AccueilđŸ‡«đŸ‡·Chercher

Varennes (Dordogne)

Varennes est une commune française située dans le département de la Dordogne, en région Nouvelle-Aquitaine.

Varennes
Varennes (Dordogne)
Le bourg de Varennes.
Blason de Varennes
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Nouvelle-Aquitaine
DĂ©partement Dordogne
Arrondissement Bergerac
Intercommunalité Communauté de communes des Bastides Dordogne-Périgord
Maire
Mandat
GĂ©rard Martin
2020-2026
Code postal 24150
Code commune 24566
DĂ©mographie
Gentilé Varennois
Population
municipale
463 hab. (2020 en augmentation de 2,21 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 114 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 44° 49â€Č 50″ nord, 0° 40â€Č 33″ est
Altitude Min. 27 m
Max. 103 m
Superficie 4,05 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Lalinde (banlieue)
Aire d'attraction Bergerac
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton de Lalinde
LĂ©gislatives DeuxiĂšme circonscription
Localisation
GĂ©olocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Varennes
GĂ©olocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Varennes
GĂ©olocalisation sur la carte : Dordogne
Voir sur la carte topographique de la Dordogne
Varennes
GĂ©olocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Voir sur la carte administrative de Nouvelle-Aquitaine
Varennes
Liens
Site web varennes-dordogne.fr

    GĂ©ographie

    Généralités

    Au sud du département de la Dordogne, en Bergeracois, la commune de Varennes est entiÚrement située en rive gauche de la Dordogne qui limite le territoire communal au nord. Le Couzeau, un petit affluent, se jette dans la Dordogne au nord-ouest du bourg, au lieu-dit le Port de Lanquais.

    Le bourg, traversé par la route départementale 37E1, se situe, en distances orthodromiques, cinq kilomÚtres à l'ouest de Lalinde et seize kilomÚtres à l'est de Bergerac.

    La commune est également desservie par les routes départementales 37 et 37E2.

    Communes limitrophes

    Carte de Varennes et des communes avoisinantes.

    Varennes est limitrophe de cinq autres communes.

    GĂ©ologie

    SituĂ© sur la plaque nord du Bassin aquitain et bordĂ© Ă  son extrĂ©mitĂ© nord-est par une frange du Massif central, le dĂ©partement de la Dordogne prĂ©sente une grande diversitĂ© gĂ©ologique. Les terrains sont disposĂ©s en profondeur en strates rĂ©guliĂšres, tĂ©moins d'une sĂ©dimentation sur cette ancienne plate-forme marine. Le dĂ©partement peut ainsi ĂȘtre dĂ©coupĂ© sur le plan gĂ©ologique en quatre gradins diffĂ©renciĂ©s selon leur Ăąge gĂ©ologique. Varennes est situĂ©e dans le quatriĂšme gradin Ă  partir du nord-est, un plateau formĂ© de dĂ©pĂŽts siliceux-grĂ©seux et de calcaires lacustres de l'Ăšre tertiaire[1].

    Les couches affleurantes sur le territoire communal sont constituĂ©es de formations superficielles du Quaternaire datant du CĂ©nozoĂŻque et de roches sĂ©dimentaires du MĂ©sozoĂŻque. La formation la plus ancienne, notĂ©e c5e, date du Campanien 5, des calcaires bioclastiques jaunĂątres Ă  rudistes, orbitoides media, Larrazetia, calcaires grĂ©seux jaunes Ă  grands silex versicolores, lumachelles Ă  huĂźtres. La formation la plus rĂ©cente, notĂ©e CFp, fait partie des formations superficielles de type colluvions indiffĂ©renciĂ©es de versant, de vallon et plateaux issues d'alluvions, molasses, altĂ©rites. Le descriptif de ces couches est dĂ©taillĂ© dans la feuille « no 806 - Bergerac » de la carte gĂ©ologique au 1/50 000 de la France mĂ©tropolitaine[2] - [3] et sa notice associĂ©e[4].

    Carte géologique de Varennes.

    Relief et paysages

    La vallée du Couzeau au pont de la RD 37E1.

    Le dĂ©partement de la Dordogne se prĂ©sente comme un vaste plateau inclinĂ© du nord-est (491 m, Ă  la forĂȘt de Vieillecour dans le Nontronnais, Ă  Saint-Pierre-de-Frugie) au sud-ouest (m Ă  Lamothe-Montravel). L'altitude du territoire communal varie quant Ă  elle entre 27 mĂštres[5] au nord-ouest, lĂ  oĂč la Dordogne forme la retenue du barrage de TuiliĂšres, et 103 mĂštres[5] Ă  l'est, au lieu-dit le Talinot[6].

