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Comberanche-et-Épeluche

Comberanche-et-Épeluche est une commune française situĂ©e dans le dĂ©partement de la Dordogne, en rĂ©gion Nouvelle-Aquitaine.

Comberanche-et-Épeluche
Comberanche-et-Épeluche
Le village d'Épeluche.
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Nouvelle-Aquitaine
DĂ©partement Dordogne
Arrondissement PĂ©rigueux
Intercommunalité Communauté de communes du Périgord Ribéracois
Maire
Mandat
Murielle Cassier
2020-2026
Code postal 24600
Code commune 24128
DĂ©mographie
GentilĂ© Comberanchois ou Épluchois
Population
municipale
164 hab. (2020 en diminution de 0,61 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 42 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 45° 16â€Č 24″ nord, 0° 16â€Č 55″ est
Altitude Min. 50 m
Max. 120 m
Superficie 3,93 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Ribérac
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Ribérac
LĂ©gislatives TroisiĂšme circonscription
Localisation
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Comberanche-et-Épeluche
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Comberanche-et-Épeluche
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Comberanche-et-Épeluche
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Comberanche-et-Épeluche

    GĂ©ographie

    Généralités

    La commune de Comberanche-et-Épeluche est situĂ©e dans le quart nord-ouest du dĂ©partement de la Dordogne, en RibĂ©racois.

    La mairie de Comberanche-et-Épeluche — implantĂ©e entre les deux bourgs — est situĂ©e, en distances orthodromiques, cinq kilomĂštres et demi au nord-ouest du centre-ville de RibĂ©rac.

    La commune est desservie à l'ouest par la route départementale (RD) 100 mais elle est accessible principalement en dehors du territoire communal, soit par la route départementale RD 20 au sud ou au sud-ouest, soit par la RD 709 à l'est ou au nord-est.

    Communes limitrophes

    Comberanche-et-Épeluche est limitrophe de quatre autres communes dont RibĂ©rac au sud-est sur 650 mĂštres.

    Communes limitrophes de Comberanche-et-Épeluche
    Allemans
    Bourg-du-Bost Comberanche-et-Épeluche
    Vanxains Ribérac

    GĂ©ologie

    SituĂ© sur la plaque nord du Bassin aquitain et bordĂ© Ă  son extrĂ©mitĂ© nord-est par une frange du Massif central, le dĂ©partement de la Dordogne prĂ©sente une grande diversitĂ© gĂ©ologique. Les terrains sont disposĂ©s en profondeur en strates rĂ©guliĂšres, tĂ©moins d'une sĂ©dimentation sur cette ancienne plate-forme marine. Le dĂ©partement peut ainsi ĂȘtre dĂ©coupĂ© sur le plan gĂ©ologique en quatre gradins diffĂ©renciĂ©s selon leur Ăąge gĂ©ologique. Comberanche-et-Épeluche est situĂ©e dans le troisiĂšme gradin Ă  partir du nord-est, un plateau formĂ© de calcaires hĂ©tĂ©rogĂšnes du CrĂ©tacĂ©[1].

    Les couches affleurantes sur le territoire communal sont constituĂ©es de formations superficielles du Quaternaire datant du CĂ©nozoĂŻque et de roches sĂ©dimentaires du MĂ©sozoĂŻque. La formation la plus ancienne, notĂ©e c5c, date du Campanien 3, une alternance de marnes Ă  glauconie et de calcaires crayo-marneux jaunĂątres. La formation la plus rĂ©cente, notĂ©e CFvs, fait partie des formations superficielles de type colluvions carbonatĂ©es de vallons secs : sable limoneux Ă  dĂ©bris calcaires et argile sableuse Ă  dĂ©bris. Le descriptif de ces couches est dĂ©taillĂ© dans la feuille « no 757 - RibĂ©rac » de la carte gĂ©ologique au 1/50 000 de la France mĂ©tropolitaine[2] - [3] et sa notice associĂ©e[4].

    Carte gĂ©ologique de Comberanche-et-Épeluche.

