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Schule am Meer

Schule am Meer (« École au bord de la mer »), en hébreu : בית ספר ליד הים, également connu sous l'accronyme SaM, est un internat privé progressif mixte à orientation holistique situé sur l'île de la Frise orientale de Juist, situé entre la mer des Wadden et la mer du Nord, dans l'État libre de Prusse dans le Reich allemand.

Logotype de la Schule am Meer.

Issu du Jugendbewegung (« mouvement de jeunesse ») et basĂ© sur l'Ă©ducation nouvelle (en allemand : Reformpädagogik), il est une Landerziehungsheim (de) (« maison d'Ă©ducation rurale ») qui n'est pas destinĂ©e Ă  ĂŞtre une institution d'enseignement mais un lieu d'apprentissage et de vie ainsi qu'une patrie pour les Ă©lèves.

Le concept d'établissements d'enseignement privé, dont les élèves viennent principalement de familles de la grande bourgeoisie (en allemand : Grossbürgertum) et de la noblesse, diffère de celui des écoles publiques. Ces maisons parentales sont la plupart du temps d'orientation libérale, socialiste ou communiste, certaines d'entre elles sont d'origine juive.

Fondation privée

Élèves et professeurs, printemps 1928.

L'internat est géré par la fondation de la Schule am Meer (de), une fondation privée dont le conseil d'administration est composé de l'éducateur suisse Rudolf Aeschlimann (de)18_février_1884_à_[[Berthoud|Burgdorf]],_[[Suisse]]._1-0">[1], du peintre autrichien Fritz Hafner (de)17_décembre_1877_à_[[Vienne_(Autriche)|Vienne]],_[[Autriche-Hongrie]]._2-0">[2], originaire de Vienne, de l'industriel allemand, collectionneur d'art et mécène de l'art Alfred Hess (en)[3], originaire d'Erfurt en Thuringe, de l'éducateur progressif Martin Luserke8_mai_1880_à_Berlin._4-0">[4], originaire de Berlin, de la sociologue Else Jaffé[5], née Freiin von Richthofen, originaire de Lorraine, et du chimiste Paul Reiner (de)Dr_Paul_Reiner,_né_le_3_février_1886_à_Nuremberg._6-0">[6] - [7], originaire de Nuremberg en Franconie.

Aeschlimann, Hafner, Luserke et Reiner sont des professeurs Ă  la SaM et comptent parmi les fondateurs de l'Ă©cole. La fondation est cofinancĂ©e par l'État prussien[8] - [9] - [10]. Cependant, la plupart des fonds proviennent du conseil d'administration, des parents des Ă©lèves via le paiement des frais de scolaritĂ©, de dons monĂ©taires ou de contributions en nature[11]. La plupart des instruments de musique pour l'orchestre et les differents ensembles de l'internat sont donnĂ©s par Robert Wichard Pohl22_avril_1932._12-0">[12]. Un piano Ă  queue Steinway fut Ă©galement donnĂ© par Anni Reiner (de)27_fĂ©vrier_1891_Ă _[[Francfort-sur-le-Main]]._13-0">[13] - 11_mars_1932._14-0">[14], l'Ă©pouse de Paul Reiner.

École de plein air

DĂ©pliant de 4 pages, 1931.

Schule am Meer fut la première école progressiste d'Allemagne à s'installer sur une île en mer[15]. Elle est considérée comme la première école de plein air allemande régulière, qui, de la 5e à la 13e année, conduit à l'obtention du diplôme du baccalauréat (Abitur ou Reifeprüfung)[16].

En raison de son statut de plein air, l'internat Schule am Meer a parfois Ă©tĂ© choisi par les parents d'enfants et de jeunes souffrant de problèmes de santĂ©, comme le fils de Paul Distelbarth, Hagen (1918–1941)24_juin_1918_Ă _[[SmrĹľovka|Morgenstern]]_près_de_[[Jablonec_nad_Nisou|Gablonz_an_der_NeiĂźe]],_[[BohĂŞme]],_fils_de_l'agriculteur_[[Paul_Distelbarth]],_Rittelhof,_[[Wurtemberg]]._17-0">[17], ou l'asthme bronchique, maladie dont a souffert l'alpiniste autrichien et Ă©lève Ă  la SaM Ulrich Sild (1911–1937) de Vienne, bachelier en mars 19314_juin_1911_Ă _[[Vienne_(Autriche)|Vienne]],_fils_de_l'avocat_Dr_Hans_Sild_et_l'alpiniste_[[:Cenzi_Sild]] [[:de:Cenzi_Sild|(de)]][[CatĂ©gorie:Article_contenant_un_appel_Ă _traduction_en_allemand]],_Vienne._18-0">[18].

Le directeur de l'internat, Luserke, a proposé une éducation « avec l'aide de la mer »: « Erziehung durch die See »[19]. Il a notamment navigué avec plusieurs dériveurs, des croiseurs dériveurs, dont un à moteur, des bateaux à rames et des canoë-kayaks. Les élèves ont appris les signaux flottants (photos dans le dépliant de quatre pages de cet article) et opéré la protection des dunes.

Salle de théâtre autonome

1929: Planification du projet Schule am Meer par l'architecte berlinois Bruno Ahrends (en). Seule la salle de spectacle (à droite, derrière le bâtiment résidentiel adjacent de grande hauteur prévu) a pu être réalisée pendant la Grande Dépression.
Élèves et enseignants lors de la construction de la salle de théâtre de SaM (de), 1930.
Lors de la construction de la salle de spectacle de SaM (de), en fin d'été ou automne 1930.
Élèves et enseignants dans la scène de la salle de théâtre de SaM (de), 1931.

Après de grands efforts de la part des élèves, de leurs parents et des sponsors de l'internat, ainsi qu'une subvention de 25 % du ministère prussien de l'éducation dirigé par Adolf Grimme, la fondation de l'internat (de) réussit à construire son propre théâtre en 1930–31 au milieu de la Grande Dépression[8]. C'est la seule salle de théâtre autonome d'une école en Allemagne[20].

Selon Preussisches Staatsministerium fĂĽr Wissenschaft, Kultur und Volksbildung et le Zentralinstitut fĂĽr Erziehung und Unterricht (de) (« Institut central d'Ă©ducation et d'instruction ») Ă  Berlin, la salle de spectacle Ă©tait Ă©galement destinĂ©e Ă  former des professeurs de théâtre amateurs dans tout le Reich allemand[21] - [22].

La scène est libre dans l'espace et pouvait être jouée de tous les côtés. Cela différencie le concept des étapes professionnelles de l'époque. Le principal Luserke a inclus la galerie, les couloirs et l'auditorium dans sa chorégraphie[23]. Les représentations théâtrales des élèves et des enseignants étaient ouvertes au public et payantes. Elles étaient basées sur des pièces de Shakespeare, Molière, Goethe, Lessing, Schiller, Hans Sachs et d'autres grands auteurs.

Parfois, plus de cent acteurs ont joué sur scène ou dans la salle de spectacle, par ex. lorsque la chorale et l'orchestre de l'internat jouent ensemble (photo dans le dépliant de quatre pages de cet article)[24] - [25]. Les groupes de théâtre amateur de Luserke et le chœur et l'orchestre d'Eduard Zuckmayer se sont produits dans tout le Reich[26] - [27] - [28] - [29].

L'érudit littéraire, musicologue et critique Hans Mayer décrit en 1979 à l'ancien professeur de SaM et musicologue Kurt Sydow (de): « Je peux confirmer de ma propre expérience exactement ce que vous écrivez sur les interprétations de Shakespeare par Luserke avec ses [SaM] élèves. Les [élèves de SaM] sont également venus à Cologne vers la fin des - si lointaines - années 1920. Ils ont joué « La Nuit des rois » alors et c'était exactement comme vous l'écrivez. Je n'ai jamais vu le beau travail plus gracieux et serein. Chaque représentation depuis lors, y compris une représentation au Festival de Salzbourg, doit pâlir en comparaison. Le canon « Tais-toi, chien » était irrésistible. Jeunesse et grâce toujours dans l'impolitesse. Dans les théâtres, cela devient toujours une routine scénique, ou plus récemment ce que les dramaturges intellectuels considèrent comme populaire… »[26].

L'écrivain et dramaturge Carl Zuckmayer a qualifié l'internat Schule am Meer de « culturellement au plus haut niveau allemand »[30].

L'étudiant invité français Dominique Picard (né en 1914 à Lyon) de Nancy a publié son évaluation: « …le charme particulier et la grande valeur de l'école au bord de la mer consistent dans l'établissement de les Kameradschaften (de)[31], dans le travail pratique, dans le sérieux avec lequel l'art est servi ici et dans l'importance accordée à l'art tout au long du cursus de l'école. […] Il faut espérer que de plus en plus d'écoles de type de Schule am Meer seront bientôt fondées dans tous les pays. »[32]

Le bâtiment du théâtre autonome et l'autre grand bâtiment restant Arche, le bâtiment résidentiel des lycéens et de la famille d'enseignants Reiner aujourd'hui sont dus à la démolition[33].

Théâtre multilingue et cours avec des locuteurs natifs

Élèves et enseignants costumés dans la salle de spectacle autonome (de), construite en 1930-1931 par le célèbre architecte juif de Berlin Bruno Ahrends (en), 1931.

Il a reçu le soutien d'élèves et d'enseignants invités seniors d'Angleterre, de France et des États-Unis[32] - 14_juillet_1914_à_[[Lyon]],_fils_de_l'ingénieur_Jean_Picard,_Nancy,_Meurthe-et-Moselle,_France._Élève_invité_à_''Schule_am_Meer''_avant_9_juillet_1930._34-0">[34] - 19_février_1911_à_[[Saint-Etienne]],_fils_de_l'ingénieur_[[Louis_Crussard]],_Nancy,_Meurthe-et-Moselle,_France._Élève_invité_à_''Schule_am_Meer''_à_compter_du_27_juillet_1929_jusqu'à_8_septembre_1929._35-0">[35] - 19_février_1911_à_Saint-Etienne,_fils_de_l'ingénieur_Louis_Crussard,_Nancy,_Meurthe-et-Moselle,_France._Élève_invité_à_''Schule_am_Meer''_à_compter_du_27_juillet_1929_jusqu'à_8_septembre_1929._36-0">[36] - 15_décembre_1912_à_Nancy,_fils_de_l'entrepreneur_Emile_France-Lanord_(1879–1931),_Nancy,_Meurthe-et-Moselle,_France._Élève_invité_à_''Schule_am_Meer''_à_compter_du_20_juin_1931_jusqu'à_16_juillet_1931._37-0">[37] - 30_septembre_1909_à_New_York_City,_États-Unis._Étudiant_invité_à_''Schule_am_Meer''_à_compter_du_24_juin_1932_jusqu'à_28_août_1932._38-0">[38], notamment pour des cours de langue et des pièces de théâtre, ces dernières étant jouées en allemand, anglais et français[39].

Le principal Martin Luserke et son adjoint Paul Reiner (de), qui ont tous deux servi comme sous-officiers en France pendant la Première Guerre mondiale, ont initié l'invitation d'étudiants français, bien que le directeur ait été grièvement blessé en France et ait eu la tête marquée à vie et ait été prisonnier de guerre au dépôt des prisonniers de guerre à Montauban dans le département du Tarn-et-Garonne[40] - [41].

En dépit d'être des concurrents, il y avait aussi un certain soutien parmi les écoles progressistes de tout le Reich allemand, un échange temporaire d'étudiants et d'enseignants ainsi que des visites de classes supérieures pour des discussions d'actualité comme de Karl-Marx-Schule (de), dirigé par l'éducateur progressiste Fritz Karsen (de)[42]. Parmi les autres visiteurs, il y avait l'éducateur protestant progressiste Bernhard Hell (de) avec ses élèves4_juin_1929._43-0">[43].

Science, art, artisanat et sport d'Ă©gale importance

Contrairement à la plupart des écoles publiques, elle met un accent particulier sur la formation de ses élèves aux arts visuels et du spectacle, aux sports[44], à l'artisanat et au jardinage[45] - [46]. Il considérait également les matières scientifiques, artistiques et sportives comme d'égale valeur[47] - [48]. Les élèves et les enseignants ont aménagé 30 aquariums marins dans le département des sciences, environ onze jardins potagers pour l'agriculture de subsistance et un jardin botanique[49].

Aménagement paysager et préparation de la construction, 1930.
Travailler sur des pièces en bois, 1931.
Performance sur scène dans la salle de spectacle autonome (de) de SaM, 1931.

« A second offshot from Wickersdorf [se rĂ©fĂ©rant Ă  Freie Schulgemeinde (de), le communautĂ© scolaire libre de Wickersdorf Ă  proximitĂ© de Saalfeld en ForĂŞt de Thuringe] is Luserke's Schule am Meer, another Free School Community, established some five years ago on the low-lying sandy island of Juist in the North Sea just opposite Bremen's harbor. The founder and leader of the school, Martin Luserke, is especially distinguished for his work and his writings in the juvenile drama. In the simplest of settings and with sincere artistry he leads his pupils to lose themselves or find themselves in the spirit of a play and to give their own interpretation of a character or a mood. But his school is more than a children's theater. It is also a place for hard duty and practical work. Boys and girls must be of Spartan mold to face the austerity of life in the "School by the Sea," [sic] where every member of the community labors at his share of necessary chores even when winter storms sweep the surrounding ocean and threaten the security of the island dwellers. Perhaps it is their very intimacy with primitive forces which makes it easier for Luserke's pupils to present dramas of vitality and simple beauty. Although Luserke is a product of the Youth Movement, he is not one of the extremists who encourage youth to create its own cultural forms without reference to classical traditions. Sometimes his pupils write their own dramas, occasionally he writes a play for them, but more often they turn to folk festivals, old mystery plays, to short pieces by Hans Sachs, or to the dramas of Schiller, Lessing, Goethe, and Shakespeare, when they plan a production for their theater. Luserke emphasizes creative acting rather than original writing. Within the limitations of the school theater he sees rich opportunities for children and young people to discover the essential beauty of dramatic masterpieces and to unfold their own emotions and abilities in re-living human experiences from other times and places. Music, the dance, and the arts of color, form, and design, all contribute to the beauty of the plays Luserke presents, but never does he forget that it is the human voice and figure which are the soul of the drama. At the Schule am Meer all plays are innocent of theatricalism and untouched by the cheap effects of a commercialized stage. »

— Richard Thomas Alexander (en)/Beryl Parker, 1929[50]

Le professeur Eduard Zuckmayer (en) dirige certains membres de l'orchestre du pensionnat depuis son clavecin, 1931.
Le professeur Rudolf Aeschlimann (de) (à droite, regarder le photographe) écoute les élèves faire de la musique dans les dunes, vers 1930.

Le pensionnat a existé du début mai 1925 à la fin mars 1934 et a rapidement acquis une certaine réputation nationale[51], entre autres grâce à son orchestre et à son chœur, tous deux fondés et dirigés par le plus talentueux pianiste concertiste, compositeur, maestro et professeur de musique Eduard Zuckmayer (en), mais aussi grâce à ses pièces de théâtre[52] - [53] - [54] - [55] - [56] - [57] - [58] - [59].

Son jeune frère, l'écrivain et dramaturge Carl Zuckmayer a travaillé temporairement à Schule am Meer où une de ses pièces a fait ses débuts en 1931, avant sa première officielle à Dresde[60] - [61] - [62] - [63].

Le peintre allemand Christian Rohlfs était l'un des délégués syndicaux de la Schule am Meer ont fourni à la SaM des œuvres originales afin qu'ils puissent les étudier. Walter Kaesbach (de), directeur de l'Académie des beaux-arts de Düsseldorf était l'un des délégués syndicaux de la Schule am Meer et, à l'occasion d'un voyage d'étude, a personnellement guidé les étudiants de SaM à travers une exposition de peinture moderne à Düsseldorf et une autre du sculpteur et graveur allemand Wilhelm Lehmbruck à Duisbourg. Alfred Hess (de), membre de la fondation Schule am Meer et mécène le plus important, il a même fourni à l'internat des originaux de sa collection d'art pour une exposition dans la salle de dessin, y compris des œuvres de Marc Chagall, Lyonel Feininger, Wassily Kandinsky, Paul Klee, Wilhelm Lehmbruck, Franz Marc, Otto Mueller, Heinrich Nauen, Emil Nolde, Max Pechstein et Christian Rohlfs[64].

Liberté de hiérarchie

Les voiliers sont retirés du hangar à bateaux de l'internat dans le cadre d'un effort de collaboration, 1929.

La Schule am Meer pratiquait la « démocratie de base » avec une tendance aux structures non hiérarchiques. Les élèves et les enseignants étaient considérés comme égaux en droits et en devoirs. Les élèves ont activement contribué à façonner les leçons[65]. Tous les individus de la Schulgemeinde (« communauté scolaire »), qui a agi en tant que « conseil législatif » de l'internat, ont participé à un processus de prise de décision partagé. Les Kameradschaften (de)[31], les subdivisions de la communauté étaient formées d'une dizaine d'élèves d'âge et de sexe différents, sans aucun lien avec les classes. En tant que chef de chaque Kameradschaft, un enseignant était qualifié de primus inter pares et était adressé soit par son prénom, soit par son surnom, ce dernier étant parfois une abréviation ou une cacographie du nom de famille de l'enseignant. Ces Kameradschaften ont été nommées ours, taureaux10_mai_1932._66-0">[66], dauphins[67], poulains24_mai_1932._68-0">[68], phoques[69], pingouins28_novembre_1931._70-0">[70], pinnipèdes, vautours12_mai_1932._71-0">[71] et loups24_mai_1933._72-0">[72] - [73], ont créé leurs logos et ont élevé leurs propres fanions. Les Kameradschaften se sont avérées similaires à une structure de type familial[31], à partir de laquelle la plupart des amitiés durables entre de nombreux élèves et enseignants ont émergé.

Fermeture définitive en mars 1934

L'hampe du SaM avec le drapeau de l'internat et jusqu'à neuf ou dix fanions des Kameradschaften (de) différentes symbolisaient la communauté scolaire, vers 1932.

L'internat a été fermé au cours de la « Gleichschaltung » nazie et de l'antisémitisme d'État. L'expulsion des élèves et des enseignants juifs en 1933/34 a été menée par les insulaires, qui avaient dénoncé l'internat comme une « école juive » depuis sa fondation en 1925, même si les juifs n'étaient qu'une minorité[74]. Toutes les filles devaient également quitter l'internat, les nazis voulaient abolir la mixité dans toutes les écoles et ne pas permettre aux deux sexes de vivre ensemble dans un internat[75]. Plusieurs élèves et leurs parents ainsi que certains enseignants ont dû émigrer de l'Allemagne nazie en raison de poursuites politiques ou antisémites. Ils sont allés en Amérique du Nord et du Sud, en Afrique du Sud, en Palestine mandataire, en Espagne, en France, en Angleterre, en Suisse et ailleurs, où plusieurs d'entre eux ont pu faire une carrière pertinente dans l'industrie, les sciences, les arts, la photographie ou dans le journalisme. Tous ont fait passer le mot et ont partagé leurs souvenirs d'un tableau unique[76].

Personnes apparentées

La liste suivante se concentre sur les personnes apparentées d'importance encyclopédique :