    Dans le cadre de la Convention europĂ©enne du paysage entrĂ©e en vigueur en France le , renforcĂ©e par la loi du 8 aoĂ»t 2016 pour la reconquĂȘte de la biodiversitĂ©, de la nature et des paysages, un atlas des paysages de la Dordogne a Ă©tĂ© Ă©laborĂ© sous maĂźtrise d’ouvrage de l’État et publiĂ© en [7]. Les paysages du dĂ©partement s'organisent en huit unitĂ©s paysagĂšres[Note 1] - [8]. La commune est dans le Bergeracois, une rĂ©gion naturelle prĂ©sentant un relief contrastĂ©, avec les deux grandes vallĂ©es de la Dordogne et du Dropt sĂ©parĂ©es par un plateau plus ou moins vallonnĂ©, dont la pente gĂ©nĂ©rale s’incline doucement d’est en ouest. Ce territoire offre des paysages ouverts qui tranchent avec les paysages pĂ©rigourdins. Il est composĂ© de vignes, vergers et cultures[9] - [10].

    La superficie cadastrale de la commune publiĂ©e par l'Insee, qui sert de rĂ©fĂ©rence dans toutes les statistiques, est de 4,05 km2[5] - [11] - [Note 2]. La superficie gĂ©ographique, issue de la BD Topo, composante du RĂ©fĂ©rentiel Ă  grande Ă©chelle produit par l'IGN, est quant Ă  elle de 4,09 km2[3].

    RĂ©seau hydrographique

    La commune est situĂ©e dans le bassin de la Dordogne au sein du Bassin Adour-Garonne[14]. Elle est drainĂ©e par la Dordogne, le Couzeau et le ruisseau de la BiĂšde, qui constituent un rĂ©seau hydrographique de 6,5 km de longueur totale[15] - [Carte 1].

    La Dordogne, d'une longueur totale de 483,1 km, prend naissance sur les flancs du puy de Sancy (1 885 m), dans la chaĂźne des monts Dore, traverse six dĂ©partements dont la Dordogne dans sa partie sud, et conflue avec la Garonne Ă  Bayon-sur-Gironde, pour former l'estuaire de la Gironde[16] - [17]. Elle borde la commune au nord sur quatre kilomĂštres face Ă  Baneuil et Saint-Capraise-de-Lalinde.

    Le Couzeau, d'une longueur totale de 13,76 km, prend sa source Ă  Bardou et se jette dans la Dordogne en rive gauche sur la commune, au lieu-dit le Port de Lanquais, face Ă  Baneuil[18] - [19]. Il traverse le territoire communal du sud au nord sur un kilomĂštre.

    Autre affluent de rive gauche de la Dordogne, le ruisseau de la BiĂšde sert de limite naturelle Ă  l'ouest sur environ 900 mĂštres, face Ă  Saint-Agne.

    • La Dordogne sĂ©pare Saint-Capraise-de-Lalinde Ă  gauche de Varennes Ă  droite.
      La Dordogne sépare Saint-Capraise-de-Lalinde à gauche de Varennes à droite.
    • Le Couzeau au pont de la RD 37E1.
      Le Couzeau au pont de la RD 37E1.
    • Le Couzeau (sur la droite) se jette dans la Dordogne par une cascatelle.
      Le Couzeau (sur la droite) se jette dans la Dordogne par une cascatelle.
    • Carte en couleur prĂ©sentant le rĂ©seau hydrographique de la commune
      RĂ©seaux hydrographique et routier de Varennes.

    Gestion et qualité des eaux

    Le territoire communal est couvert par le schĂ©ma d'amĂ©nagement et de gestion des eaux (SAGE) « Dordogne Atlantique ». Ce document de planification, dont le territoire correspond au sous‐bassin le plus aval du bassin versant de la Dordogne (aval de la confluence Dordogne - VĂ©zĂšre)., d'une superficie de 2 700 km2 est en cours d'Ă©laboration. La structure porteuse de l'Ă©laboration et de la mise en Ɠuvre est l'Ă©tablissement public territorial de bassin de la Dordogne (EPIDOR)[20]. Il dĂ©finit sur son territoire les objectifs gĂ©nĂ©raux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualitĂ© dĂ©finis dans le troisiĂšme SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la pĂ©riode 2022-2027, approuvĂ© le [21].

