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Vanxains

Vanxains [vɑ̃ksɛ̃] est une commune française situĂ©e dans le dĂ©partement de la Dordogne, en rĂ©gion Nouvelle-Aquitaine.

Vanxains
Vanxains
Le bourg de Vanxains, niché dans un vallon.
Blason de Vanxains
HĂ©raldique
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Nouvelle-Aquitaine
DĂ©partement Dordogne
Arrondissement PĂ©rigueux
Intercommunalité Communauté de communes du Périgord Ribéracois
Maire
Mandat
Joëlle Saintmartin
2020-2026
Code postal 24600
Code commune 24564
DĂ©mographie
Population
municipale
690 hab. (2020 en diminution de 1,29 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 19 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 45° 13â€Č 00″ nord, 0° 17â€Č 17″ est
Altitude Min. 52 m
Max. 161 m
Superficie 35,89 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Ribérac
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Ribérac
LĂ©gislatives TroisiĂšme circonscription
Localisation
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Vanxains
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Vanxains
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Vanxains
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Vanxains

    GĂ©ographie

    Généralités

    La commune de Vanxains est située en Ribéracois, à l'ouest du département de la Dordogne. Elle est limitée au sud par la Rizonne qui la sépare de La Jemaye sur plus de cinq kilomÚtres.

    Le bourg de Vanxains, situĂ© en distances orthodromiques cinq kilomĂštres au sud-ouest de RibĂ©rac et douze kilomĂštres Ă  l'est de Saint-Aulaye, est Ă©tabli sur la route dĂ©partementale 708 (l'ancienne route nationale 708). Coupant celle-ci Ă  500 mĂštres au nord du bourg, la route dĂ©partementale 43 traverse latĂ©ralement la commune dans le sens sud-est - nord-ouest. Encore plus au nord, on trouve entre Festalemps et RibĂ©rac la route dĂ©partementale 5 alors qu'Ă  l'extrĂȘme-nord, entre RibĂ©rac et Bourg-du-Bost, la route dĂ©partementale 20 fait une brĂšve incursion sur le territoire communal.

    L'aérodrome de Ribérac - Saint-Aulaye est établi au nord-ouest de la commune, à Tourette.

    Communes limitrophes

    Vanxains est limitrophe de huit autres communes.

    GĂ©ologie

    SituĂ© sur la plaque nord du Bassin aquitain et bordĂ© Ă  son extrĂ©mitĂ© nord-est par une frange du Massif central, le dĂ©partement de la Dordogne prĂ©sente une grande diversitĂ© gĂ©ologique. Les terrains sont disposĂ©s en profondeur en strates rĂ©guliĂšres, tĂ©moins d'une sĂ©dimentation sur cette ancienne plate-forme marine. Le dĂ©partement peut ainsi ĂȘtre dĂ©coupĂ© sur le plan gĂ©ologique en quatre gradins diffĂ©renciĂ©s selon leur Ăąge gĂ©ologique. Vanxains est situĂ©e dans le troisiĂšme gradin Ă  partir du nord-est, un plateau formĂ© de calcaires hĂ©tĂ©rogĂšnes du CrĂ©tacĂ©[1].

    Les couches affleurantes sur le territoire communal sont constituĂ©es de formations superficielles du Quaternaire et de roches sĂ©dimentaires datant pour certaines du CĂ©nozoĂŻque, et pour d'autres du MĂ©sozoĂŻque. La formation la plus ancienne, notĂ©e c5c, date du Campanien 3, une alternance de marnes Ă  glauconie et de calcaires crayo-marneux jaunĂątres. La formation la plus rĂ©cente, notĂ©e CFp, fait partie des formations superficielles de type colluvions indiffĂ©renciĂ©es de versant, de vallon et plateaux issues d'alluvions, molasses, altĂ©rites. Le descriptif de ces couches est dĂ©taillĂ© dans les feuilles « no 757 - RibĂ©rac » et « no 781 - Montpon-MĂ©nestĂ©rol » de la carte gĂ©ologique au 1/50 000 de la France mĂ©tropolitaine[2] - [3] et leurs notices associĂ©es[4] - [5].

    Carte géologique de Vanxains.