  • Rudolf Aeschlimann (de) (1884–1961), appelĂ© « Aeschli », professeur suisse de français, gĂ©ographie et histoire, primus inter pares du Kameradschaft (de)[31] des loups et SaM parent18_fĂ©vrier_1884_Ă _[[Berthoud|Burgdorf]],_[[Suisse]]._1-1">[1]. En 1906, avec Paul Geheeb, August Halm (de), Martin Luserke et Gustav Wyneken, il fut l'un des premiers hommes et enseignants Ă  fonder la Freie Schulgemeinde (de) (= CommunautĂ© scolaire libre) de Wickersdorf près de Saalfeld en ForĂŞt de Thuringe. Avec Fritz Hafner (en), Martin Luserke et Paul Reiner (de), Rudolf Aeschlimann Ă©tait l'un des sĂ©cessionnistes qui ont fondĂ© Schule am Meer en 1925. Ă€ partir d'octobre 1924, il Ă©tait membre du conseil d'administration de la fondation de SaM. GĂ©rant d'affaires Ă  Wickersdorf de 1917 Ă  1925, il Ă©tait aussi le gĂ©rant Ă  Juist de 1925 Ă  1934 et le cultivateur de terrain sablonneux[77]. Son fils Wolfgang Aeschlimann, nĂ© le Ă  Saalfeld, Thuringe, Ă©tait Ă©lève de SaM1er_fĂ©vrier_1923_Ă _Saalfeld,_[[Thuringe]],_fils_d'enseignant_[[:Rudolf_Aeschlimann]] [[:de:Rudolf_Aeschlimann|(de)]][[CatĂ©gorie:Article_contenant_un_appel_Ă _traduction_en_allemand]],_Juist._78-0">[78] ;
  • Bruno Ahrends (en) (1878–1948), Regierungsbaumeister (= bâtisseur de gouvernement), architecte berlinois Ă  succès et SaM parent. En 1929, il a conçu le bâtiment de théâtre autonome et d'autres bâtiments avoisinant pour SaM, dont seule la salle de spectacle a pu ĂŞtre rĂ©alisĂ©e 1930-31 pendant la Grande DĂ©pression. Il a permis Ă  l'un de ses fils, Gottfried Bruno (nĂ© le Ă  Steglitz près de Berlin), d'aller Ă  Schule am Meer26_fĂ©vrier_1917_Ă _[[Berlin-Steglitz|Steglitz]],_fils_de_bâtisseur_de_gouvernement_[[:Bruno_Ahrends]] [[:en:Bruno_Ahrends|(en)]][[CatĂ©gorie:Article_contenant_un_appel_Ă _traduction_en_anglais]],_Berlin._79-0">[79] ;
  • Klaus Philipp Bamberger (de) (1920–2008), SaM Ă©colier[80] - [81] - [82]. Il quitta l'internat en dĂ©cembre 1933 avec sa camarade Maria Becker après que les jeunesses hitlĂ©riennes (HJ) leur eurent rendu la vie difficile par l'exclusion et la discrimination[83]. Il est allĂ© dans un pensionnat archi-conservateur pour garçons Ă  Saint-Gall en Suisse. Après cela, il est allĂ© dans un lycĂ©e technique francophone Ă  Neuchâtel, dans lequel il a Ă©tĂ© comparĂ© par un enseignant Ă  l'ancien Ă©lève Rudolf Hess et cela a Ă©tĂ© dĂ©gradĂ©[84]. Via Le Havre Klaus a emigrĂ© aux États-Unis Ă  l'âge de 17 ans[85]. LĂ , il a Ă©tĂ© persuadĂ© de changer son prĂ©nom allemand Klaus en Claude. Il a attribuĂ© le fait qu'il Ă©tait capable de joindre les deux bouts Ă  l'Ă©tranger dans sa jeunesse Ă  sa formation indĂ©pendante Ă  Schule am Meer[81] ;
  • Otto Bamberger (de) (1885–1933), industriel, social-dĂ©mocrate (SPD), collectionneur d'art et mĂ©cène d'art. Le SaM parent a permis aux deux enfants, Ruth (nĂ©e le Ă  Lichtenfels, Haute-Franconie) et Klaus (nĂ© le Ă  Bamberg), d'aller Ă  Schule am Meer14_octobre_1914_Ă _[[Lichtenfels_(Bavière)|Lichtenfels,_Haute-Franconie]],_fille_de_fabricant_[[:Otto_Bamberger]] [[:de:Otto_Bamberger|(de)]][[CatĂ©gorie:Article_contenant_un_appel_Ă _traduction_en_allemand]],_Lichtenfels,_Haute-Franconie._86-0">[86] - 23_septembre_1920_Ă _[[Bamberg]],_fils_de_fabricant_Otto_Bamberger,_Lichtenfels,_Haute-Franconie._87-0">[87]. Selon les informations publiĂ©es par les Archives principales de l'État Ă  Weimar, l'industriel est considĂ©rĂ© comme le plus grand facilitateur du « Bauhaus »[88] - [89], dont sa villa « Sonnenhaus (de) » a Ă©tĂ© complètement meublĂ©e (placards, buffet, Ă©quipement de cuisine, accessoires, rideaux, moquette, meubles encastrĂ©s, applique murale, Ă©clairages plafonnier, lampadaire, coussinets, bois de lits, les couvertures, les chaises, les sofas, les tables etc.) par le designer du « Bauhaus » Erich Dieckmann (de) et ses collègues comme Wilhelm Wagenfeld[90]. En raison de son origine juive et de son affiliation au Parti social-dĂ©mocrate (SPD), Otto Bamberger a Ă©tĂ© interrogĂ© par la SA lors d'un voyage d'affaires Ă  Francfort-sur-le-Main en 1933 et a Ă©tĂ© illĂ©galement dĂ©tenu Ă  « Schutzhaft » pendant environ une semaine. Après l'intervention de sa femme Henriette, nĂ©e Wolff (1891–1978), et avec l'aide d'un lieutenant de la police de Francfort qui a agi avec humanitĂ© et professionnalisme, il a pu rentrer chez lui au bout d'une semaine, bien qu'il soit devenu un homme brisĂ© avec une grave dĂ©pression. Quelques mois plus tard, il mourut d'une crise cardiaque dans un sanatorium de Baden-Baden Ă  l'âge de 48 ans[91] - [92] - [93]. Martin Luserke a annoncĂ© sa mort Ă  son fils de 12 ans, Klaus Bamberger (de)[83] ;
  • Otto Bartning (en) (1883–1959), architecte de Bauhaus, SaM parent. Il a permis Ă  sa fille, Marianne (nĂ©e le Ă  Berlin), d'aller Ă  Schule am Meer27_octobre_1910_Ă _Berlin,_fille_de_l'architecte_[[:Otto_Bartning]] [[:en:Otto_Bartning|(en)]][[CatĂ©gorie:Article_contenant_un_appel_Ă _traduction_en_anglais]],_Berlin._94-0">[94] ;
  • Maria Becker (1920–2012), SaM Ă©colière. Elle n'avait pas de relation Ă©troite avec ses parents, tous deux souvent absents en raison de leurs nombreuses apparitions sur scène et au cinĂ©ma. Elle Ă©tait donc principalement soignĂ©e par sa grand-mère Fanny Fein, nĂ©e SĂĽssermann[95]. Son père de substitution est devenu son oncle, le traducteur autrichien Franz Fein (de) (1896–1947)[96], dont les publications ont Ă©tĂ© interdites dans l'État nazi[97]. Ă€ l'Ă©cole, Maria Becker s'est distinguĂ©e de son père mal-aimĂ©, Theodor Becker, en signant le nom de sa mère Maria Fein. Maria Becker a dĂ©crit sa scolaritĂ© Ă  Schule am Meer comme le « moment le plus heureux » de sa vie. « Les enseignants nous ont pris au sĂ©rieux, les enfants, et les ont soutenus de toutes les manières imaginables. Cette expĂ©rience m'a laissĂ© une profonde impression »[98]. Ce pensionnat lui a enlevĂ© sa solitude et lui a donnĂ© un sentiment de libertĂ©; les enseignants traitaient les Ă©lèves de la mĂŞme manière. La première pièce dans laquelle Maria Becker est apparue a Ă©tĂ© dramatisĂ©e par Martin Luserke et mise en musique par Eduard Zuckmayer (en), qui a donnĂ© des cours de piano Ă  Maria Becker[99]. Sous le Troisième Reich, elle Ă©tait considĂ©rĂ©e comme une « mĂ©tisse juive du premier degrĂ© » ou « demi-juive (en) ». Comme toutes les autres filles, elle a dĂ» quitter SaM en 1933-34 parce que les nazis n'autorisaient pas la mixitĂ© et la vie commune des sexes dans un internat[100] - [101]. Ă€ partir des annĂ©es 1970, elle et son SaM camarade Klaus Bamberger (de) (1920–2008), du mĂŞme âge qui a Ă©migrĂ© en 1938, ont repris contact et vacances ensemble sur l'Ă®le de Nantucket en Massachusetts, ce qui lui rappelait Juist[102] - [103] ;
  • Theodor Becker (1880–1952), acteur allemand. Le SaM parent, en seconde mariage mariĂ© d'actresse Maria Fein (1892–1965), a emmenĂ© avec lui sa deuxième fille, Christine Becker, lorsqu'il s'est sĂ©parĂ© de sa femme et l'a dĂ©sormais appelĂ©e Theodora « Thea » Becker[104]. Sa fille aĂ®nĂ©e, Maria Becker (1920–2012), n'Ă©tait pas en bons termes avec son père Ă  cause de la sĂ©paration conjugale et surtout de la sĂ©paration d'avec sa petite sĹ“ur bien-aimĂ©e Christine[105]. Theodor Becker a visitĂ© l'Ă®le de Juist et Schule am Meer et a regardĂ© de loin sa fille aĂ®nĂ©e Maria Becker jouer dans les dunes sur la plage de la mer du Nord. Cependant, il ne l'a pas rencontrĂ©e et ne lui a pas parlĂ©. Sa fille ne l'a appris que plus tard par SaM professeur Erne Wehnert (1900–1985)[99]. Theodor Becker en quatrième mariage avait Ă©tĂ© mariĂ© Ă  l'actrice allemande Helma Seitz (en) (1913–1995) depuis 1934. Ce mariage se termina par un divorce en 1937. Maria Becker a une demi-sĹ“ur issue de ce mariage, l'actrice Renate Becker (de) (nĂ©e en 1935). Elle avait une autre demi-sĹ“ur issue du première mariage (1926) de son père ;
  • Max Bondy (de) (1892–1951), Ă©ducateur progressif, fondateur des internats allemand, suisse et amĂ©ricain, cf. Windsor Mountain School (en) et un SaM parent. Sa fille Annemarie (nĂ©e le Ă  Vienne) a Ă©tĂ© brièvement transfĂ©rĂ©e de Landerziehungsheim Schule Marienau (de) Ă  Schule am Meer en 1932, mais n'y est restĂ©e qu'un peu plus de quatre mois avant de retourner Ă  Marienau27_aoĂ»t_1918_Ă _[[Vienne_(Autriche)|Vienne]],_fille_de_principal_[[:Max_Bondy]] [[:de:Max_Bondy|(de)]][[CatĂ©gorie:Article_contenant_un_appel_Ă _traduction_en_allemand]],_Marienau._106-0">[106]. Le noble SaM Ă©lève Oswald zu MĂĽnster (de) a dĂ©mĂ©nagĂ© Ă  Landerziehungsheim Schule Marienau après la fermeture dĂ©finitive de l'internat Schule am Meer fin mars 1934 pour y faire son bac (Abitur)[107] ;
  • Le noble Herbert von Borch (de) (1876–1961) Ă©tait un diplomate allemand dĂ©ployĂ© en Asie de l'Est. Il a dirigĂ© la commission allemande avec le consul Kurt Schirmer (de) (1877–1930) et le vice-consul Wilhelm Wagner (1884–1949) Ă  PĂ©kin, qui a nĂ©gociĂ© le traitĂ© de paix spĂ©cial entre la Chine et l'Allemagne conclu le après la Première Guerre mondiale. Pendant que son fils Ă©tait Ă  Schule am Meer sur l'Ă®le de Juist, il fut conseiller d'ambassade Ă  Tokyo Ă  partir de 1925 et envoyĂ© de 1ère classe (ambassadeur) Ă  PĂ©kin Ă  partir de 1928 ;
  • Herbert von Borch (de) (1909–2003), secessioniste de Freie Schulgemeinde (de) (= CommunautĂ© scolaire libre) de Wickersdorf en ForĂŞt de Thuringe en 1925p. A3._108-0">[108], SaM bachelier (mars 1928)17_novembre_1909_Ă _[[Shantou|Swatow]],_fils_de_diplomate_[[:Herbert_von_Borch]] [[:de:Herbert_von_Borch_(Diplomat)|(de)]][[CatĂ©gorie:Article_contenant_un_appel_Ă _traduction_en_allemand]]_109-0">[109], est issu de la noblesse de Magdebourg[110]. Il a Ă©tudiĂ© Ă  Berlin, Francfort-sur-le-Main et Heidelberg chez Karl Jaspers et Alfred Weber. Il a obtenu son doctorat en 1933. La sociologie et l'histoire ont Ă©tĂ© ses principaux centres d'intĂ©rĂŞt tout au long de sa vie. Ă€ partir de 1933, il travaille comme journaliste, de 1935 Ă  1939 comme correspondant Ă©tranger Ă  Rome. Ă€ partir de juin 1944, il travaille comme rĂ©fĂ©rent au plĂ©nipotentiaire de Reich allemand pour le gouvernement italien[111]. En 1949, il a fondĂ© un pĂ©riodique de politique Ă©trangère, qu'il a publiĂ© jusqu'en 1998 avec des hommes politiques allemands de divers partis, dont les anciens chanceliers Kurt Georg Kiesinger et Helmut Schmidt. L'Ă©dition en anglais s'intitulait German Foreign Affairs Review[112]. Entre 1953 et 1956, il a Ă©crit les Ă©ditoriaux de politique Ă©trangère pour le Frankfurter Allgemeine Zeitung (FAZ). De 1956 Ă  1965, il est correspondant Ă  l'Ă©tranger du quotidien Die Welt aux États-Unis basĂ© Ă  Washington, D.C. En 1966, il devient correspondant amĂ©ricain du SĂĽddeutsche Zeitung. Ă€ la fin des annĂ©es 1970, il retourne en Allemagne. L'hebdomadaire Der Spiegel le dĂ©crit comme l'un des plus brillants observateurs de la scène amĂ©ricaine[113]. Le Deutsches Allgemeines Sonntagsblatt (de) a classĂ© ses rapports politiques quotidiens et ses analyses sociologiques des États-Unis « parmi les meilleurs que la presse allemande ait jamais Ă©crits sur l'AmĂ©rique ». L'hebdomadaire Die Zeit le dĂ©crit comme « un grand connaisseur de l'AmĂ©rique »[114]. Der Tagesspiegel: « Pour toute une gĂ©nĂ©ration d'Allemands, il a façonnĂ© leur image des États-Unis d'une manière comprĂ©hensible, imaginable et comprĂ©hensible avec ses vastes analyses et rapports sociologiques »[115] ;
  • Gerhard Bry (de) (1911–1996), SaM bachelier (mars 1930)29_juin_1911_Ă _Berlin,_fils_de_pharmacien_Isaac_Bry,_Berlin._116-0">[116] qui a commencĂ© Ă  Ă©tudier le droit Ă  Heidelberg (1930) et Ă  Berlin (Ă  partir de 1931). En raison de son activitĂ© politique dans la clandestinitĂ© communiste dans l'organisation marxiste « Org. » / « Neu Beginnen » il a dĂ» abandonner ses Ă©tudes après l'arrivĂ©e au pouvoir des nazis[117] - [118] - [119] - [120]. En 1936, il Ă©migre avec sa future Ă©pouse Thea Hackelberg (après changement de nom: Thea Henkin) d'abord Ă  Londres et de lĂ  en 1938 aux États-Unis[121] - [122]. Pendant la Seconde Guerre mondiale, Bry a fourni Ă  son compagnon marxiste Robert Havemann des cargaisons de nourriture et des publications scientifiques[123] ;
  • Heinrich Cordes (de) (1866–1927) a travaillĂ© au service Ă©tranger du ministère fĂ©dĂ©ral des Affaires Ă©trangères en tant qu'interprète Ă  la lĂ©gation allemande et aux consulats allemands en Chine. Ă€ partir de 1901, il Ă©tait directeur de banque de la Deutsch-Asiatische Bank (DAB) Ă  Tientsin, Ă  partir de 1905 Ă©galement Ă  PĂ©kin. Il Ă©tait mariĂ© au Chinois Yuksin Chou. Il a payĂ© sa fille Clara (1907–1985) pour aller Ă  Freie Schulgemeinde (de) (= CommunautĂ© scolaire libre) de Wickersdorf et, après son transfert de Pâques 1925, Ă©galement pour frĂ©quenter le Schule am Meer. Clara Ă©pousa plus tard son camarade de classe Hans Werner Skafte Rasmussen (de) (1906–1945), fils de Jørgen Skafte Rasmussen, actionnaire majoritaire de DKW, Audi, Horch et Wanderer ;
  • Louis Crussard (1876–1959), un ingĂ©nieur spĂ©cialisĂ© en technique minière, cofondateur de l'École nationale supĂ©rieure des mines de Nancy, vice-prĂ©sident du Conseil gĂ©nĂ©ral des mines, prĂ©sident des Mines de potasse d'Alsace. Il a permis Ă  ses deux fils jumeaux Jean et François Crussard (nĂ©s le Ă  Saint-Étienne) de visiter Schule am Meer sur l'Ă®le de Juist en mer du Nord en État libre de Prusse en tant qu'invitĂ©s du 27 juillet au 19_fĂ©vrier_1911_Ă _[[Saint-Etienne]],_fils_de_l'ingĂ©nieur_[[Louis_Crussard]],_Nancy._124-0">[124] - 19_fĂ©vrier_1911_Ă _Saint-Étienne,_fils_de_l'ingĂ©nieur_Louis_Crussard,_Nancy._125-0">[125] ;
  • Eugen Diederichs (en) (1867–1930), Ă©diteur important allemand, Ă©tait l'un des dĂ©lĂ©guĂ©s syndicaux de la Schule am Meer. Il connaissait dĂ©jĂ  Martin Luserke de la Freie Schulgemeinde (de) (= CommunautĂ© scolaire libre) de Wickersdorf, que frĂ©quenta son fils JĂĽrgen (1901–1976)[126]. LĂ , il s'est prononcĂ© contre Luserke en tant que directeur en 1910 parce qu'il voulait amener Max Maurenbrecher (en), thĂ©ologien protestant et homme politique, Ă  ce poste[127]. Le franc-maçon Diederichs Ă©tait proche des idĂ©es völkisch et publia, par exemple, un article dans les communications du Kampfbund antisĂ©mite pour la culture allemande (en), que l'idĂ©ologue nazi Alfred Rosenberg avait initiĂ© ;
  • Grete Dispeker (1906–1999) Ă©tait l'un des dĂ©lĂ©guĂ©s syndicaux de la Schule am Meer. Elle a Ă©tudiĂ© l'allemand Ă  Francfort-sur-le-Main, Ă  Munich, Ă  Berlin et Ă  la Sorbonne Ă  Paris. En septembre 1929, elle participe au voyage annuel de Schule am Meer, organisĂ© par SaM Ă©lève autrichien Ulrich Sild (1911–1937) et se lie d'amitiĂ© avec SaM Ă©lève allemand Heinz-GĂĽnther Knolle (1912–1999) de Löhne, Westphalie. Elle a Ă©crit son premier ouvrage littĂ©raire sur ce voyage en 1932, qui n'a Ă©tĂ© publiĂ© qu'Ă  titre posthume en 1999[128]. En 1961, elle a Ă©pousĂ© son ami d'enfance, l'ancien professeur de la SaM Walter Jockisch (de) (1907–1970), devenu directeur d'opĂ©ra[129] - [130] ;
  • Paul Distelbarth (1879–1963), Ă©vangĂ©lique-luthĂ©rien, pacifiste, agriculteur, entrepreneur, journaliste, Ă©diteur, Ă©crivain et SaM parent, qui s’engage pour l'amitiĂ© franco-allemande. Il a permis Ă  son troisième enfant et deuxième fils, Hagen (1918–1941), d'aller Ă  l'Ă©cole de plein air Schule am Meer pour renforcer son physique24_juin_1918_Ă _[[SmrĹľovka|Morgenstern]]_près_de_[[Jablonec_nad_Nisou|Gablonz_an_der_NeiĂźe]],_[[BohĂŞme]],_fils_de_l'agriculteur_[[Paul_Distelbarth]],_Rittelhof,_[[Wurtemberg]]._17-1">[17]. LĂ , Hagen se lie d'amitiĂ© avec Fritz Schindler (nĂ© le Ă  Hambourg), un fils d'entrepreneur Julius Schindler (de). Hagen est mort en tant que soldat dans la Wehrmacht pendant la Seconde Guerre mondiale ;
  • Alfred Döblin (1878–1957), psychiatre, Ă©crivain et SaM parent. Il a permis Ă  l'un de ses cinq fils, Peter (nĂ© le 27 octobre 1912 Ă  Berlin), d'aller Ă  Schule am Meer27_octobre_1912_Ă _Berlin,_fils_de_[[Alfred_Döblin]],_psychiatre_et_Ă©crivain,_Berlin._131-0">[131]. Quand Alfred Döblin dut quitter le Reich allemand Ă  cause des nazis, Peter le suivit en France avec sa mère et ses deux frères. En 1935, Peter Ă©migra de lĂ  aux États-Unis, oĂą il travailla comme typographe pour le New York Daily News Ă  New York City[132] ;
  • Wilhelm Dyckerhoff (de) (1868–1956), dĂ©putĂ© et fonctionnaire administratif, conseil d'État, conseil de surveillance de Dyckerhoff cimenterie et SaM parent[133]. Il a permis Ă  son fils Arnold (nĂ© le Ă  Sandhorst (en) près de Aurich) d'aller Ă  Schule am Meer23_juillet_1913_Ă _[[:Sandhorst]] [[:en:Sandhorst|(en)]][[CatĂ©gorie:Article_contenant_un_appel_Ă _traduction_en_anglais]]_près_de_[[Aurich]],_fils_de_[[:Wilhelm_Dyckerhoff]] [[:de:Wilhelm_Dyckerhoff|(de)]][[CatĂ©gorie:Article_contenant_un_appel_Ă _traduction_en_allemand]],_Regierungsvizepräsident,_Aurich._134-0">[134] ;
  • Alfred Ehrentreich (de) (1896–1998), Ă©ducateur progressif, principal et auteur. Il connaissait Martin Luserke pour avoir travaillĂ© ensemble Ă  Freie Schulgemeinde (de) (= CommunautĂ© scolaire libre) de Wickersdorf[135]. Pendant un certain temps, Ehrentreich a prĂ©sidĂ© l'association Freunde der Schule am Meer (= Copains de Schule am Meer) ou successeur Aussengemeinde (= CommunautĂ© externe de la Schule am Meer) pour les anciens enseignants et Ă©lèves, leurs parents et les sympathisants de SaM[136] - [137] - [138] ;
  • Maria Fein (1892–1965) actrice et directeur de théâtre. Le SaM parent Ă©tait d'origine juive, mais convertie au catholicisme Ă  un âge prĂ©coce. Elle a permis Ă  sa fille Maria Becker (nĂ©e le Ă  Berlin) d'aller Ă  Schule am Meer28_janvier_1920_Ă _Berlin,_fils_de_l'acteur_[[Theodor_Becker]],_Berlin._139-0">[139]. Le mari de Maria Fein, Theodor Becker, a emmenĂ© avec lui leur deuxième fille de quatre ans, Christine Becker, lorsqu'il s'est sĂ©parĂ© de sa deuxième femme et l'a dĂ©sormais appelĂ©e Theodora « Thea » Becker ;
  • Adolphe Ferrière (1879–1960) de Genève-Champel Ă©tait un pĂ©dagogue suisse, auteur et fondateur de l'Éducation nouvelle. Il Ă©tait sourd depuis 1921 et Ă©tait l'un des dĂ©lĂ©guĂ©s syndicaux de Schule am Meer, qui informait et conseillait par Ă©crit les parents intĂ©ressĂ©s[140] ;
  • Emile France-Lanord (1879–1931), nĂ© Ă  Geneuille (Doubs), diplĂ´mĂ© de l'École centrale de Lyon (1900), est prĂ©sident de la SociĂ©tĂ© immobilière de l'Est et administrateur de nombreuses sociĂ©tĂ©s: dirigeant de la Maison France-Lanord & Bichaton, entreprise gĂ©nĂ©rale de construction industrielle et de TP, Nancy, administrateur de Energie Ă©lectrique suburbaine et administrateur Kuhn & Fleichel[141] - [142] - [143]. Il a permis Ă  son fils Jean France-Lanord, nĂ© le Ă  Nancy, de visiter Schule am Meer sur l'Ă®le de Juist en mer du Nord en État libre de Prusse en tant qu'invitĂ©s du 20 juin au 15_dĂ©cembre_1912_Ă _Nancy,_fils_de_l'entrepreneur_Emile_France-Lanord_(1879–1931),_Nancy,_Meurthe-et-Moselle,_France._Élève_invitĂ©_Ă _''Schule_am_Meer''_Ă _compter_du_20_juin_1931_jusqu'Ă _16_juillet_1931._144-0">[144] ;
  • Hans Freyer (1887–1969), sociologue, historien et philosophe, prĂ©sident de l'association Freunde der Schule am Meer (= Copains de la Schule am Meer) ou successeur Aussengemeinde (= CommunautĂ© externe de la Schule am Meer) pour les anciens enseignants et Ă©lèves, leurs parents et les facilitateurs de SaM[136] En aoĂ»t 1934, après la fermeture de l'internat (fin de mars 1934), il resta Ă  l'Ă©cole pour parler Ă  Martin Luserke avant de partir avec lui. Le , Freyer prĂ©side l'assemblĂ©e extraordinaire de Aussengemeinde dans son domicile privĂ© de Leipzig pour dĂ©cider de sa dissolution[145] - [146] ;
  • Salomo Friedlaender (1871–1946), philosophe libertaire, Ă©crivain et SaM parent qui a financĂ© le sĂ©jour de son fils Heinz Ludwig Friedlaender (nĂ© le Ă  Berlin) Ă  l'internat Schule am Meer12_juin_1913_Ă _Berlin,_fils_de_l'Ă©crivain_Dr_[[Salomo_Friedlaender|Salomon_Friedlaender]],_[[Berlin-Halensee]]._147-0">[147]. Heinz Ludwig a dĂ©mĂ©nagĂ© sur l'Ă®le de l'Ă©cole Goethe, une Ă©cole secondaire rĂ©formĂ©e de Berlin-Halensee[148]. Cependant, il n'a pas pu s'acclimater Ă  l'Ă®le de la mer du Nord et aspirait Ă  retourner dans la grande ville ;