    La qualitĂ© des eaux de baignade et des cours d’eau peut ĂȘtre consultĂ©e sur un site dĂ©diĂ© gĂ©rĂ© par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversitĂ©[Carte 2].

    Climat

    Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[22]. En 2020, la commune ressort du mĂȘme type de climat dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat ocĂ©anique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[23].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 3]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[22]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 12,6 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 4,1 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 9,2 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 4] : 15,3 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation[Note 5] : 850 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 12,1 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 6,8 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[26] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[27] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Bergerac », sur la commune de Bergerac, mise en service en 1988[28] et qui se trouve Ă  15 km Ă  vol d'oiseau[29] - [Note 6], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 13,2 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[30], Ă  13,1 °C pour 1981-2010[31], puis Ă  13,3 °C pour 1991-2020[32].

    Milieux naturels et biodiversité

    La Dordogne entre Baneuil (au premier plan) et Varennes (en rive opposée).

    Natura 2000

    La Dordogne est un site du réseau Natura 2000 limité aux départements de la Dordogne et de la Gironde, et qui concerne les 104 communes riveraines de la Dordogne, dont Varennes[33] - [34]. Seize espÚces animales et une espÚce végétale inscrites à l'annexe II de la directive 92/43/CEE de l'Union européenne y ont été répertoriées[35].

    Protection du biotope

    La commune est soumise Ă  un arrĂȘtĂ© prĂ©fectoral de protection de biotope de 1991 destinĂ© Ă  favoriser la migration et le frai de plusieurs espĂšces de poissons[36].

    ZNIEFF

    Varennes fait partie des 102 communes concernĂ©es par la zone naturelle d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) de type II « La Dordogne »[37] - [38], dans laquelle ont Ă©tĂ© rĂ©pertoriĂ©es huit espĂšces animales dĂ©terminantes et cinquante-sept espĂšces vĂ©gĂ©tales dĂ©terminantes, ainsi que quarante-trois autres espĂšces animales et trente-neuf autres espĂšces vĂ©gĂ©tales[39].

    Au nord du lieu-dit les Coustals, entre la Dordogne et la route départementale 37E1, la « station botanique de Varennes » est protégée pour sa flore, sur 4,75 hectares. C'est une ZNIEFF de type I, partagée avec la commune voisine de Couze-et-Saint-Front[40] - [41].

    Urbanisme

    Typologie

    Varennes est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trĂšs peu denses, au sens de la grille communale de densitĂ© de l'Insee[Note 7] - [42] - [43] - [44]. Elle appartient Ă  l'unitĂ© urbaine de Lalinde, une agglomĂ©ration intra-dĂ©partementale regroupant 5 communes[45] et 4 875 habitants en 2020, dont elle est une commune de la banlieue[46] - [47].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Bergerac, dont elle est une commune de la couronne[Note 8]. Cette aire, qui regroupe 73 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de 50 000 Ă  moins de 200 000 habitants[48] - [49].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (82,4 % en 2018), nĂ©anmoins en diminution par rapport Ă  1990 (84,9 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : terres arables (63,2 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (19,2 %), zones urbanisĂ©es (6,9 %), eaux continentales[Note 9] (6,6 %), forĂȘts (4,1 %)[50].

    L'Ă©volution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut ĂȘtre observĂ©e sur les diffĂ©rentes reprĂ©sentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et les cartes ou photos aĂ©riennes de l'IGN pour la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[Carte 3].

    Villages, hameaux et lieux-dits

    Outre le bourg de Varennes proprement dit, la commune se compose de quelques autres villages ou hameaux, ainsi que de lieux-dits[51] :

    • Bardette
    • le Breil
    • les Broqueries
    • les Coustals
    • la Croix
    • les Guillonnets
    • Laussine
    • Monsagou
    • les Moulettes
    • le Port-de-Lanquais
    • le Talinot
    • Tout-Vent.

    Prévention des risques

    Le territoire de la commune de Varennes est vulnĂ©rable Ă  diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse), inondations, feux de forĂȘts, mouvements de terrains et sĂ©isme (sismicitĂ© trĂšs faible). Il est Ă©galement exposĂ© Ă  un risque technologique, la rupture d'un barrage[52]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[53].

