Accueil🇫🇷Chercher

Saint-Privat (HĂ©rault)

Saint-Privat (en occitan Sant Privat) est une commune française située dans le nord du département de l'Hérault (Occitanie).

Saint-Privat
Saint-Privat (HĂ©rault)
Vue sur le village de Saint-Privat.
Blason de Saint-Privat
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Occitanie
DĂ©partement HĂ©rault
Arrondissement Lodève
Intercommunalité Communauté de communes du Lodévois et Larzac
Maire
Mandat
Samuel Goudou
2020-2026
Code postal 34700
Code commune 34286
DĂ©mographie
Gentilé Privatois
Population
municipale
418 hab. (2020 en diminution de 0,95 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 16 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 43° 45′ 14″ nord, 3° 25′ 33″ est
Altitude 300 m
Min. 197 m
Max. 782 m
Superficie 26,9 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Lodève
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Lodève
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
GĂ©olocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Saint-Privat
GĂ©olocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Saint-Privat
GĂ©olocalisation sur la carte : HĂ©rault
Voir sur la carte topographique de l'HĂ©rault
Saint-Privat
GĂ©olocalisation sur la carte : Occitanie
Voir sur la carte administrative d'Occitanie
Saint-Privat

    Exposée à un climat méditerranéen, elle est traversée par plusieurs cours d'eau, dont la Marguerite, le Maro, la Bouire, le Merdanson et le Rouvignou. La commune possède un patrimoine naturel remarquable : trois sites Natura 2000 (le causse du Larzac, les « contreforts du Larzac » et les « hautes garrigues du Montpelliérais ») et six ZNIEFF.

    Saint-Privat est une commune rurale qui compte 418 habitants en 2020, après avoir connu une forte hausse de la population depuis . Elle fait partie de l'aire d'attraction de Lodève. Ses habitants sont appelĂ©s les Privatois ou Privatoises.

    GĂ©ographie

    Carte.
    Cadastre napoléonien : tableau d'assemblage (1833).

    Communes limitrophes

    Localisation

    La commune de Saint-Privat est situĂ©e au nord du DĂ©partement de l'HĂ©rault, dans le canton de Lodève. SituĂ©e Ă  une altitude de 350 mètres, elle est adossĂ©e aux contreforts du plateau du Larzac. La topographie se compose d'une succession de talus rocheux abrupts et de replats oĂą se trouvent des terres cultivĂ©es en vigne et en prairies.

    Elle est composée de trois villages, Saint-Privat, les Salces et la Rouquette.

    Les sources sont particulièrement abondantes sur le flanc de la montagne ce qui permet l'irrigation des parcelles situées entre Saint-Privat et les Salces (appelées les Canals).

    Saint-Privat

    Vue sur le village de Saint-Privat.

    Ce village se distingue par la densité de ses constructions et son architecture simple. Déserté il y a une vingtaine d'années, il doit sa renaissance à l'immigration étrangère (anglaise essentiellement).

    Le village se situe à proximité du ruisseau de Maro, qui prend sa source sous les falaises du Larzac. Les maisons, construites en grès du pays, s’étagent sur la rive droite du Maro. Certaines ont gardé des témoins de l'architecture de la Renaissance (fenêtres à meneaux et traverses, linteaux ouvragés, etc).

    Deux artères principales traversent Saint-Privat : l'une (la rue Droite), desservant le "quartier bas" et aboutissant à la porte nord-est ; l'autre dessert le "quartier haut" jusqu'à la porte sud-ouest.

    Les Salces

    Vue sur le village des Salces.

    Village le plus peuplé des trois, c'est aussi celui où sont situés l'école et la mairie, ainsi que des commerces (savonnerie, épicerie associative multi-services, guinguette). C'est aux Salces que se trouve l'église Notre-Dame des Salces du XIIe siècle, classée monument historique depuis le .

    La Rouquette

    Situé à km environ au sud des Salces, la Rouquette est le plus petit des hameaux. Il est situé sur les pentes de la rive droite du ruisseau de Vaîrousse. Tout comme à Saint-Privat, les maisons sont orientées vers l'est. D'une architecture traditionnelle, l'habitat correspond à une population laborieuse. Ses ruelles étroites, ses habitations, serrées et imbriquées, construites le plus souvent en schiste et en grès orangé, lui donnent une grande qualité architecturale ainsi qu'un caractère pittoresque (comme son four à pain).