    Relief et paysages

    Le dĂ©partement de la Dordogne se prĂ©sente comme un vaste plateau inclinĂ© du nord-est (491 m, Ă  la forĂȘt de Vieillecour dans le Nontronnais, Ă  Saint-Pierre-de-Frugie) au sud-ouest (m Ă  Lamothe-Montravel). L'altitude du territoire communal varie quant Ă  elle entre 50 m[5] Ă  l'extrĂȘme ouest, lĂ  oĂč la Dronne quitte la commune et sert de limite entre celles d'Allemans et de Bourg-du-Bost, et 120 m[5] Ă  l'extrĂȘme est, au nord-ouest lieu-dit Clermont, en limite de la commune d'Allemans[6].

    Dans le cadre de la Convention europĂ©enne du paysage entrĂ©e en vigueur en France le , renforcĂ©e par la loi du 8 aoĂ»t 2016 pour la reconquĂȘte de la biodiversitĂ©, de la nature et des paysages, un atlas des paysages de la Dordogne a Ă©tĂ© Ă©laborĂ© sous maĂźtrise d’ouvrage de l’État et publiĂ© en [7]. Les paysages du dĂ©partement s'organisent en huit unitĂ©s paysagĂšres[Note 1] et 14 sous-unitĂ©s[8]. La commune est dans le RibĂ©racois, une rĂ©gion naturelle possĂ©dant un relief vallonnĂ© avec des altitudes moyennes comprises autour des 130-160 m, sculptĂ© par la Dronne et ses nombreux affluents. Les paysages sont ondulĂ©s de grandes cultures dont les vastes horizons contrastent avec les paysages plus cloisonnĂ©s de la Dordogne[9] - [10].

    La superficie cadastrale de la commune publiĂ©e par l'Insee, qui sert de rĂ©fĂ©rence dans toutes les statistiques, est de 3,93 km2[5] - [11] - [Note 2]. La superficie gĂ©ographique, issue de la BD Topo, composante du RĂ©fĂ©rentiel Ă  grande Ă©chelle produit par l'IGN, est quant Ă  elle de 3,98 km2[3].

    RĂ©seau hydrographique

    La commune est situĂ©e dans le bassin de la Dordogne au sein du Bassin Adour-Garonne[14]. Elle est drainĂ©e par la Dronne, l'atier (ou astier) de Comberanche, et par divers petits cours d'eau, qui constituent un rĂ©seau hydrographique de 10 km de longueur totale[15] - [Carte 1].

    La Dronne, d'une longueur totale de 200,6 km, prend sa source dans la Haute-Vienne dans la commune de BussiĂšre-Galant et se jette en rive droite de l'Isle en limite de Sablons et de Coutras en Gironde, aprĂšs avoir traversĂ© 54 communes[16]. Elle traverse le territoire communal sur plus de quatre kilomĂštres du sud-est Ă  l'ouest, formant plusieurs bras et lui servant de limite naturelle sur trois kilomĂštres et demi au sud-est, au sud-ouest et Ă  l'ouest face Ă  RibĂ©rac et Bourg-du-Bost.

    Long de prĂšs de deux kilomĂštres, l'atier de Comberanche est un bras de la Dronne en rive droite sur lequel s'est Ă©tabli le moulin de Comberanche.

    • La Dronne Ă  Épeluche (vue en direction de l'amont).
      La Dronne à Épeluche (vue en direction de l'amont).
    • Idem (vue en direction de l'aval).
      Idem (vue en direction de l'aval).
    • L'atier de Comberanche (bras de la Dronne) au moulin de Comberanche.
      L'atier de Comberanche (bras de la Dronne) au moulin de Comberanche.
    • Carte en couleur prĂ©sentant le rĂ©seau hydrographique de la commune
      RĂ©seaux hydrographique et routier de Comberanche-et-Épeluche.

    Gestion et qualité des eaux

    Le territoire communal est couvert par le schĂ©ma d'amĂ©nagement et de gestion des eaux (SAGE) « Isle - Dronne ». Ce document de planification, dont le territoire regroupe les bassins versants de l'Isle et de la Dronne, d'une superficie de 7 500 km2, a Ă©tĂ© approuvĂ© le . La structure porteuse de l'Ă©laboration et de la mise en Ɠuvre est l'Ă©tablissement public territorial de bassin de la Dordogne (EPIDOR)[17]. Il dĂ©finit sur son territoire les objectifs gĂ©nĂ©raux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualitĂ© dĂ©finis dans le troisiĂšme SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la pĂ©riode 2022-2027, approuvĂ© le [18].

    La qualitĂ© des eaux de baignade et des cours d’eau peut ĂȘtre consultĂ©e sur un site dĂ©diĂ© gĂ©rĂ© par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversitĂ©[Carte 2].