    Risques naturels

    Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’ĂȘtre affectĂ©es par le risque d’inondation par dĂ©bordement de cours d'eau, notamment la Dordogne et le Couzeau. La commune a Ă©tĂ© reconnue en Ă©tat de catastrophe naturelle au titre des dommages causĂ©s par les inondations et coulĂ©es de boue survenues en 1982 et 1999[54] - [52]. Le risque inondation est pris en compte dans l'amĂ©nagement du territoire de la commune par le biais du plan de prĂ©vention des risques inondation (PPRI) de la « vallĂ©e de la Dordogne, de Creysse Ă  Le Buisson », couvrant 20 communes et approuvĂ© le , pour les crues de la Dordogne[55] - [56].

    Varennes est exposĂ©e au risque de feu de forĂȘt. L’arrĂȘtĂ© prĂ©fectoral du fixe les conditions de pratique des incinĂ©rations et de brĂ»lage dans un objectif de rĂ©duire le risque de dĂ©parts d’incendie. À ce titre, des pĂ©riodes sont dĂ©terminĂ©es : interdiction totale du 15 fĂ©vrier au 15 mai et du 15 juin au 15 octobre, utilisation rĂ©glementĂ©e du 16 mai au 14 juin et du 16 octobre au 14 fĂ©vrier[57]. En septembre 2020, un plan inter-dĂ©partemental de protection des forĂȘts contre les incendies (PidPFCI) a Ă©tĂ© adoptĂ© pour la pĂ©riode 2019-2029[58] - [59].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Varennes.

    Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des affaissements et effondrements liĂ©s aux cavitĂ©s souterraines (hors mines) et des tassements diffĂ©rentiels[60]. Afin de mieux apprĂ©hender le risque d’affaissement de terrain, un inventaire national permet de localiser les Ă©ventuelles cavitĂ©s souterraines sur la commune[61]. Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas d’alternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie[62]. 47,5 % de la superficie communale est en alĂ©a moyen ou fort (58,6 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national mĂ©tropolitain)[Carte 4]. Depuis le , en application de la loi ÉLAN, diffĂ©rentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maĂźtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situĂ©s dans une zone classĂ©e en alĂ©a moyen ou fort[Note 10] - [63].

    La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2011 et par des mouvements de terrain en 1999[52].

    Risque technologique

    La commune est en outre situĂ©e en aval du barrage de Bort-les-Orgues, un ouvrage de classe A[Note 11] situĂ© dans le dĂ©partement de la CorrĂšze et faisant l'objet d'un PPI depuis 2009. À ce titre elle est susceptible d’ĂȘtre touchĂ©e par l’onde de submersion consĂ©cutive Ă  la rupture de cet ouvrage[65].

    Toponymie

    Le nom de la commune est issu de l'occitan varena qui correspond à un terrain pauvre et sablonneux[66], ou encore à des terres gagnées sur les eaux[67].

    En occitan, la commune porte le nom de Varenas[67].

    Histoire

    Le territoire communal a été occupé à l'époque gallo-romaine[66].

    L'église du lieu est construite à l'époque romane[66]. Avant son nom actuel, le lieu s'est appelé « le petit Lanquais » (Lencaychetum en 1301, qui apparait encore en 1648 sous la forme « Linquasset »)[66]. La premiÚre mention écrite connue du nom actuel date de 1474 (Mansus dictus de Varennes, c'est-à-dire « domaine dit de Varennes »)[66].

    Sur la carte de Cassini représentant la France entre 1756 et 1789, le village est identifié sous le nom de Varenne[68].

    Politique et administration

    Rattachements administratifs

    DÚs 1790, la commune de Varennes a été rattachée au canton de Lalinde qui dépendait du district de Bergerac jusqu'en 1795, date de suppression des districts. En 1801, le canton est rattaché à l'arrondissement de Bergerac[5].

    Lors de l'importante rĂ©forme de 2014 dĂ©finie par le dĂ©cret du et supprimant la moitiĂ© des cantons du dĂ©partement, la commune reste attachĂ©e au mĂȘme canton qui devient plus Ă©tendu[69].

    Intercommunalité

    Fin 2002, Varennes intÚgre dÚs sa création la communauté de communes du Bassin Lindois. Celle-ci est dissoute au et remplacée au par la communauté de communes des Bastides Dordogne-Périgord.

