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Arboras

Arboras est une commune française située dans le nord du département de l'Hérault en région Occitanie.

Arboras
Arboras
Vue sur le village.
Blason de Arboras
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Occitanie
DĂ©partement HĂ©rault
Arrondissement LodĂšve
Intercommunalité Communauté de communes Vallée de l'Hérault
Maire
Mandat
Marie-Françoise Nachez
2020-2026
Code postal 34150
Code commune 34011
DĂ©mographie
Gentilé Arborassiens
Population
municipale
108 hab. (2020 en diminution de 6,09 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 16 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 43° 42â€Č 42″ nord, 3° 29â€Č 08″ est
Altitude 204 m
Min. 137 m
Max. 702 m
Superficie 6,73 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Montpellier
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton de Gignac
LĂ©gislatives QuatriĂšme circonscription
Localisation
GĂ©olocalisation sur la carte : France
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Arboras
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Arboras
GĂ©olocalisation sur la carte : HĂ©rault
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Arboras
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Arboras

    ExposĂ©e Ă  un climat mĂ©diterranĂ©en, elle est drainĂ©e par le ruisseau de Lagamas, le Rouvignou et par un autre cours d'eau. La commune possĂšde un patrimoine naturel remarquable : trois sites Natura 2000 (« les contreforts du Larzac », les « gorges de l'HĂ©rault » et les « hautes garrigues du MontpelliĂ©rais ») et quatre zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique.

    Arboras est une commune rurale qui compte 108 habitants en 2020, aprĂšs avoir connu une forte hausse de la population depuis 1968. Elle fait partie de l'aire d'attraction de Montpellier. Ses habitants sont appelĂ©s les Arborassiens ou Arborassiennes.

    GĂ©ographie

    Arboras est une commune proche de Gignac et LodÚve dans l'Hérault. C'est un village-rue perché à flanc de coteau sur les premiers contreforts du Larzac, à une altitude d'environ 400 mÚtres. Il domine une plaine drainée par l'Avenc, affluent de l'Hérault, largement occupée par les vignes. Sa population dépasse de peu les 100 habitants.

    Communes limitrophes

    Carte de localisation.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat méditerranéen franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat méditerranéen » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en premiÚre approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, les hivers sont doux et les étés chauds, avec un ensoleillement important et des vents violents fréquents[2].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© suivant[1].

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 13,9 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 2,5 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 13,7 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 16 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation : 1 047 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 7,5 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 3,4 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[4] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[5] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Soumont », sur la commune de Soumont, mise en service en 1991[6] et qui se trouve Ă  11 km Ă  vol d'oiseau[7] - [Note 3], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 14,6 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 981,6 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[8]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche, « Sete », sur la commune de SĂšte, mise en service en 1949 et Ă  38 km[9], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 15 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[10], Ă  15,4 °C pour 1981-2010[11], puis Ă  15,8 °C pour 1991-2020[12].

    RĂ©seau Natura 2000

    Sites Natura 2000 sur le territoire communal.

    Le rĂ©seau Natura 2000 est un rĂ©seau Ă©cologique europĂ©en de sites naturels d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique Ă©laborĂ© Ă  partir des directives habitats et oiseaux, constituĂ© de zones spĂ©ciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spĂ©ciale (ZPS)[Note 4]. Deux sites Natura 2000 ont Ă©tĂ© dĂ©finis sur la commune au titre de la directive habitats[14] :

    • les « gorges de l'HĂ©rault », d'une superficie de 21 736 ha, entaillent un massif calcaire vierge de grandes infrastructures dont les habitats forestiers (forĂȘt de Pins de Salzman et chĂȘnaie verte) et rupicoles sont bien conservĂ©s. La pinĂšde de Pins de Salzmann de Saint-Guilhem est une souche pure et classĂ©e comme porte-graines par les services forestiers. Il s'agit d'une forĂȘt dĂ©veloppĂ©e sur des roches dolomitiques[15] ;
    • « les contreforts du Larzac », d'une superficie de 5 299 ha, constituant les premiers reliefs du Larzac qui surplombent le bassin de LodĂšve. Sa richesse est liĂ©e Ă  la conjonction des deux influences caussenarde et mĂ©diterranĂ©enne[16] ;

    et un au titre de la directive oiseaux[14] :

    • les « hautes garrigues du MontpelliĂ©rais », d'une superficie de 45 444 ha, abritant trois couples d'Aigles de Bonelli, soit 30 % des effectifs rĂ©gionaux[17].

    Zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique

    L’inventaire des zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de rĂ©aliser une couverture des zones les plus intĂ©ressantes sur le plan Ă©cologique, essentiellement dans la perspective d’amĂ©liorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux diffĂ©rents dĂ©cideurs un outil d’aide Ă  la prise en compte de l’environnement dans l’amĂ©nagement du territoire. Une ZNIEFF de type 1[Note 5] est recensĂ©e sur la commune[18] : l'« aval des vallĂ©es des ruisseaux du Rouvignous et du Joncas » (339 ha), couvrant 2 communes du dĂ©partement[19] et trois ZNIEFF de type 2[Note 6] - [18] :

    • le « causse et contreforts du Larzac et montagne de la SĂ©ranne » (44 035 ha), couvrant 33 communes dont une dans l'Aveyron, deux dans le Gard et 30 dans l'HĂ©rault[20] ;
    • le « cours moyen de l'HĂ©rault et de la Lergue » (976 ha), couvrant 22 communes du dĂ©partement[21] ;
    • le « massif des gorges de l'HĂ©rault et de la BuĂšge » (21 342 ha), couvrant 17 communes du dĂ©partement[22].
    • Carte des ZNIEFF de type 1 et 2 Ă  Arboras.
    • Carte de la ZNIEFF de type 1 sur la commune.
      Carte de la ZNIEFF de type 1 sur la commune.
    • Carte des ZNIEFF de type 2 sur la commune.
      Carte des ZNIEFF de type 2 sur la commune.

    Urbanisme

    Typologie

    Arboras est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 7] - [23] - [I 1] - [24].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Montpellier, dont elle est une commune de la couronne[Note 8]. Cette aire, qui regroupe 161 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[I 2] - [I 3].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des forĂȘts et milieux semi-naturels (79,3 % en 2018), une proportion sensiblement Ă©quivalente Ă  celle de 1990 (80,1 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : forĂȘts (46,6 %), milieux Ă  vĂ©gĂ©tation arbustive et/ou herbacĂ©e (32,7 %), cultures permanentes (19,9 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (0,8 %)[25].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[Carte 1].

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune d'Arboras est vulnĂ©rable Ă  diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse), feux de forĂȘts et sĂ©isme (sismicitĂ© faible). Il est Ă©galement exposĂ© Ă  un risque particulier : le risque de radon[26]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[27].

    Risques naturels

    Arboras est exposĂ©e au risque de feu de forĂȘt. Un plan dĂ©partemental de protection des forĂȘts contre les incendies (PDPFCI) a Ă©tĂ© approuvĂ© en juin 2013 et court jusqu'en 2022, oĂč il doit ĂȘtre renouvelĂ©. Les mesures individuelles de prĂ©vention contre les incendies sont prĂ©cisĂ©es par deux arrĂȘtĂ©s prĂ©fectoraux et s’appliquent dans les zones exposĂ©es aux incendies de forĂȘt et Ă  moins de 200 mĂštres de celles-ci. L’arrĂȘtĂ© du rĂ©glemente l'emploi du feu en interdisant notamment d’apporter du feu, de fumer et de jeter des mĂ©gots de cigarette dans les espaces sensibles et sur les voies qui les traversent sous peine de sanctions. L'arrĂȘtĂ© du rend le dĂ©broussaillement obligatoire, incombant au propriĂ©taire ou ayant droit[Note 9] - [28].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux d'Arboras.

    Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas d’alternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie. 52,4 % de la superficie communale est en alĂ©a moyen ou fort (59,3 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 86 bĂątiments dĂ©nombrĂ©s sur la commune en 2019, 68 sont en en alĂ©a moyen ou fort, soit 79 %, Ă  comparer aux 85 % au niveau dĂ©partemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[29] - [Carte 2].

    Par ailleurs, afin de mieux apprĂ©hender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavitĂ©s souterraines permet de localiser celles situĂ©es sur la commune[30].

    La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1995 et 2019.

    Risque particulier

    Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulĂ© dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Certaines communes du dĂ©partement sont concernĂ©es par le risque radon Ă  un niveau plus ou moins Ă©levĂ©. Selon la classification de 2018, la commune d'Arboras est classĂ©e en zone 2, Ă  savoir zone Ă  potentiel radon faible mais sur lesquelles des facteurs gĂ©ologiques particuliers peuvent faciliter le transfert du radon vers les bĂątiments[31].

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous la forme Villa de Arboracis, seu de Arboratis dÚs 804[32], de villa Arboratis en 985[33], villa de Arboratis et Arborath en 1102[33], sous sa forme latine Arborascium en 1124[34], de Arboracio en 1264[33], Arboras en 1529[33].

    Arboraç en occitan.

    Le nom du village signifie en occitan « arborĂ©s, plantĂ©s d'arbres Â», du latin arbor et du suffixe gaulois -Ă tis, ce qui signifiait peut-ĂȘtre : « ensemble d'arbres »[33].

