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Genilac

Genilac est une commune française, qui appartient au dĂ©partement de la Loire en rĂ©gion Auvergne-RhĂ´ne-Alpes. Bâtie sur une colline qui domine la vallĂ©e du Gier, entre Saint-Étienne Ă  l'ouest et Lyon Ă  l'est, et faisant face au massif du Pilat, elle appartient Ă  la bordure orientale des monts du Lyonnais. Avec 3 668 habitants en 2008 contre 3192 en 1999, elle connaĂ®t une forte croissance dĂ©mographique[2]. La proximitĂ© de nombreux rĂ©seaux de transport et sa situation gĂ©ographique Ă  mi-chemin de ces deux villes en font une commune attractive entre ces deux pĂ´les urbains de la rĂ©gion RhĂ´ne-Alpes dont elle devient une banlieue rĂ©sidentielle. La commune actuelle est le rĂ©sultat de l'association en 1973 des communes de Saint-Genis-Terrenoire et La Cula qui jusqu'en 1794 n'en formaient qu'une seule : Saint-Genis-Terrenoire a donnĂ© Geni et La Cula a donnĂ© lac. Ă€ la suite d'un rĂ©fĂ©rendum local, les habitants de Genilac ont choisi de s'appeler les Genilacois et les Genilacoises mais ils n'ont pas acceptĂ© la fusion des communes. Auparavant ils Ă©taient souvent surnommĂ©s les Mouriets en rĂ©fĂ©rence Ă  la mourine ou poussière de charbon dont Ă©taient recouverts les anciens mineurs.

Genilac
Genilac
Le bourg de Genilac.
Blason de Genilac
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Auvergne-RhĂ´ne-Alpes
DĂ©partement Loire
Arrondissement Saint-Étienne
Intercommunalité Saint-Etienne Métropole
Maire
Mandat
Denis Barriol
2020-2026
Code postal 42800
Code commune 42225
DĂ©mographie
Gentilé Genilacois [1]
Population
municipale
3 866 hab. (2020 en diminution de 0,74 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 446 hab./km2
Population
agglomération
375 389 hab. (2020)
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 45° 31′ 59″ nord, 4° 34′ 57″ est
Altitude Min. 255 m
Max. 588 m
Superficie 8,67 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Saint-Étienne
(banlieue)
Aire d'attraction Lyon
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton de Rive-de-Gier
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Genilac
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Genilac
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Genilac
GĂ©olocalisation sur la carte : Auvergne-RhĂ´ne-Alpes
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Genilac

    GĂ©ographie

    Situation

    La Cula (commune de Genilac).

    La commune est situĂ©e au sud du dĂ©partement de la Loire, Ă  km de Rive-de-Gier[3], Ă  43 km au sud-ouest de Lyon[4] et Ă  24 km Ă  l'est de Saint-Étienne[5]. Les habitants de la commune bĂ©nĂ©ficient de la proximitĂ© du rĂ©seau de communications de la vallĂ©e du Gier desservie par la voie ferrĂ©e et de l'autoroute 47:

    Topographie

    • Le territoire communal, d'une superficie de 8,67 km2[6], est localisĂ© au sud-ouest du Plateau lyonnais[7] en bordure du talus qui domine la dĂ©pression du Gier.
    Genilac: le bourg

    Il est dominĂ© au nord par l'escarpement du massif du Châtelard qui appartient Ă  la ligne de crĂŞtes des monts du Lyonnais. Il en rĂ©sulte un fort dĂ©nivelĂ© de 588 mètres d'altitude au nord, Ă  255 mètres[6] au contact du bassin houiller du Gier. L'encaissement des cours d'eau affluents du Gier est un autre caractère du paysage.

    Climat

    Comme dans l'ensemble de la région lyonnaise, le climat à Genilac est de type océanique dégradé selon la classification de Köppen. Il présente cependant un caractère continental assez marqué avec des hivers parfois rigoureux (fortes gelées et chutes de neige épisodiques) et des influences méditerranéennes avec des été ensoleillés et orageux. Le territoire de la commune, située en bordure orientale des monts du Lyonnais, profite d'une position d'abri par rapport aux vents dominants l'ouest. Il est par contre exposé à l'affrontement d'orientation méridienne (nord/sud) des masses d'air continentales et méditerranéennes canalisées par l'encaissement des vallées de la Saône et du Rhône. Il en résulte une grande variabilité du temps qui ne permet pas aux moyennes climatiques de rendre compte de la réalité des intempéries qui s'y succèdent : orages violents et sècheresse de l'été, épisodes neigeux ou gelées succédant à un printemps précoce…