    Nature du sol et végétation

    La nature du sol et la végétation sont très étroitement liées. Par exemple les plateaux calcaires, la partie la plus au nord de la commune, arrivent jusqu'à l'extrémité sud du causse du Larzac. La végétation est constituée de landes, de genévriers (Juniperus communis), de buis et de pins. Sur les colluvions, la végétation se compose de chêne vert, de chêne pubescent, de genévrier cade et de buis. Quant aux affleurements triasiques, ils présentent des chênes verts, de chênes blancs et châtaigniers. Ces deniers indiquent le changement d'altitude et de nature du sol qui de calcaire argileux passe aux grès siliceux. Ce sont les grès qui forment le plateau principal où se concentrent les cultures et les habitations.

    Sismicité

    La commune est classée zone sismique très faible[1].

    Hydrographie et les eaux souterraines

    Plusieurs cours d'eau traversent la commune ou se situent Ă  son aval[2].

    • Des ruisseaux : le Val Durand, le Rouvignou, le ruisseau d'Aubaigues, la Primelle, la Marguerite, le Merdanson, le Maro, le ruisseau de la Tour, des Maurels, la Bouire, le ruisseau des Crozes.
    • ravin des Brugasses.

    Climat

    Cette rĂ©gion est soumise, en majeure partie, au climat mĂ©diterranĂ©en tempĂ©rĂ©. La commune de Saint-Privat bĂ©nĂ©ficie d'une pĂ©riode chaude allant du mois de mai Ă  la fin septembre. Sur la partie la plus au nord de la commune, sur le causse du Larzac, l'hiver est plus long et rigoureux, mais les trois villages, construits en contrebas, sont relativement protĂ©gĂ©s et bĂ©nĂ©ficient d'un hiver plus doux. La moyenne annuelle des prĂ©cipitations est de 1 200 mm Ă  1 100 mm. Les vents sont de deux types :

    • Les vents du nord (mistral et tramontane). Ce sont des vents dominants, violents, secs et froids, accentuant la sĂ©cheresse. Ils soufflent surtout d'octobre Ă  avril.
    • Les vents du sud, (marin et grec). Ces vents, qui peuvent parfois ĂŞtre violents, amènent, en gĂ©nĂ©ral, des chutes de pluie.

    RĂ©seau Natura 2000

    Site Natura 2000 sur le territoire communal.

    Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 1].

    Un site Natura 2000 est dĂ©fini sur la commune tant au titre de la directive oiseaux que de la directive habitats : le « causse du Larzac »[4]. D'une superficie de 29 556 ha, il fait partie des causses mĂ©ridionaux, un ensemble rĂ©gional unique en Europe. Il est le plus grand ensemble de formations herbeuses sèches semi-naturelles en France et abrite un grand nombre d’espèces endĂ©miques. Ce site abrite 17 espèces d'oiseaux d'intĂ©rĂŞt communautaire pour la plupart liĂ©es pour leur reproduction et/ou leur alimentation aux milieux ouverts (dont le bruant ortolan, le pipit rousseline, l'alouette lulu ou encore la pie-grièche Ă©corcheur, en effectifs bien reprĂ©sentĂ©s par rapport Ă  la moyenne nationale)[5] - [6].

    Un autre site relève de la directive habitats[4] : « les contreforts du Larzac ». D'une superficie de 5 299 ha, ils constituent les premiers reliefs du Larzac qui surplombent le bassin de Lodève. Sa richesse est liĂ©e Ă  la conjonction des deux influences caussenarde et mĂ©diterranĂ©enne[7].

    Un troisième site relève de la directive oiseaux[4] : les « hautes garrigues du MontpelliĂ©rais ». Occupant une superficie de 45 444 ha, ils abritent trois couples d'aigles de Bonelli, soit 30 % des effectifs rĂ©gionaux[8].

    Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

    Cinq ZNIEFF de type 1[Note 2] sont recensées sur la commune[9] :

    • les « bois de Maret et de la Bruyère d'Usclas » (249 ha), couvrant 4 communes du dĂ©partement[10] ;
    • le « chaos dolomitique de la Vacquerie » (758 ha), couvrant 3 communes du dĂ©partement[11] ;
    • les « coteaux des Cans » (472 ha)[12] ;
    • la « forĂŞt du plateau de Courcol » (341 ha), couvrant 3 communes du dĂ©partement[13] ;
    • le «Mont Saint-Baudille » (550 ha), couvrant 4 communes du dĂ©partement[14] ;

    et une ZNIEFF de type 2[Note 3] - [9] : le « causse et contreforts du Larzac et montagne de la SĂ©ranne » (44 035 ha), couvrant 33 communes dont une dans l'Aveyron, deux dans le Gard et 30 dans l'HĂ©rault[15].

    • Carte des ZNIEFF de type 1 et 2 Ă  Saint-Privat.
    • Carte des ZNIEFF de type 1 sur la commune.
      Carte des ZNIEFF de type 1 sur la commune.
    • Carte de la ZNIEFF de type 2 sur la commune.
      Carte de la ZNIEFF de type 2 sur la commune.

    Urbanisme

    Typologie

    Saint-Privat est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4] - [16] - [I 1] - [17].

    Par ailleurs, la commune fait partie de l'aire d'attraction de Lodève, dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 19 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de moins de 50 000 habitants[I 2] - [I 3].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune (telle qu'elle ressort de la Corine Land Cover (CLC), base de données européenne d’occupation biophysique des sols) est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (87,3 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (89,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (63,4 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (23,9 %), zones agricoles hétérogènes (10,1 %), cultures permanentes (2,6 %)[18].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Saint-Privat est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à deux risques particuliers : le risque minier et le risque de radon[19]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[20].

    Risques naturels

    Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment la Marguerite et le Maro. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1995, 1997, 2006, 2014 et 2015[21] - [19].

    Saint-Privat est exposĂ©e au risque de feu de forĂŞt. Un plan dĂ©partemental de protection des forĂŞts contre les incendies (PDPFCI) a Ă©tĂ© approuvĂ© en juin 2013 et court jusqu'en 2022, oĂą il doit ĂŞtre renouvelĂ©. Les mesures individuelles de prĂ©vention contre les incendies sont prĂ©cisĂ©es par deux arrĂŞtĂ©s prĂ©fectoraux et s’appliquent dans les zones exposĂ©es aux incendies de forĂŞt et Ă  moins de 200 mètres de celles-ci. L’arrĂŞtĂ© du rĂ©glemente l'emploi du feu en interdisant notamment d’apporter du feu, de fumer et de jeter des mĂ©gots de cigarette dans les espaces sensibles et sur les voies qui les traversent sous peine de sanctions. L'arrĂŞtĂ© du rend le dĂ©broussaillement obligatoire, incombant au propriĂ©taire ou ayant droit[Note 6] - [22].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Saint-Privat.

    La commune est vulnĂ©rable au risque de mouvements de terrains constituĂ© principalement du retrait-gonflement des sols argileux[23]. Cet alĂ©a est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie. 60,7 % de la superficie communale est en alĂ©a moyen ou fort (59,3 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 284 bâtiments dĂ©nombrĂ©s sur la commune en 2019, 270 sont en en alĂ©a moyen ou fort, soit 95 %, Ă  comparer aux 85 % au niveau dĂ©partemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[24] - [Carte 2].

    Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[25].

    Risque particulier

    L’étude Scanning de Géodéris réalisée en 2008 a établi pour le département de l’Hérault une identification rapide des zones de risques miniers liés à l’instabilité des terrains[26]. Elle a été complétée en 2015 par une étude approfondie sur les anciennes exploitations minières du bassin houiller de Graissessac et du district polymétallique de Villecelle. La commune est ainsi concernée par le risque minier, principalement lié à l’évolution des cavités souterraines laissées à l’abandon et sans entretien après l’exploitation des mines[27].

    Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Certaines communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon la classification de 2018, la commune de Saint-Privat est classée en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[28].

    Histoire

    Au cours de la Révolution française, la commune porte le nom de Maro[29].