  • Konrad Frielinghaus (de) (1907–1968), SaM Ă©colier. Il a Ă©tudiĂ© les mines, l'administration des affaires et l'Ă©conomie Ă  Berlin. En 1933, il obtient son diplĂ´me d'ingĂ©nieur des mines. Entre 1933 et 1935, il a Ă©tĂ© actif dans la clandestinitĂ© marxiste contre les nationaux-socialistes en tant que rĂ©sistant de l'organisation « Org. » / « Neu Beginnen ». Il a Ă©tĂ© arrĂŞtĂ© et condamnĂ© Ă  la prison de 1935 Ă  1938. Jusqu'en 1945, il a travaillĂ© dans l'extraction de minerai et de houille pendant la guerre. Cependant, cela a Ă©tĂ© interrompu par une affectation de trois ans dans une unitĂ© de stage de la Wehrmacht. Après la fin de la guerre, il a travaillĂ© comme ingĂ©nieur Ă  la Gelsenkirchener Bergwerks-AG (de) et a travaillĂ© politiquement pour le Parti communiste d'Allemagne (KPD) et les syndicats. De 1948 Ă  1949, il a Ă©tĂ© employĂ© au siège social d'IG Bergbau und Energie (en). Après cela, il a Ă©tĂ© actif en tant qu'ingĂ©nieur, scientifique et homme politique, alternativement ou parfois simultanĂ©ment. Il s'installe en AlgĂ©rie et y dĂ©cède le des suites d'un accident de voiture[149] ;
  • Adolf Grimme (1889–1963), politicien social-dĂ©mocrate (SPD), ministre prusse de science, des arts et Ă©ducation, mĂ©cène de SaM. Il a Ă©tĂ© Ă  plusieurs reprises en contact personnel bienveillant avec Martin Luserke (des lettres ont survĂ©cu Ă  ce jour) lorsqu'il s'agissait de fonder et de diriger Schule am Meer[150]. Grimme Ă©tait membre du conseil scolaire de Magdebourg vers 1925. Ă€ partir de 1928/29, il Ă©tait Ministerialrat (= conseiller au ministère) au ministère prussien de l'Éducation et assistant personnel du ministre de l'Éducation. Ă€ partir de janvier 1930, il est ministre prussien des sciences, des arts et de l'instruction publique sous le nouveau gouvernement prusse. Jusqu'au Coup de Prusse en 1932, Schule am Meer Ă©tait promue avec bienveillance par la bureaucratie ministĂ©rielle prussienne. Après cela, les forces politiques de droite ont bloquĂ© et arrĂŞtĂ© le financement ;
  • Elisabeth GrĂĽttefien-Kiekebusch (de) Ă©tait peintre paysagiste. Elle Ă©tait la veuve du peintre paysagiste berlinois Hermann Kiekebusch (* 1857). De Berlin-Lichterfelde, elle a permis Ă  sa fille Ingrid (nĂ©e le Ă  Berlin) et Ă  son fils Erasmus (nĂ© le Ă  Berlin) d'aller Ă  l'internat Schule am Meer14_juillet_1913_Ă _[[Berlin]],_fille_de_rĂ©dacteur_en_chef_Gustav_GrĂĽttefien,_Berlin._151-0">[151] - 26_fĂ©vrier_1916_Ă _[[Berlin]],_fille_de_rĂ©dacteur_en_chef_Gustav_GrĂĽttefien,_Berlin._152-0">[152] ;
  • Fritz Hafner (de) (1877–1969), peintre et SaM professeur de dessin, d'Ă©criture, de reliure et d'histoire locale et SaM parent venait d'Autriche-Hongrie17_dĂ©cembre_1877_Ă _[[Vienne_(Autriche)|Vienne]],_[[Autriche-Hongrie]]._2-1">[2]. Ă€ partir de 1906, il travaille comme professeur d'art Ă  la Freie Schulgemeinde (de) (= CommunautĂ© scolaire libre) et s'installe Ă  SaM dans le cadre d'une sĂ©cession en mars 1925. Il a Ă©tĂ© membre du conseil d'administration de la Fondation Schule am Meer (de). Avec sa femme Christfriede, appelĂ©e « Christel », la famille est restĂ©e la seule de tout le personnel enseignant de l'Ă®le de Juist jusqu'Ă  la fin de sa vie. Ă€ partir de 1934/35, il a pu transfĂ©rer la collection de matĂ©riel pĂ©dagogique de l'internat, que lui et ses collègues Max Oettli (nĂ© 1903 Ă  Saint-Gall), Dr Paul Reiner (de) et Dr Julia Miranda Erna Vohsen (nĂ©e 1904 Ă  Berlin) avaient constituĂ©e, au nouveau musĂ©e local de l'Ă®le de Juist [l'actuel KĂĽstenmuseum Juist (de) (= musĂ©e cĂ´tier)], avant que son fils Lorenz Hafner (1919–1982) ne le remplace pendant encore trois ans, mais quitte ensuite l'Ă®le pour Hanovre. Les enfants Lore, Hanna et Lorenz sont Ă©lèves Ă  SaM19_dĂ©cembre_1915_Ă _[[Ulm]],_fille_d'enseignant_[[:Fritz_Hafner]] [[:de:Fritz_Hafner|(de)]][[CatĂ©gorie:Article_contenant_un_appel_Ă _traduction_en_allemand]],_Juist._153-0">[153] - 18_aoĂ»t_1918_Ă _[[Geislingen_(Zollernalb)|Geislingen]],_Wurtemberg,_fille_d'enseignant_Fritz_Hafner,_Juist._154-0">[154] - 15_septembre_1919_Ă _Wickersdorf_près_de_Saalfeld,_Thuringe,_fils_d'enseignant_Fritz_Hafner,_Juist._155-0">[155] ;
  • Heinz Friedrich Hartig (de) (1907–1969), SaM professeur de musique, latin et allemand10_septembre_1907_Ă _[[Cassel_(Hesse)|Cassel]],_Hesse._156-0">[156] ;
  • Hans Hecht (de) (1876–1946), linguiste (Ă©tudes d'anglais), Shakespeare expert, donnait des confĂ©rences Ă  SaM ;
  • Alfred Hess (en) (1879–1931), industriel, collectionneur d'art, mĂ©cène d'art, membre de Parti dĂ©mocrate allemand (DDP), 1919–1924 conseiller municipal d'Erfurt[157], mĂ©cène plus signicatif de SaM[3], membre de curatorium de Fondation Schule am Meer (de), l'un des dĂ©lĂ©guĂ©s syndicaux de la Schule am Meer[137] - [138] et SaM parent. Le marchand et fabricant Ă©tait un collectionneur d'art bien connu et mĂ©cène qui entretenait des liens Ă©troits avec la scène artistique expressionniste allemande des annĂ©es 1920. Il a fait la promotion du MusĂ©e municipal de Erfurt (de) de façon soutenue. Des quotidiens d'Erfurt l'ont calomniĂ© en tant qu'« agent juif bolchevique »[158] - [159]. Le livre d'or de la famille Hess, publiĂ© par Hans Hess (en) avec le consentement de sa mère Thekla Hess (1884–1968), nĂ©e Pauson dans la seconde moitiĂ© des annĂ©es 1950, est considĂ©rĂ© comme un tĂ©moignage unique de la scène artistique expressionniste dans l'Empire allemand des annĂ©es 1920[160]. Par exemple, Alfred Hess Ă©tait en contact avec Lyonel Feininger, Salomo Friedlaender et Walter Kaesbach (de), qui faisaient aller leurs enfants Ă  la Freie Schulgemeinde (de) (= CommunautĂ© scolaire libre) Ă  Wickersdorf, tout comme Alfred Hess et sa femme Thekla. Alfred Hess Ă©tait propriĂ©taire de la deuxième plus grande usine de chaussures allemande M. & L. Hess (de) avec plusieurs sites. Ă€ partir d'octobre 1924, Alfred Hess Ă©tait membre du conseil d'administration de la fondation de Schule am Meer. Ses origines juives justifient en partie le rejet de SaM par les insulaires, qui en 1925 l'ont diffamĂ© dans leur dialecte comme une « Ă©cole juive ». Alfred Hess est considĂ©rĂ© comme le facilitateur le plus important de l'internat Schule am Meer. Il a financĂ© son unique enfant, Hans Hess (en) d'aller Ă  Schule am Meer après avoir frĂ©quentĂ© Odenwaldschule et Freie Schulgemeinde (de) (= CommunautĂ© scolaire libre). Lorsqu'Alfred Hess mourut subitement en dĂ©cembre 1931 Ă  l'âge de 51 ans seulement, une chaĂ®ne d'Ă©vĂ©nements imprĂ©visibles commença et eut un impact nĂ©gatif sur le dĂ©veloppement futur de l'internat ;
  • Hans Hess (en) (1907–1975), SaM Ă©colier. Il a d'abord frĂ©quentĂ© Odenwaldschule avant de rejoindre Freie Schulgemeinde (de) (= CommunautĂ© scolaire libre) dirigĂ©e par Martin Luserke en 1923. Avec Luserke, Paul Reiner (de), Rudolf Aeschlimann (de), Fritz Hafner (de), leurs familles avec onze enfants Ă  eux et quinze autres Ă©lèves, dont Herbert von Borch (de), Hans Werner Skafte Rasmussen (de), Ove Skafte Rasmussen (de) et l'ami proche de Hans Hess, Boris Smirnoff (nĂ© le Ă  LĂ©ningrad) partie d'une sĂ©cession qui l'a conduit Ă  Juistp. A3._108-1">[108] - 28_mars_1908_Ă _Erfurt,_[[Province_de_Saxe]],_fils_d'industriel_[[:Alfred_Hess]] [[:en:Alfred_Hess|(en)]][[CatĂ©gorie:Article_contenant_un_appel_Ă _traduction_en_anglais]],_Erfurt._161-0">[161]. Ă€ partir de 1927, il Ă©tudie l'histoire de l'art Ă  l'UniversitĂ© de Genève et Ă  la Sorbonne Ă  Paris. En 1928, il sĂ©journe aux États-Unis pour Ă©tudier le marketing et la publicitĂ© dans l'entreprise industrielle de son père. En raison du dĂ©cès prĂ©maturĂ© de son père en 1931, il doit abandonner ses Ă©tudes et rejoindre la direction de ses plantes[162] - [163]. Ce n'est que trois dĂ©cennies plus tard qu'il a pu reprendre ses Ă©tudes, obtenant une Master of Arts (M.A.) Ă  Leeds, dans Yorkshire de l'Ouest. Pour cela, il a Ă©crit une dissertation sur George Grosz[164]. Hans Hess a Ă©tĂ© nommĂ© Officier de l'Ordre de l'Empire britannique par la reine Elizabeth II en tant que conservateur de la City of York Art Gallery en 1958[165] - [166] - [167] ;
  • Else JaffĂ© (1874–1973), nĂ©e Freiin von Richthofen[168], l'une des premières femmes spĂ©cialistes des sciences sociales en Allemagne, membre de curatorium de la Fondation Schule am Meer (de). Vers 1913, Paul Reiner (de) agit comme prĂ©cepteur des quatre enfants de JaffĂ© Ă  Wolfratshausen. Pendant la Première Guerre mondiale, Wolfratshausen Ă©tait l'une des adresses du domicile de Paul Reiner. Marianne JaffĂ© (1905–1991), ancienne Ă©lève de la Freie Schulgemeinde (de) (= CommunautĂ© scolaire libre) de Wickersdorf de 1923 Ă  1924[169], Ă©tait l'une des assistantes de Schule am Meer depuis sa crĂ©ationp. A3._108-2">[108] ;
  • Walter Jockisch (de) (1907–1970), professeur d'allemand, très impliquĂ© dans le théâtre de l'internat. Le compositeur allemand Hans Werner Henze l'a dĂ©crit comme un « professeur anthroposophique maigre et un homme de théâtre »[170]. Ă€ partir de 1930, Jockisch se lie d'amitiĂ© avec son Ă©lève Heinz-GĂĽnther Knolle (1912–1999), qu'il soutient Ă©galement lors de ses Ă©tudes ultĂ©rieures. Ă€ partir de 1935, Jockisch travaille comme metteur en scène, dramaturge, metteur en scène, conseiller artistique, metteur en scène et directeur artistique Ă  Francfort-sur-le-Main, Göttingen, Essen, Darmstadt, Kiel, Hanovre, Oberhausen, Heidelberg, Bonn et en Suisse Ă  Lucerne et enfin Ă  MĂĽnster[171]. Ă€ partir de 1947, Jockisch vivait avec son amie d'enfance Grete Weil, nĂ©e Dispeker, qui Ă©tait revenue de l'Ă©migration nĂ©erlandaise et qui avait Ă©tĂ© mariĂ©e Ă  son ami Edgar Weil (de) (1908–1941), qui avait Ă©tĂ© assassinĂ© dans le Camp de concentration de Mauthausen en 1941[172]. En 1961, Grete Weil et Walter Jockisch mariĂ©s[173] - [174] ;
  • Walter Kaesbach (de) (1879–1961), historien de l'art, dirĂ©cteur de l'AcadĂ©mie des beaux-arts de DĂĽsseldorf et un important mĂ©cène de l'art de l'expressionnisme. Il Ă©tait l'un des dĂ©lĂ©guĂ©s syndicaux de la Schule am Meer et un SaM parent. Il a permis Ă  son fils Walter (nĂ© le Ă  Hambourg) d'aller Ă  Schule am Meer8_juillet_1917_Ă _Hambourg,_fils_de_Prof._Dr_[[:Walter_Kaesbach]] [[:de:Walter_Kaesbach|(de)]][[CatĂ©gorie:Article_contenant_un_appel_Ă _traduction_en_allemand]],_dirĂ©cteur_de_l'acadĂ©mie,_[[DĂĽsseldorf]]._175-0">[175]. Ă€ l'occasion d'un voyage d'Ă©tude, Dr Walter Kaesbach a personnellement guidĂ© les Ă©tudiants de SaM Ă  travers une exposition de peinture moderne Ă  DĂĽsseldorf et une autre du sculpteur et graveur allemand Wilhelm Lehmbruck Ă  Duisbourg ;
  • Alfred Kantorowicz (de) (1880–1962) de Berlin a Ă©tĂ© le premier professeur de mĂ©decine dentaire Ă  partir de 1923 Ă  l'UniversitĂ© rhĂ©nane FrĂ©dĂ©ric-Guillaume de Bonn. Il fut le premier allemand Ă  dĂ©velopper un système de prĂ©vention des maladies dentaires, notamment dans les Ă©coles[176]. Pendant la Première Guerre mondiale, il travaille un temps comme chef de cabinet dentaire Ă  l'hĂ´pital de rĂ©serve de Haguenau en Alsace. En 1917, il reçoit la Croix de fer de 2e classe pour son engagement. Entre 1919 et 1933, il a Ă©tĂ© conseiller municipal et membre du groupe parlementaire SPD Ă  Bonn. Kantorowicz et sa première Ă©pouse Frieda (1905–1968), appelĂ©e Friedel, plus tard correspondant de l'Allgemeiner Deutscher Nachrichtendienst (ADN) Ă  l'Organisation des Nations unies (ONU)[177], ont eu quatre enfants, ils ont permis Ă  leur fille Anna Margarethe (nĂ©e le Ă  Munich) et son fils Georg Friedrich (nĂ© le Ă  Bonn) d'aller Ă  l'internat Schule am Meer3_aoĂ»t_1913_Ă _Munich,_fils_de_professeur_de_l'universitĂ©_Dr_[[:Alfred_Kantorowicz_(Zahnmediziner)|Alfred_Kantorowicz]] [[:de:Alfred_Kantorowicz_(Zahnmediziner)|(de)]][[CatĂ©gorie:Article_contenant_un_appel_Ă _traduction_en_allemand]],_Bonn._178-0">[178] - 27_fĂ©vrier_1921_Ă _Bonn,_fils_de_professeur_de_l'universitĂ©_Dr_Alfred_Kantorowicz,_Bonn._179-0">[179]. Anna a passĂ© son bac (Abitur) en mars 193322_mars_1933._180-0">[180]. Le , Alfred Kantorowicz est arrĂŞtĂ© et emmenĂ© au camp de concentration de Börgermoor et le camp de concentration de Lichtenburg[176]. Le , il est officiellement renvoyĂ© de la fonction publique prussienne et son doctorat honorifique, qu'il avait reçu en 1926, est rĂ©voquĂ©. Le , il est libĂ©rĂ© du camp de concentration. Il a pu accepter un appel Ă  l'UniversitĂ© d'Istanbul et a quittĂ© l'Allemagne avec sa famille. En 1946, il est rappelĂ© Ă  l'UniversitĂ© de Bonn, mais ne peut plus y reprendre son travail universitaire pour des raisons de santĂ©. En 1948, il a pris sa retraite, mais Ă©tait alors toujours actif en tant qu'officier de santĂ© au ministère de l'IntĂ©rieur de RhĂ©nanie-du-Nord-Westphalie[181] - [182] - [183] ;
  • Hubert H. Kelter (de) (1909–1999), SaM bachelier (mars 1929). Il a Ă©tudiĂ© l'Ă©conomie12_mai_1909_Ă _Hambourg,_fils_de_l'industriel_Gerhard_Kelter,_Hambourg._184-0">[184]. Il a commencĂ© sa formation Ă  Kiel Institute for the World Economy (en), a Ă©tudiĂ© Ă  l'UniversitĂ© de Bonn chez Arthur Spiethoff et Ă  l'UniversitĂ© de Fribourg-en-Brisgau chez Walter Eucken. En 1949 Kelter et des camarades de SaM fondent la Martin-Luserke-Gesellschaft (= SociĂ©tĂ© Martin Luserke) dont Kelter Ă©tait prĂ©sident, pour encourager la rĂ©Ă©dition des livres de l'auteur dĂ©muni[185]. Hubert Kelter, Ă©conomiste diplĂ´mĂ©, a travaillĂ© comme syndic Ă  la Chambre de commerce (de) de Hambourg, comme directeur de la Bibliothèque du commerce (de) Ă  Hambourg, comme Ă©diteur et auteur[186] ;
  • Felicitas Kestner (en) (1914–2001), nĂ©e Cohnheim, SaM Ă©colière, connue sur le nom de Felicitas Kukuck, fille de professeur universitaire de physiologie Otto Kestner (de) a frĂ©quentĂ© l'Ă©cole progressive Lichtwarkschule (de) Ă  Hambourg jusqu'en 19332_novembre_1914_Ă _Hambourg,_fils_de_professeur_universitaire_Dr_[[:Otto_Kestner]] [[:de:Otto_Kestner|(de)]][[CatĂ©gorie:Article_contenant_un_appel_Ă _traduction_en_allemand]],_Hambourg._187-0">[187]. La prise du pouvoir par les nationaux-socialistes marque un tournant profond dans sa vie. Ce n'est qu'alors qu'elle a dĂ©couvert qu'elle avait des ancĂŞtres juifs. C'est la raison pour laquelle ses parents ont changĂ© le nom de famille d'origine Cohnheim en Kestner en 1916. Après la « Gleichschaltung » nazie de l'Ă©cole Lichtwarkschule, elle a eu « beaucoup de chance », qu'elle a Ă©tĂ© admise Ă  Schule am Meer, contrairement aux conditions d'admission de l'internat, pour lequel elle Ă©tait dĂ©jĂ  trop âgĂ©e. Ses parents espĂ©raient que l'Ă©cole privĂ©e lui donnerait une plus grande distance par rapport au national-socialisme. Mais il y avait aussi des nationaux-socialistes sur l'Ă®le de Juist, qui ont rapidement commencĂ© Ă  influencer la vie scolaire quotidienne. MalgrĂ© la rĂ©sistance des Ă©lèves et des enseignants, SaM n'a pas pu empĂŞcher la formation d'un groupe de la jeunesse hitlĂ©rienne (HJ) au sein de l’internat. Ce groupe a divisĂ© la communautĂ© scolaire prĂ©cĂ©demment fermĂ©e en essayant d'exclure et de discriminer les camarades de classe et les enseignants juifs, socialistes et communistes. La majoritĂ© des Ă©lèves et des enseignants sont cependant restĂ©s solidaires. Felicitas a ensuite pu dĂ©clarer dans son autobiographie que son sĂ©jour d'un an Ă  Schule am Meer avait Ă©tĂ© « une annĂ©e merveilleuse ». Cela Ă©tait Ă©galement dĂ» au fait qu'elle a grandement bĂ©nĂ©ficiĂ© d'Eduard Zuckmayer (en), qui l'a soutenue de manière significative dans son dĂ©veloppement musical lĂ -bas[188]. Après la fermeture de l'internat, Martin Luserke lui a recommandĂ© de passer Ă  Odenwaldschule, oĂą elle a de nouveau rencontrĂ© Eduard Zuckmayer l'annĂ©e scolaire suivante jusqu'Ă  ce qu'elle obtienne son diplĂ´me d'Ă©tudes secondaires[189] ;
  • Otto Kestner (de) (1873–1953) est le fils du professeur universitaire israĂ©lite de pathologie Julius Cohnheim (1839–1884). Otto Cohnheim a grandi Ă  Leipzig et il a Ă©tudiĂ© la mĂ©decine lĂ -bas et Ă  Heidelberg. Il obtient son doctorat en 1896 et son habilitation en physiologie en 1898. Pendant la Première Guerre mondiale, il a Ă©tĂ© employĂ© comme MĂ©decin lĂ©giste aĂ©ronautique. En 1916, il s'est converti du judaĂŻsme au christianisme protestant et a Ă©tĂ© baptisĂ©. Ă€ cette occasion, il fit changer son nom de famille Ă  consonance juive Cohnheim en Kestner. En 1919, il est nommĂ© professeur titulaire et directeur de l'institut Ă  l'UniversitĂ© de Hambourg. En 1923, il devient franc-maçon Ă  Hambourg. Il a permis Ă  sa fille Felicitas de frĂ©quenter l'Ă©cole progressive Lichtwarkschule (de) Ă  Hambourg. Après leur « Gleichschaltung » nazie en 1933 il a payĂ© pour que sa fille aille Ă  l'internat progressif Schule am Meer sur l'Ă®le de Juist. Après la fermeture de l'internat sur fond de « Gleichschaltung » et d'antisĂ©mitisme d'État en fin de mars 1934, il finance Ă©galement son sĂ©jour Ă  l'Odenwaldschule afin qu'elle puisse y prendre son bac (Abitur). Le 30 juin 1934, Otto Kestner a Ă©tĂ© contraint Ă  la retraite pour des raisons « raciales » en raison de son origine juive. En 1939, il Ă©migre en Grande-Bretagne avec son Ă©pouse. De mai Ă  septembre 1940, tous deux furent internĂ©s classĂ© comme Enemy alien (en) (= Ă©tranger ennemi) sur l'Ă®le de Man. Il a ensuite pu travailler scientifiquement dans divers instituts jusqu'Ă  son retour en Allemagne en 1949[190] - [191] - [192] ;
  • Fritz Könekamp (de) (1897–1977), SaM professeur de mathĂ©matique, physique et d'Ă©conomie nationale. Il frĂ©quente les Ă©coles secondaires des villes alsaciennes de Strasbourg et de Colmar. Il a servi comme soldat sur le Front de l'Ouest pendant la Première Guerre mondiale et a Ă©tĂ© fait prisonnier de guerre par les Français en 1916 lors de la bataille de la Somme[193]. Il a Ă©tĂ© envoyĂ© au Stobs Military Camp (en) (= camp d'internement anglais) en Ecosse par les troupes anglaises. Ă€ partir du 1er fĂ©vrier 1917, il frĂ©quente le Fridericianum (de) Ă  Davos, en Suisse, afin d'y passer l'examen de fin d'Ă©tudes des anciens combattants en fĂ©vrier 1918[194]. Après la guerre il Ă©tudie Ă  l'UniversitĂ© de Bâle, Ă  l'UniversitĂ© de Fribourg et l'UniversitĂ© FrĂ©dĂ©ric-Guillaume de Berlin. D'aoĂ»t 1928 Ă  mars 1932, il enseigne Ă  Schule am Meer15_fĂ©vrier_1897_Ă _[[Offenbourg]],_[[Pays_de_Bade]]._195-0">[195] avec sa femme Irmgard Könekamp, nĂ©e Leverkus (1902–1969)7_aoĂ»t_1920_Ă _[[Leverkusen]]._196-0">[196]. En tant qu'opposant au nazisme et en tant que membre de Bund Entschiedener Schulreformer (= Association des rĂ©formateurs scolaires dĂ©cisifs), Könekamp Ă©tait après le 30 janvier 1933 poursuivi par la « Gestapo »[197]. Il s'est Ă©chappĂ© en Angleterre via la Suisse, la France, l'Espagne, le Portugal et le Maroc, oĂą, en tant qu'Allemand, il a Ă©tĂ© classĂ© comme Enemy alien (en) (= Ă©tranger ennemi) après la dĂ©claration de guerre en 1939 et emmenĂ© par bateau Ă  travers l'Atlantique Nord pour un camp d'internement canadien oĂą il a dĂ» passer cinq ans. Après la guerre, il retourne en Angleterre et s'installe au Pays de Galles sous le nom Frederick Edward Konekamp (peintre)[198] ;
  • Adolf Köster (1883–1930), politicien social-dĂ©mocrate (SPD), tour Ă  tour Ministre allemand de l'ExtĂ©rieur et Ministre allemand de l'IntĂ©rieur pendant la RĂ©publique de Weimar, ambassadeur, publiciste et SaM parent. Il a permis Ă  ses fils Hans Henning (nĂ© le Ă  Gauting près de Munich)18_mai_1913_Ă _[[Gauting]]_près_de_Munich,_fils_d'ambassadeur_allemand_[[Adolf_Köster]],_[[Riga]]._199-0">[199], Jens Uwe (nĂ© le Ă  Blankenese près de Hambourg) et Peter (nĂ© le Ă  Berlin) d'aller Ă  Schule am Meer17_mars_1915_Ă _Blankenese_près_de_Hambourg,_fils_d'ambassadeur_allemand_Adolf_Köster,_[[Riga]]._200-0">[200] - 25_octobre_1922_Ă _Berlin,_fils_d'ambassadeur_allemand_Adolf_Köster,_[[Belgrade]]._201-0">[201] ;
  • Beate Köstlin (1919–2001), SaM Ă©colière de Prusse-Orientale[202], connue internationalement sous le nom de Beate Uhse. En tant qu'enfant, elle a sautĂ© du toit du manoir de son père Otto Köstlin (1871–1945) pour imiter le vol et s'est cassĂ© les os. De 1932 Ă  1934, elle a Ă©tĂ© confrontĂ©e aux avions qui atterrissaient sur la plage au nord de SaM. Elle a eu sa première occasion de voler le long dans l'un des champs de chaume de ses parents lorsque deux jeunes hommes y ont atterri et l'ont suppliĂ©e de voler le long Ă  plusieurs reprises avec eux[203]. Dans son autobiographie, elle dĂ©crit Ă  quel point elle aimait beaucoup le S.a.M. Le principal de l'internat, Martin Luserke, son « professeur prĂ©fĂ©rĂ© », Ă©tait un « homme fantastique », « gĂ©nĂ©reux et plein d'esprit » et « comprĂ©hensif »[204]. Elle a naviguĂ© plusieurs fois Ă  bord du navire poète Krake ZK 14 (en) de Luserke, qui a Ă©tĂ© acquis en 1934 ;