    Relevé météorologique de Rive-de-Gier
    Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
    Température minimale moyenne (°C) 0 1 4 6 10 14 16 16 12 9 4 2 7,9
    Température moyenne (°C) 3 4,5 8,5 12,5 15 19 21,5 21,5 17 13 7 4,5 12,25
    Température maximale moyenne (°C) 6 8 13 15 20 24 27 27 22 17 10 7 16,3
    PrĂ©cipitations (mm) 38,2 34,3 33,1 59,7 59,5 50,8 45,3 50,3 65,2 82,9 67,8 43,3 6 304
    Source : Relevé météo de Rive-de-Gier[8]
    Diagramme climatique
    JFMAMJJASOND
    6
    0
    38,2
    8
    1
    34,3
    13
    4
    33,1
    15
    6
    59,7
    20
    10
    59,5
    24
    14
    50,8
    27
    16
    45,3
    27
    16
    50,3
    22
    12
    65,2
    17
    9
    82,9
    10
    4
    67,8
    7
    2
    43,3
    Moyennes : • Temp. maxi et mini °C • Précipitation mm

    La station météorologique la plus proche est celle d'Andrézieux-Bouthéon. On y observe des températures assez contrastées entre les saisons avec des hivers plus froids et des étés plus chauds que sur les côtes françaises : l'amplitude thermique moyenne entre janvier et juillet est d'environ . Les précipitations sont assez irrégulières tout au long de l'année avec des maxima au printemps et en été. En été, les orages maintiennent les précipitations à un niveau assez élevé.

    Les données[9].

    VilleEnsoleillementPluieNeigeOrageBrouillard
    Paris1 797 h/an642 mm/an15 j/an19 j/an13 j/an
    Nice2 694 h/an767 mm/an1 j/an31 j/an1 j/an
    Strasbourg1 637 h/an610 mm/an30 j/an29 j/an65 j/an
    Genilac2 007 h/an708 mm/an25 j/an29 j/an20 j/an
    Moyenne nationale1 973 h/an770 mm/an14 j/an22 j/an40 j/an

    Urbanisme

    Typologie

    Genilac est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densitĂ© intermĂ©diaire, au sens de la grille communale de densitĂ© de l'Insee[Note 1] - [10] - [11] - [12]. Elle appartient Ă  l'unitĂ© urbaine de Saint-Étienne, une agglomĂ©ration inter-dĂ©partementale regroupant 32 communes[13] et 375 389 habitants en 2020, dont elle est une commune de la banlieue[14] - [15].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Lyon dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 398 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[16] - [17].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (56,4 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (59,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : cultures permanentes (33,4 %), zones urbanisées (25,3 %), zones agricoles hétérogènes (17,1 %), forêts (11,2 %), prairies (5,9 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (4,9 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (2,2 %)[18].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Toponymie

    Issue de la fusion en 1973 de Saint-Genis-Terrenoire et de La Cula. Le nom de la nouvelle commune est formé de (Saint) Geni(s) et La C(ula).

    Le nom de Saint-Genis que l'on trouve aussi sous la forme de Genès ou Genest, assez répandu dans le Lyonnais, provient soit du nom du comédien romain martyrisé sous Dioclétien ou de Genès de Lyon qui y fut évêque au VIIe siècle. Terra Nigra ou « Terre noire » atteste l'ancienneté de l'exploitation superficielle du charbon de terre dans cette partie du Bassin houiller du Gier. La Cula a pour origine un nom d'homme latin Cullius suivi du suffixe -acum.