    Une chapelle existait à Saint-Privat il y a environ une vingtaine d'années. Mais elle fut détruite à cause de sa fragilité pour devenir la place du village. Il existe encore des traces de démolitions sur le mur de l'église.

    Saint-Privat, le grès, les meules

    La commune de Saint-Privat se trouve au nord du département de l'Hérault. Un quart du territoire de la commune se trouve sur la causse du Larzac. De nos jours, la commune compte approximativement 200 habitants répartis sur trois villages, elle en comptait plus de 500 en 1851.

    En cette fin de XIXe siècle, les habitants de cette petite commune ont compris qu'ils pouvaient tirer parti d'une des ressources du sous-sol : le grès. Cette roche, formée par sédimentation de débris issus de l'érosion, affleure à plusieurs endroits de la commune comme en témoigne la présence de châtaigniers, d'arbousiers et surtout de bruyère. Cet arbuste témoigne de l'acidité du sol, celle-ci provenant du quartz qui constitue en grande majorité le grès.

    Le grès à cette particularité d'être un excellent abrasif (sédimentation de débris de quartz), c'est donc le matériau idéal pour affuter les outils en métal mais aussi pour polir le marbre. Taillées en forme cylindrique et montées sur un axe généralement horizontal, les meules fabriquées à Saint-Privat étaient très utilisées par les rémouleurs.

    Jusqu'au début du XXe siècle, les meules quittaient le territoire communal sur des charrettes qui les acheminaient jusqu'à Lodève (manufactures textiles) ou jusqu'à Montpellier et Sète. Les meules étaient ensuite transportées en bateau jusqu'en Italie où elles étaient utilisées pour polir le marbre. La création de la ligne de chemin de fer () facilita le transport des meules vers les différents ports (Sète, Marseille, Port Saint-Louis).

    Économie

    Revenus

    En 2018, la commune compte 181 mĂ©nages fiscaux[Note 7], regroupant 391 personnes. La mĂ©diane du revenu disponible par unitĂ© de consommation est de 17 430 â‚¬[I 4] (20 330 â‚¬ dans le dĂ©partement[I 5]).

    Emploi

    Taux de chĂ´mage
    200820132018
    Commune[I 6]12,3 %16,4 %12,8 %
    DĂ©partement[I 7]10,1 %11,9 %12 %
    France entière[I 8]8,3 %10 %10 %

    En 2018, la population âgĂ©e de 15 Ă  64 ans s'Ă©lève Ă  266 personnes, parmi lesquelles 78,9 % d'actifs (66,2 % ayant un emploi et 12,8 % de chĂ´meurs) et 21,1 % d'inactifs[Note 8] - [I 6]. Depuis 2008, le taux de chĂ´mage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est supĂ©rieur Ă  celui de la France et du dĂ©partement.

    La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Lodève, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pĂ´le[Carte 3] - [I 9]. Elle compte 68 emplois en 2018, contre 70 en 2013 et 57 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi rĂ©sidant dans la commune est de 181, soit un indicateur de concentration d'emploi de 37,5 % et un taux d'activitĂ© parmi les 15 ans ou plus de 66,2 %[I 10].

    Sur ces 181 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 54 travaillent dans la commune, soit 30 % des habitants[I 11]. Pour se rendre au travail, 90,1 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 3,3 % les transports en commun, 1,1 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 5,5 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 12].

    Secteurs d'activités

    46 établissements[Note 9] sont implantés à Saint-Privat au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 10] - [I 13].

    Secteur d'activitéCommuneDépartement
    Nombre % %
    Ensemble46
    Industrie manufacturière,
    industries extractives et autres
    36,5 %(6,7 %)
    Construction1839,1 %(14,1 %)
    Commerce de gros et de détail,
    transports, hébergement et restauration
    715,2 %(28 %)
    Information et communication24,3 %(3,3 %)
    Activités financières et d'assurance12,2 %(3,2 %)
    Activités immobilières12,2 %(5,3 %)
    Activités spécialisées, scientifiques et techniques
    et activités de services administratifs et de soutien
    1123,9 %(17,1 %)
    Autres activités de services36,5 %(8,1 %)

    Le secteur de la construction est prĂ©pondĂ©rant sur la commune puisqu'il reprĂ©sente 39,1 % du nombre total d'Ă©tablissements de la commune (18 sur les 46 entreprises implantĂ©es Ă  Saint-Privat), contre 14,1 % au niveau dĂ©partemental[I 14].