    Administration municipale

    La population de la commune Ă©tant comprise entre 100 et 499 habitants au recensement de 2017, onze conseillers municipaux ont Ă©tĂ© Ă©lus en 2020[70] - [71].

    Liste des maires

    La mairie.
    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    Les données manquantes sont à compléter.
    mars 2001 mars 2014 Philippe Soulage SE[72] ContremaĂźtre
    mars 2014[73]
    (réélu en mai 2020)
    En cours Gérard Martin SE Retraité EDF-GDF[74]

    Juridictions

    Dans le domaine judiciaire, Varennes relĂšve[75] :

    Population et société

    DĂ©mographie

    Les habitants de Varennes se nomment les Varennois[76].

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[77]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2006[78].

    En 2020, la commune comptait 463 habitants[Note 12], en augmentation de 2,21 % par rapport à 2014 (Dordogne : −0,85 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    267266261261320316329340290
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    295250262258260250252234254
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    229216199170186198232193234
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    254383483424377384445445464
    2020 - - - - - - - -
    463--------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[5] puis Insee Ă  partir de 2006[79].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Enseignement

    En 2016, Varennes est organisée en regroupement pédagogique intercommunal (RPI) avec les communes de Lanquais, Saint-Agne, Saint-Capraise-de-Lalinde et Verdon. Des classes sont assurées à Varennes en école maternelle (moyenne et grande sections).

    Économie

    Emploi

    En 2015[80], parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs reprĂ©sentent 176 personnes, soit 38,4 % de la population municipale. Le nombre de chĂŽmeurs (seize) a diminuĂ© par rapport Ă  2010 (vingt) et le taux de chĂŽmage de cette population active s'Ă©tablit Ă  9,1 %.

    Établissements

    Au , la commune compte vingt-cinq Ă©tablissements[81], dont douze au niveau des commerces, transports ou services, six dans la construction, quatre relatifs au secteur administratif, Ă  l'enseignement, Ă  la santĂ© ou Ă  l'action sociale, deux dans l'agriculture, la sylviculture ou la pĂȘche, et un dans l'industrie[82].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • Église Saint-Avit[83].
    • L'Ă©glise Saint-Avit.
      L'Ă©glise Saint-Avit.
    • Son portail.
      Son portail.
    • Le monument aux morts.
      Le monument aux morts.

    HĂ©raldique

    Blason de Varennes Blason
    Tiercé en fasce : au 1er d'azur à une barque habillée d'argent, au 2e d'or chargé en flancs de deux bouquets de deux épis de blé feuillés de sinople, au 3e de sinople à l'église du lieu d'argent[84].
    DĂ©tails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Une unité paysagÚre est un pan de territoire qui présente des caractéristiques paysagÚres propres.
    2. La superficie publiĂ©e par l’Insee est la superficie Ă©valuĂ©e en 1975 par le service du cadastre de la Direction GĂ©nĂ©rale des ImpĂŽts, corrigĂ©e des modifications communales intervenues depuis 1975. Elle comprend toutes les surfaces du domaine public et privĂ©, cadastrĂ©es ou non cadastrĂ©es, Ă  l'exception des lacs, Ă©tangs et glaciers de plus d'un kilomĂštre carrĂ© ainsi que des estuaires et ne correspond pas obligatoirement Ă  la surface gĂ©ographique[12] - [13]
    3. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[24].
    4. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    5. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[25].
    6. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    7. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    8. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en celle d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    9. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    10. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
      • au vendeur d'informer le potentiel acquĂ©reur du terrain non bĂąti de l’existence du risque RGA ;
      • au maĂźtre d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maĂźtre d'Ɠuvre, le choix entre fournir une Ă©tude gĂ©otechnique de conception et le respect des techniques particuliĂšres de construction dĂ©finies par voie rĂ©glementaire ;
      • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude gĂ©otechnique de conception, soit de respecter des techniques particuliĂšres de construction dĂ©finies par voie rĂ©glementaire.
    11. Le classement des barrages est fonction de deux paramĂštres : hauteur et volume retenu[64].
    12. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    • Cartes
    1. « Réseau hydrographique de Varennes » sur Géoportail (consulté le 18 juillet 2022).
    2. « Qualité des eaux de riviÚre et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le )
    3. IGN, « Évolution comparĂ©e de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ).
    4. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )

    Références

    1. « Géologie de la Dordogne - Périgord », sur espritdepays.com (consulté le ).
    2. « Carte géologique de Varennes » sur Géoportail (consulté le 14 juin 2022).
    3. « CaractĂ©ristiques gĂ©ologiques et hydrogĂ©ologiques de la commune de Varennes », sur le SystĂšme d’information pour la gestion des eaux souterraines (SIGES) en Occitanie (consultĂ© le )
    4. « Notice associĂ©e Ă  la feuille no 806 - Bergerac de la carte gĂ©ologique harmonisĂ©e au 1/50 000 de la France mĂ©tropolitaine », sur Infoterre, le site du BRGM (consultĂ© le )
    5. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
    6. IGN, « Répertoire géographique des communes (RGC) 2014 », sur drive.google.com
    7. « Pourquoi un Atlas des paysages du Dordogne ? », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
    8. « Unités paysagÚres de la Dordogne », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
    9. « RepÚres géographiques du Bergeracois », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
    10. « Portrait du Bergeracois », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
    11. Insee, « Comparateur de territoire - Commune de Varennes », sur le site de l'Insee (consulté le )
    12. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Indicateurs en données ouvertes (superficie) », sur l'Observatoire des territoires (consulté le )
    13. Agence nationale de la cohĂ©sion des territoires, « RĂ©pertoire gĂ©ographique des communes d'Île-de-France - dĂ©finition de certains champs (dont la superficie) », sur data.iledefrance.fr (consultĂ© le )
    14. « Cartographie du bassin Adour-Garonne. », sur adour-garonne.eaufrance.fr (consulté le )
    15. « Fiche communale de Varennes », sur le systÚme d'information pour la gestion des eaux souterraines en région Aquitaine (consulté le )
    16. « Confluence Dordogne-Garonne au bec d'AmbÚs » sur Géoportail (consulté le 6 novembre 2022)..
    17. Sandre, « la Dordogne »
    18. « Confluence Couzeau-Dordogne au Port de Lanquais » sur Géoportail (consulté le 6 novembre 2022)..
    19. Sandre, « le Couzeau »
    20. « SAGE Dordogne Atlantique », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le )
    21. « Caractéristiques du SDAGE Adour-Garonne 2022-2027 », sur www.occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le )
    22. Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
    23. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    24. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    25. Glossaire – PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
    26. « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
    27. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    28. « Station météofrance Bergerac - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    29. « Orthodromie entre Varennes et Bergerac », sur fr.distance.to (consulté le ).
    30. « Station météorologique de Bergerac - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    31. « Station météorologique de Bergerac - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    32. « Station météorologique de Bergerac - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    33. - FR7200660 - La Dordogne, INPN, SPN-MNHN, Paris, consulté le .
    34. Carte du site « la Dordogne », INPN, consultĂ© le . Afin de visualiser correctement la zone par rapport aux communes, cliquer en haut Ă  droite sur la fenĂȘtre « Couches disponibles », barrer d'abord la couche « Orthophotos » avant de cliquer sur « Fonds de cartes », puis sur la couche « Fonds Cartographique IGN ».
    35. EspÚces, INPN, consulté le .
    36. [PDF] ArrĂȘtĂ© prĂ©fectoral de la Dordogne no 911909 portant conservation du biotope du saumon, de la Grande Alose "Alosa Alosa", alose Feinte "Alosa fallax", lamproie fluviatile "Lampetra fluviatillis", lamproie Marine "Petromyzon Marinus" constituĂ© par l'ensemble du cours de la RiviĂšre Dordogne dans le DĂ©partement sur le site de l'INPN, consultĂ© le 21 mars 2015.
    37. [PDF] - La Dordogne (Identifiant national 720020014), GEREA, INPN, SPN-MNHN, Paris, consulté le .
    38. Carte de la ZNIEFF « la Dordogne », INPN, consultĂ© le . Afin de visualiser correctement la zone par rapport aux communes, cliquer en haut Ă  droite sur la fenĂȘtre « Couches disponibles », barrer d'abord la couche « Orthophotos » avant de cliquer sur « Fonds de cartes », puis sur la couche « Fonds Cartographique IGN ».
    39. EspÚces, INPN, consulté le .
    40. Fiche 720014233 - Station botanique de Varennes sur le site de la DREAL Aquitaine, consulté le 21 mars 2015.
    41. Carte de la ZNIEFF 720014233 sur le site de la DREAL Aquitaine, consulté le 21 mars 2015.
    42. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    43. « Commune rurale - dĂ©finition », sur le site de l’Insee (consultĂ© le ).
