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Saint-Capraise-de-Lalinde

Saint-Capraise-de-Lalinde est une commune française située dans le département de la Dordogne, en région Nouvelle-Aquitaine.

Saint-Capraise-de-Lalinde
Saint-Capraise-de-Lalinde
Le bourg de Saint-Capraise-de-Lalinde
au bord de la Dordogne.
Blason de Saint-Capraise-de-Lalinde
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Dordogne
Arrondissement Bergerac
Intercommunalité Communauté de communes des Bastides Dordogne-Périgord
Maire
Mandat
Laurent Péréa
2020-2026
Code postal 24150
Code commune 24382
Démographie
Gentilé Capraisiens
Population
municipale
526 hab. (2020 en diminution de 0,19 % par rapport à 2014)
Densité 137 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 50′ 32″ nord, 0° 39′ 13″ est
Altitude Min. 18 m
Max. 132 m
Superficie 3,83 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Bergerac (banlieue)
Aire d'attraction Bergerac
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Lalinde
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Saint-Capraise-de-Lalinde
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Saint-Capraise-de-Lalinde
Liens
Site web saint-capraise-de-lalinde.fr

    Géographie

    Généralités

    Au sud du département de la Dordogne, en Périgord pourpre, dans l'aire urbaine de Bergerac, la petite commune de Saint-Capraise-de-Lalinde est entièrement située sur la rive droite de la Dordogne qui, longée par le canal de Lalinde, limite le territoire communal au sud.

    Le bourg, traversé par la route départementale 660 (l'ancienne route nationale 660), se situe, en distances orthodromiques, sept kilomètres à l'ouest de Lalinde et treize kilomètres à l'est de Bergerac.

    Communes limitrophes

    Carte de Saint-Capraise-de-Lalinde et des communes avoisinantes.

    Saint-Capraise-de-Lalinde est limitrophe de cinq autres communes.

    Communes limitrophes de Saint-Capraise-de-Lalinde
    Cause-de-Clérans
    Mouleydier Saint-Capraise-de-Lalinde Baneuil
    Saint-Agne Varennes

    Géologie

    Situé sur la plaque nord du Bassin aquitain et bordé à son extrémité nord-est par une frange du Massif central, le département de la Dordogne présente une grande diversité géologique. Les terrains sont disposés en profondeur en strates régulières, témoins d'une sédimentation sur cette ancienne plate-forme marine. Le département peut ainsi être découpé sur le plan géologique en quatre gradins différenciés selon leur âge géologique. Saint-Capraise-de-Lalinde est située dans le quatrième gradin à partir du nord-est, un plateau formé de dépôts siliceux-gréseux et de calcaires lacustres de l'ère tertiaire[1].

    Les couches affleurantes sur le territoire communal sont constituées de formations superficielles du Quaternaire et de roches sédimentaires datant pour certaines du Cénozoïque, et pour d'autres du Mésozoïque. La formation la plus ancienne, notée c5e, date du Campanien 5, des calcaires bioclastiques jaunâtres à rudistes, orbitoides media, Larrazetia, calcaires gréseux jaunes à grands silex versicolores, lumachelles à huîtres. La formation la plus récente, notée CF, fait partie des formations superficielles de type colluvions indifférenciées sablo-argileuses et argilo-sableuses. Le descriptif de ces couches est détaillé dans la feuille « no 806 - Bergerac » de la carte géologique au 1/50 000 de la France métropolitaine[2] - [3] et sa notice associée[4].

    Carte géologique de Saint-Capraise-de-Lalinde.

    Relief et paysages

    Le département de la Dordogne se présente comme un vaste plateau incliné du nord-est (491 m, à la forêt de Vieillecour dans le Nontronnais, à Saint-Pierre-de-Frugie) au sud-ouest (m à Lamothe-Montravel). L'altitude du territoire communal varie quant à elle entre 18 mètres[5] à l'ouest, juste en contrebas du barrage de Tuilières, là où la Dordogne quitte la commune pour servir de limite entre celles de Mouleydier et Varennes, et 132 mètres[5] au nord-est, en limite de la commune de Baneuil, à l'ouest du lieu-dit la Cassenade[6].