    Histoire

    • Ce sont les vestiges de l'aqueduc du Gier qui tĂ©moignent de l'occupation du territoire Ă  l'Ă©poque gallo-romaine mais aucune trace d'habitat permanent n'a Ă©tĂ© mise au jour.
    • Le territoire de la paroisse primitive Ă©tait dĂ©limitĂ© par la Durèze, le Feloin et le Gier. Les premiers documents qui attestent l'existence de la paroisse de Sanctus Genesis de Terra Nigra sont du XIIe siècle.
    • Paroisse de l'archidiocèse de Lyon, Saint-Genis-Terrenoire faisait partie au dĂ©but du Moyen Ă‚ge d'une rĂ©gion frontière situĂ©e Ă  la marge occidentale du Saint-Empire romain germanique[19]. Les terres du Royaume des Burgondes Ă©tant revenues en hĂ©ritage Ă  Otton Ier du Saint-Empire, celui-ci fit des chanoines de l'Église de Lyon les suzerains temporels de la ville et des territoires adjacents. FrĂ©dĂ©ric Barberousse, affranchit la ville par la Bulle d'or de 1167 et cĂ©da en mĂŞme temps une grande partie de ses droits suzerains aux archevĂŞques. C'est ainsi qu'entre 1203 et 1226 que Renaud II de Forez, devenu archevĂŞque de Lyon, fit fortifier de nombreux villages ou villes du ComtĂ© de Lyon dont Saint-Genis-Terrenoire (Genilac) afin de les protĂ©ger de diverses menaces extĂ©rieures et montrer sa puissance Ă  ses rivaux et voisins, en particulier, la famille de Roussillon installĂ©e Ă  Riverie et Châteauneuf (Loire).
      Saint-Genis Terrenoire vers 1910 : le château féodal
    • Dès la fin du XIIe siècle, le chapitre de chanoines de Saint-Just de Lyon encourageait l'exploitation du charbon sur le territoire de la paroisse comme le montre un livre terrier datĂ© de 1187[20]. En 1297, la Commanderie des hospitaliers de Chazelles-sur-Lyon avait acquis d'Étienne de Saint-Priest le droit d'exploiter des carrières ou perrières de charbon situĂ©es près d'un chemin entre le bourg et le Reclus (hameau situĂ© aujourd'hui sur la commune de Lorette [21]. En 1448, ces droits furent acquis par le Chapitre de Saint-Just puis rattachĂ©s Ă  l'obĂ©ance de Dargoire[22]. InfluencĂ©s semble-t-il par Jacques CĹ“ur, qui avait au XVe siècle dĂ©veloppĂ© la recherche minière dans les Monts du Lyonnais, les prĂ©lats ont compris l'intĂ©rĂŞt Ă©conomique de ce nouveau combustible qui apporte un profit non nĂ©gligeable malgrĂ© des conditions d'exploitation très prĂ©caires. En 1540, Guillaume Paradin, doyen de Beaujeu et auteur des Annales du Lyonnais et du Beaujolais avait fait de Saint-Genis-Terrenoire le point de dĂ©part de l'extraction de la houille et de la quincaillerie dans la vallĂ©e Gier "Ă€ Saint Genis Terre-noire et Ă  Saint-Chaumont, sont des mines de bon charbon de pierre…"… Mais le principal profict qui vient est des forges, au moyen de quoi est le Gierest fort frĂ©quentĂ© de certaines races de posvres Ă©strangiers forgerons.
      Saint-Genis Terrenoire au début du XXe siècle - Vue générale vers le sud-est.
    • no 1 La rue Saint-Ennemond.
      no 1 La rue Saint-Ennemond.
    • no 2 La rue Ravez et la bascule du poids public.
      no 2 La rue Ravez et la bascule du poids public.

    Politique et administration

    Situation administrative

    Genilac est l'une des 10 communes du canton de Rive-de-Gier qui totalisait 28 855 habitants en 2011. Le canton fait partie de la troisième circonscription de la Loire et de l'arrondissement de Saint-Étienne.

    Genilac fait partie de la juridiction d'instance de Rive-de-Gier et de grande instance ainsi que de commerce de Saint-Étienne.

    Intercommunalité

    • La commune de Genilac adhère Ă  Saint-Étienne MĂ©tropole, un EPCI. Son organisation se rapproche de celle d'une commune. Chaque collectivitĂ© adhĂ©rente dispose d'un nombre de sièges proportionnel au nombre des habitants. Ses compĂ©tences concernent le dĂ©veloppement Ă©conomique, l'amĂ©nagement du territoire, l'enseignement et l'Ă©ducation, les Ă©quipements sportifs et culturels, l'environnement et le cadre de vie, les transports.
    • Le Syndicat intercommunal du pays du Gier[23], est l'hĂ©ritier de la « ConfĂ©rence intercommunale » organisĂ©e par les communes de la VallĂ©e du Gier au cours des annĂ©es 1980. De 13 adhĂ©rents en 1986, la « ConfĂ©rence » se transforme en Syndicat Intercommunal regroupant 23 communes en 1995. Ses missions concernent la promotion du territoire, la vie sociale et culturelle, l'agriculture, le tourisme, l'environnement…

    HĂ©raldique

    Blason de Genilac Blason
    D'azur à la barre d'or, au pampre de vigne fruité de gueules, tigé et feuillé de sinople, brochant sur le tout, au chef cousu de sable chargé de trois crézieux (lampes de mineur à huile et à mèche) d’argent[24] - [25].
    DĂ©tails
    Le blason rappelle la vigne et la mine qui furent dès le Moyen Âge les activités principales du village de Saint-Genis-Terrenoire (Sanctus in terra nigra).

    Administration municipale

    Depuis 1973, date du regroupement entre les communes de La Cula et de Saint-Genis-Terrenoire, Genilac a le statut de Commune associée. Lors des élections municipales, chaque village présente une liste de candidats dont le nombre est proportionnel au % d'habitants dans la population totale. La commune est donc dirigée par un maire et un maire délégué.

    À l'issue des élections municipales de 2014, le conseil municipal compte vingt-sept élus, dont deux au conseil communautaire[26].