  • Margarete Köstlin-Räntsch (de) (1880–1945), l'une des premières femmes mĂ©decins agrĂ©Ă©s en l'Empire allemand et SaM parent. Avec sa mari Otto Köstlin (1871–1945), originaire du Wurtemberg, elle cherchait spĂ©cifiquement un internat progressif avec une Ă©ducation libĂ©rale et un large Ă©ventail d'activitĂ©s sportives et musicales afin de permettre Ă  leur plus jeune fille d'acquĂ©rir une meilleure Ă©ducation et d'interagir avec des personnes partageant les mĂŞmes idĂ©es[204]. Elle a permis Ă  leur fille Beate Köstlin d'aller Schule am Meer[202]. Margarete Köstlin-Räntsch a Ă©tĂ© assassinĂ©e avec son mari Otto Köstlin sur le domaine Wargenau (de) près de Cranz de Prusse-Orientale en 1945 par l'avancĂ©e des troupes soviĂ©tiques[205] ;
  • Hedda Korsch (de) (1890–1982), cofondatrice de la parti communiste allemand (KPD), professeur, temporairement enseignante Ă  SaM. Elle a encouragĂ© Paul Reiner (de) pendant la RĂ©volution allemande de 1918-1919 Ă  s'engager politiquement dans le sens du Jugendbewegung[206] - [207] - [208] ;
  • Walter KĂĽhne (1875–1956) Ă©tait un peintre, dessinateur et graphiste de Jamlitz en Basse-Lusace[209]. Il a permis Ă  son plus jeune fils Walter Georg (en) (1911–1991) d'aller Ă  Schule am Meer26_fĂ©vrier_1911_Ă _Berlin,_fils_de_peintre_Wilhelm_KĂĽhne,_[[Jamlitz]],_[[Basse-Lusace]]._210-0">[210]. Walter KĂĽhne avait enseignĂ© en 1915–16 comme professeur de dessin Ă  la Freie Schulgemeinde (de) (= CommunautĂ© scolaire libre) que ses enfants Wolfgang (* 1902), Marianne (* 1907) et Walter Georg frĂ©quentent comme Ă©lèves[211] - [212] ;
  • Walter Georg KĂĽhne (en) (1911–1991), SaM bachelier (mars 1930)26_fĂ©vrier_1911_Ă _Berlin,_fils_de_peintre_Wilhelm_KĂĽhne,_[[Jamlitz]],_[[Basse-Lusace]]._210-1">[210] - 25_mars_1930._213-0">[213] avait dĂ©mĂ©nagĂ© de la Freie Schulgemeinde (de) (= CommunautĂ© scolaire libre) de Wickersdorf Ă  Schule am Meer sur l'Ă®le de Juist au printemps 1925 dans le cadre de la sĂ©cession. Il est restĂ© ami avec l'ancien Ă©lève de Wickersdorf et communiste Ernst Putz (de) jusqu'Ă  son suicide en 1933. Le communiste KĂĽhne a Ă©migrĂ© en Grande-Bretagne pendant l'Ă©poque nazie. LĂ , au dĂ©but de la Seconde Guerre mondiale, il inspire les palĂ©ontologues de l'UniversitĂ© de Cambridge, Ă  qui il prĂ©sente les dĂ©fenses de mammouths qu'il a lui-mĂŞme dĂ©couvertes[214] - [215] - [216] - [217]. Après la fin de la guerre, il retourna en Allemagne, Ă©tudia et obtint son doctorat, et fut plus tard qualifiĂ© comme professeur. Il a ensuite enseignĂ© Ă  l'UniversitĂ© libre de Berlin, oĂą il a fondĂ© l'Institut de palĂ©ontologie en 1958[218] - [219]. Il Ă©tait aussi connu comme auteur spĂ©cialisĂ©. Il a publiĂ© entre autres un livre sur la palĂ©ontologie et le matĂ©rialisme dialectique[220] - [221] ;
  • Ernst Kurth (1886–1946), musicologue suisse, Ă©tait l'un des dĂ©lĂ©guĂ©s syndicaux de la Schule am Meer[222] - [223] ;
  • Wilhelm Lehmann (1882–1968) Ă©tait un professeur de doctorat et Ă©crivain nĂ© en Venezuela. Entre 1912 et 1917, il est professeur Ă  la Freie Schulgemeinde (de) (= CommunautĂ© scolaire libre) de Wickersdorf, oĂą il rencontre Martin Luserke, qu'il y voit comme directeur jusqu'au dĂ©but de la Première Guerre mondiale en 1914. Comme Luserke, Lehmann a Ă©galement eu un conflit pĂ©dagogique avec son collègue Gustav Wyneken. Comme Luserke, Lehmann a participĂ© Ă  la Première Guerre mondiale Ă  partir de 1917. En septembre 1918, cependant, Lehmann dĂ©serte intentionnellement et est fait prisonnier de guerre par les Britanniques. C'est le sujet du roman de Lehmann de 1925–1927, Der Ăśberläufer (= Le dĂ©fecteur), qui n'a Ă©tĂ© publiĂ© qu'en 1962[224]. Alfred Döblin, père d'un autre Ă©lève ultĂ©rieur de la SaM, a dĂ©cernĂ© Ă  Lehmann le Prix Kleist en 1923, en mĂŞme temps que Robert Musil. Lehmann a ensuite permis Ă  son fils Konrad (nĂ© le ) d'aller Ă  Schule am Meer22_mai_1917_Ă _[[IĂ©na]],_fils_de_Dr_Wilhelm_Lehmann,_[[Eckernförde]]._225-0">[225] ;
  • Ernst Leitz II (1871–1956), fabricant et SaM parent, dĂ©cide en 1924 de lancer l’appareil photo « Leica » 35 mm. Ă€ partir de 1925, il finance le sĂ©jour de son fils GĂĽnther Leitz (de) (1914–1969) au l'internat Freie Schulgemeinde (de) (= CommunautĂ© scolaire libre) Ă  Wickersdorf et Schule am Meer sur l'Ă®le de Juist ;
  • GĂĽnther Leitz (de) (1914–1969), fils d'entrepreneur Ernst Leitz II, frĂ©quente Ă  partir du l'internat Schule am Meer, ayant auparavant Ă©tĂ© enseignĂ©e par des tuteurs14_octobre_1914_Ă _[[GieĂźen]],_[[Hesse_(Land)|Hesse]],_fils_de_fabricant_Dr_[[Ernst_Leitz_II|Ernst_Leitz]],_[[Wetzlar]],_Hesse._226-0">[226]. Il a documentĂ© la vie scolaire quotidienne avec un appareil photo « Leica » 35 mm. Cela provenait de la production de l'entreprise d'optique Leitz (de) Ă  Wetzlar, qui Ă©tait dirigĂ©e par son père[227]. Pour ses 18 ans, il offre Ă  son camarade de classe et ami, le noble Oswald zu MĂĽnster (de) (1917–2003), de trois ans son cadet, un appareil photo reporter « Leica IIIa » qui vient d'ĂŞtre lancĂ©. Ce faisant, il a contribuĂ© Ă  façonner la vie future de son jeune ami, qui a photographiĂ© et publiĂ© avec un « Leica » toute sa vie. Tous deux avaient fait partie de l'orchestre de la SaM ayant jouĂ© du violoncelle sous Eduard Zuckmayer (en). Après un apprentissage commercial, GĂĽnther a repris la direction de Ernst Leitz GmbH en 1956[228]. Il se consacra principalement Ă  la crĂ©ation d'un bureau d'Ă©tudes sur les verres optiques et Ă  l'implantation d'une usine au Canada ;
  • Friedrich Wilhelm Lienau (1876–1973) Ă©tait l'Ă©diteur et propriĂ©taire du Robert Lienau Musikverlag (de) (Carl Haslinger quondam Tobias) Ă  Vienne. Son fils Wilhelm Otto Wolfgang (nĂ© le ) frĂ©quenta la Schule am Meer de 1928 Ă  1934, oĂą il rĂ©ussit son bac (Abitur)15_janvier_1916_Ă _[[Belgard]],_[[PomĂ©ranie]],_fils_de_l'Ă©diteur_Friedrich_Wilhelm_Lienau,_[[Vienne_(Autriche)|Vienne]]._229-0">[229]. Wilhelm Otto Wolfgang Lienau et SaM Ă©lève Ulrich Sild (1911–1937) faisaient partie du comitĂ© local Wandervogel du vingt-et-unième arrondissement (Floridsdorf) de Vienne et camarades alpinistes[230] ;
  • Karl Siegfried Ludwig (de) (1917–2007), appelĂ© « Friedel », SaM Ă©colier d'avril 1927 Ă  mars 193410_aoĂ»t_1917_Ă _[[KĹ‚odzko|Glatz]],_[[Basse-SilĂ©sie_(rĂ©gion_historique)|Basse-SilĂ©sie]],_fils_de_l'Ă©crivaine_Paula_Ludwig_(tuteur_lĂ©gal),_Berlin._231-0">[231]. Il n'avait pas connu une vraie vie de famille. Sa mère lui rend visite, accompagnĂ©e de l'Ă©crivain Carl Zuckmayer, dans l'Ă®le de Juist. Yvan Goll Ă©crit Ă  sa femme Claire le 22 fĂ©vrier 1931 Ă  propos de Paula Ludwig: « Elle a aussi un fils de 13 ans qui vit dans une communautĂ© scolaire au bord de la mer. Scion illĂ©gitime. […] Maintenant, elle Ă©crit ces poèmes Ă  son garçon ». Les frais de scolaritĂ© Ă©taient payĂ©s par son père biologique, le copropriĂ©taire d'une imprimerie, Ă©diteur et officier Walter Rose (1881–1962) de Neurode en Basse-SilĂ©sie. C'est Friedel qui, Ă  partir de 1930 environ, dĂ©veloppe les nombreuses photographies prises par les Ă©lèves et les professeurs. Parmi ceux-ci, il a rĂ©alisĂ© des tirages papier ou un nombre ordonnĂ© d'exemplaires, attestĂ©s par des notes manuscrites au verso. Pour lui, c'Ă©tait un exercice pour sa vie future, car il est devenu un photographe « Leica » passionnĂ©. Il Ă©tait ami pour la vie avec son camarade de classe GĂĽnther Leitz (de) (1914–1969), le fils cadet du fabricant « Leica ». Grâce Ă  lui, après la fermeture de l'internat, il a reçu un apprentissage dans la sociĂ©tĂ© d'optique Ernst Leitz (de), est devenu commis industriel et photographe[232]. Après Reichsarbeitsdienst (RAD), il suit sa mère Ă  Paris. Son amie Erika Mann l'a aidĂ©e. Ă€ Paris, il suit des cours de sculpture Ă  l'AcadĂ©mie Ranson chez Aristide Maillol. Il est envoyĂ© dans un camp d'internement dans le sud de la France après le dĂ©but de la guerre[233]. Après l'occupation de Paris par la Wehrmacht, il est libĂ©rĂ© et traverse les PyrĂ©nĂ©es vers l'Espagne, oĂą il est de nouveau internĂ©. Lors de son inscription, il a accidentellement saisi son nom de manière incorrecte et a donc reçu des papiers d'identitĂ© dans lesquels son nom Ă©tait inversĂ©: Ă  « Ludwig Friedel ». Il le resta jusqu'Ă  la fin de sa vie. Il a reçu du matĂ©riel de lecture dans les camps par d'anciens camarades de SaM et d'autres amis, a appris des langues et a peint son environnement. De nouveau libre, Friedel travaille Ă  Madrid pendant trois ans comme professeur de langues et Ă©tudie la sculpture. En dĂ©cembre 1946, il arrive Ă  Rio de Janeiro, oĂą il travaille comme photographe indĂ©pendant. Fin 1947, il s'installe chez sa mère Ă  SĂŁo Paulo[234]. En 1956, Friedel retourna en Allemagne, oĂą il obtint du travail de son ami GĂĽnther Leitz. En tant que photographe « Leica » bien connu dans les milieux professionnels, il a enseignĂ© entre autres Ă  la « Leica Akademie » et des photographes formĂ©s[235] ;
  • Paula Ludwig (en) (1900–1974), poĂ©tesse autrichienne-allemande, SaM parent10_aoĂ»t_1917_Ă _[[KĹ‚odzko|Glatz]],_[[Basse-SilĂ©sie_(rĂ©gion_historique)|Basse-SilĂ©sie]],_fils_de_l'Ă©crivaine_Paula_Ludwig_(tuteur_lĂ©gal),_Berlin._231-1">[231], Ă©tait la mère de SaM Ă©lève Karl Siegfried Ludwig (de) (1917–2007), appelĂ© « Friedel ». Elle est restĂ©e avec son ami, l'Ă©crivain et dramaturge allemand Carl Zuckmayer, Ă  Schule am Meer pour rendre visite Ă  son fils[236]. Dans la vieillesse, elle a Ă©tĂ© soutenue financièrement par le camarade de classe de son fils, GĂĽnther Leitz (de) (1914–1969)[237] ;
  • Martin Luserke (1880–1968), appelĂ© « Lu » (dire comme: lou), Ă©ducateur progressif, franc-maçon, principal aux multiples talents de Freie Schulgemeinde (de) (= CommunautĂ© scolaire libre) en Thuringe (mandats 1910–1914, 1917–1919, 1920–1925) et plus tard de Schule am Meer Ă  Juist (mandat mai 1925 – septembre 1934), professeur de la mathĂ©matique, allemand et religion, conteur, Ă©crivain, griot, crĂ©ateur de théâtre, membre de curatorium de Fondation Schule am Meer (de), primus inter pares du Kameradschaft (de)[31] des Ours et SaM parent8_mai_1880_Ă _Berlin._4-1">[4]. Les enfants Ursula (nĂ©e le 20 janvier 1910 Ă  Wickersdorf, Thuringe), Klaus (nĂ© le Ă  Wickersdorf, Thuringe), Heiner (nĂ© le 4 aoĂ»t 1914 Ă  Wickersdorf, Thuringe) et Dieter (nĂ© le Ă  Wickersdorf, Thuringe), Ă©taient Ă©lèves Ă  SaM20_janvier_1910_Ă _Wickersdorf,_Thuringe,_fille_de_principal_[[Martin_Luserke]],_Juist._238-0">[238] - 6_octobre_1912_Ă _Wickersdorf,_Thuringe,_fils_de_principal_Martin_Luserke,_Juist._239-0">[239] - 4_aoĂ»t_1914_Ă _Wickersdorf,_Thuringe,_fils_de_principal_Martin_Luserke,_Juist._240-0">[240] - 15_septembre_1918_Ă _Wickersdorf,_Thuringe,_fils_de_principal_Martin_Luserke,_Juist._241-0">[241]. En 1954, Martin Luserk a reçu la Croix du mĂ©rite de l'Ordre du MĂ©rite de la RĂ©publique fĂ©dĂ©rale d'Allemagne pour ses services au théâtre amateur dans les Ă©coles allemandes ;
  • Heinrich Meyer (en) (1904–1977), SaM professeur d'allemand, anglais, latin et histoireDr_Heinrich_Karl_Ernst_Martin_Meyer,_nĂ©_le_17_mai_1904_Ă _Nuremberg._242-0">[242] - [243]. Meyer Ă©tait sur Juist du 23 fĂ©vrier 1929 Ă  Pâques 1931 et a enseignĂ© Ă  l'internat pendant deux annĂ©es scolaires avant d'Ă©migrer aux États-Unis. En raison de la Grande DĂ©pression, il se rend aux États-Unis pendant les vacances d'Ă©tĂ© de 1930 et y explore ses opportunitĂ©s professionnelles[244]. En1931, il est devenu membre de l'Aussengemeinde (CommunautĂ© externe de la Schule am Meer)[245]. En AmĂ©rique, il a enseignĂ© en tant que professeur d'allemand et de littĂ©rature dans diverses universitĂ©s. En 1939, il permit au lettrĂ© allemand Eduard Berend (de) d'Ă©chapper Ă  la dĂ©portation et Ă  la mort[246]. En 1972, Meyer a reçu la Croix du mĂ©rite, première classe, de l'Ordre du MĂ©rite de la RĂ©publique fĂ©dĂ©rale d'Allemagne. Ă€ travers l'horticulture pratiquĂ©e Ă  Schule am Meer, Meyer est restĂ© très intĂ©ressĂ© par ce sujet tout au long de sa vie. Il a recueilli et Ă©tudiĂ© entre autres un grand nombre de livres allemands et Ă©trangers de plusieurs siècles sur le sujet. Il a Ă©galement plantĂ© lui-mĂŞme des milliers de bulbes de fleurs au fil des dĂ©cennies[247] ;
  • La noble Irmgard zu MĂĽnster (1891–1967), nĂ©e von TrĂĽtzschler (de) Freiin zum Falkenstein, est l'une des dĂ©lĂ©guĂ©s syndicaux de la Schule am Meer et l'une des facilitatrices[248]. Son mari, le noble Wladimir Ernst zu MĂĽnster (de) est un officier allemand et un agriculteur dans la domaine seigneurial (de) de sa famille Ă  Kniestedt (de) près de Salzgitter en Basse-Saxe. En tant qu'officier, il avait une orientation nationale allemande, tandis que sa femme est social-libĂ©rale. Elle est politiquement intĂ©ressĂ©e et socialement engagĂ©e. Elle a peut-ĂŞtre Ă©tĂ© le moteur du choix d'une Ă©cole progressive pour son fils Oswald zu MĂĽnster (de)3_fĂ©vrier_1917_Ă _[[Falkenstein/Vogtl.|Falkenstein]]_en_[[Vogtland]],_fils_de_l'agriculteur_Wladimir_zu_MĂĽnster,_[[:Kniestedt]] [[:de:Kniestedt_(Salzgitter)|(de)]][[CatĂ©gorie:Article_contenant_un_appel_Ă _traduction_en_allemand]]_près_de_[[Salzgitter]]._249-0">[249]. Sa mère est très cultivĂ©e, instruite et douĂ©e pour l'art. En 1938, le siège de la famille a Ă©tĂ© expropriĂ© avec toutes ses terres, parce que la Reichswerke Hermann Göring voulait y pousser l'expansion de l'extraction de minerai et les forges en vue de la guerre planifiĂ©e par Adolf Hitler. La famille a donc dĂ©mĂ©nagĂ© Ă  Winnerod (de) près de Giessen en Hesse, toujours dans une ferme avec agriculture ;
  • Le noble Oswald zu MĂĽnster (de) (1917–2003)3_fĂ©vrier_1917_Ă _[[Falkenstein/Vogtl.|Falkenstein]]_en_[[Vogtland]],_fils_de_l'agriculteur_[[:Wladimir_Ernst_zu_MĂĽnster]] [[:de:Wladimir_Ernst_zu_MĂĽnster|(de)]][[CatĂ©gorie:Article_contenant_un_appel_Ă _traduction_en_allemand]],_[[:Kniestedt]] [[:de:Kniestedt_(Salzgitter)|(de)]][[CatĂ©gorie:Article_contenant_un_appel_Ă _traduction_en_allemand]]_près_de_[[Salzgitter]]._250-0">[250], appelĂ© « Ossi », a frĂ©quentĂ© l'internat Schule am Meer du au , jusqu'Ă  sa fermeture dĂ©finitive. LĂ , il Ă©tait un ami proche de GĂĽnther Leitz (de), de trois ans son aĂ®nĂ©. Tous deux jouaient du violoncelle sous la direction d'Eduard Zuckmayer (en) dans l'orchestre de l'internat. Oswald zu MĂĽnster est un membre de dj.1.11 (en), une ligue de jeunes au sein du Freischar allemand (en). Comme toutes les ligues de jeunes allemandes, celles-ci ont Ă©tĂ© fusionnĂ©es avec les Jeunesses hitlĂ©riennes (HJ) après l'arrivĂ©e au pouvoir des nazis. Avec dix autres camarades de la SaM, il dut se rendre Ă  Landerziehungsheim Schule Marienau (de) de Dahlem, oĂą il appartenait Ă  la Kameradschaft (de)[31] du directeur d'Ă©cole Max Bondy (de). Lá, GĂĽnther Leitz lui a offert un appareil photo reporter « Leica IIIa » pour ses 18 ans. Ce faisant, il a contribuĂ© Ă  façonner la vie future de son jeune ami, qui a photographiĂ© et publiĂ© avec un « Leica » toute sa vie. Ses photos documentaires ont Ă©tĂ© publiĂ©es Ă  titre posthume (2015) en six volumes illustrĂ©s[251], le premier volume comprenant des photos que son SaM camarade GĂĽnther Leitz. « Ossi » avait une amitiĂ© de longue date avec lui et son primus inter pares de Kameradschaft des dauphins, Eduard Zuckmayer[227] ;
  • Les peintres expressionnistes Heinrich Nauen (1880–1940) et son Ă©pouse Marie von Malachowski-Nauen (de) (1880–1943) ils sentaient le SaM comme Ă©tablissement d'enseignement appropriĂ© pour leur fille Nora (nĂ©e en 1908) et leur fils Joachim (nĂ© en 1916), appelĂ© « Acki ». Il est possible que les Nauen aient Ă©tĂ© mis au courant du Schule am Meer par leur ami et facilitateur Walter Kaesbach (de), le dirĂ©cteur de l'AcadĂ©mie des beaux-arts de DĂĽsseldorf, parce qu'il Ă©tait l'un des dĂ©lĂ©guĂ©s syndicaux de la Schule am Meer et un SaM parent ;
  • Le peintre allemand Jan Oeltjen (de) (1880–1968) et sa seconde Ă©pouse, la peintre autrichienne Elsa Oeltjen-Kasimir (de) (1887–1944), ont financĂ© leur fille Leni (nĂ©e le Ă  Rome), du premier mariage d'Oeltjen avec la peintre Johanna Feuereisen (1873–1947), le sĂ©jour au SaM16_janvier_1910_Ă _[[Rome]],_fils_de_peintre_Johann_Oeltjen,_[[Oldenbourg]]._252-0">[252]. Leni a ensuite rejoint l'Aussengemeinde (= CommunautĂ© externe de la Schule am Meer)[253].
  • Rolf PappiĂ©r (de) (1914–1998), SaM bachelier (mars 1933), mĂ©moire avec distinction16_janvier_1914_Ă _[[Shanghai]],_fils_de_marchand_Gustav_PappiĂ©r,_[[BrĂŞme]]._254-0">[254]. NĂ© Ă  Shanghai, Friedrich Rolf PappiĂ©r est issu d'une famille de marchands de BrĂŞme active dans le commerce international, par ex. en Argentine et en Chine. Adolescent, il dĂ©veloppe un grand intĂ©rĂŞt pour les arts plastiques. Dans son diplĂ´me du baccalaurĂ©at, il a Ă©tĂ© explicitement honorĂ© pour sa grande exposition de dessins faits par lui-mĂŞme19_mars_1932._255-0">[255] - 22_mars_1933._180-1">[180]. En 1936, il Ă©migre en Argentine et y travaille avec succès en tant que rĂ©alisateur, directeur artistique, scĂ©nographe et acteur[256]. Il a changĂ© son nom en Ralph Pappier, sans l'accent aigu. Dans les annĂ©es 1940 et 1950, il a reçu plusieurs prix pour son travail ;
  • Robert Wichard Pohl (1884–1976), physicien, professeur d'universitĂ©, mĂ©cène de SaM a soutenu Schule am Meer avec un don gĂ©nĂ©reux d'une variĂ©tĂ© d'instruments de musique pour leur salle de musique et l'orchestre de l'internat22_avril_1932._12-1">[12]. Ă€ l'Ă©poque nazie, il appartenait au cercle conservateur de l'opposition autour de l'ancien maire de Leipzig, Carl Friedrich Goerdeler[257]. Le contact de Pohl fut exĂ©cutĂ© en janvier 1945, Goerdeler le mois suivant ;
  • Arne Skafte Rasmussen (de) (1912–1994), SaM Ă©colier13_mai_1912_Ă _[[Chemnitz]],_fils_de_fabricant_[[Jørgen_Skafte_Rasmussen|Jørgen_Rasmussen]],_[[Zschopau]],_Saxe._258-0">[258], qui sort de Schule am Meer le 28 mars 1930 puis reçoit une formation technique. Il a ensuite travaillĂ© dans la recherche et le dĂ©veloppement pour Auto Union, dans la fusion de laquelle (DKW, Audi, Horch, Wanderer) son père Jørgen Skafte Rasmussen a jouĂ© la position clef. Arne a ensuite travaillĂ© dans le dĂ©veloppement de moteurs pour le petit constructeur automobile Framo (en) et plus rĂ©cemment pour Fichtel & Sachs ;
  • Hans Werner Skafte Rasmussen (de) (1906–1945), SaM Ă©colier qui avait dĂ©mĂ©nagĂ© de la Freie Schulgemeinde (de) (= CommunautĂ© scolaire libre) de Wickersdorf Ă  Schule am Meer sur l'Ă®le de Juist au printemps 1925 dans le cadre de la sĂ©cessionp. A3._108-3">[108] - 8_septembre_1906_Ă _Chemnitz,_fils_de_fabricant_Jørgen_Rasmussen,_Zschopau,_Saxe._259-0">[259] ;
  • Jørgen Skafte Rasmussen (1878–1964), ingĂ©nieur danois, industriel (DKW, Auto Union etc.) et SaM parent a permis Ă  ses fils Hans Werner, Ove et Arne d'aller Ă  Schule am Meer8_septembre_1906_Ă _Chemnitz,_fils_de_fabricant_Jørgen_Rasmussen,_Zschopau,_Saxe._259-1">[259] - 28_mai_1909_Ă _Zschopau,_fils_de_fabricant_Jørgen_Rasmussen,_Zschopau,_Saxe._260-0">[260] - 13_mai_1912_Ă _Chemnitz,_fils_de_fabricant_Jørgen_Rasmussen,_Zschopau,_Saxe._261-0">[261] ;
  • Ove Skafte Rasmussen (de) (1909–1995), SaM bachelier (mars 1929)28_mai_1909_Ă _Zschopau,_fils_de_fabricant_Jørgen_Rasmussen,_Zschopau,_Saxe._260-1">[260] avait dĂ©mĂ©nagĂ© de la Freie Schulgemeinde (de) (= CommunautĂ© scolaire libre) de Wickersdorf Ă  Schule am Meer Ă  Juist au printemps 1925 dans le cadre de la sĂ©cessionp. A3._108-4">[108]. Avec son frère aĂ®nĂ© Hans Werner, il Ă©tait dĂ©jĂ  Ă  Loog de Juist le 15 janvier 1925. Il a passĂ© son bac, accompagnĂ© de pergĂ©lisol et de brouillard Ă©pais. En tant qu'Ă©tudiant en Ă©conomie Ă  Munich, il est devenu membre de Aussengemeinde (= CommunautĂ© externe de la Schule am Meer)[262] au printemps 1930 et l'un des dĂ©lĂ©guĂ©s syndicaux[263]. Il a complĂ©tĂ© ses Ă©tudes par un double doctorat (Dr oec. publ. et rer. pol.) et a ensuite Ă©tĂ© directeur gĂ©nĂ©ral de Eisenwerk Erla G.m.b.H. (en), que son père avait repris en 1928. En 1949, près de Francfort-sur-le-Main, Ove fonde Rasmussen GmbH (en), fournisseur de l'industrie automobile ;