    Relief et paysages

    Le dĂ©partement de la Dordogne se prĂ©sente comme un vaste plateau inclinĂ© du nord-est (491 m, Ă  la forĂȘt de Vieillecour dans le Nontronnais, Ă  Saint-Pierre-de-Frugie) au sud-ouest (m Ă  Lamothe-Montravel). L'altitude du territoire communal varie quant Ă  elle entre 52 mĂštres[6] au nord, en bordure de la Dronne qui longe la commune sur moins de 100 mĂštres, et 161 mĂštres[6] Ă  l'est, en forĂȘt de la Double, au sud de la route dĂ©partementale 43, au nord-ouest du lieu-dit les Sions[7].

    Dans le cadre de la Convention europĂ©enne du paysage entrĂ©e en vigueur en France le , renforcĂ©e par la loi du 8 aoĂ»t 2016 pour la reconquĂȘte de la biodiversitĂ©, de la nature et des paysages, un atlas des paysages de la Dordogne a Ă©tĂ© Ă©laborĂ© sous maĂźtrise d’ouvrage de l’État et publiĂ© en [8]. Les paysages du dĂ©partement s'organisent en huit unitĂ©s paysagĂšres[Note 1] - [9]. La commune est dans le RibĂ©racois, une rĂ©gion naturelle possĂ©dant un relief vallonnĂ© avec des altitudes moyennes comprises autour des 130-160 m, sculptĂ© par la Dronne et ses nombreux affluents. Les paysages sont ondulĂ©s de grandes cultures dont les vastes horizons contrastent avec les paysages plus cloisonnĂ©s de la Dordogne[10] - [11].

    La superficie cadastrale de la commune publiĂ©e par l'Insee, qui sert de rĂ©fĂ©rence dans toutes les statistiques, est de 35,89 km2[6] - [12] - [Note 2]. La superficie gĂ©ographique, issue de la BD Topo, composante du RĂ©fĂ©rentiel Ă  grande Ă©chelle produit par l'IGN, est quant Ă  elle de 35,65 km2[3].

    RĂ©seau hydrographique

    La commune est situĂ©e dans le bassin de la Dordogne au sein du Bassin Adour-Garonne[15]. Elle est drainĂ©e par la Dronne, la Rizonne, le ruisseau du Boulanger, le Vindou, le ruisseau de Font Clarou, le ruisseau de Vanxains et par divers petits cours d'eau[Note 3], qui constituent un rĂ©seau hydrographique de 29 km de longueur totale[16] - [Carte 1].

    La Dronne, d'une longueur totale de 200,56 km, prend sa source dans la Haute-Vienne dans la commune de BussiĂšre-Galant et se jette en rive droite de l'Isle — dont elle est le principal affluent — Ă  Coutras en Gironde, au lieu-dit la FourchĂ©e, face Ă  la commune de Sablons[17] - [18]. Un de ses bras borde la commune au nord sur environ 270 mĂštres, face Ă  Comberanche-et-Épeluche.

    La Rizonne, d'une longueur totale de 26,73 km, prend sa source dans la commune de Saint-Vincent-de-Connezac et se jette dans la Dronne en rive gauche en limite de Saint Aulaye-Puymangou et de Bonnes, un kilomĂštre et demi au nord du centre bourg de Saint-Aulaye[19] - [20]. Elle sert de limite naturelle au sud sur six kilomĂštres et demi, face Ă  La Jemaye-Ponteyraud.

    Autres affluents de rive gauche de la Dronne, le ruisseau du Boulanger arrose l'est de la commune sur plus de trois kilomÚtres et demi dont deux kilomÚtres marquent la limite territoriale face à Ribérac, et le Vindou prend sa source dans le nord du territoire communal qu'il baigne sur plus de deux kilomÚtres.

    Affluents de rive droite de la Rizonne, le ruisseau de Vanxains prend sa source au sud-est du bourg et arrose la commune sur quatre kilomĂštres, et le ruisseau de Font Clarou baigne le territoire communal au sud-ouest sur 850 mĂštres.

    • La Rizonne en limite de Vanxains et La Jemaye.
      La Rizonne en limite de Vanxains et La Jemaye.
    • Carte en couleur prĂ©sentant le rĂ©seau hydrographique de la commune
      RĂ©seaux hydrographique et routier de Vanxains.