    Liste des maires

    Liste des maires de la Cula de 1944 Ă  1972[27]
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1973 1985 Philippe André
    Liste des maires de Saint-Genis-Terrenoire de 1944 Ă  1972[27]
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    Liste des maires de Genilac depuis 1973
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1971 1984 Marcel Suzat
    M. Roux
    juin 1995 mars 2011
    (décès)[28]
    Jean Odin DVD
    mars 2011 mars 2014 Maurice Boyer DVD
    mars 2014 En cours Denis Barriol UDI

    Tendances politiques et résultats

    Résultats pour la commune des scrutins français depuis 2000.
    Élections présidentielles, résultats des deuxièmes tours.
    Année Élu Battu Participation
    2002 % Jacques Chirac RPR % Jean-Marie Le Pen FN % [29]
    2007 % Nicolas Sarkozy UMP % Ségolène Royal PS % [30]
    2012 % François Hollande PS % Nicolas Sarkozy UMP % [31]
    2017 % Emmanuel Macron EM % Marine Le Pen FN % [32]
    2022 % Emmanuel Macron LREM % Marine Le Pen RN % [33]
    Élections législatives, résultats des deux meilleurs scores du dernier tour de scrutin.
    Année Élu Battu Participation
    Genilac est répartie sur plusieurs circonscriptions, cf. les résultats des .
    Avant 2010, Genilac est répartie sur plusieurs circonscriptions, cf. les résultats des .
    2002 45,28 % François Rochebloine UDF 21,89 % Christiane Farigoule PS % [34]
    2007 45,75 % François Rochebloine
    Ă©lu au premier tour
    Nouveau Centre 23,84 % Christiane Farigoule PS % [35]
    Après 2010, Genilac est répartie sur plusieurs circonscriptions, cf. les résultats de .
    2012 % François Rochebloine UDI % Philippe Kizirian PS % [36]
    2017 52,62 % Valéria Faure-Muntian LREM 47,38 % François Rochebloine UDI % [37]
    2022 % % % [38]
    Élections européennes, résultats des deux meilleurs scores.
    Année Liste 1re Liste 2e Participation
    2004 % % % [39]
    2009 % % % [40]
    2014 % % % [41]
    2019 % % % [42]
    Élections régionales, résultats des deux meilleurs scores.
    Année Liste 1re Liste 2e Participation
    2004 % PS % UMP % [43]
    2010 % PS 43,55 % % [44]
    2015 % % % [45]
    2021 % % % [46]
    Élections cantonales, résultats des deux meilleurs scores du dernier tour de scrutin.
    Année Élu Battu Participation
    Genilac est répartie sur plusieurs cantons, cf. les résultats de ceux de .
    2001 % % % [47]
    2004 % Jean-Claude Charvin DVD % Christiane Farigoule PS % [48]
    2008 % % % [49]
    2011 68,13 % Jean-Claude Charvin UMP 31,87 % Robert Heyraud Front national % [50]
    Élections départementales, résultats des deux meilleurs scores du dernier tour de scrutin.
    Année Élus Battus Participation
    Genilac est répartie sur plusieurs cantons, cf. les résultats de ceux de .
    2015 % % % [51]
    2021 % % % [52]
    Référendums.
    Année Oui (national) Non (national) Participation
    1992 % (51,04 %) % (48,96 %) % [53]
    2000 % (73,21 %) % (26,79 %) % [54]
    2005 % (45,33 %) % (54,67 %) % [55]
    Les Ă©lections de 2002
    Les Ă©lections de 2007
    Les Ă©lections de 2012

    Résultats des élections présidentielles

    Les élections législatives

    • Élections lĂ©gislatives de 2002
      • Au premier tour l'UDF, François Rochebloine, arrive en tĂŞte avec 45,28 % des voix exprimĂ©es, suivi par le PS, Christiane Farigoule, avec 21,89 % des voix exprimĂ©es et le FN, Christian Grangis, avec 18,83 % des voix.
      • Au second tour, François Rochebloine, remporte cette Ă©lection avec 63,30 % des suffrages exprimĂ©s, face Ă  36,7 pour la candidate du PS, Christiane Farigoule.
    • Élections lĂ©gislatives de 2007
      • Au premier tour, François Rochebloine, investit par le Nouveau Centre, arrive en tĂŞte avec 45,75 % des voix exprimĂ©es, suivi par Christiane Farigoule (PS), avec 23,84 % des voix.
      • Au second tour, François Rochebloine, remporte l'Ă©lection avec 56,20 % des voix, contre 43,80 % pour Christiane Farigoule.