    Histoire

    Plan de l'Ă©cole (1914)

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    1790 1791 Jean-Baptiste Gay
    1791 1792 André Laroque
    1792 1805 Jean Falguieres
    1805 1811 Jean Cornier
    1811 1830 Etienne Altairac
    1830 1835 Jean Gay
    1835 1849 Guillaume Falguieres
    1849 1863 Jean-Joseph Visseo
    1863 1876 Pierre-Stanislas Molinier
    1876 1888 Sylvain Galibert
    1888 1900 Jean Gazel
    1900 1912 Hippolyte Malroux
    1912 1935 Gaston Galibert
    1935 1947 Joseph Gazel
    1947 1977 Georges Galibert
    1977 1992 Lucien Laures
    1992 1995 Ida Laures
    1995 2014 Jean-Pierre Vanluggene
    mars 2014 En cours
    (au 23 mai 2020)
    Marie-Françoise Nachez[35] SE Fonctionnaire[36]
    Les données manquantes sont à compléter.

    DĂ©mographie

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[37]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2004[38].

    En 2020, la commune comptait 108 habitants[Note 10], en diminution de 6,09 % par rapport Ă  2014 (HĂ©rault : +7,37 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    158190201188189179153155150
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    162150164132135123129118111
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1121071019798103938871
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
    736982626974848495
    2014 2019 2020 - - - - - -
    115111108------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[39] puis Insee Ă  partir de 2006[40].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Lieux et Monuments

    HĂ©raldique

    Blason Blasonnement :
    D'or aux deux arbres de sinople fûtés au naturel posés à dextre du chef et à senestre de la pointe, et aux deux épées d'argent garnies de gueules passées en sautoir à senestre du chef et à dextre de la pointe ; au chef abaissé d'azur chargé de trois étoiles du champ.

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[3].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent Ă  maintenir dans un Ă©tat de conservation favorable les types d'habitats et d'espĂšces concernĂ©s, par le biais de mesures rĂ©glementaires, administratives ou contractuelles[13].
    5. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en gĂ©nĂ©ral limitĂ©e, caractĂ©risĂ©s par la prĂ©sence d’espĂšces, d’association d’espĂšces ou de milieux rares, remarquables, ou caractĂ©ristiques du milieu du patrimoine naturel rĂ©gional ou national.
    6. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    7. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    8. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    9. Le dĂ©broussaillement s'applique notamment aux abords de constructions, chantiers, travaux ou installations sur une largeur de 50 mĂštres (selon un principe du droit des assurances, tout propriĂ©taire est tenu d’assurer la protection de ses biens), et de 5 mĂštres de part et d’autre des voies privĂ©es y donnant accĂšs.
    10. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )

    Site de l'Insee

    1. « Commune rurale - définition » (consulté le ).
    2. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
    3. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consultĂ© le ).

    Autres sources

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    4. « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
    5. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
    6. « Station Météo-France Soumont - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    7. « Orthodromie entre Arboras et Soumont », sur fr.distance.to (consulté le ).
    8. « Station Météo-France Soumont - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    9. « Orthodromie entre Arboras et SÚte », sur fr.distance.to (consulté le ).
    10. « Station météorologique de Sete - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    11. « Station météorologique de Sete - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Sete - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. Réseau européen Natura 2000, MinistÚre de la transition écologique et solidaire
    14. « Liste des zones Natura 2000 de la commune d'Arboras », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    15. « site Natura 2000 FR9101388 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    16. « site Natura 2000 FR9101387 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    17. « site Natura 2000 FR9112004 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    18. « Liste des ZNIEFF de la commune d'Arboras », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    19. « ZNIEFF l'« aval des vallées des ruisseaux du Rouvignous et du Joncas » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    20. « ZNIEFF le « causse et contreforts du Larzac et montagne de la Séranne » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    21. « ZNIEFF le « cours moyen de l'Hérault et de la Lergue » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    22. « ZNIEFF le « massif des gorges de l'Hérault et de la BuÚge » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    23. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    24. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    25. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
    26. « Les risques prÚs de chez moi - commune d'Arboras », sur Géorisques (consulté le )
    27. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur GĂ©orisques (consultĂ© le )
    28. « Les risques majeurs dans l'HĂ©rault », sur www.herault.gouv.fr (consultĂ© le ), chapitre Feux de forĂȘts.
    29. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
    30. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune d'Arboras », sur http://www.georisques.gouv.fr/ (consulté le )
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    33. Ernest NÚgre - Toponymie générale de la France - Page 164 - (ISBN 2600028838).
    34. Dans le cartulaire d'Anian.
    35. RĂ©sultats au 1er tour des Ă©lections municipales et communautaires 2020 d'Arboras, publiĂ© sur le site du ministĂšre de l’IntĂ©rieur (consultĂ© le ).
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    Voir aussi

    Bibliographie

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    • Claude Alberge, « Une jacquerie en pays d'HĂ©rault en juin 1791 : le sac des chĂąteaux d'Arboras et de Montpeyroux », Études hĂ©raultaises, Montpellier, Association Études sur l'HĂ©rault, nos 5-6,‎ 1989-1990, p. 145-150 (lire en ligne)

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