    Dans le cadre de la Convention européenne du paysage entrée en vigueur en France le , renforcée par la loi du 8 août 2016 pour la reconquête de la biodiversité, de la nature et des paysages, un atlas des paysages de la Dordogne a été élaboré sous maîtrise d’ouvrage de l’État et publié en [7]. Les paysages du département s'organisent en huit unités paysagères[Note 1] - [8]. La commune est dans le Bergeracois, une région naturelle présentant un relief contrasté, avec les deux grandes vallées de la Dordogne et du Dropt séparées par un plateau plus ou moins vallonné, dont la pente générale s’incline doucement d’est en ouest. Ce territoire offre des paysages ouverts qui tranchent avec les paysages périgourdins. Il est composé de vignes, vergers et cultures[9] - [10].

    La superficie cadastrale de la commune publiée par l'Insee, qui sert de référence dans toutes les statistiques, est de 3,83 km2[5] - [11] - [Note 2]. La superficie géographique, issue de la BD Topo, composante du Référentiel à grande échelle produit par l'IGN, est quant à elle de 3,96 km2[3].

    Réseau hydrographique

    La commune est située dans le bassin de la Dordogne au sein du Bassin Adour-Garonne[14]. Elle est drainée par la Dordogne, le canal de Lalinde et le Clérans, qui constituent un réseau hydrographique de km de longueur totale[15] - [Carte 1].

    La Dordogne, d'une longueur totale de 483,1 km, prend naissance sur les flancs du puy de Sancy (1 885 m), dans la chaîne des monts Dore, traverse six départements dont la Dordogne dans sa partie sud, et conflue avec la Garonne à Bayon-sur-Gironde, pour former l'estuaire de la Gironde[16] - [17]. Elle borde la commune au sud sur trois kilomètres et demi, face à Varennes et Saint-Agne.

    Le canal de Lalinde, d'une longueur totale de 15,51 km, est alimenté en eau par la Dordogne et prend naissance dans la commune de Mauzac-et-Grand-Castang, juste en amont du barrage de Mauzac[18], face à la commune de Calès, et rejoint la Dordogne à Mouleydier, juste en aval du barrage de Tuilières, face à Saint-Agne[19] - [20]. Il longe la Dordogne sur trois kilomètres et demi.

    Affluent de rive droite de la Dordogne, le Clérans sert de limite territoriale à l'ouest sur un kilomètre, face à Mouleydier.

    • La Dordogne en limite de Varennes (à gauche) et Saint-Capraise-de-Lalinde.
      La Dordogne en limite de Varennes (à gauche) et Saint-Capraise-de-Lalinde.
    • Le canal de Lalinde en amont du bourg.
      Le canal de Lalinde en amont du bourg.
    • Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
      Réseaux hydrographique et routier de Saint-Capraise-de-Lalinde.

    Gestion et qualité des eaux

    Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Dordogne Atlantique ». Ce document de planification, dont le territoire correspond au sous‐bassin le plus aval du bassin versant de la Dordogne (aval de la confluence Dordogne - Vézère)., d'une superficie de 2 700 km2 est en cours d'élaboration. La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est l'établissement public territorial de bassin de la Dordogne (EPIDOR)[21]. Il définit sur son territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le [22].

    La qualité des eaux de baignade et des cours d’eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversité[Carte 2].

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[23]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[24].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[23]

    • Moyenne annuelle de température : 12,6 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,5 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 9,8 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 4] : 15,1 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 5] : 846 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,1 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,5 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[27] complétée par des études régionales[28] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Bergerac », sur la commune de Bergerac, mise en service en 1988[29] et qui se trouve à 13 km à vol d'oiseau[30] - [Note 6], où la température moyenne annuelle évolue de 13,2 °C pour la période 1971-2000[31], à 13,1 °C pour 1981-2010[32], puis à 13,3 °C pour 1991-2020[33].