  • Paul Reiner (de) (1886–1932), docteur ès sciences, SaM professeur de chimie et physique, directeur adjoint, primus inter pares du Kameradschaft (de)[31] des Pingouins, communiste, membre de curatorium de Fondation Schule am Meer (de) et SaM parentDr_Paul_Reiner,_nĂ©_le_3_fĂ©vrier_1886_Ă _Nuremberg._6-1">[6]. Paul Reiner est issu du Jugendbewegung. Dans sa jeunesse, il a admirĂ© Gustav Wyneken et tout au long de sa vie Stefan George, avec qui il a Ă©tĂ© en contact de temps Ă  autre[264]. Pendant ses Ă©tudes, il a travaillĂ© comme assistant de l'Ă©conomiste politique et sociologue Alfred Weber[265] - [266] - [267]. Il a obtenu son doctorat en chimie de l'UniversitĂ© de Heidelberg en 1912. En 1913, il travaille Ă  l'Odenwaldschule et comme prĂ©cepteur privĂ© pour les quatre enfants d'Else JaffĂ© et d'Edgar JaffĂ© Ă  Wolfratshausen[268] - [264] - [266]. En tant que soldat et plus rĂ©cemment en tant que lieutenant, il a Ă©tĂ© dĂ©corĂ© trois fois[269] - [270] - [271]. Au lendemain de la RĂ©volution allemande de 1918-1919, Paul Reiner, Martin Luserke, Karl August Wittfogel, Karl Korsch et Hedda Korsch (de) Ă©tait destinĂ© Ă  enseigner dans une Ă©cole de conseils pour la classe ouvrière Ă  IĂ©na, Thuringe[272]. Les enseignants et les Ă©lèves devaient appartenir Ă  un parti socialiste ou communiste. En 1923, Paul Reiner a travaillĂ© comme assistant du ministre de la Justice, le marxiste-lĂ©niniste Karl Korsch, dans le gouvernement d'État de Thuringe, qui avait Ă©tĂ© formĂ© par une coalition de socialistes et de communistes. Ă€ partir de 1919, il Ă©tait professeur Ă  Freie Schulgemeinde (de) (= CommunautĂ© scolaire libre)[273]. Il a tenu un sĂ©minaire politique d'État hebdomadaire[274]. En 1925, il y a eu une sĂ©cession. Principal Martin Luserke et les professeurs Rudolf Aeschlimann (de), Fritz Hafner (de), Paul Reiner (de) et leurs familles ont dĂ©mĂ©nagĂ© sur l'Ă®le de Juist et ont fondĂ© Schule am Meer. Les enfants Renate, nĂ©e le Ă  Francfort-sur-le-Main, Eva, nĂ©e le 14 juin 1919 Ă  Francfort-sur-le-Main) et Ruth, nĂ©e le Ă  Saalfeld, Thuringe, Ă©taient Ă©lèves Ă  SaM8_dĂ©cembre_1917_Ă _Francfort-sur-le-Main,_fille_de_professeur_Dr_[[:Paul_Reiner]] [[:de:Paul_Reiner|(de)]][[CatĂ©gorie:Article_contenant_un_appel_Ă _traduction_en_allemand]],_Juist._275-0">[275] - 14_juin_1919_Ă _Francfort-sur-le-Main,_fille_de_professeur_Dr_Paul_Reiner,_Juist._276-0">[276] - 15_septembre_1922_Ă _Saalfeld,_Thuringe,_fille_de_professeur_Dr_Paul_Reiner,_Juist._277-0">[277] ;
  • Franz Reyersbach (1880–1936), fabricant et comitĂ© directeur de la sociĂ©tĂ© anonyme M. L. Reyersbach AG Ă  Oldenbourg et sa femme Grete Reyersbach (nĂ©e le Ă  Hanovre), nĂ©e Weinberg, a financĂ© la frĂ©quentation de leur troisième fils Hans Reyersbach, nĂ© le Ă  Oldenbourg (bachelier mars 1931)17_novembre_1911_Ă _[[Oldenbourg]],_fils_de_commerçant_Franz_Reyersbach_(1880–1936),_Oldenbourg._278-0">[278], Ă  l'internat Schule am Meer. Depuis 1923, le commerçant Franz Reyersbach Ă©tait copropriĂ©taire de l'entreprise qui produisait des instruments de musique et des bicyclettes et faisait le commerce d'appareils Ă©lectromĂ©nagers et de radios[279]. Il a Ă©tĂ© placĂ© en dĂ©tention dite Schutzhaft Ă  Oldenbourg du 28 septembre au pour de prĂ©tendues activitĂ©s communistes[280]. Il est ensuite dĂ©portĂ© au camp de concentration de Sachsenhausen, oĂą il meurt le [281] - [282]. Une rue de la ville d'Oldenbourg porte le nom du cĂ©lèbre homme d'affaires. Sa femme Grete a Ă©tĂ© dĂ©portĂ©e de Hanovre Ă  Riga le et y a Ă©tĂ© dĂ©clarĂ©e morte[283] - [284] - [285]. Devant l'ancienne villa de la famille au 17 Beethovenstrasse Ă  Oldenbourg, deux Stolpersteine ont Ă©tĂ© posĂ©es pour commĂ©morer le couple assassinĂ©[286]. Le fils aĂ®nĂ© Dr Ernst Louis Reyersbach, nĂ© le Ă  Oldenbourg, a Ă©migrĂ© aux États-Unis en 1938 sous le nom Ernest L. Reyersbach, oĂą il est mort en Pennsylvanie en 1976. Le deuxième fils aĂ®nĂ© Fritz Reyersbach, nĂ© le Ă  Oldenbourg, a Ă©migrĂ© aux États-Unis en 1945, oĂą il a vĂ©cu comme mĂ©decin sous le nom Fred Ryersbach en Vermont, oĂą il est mort en 1999. Le SaM bachelier Hans Reyersbach, le troisième fils aĂ®nĂ© a Ă©migrĂ© en juillet 1936 en Afrique du Sud, oĂą il est mort en octobre 1976. Le plus jeune enfant de la famille, la fille Charlotte Maria Reyersbach, appelĂ©e « Lotte », nĂ©e le Ă  Oldenbourg, a Ă©migrĂ© Ă  l'Angleterre via Hanovre en juin 1939[280] - [283] oĂą elle est morte en Oxfordshire en 2013 (mariĂ©e McLean) ;
  • Josef Rings (de) (1878–1957), architecte, urbaniste, professeur d'universitĂ© et d'Ă©tablissements, auteur et SaM parent. Entre 1926 et 1929, il a supervisĂ© la crĂ©ation et l'expansion de Schule am Meer sur l'Ă®le de Juist de la Frise orientale en mer du Nord, que son fils Werner Rings (de) (1910–1998) a frĂ©quentĂ©e pendant cette pĂ©riode[287]. L'architecte berlinois Bruno Ahrends (en) y a Ă©galement participĂ© entre 1929 et 1931 ;
  • Werner Rings (de) (1910–1998), SaM bachelier (mars 1929)19_mai_1910_Ă _Offenbach-sur-le-Main,_fils_d'architecte_[[:Josef_Rings]] [[:de:Josef_Rings|(de)]][[CatĂ©gorie:Article_contenant_un_appel_Ă _traduction_en_allemand]],_Essen_(Ruhr)._288-0">[288]. Vraisemblablement pour le bien de son père, un architecte, il a commencĂ© des Ă©tudes d'architecture en 1929, qu'il a interrompues. Au lieu de cela, il a Ă©tudiĂ© la philosophie, la musicologie et la sociologie Ă  Berlin et Fribourg-en-Brisgau. En 1932/33, en tant qu'assistant scientifique Ă  l'institut de recherche sur les journaux de l'UniversitĂ© de Heidelberg, il s'occupa de recherches radiophoniques jusqu'Ă  ce qu'il soit expulsĂ© après le transfert du pouvoir aux nationaux-socialistes en raison de son origine en partie juive. Il Ă©tait considĂ©rĂ© comme un « mĂ©tisse juif du premier degrĂ© » ou « demi-juif (en) ». En 1933, il Ă©migre en Espagne et assiste Ă  la guerre civile. LĂ , il a travaillĂ© comme consultant et rĂ©dacteur en chef pour le gouvernement rĂ©publicain. Il a mis en place un service d'information comprenant un aperçu des Ă©missions de radio Ă©trangères. Pendant la guerre civile, il a rĂ©alisĂ© un grand nombre de reportages photographiques. En raison de la victoire de la Falange (fascistes) sous le gĂ©nĂ©ral Francisco Franco, il a dĂ» quitter le pays. De 1939 Ă  1942, il vĂ©cut en France, après l'occupation de Paris, dans la partie inoccupĂ©e du pays, oĂą il travailla pour un service auxiliaire des armĂ©es françaises jusqu'Ă  ce que lĂ  aussi cela devienne trop dangereux pour lui. En 1942, il s'enfuit en Suisse. Il a Ă©tĂ© reconnu comme rĂ©fugiĂ© et a obtenu l'asile permanent Ă  la fin des annĂ©es 1940. De 1947 Ă  1949, il est attachĂ© de presse du Festival international du film de Locarno et des Settimane musicali Ascona (it). Jusqu'en 1965, il a travaillĂ© comme (photo-)journaliste indĂ©pendant et auteur, par ex. en tant que correspondant europĂ©en pour Schweizer Illustrierte avec les premiers reportages sur l'Allemagne d'après-guerre. De 1965 Ă  1973, Rings a travaillĂ© pour Schweizer Fernsehen (SF) en tant qu'auteur, rĂ©alisateur et producteur de sĂ©ries d'histoire contemporaine. Certaines de ses publications sur la Suisse en guerre et l'or volĂ© Ă  l'Allemagne sont considĂ©rĂ©es comme des ouvrages de rĂ©fĂ©rence[289] - [290] - [291] ;
  • Christian Rohlfs (1849–1938), peintre expressionniste et mĂ©cène de S.a.M. Ă©tait l'un des dĂ©lĂ©guĂ©s syndicaux de la Schule am Meer. Rohlfs a fourni au pensionnat des originaux de ses propres Ĺ“uvres pour une exposition dans le salle de dessin, y compris des aquarelles et des dessins[292] ;
  • Jens Rohwer (de) (1914–1994), SaM bachelier mars 1933 (bac avec distinction)6_juillet_1914_Ă _NeumĂĽnster,_Holstein,_fils_de_fabricant_Klaus_Rohwer,_NeumĂĽnster._293-0">[293], stipendier de Schule am Meer. Jens JĂĽrgen Rohwer a suivi des cours de violon dès l'âge de 9 ans et des cours de piano peu après. Il a commencĂ© Ă  composer tĂ´t et Ă  l'âge de onze ans, il a dĂ©jĂ  Ă©tĂ© autorisĂ© Ă  jouer sa propre sonate pour piano pour le professeur d'universitĂ© Fritz Stein (en), qui enseignait Ă  Kiel Ă  l'Ă©poque[294]. D'octobre 1930 Ă  avril 1933, Rohwer fut boursier Ă  Schule am Meer sur l'Ă®le de Juist en mer du Nord6_juillet_1914_Ă _NeumĂĽnster,_Holstein,_fils_de_fabricant_Klaus_Rohwer,_NeumĂĽnster._293-1">[293]. LĂ , Rohwer a reçu une instruction musicale du compositeur et pianiste de concert Eduard Zuckmayer (en) et du violoniste Kurt Sydow (de), qui avait Ă©tĂ© formĂ© par Josef Wolfsthal. En tant que camarade de classe, il a rencontrĂ© la compositrice plus tard Felicitas Kestner (en). RĂ©trospectivement, Rohwer a dĂ©crit Martin Luserke comme un « professeur aux multiples talents et un pianiste exceptionnel de Bach ». Rohwer attribue Ă  Schule am Meer, d'avoir eu la plus grande influence sur lui pendant sa jeunesse[294] ;
  • Ludwig Roselius (1874–1943), grossiste en cafĂ©, collectionneur d'art et mĂ©cène d’art, mĂ©cène de SaM. La sociĂ©tĂ© de Roselius, Kaffee HAG (en), appartenait Ă  l'Angelsachsen-Verlag (de) fondĂ©e en 1921 Ă  BrĂŞme, qui a publiĂ© un grand nombre de publications de Schule am Meer et certaines de Martin Luserke[295] - [296] ;
  • Julius Schindler (de) (1878–1941), Ă©tait un importateur et exportateur de machines et d'huile minĂ©rale, propriĂ©taire de raffineries produisant des produits pour les industries chimiques, cosmĂ©tiques et mĂ©dicales, et propriĂ©taire de pĂ©troliers, un mĂ©cène de sciences et un SaM parent. Il a Ă©tĂ© impliquĂ© dans les communautĂ©s juives des villes d'Altona et de Hambourg. Il a fait don de sommes considĂ©rables Ă  Hamburg Scientific Foundation (en). De 1930 Ă  1932, il a permis Ă  son fils Fritz, nĂ© le Ă  Hambourg, qui avait auparavant Ă©tĂ© Ă©lève Ă  l'Ă©cole maternelle privĂ©e pour garçons de Mlle Cläre Lehmann (de) Ă  Hambourg, d'aller Ă  Schule am Meer30_janvier_1920_Ă _Hambourg,_fils_de_[[:Julius_Schindler_(Unternehmer)|Julius_Schindler]] [[:de:Julius_Schindler_(Unternehmer)|(de)]][[CatĂ©gorie:Article_contenant_un_appel_Ă _traduction_en_allemand]],_Hambourg._297-0">[297]. LĂ , Fritz se lie d'amitiĂ© avec Hagen Distelbarth (1918–1941), un fils de Paul Distelbarth. Julius Schindler a quittĂ© l'Allemagne Ă  l'automne 1931 et a pris la citoyennetĂ© de la PrincipautĂ© du Liechtenstein l'annĂ©e suivante. En 1932, Ă  la demande de ses parents, Fritz quitte Schule am Meer. Au cours de l'annĂ©e 1938, les entreprises de Schindler sont « aryanisĂ©es » par les nazis. En 1939, Schindler Ă©migre de France aux États-Unis[298] ;
  • L'alpiniste Cenzi Sild (de) (1878–1956) et son mari, l'avocat viennois Johann Sild (1880–1937), appelĂ© « Hans » ou « Hannes » ont dĂ©cidĂ© de financer la scolaritĂ© de leur fils aĂ®nĂ© Ulrich Sild (nĂ© le Ă  Vienne) sur une Ă®le de la mer du Nord, qui souffrait d'asthme bronchique. Avant la Première Guerre mondiale, Cenzi Sild Ă©tait l'une des alpinistes autrichiennes les plus connues. Son mari et plusieurs membres de sa famille Ă©taient Ă©galement des alpinistes accomplis. Les publications contemporaines indiquent une attitude de nationalitĂ© allemande ou « völkisch » de la famille[299]. Johann Sild Ă©taient parmi les dĂ©lĂ©guĂ©s syndicaux de l'internat SaM et Ă  Vienne ont informĂ© et conseillĂ© les parents d'Ă©tudiants privĂ©s potentiels Ă  ce sujet[263] ;
  • Ulrich Sild (1911–1937), appelĂ© « Uli » (dire comme: ouli), le SaM bachelier (mars 1931) de Vienne est issu du Jugendbewegung (= mouvement de jeunesse) et le Wandervogel4_juin_1911_Ă _[[Vienne_(Autriche)|Vienne]],_fils_de_l'avocat_Dr_Hans_Sild,_Vienne,_Autriche._300-0">[300]. Il Ă©tait souvent sur la scène de la salle de spectacle de la Schule am Meer. L'Ă©tudiant athlĂ©tique aimait jouer au hockey sur la plage et probablement aussi au hockey sur glace sur des lacs gelĂ©s près de l'internat. Uli a Ă©tĂ© Ă©lu au bureau de la Aussengemeinde (= CommunautĂ© externe de la Schule am Meer) avec l'Ă©lève juif Hans Reyersbach (nĂ© le Ă  Oldenbourg)17_novembre_1911_Ă _[[Oldenbourg]],_fils_de_commerçant_Franz_Reyersbach_(1880–1936),_Oldenbourg._278-1">[278] - [280]. Uli a organisĂ© les voyages annuels de ski et d'alpinisme de l'internat SaM entre 1929 et 1931[301]. Grete Dispeker a participĂ© au premier voyage en septembre 1929 et a Ă©crit son premier ouvrage littĂ©raire Ă  ce sujet en 1932 (publiĂ© posthume en 1999)[128]. En tant qu'Ă©tudiant en droit Ă  Innsbruck et Vienne, Uli a Ă©tĂ© impliquĂ© en tant que faciliteur de son internat Schule am Meer[302]. Il est devenu fonctionnaire du Club alpin germano-autrichien (DĂ–AV), le prĂ©sident de la section acadĂ©mique Ă  Vienne. 14 jours avant son dernier examen acadĂ©mique, il est tuĂ© par un chute de pierres sur la montagne et chute de plusieurs centaines de mètres avec son cordĂ©e très expĂ©rimentĂ©e, comprenant entre autres Walter Mittelholzer ;
  • Le noble architecte Wilhelm von Tettau (de) (1872–1929) de Berlin et son Ă©pouse Ada Freifrau von Tettau Contessa NiĂ«vo (1879–1960), nĂ©e comtesse NiĂ«vo, ont permis Ă  leur fille Jolanda Ada Paola Lucia Freiin von Tettau (1908–2005) d'aller Ă  l'internat Schule am Meer sur l'Ă®le de la mer du Nord9_dĂ©cembre_1908_Ă _[[Berlin-Charlottenbourg|Charlottenbourg]]_près_de_[[Berlin]],_fille_d'architecte_Prof._[[:Wilhelm_von_Tettau]] [[:de:Wilhelm_von_Tettau|(de)]][[CatĂ©gorie:Article_contenant_un_appel_Ă _traduction_en_allemand]],_[[Berlin-Lankwitz]]._303-0">[303]. Au lieu de cela, son frère jumeau Wolfram Lionello Donatello Freiherr von Tettau (1908–1956) a frĂ©quentĂ© Askanisches Gymnasium (de), un lycĂ©e Ă  Berlin.
  • Howard Trivers (1909–1987), Ă©tudiant invitĂ© Ă  SaM en Ă©tĂ© 193230_septembre_1909_Ă _New_York_City,_États-Unis._304-0">[304]. Il a Ă©tudiĂ© Ă  l'universitĂ© de Princeton (Bachelor of Arts, 1930), Ă  l'universitĂ© de Heidelberg (1933), Ă  l'universitĂ© de Fribourg-en-Brisgau (1938) et Ă  l'universitĂ© Harvard (Master of Arts, 1932 et doctorat, 1941)[305]. Ă€ partir de 1941, il a Ă©tĂ© employĂ© dans la division d'Europe centrale du dĂ©partement d'État des États-Unis au dĂ©partement des Ă©tudes territoriales et en tant qu'assistant dĂ©partemental dans un groupe de travail enquĂŞtant sur les activitĂ©s nazies. Dans son travail diplomatique, il a participĂ© Ă  l'Ă©laboration des propositions de politique amĂ©ricaine concernant la capitulation du Troisième Reich et la capitulation du Japon en 1945 et lors de la ConfĂ©rence de Potsdam. Trivers a participĂ© Ă  des nĂ©gociations et confĂ©rences internationales, notamment la rĂ©union de Paris des ministres des Affaires Ă©trangères qui a mis fin au blocus de Berlin en 1949. Au dĂ©partement d'État des États-Unis, il Ă©tait alors responsable des affaires polonaises, baltes et tchĂ©coslovaques, poste qu'il a occupĂ© pendant le soulèvement hongrois de 1956. Trivers Ă©tait alors directeur du Bureau de recherche et d'analyse du bloc sino-soviĂ©tique du dĂ©partement d'État amĂ©ricain. Il a participĂ© Ă  l'Ă©laboration de la politique relative Ă  la crise des missiles de Cuba. En 1969, il dĂ©missionne du dĂ©partement d'État[306]. Trivers Ă  partir de 1972 Ă©tait professeur invitĂ© et professeur agrĂ©gĂ© de sciences politiques Ă  l'UniversitĂ© d'État de Ball de Muncie[307] - [308] ;
  • Alfred Weber (1868–1958), Ă©conomiste, gĂ©ographe, sociologue et thĂ©oricien de la culture. Il Ă©tait l'un des dĂ©lĂ©guĂ©s syndicaux de Schule am Meer, qui informait et conseillait par Ă©crit les parents intĂ©ressĂ©s[309]. Paul Reiner (de) fut son assistant scientifique Ă  Heidelberg de septembre 1910 Ă  Pâques 1913[265] - [266] - [267]. Alfred Weber Ă©tait parfois l'un des amants d'Else JaffĂ©, qui Ă©tait Ă©galement l'un des dĂ©lĂ©guĂ©s syndicaux de Schule am Meer et un membre de curatorium de la Fondation Schule am Meer (de) ;
  • Le SaM Ă©colier Gideon Weigert (de) (1919–2001)12_mai_1919_Ă _Hambourg,_fils_de_fabricant_Walter_Weigert,_Hambourg._310-0">[310] a quittĂ© Schule am Meer après la prise de pouvoir nazie pour Ă©migrer avec ses parents en Palestine mandataire. Après avoir Ă©tĂ© diplĂ´mĂ© de l'Ă©cole, Gideon a Ă©tudiĂ© l'agriculture au Collège agricole Ben-Shemen et l'Ă©levage Ă  Hadera et appartenait au kibboutz Sarid. Pendant ses Ă©tudes, cependant, il a vĂ©cu avec une famille palestinienne Ă  HaĂŻfa pour apprendre la langue arabe. Son kibboutz a refusĂ© de lui permettre d'Ă©tudier l'arabe. Il partit donc, Ă©tudia en 1941/42 Ă  l'Ă©cole de formation des enseignants arabes A-Nahda Ă  JĂ©rusalem et en devint le premier diplĂ´mĂ© juif. De 1942 Ă  1945, il Ă©tudie la littĂ©rature arabe et la philosophie islamique Ă  l'Institut d'Ă©tudes orientales de l'UniversitĂ© hĂ©braĂŻque de JĂ©rusalem. Parallèlement, il travaillait dĂ©jĂ  comme journaliste pour un hebdomadaire arabe et un journal arabe Ă  Jaffa[311]. Il fut le premier Juif Ă  travailler pour la radio arabe de JĂ©rusalem. De 1945 Ă  1967, il travaille pour The Palestine Post, qui devient The Jerusalem Post en 1950. Ă€ partir de 1960, il rend compte des problèmes de la population arabe (arabes et druzes) en IsraĂ«l et Ă  partir de 1967 sur les territoires occupĂ©s par IsraĂ«l après la Guerre des Six Jours et l'aspect des droits de l'homme. Le 1er mai 1970, il s'est rendu Ă  Genève pour tĂ©moigner devant le ComitĂ© des Nations Unies en tant que tĂ©moin oculaire des violations des droits de l'homme dans les territoires de Palestine occupĂ©s par IsraĂ«l[312] - [313]. En 1972, il entreprend une tournĂ©e de confĂ©rences en Europe. Lui et sa femme Mazal Weigert (comme auteur : Mazal Vaigert) ont publiĂ© toute une sĂ©rie de livres[314] ;
  • Carl Zuckmayer (1896–1977), Ă©crivain et dramaturge[315], a visitĂ© et coopĂ©rĂ© temporairement avec son frère aĂ®nĂ© Eduard Zuckmayer (en) (1890–1972) et Martin Luserke (1880–1968) Ă  SaM. LĂ , en 1929, il travaille sur le texte de « Kakadu - Kakada », la composition d'une pièce de théâtre pour enfants de son frère. Bien sĂ»r, il a Ă©galement rencontrĂ© Martin Luserke, pour qui il a dĂ©veloppĂ© une antipathie. Cela peut avoir influencĂ© le dossier de Zuckmayer sur Luserke et la Schule am Meer, qu'il a Ă©crit pour l'Office of Strategic Services (OSS) des États-Unis, l'ancĂŞtre de la Central Intelligence Agency (CIA) en 1943/44[316]. Il Ă©tait considĂ©rĂ© comme un « mĂ©tisse juif du premier degrĂ© » ou « demi-juif (en) » pendant le Troisième Reich ;
  • Eduard Zuckmayer (en) (1890–1972), appelĂ© « Zuck », musicien, pianiste, maestro, compositeur, SaM professeur et primus inter pares du Kameradschaft (de)[31] des dauphins3_aoĂ»t_1890_Ă _[[Nackenheim]],_[[Hesse_rhĂ©nane]]._317-0">[317]. Il est le frère aĂ®nĂ© de l'Ă©crivain bien connu Carl Zuckmayer et est classĂ© comme très douĂ©. Il a Ă©tudiĂ© le droit et la musique Ă  Munich, dirigĂ© au Stadttheater Mainz et enseignĂ© au Städtische Musikhochschule Mainz (de) dirigĂ© par Hans Rosbaud. En 1925, il suit l'appel de Luserke Ă  Schule am Meer et interrompt une carrière très prometteuse de pianiste concertiste. Cette Ă©tape semblait presque incomprĂ©hensible. La raison en Ă©tait son virage vers le Jugendmusikbewegung (de) ou Singbewegung (de) (= Mouvement musical des jeunes ou Mouvement de chant), issu du Jugendbewegung. L'art de la persuasion de Luserke a peut-ĂŞtre Ă©tĂ© le facteur dĂ©cisif. Il aimait tellement l'internat qu'il s'y engagea avec beaucoup d'enthousiasme et de productivitĂ© et y resta jusqu'Ă  la fermeture de SaM Ă  la fin de mars 1934. Après cela, il a Ă©tĂ© brièvement employĂ© Ă  l'Odenwaldschule, oĂą il a rencontrĂ© certains de ses Ă©lèves de Juist, par ex. Felicitas Kestner (en) et Beate Köstlin. En 1935, il est expulsĂ© de la Chambre de la culture du Reich (RKK) pour des raisons « raciales », parce qu'il Ă©tait considĂ©rĂ© comme un « mĂ©tisse juif du premier degrĂ© » ou « demi-juif (en) ». Paul Hindemith s'est arrangĂ© pour qu'il Ă©migre en Turquie. Au nom du prĂ©sident Kemal AtatĂĽrk, Eduard Zuckmayer est devenu une figure formatrice de l'Ă©ducation musicale turque, dans laquelle il a intĂ©grĂ© les principes du Jugendmusikbewegung (de) (mouvement musical des jeunes)[318]. Jusqu'en 1970, il a formĂ© presque tous les professeurs de musique turcs et y est restĂ© une personnalitĂ© respectĂ©e et dont on se souvient Ă  ce jour[319] - [320]. Il a rencontrĂ© sa partenaire Gisela Jockisch (1905–1985), nĂ©e GĂĽnther[321], Ă  Schule am Meer. Elle le suivit Ă  Ankara avec sa petite fille en 1938. Après s'ĂŞtre mariĂ© en 1947, Zuckmayer a adoptĂ© la fille. Il est restĂ© liĂ© Ă  S.a.M. tout au long de sa vie et a maintenu des contacts amicaux avec d'anciens Ă©lèves tels que Oswald zu MĂĽnster (de) (1917–2003) jusqu'Ă  sa mort[107]. Pour l'ancien PDG de Daimler AG, Edzard Reuter, Zuckmayer Ă©tait « un homme très bien, très calme ». Il s'en dĂ©gageait une atmosphère « tout Ă  fait unique » quand « il s'asseyait au piano et jouait »[322]. Un film documentaire allemand de 2015 met en lumière le travail de Zuckmayer[323].