    Gestion et qualité des eaux

    Le territoire communal est couvert par le schĂ©ma d'amĂ©nagement et de gestion des eaux (SAGE) « Isle - Dronne ». Ce document de planification, dont le territoire regroupe les bassins versants de l'Isle et de la Dronne, d'une superficie de 7 500 km2, a Ă©tĂ© approuvĂ© le . La structure porteuse de l'Ă©laboration et de la mise en Ɠuvre est l'Ă©tablissement public territorial de bassin de la Dordogne (EPIDOR)[21]. Il dĂ©finit sur son territoire les objectifs gĂ©nĂ©raux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualitĂ© dĂ©finis dans le troisiĂšme SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la pĂ©riode 2022-2027, approuvĂ© le [22].

    La qualitĂ© des eaux de baignade et des cours d’eau peut ĂȘtre consultĂ©e sur un site dĂ©diĂ© gĂ©rĂ© par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversitĂ©[Carte 2].

    Climat

    Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[23]. En 2020, la commune ressort du mĂȘme type de climat dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat ocĂ©anique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[24].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 4]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[23]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 12,5 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 1,8 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 7,2 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 5] : 14,9 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation[Note 6] : 935 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 11,6 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 7 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[27] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[28] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Saint-Martin Rib. », sur la commune de Saint-Martin-de-RibĂ©rac, mise en service en 1993[29] et qui se trouve Ă  km Ă  vol d'oiseau[30] - [Note 7], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 13,3 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 914,3 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[31]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche, « Bergerac », sur la commune de Bergerac, mise en service en 1988 et Ă  43 km[32], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 13,2 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[33], Ă  13,1 °C pour 1981-2010[34], puis Ă  13,3 °C pour 1991-2020[35]. Le 20 juin 2022, la commune et les alentours sont fortement frappĂ©s par la grĂȘle et l'orage[36].

    Urbanisme

    Typologie

    Vanxains est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 8] - [37] - [38] - [39].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de RibĂ©rac, dont elle est une commune de la couronne[Note 9]. Cette aire, qui regroupe 24 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de moins de 50 000 habitants[40] - [41].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (61,7 % en 2018), une proportion sensiblement Ă©quivalente Ă  celle de 1990 (63,1 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : forĂȘts (38,1 %), terres arables (29,8 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (29 %), prairies (2,9 %), milieux Ă  vĂ©gĂ©tation arbustive et/ou herbacĂ©e (0,2 %)[42].

    L'Ă©volution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut ĂȘtre observĂ©e sur les diffĂ©rentes reprĂ©sentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et les cartes ou photos aĂ©riennes de l'IGN pour la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[Carte 3].

    Villages, hameaux et lieux-dits

    Outre le bourg de Vanxains proprement dit, le territoire se compose d'autres villages ou hameaux, ainsi que de lieux-dits[43] :

    • Bas Combas
    • le BĂ©arnais
    • la Belaudie
    • Bellevue
    • Bellevue[Note 10]
    • la BĂ©nĂ©chie
    • les Bergeronnettes
    • Boileau
    • la Brangelie
    • au Cantonnier
    • Chambeuil
    • Champagnac
    • Champagne
    • Chancontier
    • la Chapelle
    • le ChĂąteau d'Éloi
    • chez Boget
    • chez Charbonnaud
    • chez Galamard
    • chez Grassiot
    • chez Grimaud
    • chez Jean Gros
    • chez Louis
    • chez Moreau
    • chez PĂ©rier
    • chez Portier
    • chez Sabrier
    • chez Terra
    • chez Terrat
    • chez Vignas
    • Chignac
    • le Claud
    • Combas
    • la Croix des Cigales
    • la Croix du Sauvage
    • Élie Dubois
    • l'Ermitage
    • Farges
    • Font de Goudenne
    • Fouilloux
    • les Gendies
    • la Gilardie
    • GouliĂšre
    • la Grande Épine
    • les GrĂšzes
    • Haut Combas
    • l'HĂ©ritier
    • la Jalerie
    • Javerdhat
    • Laborie
    • Lafarcerie
    • Latisonnie
    • Leybarnie
    • Leygonie
    • le Maine
    • le Masfauren
    • MĂ©tairie Basse
    • le Moulin de l'Audibertie
    • le Moulin de Chignac
    • le Moulin de Lavergne
    • le Moulin de Souterane
    • le Moulin de Tandou
    • les Pailles Blanches
    • le Pauly
    • les Pendants
    • la Pervenche
    • Petit PĂ©rier
    • la Petite Épine
    • la Petite Virade
    • aux Pierres Noires
    • les Pierres Noires
    • le Pont du BĂątard
    • les PrĂ©s de Vanxains
    • le Puy
    • le RĂ©gnac
    • la Rizonne
    • Sarraute
    • Seneuil
    • les Sions
    • le Terme
    • Tourette
    • Tournepige
    • Trenan
    • Trompette
    • la Tuilerie
    • la TuiliĂšre
    • le Tuquet
    • le Verdier
    • Verteillac
    • la Virade
    • la Vieille TuiliĂšre.