    Entreprises et commerces

    Les cinq entreprises ayant leur siège social sur le territoire communal qui génèrent le plus de chiffre d'affaires en 2020 sont[30] :

    • Egb, travaux de maçonnerie gĂ©nĂ©rale et gros Ĺ“uvre de bâtiment (643 k€)
    • SIG, activitĂ©s des marchands de biens immobiliers (392 k€)
    • Oleatherm, entretien corporel (126 k€)
    • Alain Blot, travaux d'installation d'eau et de gaz en tous locaux (103 k€)
    • Holding Midisolar, activitĂ©s des sociĂ©tĂ©s holding (k€)

    D'après les derniers rapports INSEE, le taux de chômage dans la commune (16,2 %) est très légèrement supérieur à celui de la moyenne française (14,1 %)[I 15].

    Agriculture

    1988200020102020
    Exploitations3324179
    SAU[Note 11] (ha)55524925390

    La commune est dans le « Soubergues », une petite région agricole occupant le nord-est du département de l'Hérault[31]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 12] sur la commune est la culture de fruits ou d'autres cultures permanentes[Carte 4]. Neuf exploitations agricoles ayant leur siège dans la commune sont dénombrées lors du recensement agricole de 2020[Note 13] (33 en 1988). La superficie agricole utilisée est de 90 ha[33] - [Carte 5] - [Carte 6].

    Entreprises et commerces

    En 2018, la commune n'avait encore aucune entreprise de plus de 10 salariés, la majorité des sociétés sont sans salariés (75 % d'auto-entrepreneur, artisans, etc)[34].

    Les commerces sont inexistants dans la commune, hormis le snack "La Guinguette" dans le hameau des Salces et une mini-Ă©picerie.

    Agriculture

    Culture de la vigne et de l'olivier. Il y a quelques décennies, les traces d'une industrie domestique du ver à soie étaient encore visibles par la présence de mûriers du Japon à proximité des habitations. Les feuilles de cet arbre étaient utilisées pour nourrir les vers. Cette activité a subsisté, ainsi que dans les Cévennes, jusqu'au début du XXe siècle.

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    avant 1988 ? Henri Fabre
    mars 2001 2020 Jean-Paul Goudou Rad.-UDI Administrateur de société
    2020 En cours Samuel Goudou
    Les données manquantes sont à compléter.

    Lors du Conseil des ministres du [35], sur proposition du ministre de l’intĂ©rieur (Manuel Valls), le conseil des ministres a prononcĂ© la rĂ©vocation de Jean-Paul Goudou de ses fonctions de maire de la commune[36]. Au printemps, Jean-Paul Goudou avait Ă©tĂ© condamnĂ© en première instance par le tribunal correctionnel Ă  un an de prison ferme et 130 000 euros d'amende pour faux et escroquerie, condamnation dont il a fait appel.

    Budget et fiscalité 2016

    En 2016, le budget de la commune était constitué ainsi[37] :

    • total des produits de fonctionnement : 356 000 â‚¬, soit 806 â‚¬ par habitant ;
    • total des charges de fonctionnement : 265 000 â‚¬, soit 600 â‚¬ par habitant ;
    • total des ressources d’investissement : 76 000 â‚¬, soit 173 â‚¬ par habitant ;
    • total des emplois d’investissement : 95 000 â‚¬, soit 216 â‚¬ par habitant.
    • endettement : 139 000 â‚¬, soit 314 â‚¬ par habitant.

    Avec les taux de fiscalité suivants :

    • taxe d’habitation : 7,27 % ;
    • taxe foncière sur les propriĂ©tĂ©s bâties : 9,81 % ;
    • taxe foncière sur les propriĂ©tĂ©s non bâties : 44,68 % ;
    • taxe additionnelle Ă  la taxe foncière sur les propriĂ©tĂ©s non bâties : 0,00 % ;
    • cotisation foncière des entreprises : 0,00 %.