Notes et références

  1. 18_février_1884_à_[[Berthoud|Burgdorf]],_[[Suisse]].-1" class="mw-reference-text">Dossiers de l'enseignant, p. 3. Rudolf Aeschlimann, né le à Burgdorf, Suisse.
  2. 17_décembre_1877_à_[[Vienne_(Autriche)|Vienne]],_[[Autriche-Hongrie]].-2" class="mw-reference-text">Dossiers de l'enseignant, p. 6. Fritz Hafner, né le à Vienne, Autriche-Hongrie.
  3. Leopold Schwarzschild (Ed.): Das Neue Tage-Buch, vol. 5, no 1, Nederlandsche Uitgeverij, Paris/Amsterdam, , p. 21, (OCLC 183308541).
  4. 8_mai_1880_à_Berlin.-4" class="mw-reference-text">Dossiers de l'enseignant, p. 1. Martin Luserke, né le à Berlin.
  5. Der Nachmittag gehörte der Körperbildung und Kunst. En: Ostfriesischer Kurier, no 101, 3 mai 1990, p. 31.
  6. Dr_Paul_Reiner,_né_le_3_février_1886_à_Nuremberg.-6" class="mw-reference-text">Dossiers de l'enseignant, p. 5. Dr Paul Reiner, né le à Nuremberg.
  7. Dudek 2009, p. 59.
  8. Beihilfe für den Bühnenfonds der Stiftung Schule am Meer in Juist [Aide d'État pour le fonds d'étape de la Fondation École au bord de la mer, Juist], Staatsarchiv Hamburg [Archives d'État de Hambourg], fichier 361-2 V_894 a, sur hamburg.de
  9. Stiftung Schule am Meer, Juist (= Fondation École au bord de la mer, Juist). En: Landesarchiv Baden-Württemberg (= Archive d'État Bade-Wurtemberg), Abt. Generallandesarchiv Karlsruhe, fichier: 69 Baden, Salem-13, no 982, sur deutsche-digitale-bibliothek.de
  10. Luserke, Martin – Stiftung Schule am Meer, Juist/Ostfriesland (= Luserke, Martin – Fondation Schule am Meer, Juist). En: Geheimes Staatsarchiv Preußischer Kulturbesitz (= Archives secrètes d'État du patrimoine culturel prussien), VI. HA, Nl Grimme, A., fichier 2058, sur deutsche-digitale-bibliothek.de
  11. Staatskommissar für die Regelung der Wohlfahrtspflege in Preußen: Schule am Meer, Juist – Antrag zur Sammlung von Geldspenden zugunsten eines Hallenbaus zur Verbesserung der kulturellen und sportlichen Ausbildungsmöglichkeiten (= Schule am Meer, Juist – Demande de collecte de dons monétaires afin d'ériger une salle de scène pour améliorer les possibilités d'entraînement culturel et sportif), sur deutsche-digitale-bibliothek.de
  12. 22_avril_1932.-12" class="mw-reference-text">Journal de bord. Entrée de journal .
  13. 27_février_1891_à_[[Francfort-sur-le-Main]].-13" class="mw-reference-text">Dossiers de l'enseignant, p. 4. Anni Reiner, née le à Francfort-sur-le-Main.
  14. 11_mars_1932.-14" class="mw-reference-text">Journal de bord. Entrée de journal .
  15. La deuxième école progressiste allemand sur une île en mer est Hermann Lietz-Schule (de) sur l'île Spiekeroog, fondé en 1928 par Alfred Andreesen (de) (1886–1944).
  16. Prof. Dr Margarita Schweitzer, Andrés Manjón – ein spanischer und christlicher Reformpädagoge. Königshausen & Neumann, Würzburg 1987, p. 76, (ISBN 3-88479-310-1).
  17. 24_juin_1918_à_[[Smržovka|Morgenstern]]_près_de_[[Jablonec_nad_Nisou|Gablonz_an_der_Neiße]],_[[Bohême]],_fils_de_l'agriculteur_[[Paul_Distelbarth]],_Rittelhof,_[[Wurtemberg]].-17" class="mw-reference-text">Dossiers de l'élève, p. 165. Paul Hagen Distelbarth, né le à Morgenstern près de Gablonz an der Neiße, Bohême, fils de l'agriculteur Paul Distelbarth, Rittelhof, Wurtemberg.
  18. 4_juin_1911_Ă _[[Vienne_(Autriche)|Vienne]],_fils_de_l'avocat_Dr_Hans_Sild_et_l'alpiniste_[[:Cenzi_Sild]] [[:de:Cenzi_Sild|(de)]][[CatĂ©gorie:Article_contenant_un_appel_Ă _traduction_en_allemand]],_Vienne.-18" class="mw-reference-text">Dossiers de l'Ă©lève, p. 83. Ulrich Sild, nĂ© le Ă  Vienne, fils de l'avocat Dr Hans Sild et l'alpiniste Cenzi Sild (de), Vienne.
  19. Dr Herbert Giffei (de): Martin Luserke – Ein Wegbereiter der modernen Erlebnispädagogik? En: Wegbereiter der modernen Erlebnispädagogik, carnet 5, Edition Erlebnispädagogik, Lüneburg 1987, (OCLC 882518476).
  20. La plupart des Ă©coles secondaires en Allemagne ont Ă©tĂ© construites pendant la pĂ©riode impĂ©riale (1871-1918). Une aula (de) (« salle des actes ») Ă©tait toujours prĂ©vue dans le bâtiment principal. Il s'agissait une grande salle avec une scène et un rideau de scène, souvent une galerie et des sièges. Aucune de ces Ă©coles supĂ©rieures n'a reçu de salle de spectacle autonome. Le théâtre scolaire n'Ă©tait guère Ă  l'horaire des Ă©coles publiques Ă  l'Ă©poque. L'aula Ă©tait principalement destinĂ© aux reprĂ©sentations de la chorale et de l'orchestre de l'Ă©cole, ainsi qu'aux petits ensembles orchestraux, aux rĂ©citations, Ă  l'accueil officiel des Ă©lèves d'une nouvelle annĂ©e scolaire et de leurs parents, et aux cĂ©rĂ©monies festives de remise des diplĂ´mes. Dans la pĂ©riode qui a suivi la Première Guerre mondiale, les Ă©coles secondaires en l'Empire allemand ont rarement Ă©tĂ© construites avec une aula et, après la Seconde Guerre mondiale, plus du tout. Les salles polyvalentes pour l'Ă©ducation physique et divers Ă©vĂ©nements sont devenues la norme la plus rentable et la plus rĂ©gulièrement occupĂ©e. MĂŞme dans les Ă©coles privĂ©es allemandes, y compris dans les Ă©coles Montessori et Waldorf, il n'y a pas de salles de spectacle autonome. Une seule Ă©cole primaire Ă  Berlin annonce sa propre salle de théâtre en ligne, mais ce n'est pas un bâtiment autonome, juste une salle multifonctionnelle comme la plupart des autres Ă©coles. Une salle de théâtre autonome Ă©tait et est une question de coĂ»t, qui ne se pose pas du tout pour les Ă©coles publiques et pas non plus pour les Ă©coles privĂ©es. Ă€ cet Ă©gard, Luserke Ă©tait un pionnier très ambitieux du théâtre amateur dans les Ă©coles allemand; son projet pour son propre théâtre n'a pu ĂŞtre rĂ©alisĂ© que sous sa direction personnelle et avec la rencontre heureuse de mĂ©cènes appropriĂ©s, tels que Adolf Grimme et Alfred Hess (en).
  21. Martin Luserke: Zum Abschluss – An die Mitglieder unserer Außengemeinde, . En: Blätter der Außengemeinde der Schule am Meer Juist (Nordsee) [SaM périodique], novembre 1934, p. 1–3.
  22. Dr Herbert Giffei: Martin Luserke – Reformpädagoge, Dichter, Theatermann – Gründer und Leiter der Schule am Meer auf der Nordseeinsel Juist (1925–1934). K. Neubauer, Lüneburg 1990, p. 75, (ISBN 3-8845-6072-7).
  23. Bewegungsspiel. En: Walther Hofstaetter / Ulrich Peters (Ed.): Sachwörterbuch der Deutschkunde, Vol. 1. B. G. Teubner, Leipzig 1930, p. 146, (OCLC 482981882).
  24. Stiftung Schule am Meer (Ed.): Blätter der Außengemeinde der Schule am Meer Juist [SaM périodique], Rundbrief no 4, mai 1930, p. 23. [Pâques 1929: 89 élèves en total, dont 26 écolières].
  25. Stiftung Schule am Meer (Ed.): Blätter der Außengemeinde der Schule am Meer Juist [SaM périodique], Rundbrief no 9, août 1931, p. 17. [année scolaire 1930-31: 92 élèves en total, dont 29 écolières].
  26. Prof. Kurt Sydow (de): Musikpädagogische Beiträge aus drei Jahrzehnten (extrait). Citation de Hans Mayer: « Je peux confirmer de ma propre expérience exactement ce que vous écrivez sur les interprétations de Shakespeare par Luserke avec ses [SaM] élèves. Les [élèves de SaM] sont également venus à Cologne vers la fin des - si lointaines - années 1920. Ils ont joué « La Nuit des rois » alors et c'était exactement comme vous l'écrivez. Je n'ai jamais vu le beau travail plus gracieux et serein. Chaque représentation depuis lors, y compris une représentation au Festival de Salzbourg, doit pâlir en comparaison. Le canon « Tais-toi, chien » était irrésistible. Jeunesse et grâce toujours dans l'impolitesse. Dans les théâtres, cela devient toujours une routine scénique, ou plus récemment ce que les dramaturges intellectuels considèrent comme populaire… ».
  27. Neue Werke für den Konzertsaal. En: Bernhard Schuster (Ed.): Die Musik, 24. Jg., XXIV/7 (avril 1932), p. 556, (OCLC 444975926). Citation: « Une nouvelle cantate scolaire d'Eduard Zuckmayer sur un texte de Martin Luserke a récemment été créée à Berlin. »
  28. Otto Hagen: Theaterschau – Berlin: Shakespeare als Bewegungsspiel. Die Jugendaufführung des »Sturms« in Berlin. En: Wolfgang Keller (de) (Ed.) au nom de la Société allemande de Shakespeare: Shakespeare-Jahrbuch, Vol. 64 (Neue Folge V Band), Verlag Bernhard Tauchnitz, Leipzig 1928, p. 221–226, (OCLC 246029798).
  29. Frido Lindemann: Aufführung von Shakespeares »Sturm« als Bewegungsspiel unter der Spielleitung von Martin Luserke. En: Pädagogisches Centralblatt, Vol. 8 (1928), carnet 5, (OCLC 255888243).
  30. Gunther Nickel, Johanna Schrön (Hrsg.): Geheimreport. Wallstein Verlag, Göttingen 2002, p. 160, (ISBN 3-89244-599-0).
  31. Kameradschaft (singulier), Kameradschaften (pluriel) = allemand, sens différent, en anglais: comradeship ou fellowship, groupe ou groupes assemblé de camarades; sens ici: terme du Jugendbewegung allemand. Les subdivisions de la communauté étaient formées d'une dizaine d'élèves d'âge et de sexe différents, sans aucun lien avec les classes. En tant que chef de chaque Kameradschaft, un enseignant était qualifié de primus inter pares.
  32. D. P., Nancy [= Dominique Picard, né le à Lyon, fils de l'ingénieur Jean Picard, Nancy, France]: Eindrücke eines französischen Gastschülers von der Schule am Meer (= Impressions d'un étudiant invité français de Schule am Meer). En: Stiftung Schule am Meer (Ed.): Blätter der Außengemeinde der Schule am Meer Juist [SaM périodique], Rundbrief no 9, août 1931, p. 15–16.
  33. Malgré l'importance de l'architecte berlinois Bruno Ahrends (en) et le caractère unique d'une salle de théâtre scolaire autonome, l'État de Basse-Saxe n'a aucune protection de monument. La raison donnée à l'auteur du WP pour cette décision (2021) était que l'objectif décisif du bâtiment, la salle de spectacle, la scène, les escaliers et la galerie, ont été complètement vidés dans les années 1950.
  34. 14_juillet_1914_à_[[Lyon]],_fils_de_l'ingénieur_Jean_Picard,_Nancy,_Meurthe-et-Moselle,_France._Élève_invité_à_''Schule_am_Meer''_avant_9_juillet_1930.-34" class="mw-reference-text">Dossiers de l'élève, p. 168. Dominique Picard de Lycée Henri-Poincaré, né le à Lyon, fils de l'ingénieur Jean Picard, Nancy, Meurthe-et-Moselle, France. Élève invité à Schule am Meer avant .
  35. 19_février_1911_à_[[Saint-Etienne]],_fils_de_l'ingénieur_[[Louis_Crussard]],_Nancy,_Meurthe-et-Moselle,_France._Élève_invité_à_''Schule_am_Meer''_à_compter_du_27_juillet_1929_jusqu'à_8_septembre_1929.-35" class="mw-reference-text">Dossiers de l'élève, p. 142. Jean Crussard de Lycée Henri-Poincaré, né le à Saint-Etienne, fils de l'ingénieur Louis Crussard, Nancy, Meurthe-et-Moselle, France. Élève invité à Schule am Meer à compter du jusqu'à .
  36. 19_février_1911_à_Saint-Etienne,_fils_de_l'ingénieur_Louis_Crussard,_Nancy,_Meurthe-et-Moselle,_France._Élève_invité_à_''Schule_am_Meer''_à_compter_du_27_juillet_1929_jusqu'à_8_septembre_1929.-36" class="mw-reference-text">Dossiers de l'élève, p. 143. François Crussard de Lycée Henri-Poincaré, né le à Saint-Etienne, fils de l'ingénieur Louis Crussard, Nancy, Meurthe-et-Moselle, France. Élève invité à Schule am Meer à compter du jusqu'à .
  37. 15_décembre_1912_à_Nancy,_fils_de_l'entrepreneur_Emile_France-Lanord_(1879–1931),_Nancy,_Meurthe-et-Moselle,_France._Élève_invité_à_''Schule_am_Meer''_à_compter_du_20_juin_1931_jusqu'à_16_juillet_1931.-37" class="mw-reference-text">Dossiers de l'élève, p. 194. Jean France-Lanord de Lycée Henri-Poincaré, né le à Nancy, fils de l'entrepreneur Emile France-Lanord (1879–1931), Nancy, Meurthe-et-Moselle, France. Élève invité à Schule am Meer à compter du jusqu'à .
  38. 30_septembre_1909_à_New_York_City,_États-Unis._Étudiant_invité_à_''Schule_am_Meer''_à_compter_du_24_juin_1932_jusqu'à_28_août_1932.-38" class="mw-reference-text">Dossiers de l'élève, p. 215. Howard Trivers, né le à New York City, États-Unis. Étudiant invité à Schule am Meer à compter du jusqu'à .
  39. Englisches Theater in der Schule am Meer. En: Stiftung Schule am Meer (Ed.): Blätter der Außengemeinde der Schule am Meer Juist [SaM périodique], Rundbrief no 9, août 1931, p. 12–15.
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  41. Preussische Verlustliste [Liste prussienne des victimes], no 922. En: Deutsche Verlustlisten [Listes des victimes allemandes], no 1597, , p. 20284.
  42. Prof. Dr Christa Uhlig: Reformpädagogik und Schulreform: Diskurse in der sozialistischen Presse der Weimarer Republik; Quellenauswahl aus den Zeitschriften „Die Neue Zeit“ / „Die Gesellschaft“ und „Sozialistische Monatshefte“ (1919–1933). Peter Lang Internationaler Verlag der Wissenschaften, Francfort-sur-le-Main u. a. 2008, p. 95, (ISBN 978-3-631-55703-7).
  43. 4_juin_1929.-43" class="mw-reference-text">Journal de bord. Entrée de journal .
  44. Dr Alexander Priebe: Vom Schulturnen zum Schulsport. Die Reform der körperlichen Ausbildung in den Deutschen Landerziehungsheimen und der Freien Schulgemeinde Wickersdorf von 1898 bis 1933. Verlag Julius Klinkhardt, Bad Heilbrunn 2007. p. 21, 181, (ISBN 978-3-7815-1561-1).
  45. Ulrich Schwerdt: Der Reformpädagoge Martin Luserke und seine Schule am Meer. Dissertation, Université Paderborn, Faculté 2, Paderborn 1986.
  46. Dr Hans Peter Schöniger: Die Bildung des ganzen Menschen – Zur Geschichte eines reformpädagogischen Ideals. Schneider-Verlag Hohengehren, Baltmannsweiler 2004, p. 420, (ISBN 978-3-89676-796-7).
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  48. Prof. Dr Jörg W. Ziegenspeck (de) (Ed.): Martin Luserke. Reformpädagoge – Dichter – Theatermann; Gründer und Leiter der Schule am Meer auf der Nordseeinsel Juist (1925–1934) (= Wegbereiter der modernen Erlebnispädagogik, Vol. 6). Neubauer, Lüneburg 1990, (ISBN 3-929058-07-3).
  49. Jochen Büsing: Im Loog… Die wechselvolle Geschichte des anderen Juister Ortsteils. Burchana Verlag, Borkum 2010, sans ISBN, p. 61, (OCLC 838323042).
  50. Thomas Alexander (en), Beryl Parker: The New Education in the German Republic. The John Day Company, Inc., New York City 1929, p. 205–206.
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  52. [Prof. Dr] Ulrich Schwerdt: Martin Luserke (1880–1968). Reformpädagogik im Spannungsfeld von pädagogischer Innovation und kulturkritischer Ideologie. Eine biographische Rekonstruktion. Thése de doctorat. Peter Lang Internationaler Verlag der Wissenschaften, Francfort-sur-le-Main u. a. 1993, p. 209–210, 232–233, (ISBN 3-631-46119-4).
  53. Dr Franz L. Pelgen: Das Laienspiel und die Spielweise Martin Luserkes. Thèse de doctorat, Université Ludwig Maximilien, Faculté de Philosophie, Munich 1957, (OCLC 720438378).
  54. Prof. Dr Wilfried Gruhn (de): …und wir sind immer noch im Aufbruch. Eduard Zuckmayer – Musiker und Pädagoge im Umbruch der Jugendbewegung. En: Forum Musikpädagogik – Musikpädagogische Forschungsberichte, Vol. 6, Wissner, Augsburg 1993, p. 450–465, ISSN 0946-543X, (OCLC 1157268318).
  55. Prof. Kurt Sydow: Eduard Zuckmayer zum 70. Geburtstag. En: Musik im Unterricht, Schott, Mainz 1960, p. 264–265, (OCLC 723498742).
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  57. Dr Alfred Ehrentreich (de): Martin Luserkes Vision des Shakespeare-Theaters. In: Bildung und Erziehung. Vol. 4/1965. Schwann, Düsseldorf 1965, p. 284–295.
  58. Dr Herbert Giffei: Martin Luserke und das Theater. Landesarbeitsgemeinschaft fĂĽr Spiel und Amateurtheater in Nordrhein-Westfalen (Ed.). Recklinghausen 1979, (OCLC 174452579).
  59. Dr Herbert Giffei: Darstellendes Spiel. Bauform und Inszenierung von Bewegungsspielen. Das Theatermodell Martin Luserkes. Schultheater. SEK II. Pädagogisches Zentrum, Berlin 1979, (OCLC 711709422).
  60. Kakadu – Kakada. Pièce de théâtre pour enfants en sept actes (1929), texte de Carl Zuckmayer, musique de Eduard Zuckmayer (en), non officiel prémière à Schule am Meer, Juist
  61. « Kakadu – Kakada », sur lostart.de.
  62. « Kakadu – Kakada », sur uni-goettingen.de.
  63. Kakadu – Kakada. Pièce de théâtre pour enfants en sept actes de Carl Zuckmayer, musique de Eduard Zuckmayer. Staatsschauspiel Dresden, officiel prémière 6 décembre 1931, sur deutsche-digitale-bibliothek.de
  64. Berichte der Schule am Meer Juist (Nordsee) – Zusammenfassender Bericht über die beiden ersten Jahre der Schule 1925–1927 [Rapports de Schule am Meer Juist (mer du Nord) – Rapport sommaire des deux premières années de l'école 1925-1927]. No. 7, p. 15.
  65. Dr Hans Peter Schöniger: Es war einmal eine Schule am Rande der Welt… En: Deutsche Lehrerzeitung, 42/1995. no 5, février 1995. Verlag Deutsche Lehrerzeitung Volk und Wissen Becker. Berlin / Velten 1995, p. 15, (OCLC 263593469).
  66. 10_mai_1932.-66" class="mw-reference-text">Journal de bord. Entrée de journal .
  67. Die Schule am Meer auf Juist. En: Gesine zu Münster (Ed.), Oswald zu Münster (de): Fototagebuch Band 1 – Aufenthalt in den Landschulheimen Schule am Meer auf Juist und in Marienau 1931–1937. Bei der Olympiade 1936, Berlin. FTB-Verlag, Hamburg 2015, p. 3–5, (ISBN 978-3-946144-00-7).
  68. 24_mai_1932.-68" class="mw-reference-text">Journal de bord. Entrée de journal .
  69. Prof. Dr Gunther Nickel, Johanna Schrön (Ed.): Geheimreport. Wallstein, Göttingen 2002, p. 161, (ISBN 3-89244-599-0).
  70. 28_novembre_1931.-70" class="mw-reference-text">Journal de bord. Entrée de journal .
  71. 12_mai_1932.-71" class="mw-reference-text">Journal de bord. Entrée de journal .
  72. 24_mai_1933.-72" class="mw-reference-text">Journal de bord. Entrée de journal .
  73. Dudek 2009, p. 293.
  74. Thomas Aititsch: Eine Schule am Meer… In: Schule, Vol. 225, Landesschulrat für Steiermark (Ed.), Graz, November 2010, p. 6–7.
  75. Prof. Dr Dr Dr Gertrud Pfister (de): Die Geschichte der Koedukation – Eine Geschichte des Kampfes um Wissen und Macht (= L'histoire de la mixité - Une histoire de la lutte pour le savoir et le pouvoir). En: Zurück zur Mädchenschule? Beiträge zur Koedukation (= Retour à l'école des filles? Contributions à la mixité). Centaurus-Verlag, Pfaffenweiler 1988, p. 10–37, (ISBN 3-89085-226-2).
  76. Prof. Dr Andreas Lischewski, Prof. Dr Janne Fengler: New Schools – Écoles Nouvelles – Landerziehungsheime. Zum historischen Auftakt reformpädagogisch motivierter Schulversuche. In: Prof. Dr Heiner Barz (Ed.): Handbuch Bildungsreform und Reformpädagogik. Springer, Berlin 2017, (ISBN 978-3-658-07490-6), p. 229–241.
  77. Walter Frey-Mauerhofer: Rudolf Aeschlimann. En: Burgdorfer Jahrbuch 1963 (fichier PDF; 46,6 MB), p. 193–199, sur unibe.ch
  78. 1er_fĂ©vrier_1923_Ă _Saalfeld,_[[Thuringe]],_fils_d'enseignant_[[:Rudolf_Aeschlimann]] [[:de:Rudolf_Aeschlimann|(de)]][[CatĂ©gorie:Article_contenant_un_appel_Ă _traduction_en_allemand]],_Juist.-78" class="mw-reference-text">Dossiers de l'Ă©lève, p. 229. Wolfgang Johann Rudolf Aeschlimann, nĂ© le Ă  Saalfeld, Thuringe, fils d'enseignant Rudolf Aeschlimann (de), Juist.