    Les élections européennes

    Les Ă©lections cantonales

    • Élections cantonales de 2004 : Jean-Claude Charvin Divers droite a remportĂ© cette Ă©lection dès le premier tour avec 53,09 % des suffrages, face au candidat du Parti communiste français, Jean Point avec 46,91 % des voix.
    • Élections cantonales de 2011 (20 et ) [59]
    1. RĂ©sultats du 1er tour (dimanche )

    Avec une participation 48,71 % soit 1213 votants sur 2490 inscrits, les électeurs ont placé en tête Robert HEYRAUD candidat du Front national avec 29,30 % des suffrages exprimés, puis le conseiller sortant DVD Jean-Claude CHARVIN qui a obtenu 27,30 % des suffrages. Ils étaient suivis du candidat socialiste Martial FAUCHET (15,53 % - 186 voix), du communiste Jean POINT (14,19 % - 170 voix), du candidat écologiste Jacques MINNAERT (12,35 % - 148 voix) et du candidat DVD Christian NICOROSI (1,34 % - 16 voix)

    1. RĂ©sultats du second tour (dimanche )

    Avec une participation de 49,88 %, 1 100 suffrages exprimĂ©s soit 89,37 % des votants les habitants de Genilac ont accordĂ© 40,63 % des suffrages Ă  Robert HEYRAUD, Front national et 59,37 % Ă  Jean-Claude CHARVIN, conseiller gĂ©nĂ©ral sortant DVD.

    Les Ă©lections municipales

    Le maire sortant a été battu aux élections municipales de 2014. Denis Barriol a remporté l'élection avec 65,91 % des voix ; il acquiert 23 sièges au conseil municipal dont 2 au conseil communautaire. Le taux de participation est de 69,40 %[26].

    Services publics

    Enseignement

    La commune relève de l'Académie de Lyon. Les écoles sont gérées par l'inspection départementale de l’Éducation nationale de la Loire (département) à Saint-Étienne.

    • L'enseignement primaire est assurĂ© dans quatre Ă©tablissements publics ou privĂ©s sous contrat d'association rĂ©partis sur les trois secteurs de la commune : Le Sardon, Saint-Genis et La Cula.
    • Comme il n' y a pas d'Ă©tablissement d'enseignement secondaire, les Ă©lèves se rendent dans les collèges ou lycĂ©es de Rive-de-Gier et des environs par un service de transport scolaire.

    Transports publics

    Le , Saint-Étienne Métropole a créé une nouvelle ligne, la ligne 79. Cette ligne relie La Cula, Gelay, Tapigneu, Lachal, Verchères, Montellier à Rive-de-Gier en moins de 15 minutes. La ligne fonctionnait du lundi au vendredi de 6 h 50 à 20 h 35 avec 9 allers-retours.

    Le , après une refonte du réseau STAS, la ligne 79 devient la ligne 47 du réseau de Saint-Étienne Métropole. La ligne circule désormais le samedi (jusqu'en 2016).

    Depuis le , après une nouvelle refonte du réseau, la ligne 47 (La Cula - Gare Routière Rive-de-Gier) fusionne avec la ligne 46 (Saint-Martin-la-Plaine - Le Plantier > Gare Routière Rive-de-Gier). Elle gardera l'indice 47. Aujourd'hui, la ligne fonctionne du lundi au vendredi de 6h15 à 19h45 environ.

    Population et société

    Évolution démographique de La Cula (1793-1972)

    Évolution de la population
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    412404386454402422436439452
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    443423423406402404444410404
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    384392371344348336351314335
    (Sources : LdH/EHESS/Cassini[60])

    Évolution démographique de Saint Genis Terrenoire (1793-1972)

    Évolution de la population
    866 1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846
    2 1941 2561 0201 2351 2961 8701 9152 3472 602
    1851 1856 1861 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    2 6712 6712 3062 0401 9502 0161 9141 7401 701
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 7641 5811 5671 5221 5551 5481 4231 3141 528
    1962 1968 - - - - - - -
    1 9962 181-------
    (Sources : LdH/EHESS/Cassini[61])

    Évolution démographique de Genilac (depuis 1972)

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1975. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[62]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[63].

    En 2020, la commune comptait 3 866 habitants[Note 3], en diminution de 0,74 % par rapport Ă  2014 (Loire : +1,48 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016 2020
    2 5332 6082 8603 1043 5633 7633 8803 866
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[61] puis Insee Ă  partir de 2006[64].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 38,2 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (35,0 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 21,0 % la même année, alors qu'il est de 28,4 % au niveau départemental.

    En 2018, la commune comptait 1 987 hommes pour 1 919 femmes, soit un taux de 50,87 % d'hommes, largement supĂ©rieur au taux dĂ©partemental (48,35 %).

    Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[65]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,3
    90 ou +
    0,7
    5,2
    75-89 ans
    6,3
    13,9
    60-74 ans
    15,4
    20,8
    45-59 ans
    19,3
    19,4
    30-44 ans
    22,2
    17,5
    15-29 ans
    15,1
    22,9
    0-14 ans
    20,9
    Pyramide des âges du département de la Loire en 2018 en pourcentage[66]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,8
    90 ou +
    2,2
    7,7
    75-89 ans
    10,9
    17
    60-74 ans
    17,9
    19,6
    45-59 ans
    18,9
    17,8
    30-44 ans
    16,9
    17,8
    15-29 ans
    16,1
    19,3
    0-14 ans
    17

    Économie

    Commerces et services

    Le bourg de Genilac possède des commerces de proximité (boucherie, bar-tabac, boulangerie).

    Agriculture

    Située sur les coteaux du Jarez, l'activité agricole est principalement tournée vers l'arboriculture avec de nombreux vergers.

    Patrimoine

    Patrimoine archéologique : l'aqueduc du Gier

    Des vestiges de l'aqueduc du Gier qui alimentait en eau la ville de Lyon (Lugdunum) Ă  partir des eaux du Gier sont visibles en de nombreux points.

    En particulier, le hameau de Leymieux abrite un vestige rare, témoin du savoir-faire des ingénieurs romains : le réservoir de chasse de la Durèze[67].

    Genilac : le siphon de la Durèze
    Réservoir de chasse de la Durèze.

    Il Ă©tait le dĂ©part d'un ensemble pont-siphon de près de 700 m de longueur et de 80 m de flèche qui permettait Ă  l'eau de traverser la vallĂ©e de la Durèze Ă  travers 9 tuyaux de plomb dont il ne reste aujourd'hui que l'emplacement. Un autre pont-siphon de ce mĂŞme aqueduc est visible Ă  Soucieu-en-Jarrest. Un autre exemple d'aqueduc Ă  double siphon a Ă©tĂ© mis au jour sur le site de la ville romaine d'Aspendos près d'Antalya au sud de la Turquie.

    Patrimoine religieux

    alternative textuelle
    Église de Genilac.
    • Église Saint-Genis de Genilac.
    • L'Ă©glise de Saint-Genis-Terrenoire

    L'église actuelle a été édifiée entre 1841 et 1843. Elle a remplacé une construction qui existait au XVIIe siècle mais démolie malgré plusieurs tentatives de restauration au début du XIXe siècle. Elle est l'œuvre de l'architecte Chambeyron qui a conçu également l'église Saint-Jean de Rive-de-Gier. C'est un édifice représentatif de l'architecture néoclassique très prisée au début du XIXe siècle. La façade avec son fronton et ses pilastres d'angle auxquels répondent les colonnes doriques et ioniques de l'intérieur rappelle un temple grec. Le chemin de croix en plâtre est l'œuvre du sculpteur Joseph-Hugues Fabisch.

    Le bâtiment actuel date du début du XVIIe siècle (1627) et remplace une chapelle plus ancienne bâtie au XIVe siècle pendant la Peste noire. Elle est dédiée à Notre-Dame-des-Douleurs. C'est un pèlerinage local encore vivant. Les murs sont recouverts d'ex-voto antérieurs à la Seconde Guerre mondiale ; une copie de la statue de Notre-Dame de Pitié remplace l'orignal du XVIIIe siècle dérobé en 1974. La chapelle a servi d'église paroissiale jusqu'à l'achèvement en 1867 de l'église de la Cula.

    • Les croix.

    Les anciennes concessions minières

    Elles appartenaient au district central de Rive-de-Gier, sur un territoire délimité approximativement par la Durèze, le Feloin et le Gier. C'est un secteur qui fut exploité dès le XIVe siècle car les couches de charbon affleuraient ; le manque de rigueur et d'organisation dans les travaux, jusqu'à la création des concessions, explique la multiplicité des puits foncés et des accidents dus aux éboulements et inondations.

    • La concession de Gravenand[68] a Ă©tĂ© crĂ©Ă©e par Ordonnance royale du sur une surface de 90 ha, elle a cessĂ© toute activitĂ© en 1944.
    • La concession de la Montagne du Feu[69] a Ă©tĂ© crĂ©Ă©e par Ordonnance royale du . L'exploitation intensive du secteur au XVIIIe siècle a provoquĂ© des inondations dans le secteur proche de la Durèze et dans la partie supĂ©rieure Ă  partir de 1760, un incendie qui a durĂ© près de trente ans, d'oĂą le nom qui lui a Ă©tĂ© attribuĂ©.

    Lieux de mémoire

    • Le monument aux morts :
    • Au lieu-dit le Sardon, une plaque a Ă©tĂ© apposĂ©e en souvenir de Pierre Pouget, responsable du rĂ©seau local Ange dirigĂ© par Maurice Buckmaster du Special Operations Executive. Il est mort Ă  la prison Montluc Ă  Lyon le après avoir Ă©tĂ© arrĂŞtĂ© le [70].

