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Orang-outan

Pongo ‱ Orang-outang

Orang-outan
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Orang-outan de Bornéo, Pongo pygmaeus

Genre

Répartition géographique

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Aires de répartition des trois espÚces d'orang-outan sur les ßles de Sumatra et Bornéo[1] - [2] - [3].

Les Orangs-outans forment un genre (Pongo) appartenant Ă  la super-famille des HominoĂŻdes et Ă  l'infra-ordre des Simiiformes. Ce sont des grands singes diurnes, au pelage clairsemĂ© de couleur rouille Ă  orange foncĂ©, qui comme les autres hominoĂŻdes, ne possĂšdent pas de queue. Ils sont endĂ©miques des forĂȘts tropicales des Ăźles de Sumatra et BornĂ©o, territoires partagĂ©s entre l'IndonĂ©sie et la Malaisie.

Le genre Pongo comprend trois taxons distincts qui se différencient difficilement par leur morphologie mais qui occupent des aires de répartition différentes. Les orangs-outans de Bornéo sont légÚrement plus petits que les deux autres espÚces, orangs-outans de Sumatra et orangs-outans de Tapanuli, qui se répartissent toutes les deux à Sumatra, au nord et au sud du lac Toba. Ce sont les seuls grands singes à ne pas vivre en groupe. Les mùles comme les femelles sont solitaires, mais ces derniÚres peuvent vivre accompagnées de leur petit, qui reste avec elles pendant ses premiÚres années de vie.

SévÚrement menacées par la destruction de leur habitat au profit des activités humaines, les espÚces d'orangs-outans sont toutes les trois classées « en danger critique d'extinction » et font l'objet de programmes de conservation.

DĂ©nominations

Le nom vernaculaire « orang-outan » provient de l'indonĂ©sien et du malais « orang hutan », qui signifie « personne de la forĂȘt » (ou « des bois »)[4] - [5]. Le pluriel du mot en français demeure sujet Ă  discussion[4], la forme traditionnelle du pluriel comprenant deux « s »[6], les orangs-outans[7] ou orangs-outangs[8], tandis que les rectifications orthographiques de 1990 prĂ©conisent de toujours porter la marque du pluriel seulement en fin de mot composĂ©, les orang-outans. Le terme « jocko » Ă©tait utilisĂ© autrefois en français pour dĂ©signer cette espĂšce, mais il est considĂ©rĂ© comme vieilli[9] - [10].

Le nom scientifique du genre « Pongo » provient du kikongo (langue d'Afrique centrale) « mpongi »[11] - [12], un mot qui servait initialement à désigner les gorilles dans cette région africaine, repris par Andrew Battel en anglais, puis par Buffon en français[13] - [14] qui pensait alors que les gorilles et les orangs-outans pouvaient ne former qu'une seule espÚce[15].

Caractéristiques

La taille moyenne des orangs-outans est de 1,10 Ă  1,40 m pour 40 Ă  80 kg. Les mĂąles sont sensiblement plus gros que les femelles, ce qui est une forme de dimorphisme sexuel.

Les orangs-outans peuvent vivre de 30 à 40 ans dans la nature. Nénette, une femelle née vers 1969 à Bornéo et hébergée à la ménagerie du Jardin des plantes de Paris, en est à 54 ans.

Génétique

Une orang-outan

Les orangs-outans intéressent beaucoup les généticiens et les biologistes qui étudient l'histoire évolutive de la lignée humaine, car ils appartiennent à la famille des hominidés. Le caryotype des orangs-outans est diploïde, avec 2n = 48 chromosomes, comme chez les gorilles et les chimpanzés. La taille du génome des trois espÚces d'orangs-outans est comparable à celle de l'espÚce humaine.

Le génome des orangs-outans a été séquencé en [16]. Il fait apparaitre une similarité d'environ 97 % avec le génome humain[17], c'est-à-dire environ 3 % de différences génétiques avec l'espÚce humaine[18]. Le premier séquençage du génome était basé sur un individu femelle captif appelé Susie[16].

Les chercheurs ont également publié des séquençages moins complets de dix orangs-outans sauvages, cinq de Bornéo et cinq de Sumatra. Il a été constaté que la diversité génétique était plus faible chez les orangs-outans de Bornéo (Pongo pygmaeus) que chez ceux de Sumatra (Pongo abelii), bien que ceux de Bornéo soient six ou sept fois plus nombreux que ceux de Sumatra.

Les chercheurs espÚrent que ces données pourront aider à sauver les grands singes en voie de disparition, et s'avéreront également utiles pour une meilleure compréhension des maladies génétiques humaines[16].