    Chiffres clĂ©s Revenus et pauvretĂ© des mĂ©nages en 2014 : MĂ©diane en 2014 du revenu disponible, par unitĂ© de consommation : 16 296 â‚¬[I 16].

    Population et société

    DĂ©mographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[38]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[39].

    En 2020, la commune comptait 418 habitants[Note 14], en diminution de 0,95 % par rapport Ă  2014 (HĂ©rault : +7,37 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    465487510504505516500510532
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    531516527502480461405420389
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    384379347275262266235238216
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    202183160164197218373413403
    2020 - - - - - - - -
    418--------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[29] puis Insee Ă  partir de 2006[40].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    La courbe démographique fait apparaître trois paliers repérés A, B et C et deux fortes baisses repérées 1 et 2.

    • Palier A (-) :
      • : 516 habitants
      • : 500 habitants (min)
      • : 532 habitants (max)
      • : 502 habitants
    • Palier B(-) :
      • : 405 habitants
      • : 420 habitants
      • : 379 habitants
    • Palier C (-) :
      • : 275 habitants
      • : 266 habitants

    Ces trois paliers sont séparés par des périodes de 15 ans où les pertes en habitants sont les plus importantes.

    • PĂ©riode 1 :(-) perte de 97 habitants en 14 ans.
    • PĂ©riode 2: ( - ) perte de 104 habitants en 15 ans.

    Alors que les pertes sont moins brutales dans les paliers.

    • A : perte de 30 habitants en 20 ans
    • B : perte de 41 habitants en 15 ans
    • C : perte de 13 habitants en 10 ans

    Ces fluctuations démographiques coïncident avec l'évolution du vignoble languedocien et les crises viticoles.

    Le développement du vignoble (palier A)

    En effet, la progression du vignoble entre 1820 et 1850 est très lente. Mais brusquement, aux premières annĂ©es de l'Empire, Ă©clate la frĂ©nĂ©sie des plantations. Ceci est dĂ» pour une bonne part, Ă  l'Ă©tablissement des chemins de fer, qui abaisse le coĂ»t des transports (un muid de vin de Montpellier Ă  Lyon valait 50 francs par la route en 1840, il n'en vaut que 10 francs par le rail).

    C'est en 1858 que Lodève est reliée à Sète par le rail. D'autre part, la moyenne de la consommation nationale de vin passe de 51 litres par habitant à 77 litres en 1872.

    Enfin, le prix de vente moyen de vin quadruple entre 1840 et 1856. Il passe de 9 francs par hectolitre Ă  35 francs et retombe en dessous de 10 francs après 1856.

    Ces augmentations correspondent aux deux points forts, 1851 et 1856 du palier A.

    Le phylloxéra (période 1)

    Cette pĂ©riode de dĂ©veloppement Ă©conomique va vite faire place Ă  une crise rĂ©sultant de l'invasion du phylloxĂ©ra. L'HĂ©rault comptait 220 000 ha de terres plantĂ©es en vignes en 1874, il lui en reste 47 000 en 1883. Ces dates correspondent Ă  celles de la "pĂ©riode 1" de dĂ©peuplement.

    Pour le gĂ©ographe Raymond Dugrand : « les effets de cette destruction furent extraordinaires. La classe des moyens et petits propriĂ©taires a subi une colossale hĂ©morragie humaine. Pendant la pĂ©riode de quasi arrĂŞt de la production viticole, tous les villages bas-languedociens perdirent 10 Ă  20 % de leurs habitants ».

    Cette fuite fut celle des petits paysans dépourvus de toute réserve monétaire et des ouvriers agricoles désormais sans travail qui partirent créer le vignoble d’Afrique du Nord ou se fixèrent dans les grands creusets urbains nationaux.

    La reconstitution du vignoble (palier B)

    Le "palier B" (1886-1906) correspond à la période de reconstitution du vignoble qui amènera rapidement l’aire des crises de surproduction. « La grande crise de 1905, qui interrompt de façon brutale la prospérité post-phyloxérique, inaugure, une nouvelle période caractérisée, en année normale, par les excédents viticoles ».