    44. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    45. « Unité urbaine 2020 de Lalinde », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    46. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    47. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unitĂ©s urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des Ă©tudes Ă©conomiques, (consultĂ© le ).
    48. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    49. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des Ă©tudes Ă©conomiques, (consultĂ© le ).
    50. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
    51. « Varennes » sur Géoportail (consulté le 20 mars 2015)..
    52. « Les risques prÚs de chez moi - commune de Varennes », sur Géorisques (consulté le )
    53. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consultĂ© le )
    54. « Dossier départemental des risques majeurs de la Dordogne », sur www.dordogne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
    55. « Dossier départemental des risques majeurs de la Dordogne », sur www.dordogne.gouv.fr (consulté le ), liste des risques par communes, pages 111-133.
    56. [PDF]« Plan de prévention du risque inondation de la « vallée de la Dordogne, de Creysse à Le Buisson » », sur le site de la préfecture de la Dorodgne, (consulté le )
    57. « Dossier dĂ©partemental des risques majeurs de la Dordogne », sur www.dordogne.gouv.fr (consultĂ© le ), chapitre Feux de forĂȘts.
    58. « Protection de la forĂȘt contre les incendies », sur le site de la DREAL de Nouvelle-Aquitaine, (consultĂ© le )
    59. « Plans DĂ©partementaux et Inter-DĂ©partementaux de Protection des ForĂȘts Contre les Incendies », sur le site de la DREAL de Nouvelle-Aquitaine (consultĂ© le )
    60. « Dossier départemental des risques majeurs de la Dordogne », sur www.dordogne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
    61. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Varennes », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
    62. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
    63. « Sols argileux, sécheresse et construction », sur www.ecologie.gouv.fr (consulté le )
    64. Article R214-112 du code de l’environnement
    65. « Dossier départemental des risques majeurs de la Dordogne », sur www.dordogne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque rupture de barrage.
    66. Chantal Tanet et Tristan Hordé, Dictionnaire des noms de lieux du Périgord, éditions Fanlac, 2000, (ISBN 2-86577-215-2), p. 418.
    67. Le nom occitan des communes du Périgord - Varenas sur le site du Conseil général de la Dordogne, consulté le .
    68. « Varenne » sur Géoportail (consulté le 20 mars 2015)..
    69. Légifrance, « Décret no 2014-218 du 21 février 2014 portant délimitation des cantons dans le département de la Dordogne », sur http://www.legifrance.gouv.fr/ (consulté le ).
    70. Article L2121-2 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance, consulté le 16 septembre 2020.
    71. Résultats des élections municipales et communautaires 2020 sur le site du ministÚre de l'Intérieur, consulté le 26 novembre 2020.
    72. « Voici vos 557 maires », édition spéciale de Sud Ouest du 3 avril 2008, p. 12.
    73. Union départementale des maires de la Dordogne, consultée le 10 septembre 2014.
    74. Anne-Marie Sopkowitz, Un hommage aux Ă©lus, Sud Ouest Ă©dition Dordogne du 7 mai 2014, p. 21.
    75. « Annuaire des juridictions d'une commune », sur le site du ministÚre de la Justice (consulté le ).
    76. Nom des habitants des communes françaises sur le site de l'Union des maires de la Dordogne, consulté le 18 mars 2015.
    77. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    78. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    79. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    80. Dossier complet - Commune de Varennes (24566) - Activités, emploi et chÎmage - tableaux EMP T2 et EMP T4 sur le site de l'Insee, consulté le 5 février 2019.
    81. « Établissement - DĂ©finition », sur Insee (consultĂ© le ).
    82. Dossier complet - Commune de Varennes (24566) - Établissements actifs par secteur d'activitĂ© - tableau CEN T1 sur le site de l'Insee, consultĂ© le 5 fĂ©vrier 2019.
    83. Abbé Carles, Dictionnaire des paroisses du Périgord, éditions du Roc de Bourzac, Bayac, 2004, (réédition à l'identique de celle de 1884 : Les titulaires et patrons du diocÚse de Périgueux et de Sarlat), (ISBN 2-87624-125-0), p. 183.
    84. « 24566 Varennes (Dordogne) », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).
    Cet article est issu de wikipedia. Text licence: CC BY-SA 4.0, Des conditions supplĂ©mentaires peuvent s’appliquer aux fichiers multimĂ©dias.