Écologie et comportement

Les orangs-outans sont parmi les plus arboricoles des grands singes. Ils passent la majeure partie de leur temps dans les arbres, Ă  la recherche de nourriture. Chaque nuit, ils fabriquent un nouveau nid perchĂ© entre 12 et 18 mĂštres au-dessus du sol, tout comme les chimpanzĂ©s, qui sont toutefois plus terrestres durant la journĂ©e.

RĂ©gime alimentaire

L'animal se nourrit la plupart du temps de fruits, de jeunes pousses, d'Ă©corce, de petits vertĂ©brĂ©s, d'Ɠufs d'oiseaux et d'insectes. VoilĂ  pourquoi Anne Russon (en), qui Ă©tudie l'intelligence des grands singes Ă  l'universitĂ© York, s'est Ă©tonnĂ©e d'observer une nouvelle activitĂ© des orangs-outans vivant autrefois en captivitĂ© et relĂąchĂ©s Ă  BornĂ©o : la pĂȘche.

Sociabilité

L'Orang-outan vit en société à dynamique de fission-fusion.

Les adultes mĂąles sont solitaires durant une grande partie de leur vie mais communiquent par des cris puissants, perceptibles Ă  km au moins, pour marquer leur territoire et peut-ĂȘtre pour appeler les femelles qui sont moins solitaires puisqu'elles accompagnent leurs petits jusqu'Ă  l'Ăąge de 3 ans et demi environ.

Sociabilité sexuelle

DestinĂ©s Ă  tisser des liens et non Ă  se reproduire, des comportements sexuels entre mĂąles avaient parfois Ă©tĂ© observĂ©s dans les zoos. On les a souvent d'abord expliquĂ©s par la captivitĂ© et/ou l'absence de femelle dans un groupe. Mais comme pour de nombreux autres primates, de tels comportements sont aussi observĂ©s en forĂȘt, dans la nature, chez des orangs-outans sauvages. Ce fut le cas par exemple Ă  Sumatra, lors d'Ă©tudes portant sur deux lieux et populations diffĂ©rentes d'Orangs-outans de Sumatra (Pongo abelii)[19]. Ce comportement ne dĂ©coule donc pas d'une privation de libertĂ© en zoo, ni du contact avec des humains. Les chercheurs estiment gĂ©nĂ©ralement qu'il s'agit de comportements agonistiques (Ă©tablissant des relations de dominance et/ou de rivalitĂ©) voire, pour partie, de jeux lors desquels les jeunes apprennent ou testent leur sexualitĂ©.

Agressivité et relations sociales

Bien que les orangs-outans soient généralement paisibles, des agressions entre individus peuvent arriver dans le cadre des rivalités territoriales ou sexuelles. Les mùles non-mûrs courtisent et tentent de mimer des accouplements avec les femelles immatures, qui fuient ces avances : ces « jeux » peuvent parfois devenir agressifs. Préférant s'accoupler avec les mùles mûrs, les femelles adultes repoussent facilement les jeunes prétendants. Ces interactions sociales s'établissent surtout en captivité ou en groupe auprÚs des installations humaines de recueil des jeunes orangs-outans abandonnés, tandis que, dans la vie sauvage, les rencontres sont beaucoup plus rares et les possibilités de fuite plus larges.

Reproduction

Orang-outan de Bornéo, femelle ùgée de 6 mois au zoo de Little Rock.

Le mùle n'est sexuellement mûr qu'entre 7 et 10 ans, ùge auquel il commence à se reproduire. L'orang-outan n'a pas de saison des amours privilégiée. La gestation dure 245 jours. La mÚre donne naissance à un seul petit à la fois. Les jumeaux sont rares. Les naissances sont espacées, avec un intervalle d'environ huit ans en moyenne. Les jeunes orangs-outans voyagent accrochés au dos ou au ventre de leur mÚre pendant plus de deux ans. Pendant un à deux ans aprÚs la naissance, la femelle est tolérée sur le territoire du mùle qui l'a fécondée. Les femelles accordent une grande attention aux jeunes.

Capacités cognitives

Comme les autres grands singes, les orangs-outans sont remarquablement intelligents.

Au milieu des années 1990, une population d'orangs-outans a été observée utilisant réguliÚrement des outils pour s'alimenter[20] - [21]. Cela avait déjà été montré auparavant chez des chimpanzés par Jane Goodall dans les années 1960[22] - [23]

Ils ont aussi, comme les chimpanzĂ©s, les gorilles et peut-ĂȘtre les macaques crabiers, les macaques de Tonkeans et les capucins, la facultĂ© de se reconnaĂźtre dans un miroir[24].