  79. 26_fĂ©vrier_1917_Ă _[[Berlin-Steglitz|Steglitz]],_fils_de_bâtisseur_de_gouvernement_[[:Bruno_Ahrends]] [[:en:Bruno_Ahrends|(en)]][[CatĂ©gorie:Article_contenant_un_appel_Ă _traduction_en_anglais]],_Berlin.-79" class="mw-reference-text">Dossiers de l'Ă©lève, p. 109. Gottfried Bruno Ahrends, nĂ© le Ă  Steglitz, fils de bâtisseur de gouvernement Bruno Ahrends (en), Berlin.
  80. Dossiers de l'élève, p. 183.
  81. Claude P. Bamberger (de): Breaking the Mold – A Memoir. C. Bamberger Molding Compounds Corp., Carlstadt, New Jersey, USA, 1996, p. 18–21, (ISBN 0-9653827-0-2).
  82. Klaus Bamberger: Aus der Geschichte der Familie Bamberger. Kindheitserinnerungen an Lichtenfels (= Kleine CHW-Schriften, Colloquium Historicum Wirsbergense, Heft 2; Lichtenfelser Hefte zur Heimatgeschichte, Sonderheft 3), hrsg. v. Stadtarchiv Lichtenfels, Verlag H. O. Schulze, Lichtenfels 2005, p. 36–37, (ISBN 3-87735-177-8).
  83. Claude P. Bamberger: Breaking the Mold – A Memoir. C. Bamberger Molding Compounds Corp., Carlstadt, New Jersey, USA, 1996, p. 2–24, (ISBN 0-9653827-0-2).
  84. Claude P. Bamberger: Breaking the Mold – A Memoir. C. Bamberger Molding Compounds Corp., Carlstadt, New Jersey, USA, 1996, p. 24–29, (ISBN 0-9653827-0-2).
  85. List or Manifest of Alien Passengers for the United States Immigration Officer at Port of Arrival, 12 (1938), SS Manhattan, Passengers sailing from: Le Havre, France, January 17th, 1938. Arriving at Port of: New York, January 25th, 1938. – Passenger No. 3: Bamberger, Klaus Philipp, Age 17, male, single, student, able to read and write German. Nationality: German, Race or people: Hebrew, Place of Birth: Bamberg, Immigration Visa issued in: Stuttgart, Jan 7/38, Last permanent residence: Switzerland, Nenf Hakel (sic!) [être visé: Neuchâtel]
  86. 14_octobre_1914_Ă _[[Lichtenfels_(Bavière)|Lichtenfels,_Haute-Franconie]],_fille_de_fabricant_[[:Otto_Bamberger]] [[:de:Otto_Bamberger|(de)]][[CatĂ©gorie:Article_contenant_un_appel_Ă _traduction_en_allemand]],_Lichtenfels,_Haute-Franconie.-86" class="mw-reference-text">Dossiers de l'Ă©lève, p. 172. Ruth Bamberger, nĂ©e le Ă  Lichtenfels, Haute-Franconie, fille de fabricant Otto Bamberger (de), Lichtenfels, Haute-Franconie.
  87. 23_septembre_1920_à_[[Bamberg]],_fils_de_fabricant_Otto_Bamberger,_Lichtenfels,_Haute-Franconie.-87" class="mw-reference-text">Dossiers de l'élève, p. 183. Klaus Bamberger, né le à Bamberg, fils de fabricant Otto Bamberger, Lichtenfels, Haute-Franconie.
  88. Dr Katja Schneider (de): Erich Dieckmann. Bemerkungen zu Leben und Werk. In: Prof. Dr Anita Bach (de), Alexander von Vegesack: Erich Dieckmann – Praktiker der Avantgarde: Möbelbau 1921–1933. Bauhaus Weimar, Bauhochschule Weimar, Burg Giebichenstein, Katalog zur Ausstellung 13. Juni – 30. September 1990, Vitra Design Museum, 1990, p. 9–28, (ISBN 3-9802539-1-0).
  89. Claude P. Bamberger: History of a Family – The Bambergers of Mitwitz and Lichtenfels 1770–1992. Selbstverlag, Tenafly, New Jersey, USA, 1993, p. 17, (OCLC 174282770).
  90. Tim Benton (en): Rezension des deutschsprachigen Ausstellungskataloges von Alexander von Vegesack: Erich Dieckmann – Praktiker der Avantgarde. Möbelbau 1921–1933. Vitra Design Museum, Weil am Rhein 1990, (ISBN 3-9802539-1-0). En: Journal of Design History, Vol. 4, no 1 (1991), Design History Society (Hrsg.), Oxford University Press, Oxford, UK, p. 54–57, (OCLC 8290794023).
  91. Fac-similé de manuscrit dactylographique d'un éloge funèbre par Otto Bamberger, Baden-Baden, , sans l'indication d'un auteur [cercle d'amis de Otto Bamberger]. En succession de Mme Henriette Bamberger, née Wolff, en possession de sa fils Claude P. Bamberger et son épouse Mme Mo-Li Bamberger, née Siow, Tenafly, New Jersey, USA.
  92. Otto Bamberger: Entrée du livre de la mort; transmettre par les archives de la ville Baden-Baden, Mme Claudia Falk, de .
  93. Dr Siegfried Rudolph: Ein Mitwitzer Kunstsammler. En: Mitteilungsblatt – Amtsblatt für die Verwaltungsgemeinschaft Mitwitz, no 25 (1992), .
  94. 27_octobre_1910_Ă _Berlin,_fille_de_l'architecte_[[:Otto_Bartning]] [[:en:Otto_Bartning|(en)]][[CatĂ©gorie:Article_contenant_un_appel_Ă _traduction_en_anglais]],_Berlin.-94" class="mw-reference-text">Dossiers de l'Ă©lève, p. 31. Marianne Bartning, nĂ©e le Ă  Berlin, fille de l'architecte Otto Bartning (en), Berlin.
  95. Fein, Otto. En: Österreichische Nationalbibliothek Wien, Dr Susanne Blumesberger (de), Michael Doppelhofer, Gabriele Mauthe (Ed.): Handbuch österreichischer Autorinnen und Autoren jüdischer Herkunft – 18. bis 20. Jahrhundert. Walter de Gruyter, Berlin 2011, entrée no 2378, p. 306, (ISBN 978-3-11-094900-1).
  96. Maria Becker, Regina Carstensen: „Schließlich ist man doch jeden Abend ein anderer Mensch“ – Mein Leben (Autobiografie). Pendo, Zürich 2009, p. 35, (ISBN 978-3-86612-233-8).
  97. Franz Fein. Exilé et Brûlé – La liste des publications, auteurs et éditeurs interdits sous le national-socialisme, sur verbrannte-und-verbannte.de
  98. „Unterwegs“ mit Maria Becker. Barbara Lukesch (de) en: Annabelle (de), , sur lukesch.ch
  99. Maria Becker, Regina Carstensen: Schließlich ist man doch jeden Abend ein anderer Mensch – Mein Leben (Autobiografie). Pendo, Zürich 2009, p. 41–50, (ISBN 978-3-86612-233-8).
  100. Prof. Dr Gertrud Pfister (de): Die Geschichte der Koedukation – Eine Geschichte des Kampfes um Wissen und Macht [L'histoire de la mixité - Une histoire de la lutte pour le savoir et le pouvoir]. En: Zurück zur Mädchenschule? Beiträge zur Koedukation [Retour à l'école des filles ? Contributions à la mixité]. Centaurus-Verlag, Pfaffenweiler 1988, p. 10–37, (ISBN 3-89085-226-2).
  101. Dr Uwe Schmidt (de): Konsolidierung der nationalsozialistischen Schule 1933–1939 (fichier PDF; 2,3 MB). En: Rainer Hering (Ed.): Hamburger Schulen im Dritten Reich, Vol. 1 (= Beiträge zur Geschichte Hamburgs, Vol. 64. Hrsg. v. Verein für Hamburgische Geschichte). Verlag der Staats- und Universitätsbibliothek Hamburg Carl von Ossietzky, Hamburg 2010, p. 305, (ISBN 978-3-937816-75-3).
  102. German actress Maria Becker visits. En: The Inquirer and Mirror, Nantucket, Massachusetts, 02554, coupure de journal sans date sur deux pages, prétendument août 1988, il mentionne Claude Bamberger.
  103. Maria Becker: Pieces of Memory. Memories by Maria Becker – to Claude on the occasion of his 80th birthday in 2000. Essai inédit, Uster, Suisse 2000.
  104. Maria Becker, Regina Carstensen: Schließlich ist man doch jeden Abend ein anderer Mensch – Mein Leben (Autobiografie). Pendo, Zürich 2009, p. 18–21, (ISBN 978-3-86612-233-8).
  105. Maria Becker, Regina Carstensen: Schließlich ist man doch jeden Abend ein anderer Mensch – Mein Leben (Autobiografie). Pendo, Zürich 2009, p. 12, (ISBN 978-3-86612-233-8).
  106. 27_aoĂ»t_1918_Ă _[[Vienne_(Autriche)|Vienne]],_fille_de_principal_[[:Max_Bondy]] [[:de:Max_Bondy|(de)]][[CatĂ©gorie:Article_contenant_un_appel_Ă _traduction_en_allemand]],_Marienau.-106" class="mw-reference-text">Dossiers de l'Ă©lève, p. 208. Annemarie Martha Bondy, nĂ©e le Ă  Vienne, fille de principal Max Bondy (de), Marienau.
  107. Die Schule am Meer auf Juist. En: Gesine zu Münster (Hrsg.) / Oswald zu Münster (de): Fototagebuch Band 1 – Aufenthalt in den Landschulheimen Schule am Meer auf Juist und in Marienau 1931–1937. Bei der Olympiade 1936, Berlin. FTB Verlag, Hamburg 2015, p. 3–5, (ISBN 978-3-946144-00-7).
  108. p. A3.-108" class="mw-reference-text">Journal de bord. Vorgeschichte der Schule am Meer, p. A3.
  109. 17_novembre_1909_Ă _[[Shantou|Swatow]],_fils_de_diplomate_[[:Herbert_von_Borch]] [[:de:Herbert_von_Borch_(Diplomat)|(de)]][[CatĂ©gorie:Article_contenant_un_appel_Ă _traduction_en_allemand]]-109" class="mw-reference-text">Dossiers de l'Ă©lève, p. 13. Herbert von Borch, nĂ© le Ă  Swatow, fils de diplomate Herbert von Borch (de)
  110. Herbert von Borch. En: Munzinger Internationales Biographisches Archiv, sur munzinger.de
  111. Biographisches Handbuch des deutschen Auswärtigen Dienstes 1871–1945. Auswärtiges Amt (Ed.), Schöningh Verlag, Vol. 1 A–F, p. 227, (ISBN 978-3-506-71840-2).
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  115. Er brachte uns Amerika näher – Zum Tod von Herbert von Borch. En: Der Tagesspiegel, , sur tagesspiegel.de
  116. 29_juin_1911_à_Berlin,_fils_de_pharmacien_Isaac_Bry,_Berlin.-116" class="mw-reference-text">Dossiers de l'élève, p. 63. Gerhard Bry, né le à Berlin, fils de pharmacien Isaac Bry, Berlin.
  117. Gerhard Bry (de): Resistence – Recollections from the Nazi Years. West Orange, New Jersey, USA, 1979.
  118. Bernd Florath: War Robert Havemann ein Antisemit?. Bundeszentrale fĂĽr politische Bildung, sur bpb.de
  119. Monika Richarz (de): Bürger auf Widerruf – Lebenszeugnisse deutscher Juden 1790–1945. Verlag C. H. Beck, Munich 1989, p. 458–470, (ISBN 978-3406338564).
  120. Oliver Schmidt: Meine Heimat ist – die deutsche Arbeiterbewegung. Biographische Studien zu Richard Löwenthal im Übergang vom Exil zur frühen Bundesrepublik. Peter Lang Internationaler Verlag der Wissenschaften, Berne, Francfort-sur-le-Main u. a. 2007, p. 83, 93, 95, 104, (ISBN 978-3631558294).
  121. List or Manifest of Alien Passengers for the United States Immigrant Inspector at Port of Arrival: S.S. Queen Mary, Passengers sailing from Southampton, 1st June, 1938, arriving at Port of New York, 6th June, 1938; Pos. 24 Bry, Gerhard, merchant.
  122. List or Manifest of Alien Passengers for the United States Immigrant Inspector at Port of Arrival: S.S. Queen Mary, Passengers sailing from Southampton, 10th December, 1938, arriving at Port of New York, 15th December, 1938; Pos. 8 Henkin, Thea, psychologist.
  123. Dirk Draheim (Ed.): Robert Havemann: Dokumente eines Lebens. Ch. Links Verlag, Berlin 1991, p. 58–59, 70–73, (ISBN 978-3861530220).
  124. 19_février_1911_à_[[Saint-Etienne]],_fils_de_l'ingénieur_[[Louis_Crussard]],_Nancy.-124" class="mw-reference-text">Dossiers de l'élève, p. 142. Jean Crussard, né le à Saint-Etienne, fils de l'ingénieur Louis Crussard, Nancy.
  125. 19_février_1911_à_Saint-Étienne,_fils_de_l'ingénieur_Louis_Crussard,_Nancy.-125" class="mw-reference-text">Dossiers de l'élève, p. 143. François Crussard, né le à Saint-Étienne, fils de l'ingénieur Louis Crussard, Nancy.
  126. Dr Gudrun Fiedler (de), Dr Susanne Rappe-Weber, Prof. Dr Detlef Siegfried (de) (Ed.): Sammeln – erschließen – vernetzen: Jugendkultur und soziale Bewegungen im Archiv. Vandenhoeck & Ruprecht, Göttingen 2014. (ISBN 978-3-8470-0340-3), p. 168.
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  128. Grete Weil: Erlebnis einer Reise – Drei Begegnungen. Verlag Nagel & Kimche, Zürich 1999. (ISBN 978-3-312-00258-0).
  129. Prof. Dr Waldemar Fromm (de), Dr Wolfram Göbel: Freunde Der Monacensia e. V. - Jahrbuch 2009. Books on Demand, Berlin 2009, p. 85, (ISBN 978-3-86906-038-5).
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  131. 27_octobre_1912_à_Berlin,_fils_de_[[Alfred_Döblin]],_psychiatre_et_écrivain,_Berlin.-131" class="mw-reference-text">Dossiers de l'élève, p. 111. Peter Döblin, né le à Berlin, fils de Alfred Döblin, psychiatre et écrivain, Berlin.
  132. (en) Allen M. Jalon, « A New Jersey Tale of Two Alfred Doblins — and One Umlaut », sur forward.com.
  133. Dyckerhoff, Wilhelm Hermann, Hessische Biografie (= Biographie de Hesse). En: Landesgeschichtliches Informationssystem Hessen (LAGIS) (= Système d'information historique de l'État de Hesse).
  134. 23_juillet_1913_Ă _[[:Sandhorst]] [[:en:Sandhorst|(en)]][[CatĂ©gorie:Article_contenant_un_appel_Ă _traduction_en_anglais]]_près_de_[[Aurich]],_fils_de_[[:Wilhelm_Dyckerhoff]] [[:de:Wilhelm_Dyckerhoff|(de)]][[CatĂ©gorie:Article_contenant_un_appel_Ă _traduction_en_allemand]],_Regierungsvizepräsident,_Aurich.-134" class="mw-reference-text">Dossiers de l'Ă©lève, p. 98. Arnold Dyckerhoff, nĂ© le Ă  Sandhorst (en) près de Aurich, fils de Wilhelm Dyckerhoff (de), Regierungsvizepräsident, Aurich.
  135. Dr Gerd Radde (de): Fritz Karsen – ein Berliner Schulreformer der Weimarer Zeit. Colloquium, Berlin 1973, p. 130, (ISBN 978-3-7678-0350-3).
  136. Stiftung Schule am Meer (Ed.): Der vollständige Ausbau der Schule am Meer auf der Nordseeinsel Juist [L'extension complète de Schule am Meer sur l'île de Juist en mer du Nord]. Angelsachsen-Verlag, Brême 1925, p. 14.
  137. (de) Auskunftsblatt über die Schule am Meer auf der Nordseeinsel Juist, Schuljahr 1928/29 : Fiche d'information sur Schule am Meer sur l'île de Juist en mer du Nord, année scolaire 1928/29, p.15.
  138. (de) Auskunftsblatt über die Schule am Meer auf der Nordseeinsel Juist, Schuljahr 1929/30 : Fiche d'information sur Schule am Meer sur l'île de Juist en mer du Nord, année scolaire 1929/30, p.15.
  139. 28_janvier_1920_à_Berlin,_fils_de_l'acteur_[[Theodor_Becker]],_Berlin.-139" class="mw-reference-text">Dossiers de l'élève, p. 176. Maria Else Laura Becker-Fein, née le à Berlin, fils de l'acteur Theodor Becker, Berlin.
  140. Stiftung Schule am Meer (de) (Ed.): Der vollständige Ausbau der Schule am Meer auf der Nordseeinsel Juist [L'extension complète de Schule am Meer sur l'île de Juist en mer du Nord]. Angelsachsen-Verlag, Brême 1925, p. 15.
  141. France-Lanord, Emile. Système d'Information Patrons et Patronat Français, sur: patronsdefrance.fr
  142. Emile France-Lanord. Plaquette d'honneur de l'associsation (fichier PDF, 46 kB), sur lyon.cnrs.fr
  143. Emile FRANCE-LANORD (1879-1931) (fichier PDF, 34 kB), sur lyon.cnrs.fr
  144. 15_décembre_1912_à_Nancy,_fils_de_l'entrepreneur_Emile_France-Lanord_(1879–1931),_Nancy,_Meurthe-et-Moselle,_France._Élève_invité_à_''Schule_am_Meer''_à_compter_du_20_juin_1931_jusqu'à_16_juillet_1931.-144" class="mw-reference-text">Dossiers de l'élève, p. 194. Jean France-Lanord de Lycée Henri-Poincaré, né le à Nancy, fils de l'entrepreneur Emile France-Lanord (1879–1931), Nancy, Meurthe-et-Moselle, France. Élève invité à Schule am Meer à compter du 20 juin 1931 jusqu'à 16 juillet 1931.
  145. Dr habil. Dirk Kaesler: Soziologische Abenteuer: Earle Edward Eubank besucht europäische Soziologen im Sommer 1934. Springer, Heidelberg/Berlin 2013, p. 101, (ISBN 978-3-531-11781-2).
  146. Martin Luserke: Zum Abschluss. An die Mitglieder unserer Außengemeinde. [En conclusion. Aux membres de notre communauté externe] En: Stiftung Schule am Meer (Ed.): Blätter der Außengemeinde der Schule am Meer Juist (Nordsee), sans numéro, novembre 1934, p. 1.
  147. 12_juin_1913_à_Berlin,_fils_de_l'écrivain_Dr_[[Salomo_Friedlaender|Salomon_Friedlaender]],_[[Berlin-Halensee]].-147" class="mw-reference-text">Dossiers de l'élève, p. 110. Heinz Ludwig Friedlaender, né le à Berlin, fils de l'écrivain Dr Salomon Friedlaender, Berlin-Halensee.
  148. Katharina-Heinroth-Grundschule, sur berlin.de. Le Reformrealgymnasium Goetheschule à Berlin-Halensee a été conçu par l'architecte Otto Herring (1858–1921) et construit entre 1905 et 1907. Le bâtiment a ensuite été utilisé par l'école primaire Michael Grzimek (en) et l'école primaire Paul Eipper. Ces deux écoles ont fusionné en mars 2000 et fonctionnent depuis sous le nom de l'école primaire Katharina Heinroth.
  149. Nachruf auf Konrad Frielinghaus (fichier PDF, 6,7 Megabyte). En: Heidelberger Blätter, 14/16, novembre 1969 – avril 1970, Materialis-Verlag, Heidelberg, 1970, p. 5–7, sur who-owns-the-world.org
  150. Antwortschreiben des Magdeburger Oberschulrats für höhere Mädchenschulen Adolf Grimme an Martin Luserke, . En: Prof. Dr Dieter Sauberzweig (de) (Ed.), Ludwig Fischer: Adolf Grimme – Briefe. (= Veröffentlichungen der Deutschen Akademie für Sprache und Dichtung Darmstadt, Vol. 39). Wallstein Verlag, Göttingen 1967, p. 27–28, (ISBN 978-3-89244-133-5).
  151. 14_juillet_1913_à_[[Berlin]],_fille_de_rédacteur_en_chef_Gustav_Grüttefien,_Berlin.-151" class="mw-reference-text">Dossiers de l'élève, p. 79. Ingrid Grüttefien, née le à Berlin, fille de rédacteur en chef Gustav Grüttefien, Berlin.
  152. 26_février_1916_à_[[Berlin]],_fille_de_rédacteur_en_chef_Gustav_Grüttefien,_Berlin.-152" class="mw-reference-text">Dossiers de l'élève, p. 80. Erasmus Grüttefien, née le à Berlin, fille de rédacteur en chef Gustav Grüttefien, Berlin.
  153. 19_dĂ©cembre_1915_Ă _[[Ulm]],_fille_d'enseignant_[[:Fritz_Hafner]] [[:de:Fritz_Hafner|(de)]][[CatĂ©gorie:Article_contenant_un_appel_Ă _traduction_en_allemand]],_Juist.-153" class="mw-reference-text">Dossiers de l'Ă©lève, p. 32. Lore Hafner, nĂ©e le Ă  Ulm, fille d'enseignant Fritz Hafner (de), Juist.
  154. 18_août_1918_à_[[Geislingen_(Zollernalb)|Geislingen]],_Wurtemberg,_fille_d'enseignant_Fritz_Hafner,_Juist.-154" class="mw-reference-text">Dossiers de l'élève, p. 133. Hanna Hafner, née le à Geislingen, Wurtemberg, fille d'enseignant Fritz Hafner, Juist.
  155. 15_septembre_1919_à_Wickersdorf_près_de_Saalfeld,_Thuringe,_fils_d'enseignant_Fritz_Hafner,_Juist.-155" class="mw-reference-text">Dossiers de l'élève, p. 166. Lorenz Hafner, né le à Wickersdorf près de Saalfeld, Thuringe, fils d'enseignant Fritz Hafner, Juist.
  156. 10_septembre_1907_à_[[Cassel_(Hesse)|Cassel]],_Hesse.-156" class="mw-reference-text">Dossiers de l'enseignant, p. 41. Heinz Friedrich Hartig, né le à Cassel, Hesse.
  157. Hess, Alfred, Fabrikant u. Stadtverordneter, Richard-Breslau-Str. 14, Tel. 2400. En: Einwohnerbuch der Stadt Erfurt mit Hochheim, 1921, Herausgeber Oskar Block, Verlag Gebr. Richters Verlagsanstalt, Erfurt, 3e partie, p. 151, colonne 3.
  158. Ulrike Sebert: Wie der Expressionismus nach Erfurt kam – Die Kunstsammlung von Alfred Hess. En: Mitteldeutscher Rundfunk, , sur mdr.de
  159. (en) « The Story of the Hess family », sur germanexpressionismleicester.org.
  160. Dank in Farben: Aus dem Gästebuch Alfred und Thekla Hess. [Merci en couleurs: Du livre d'or Alfred et Thekla Hess]. Épilogue de Hans Hess (en). Piper Verlag, Munich 1957, (OCLC 8525235633).
  161. 28_mars_1908_Ă _Erfurt,_[[Province_de_Saxe]],_fils_d'industriel_[[:Alfred_Hess]] [[:en:Alfred_Hess|(en)]][[CatĂ©gorie:Article_contenant_un_appel_Ă _traduction_en_anglais]],_Erfurt.-161" class="mw-reference-text">Dossiers de l'Ă©lève, p. 11. Hans Hess, nĂ© le Ă  Erfurt, Province de Saxe, fils d'industriel Alfred Hess (en), Erfurt.
  162. Hess, Hans. In: Dr Ulrike Wendland (de): Biographisches Handbuch deutschsprachiger Kunsthistoriker im Exil – Leben und Werk der unter dem Nationalsozialismus verfolgten und vertriebenen Wissenschaftler. [Manuel biographique des historiens de l'art germanophones en exil – La vie et l'œuvre des scientifiques persécutés et expulsés sous le national-socialisme]. Saur, München 1999, p. 294–295, (ISBN 978-3-11-096573-5).
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  170. Hans Werner Henze: Reiselieder mit böhmischen Quinten – Autobiographische Mitteilungen 1926–1995. S. Fischer Verlag, Frankfurt am Main 2015, p. 113, (ISBN 978-3-596-31053-1).
  171. Dr Thomas Blubacher (de): Walter Jockisch. In: Prof. Dr Andreas Kotte (de) (Ed.): Theaterlexikon der Schweiz [Encyclopédie suisse du théâtre], Vol. 2. Chronos Verlag Zürich 2005, p. 932, (ISBN 978-3-0340-0715-3).