    Milieux naturels et biodiversité

    Le lac de retenue du barrage de Tuilières sur la Dordogne, en aval du bourg de Saint-Capraise-de-Lalinde.

    Liées à la présence de la Dordogne, plusieurs zones naturelles du territoire communal sont protégées.

    Natura 2000

    La Dordogne est un site du réseau Natura 2000 limité aux départements de la Dordogne et de la Gironde, et qui concerne les 104 communes riveraines de la Dordogne, dont Saint-Capraise-de-Lalinde[34] - [35]. Seize espèces animales et une espèce végétale inscrites à l'annexe II de la directive 92/43/CEE de l'Union européenne y ont été répertoriées[36].

    La zone Coteaux calcaires de la vallée de la Dordogne, qui s'étend au total sur 3 686 hectares et est partagée avec vingt-quatre autres communes, fait également partie du réseau Natura 2000[37] - [38], qui s'étend au total sur 3 686 hectares, est partagée avec vingt-quatre autres communes. Deux espèces de chauves-souris inscrites à l'annexe II de la directive 92/43/CEE de l'Union européenne y ont été répertoriées[37] : le Grand rhinolophe (Rhinolophus ferrumequinum) et le Petit rhinolophe (Rhinolophus hipposideros). Elle s'étend sur environ huit hectares,dans l'angle sud-est du territoire communal, en bordure nord de la ligne ferroviaire, à l'est du lieu-dit les Mérilles.

    Protection du biotope

    Comme l'ensemble des communes du département baignées par la Dordogne, Saint-Capraise-de-Lalinde est soumise à un arrêté préfectoral de protection de biotope de 1991 destiné à favoriser la migration et le frai de plusieurs espèces de poissons[39].

    ZNIEFF

    Saint-Capraise-de-Lalinde fait partie des 102 communes concernées par la zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) de type II « La Dordogne »[40] - [41], dans laquelle ont été répertoriées huit espèces animales déterminantes et cinquante-sept espèces végétales déterminantes, ainsi que quarante-trois autres espèces animales et trente-neuf autres espèces végétales[42].

    Urbanisme

    Typologie

    Saint-Capraise-de-Lalinde est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 7] - [43] - [44] - [45]. Elle appartient à l'unité urbaine de Bergerac, une agglomération inter-départementale regroupant 22 communes[46] et 64 187 habitants en 2020, dont elle est une commune de la banlieue[47] - [48].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Bergerac, dont elle est une commune de la couronne[Note 8]. Cette aire, qui regroupe 73 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[49] - [50].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (44,8 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (46,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (37,9 %), forêts (33,9 %), zones urbanisées (13,4 %), eaux continentales[Note 9] (7,9 %), prairies (4,5 %), terres arables (2,4 %)[51].

    L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].

    Prévention des risques

    Le territoire de la commune de Saint-Capraise-de-Lalinde est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque technologique, la rupture d'un barrage[52]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[53].

    Risques naturels

    Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment la Dordogne et le canal de Lalinde. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1993 et 1999[54] - [52]. Le risque inondation est pris en compte dans l'aménagement du territoire de la commune par le biais du plan de prévention des risques inondation (PPRI) de la « vallée de la Dordogne, de Creysse à Le Buisson », couvrant 20 communes et approuvé le , pour les crues de la Dordogne[55] - [56].