Un article paru dans Science en 2003 apporte des preuves de l'existence d'une culture propre aux orangs-outans[25].

Plus rĂ©cemment, une expĂ©rience conduite par des chercheurs allemands de l'Institut Max-Planck d'anthropologie Ă©volutionniste de Leipzig a permis de mettre en Ă©vidence les capacitĂ©s intellectuelles des orangs-outans. Des chercheurs ont prĂ©sentĂ© Ă  5 orangs-outans femelles de 7, 11, 17 et 32 ans, venant d'un zoo local, une grosse cacahuĂšte flottante sur de l'eau, dans une longue Ă©prouvette verticale transparente fixĂ©e Ă  une paroi. Le niveau d’eau Ă©tait trop bas pour que les singes puissent attraper la cacahuĂšte avec les doigts. Un rĂ©cipient d’eau Ă©tait mis Ă  leur disposition dans la piĂšce. Les orangs-outans ont rapidement compris qu'en prenant de l’eau dans leur bouche pour la recracher dans l’éprouvette, ils feraient monter le niveau de l’eau et pourraient attraper la cacahuĂšte et la manger. Il a fallu 9 minutes en moyenne pour qu’ils le fassent ; Ă  la dixiĂšme expĂ©rience, 30 secondes leur suffisaient pour attraper et manger la friandise. Aucune autre mĂ©thode ne permettait de rĂ©cupĂ©rer et manger la cacahuĂšte[26].

Plus que les expériences en zoo ou en laboratoire, Christophe Boesch[27] suggÚre de s'intéresser à la vie des primates dans leur milieu d'origine. Dans le cas des orangs-outans, la culture outillée a été détaillée par Carel van Schaik et al. Mais une culture animale comprend également des traits comportementaux partagés, une communication efficiente, des conditions de transmission[28]. Les travaux sur l'intelligence et la culture ne se posent plus de façon anthropocentrique comme dans le cas du langage chez Chantek (en) (on a fait apprendre la langue des signes à l'orang-outan Chantek, au chimpanzé Washoe, au bonobo Kanzi et au gorille Koko), mais sur la possibilité de conserver des cultures non-humaines dans les centres de réintroduction et les parcs zoologiques[29].

Aire de répartition du genre en 2005 (en réduction rapide depuis cette date).

Habitat et répartition

Les espÚces de ce genre se rencontrent à Sumatra et à Bornéo, en Indonésie et en Malaisie. Autrefois l'on trouvait également des orangs-outans sur l'ßle de Java.

Classification

Phylogénie des genres actuels d'hominidés, d'aprÚs Shoshani et al. (1996)[30] et Springer et al. (2012)[31] :

Hominidae
Ponginae

Pongo (Orang-outan)


Homininae
Gorillini

Gorilla (Gorille)


Hominini
Panina

Pan (Chimpanzé)


Hominina

Homo (Homme)





La date de la divergence des Ponginae et des Homininae est estimée à 15,5 millions d'années, ce qui les place à un point médian dans l'évolution des Hominoidea. Ceux-ci auraient divergé des Cercopithecoidea il y a environ 25 millions d'années[18] - [32].

EspĂšces

Selon ITIS (23 avril 2018)[33] :

Mais d'autres espÚces éteintes sont connues, quoique certaines formes fossiles soient parfois considérées plutÎt comme des sous-espÚces. Selon BioLib (23 avril 2018)[35] :

  • Pongo devosi (Schwartz & al., 1995) †
  • Pongo duboisi (Drawhorn, 1995) †
  • Pongo javensis (Drawhorn, 1995) †
  • Pongo palaeosumatrensis (Hooijer, 1948) †
  • Pongo weidenreichi (Hooijer, 1948) †

Menaces et conservation

Les espÚces d'orangs-outans sont toutes les trois classées « en danger critique d'extinction » sur la liste rouge de l'Union internationale pour la conservation de la nature (UICN).