  172. Laureen Nussbaum, Uwe Meyer: Grete Weil – unbequem, zum Denken zwingend. En: Claus-Dieter Krohn (Ed.): Exilforschung: Ein internationales Jahrbuch [Recherche sur l'exil : un annuaire international], Vol. 11, 1993 – Frauen und Exil. Zwischen Anpassung und Selbstbehauptung, Text und Kritik, München 1993, p. 156–170, (ISBN 3-8837-7446-4).
  173. Grete Weil: Leb ich denn, wenn andere leben (Autobiographie). Nagel + Kimche, Zürich u. a. 1998, p. 236–238, 241–244, (ISBN 3-596-14342-X).
  174. Prof. Dr Waldemar Fromm (de), Dr Wolfram Göbel, Gabriele Förg, Kristina Kargl, Elisabeth Tworek: Freunde der Monacensia e. V. – Jahrbuch 2009. Allitera Verlag, München 2009, p. 101, (ISBN 978-3-86906-038-5).
  175. 8_juillet_1917_Ă _Hambourg,_fils_de_Prof._Dr_[[:Walter_Kaesbach]] [[:de:Walter_Kaesbach|(de)]][[CatĂ©gorie:Article_contenant_un_appel_Ă _traduction_en_allemand]],_dirĂ©cteur_de_l'acadĂ©mie,_[[DĂĽsseldorf]].-175" class="mw-reference-text">Dossiers de l'Ă©lève, p. 47. Walter Kaesbach, nĂ© le Ă  Hambourg, fils de Prof. Dr Walter Kaesbach (de), dirĂ©cteur de l'acadĂ©mie, DĂĽsseldorf.
  176. Prof. Dr mult. Dominik GroĂź: Alfred Kantorowicz - Wegbereiter der Jugendzahnpflege, sur zm-online.de
  177. UN-Korrespondentin Friedel Kantorowicz, sur deutsche-digitale-bibliothek.de
  178. 3_aoĂ»t_1913_Ă _Munich,_fils_de_professeur_de_l'universitĂ©_Dr_[[:Alfred_Kantorowicz_(Zahnmediziner)|Alfred_Kantorowicz]] [[:de:Alfred_Kantorowicz_(Zahnmediziner)|(de)]][[CatĂ©gorie:Article_contenant_un_appel_Ă _traduction_en_allemand]],_Bonn.-178" class="mw-reference-text">Dossiers de l'Ă©lève, p. 148. Annemargret Kantorowicz, nĂ© le Ă  Munich, fils de professeur de l'universitĂ© Dr Alfred Kantorowicz (de), Bonn.
  179. 27_février_1921_à_Bonn,_fils_de_professeur_de_l'université_Dr_Alfred_Kantorowicz,_Bonn.-179" class="mw-reference-text">Dossiers de l'élève, p. 213. Georg Friedrich Kantorowicz, né le à Bonn, fils de professeur de l'université Dr Alfred Kantorowicz, Bonn.
  180. 22_mars_1933.-180" class="mw-reference-text">Journal de bord. Entrée de journal .
  181. Ralf Forsbach: Die Medizinische Fakultät der Universität Bonn im Dritten Reich. Oldenbourg-Verlag, München 2006, p. 335–346, (ISBN 978-3-486-57989-5).
  182. Ali Vicdani Doyum: Alfred Kantorowicz unter besonderer Berücksichtigung seines Wirkens in İstanbul. Thèse de doctorat. Université Würzburg 1985.
  183. Ulrich-Wilhelm Depmer: Weg und Schicksal verfolgter Zahnmediziner während der Zeit des Nationalsozialismus. Thèse de doctorat. Université Kiel 1993, p. 190-193.
  184. 12_mai_1909_à_Hambourg,_fils_de_l'industriel_Gerhard_Kelter,_Hambourg.-184" class="mw-reference-text">Dossiers de l'élève, p. 62. Hubert Kelter, né le à Hambourg, fils de l'industriel Gerhard Kelter, Hambourg.
  185. Peter Lambrecht: Luserke-Gedenken. In: Mitteilungsheft Nr. 83 (1993) der Vereinigung ehemaliger SchĂĽler und der Lehrer der Meldorfer Gelehrtenschule / Traditionsgemeinschaft Greifenberger Gymnasiasten, Meldorf, en hiver 1993, p. 9.
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  187. 2_novembre_1914_Ă _Hambourg,_fils_de_professeur_universitaire_Dr_[[:Otto_Kestner]] [[:de:Otto_Kestner|(de)]][[CatĂ©gorie:Article_contenant_un_appel_Ă _traduction_en_allemand]],_Hambourg.-187" class="mw-reference-text">Dossiers de l'Ă©lève, p. 232. Anna Maria Dora Felicitas Kestner nĂ©e le Ă  Hambourg, fils de professeur universitaire Dr Otto Kestner (de), Hambourg.
  188. Claudia Friedel: Komponierende Frauen im Dritten Reich – Versuch einer Rekonstruktion von Lebensrealität und herrschendem Frauenbild. LIT, Münster 1995, p. 382, (ISBN 3-8258-2376-8).
  189. Felicitas Kukuck: Autobiographie (fichier PDF; 446 kB), sur felicitaskukuck.de
  190. Heinz Walter: Kestner, Otto. En: Neue Deutsche Biographie (NDB). Vol. 11, Duncker & Humblot, Berlin 1977, p. 555, (ISBN 3-428-00192-3), sur deutsche-biographie.de
  191. Kestner, geb. Cohnheim, Otto. En: Université de Hambourg, Hamburger Professorinnen- und Professorenkatalog, sur uni-hamburg.de
  192. In Erinnerung an Prof. Dr. med. Otto Kestner 1873–1953. Deutsche Gesellschaft für Gastroenterologie, Verdauungs- und Stoffwechselkrankheiten, sur dgvs-gegen-das-vergessen.de
  193. Preussische Verlustliste [Liste prussienne des victimes] no 669, 26 octobre 1916. En: Deutsche Verlustlisten [Listes des victimes allemandes] no 1228, 26 octobre 1916, p. 15820.
  194. Bericht des Reichskommissars fĂĽr PrĂĽfungen in der Schweiz aus dem Jahr 1918. En: Landesarchiv Baden-WĂĽrttemberg [Archives d'Ă©tat Bade-Wurtemberg], Generallandesarchiv Karlsruhe, fichier 235, no 19199.
  195. 15_février_1897_à_[[Offenbourg]],_[[Pays_de_Bade]].-195" class="mw-reference-text">Dossiers de l'enseignant, p. 21. Fritz Könekamp, né le à Offenbourg, Pays de Bade.
  196. 7_août_1920_à_[[Leverkusen]].-196" class="mw-reference-text">Dossiers de l'enseignant, p. 22. Irmgard Könekamp, née le à Leverkusen.
  197. Renate Friedländer: Faszination durch Form und Farbe. En: Friedrich Könekamp – 80 Jahre – 15. Februar 1977. Geburtstagsgabe der Stadtsparkasse Neuwied. Stadtsparkasse Neuwied, Neuwied 1977, (OCLC 1074709657).
  198. Konekamp, Frederick, sur museum.wales
  199. 18_mai_1913_à_[[Gauting]]_près_de_Munich,_fils_d'ambassadeur_allemand_[[Adolf_Köster]],_[[Riga]].-199" class="mw-reference-text">Dossiers de l'élève, p. 91. Hans Henning Köster, né le à Gauting près de Munich, fils d'ambassadeur allemand Adolf Köster, Riga.
  200. 17_mars_1915_à_Blankenese_près_de_Hambourg,_fils_d'ambassadeur_allemand_Adolf_Köster,_[[Riga]].-200" class="mw-reference-text">Dossiers de l'élève, p. 92. Jens Uwe Köster, né le à Blankenese près de Hambourg, fils d'ambassadeur allemand Adolf Köster, Riga.
  201. 25_octobre_1922_à_Berlin,_fils_d'ambassadeur_allemand_Adolf_Köster,_[[Belgrade]].-201" class="mw-reference-text">Dossiers de l'élève, p. 210. Peter Köster, né le à Berlin, fils d'ambassadeur allemand Adolf Köster, Belgrade.
  202. Dossiers de l'élève, p. 221. Beate Dorothea Köstlin, fille de Otto Köstlin (1871–1945), propriétaire d'un domaine seigneurial et de la médecin Dr Margarete Köstlin-Räntsch (de) (1880–1945) à Wargenau (de) près de Cranz, Prusse-Orientale.
  203. Beate Uhse: Mit Lust und Liebe – Mein Leben. Ullstein Verlag, Frankfurt am Main/Berlin 1989, p. 62–63, (ISBN 3-550-06429-2).
  204. Beate Uhse: Mit Lust und Liebe – Mein Leben. Ullstein Verlag, Frankfurt am Main/Berlin 1989, p. 53–55, (ISBN 3-550-06429-2).
  205. (de) « Beate Uhse-Köstlin - 95. Geburtstag », sur kulturzentrum-ostpreussen.de.
  206. Prof. Dr Ulrich Linse (de): Die Entschiedene Jugend 1919–1921. Deutschlands erste revolutionäre Schüler- und Studentenbewegung (= Quellen und Beiträge zur Geschichte der Jugendbewegung, Vol. 23). dipa, Francfort-sur-le-Main 1981, (ISBN 3-7638-0223-1).
  207. Reinhard Preuß: Verlorene Söhne des Bürgertums. Linke Strömungen in der deutschen Jugendbewegung 1913–1919. Verlag Wissenschaft und Politik, Köln 1991, (ISBN 3-8046-8774-1).
  208. Prof. Dr Barbara Stambolis (de): Jugendbewegt geprägt. Essays zu autobiographischen Texten von Werner Heisenberg, Robert Jungk und vielen anderen. Vandenhoeck & Ruprecht 2013, p. 767, (ISBN 978-3-8470-0004-4).
  209. Dr Walter KĂĽhne, sur kuenstler-jamlitz.de
  210. 26_février_1911_à_Berlin,_fils_de_peintre_Wilhelm_Kühne,_[[Jamlitz]],_[[Basse-Lusace]].-210" class="mw-reference-text">Dossiers de l'élève, p. 16. Walter Georg Kühne, né le à Berlin, fils de peintre Wilhelm Kühne, Jamlitz, Basse-Lusace.
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  225. 22_mai_1917_à_[[Iéna]],_fils_de_Dr_Wilhelm_Lehmann,_[[Eckernförde]].-225" class="mw-reference-text">Dossiers de l'élève, p. 146. Konrad Lehmann, né le à Iéna, fils de Dr Wilhelm Lehmann, Eckernförde.
  226. 14_octobre_1914_à_[[Gießen]],_[[Hesse_(Land)|Hesse]],_fils_de_fabricant_Dr_[[Ernst_Leitz_II|Ernst_Leitz]],_[[Wetzlar]],_Hesse.-226" class="mw-reference-text">Dossiers de l'élève, p. 84. Günther Leitz, né le à Gießen, Hesse, fils de fabricant Dr Ernst Leitz, Wetzlar, Hesse.
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  229. 15_janvier_1916_à_[[Belgard]],_[[Poméranie]],_fils_de_l'éditeur_Friedrich_Wilhelm_Lienau,_[[Vienne_(Autriche)|Vienne]].-229" class="mw-reference-text">Dossiers de l'élève, p. 120. Wilhelm Otto Wolfgang Lienau, né le à Belgard, Poméranie, fils de l'éditeur Friedrich Wilhelm Lienau, Vienne.
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  231. 10_août_1917_à_[[Kłodzko|Glatz]],_[[Basse-Silésie_(région_historique)|Basse-Silésie]],_fils_de_l'écrivaine_Paula_Ludwig_(tuteur_légal),_Berlin.-231" class="mw-reference-text">Dossiers de l'élève, p. 59. Siegfried (Friedel) Ludwig, né le à Glatz, Basse-Silésie, fils de l'écrivaine Paula Ludwig (tuteur légal), Berlin.
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  238. 20_janvier_1910_à_Wickersdorf,_Thuringe,_fille_de_principal_[[Martin_Luserke]],_Juist.-238" class="mw-reference-text">Dossiers de l'élève, p. 6. Ursula Luserke, née le à Wickersdorf, Thuringe, fille de principal Martin Luserke, Juist.
  239. 6_octobre_1912_à_Wickersdorf,_Thuringe,_fils_de_principal_Martin_Luserke,_Juist.-239" class="mw-reference-text">Dossiers de l'élève, p. 6. Klaus Luserke, né le à Wickersdorf, Thuringe, fils de principal Martin Luserke, Juist.
  240. 4_août_1914_à_Wickersdorf,_Thuringe,_fils_de_principal_Martin_Luserke,_Juist.-240" class="mw-reference-text">Dossiers de l'élève, p. 8. Heiner Luserke, né le à Wickersdorf, Thuringe, fils de principal Martin Luserke, Juist.
  241. 15_septembre_1918_à_Wickersdorf,_Thuringe,_fils_de_principal_Martin_Luserke,_Juist.-241" class="mw-reference-text">Dossiers de l'élève, p. 8. Dieter Luserke, né le à Wickersdorf, Thuringe, fils de principal Martin Luserke, Juist.
  242. Dr_Heinrich_Karl_Ernst_Martin_Meyer,_né_le_17_mai_1904_à_Nuremberg.-242" class="mw-reference-text">Dossiers de l'enseignant, p. 26. Dr Heinrich Karl Ernst Martin Meyer, né le à Nuremberg.
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  249. 3_fĂ©vrier_1917_Ă _[[Falkenstein/Vogtl.|Falkenstein]]_en_[[Vogtland]],_fils_de_l'agriculteur_Wladimir_zu_MĂĽnster,_[[:Kniestedt]] [[:de:Kniestedt_(Salzgitter)|(de)]][[CatĂ©gorie:Article_contenant_un_appel_Ă _traduction_en_allemand]]_près_de_[[Salzgitter]].-249" class="mw-reference-text">Dossiers de l'Ă©lève, p. 182. Franz Oswald zu MĂĽnster, nĂ© le Ă  Falkenstein en Vogtland, fils de l'agriculteur Wladimir zu MĂĽnster, Kniestedt (de) près de Salzgitter.
  250. 3_fĂ©vrier_1917_Ă _[[Falkenstein/Vogtl.|Falkenstein]]_en_[[Vogtland]],_fils_de_l'agriculteur_[[:Wladimir_Ernst_zu_MĂĽnster]] [[:de:Wladimir_Ernst_zu_MĂĽnster|(de)]][[CatĂ©gorie:Article_contenant_un_appel_Ă _traduction_en_allemand]],_[[:Kniestedt]] [[:de:Kniestedt_(Salzgitter)|(de)]][[CatĂ©gorie:Article_contenant_un_appel_Ă _traduction_en_allemand]]_près_de_[[Salzgitter]].-250" class="mw-reference-text">Dossiers de l'Ă©lève, p. 182. Franz Oswald zu MĂĽnster, nĂ© le Ă  Falkenstein en Vogtland, fils de l'agriculteur Wladimir Ernst zu MĂĽnster (de), Kniestedt (de) près de Salzgitter.
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  252. 16_janvier_1910_à_[[Rome]],_fils_de_peintre_Johann_Oeltjen,_[[Oldenbourg]].-252" class="mw-reference-text">Dossiers de l'élève, p. 34. Leni Oeltjen, né le à Rome, fils de peintre Johann Oeltjen, Oldenbourg.
  253. Stiftung Schule am Meer (Ed.): Blätter der Außengemeinde der Schule am Meer Juist (Nordsee) [périodique de la SaM], Rundbrief no 8, août 1931, p. 29.
  254. 16_janvier_1914_à_[[Shanghai]],_fils_de_marchand_Gustav_Pappiér,_[[Brême]].-254" class="mw-reference-text">Dossiers de l'élève, p. 163. Friedrich Rolf Pappiér, né le à Shanghai, fils de marchand Gustav Pappiér, Brême.
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  258. 13_mai_1912_à_[[Chemnitz]],_fils_de_fabricant_[[Jørgen_Skafte_Rasmussen|Jørgen_Rasmussen]],_[[Zschopau]],_Saxe.-258" class="mw-reference-text">Dossiers de l'élève, p. 12. Arne Rasmussen, né le à Chemnitz, fils de fabricant Jørgen Rasmussen, Zschopau, Saxe.
  259. 8_septembre_1906_à_Chemnitz,_fils_de_fabricant_Jørgen_Rasmussen,_Zschopau,_Saxe.-259" class="mw-reference-text">Dossiers de l'élève, p. 1. Hans Rasmussen, né le à Chemnitz, fils de fabricant Jørgen Rasmussen, Zschopau, Saxe.
  260. 28_mai_1909_à_Zschopau,_fils_de_fabricant_Jørgen_Rasmussen,_Zschopau,_Saxe.-260" class="mw-reference-text">Dossiers de l'élève, p. 2. Ove Rasmussen, né le à Zschopau, fils de fabricant Jørgen Rasmussen, Zschopau, Saxe.
  261. 13_mai_1912_à_Chemnitz,_fils_de_fabricant_Jørgen_Rasmussen,_Zschopau,_Saxe.-261" class="mw-reference-text">Dossiers de l'élève, p. 12. Arne Rasmussen, né le à Chemnitz, fils de fabricant Jørgen Rasmussen, Zschopau, Saxe.
  262. Stiftung Schule am Meer (Ed.): Blätter der Außengemeinde der Schule am Meer Juist (Nordsee) [périodique de la SaM], Rundbrief no 4, mai 1930, p. 21.
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  275. 8_dĂ©cembre_1917_Ă _Francfort-sur-le-Main,_fille_de_professeur_Dr_[[:Paul_Reiner]] [[:de:Paul_Reiner|(de)]][[CatĂ©gorie:Article_contenant_un_appel_Ă _traduction_en_allemand]],_Juist.-275" class="mw-reference-text">Dossiers de l'Ă©lève, p. 74. Renate Reiner, nĂ©e le Ă  Francfort-sur-le-Main, fille de professeur Dr Paul Reiner (de), Juist.
  276. 14_juin_1919_à_Francfort-sur-le-Main,_fille_de_professeur_Dr_Paul_Reiner,_Juist.-276" class="mw-reference-text">Dossiers de l'élève, p. 135. Eva Maria Reiner, née le à Francfort-sur-le-Main, fille de professeur Dr Paul Reiner, Juist.
  277. 15_septembre_1922_à_Saalfeld,_Thuringe,_fille_de_professeur_Dr_Paul_Reiner,_Juist.-277" class="mw-reference-text">Dossiers de l'élève, p. 230. Ruth Elisabeth Reiner, née le à Saalfeld, Thuringe, fille de professeur Dr Paul Reiner, Juist.
  278. 17_novembre_1911_à_[[Oldenbourg]],_fils_de_commerçant_Franz_Reyersbach_(1880–1936),_Oldenbourg.-278" class="mw-reference-text">Dossiers de l'élève, p. 112. Hans Reyersbach, né le à Oldenbourg, fils de commerçant Franz Reyersbach (1880–1936), Oldenbourg.
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  287. Berichte der Schule am Meer Juist (Nordsee) – Zusammenfassender Bericht über die beiden ersten Jahre der Schule 1925–1927 [Rapports de Schule am Meer Juist (mer du Nord) – Rapport sommaire des deux premières années de l'école 1925-1927]. no 7, p. 29.
  288. 19_mai_1910_Ă _Offenbach-sur-le-Main,_fils_d'architecte_[[:Josef_Rings]] [[:de:Josef_Rings|(de)]][[CatĂ©gorie:Article_contenant_un_appel_Ă _traduction_en_allemand]],_Essen_(Ruhr).-288" class="mw-reference-text">Dossiers de l'Ă©lève, p. 49. Werner Rings, nĂ© le Ă  Offenbach-sur-le-Main, fils d'architecte Josef Rings (de), Essen (Ruhr).
  289. Matthias Wipf: Werner Rings. En: Dictionnaire Historique Suisse (HLS), sur hls-dhs-dss.ch
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  291. Werner Rings: Vivre avec l’ennemi 1939–1943. Laffont, Paris 1981, (ISBN 2-221-00635-6).
  292. Berichte der Schule am Meer Juist (Nordsee) – Zusammenfassender Bericht über die beiden ersten Jahre der Schule 1925–1927 [Rapports de Schule am Meer Juist (mer du Nord) – Rapport sommaire des deux premières années de l'école 1925-1927], no 7, p. 15.
  293. 6_juillet_1914_à_Neumünster,_Holstein,_fils_de_fabricant_Klaus_Rohwer,_Neumünster.-293" class="mw-reference-text">Dossiers de l'élève, p. 174. Jens Jürgen Rohwer, né le à Neumünster, Holstein, fils de fabricant Klaus Rohwer, Neumünster.
  294. Prof. Dr Helmut König (de): „Wer nur den lieben langen Tag“. Gedankenreise um das Lied von Jens Rohwer. En: Prof. Dr Barbara Stambolis, Prof. Dr Jürgen Reulecke (de) (Ed.): Good-bye memories? Lieder im Generationengedächtnis des 20. Jahrhunderts. Klartext, Essen 2007, p. 137, (ISBN 978-3-89861-769-7).
  295. Luserke, Martin: Leitsätze der Schule am Meer (Juist, Nordsee). Die Gestalt einer Schule deutscher Art, Angelsachsen-Verlag, Brême 1924, sur d-nb.info
  296. Luserke, Martin: Zelt-Geschichten. Fremdartige Abenteuer, von denen im Zelt und am Feuer erzählt wurde. Angelsachsen-Verlag, Brême 1925, (OCLC 22432869), sur d-nb.info
  297. 30_janvier_1920_Ă _Hambourg,_fils_de_[[:Julius_Schindler_(Unternehmer)|Julius_Schindler]] [[:de:Julius_Schindler_(Unternehmer)|(de)]][[CatĂ©gorie:Article_contenant_un_appel_Ă _traduction_en_allemand]],_Hambourg.-297" class="mw-reference-text">Dossiers de l'Ă©lève, p. 156. Fritz Schindler, nĂ© le Ă  Hambourg, fils de Julius Schindler (de), Hambourg.
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  299. Arthur Schnitzler: Tagebuch 1923–1926, 1923 XII 6 – XII 10 (extrait, fichier PDF, 168 MB), Print p. 104, fichier PDF p. 98, (ISBN 978-3-7001-2119-0). En: Arthur Schnitzler: Tagebuch 1879-1931, édition des œuvres complètes, 10 vol., Verlag Österreichische Akademie der Wissenschaften, Vienne 1986, (ISBN 978-3-7001-0722-4).
  300. 4_juin_1911_à_[[Vienne_(Autriche)|Vienne]],_fils_de_l'avocat_Dr_Hans_Sild,_Vienne,_Autriche.-300" class="mw-reference-text">Dossiers de l'élève, p. 83. Ulrich Sild, né le à Vienne, fils de l'avocat Dr Hans Sild, Vienne, Autriche.
  301. Uli Sild: Bericht über unsere Skiwochen in Radstadt. En: Stiftung Schule am Meer (Ed.): Blätter der Außengemeinde der Schule am Meer Juist (Nordsee) [périodique de la SaM], Rundbrief no 8, avril 1931, p. 16–20.
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  303. 9_dĂ©cembre_1908_Ă _[[Berlin-Charlottenbourg|Charlottenbourg]]_près_de_[[Berlin]],_fille_d'architecte_Prof._[[:Wilhelm_von_Tettau]] [[:de:Wilhelm_von_Tettau|(de)]][[CatĂ©gorie:Article_contenant_un_appel_Ă _traduction_en_allemand]],_[[Berlin-Lankwitz]].-303" class="mw-reference-text">Dossiers de l'Ă©lève, p. 103. Jolanda Ada Paola Lucia Freiin von Tettau, nĂ©e le Ă  Charlottenbourg près de Berlin, fille d'architecte Prof. Wilhelm von Tettau (de), Berlin-Lankwitz.
  304. 30_septembre_1909_à_New_York_City,_États-Unis.-304" class="mw-reference-text">Dossiers de l'élève, p. 215. Howard Trivers, né le à New York City, États-Unis.
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  310. 12_mai_1919_à_Hambourg,_fils_de_fabricant_Walter_Weigert,_Hambourg.-310" class="mw-reference-text">Dossiers de l'élève, p. 217. Gideon Weigert, né le à Hambourg, fils de fabricant Walter Weigert, Hambourg.
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Bibliographie

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  • Dossiers de l'Ă©lève de Schule am Meer, Juist, En: Schleswig-Holsteinische Landesbibliothek, Kiel (= Bibliothèque d'État Schleswig-Holstein Ă  Kiel), succession Luserke, Martin, fichier: Cb 37.
  • Journal de bord de Schule am Meer, Juist, En: Schleswig-Holsteinische Landesbibliothek, Kiel (= Bibliothèque d'État Schleswig-Holstein Ă  Kiel), succession Luserke, Martin, fichier: Cb 37.

Liens externes

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