    Vie culturelle et associative

    La vie associative a un rôle important dans l'animation de la commune. Elle est organisée autour de l'OCALE, une association qui fédère les associations locales (Organisme, Culture, Activités sportives, Loisirs et Éducation).

    Les infrastructures

    Ouvert depuis , le centre nautique a été réalisé par 17 des communes adhérentes au Syndicat intercommunal du Pays du Gier[71]. Situé sur la commune de Genilac il est proche de l'échangeur autoroutier du Sardon et de la ville de Rive-de-Gier. Les habitants des communes adhérentes à sa réalisation (Cellieu, Chagnon, Châteauneuf, Dargoire, L'Horme, Genilac, La Grand'Croix, Pavezin, Rive-de-Gier, Saint-Martin-la-Plaine, Sainte-Croix-en-Jarez, Saint-Joseph, Saint-Paul-en-Jarez, Saint-Romain-en-Jarez, La Terrasse-sur-Dorlay, Tartaras, Valfleury), y bénéficient de tarifs préférentiels. Structure de détente et de loisirs, il est aussi largement fréquenté par les scolaires.

    Les activités sportives

    Les Sport collectifs est pratiqué par plusieurs équipes : le Football club de Genilac, le Handball des Pays du Gier[72]. Le CCLS (Centre culturel laïc et sportif) propose des cours de gymnastique, de sports de boules (pétanque et boules lyonnaise). Les sports de raquette sont bien représentés sur la commune : l'association La Jeanne d'Arc de Genilac anime une équipe de tennis de table[73], le tennis club de Genilac dispose de deux courts près de la salle de sports du Féloin et compte 50 licenciés et une école de tennis. Du badminton est proposé par l'association ABG 42 [74].

    MĂ©dias

    Il n'existe pas de média local traitant uniquement de Genilac, excepté le bulletin municipal édité par la mairie.

    Le principal journal régional est le quotidien Le Progrès[75] qui paraît dans le département de la Loire sous le titre La Tribune-Le Progrès ; l'édition Gier-Pilat traite régulièrement de Genilac dans les pages locales. Deux hebdomadaires régionaux La Gazette de la Loire et L'Essor[76] traitent ponctuellement de l'actualité de la commune. L'actualité de la commune est également couverte par le quotidien en ligne Zoom 42[77]. Située face à l'émetteur du Pilat situé au sommet du Crêt de l'Œillon, la commune capte les décrochages régionaux de France 3 Rhône Alpes Auvergne mais ne reçoit pas les émissions de la chaîne locale TL7 Télévision Loire 7[78].

    Cultes

    La commune dispose de trois lieux de culte (culte catholique) : l'église du bourg de Saint-Genis-Terrenoire, l'église de la Cula située au hameau de Tarévieux, la chapelle Notre-Dame-de-Pitié située au bourg de La Cula. Genilac relève de la paroisse catholique de Sainte-Marie-Madeleine en Gier[79] qui est une subdivision du diocèse de Saint-Étienne, lequel relève de la Province ecclésiastique de Lyon. La paroisse de Sainte-Marie-Madeleine en Gier regroupe 10 communes et 15 clochers.

    Personnalités liées à la commune

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Chaperon GĂ©rard, Le Bassin minier de la vallĂ©e du Gier, Actes graphiques, 2004
    • Gardes, Gilbert (sous la direction de), Grande EncyclopĂ©die du Forez et des communes de la Loire : la vallĂ©e du Gier - le Pilat, Éditions Horvarth, 1986, (ISBN 2-7171-0333-3)
    • Houssel Jean-Pierre, Les Monts du lyonnais, La Taillanderie, 2005, (ISBN 2-87629-314-5)
    • Latreille AndrĂ© (sous la direction de), Histoire de Lyon et du Lyonnais, Éditions Privat, 1988, (ISBN 2-7089-4751-6)
    • Plessy Bernard, La Vie quotidienne en Forez avant 1914, Hachette, (ISBN 2-01005672-8)
    • Plessy Bernard, Le Pays du Gier, Éditions lyonnaises d'art et d'histoire, 1996, (ISBN 2 84147 028 8)