    Prévention des risques

    Le territoire de la commune de Vanxains est vulnĂ©rable Ă  diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse), inondations, feux de forĂȘts, mouvements de terrains et sĂ©isme (sismicitĂ© trĂšs faible)[44]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[45].

    Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’ĂȘtre affectĂ©es par le risque d’inondation par dĂ©bordement de cours d'eau, notamment la Dronne et la Rizonne. La commune a Ă©tĂ© reconnue en Ă©tat de catastrophe naturelle au titre des dommages causĂ©s par les inondations et coulĂ©es de boue survenues en 1982, 1983, 1986 et 1999[46] - [44].

    Vanxains est exposĂ©e au risque de feu de forĂȘt. L’arrĂȘtĂ© prĂ©fectoral du fixe les conditions de pratique des incinĂ©rations et de brĂ»lage dans un objectif de rĂ©duire le risque de dĂ©parts d’incendie. À ce titre, des pĂ©riodes sont dĂ©terminĂ©es : interdiction totale du 15 fĂ©vrier au 15 mai et du 15 juin au 15 octobre, utilisation rĂ©glementĂ©e du 16 mai au 14 juin et du 16 octobre au 14 fĂ©vrier[47]. En septembre 2020, un plan inter-dĂ©partemental de protection des forĂȘts contre les incendies (PidPFCI) a Ă©tĂ© adoptĂ© pour la pĂ©riode 2019-2029[48] - [49].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Vanxains.

    Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements diffĂ©rentiels[50]. Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas d’alternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie[51]. 73,6 % de la superficie communale est en alĂ©a moyen ou fort (58,6 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national mĂ©tropolitain)[Carte 4]. Depuis le , en application de la loi ÉLAN, diffĂ©rentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maĂźtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situĂ©s dans une zone classĂ©e en alĂ©a moyen ou fort[Note 11] - [52].

    La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1992, 1995, 1997, 2003 et 2011 et par des mouvements de terrain en 1999[44].

    Toponymie

    En occitan, la commune porte le nom de Vansens[53].

    Anciennes mentions : Vancenx (1226), Avanxens (pouillé du XIIIe siÚcle), Avancenxs (1302), Vanssenis (1459), Avantxanchs (1484)[54].

    Histoire

    Le , lors des guerres de Religion, l’armĂ©e catholique, composĂ©e de six compagnies de gens de pied, de cinq compagnies de gens d'armes, de vingt-trois enseignes de Gascons et d'Espagnols, Ă©tablissait ses bivouacs entre Saint-Aulaye et Vanxains[55].

    Le aprĂšs 22 h, un violent orage de grĂȘle s'abat sur 36 communes du RibĂ©racois, touchant particuliĂšrement RibĂ©rac et Vanxains ; les dĂ©gĂąts matĂ©riels (toitures, vĂ©hicules, etc.) sont trĂšs importants et les cultures (blĂ©, maĂŻs, tournesol) ont Ă©tĂ© hachĂ©es[56].

    Politique et administration

    Administration municipale

    La population de la commune Ă©tant comprise entre 500 et 1 499 habitants au recensement de 2017, quinze conseillers municipaux ont Ă©tĂ© Ă©lus en 2020[57] - [58].