    Climat

    Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[19]. En 2020, la commune ressort du mĂȘme type de climat dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat ocĂ©anique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[20].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 3]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[19]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 12,5 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 3,1 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 8,4 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 4] : 14,9 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation[Note 5] : 861 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 11 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 7,3 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[23] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[24] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Saint-Martin Rib. », sur la commune de Saint-Martin-de-RibĂ©rac, mise en service en 1993[25] et qui se trouve Ă  km Ă  vol d'oiseau[26] - [Note 6], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 13,3 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 914,3 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[27]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche, « Bergerac », sur la commune de Bergerac, mise en service en 1988 et Ă  49 km[28], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 13,2 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[29], Ă  13,1 °C pour 1981-2010[30], puis Ă  13,3 °C pour 1991-2020[31].

    Urbanisme

    Typologie

    Comberanche-et-Épeluche est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trĂšs peu denses, au sens de la grille communale de densitĂ© de l'Insee[Note 7] - [32] - [33] - [34].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de RibĂ©rac, dont elle est une commune de la couronne[Note 8]. Cette aire, qui regroupe 24 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de moins de 50 000 habitants[35] - [36].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (94,1 % en 2018), une proportion identique Ă  celle de 1990 (94,1 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (34,7 %), terres arables (34,2 %), prairies (25,2 %), forĂȘts (5,9 %)[37].

    L'Ă©volution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut ĂȘtre observĂ©e sur les diffĂ©rentes reprĂ©sentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et les cartes ou photos aĂ©riennes de l'IGN pour la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[Carte 3].

    Villages, hameaux et lieux-dits

    Outre les petits bourgs de Comberanche et d’Épeluche proprement dits, le territoire se compose de quelques autres hameaux, ainsi que de lieux-dits[38] :

    • Bernichou
    • Au Claud
    • Clermont
    • les Combes
    • le Fraysse
    • la Marronie
    • la Massinie
    • Mayac
    • les Maynettes
    • Chez Peuchaud
    • la Prairie
    • les Versannes
    • la Vigerie.

    Prévention des risques

    Le territoire de la commune de Comberanche-et-Épeluche est vulnĂ©rable Ă  diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse), inondations, feux de forĂȘts, mouvements de terrains et sĂ©isme (sismicitĂ© faible)[39]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[40].

    Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’ĂȘtre affectĂ©es par le risque d’inondation par dĂ©bordement de cours d'eau, notamment la Dronne. La commune a Ă©tĂ© reconnue en Ă©tat de catastrophe naturelle au titre des dommages causĂ©s par les inondations et coulĂ©es de boue survenues en 1982, 1983, 1993, 1999, 2003 et 2009[41] - [39].

    Comberanche-et-Épeluche est exposĂ©e au risque de feu de forĂȘt. L’arrĂȘtĂ© prĂ©fectoral du fixe les conditions de pratique des incinĂ©rations et de brĂ»lage dans un objectif de rĂ©duire le risque de dĂ©parts d’incendie. À ce titre, des pĂ©riodes sont dĂ©terminĂ©es : interdiction totale du 15 fĂ©vrier au 15 mai et du 15 juin au 15 octobre, utilisation rĂ©glementĂ©e du 16 mai au 14 juin et du 16 octobre au 14 fĂ©vrier[42]. En septembre 2020, un plan inter-dĂ©partemental de protection des forĂȘts contre les incendies (PidPFCI) a Ă©tĂ© adoptĂ© pour la pĂ©riode 2019-2029[43] - [44].

    Carte des zones d'alĂ©a retrait-gonflement des sols argileux de Comberanche-et-Épeluche.

    Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements diffĂ©rentiels[45]. Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas d’alternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie[46]. 73,7 % de la superficie communale est en alĂ©a moyen ou fort (58,6 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national mĂ©tropolitain)[Carte 4]. Depuis le , en application de la loi ÉLAN, diffĂ©rentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maĂźtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situĂ©s dans une zone classĂ©e en alĂ©a moyen ou fort[Note 9] - [47].

    La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 1992, 2005 et 2011 et par des mouvements de terrain en 1999[39].