EspÚce Statut de conservation UICN Population estimée

(2016 et 2017)

Aires protégées Individus en captivité

(2019)

Orang-outan de Bornéo En danger critique d'extinction 104 700 [36] Indonésie Parc national de Kutai · Parc national du Mont Palung · Parc national de Tanjung Puting · Parc national de Betung Kerihun · Parc national de Bukit Baka Bukit Raya · Parc national du Lac Sentarum · Parc national de Sabangau 479 [37]
Malaisie Parc national de Batang Ai · Parc national de Banjaran Crocker (en)
Orang-outan de Sumatra En danger critique d'extinction 13 800 [38] Parc national du Mont Leuser 264 [39]
Orang-outan de Tapanuli En danger critique d'extinction 800 [40] Réserve naturelle de Dolok Sipirok · Réserve naturelle de Dolok Sibual Buali · Réserve naturelle de Lubuk Raya aucun

Typologie des menaces

Plantation de palmiers Ă  huile en Malaisie. Cette culture menace gravement l'habitat des orangs-outans.
Orangs-outans gardés comme animaux de compagnie (début XXe siÚcle).

La survie des orangs-outans dans la nature est grandement menacée par le développement des activités humaines et en particulier la déforestation, récemment encouragée par les sylvicultures industrielles (exploitation ou surexploitation du bois), le développement de mines et de cultures destinées à produire des biocarburants[41], et l'agriculture (en particulier pour la production d'huile de palme[42] transformée ensuite en biodiesel).

La plupart de ces activitĂ©s responsables de l'accĂ©lĂ©ration de la destruction de leur habitat sont illĂ©gales. Cela touche Ă©galement les parcs nationaux officiellement hors d'atteinte des bĂ»cherons, des mineurs et du dĂ©veloppement des cultures. Certains jeunes orangs-outans sont capturĂ©s pour ĂȘtre illĂ©galement vendus, les braconniers tuent souvent la mĂšre pour voler son bĂ©bĂ©. Taipei, la capitale de TaĂŻwan, compte ainsi beaucoup d'orangs-outans. Au marchĂ© noir, un petit singe se vend aisĂ©ment. En dix ans, un millier de singes sont ainsi devenus des bĂȘtes de cirque ou de compagnie. Or, sur six Ă  huit petits capturĂ©s, un seul survit au choc et au voyage aprĂšs que sa mĂšre a Ă©tĂ© abattue par les braconniers. L’espĂšce est Ă©galement menacĂ©e par le braconnage alimentant le marchĂ© de la viande sauvage et des animaux de compagnie, et les incendies de forĂȘts, souvent volontaires.

Les orangs-outans sont aussi menacés par les zoonoses, maladies transmises par les humains. En sŽapprochant pour faire des photos ou pour leur donner à mange, les humains peuvent leur transmettre des maladies, comme la Covid-19[43].

Entre 1999 et 2015, en 16 ans, la moitié de la population des orangs-outans de Bornéo a disparu[44].

Efforts de conservation

Seul un tiers de la population de l'État de Sabah se trouve dans des zones protĂ©gĂ©es telles que des parcs nationaux et rĂ©serves naturelles, ce qui laisse deux tiers des animaux sans protection et donc plus vulnĂ©rables encore.

Le World Wildlife Fund (WWF) travaille en collaboration avec les autoritĂ©s et d’autres organisations pour la conservation de la nature : son but est d’étendre la superficie des aires protĂ©gĂ©es et d’en crĂ©er de nouvelles, oĂč la chasse et l’exploitation forestiĂšre seront interdites. Le WWF a Ă©galement aidĂ© les autoritĂ©s Ă  faire appliquer les lois qui limitent sĂ©vĂšrement le commerce des orangs-outangs vivants et des produits dĂ©rivĂ©s de ces primates. Lorsqu’un orang-outang est confisquĂ© Ă  un trafiquant, il est confiĂ© Ă  un centre oĂč il est rĂ©habituĂ© Ă  la vie sauvage avant d’ĂȘtre relĂąchĂ© dans un site protĂ©gĂ©.

L'une des rĂ©fĂ©rences scientifiques mondiales dans l'Ă©tude et la protection de l'orang-outan est la primatologue Birutė Galdikas.

L'Orang-outan dans la culture

Orang-outan, photo de Gambier Bolton.
Orang-outang étranglant un « sauvage » par Emmanuel Frémiet, d'aprÚs les récits et gravures de l'expédition Wallace en Insulinde.