    Saint-Capraise-de-Lalinde est exposée au risque de feu de forêt. L’arrêté préfectoral du fixe les conditions de pratique des incinérations et de brûlage dans un objectif de réduire le risque de départs d’incendie. À ce titre, des périodes sont déterminées : interdiction totale du 15 février au 15 mai et du 15 juin au 15 octobre, utilisation réglementée du 16 mai au 14 juin et du 16 octobre au 14 février[57]. En septembre 2020, un plan inter-départemental de protection des forêts contre les incendies (PidPFCI) a été adopté pour la période 2019-2029[58] - [59].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Saint-Capraise-de-Lalinde.

    Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[60]. Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[61]. 69,1 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (58,6 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national métropolitain)[Carte 4]. Depuis le , en application de la loi ÉLAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 10] - [62].

    La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2011 et par des mouvements de terrain en 1999[52].

    Risque technologique

    La commune est en outre située en aval du barrage de Bort-les-Orgues, un ouvrage de classe A[Note 11] situé dans le département de la Corrèze et faisant l'objet d'un PPI depuis 2009. À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture de cet ouvrage[64].

    Toponymie

    Bien que portant un nom d'apparence féminine, la commune tire son nom de saint Caprais, évêque d'Agen, martyrisé en l'an 303, ainsi que de sa proximité avec la bastide de Lalinde[65].

    En occitan, la commune porte le nom de Sent Grapasi de La Linda[66].

    Histoire

    Dès le XIIIe siècle, le lieu est identifié sous le nom latin de Sanctus Caprasius[65] puis, sur la carte de Cassini qui représente la France entre 1756 et 1789, sous le nom de « Saint Caprais »[67].

    Du temps de la batellerie sur la Dordogne, le village était un port[65]. Le canal de Lalinde fut creusé dans les années 1838 à 1843[68]. Le barrage de Tuilières, partagé entre Saint-Capraise-de-Lalinde et Saint-Agne, sur la rive gauche de la Dordogne, fut édifié de 1905 à 1908[69].

    Politique et administration

    Rattachements administratifs

    La commune de Saint-Capraise-de-Lalinde a, dès 1790, été rattachée au canton de la Linde qui dépendait du district de Bergerac. En 1800, les districts sont supprimés et le canton de Lalinde (nouvelle orthographe) dépend désormais de l'arrondissement de Bergerac[5].

    Intercommunalité

    En 2002, Saint-Capraise-de-Lalinde intègre dès sa création la communauté de communes Entre Dordogne et Louyre. Cette structure intercommunale fusionne avec quatre autres pour former au la communauté de communes des Bastides Dordogne-Périgord.

    Administration municipale

    La population de la commune étant comprise entre 500 et 1 499 habitants au recensement de 2017, quinze conseillers municipaux ont été élus en 2020[70] - [71].

    Liste des maires

    La mairie.
    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1792 1800 Chanaud Lestang
    1800 1803 Pierre Delmas
    1803 1813 Pierre Marsalet
    1813 1814 Pierre Laroche Lafargue
    1814 1818 Laval Lafond
    1818 1820 Franc Babut
    1820 1843 Laroche Lafargue
    1843 1870 Pierre Delmas Marsalet Saint-Hilaire
    1870 (1877 ou 1878) Bernard Lacoste Laval
    janvier 1878 1878 Oscar Delmas Saint-Hilaire
    mai 1878 août 1887 Joseph Édouard Stipal
    août 1887 1888 Pierre Gouzou Lafond
    mai 1888 1890 Bernard Lacoste Laval
    octobre 1890 mai 1900 Jean Adrien Biras Architecte
    mai 1900 1904 Pierre Delmas Saint-Hilaire
    mai 1904 1912 Joseph Édouard Stipal
    mai 1912 1934 Émile Stipal Ingénieur architecte
    mai 1934 février 1937 Jean Rochette[Note 12] Retraité
    février 1937 mars 1977 Arthur Maurice Gontier Chef d'usine
    mars 1977 juin 1995 Roger Besse PCF
    juin 1995 mars 2008 Jean-Claude Laval PS Professeur
    mars 2008[72]
    (réélu en mai 2020)
    En cours Laurent Péréa PCF[73] Collaborateur d'élus
    Secrétaire départemental du PCF de la Dordogne (2004-2017)