    Liste des maires

    La mairie.
    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    Les données manquantes sont à compléter.
    1804 1808 Jean Chatenet-Duvigneaud
    1808 1811 François Meynard La Plaine Avocat, conventionnel, député de la Dordogne
    1811 1815 Pierre Banaston
    1815 1821 Cezard-Adrien DĂ©auga
    1821 1822 Sicaire-Adolphe Dusolier Secrétaire de mairie
    1822 1824 Mathieu Cheyrade
    1824 février 1825 André-Isaac Gréen de Saint-Marsault Maire de Parcoul
    février 1825 mars 1830 Sicaire-Adolphe Dusolier Secrétaire de mairie
    mars 1830 octobre 1830 B. de Meynard
    octobre 1830 décembre 1840 Jean-Baptiste Léonardon
    décembre 1840 décembre 1865 Martin Courcelle-Labrousse
    décembre 1865 septembre 1870 Joseph Dubut GéomÚtre cantonal
    septembre 1870 mars 1872 LĂ©on LĂ©onardon Notaire
    mars 1872 avril 1873 Raoul du Bois Chevalier de la LĂ©gion d'honneur
    mai 1873 janvier 1878 Anselme Dubesset-Dufraisse
    janvier 1878 mai 1884 Octave LĂ©onardon Notaire
    mai 1884 mars 1902 LĂ©on LĂ©onardon Notaire
    mars 1902 Étienne Barbut Notaire
    André Pichon Propriétaire
    1965 1995 René Beaudout
    juin 1995[59] mars 2016 Gilles Giroux[60] SE[61] Notaire
    mars 2016[62] mai 2020 Bernard Charazac
    mai 2020 En cours Joëlle Saintmartin

    Juridictions

    Dans le domaine judiciaire, Vanxains relĂšve[63] :

    Population et société

    DĂ©mographie

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[64]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2004[65].

    En 2020, la commune comptait 690 habitants[Note 12], en diminution de 1,29 % par rapport à 2014 (Dordogne : −0,85 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 8152 0301 7741 9372 0101 8591 8671 9291 967
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 8341 7791 6601 5931 6021 6261 6251 4771 404
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 3641 3811 2801 0751 0419889641 016872
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
    750641556591665665758763736
    2014 2019 2020 - - - - - -
    699690690------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[6] puis Insee Ă  partir de 2006[66].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Manifestations culturelles et festivités

    En aoĂ»t, fĂȘte des battages (21e Ă©dition en 2019)[67].

    Économie

    Emploi

    En 2015[68], parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs reprĂ©sentent 301 personnes, soit 42,8 % de la population municipale. Le nombre de chĂŽmeurs (cinquante) a fortement augmentĂ© par rapport Ă  2010 (vingt-huit) et le taux de chĂŽmage de cette population active s'Ă©tablit Ă  16,7 %.

    Établissements

    Au , la commune compte soixante-six Ă©tablissements[69], dont vingt-cinq au niveau des commerces, transports ou services, dix-neuf dans l'agriculture, la sylviculture ou la pĂȘche, dix dans la construction, huit relatifs au secteur administratif, Ă  l'enseignement, Ă  la santĂ© ou Ă  l'action sociale, et quatre dans l'industrie[70].

    Équipements, services et vie locale

    Au lieu-dit Seneuil, sur le site de 4,5 hectares d'une ancienne dĂ©charge d'enfouissement des dĂ©chets, une centrale solaire photovoltaĂŻque doit ĂȘtre mise en service fin ; sa production annuelle de 2,2 MWh reprĂ©sente la consommation Ă©lectrique Ă©quivalente Ă  celle de 840 foyers[71].

    • L'Ă©cole.
      L'Ă©cole.
    • La poste.
      La poste.

    Culture locale et patrimoine

    Patrimoine civil

    • Le chĂąteau de la Brangelie.
      Le chĂąteau de la Brangelie.
    • Le chĂąteau Trompette.
      Le chĂąteau Trompette.
    • Maison de l'ArchiprĂȘtrĂ© ou de Sufferte.
      Maison de l'ArchiprĂȘtrĂ© ou de Sufferte.

    Patrimoine religieux

    • Église Notre-Dame
    • La façade et le clocher.
      La façade et le clocher.
    • Vue latĂ©rale.
      Vue latérale.
    • Tour arriĂšre.
      Tour arriĂšre.
    • La nef (en cours de restauration).
      La nef (en cours de restauration).

    Patrimoine naturel

    De par sa position dans la forĂȘt de la Double, la commune reprĂ©sente un grand intĂ©rĂȘt pour la faune et la flore locales. Des zones de protection y sont donc dĂ©limitĂ©es.