    Toponymie

    La premiĂšre mention Ă©crite connue d'Épeluche date de 1109 dans le cartulaire de l'abbaye d'Uzerche, sous la forme Speluca, Ă  laquelle ont succĂ©dĂ© Spelucha relevĂ© dans un pouillĂ© au XIIIe siĂšcle, Castrum d'Espelucha en 1226, Vicecomitatus de Speluchia, Espeluchia dans le cartulaire de l'abbaye de La Sauve-Majeure, Plucha en 1365 et Eypeluche en 1760[48]. Sur la carte de Cassini reprĂ©sentant la France entre 1756 et 1789, le village d'Épeluche est identifiĂ© sous le nom d'Epluche[49]. Il proviendrait du latin Spelunca signifiant « grotte » ou « caverne » qui a donnĂ© en occitan local espelucho[50].

    La premiĂšre mention Ă©crite connue de Comberanche date du XIIIe siĂšcle sous la forme L'Espital de Cumba Ayzencha[50], suivie en 1373 de Combayrencha puis en 1380 de Combeyranchia[51]. Le nom est dĂ©rivĂ© de l'occitan comba (« vallon ») ainsi que du latin adjacentia devenu « aisance » en français, signifiant d'abord « les environs » puis au Moyen Âge les dĂ©pendances d'un maison. Comberanche signifierait donc « les environs du vallon » ou les « dĂ©pendances du vallon »[50].

    Le nom actuel de la commune est celui adopté lors de la fusion en 1820 des deux anciennes communes[5].

    En occitan, la commune porte le nom de Combairancha e Espelucha[52].

    Histoire

    Au XIIe siĂšcle, Épeluche Ă©tait le siĂšge d'une vicomtĂ©[50] dont le repaire est mentionnĂ© en 1226 (Castrum d'Espelucha)[48] - [53].

    Comberanche est une ancienne commanderie des Hospitaliers de l'ordre de Saint-Jean de JĂ©rusalem[51]. AprĂšs les croisades, Comberanche devient une Ă©tape importante pour les pĂšlerins en route vers Compostelle[54].

    Au début du XVIIe siÚcle, le chùteau de la Fraisse est pillé et ravagé puis il est incendié en 1683[55].

    En 1820, les communes de Comberanche et d'Épeluche fusionnent sous le nom de Comberanche-et-Épeluche[5].

    Politique et administration

    Rattachements administratifs et Ă©lectoraux

    DĂšs 1790, les communes de Comberanche et d'Épeluche sont rattachĂ©es au canton de RibĂ©rac qui dĂ©pend du district de RibĂ©rac jusqu'en 1795, date de suppression des districts. En 1801, ce canton dĂ©pend de l'arrondissement de RibĂ©rac jusqu'en 1926, date Ă  laquelle ce dernier est supprimĂ© et ses communes rattachĂ©es Ă  l'arrondissement de PĂ©rigueux[5] - [56]. Entre-temps, les deux communes ont fusionnĂ© en 1820 sous le nom actuel.

    Les rattachements de Comberanche-et-Épeluche au canton et Ă  l'arrondissement ne sont pas modifiĂ©s lors de la rĂ©forme cantonale de 2014 applicable lors des Ă©lections dĂ©partementales de mars 2015[57], ni lors de la rĂ©organisation des limites d'arrondissement de janvier 2017[58].

    Intercommunalité

    Comberanche-et-Épeluche a d'abord fait partie de la communautĂ© de communes du RibĂ©racois. Celle-ci est dissoute au et remplacĂ©e au par la communautĂ© de communes du Pays RibĂ©racois, renommĂ©e en 2019 en communautĂ© de communes du PĂ©rigord RibĂ©racois.

    Administration municipale

    La population de la commune Ă©tant comprise entre 100 et 499 habitants au recensement de 2017, onze conseillers municipaux ont Ă©tĂ© Ă©lus en 2020[59] - [60].

    Liste des maires

    La mairie Ă  Comberanche en 2010.
    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    Les données manquantes sont à compléter.
    1925 1927 Manuel Matoses
    1989 mars 2014 Serge Olivier SE[61] Retraité VRP
    mars 2014[62]
    (réélue en mai 2020)
    En cours Murielle Cassier

    Équipements et services publics

    Justice

    Dans le domaine judiciaire, Comberanche-et-Épeluche relùve[63] :

    Population et société

    DĂ©mographie

    Les habitants de Comberanche-et-Épeluche se nomment les Comberanchois ou les Épluchois[64].