    Équipements et services publics

    Enseignement

    En 2016, Saint-Capraise-de-Lalinde est organisée en regroupement pédagogique intercommunal (RPI) avec les communes de Lanquais, Saint-Agne, Varennes et Verdon. Des classes sont assurées à Saint-Capraise-de-Lalinde, aussi bien en maternelle (petite et moyenne sections) qu'en école élémentaire (CE2 et CM1). Depuis la rentrée 2017, un « pôle maternelle » est créé à Saint-Capraise-de-Lalinde.

    Justice

    Dans le domaine judiciaire, Saint-Capraise-de-Lalinde relève[74] :

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[75]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[76].

    En 2020, la commune comptait 526 habitants[Note 13], en diminution de 0,19 % par rapport à 2014 (Dordogne : −0,85 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    335303349355371383448360407
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    409428407408423380382332289
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    290407341347334384392401422
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
    460485506555584531554563524
    2014 2019 2020 - - - - - -
    527526526------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[5] puis Insee à partir de 2006[77].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    L'usine hydroélectrique de Tuilières.

    Emploi

    En 2015[78], parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs représentent 225 personnes, soit 42,7 % de la population municipale. Le nombre de chômeurs (trente-sept) a augmenté par rapport à 2007 (trente-deux) et le taux de chômage de cette population active s'établit à 16,4 %.

    Établissements

    Au , la commune compte quarante-six établissements[79], dont vingt-deux au niveau des commerces, transports ou services, dix dans la construction, cinq relatifs au secteur administratif, à l'enseignement, à la santé ou à l'action sociale, cinq dans l'agriculture, la sylviculture ou la pêche, et quatre dans l'industrie[80].

    Culture locale et patrimoine

    Patrimoine civil

    • Le pont-canal.
      Le pont-canal.
    • Le bassin de stationnement.
      Le bassin de stationnement.
    • Le bassin de radoub.
      Le bassin de radoub.
    • Maisons anciennes dans le bourg.
      Maisons anciennes
      dans le bourg.
    • Pigeonnier dans le bourg, au bord du canal de Lalinde.
      Pigeonnier dans le bourg,
      au bord du canal de Lalinde.

    Patrimoine religieux

    • L'église Saint-Capraise.
      L'église Saint-Capraise.
    • Le chevet de l'église
      Le chevet de l'église
    • Le chœur roman.
      Le chœur roman.
    • Vitrail représentant saint Caprais.
      Vitrail représentant
      saint Caprais.

    Héraldique

    Blason de Saint-Capraise-de-Lalinde Blason
    D'azur à la barque, la voile ferlée, d'or sur une rivière du champ ; au chef cousu* de gueules chargé d'un dragon aptère (coulobre) passant d'or[84].
    Détails
    * Ces armes emploient le terme « cousu » dans le seul but de contrevenir à la règle de contrariété des couleurs : elles sont fautives : gueules sur azur.
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Pour approfondir

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Une unité paysagère est un pan de territoire qui présente des caractéristiques paysagères propres.
    2. La superficie publiée par l’Insee est la superficie évaluée en 1975 par le service du cadastre de la Direction Générale des Impôts, corrigée des modifications communales intervenues depuis 1975. Elle comprend toutes les surfaces du domaine public et privé, cadastrées ou non cadastrées, à l'exception des lacs, étangs et glaciers de plus d'un kilomètre carré ainsi que des estuaires et ne correspond pas obligatoirement à la surface géographique[12] - [13]
    3. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[25].
    4. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    5. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[26].
    6. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    7. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    8. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en celle d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    9. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    10. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
      • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
      • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
      • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
    11. Le classement des barrages est fonction de deux paramètres : hauteur et volume retenu[63].
    12. Démissionnaire.
    13. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    • Cartes
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