges. Après l'érection de la terre d'Excideuil en marquisat en 1613, Saint-Martial-d'Albarède releva de la mouvance du comte de Périgord, marquis d'Excideuil[65].

    Le château d’Excideuil fit entièrement partie de la commune depuis la Révolution jusqu’en 1863, date de l’agrandissement d'Excideuil (88 hectares) par distraction territoriale sur les communes de Clermont-d'Excideuil, de Saint-Martial-d'Albarède, et de Saint-Médard-d'Excideuil[66].

    Saint-Martial-d’Albarède est connue pour son archéologie industrielle. Le gîte minier du Faureau a été un des principaux centres d’extraction du minerai de fer de la région d’Excideuil[67]. En 1855, la brasserie Gangloff est implantée dans la commune et des fours à chaux y sont construits en 1928[59]. Fonctionnant jusqu'en 1958, ils permettaient la transformation de pierre à chaux en chaux vive qui était expédiée jusqu'à Allassac en Corrèze[59]. Leur classement au titre de l'archéologie industrielle les a préservés de la destruction[59].

    En 1943, un groupe du groupement 28 des Chantiers de la jeunesse française s'est implanté sur le domaine de l'ancien château de Veyrieras[68].

    Politique et administration

    Rattachements administratifs et électoraux

    La commune de Saint-Martial-d'Albarède a, dès 1790, été rattachée au canton d'Excideuil qui dépendait du district d'Excideuil jusqu'en 1795, date de suppression des districts. En 1801, le canton d'Excideuil est rattaché à l'arrondissement de Périgueux[6].

    Dans le cadre de la réforme de 2014 définie par le décret du , le canton d'Excideuil disparaît aux élections départementales de mars 2015[69]. La commune est alors rattachée électoralement au canton d'Isle-Loue-Auvézère.

    En 2017, Saint-Martial-d'Albarède est rattachée à l'arrondissement de Nontron[70] - [71].

    Intercommunalité

    En 2009, Saint-Martial-d'Albarède rejoint la communauté de communes Causses et Rivières en Périgord. Celle-ci est dissoute le et ses communes hormis Savignac-les-Églises qui rejoint Le Grand Périgueux sont rattachées à la communauté de communes du Pays de Lanouaille qui la même année prend le nom de communauté de communes Isle-Loue-Auvézère en Périgord.

    Administration municipale

    La population de la commune étant comprise entre 100 et 499 habitants au recensement de 2017, onze conseillers municipaux ont été élus en 2020[72] - [73].

    Liste des maires

    La mairie.
    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    12 nivôse an I 6 pluviôse an IV Mignot
    6 pluviôse an IV 2 germinal an VII M. Rey
    13 prairial an VIII frimaire an XIII David Guillaume[Note 11]
    ventôse an XIII septembre 1821 Pierre Guilhen-Puylagarde[Note 11]
    septembre 1831 décembre 1831 Pierre-Maurice Pichon-Vendeuil
    1er janvier 1832 4 novembre 1844 Jean David aîné
    5 novembre 1844 27 octobre 1846 Cyprien Pouquet
    28 octobre 1846 5 juillet 1848 Élie Lestang
    6 juillet 1848 8 octobre 1848 Jean Flamen
    9 octobre 1848 14 septembre 1851 Cyprien Pouquet
    15 septembre 1851 6 mars 1852 Mignot
    7 mars 1852 17 juillet 1852 Élie Lestang
    18 juillet 1852 octobre 1860 Jean Rabaud
    octobre 1860 17 septembre 1870 Geoffroy Couvrat-Desvergnes aîné
    18 septembre 1870 20 octobre 1870 Sicaire-Cyprien Pouquet
    21 octobre 1870 mai 1871 Jean-Baptiste Rabaud
    mai 1871 2 mai 1874 Geoffroy Couvrat-Desvergnes
    3 mai 1874 24 février 1878 Jean-Baptiste Rabaud
    25 février 1878 19 mai 1935 Émile Pichon-Vendeuil RG Conseiller général du canton d'Excideuil (1891-1925)
    20 mai 1935 16 octobre 1940 Léopold Sennelier
    17 février 1940 19 janvier 1942 Bardet Adjoint faisant fonctions de maire
    20 janvier 1942 6 juin 1944 Léon Chatain
    10 juin 1944 10 octobre 1944 Jean Guilhem faisant fonctions de maire
    11 octobre 1944 31 octobre 1947 Armand Vacher
    1er novembre 1947 8 mai 1975 Pierre Nicolas
    juin 1975 février 1984 Charles Pagnon PCF Conseiller général du canton d'Excideuil (1970-1984)
    février 1984 mars 2008 Jean Andrieux PCF
    mars 2008[74] mai 2020 Michel Dupuy SE[75] Retraité EDF
    mai 2020 En cours Francis Cipierre

    Juridictions

    Dans le domaine judiciaire, Saint-Martial-d'Albarède relève[76] :

    Politique environnementale

    Dans son palmarès 2022, le Conseil national de villes et villages fleuris de France a attribué une fleur à la commune[77].