    La crise viticole et la Première Guerre mondiale (période 2)

    Aggravée par la grande fauche de la guerre de 1914-1918 (15 disparus), la crise de surproduction viticole correspond à la "période 1" de dépeuplement.

    Organisation de la paysannerie (palier C)

    Enfin, le dernier "palier C" correspond à une période d'organisation de la paysannerie et d’avantages fiscaux et sociaux : Caisses de Crédit, Caves coopératives, augmentation des salaires agricoles, impôts proportionnels.

    Après la grande crise économique de 1929, un nouvel exode rural s'amorcera, identique aux précédents dans son taux élevé de dépeuplement.

    Enseignement

    La commune est située dans l'Académie de Montpellier.

    Une école primaire/élémentaire publique est en activité dans le hameau des Salces au cœur de la commune (cours moyens et élémentaires)[41].

    Selon les années, le nombre d'élèves varie entre 20 et 55 enfants[42].

    Les écoles maternelles les plus proches sont celles de Saint-Jean-de-la-Blaquière et Saint-Étienne-de-Gourgas.

    Les collèges et lycées sont ceux de Lodève, Clermont-l'Hérault et Saint-André-de-Sangonis.

    Un bus scolaire dessert l'école de Saint-Jean-de-la-Blaquière et le collège-lycée de Lodève.

    Télécommunication

    Jusqu'au printemps 2020, le réseau mobile à Saint-Privat n'était pas vraiment développé et les habitants se plaignaient de ne pas pouvoir bénéficier d'un réseau 3G ou même GSM[43] - [44].

    À la suite de cela, un relais 4G a été installé avec la collaboration d'Enedis et de l'opérateur Free Mobile.

    Le réseau Internet est quant à lui plutôt bien développé. La plupart des foyers sont éligibles au très haut débit et à la fibre optique[45].

    Santé

    Cultes

    La religion catholique est majoritaire. La commune fait partie de la paroisse Saint-Fulcran en Lodevois et du diocèse de Montpellier.

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Cloître du prieuré de Grandmont.

    HĂ©raldique

    Les armoiries de Saint-Privat se blasonnent ainsi :

    Ecartelé : au premier d'azur au donjon d'argent, au deuxième de gueules à la Sainte Vierge d'or, au troisième de gueules à la porte fortifiée d'or maçonnée de sable, au quatrième d'azur à la meule de moulin d'argent.

    Voir aussi

    Bibliographie

    Fonds d'archives

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[3].
    2. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
    3. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    5. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    6. Le dĂ©broussaillement s'applique notamment aux abords de constructions, chantiers, travaux ou installations sur une largeur de 50 mètres (selon un principe du droit des assurances, tout propriĂ©taire est tenu d’assurer la protection de ses biens), et de 5 mètres de part et d’autre des voies privĂ©es y donnant accès.
    7. Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
    8. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
    9. L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
    10. Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
    11. Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
    12. L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
    13. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[32].
    14. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
    3. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
    4. « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    5. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    6. « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

    Site de l'Insee

    1. « Commune rurale - définition » (consulté le ).
    2. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
    3. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).
    4. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Saint-Privat » (consulté le ).
    5. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans le Hérault » (consulté le ).
    6. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Saint-Privat » (consulté le ).
    7. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans le Hérault » (consulté le ).
    8. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
    9. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
    10. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Saint-Privat » (consulté le ).
    11. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
    12. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
    13. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Saint-Privat » (consulté le ).
    14. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans le Hérault » (consulté le ).
    15. Voir rapport INSEE.
    16. Chiffres clés Évolution et structure de la population. Dossier complet