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. https://www.habitants.fr/loire-42
    2. La Tribune, le Progrès, no 50 044 du samedi 7 mars 2009, p. 14.
    3. © les contributeurs d’OpenStreetMap, « Distance par la route entre Genilac et Rive-de-Gier », sur le site OpenStreetMap (consulté le ).
    4. © les contributeurs d’OpenStreetMap, « Distance par la route entre Genilac et Lyon », sur le site OpenStreetMap (consulté le ).
    5. © les contributeurs d’OpenStreetMap, « Distance par la route entre Genilac et Saint-Étienne », sur le site OpenStreetMap (consulté le ).
    6. Institut national de l'information géographique et forestière, « Répertoire géographique des communes ».
    7. Houssel Jean-Pierre et Lorcin Marie-Thérèse, Le Plateau lyonnais : coteaux et vallons, Éditions Bellier, Lyon, 2008, p. 15-25. (ISBN 2-84631-174-9).
    8. « Relevé météo de Rive-de-Gier », MSN Météo.
    9. , Ville de référence Saint-Étienne.
    10. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    11. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    12. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    13. « Unité urbaine 2020 de Saint-Étienne », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    14. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    15. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    16. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    17. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    18. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    19. Lacombe Robert, Souvenirs sur Rive de Gier, Société d'ethnographie, 1994
    20. Chaperon Gérard, Le Bassin minier de la vallée du Gier, Actes graphiques, 2004, p. 4-6
    21. Archives départementales du Rhône : 12G893
    22. Archives départementales du Rhône, 12G893
    23. Site officiel du Syndicat intercommunal du Pays du Gier
    24. « GASO la banque du blason », sur www.labanquedublason2.com (consulté le ).
    25. Site de la mairie de Genilac
    26. RĂ©sultats des Ă©lections municipales de 2014
    27. Archives municipales
    28. « Jean Odin, maire de Genilac, est décédé », sur Le Progrès.fr.
    29. Résultats des élections présidentielles de 2002 sur le site du ministère de l’Intérieur.
    30. Résultats des élections présidentielles de 2007 sur le site du ministère de l’Intérieur.
    31. Résultats des élections présidentielles de 2012 sur le site du ministère de l’Intérieur.
    32. Résultats des élections présidentielles de 2017 sur le site du ministère de l’Intérieur.
    33. Résultats des élections présidentielles de 2022 sur le site du ministère de l’Intérieur.
    34. Résultats des élections législatives de 2002 sur le site du ministère de l’Intérieur.
    35. Résultats des élections législatives de 2007 sur le site du ministère de l’Intérieur.
    36. Résultats des élections législatives de 2012 sur le site du ministère de l’Intérieur.
    37. Résultats des élections législatives de 2017 sur le site du ministère de l’Intérieur.
    38. Résultats des élections législatives de 2022 sur le site du ministère de l’Intérieur.
    39. Résultats des élections européennes de 2004 sur le site du ministère de l’Intérieur.
    40. Résultats des élections européennes de 2009 sur le site du ministère de l’Intérieur.
    41. Résultats des élections européennes de 2014 sur le site du ministère de l’Intérieur.
    42. Résultats des élections européennes de 2019 sur le site du ministère de l’Intérieur.
    43. Résultats des élections régionales de 2004 sur le site du ministère de l’Intérieur.
    44. Résultats des élections régionales de 2010 sur le site du ministère de l’Intérieur.
    45. Résultats des élections régionales de 2015 sur le site du ministère de l’Intérieur.
    46. Résultats des élections régionales de 2021 sur le site du ministère de l’Intérieur.
    47. [xls] Résultats des élections cantonales de 2001 sur le site du ministère de l’Intérieur.
    48. Résultats des élections cantonales de 2004 sur le site du ministère de l’Intérieur.
    49. Résultats des élections cantonales de 2008 sur le site du ministère de l’Intérieur.
    50. Résultats des élections cantonales de 2011 sur le site du ministère de l’Intérieur.
    51. Résultats des élections départementales de 2015 sur le site du ministère de l’Intérieur.
    52. Résultats des élections départementales de 2021 sur le site du ministère de l’Intérieur.
    53. Résultats des élections référendaires de 1992 sur le site PolitiqueMania.
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    56. « Vote sur Genilac : présidentielles 2002 », sur annuaire-mairie.fr (consulté le ).
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    60. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : La Culas », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le ).
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    62. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
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    64. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    65. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Genilac (42225) », (consulté le ).
    66. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département de la Loire (42) », (consulté le ).
    67. « GENILAC : Réservoir de chasse du siphon de la Durèze », sur Aqueduc de Gier (consulté le ).
    68. Chaperon Gérard, Le Bassin minier de la vallée du Gier, Actes graphiques, 2004, p. 131-134.
    69. Chaperon Gérard, Le Bassin minier de la vallée du Gier, Actes graphiques, 2004, p. 135-138.
    70. Mémorial de la Résistance Loire, Comité de la Loire de l'ANACR, Saint-Étienne, 1992, p. 60.
    71. Site du Pays du Gier.
    72. Site du Handball des Pays du Gier.
    73. Site de l'association La Jeanne d'Arc de Genilac.
    74. Site de l'association ABG 42.
    75. Site de la paroisse de Sainte-Marie-Madeleine en Gier.
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