    Démographie

    Les habitants de Saint-Martial-d'Albarède sont les Albarédiens[78].

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[79]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[80].

    En 2020, la commune comptait 479 habitants[Note 12], en diminution de 0,21 % par rapport à 2014 (Dordogne : −0,85 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    741654663620763771718795844
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    789725714704676710734707635
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    615588560476476437463449467
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
    447420368377394403438448485
    2015 2020 - - - - - - -
    475479-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[6] puis Insee à partir de 2006[81].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    Emploi

    En 2015[82], parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs représentent 174 personnes, soit 36,6 % de la population municipale. Le nombre de chômeurs (quatorze) a augmenté par rapport à 2010 (neuf) et le taux de chômage de cette population active s'établit à 8,0 %.

    Établissements

    Au , la commune compte trente-six établissements[83], dont dix-sept au niveau des commerces, transports ou services, sept dans la construction, cinq dans l'agriculture, la sylviculture ou la pêche, quatre relatifs au secteur administratif, à l'enseignement, à la santé ou à l'action sociale, et trois dans l'industrie[84].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • Église romane Saint-Martial mentionnée en 1157[59] dans le cartulaire d'Uzerche (Ecclesia Sancti Martialis quae juxta Castrum Exidolii)[60] avec fresques (XVIIIe siècle). Sa cloche en bronze datée de 1726 est classée au titre des monuments historiques depuis 1991[85].
    • Ruine du château de Veyrieras (famille Lestrade de la Cousse).
    • Pavillon de chasse de la Reymondie (début XXe siècle) construit par Jules Secrestat puis occupé par Roger de Puiffe de Magondeaux (1883-1964).
    • Brasserie Gangloff créée par Jean Gangloff en 1855[59] (devenue Anciens établissements Durban).
    • Fours à chaux datant de 1928[59].
    • Chapelle de Liaurou édifiée vers 1885 par la famille Pouquet pour Mgr Charles Gay (1815-1892), évêque d'Anthédon.
    • L'église Saint-Martial.
      L'église Saint-Martial.
    • Les fours à chaux.
      Les fours à chaux.

    Personnalités liées à la commune

    • Ernest Barthez, ou Ernest Barthez de Marmorières (1811-1891), médecin du prince impérial[86], qui résida à Liaurou.
    • Yrieix de Guilhem (1709-1759), fut capitoul de Toulouse[87] en 1754.
    • Louise Martial (1881-1971), écrivain social et propagandiste des droits de la femme.
    • Jules Parrot (1829-1883), médecin, auteur d'ouvrages sur la médecine, était propriétaire du château de la Reymondie[88].
    • Jean Pignon (1893-1989), historien de la Tunisie.

    Héraldique

    Blason de Saint-Martial-d'Albarède Blason
    De gueules à trois peupliers de sinople rangés en fasce sur une terrasse du même, à l'évêque saint Martial de carnation, habillé et crossé d'argent, le manteau et la mitre de pourpre, brochant sur le tout ; au chef d'or chargé de trois mouchetures d'hermine de sable.
    Détails
    Statut officiel, blason présent sur le site de la commune[89].

    Voir aussi

    Bibliographie

    Francis-André Boddart, Saint-Martial-d'Albarède, village du pays d'Excideuil en Haut-Périgord : le paradoxe du pauvre mais bon terroir, 2012, photographies de Francis Cipierre.

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Une unité paysagère est un pan de territoire qui présente des caractéristiques paysagères propres.
    2. La superficie publiée par l’Insee est la superficie évaluée en 1975 par le service du cadastre de la Direction Générale des Impôts, corrigée des modifications communales intervenues depuis 1975. Elle comprend toutes les surfaces du domaine public et privé, cadastrées ou non cadastrées, à l'exception des lacs, étangs et glaciers de plus d'un kilomètre carré ainsi que des estuaires et ne correspond pas obligatoirement à la surface géographique[12] - [13]
    3. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[22].
    4. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    5. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[23].
    6. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    7. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[36].
    8. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    9. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    10. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
      • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
      • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
      • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
    11. Décédé en fonctions.
    12. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    • Cartes
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    Références

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