    DĂ©mographie d'Épeluche

    Jusqu'en 1820, les communes de Comberanche et d'Épeluche Ă©taient indĂ©pendantes.

    Évolution dĂ©mographique d'Épeluche
    1793 1800 1806
    177175169
    (Source : Ldh/EHESS/Cassini[56])

    DĂ©mographie de Comberanche, puis de Comberanche-et-Épeluche

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[65]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2007[66].

    En 2020, la commune comptait 164 habitants[Note 10], en diminution de 0,61 % par rapport à 2014 (Dordogne : −0,85 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    219199190331367344329340339
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    334301309271292288251268249
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    241233237213219201222190169
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    177161142128130120169176166
    2017 2020 - - - - - - -
    168164-------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[5] puis Insee Ă  partir de 2006[67].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Manifestations culturelles et festivités

    Économie

    Emploi

    En 2015[69], parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs reprĂ©sentent 74 personnes, soit 44,6 % de la population municipale. Le nombre de chĂŽmeurs (dix) a lĂ©gĂšrement diminuĂ© par rapport Ă  2010 (onze) et le taux de chĂŽmage de cette population active s'Ă©tablit Ă  13,3 %.

    Établissements

    Au , la commune compte dix-huit Ă©tablissements[70], dont neuf au niveau des commerces, transports ou services, trois dans l'agriculture, la sylviculture ou la pĂȘche, trois dans la construction, deux dans l'industrie, et un relatif au secteur administratif[71].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • L'Ă©glise Saint-Jean-Baptiste de Comberanche datant du XIIe – XIIIe siĂšcle. Ancienne chapelle de la commanderie des Hospitaliers de Saint-Jean de JĂ©rusalem, elle est inscrite au titre des monuments historiques depuis 1981[54] - [72].
    • L'Ă©glise Notre-Dame d'Épeluche date du XIIe siĂšcle[73].
    • Au sud de la route principale, logis de l'ancienne commanderie des Hospitaliers de Saint-Jean de JĂ©rusalem de Comberanche, mentionnĂ©e au XIIIe siĂšcle[74] - [75].
    • Au nord de la route principale, un autre logis des Hospitaliers de Saint-Jean de JĂ©rusalem, puis des chevaliers de l'ordre de Malte, pourrait dater du XIVe siĂšcle[76].
    • Le moulin de Comberanche[77].
    • Le moulin d'Épeluche[78].
    • L'Ă©glise Saint-Jean-Baptiste de Comberanche.
      L'Ă©glise Saint-Jean-Baptiste de Comberanche.
    • L'Ă©glise Notre-Dame d'Épeluche.
      L'Ă©glise Notre-Dame d'Épeluche.
    • La commanderie de Comberanche (logis sud).
      La commanderie de Comberanche (logis sud).
    • La commanderie de Comberanche (logis nord).
      La commanderie de Comberanche (logis nord).
    • Le moulin de Comberanche.
      Le moulin de Comberanche.
    • Fontaine-lavoir d'Épeluche.
      Fontaine-lavoir d'Épeluche.

    Pour approfondir

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Une unité paysagÚre est un pan de territoire qui présente des caractéristiques paysagÚres propres.
    2. La superficie publiĂ©e par l’Insee est la superficie Ă©valuĂ©e en 1975 par le service du cadastre de la Direction GĂ©nĂ©rale des ImpĂŽts, corrigĂ©e des modifications communales intervenues depuis 1975. Elle comprend toutes les surfaces du domaine public et privĂ©, cadastrĂ©es ou non cadastrĂ©es, Ă  l'exception des lacs, Ă©tangs et glaciers de plus d'un kilomĂštre carrĂ© ainsi que des estuaires et ne correspond pas obligatoirement Ă  la surface gĂ©ographique[12] - [13]
    3. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[21].
    4. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    5. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[22].
    6. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    7. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    8. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    9. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
      • au vendeur d'informer le potentiel acquĂ©reur du terrain non bĂąti de l’existence du risque RGA ;
      • au maĂźtre d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maĂźtre d'Ɠuvre, le choix entre fournir une Ă©tude gĂ©otechnique de conception et le respect des techniques particuliĂšres de construction dĂ©finies par voie rĂ©glementaire ;
      • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude gĂ©otechnique de conception, soit de respecter des techniques particuliĂšres de construction dĂ©finies par voie rĂ©glementaire.
    10. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    • Cartes
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