Dans la littérature :

Dans les arts plastiques :

  • Ă  la fin du XIXe siĂšcle, un thĂšme Ă  la mode inspire les artistes : celui de l'« affrontement entre l'Homme et la BĂȘte ». La relation par The Times des expĂ©ditions de l'explorateur britannique Alfred Russel Wallace en Insulinde signale l'attaque d'un pisteur malais par un orang-outang furieux. Traduite avec beaucoup d'exagĂ©rations dans la presse continentale, cette anecdote inspire au sculpteur Emmanuel FrĂ©miet son Orang-outang Ă©tranglant un sauvage de BornĂ©o rĂ©alisĂ© en 1895 sur commande du MusĂ©um national d'histoire naturelle. Il s'agit bien d'art et non de science : l'animal est un mĂąle, comme le signalent ses excroissances faciales, et pourtant accompagnĂ© d'un petit (ce qui est l'apanage des femelles en rĂ©alitĂ©) ; en Ă©tranglant le « sauvage » il accomplit un acte aussi impossible (physiquement et Ă©thologiquement) que l'enlĂšvement d'une femme par un gorille, autre thĂšme de l'Ă©poque et sujet d'une autre sculpture de FrĂ©miet. Mais l'art opĂšre, et des gĂ©nĂ©rations de visiteurs de la galerie du MusĂ©um oĂč elle est exposĂ©e, ont Ă©tĂ© horrifiĂ©s par la force Ă©manant de cette Ɠuvre[45].

Au cinéma :

À la tĂ©lĂ©vision :

Aux Ă©checs :

Notes et références

  1. Erik Meijaard (IUCN SSC Wild Pig Specialist Group) et Gabriella Fredriksson, « IUCN Red List of Threatened Species: Pongo tapanuliensis », sur IUCN Red List of Threatened Species, (consulté le )
  2. Erik Meijaard (IUCN SSC Wild Pig Specialist Group) et Melvin Gumal (WCS), « IUCN Red List of Threatened Species: Pongo pygmaeus », sur IUCN Red List of Threatened Species, (consulté le )
  3. Serge Wich (Liverpool John Moores University) et Matthew Nowak, « IUCN Red List of Threatened Species: Pongo abelii », sur IUCN Red List of Threatened Species, (consulté le )
  4. Informations lexicographiques et étymologiques de « orang-outan » dans le Trésor de la langue française informatisé, sur le site du Centre national de ressources textuelles et lexicales
  5. (en) Wayan Jarrah Sastrawan, « The Word ‘Orangutan’: Old Malay Origin or European Concoction? », Journal of the Humanities and Social Sciences of Southeast Asia, vol. 176, no 4,‎ , p. 532–541 (lire en ligne)
  6. « Orang-outan », dans le Dictionnaire de l'Académie française, sur Centre national de ressources textuelles et lexicales
  7. (en) Murray Wrobel, 2007. Elsevier's dictionary of mammals: in Latin, English, German, French and Italian. Elsevier, 2007. (ISBN 0444518770), 9780444518774. 857 pages. Rechercher dans le document numérisé
  8. Meyer C., ed. sc., 2009, Dictionnaire des Sciences Animales. consulter en ligne. Montpellier, France, Cirad.
  9. « Jocko » sur le TLFi.
  10. Trésor de la langue française informatisé, « Jocko », sur stella.atilf.fr
  11. (en) « Origin and meaning of pongo », sur etymonline.com (consulté le )
  12. (en) « Definition of Pongo », sur merriam-webster.com (consulté le )
  13. « Pongo : Étymologie de Pongo », sur cnrtl.fr (consultĂ© le )
  14. Émile LittrĂ©, « Dictionnaire de la langue française », Dictionnaires d'autrefois, sur artflx.uchicago.edu, 1872-1877 (consultĂ© le )
  15. Georges-Louis Leclerc de Buffon et Louis Jean-Marie Daubenton, Histoire naturelle, générale, et particuliÚre, avec la description du Cabinet du Roi, Tome 14, Paris, Imprimerie royale, 1749-1789 (lire en ligne), « Les Orang-outangs ou le Pongo et le Jocko », p. 43
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  18. (en) Chen F.C., Li W.H. (2001) « Genomic divergences between humans and other hominoids and the effective population size of the common ancestor of humans and chimpanzees ». Am J Hum Genet 68, p. 444-56.
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  23. Catherine Vincent, « Que reste-t-il du propre de l'homme ? », sur lemonde.fr, Le Monde,
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  43. « Les selfies mettent en danger les orangs-outans », sur Le Monde des Animaux, (consulté le )
  44. Ana Benabs, « La moitié de la population des orangs-outans de Bornéo a disparu en seulement 16 ans », sur france24.com,
  45. Philippe Dagen, Le Premier Artiste, Romantisme, 1994, volume 24, numéro 84.
  46. Pierre Murat, « Nénette, film français de Nicolas Philibert », Télérama, 3 avril 2010.

Liens externes

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