    La vallée de la Rizonne fait partie d'un site considéré comme important par le réseau Natura 2000 pour la conservation d'espÚces animales européennes menacées[75].

    On peut notamment y trouver la cistude d'Europe (Emis orbicularis), l'Ă©crevisse Ă  pattes blanches (Austropotamobius pallipes), la loutre (Lutra lutra), le vison (Mustela lutreola), le chabot commun (Cottus gobio) ou encore la lamproie de Planer (Lampetra planeri)[75].

    En limite sud, la commune prĂ©sente une zone naturelle d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) de type 1 : la zone du petit Merlat dans la vallĂ©e de la Rizonne, site marĂ©cageux Ă  la flore diversifiĂ©e[76] - [77].

    Au nord de la commune, la Dronne et ses abords sont Ă  la fois une zone Natura 2000[78] et une ZNIEFF de type 2[79] - [80].

    Personnalités liées à la commune

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Une unité paysagÚre est un pan de territoire qui présente des caractéristiques paysagÚres propres.
    2. La superficie publiĂ©e par l’Insee est la superficie Ă©valuĂ©e en 1975 par le service du cadastre de la Direction GĂ©nĂ©rale des ImpĂŽts, corrigĂ©e des modifications communales intervenues depuis 1975. Elle comprend toutes les surfaces du domaine public et privĂ©, cadastrĂ©es ou non cadastrĂ©es, Ă  l'exception des lacs, Ă©tangs et glaciers de plus d'un kilomĂštre carrĂ© ainsi que des estuaires et ne correspond pas obligatoirement Ă  la surface gĂ©ographique[13] - [14]
    3. Contrairement à ce qu'indique le Sandre, le ruisseau de Courbarieux, affluent de rive gauche de la Rizonne, n'arrose pas la commune de Vanxains située en rive droite à leur confluence.
    4. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[25].
    5. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    6. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[26].
    7. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    8. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    9. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    10. Deux lieux-dits du mĂȘme nom, l'un au nord-est de la commune, en bordure de la route dĂ©partementale 708, l'autre au sud-ouest, entre Combas et le RĂ©gnac.
    11. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
      • au vendeur d'informer le potentiel acquĂ©reur du terrain non bĂąti de l’existence du risque RGA ;
      • au maĂźtre d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maĂźtre d'Ɠuvre, le choix entre fournir une Ă©tude gĂ©otechnique de conception et le respect des techniques particuliĂšres de construction dĂ©finies par voie rĂ©glementaire ;
      • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude gĂ©otechnique de conception, soit de respecter des techniques particuliĂšres de construction dĂ©finies par voie rĂ©glementaire.
    12. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    • Cartes
    1. « Réseau hydrographique de Vanxains » sur Géoportail (consulté le 18 juillet 2022).
    2. « Qualité des eaux de riviÚre et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le )
    3. IGN, « Évolution comparĂ©e de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ).
    4. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )

    Références

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    3. « CaractĂ©ristiques gĂ©ologiques et hydrogĂ©ologiques de la commune de Vanxains », sur le SystĂšme d’information pour la gestion des eaux souterraines (SIGES) en Occitanie (consultĂ© le )
    4. « Notice associĂ©e Ă  la feuille no 757 - RibĂ©rac de la carte gĂ©ologique harmonisĂ©e au 1/50 000 de la France mĂ©tropolitaine », sur Infoterre, le site du BRGM (consultĂ© le )
    5. « Notice associĂ©e Ă  la feuille no 781 - Montpon-MĂ©nestĂ©rol de la carte gĂ©ologique harmonisĂ©e au 1/50 000 de la France mĂ©tropolitaine », sur Infoterre, le site du BRGM (consultĂ© le )
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    8. « Pourquoi un Atlas des paysages du Dordogne ? », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
    9. « Unités paysagÚres de la Dordogne », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
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    15. « Cartographie du bassin Adour-Garonne. », sur adour-garonne.eaufrance.fr (consulté le )
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    17. « Confluence Dronne-Isle à la Fourchée » sur Géoportail (consulté le 19 novembre 2022)..
    18. Sandre, « la Dronne »
    19. « Confluence Rizonne-Dronne au nord-est du lieu-dit Labinaud » sur Géoportail (consulté le 19 novembre 2022)..
    20. Sandre, « la Rizonne ».
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