    Autres sources

    1. « SAINT-PRIVAT / Dossiers communaux d'information (DCI) / L'information des Acquéreurs et des Locataires (I.A.L) / Risques naturels et technologiques / Environnement, risques naturels et technologiques / Politiques publiques / Accueil - Les services de l'État dans l'Hérault », sur www.herault.gouv.fr (consulté le )
    2. « Agence de l'eau Rhône Méditerranée Corse », sur www.eaurmc.fr (consulté le )
    3. Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire
    4. « Liste des sites Natura 2000 - Commune : Saint-Privat », sur l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le )
    5. « site Natura 2000 FR9112032 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    6. « site Natura 2000 FR9101385 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    7. « site Natura 2000 FR9101387 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    8. « site Natura 2000 FR9112004 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    9. « Liste des ZNIEFF de la commune de Saint-Privat », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    10. « ZNIEFF les « bois de Maret et de la Bruyère d'Usclas » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    11. « ZNIEFF le « chaos dolomitique de la Vacquerie » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    12. « ZNIEFF les « coteaux des Cans » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    13. « ZNIEFF la « forêt du plateau de Courcol » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    14. « ZNIEFF le « Mont Saint-Baudille » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    15. « ZNIEFF le « causse et contreforts du Larzac et montagne de la Séranne » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    16. « Typologie urbain / rural | L'Observatoire des Territoires », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le )
    17. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    18. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    19. « Les risques près de chez moi - commune de Saint-Privat », sur Géorisques (consulté le )
    20. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le )
    21. « Les risques majeurs dans l'Hérault », sur www.herault.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Risque inondation.
    22. « Les risques majeurs dans l'Hérault », sur www.herault.gouv.fr (consulté le ), chapitre Feux de forêts.
    23. « Les risques majeurs dans l'Hérault », sur www.herault.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
    24. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
    25. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Saint-Privat », sur http://www.georisques.gouv.fr/ (consulté le )
    26. « Étude Scanning de Géodéris », sur http://piece-jointe-carto.developpement-durable.gouv.fr, (consulté le )
    27. « Les risques majeurs dans l'Hérault », sur www.herault.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque minier.
    28. « Cartographie du risque radon en France. », sur le site de l’IRSN, (consulté le )
    29. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    30. « Entreprises à Saint-Privat », sur entreprises.lefigaro.fr (consulté le ).
    31. « Les régions agricoles (RA), petites régions agricoles(PRA) - Année de référence : 2017 », sur agreste.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    32. Présentation des premiers résultats du recensement agricole 2020, Ministère de l’agriculture et de l’alimentation, 10 décembre 2021
    33. « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans la commune de Saint-Privat - Données générales », sur recensement-agricole.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    34. « Insee - Statistiques locales », sur statistiques-locales.insee.fr (consulté le )
    35. Conseil des ministres du 21 aoĂ»t 2013
    36. La rĂ©vocation de M. Jean-Paul Goudou
    37. Les comptes de la commune
    38. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    39. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    40. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    41. Fiche education.gouv.fr : école élémentaire de Saint-Privat
    42. « Effectifs d'élèves des écoles du premier degré public et privé sous tutelle du ministère en charge de l'éducation nationale », sur data.education.gouv.fr (consulté le ).
    43. Article France-Bleu Hérault : "Zones blanches : les habitants de Saint-Privat attendent un réseau mobile"
    44. « Zone blanche : l’antenne relais n’a en vérité jamais été branchée ! », sur midilibre.fr (consulté le ).
    45. « Couverture internet, fibre optique et ADSL à Saint-Privat 34700 », sur ZoneADSL (consulté le )
    46. « Médecins généralistes près de Saint-Privat (34700) - Medecin-360.fr », sur medecin-360.fr (consulté le )
    47. « Polyclinique Saint Privat - Boujan sur Libron, Hérault (34) », sur Polyclinique-saintprivat.fr (consulté le )
    48. Notice no PA00103711, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    49. Notice no PA00103713, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    50. Essai historique sur le château de Saint-Privat, la vallée du Pont du Gard, ses Seigneurs et ses possesseurs
    51. La nef est inscrite au titre des monuments historiques.
    52. Notice no PA00103712, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    53. « Eglise paroissiale Notre-Dame », notice no IA00029576, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    54. « Eglise paroissiale Saint-Privat », notice no IA00029572, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    55. Notice no PM34001417, base Palissy, ministère français de la Culture cloche de 1694
    56. Notice no PM34001418, base Palissy, ministère français de la Culture cloche de l'église Notre-Dame-des-Salces
    57. « Fortification d'agglomération », notice no IA00029569, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    Cet article est issu de wikipedia. Texte licence: CC BY-SA 4.0, Des conditions supplémentaires peuvent s’appliquer aux fichiers multimédias.