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Noé (Haute-Garonne)

Noé est une commune française située dans le centre du département de la Haute-Garonne en région Occitanie.

Noé
Noé (Haute-Garonne)
Vue générale.
Blason de Noé
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Occitanie
Département Haute-Garonne
Arrondissement Muret
Intercommunalité Communauté de communes du Volvestre
Maire
Mandat
Max Cazarré
2020-2026
Code postal 31410
Code commune 31399
Démographie
Gentilé Noémiens, Noémiennes
Population
municipale
2 938 hab. (2020 en augmentation de 2,62 % par rapport à 2014)
Densité 304 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 21′ 17″ nord, 1° 16′ 32″ est
Altitude Min. 175 m
Max. 280 m
Superficie 9,65 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Longages
(banlieue)
Aire d'attraction Toulouse
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Auterive
Législatives Septième circonscription
Localisation
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Noé
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Noé
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Noé
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Noé
Liens
Site web http://www.mairie-noe.fr/

    Sur le plan historique et culturel, la commune est dans le Volvestre, constitué des vallées de l'Arize et du Volp, proche de la vallée de la Garonne, situé au sud de Toulouse et en partie nord du Couserans. Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par la Garonne, le ruisseau du Rabé et par divers autres petits cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable : un site Natura 2000 (« Garonne, Ariège, Hers, Salat, Pique et Neste »), un espace protégé (« la Garonne, l'Ariège, l'Hers Vif et le Salat ») et trois zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.

    Noé est une commune de la couronne périurbaine de l'aire d'attraction de Toulouse et elle appartient à l'unité urbaine de Longages. Elle compte 2 938 habitants en 2020, après avoir connu une forte hausse de la population depuis 1954. Ses habitants sont appelés les Noémiens ou Noémiennes.

    Le patrimoine architectural de la commune comprend deux immeubles protégés au titre des monuments historiques : la maison de Pardailhan, classée en 1942, et la Pyramide de démarcation de la Guyenne et du Languedoc, inscrite en 2010.

    Géographie

    Localisation

    Cartographies de la commune
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    La commune de Noé se trouve dans le département de la Haute-Garonne, en région Occitanie[I 1].

    Elle se situe à 31 km à vol d'oiseau de Toulouse[1], préfecture du département, à 13 km de Muret[2], sous-préfecture, et à 16 km d'Auterive[3], bureau centralisateur du canton d'Auterive dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[I 1]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Carbonne[I 1].

    Les communes les plus proches[Note 1] sont[4] : Montaut (1,4 km), Capens (2,3 km), Mauzac (2,7 km), Longages (2,8 km), Marquefave (4,7 km), Saint-Sulpice-sur-Lèze (4,8 km), Lavernose-Lacasse (4,8 km), Le Fauga (5,0 km).

    Sur le plan historique et culturel, Noé fait partie du Volvestre, constitué des vallées de l'Arize et du Volp, proche de la vallée de la Garonne, situé au sud de Toulouse et en partie nord du Couserans[5].

    Noé est limitrophe de six autres communes.

    Géologie et relief

    La commune de Noé est établie sur la première terrasse de la Garonne dans sa partie rive gauche et sa rive droite est surplombée par un talus abrupt qui entaille profondément la molasse de l’ère tertiaire.

    La superficie de la commune est de 965 hectares ; son altitude varie de 175 à 280 mètres[7].

    Hydrographie

    Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
    Réseaux hydrographique et routier de Noé.

    La commune est dans le bassin de la Garonne, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne[8]. Elle est drainée par la Garonne, le ruisseau du Rabé, un bras de la Garonne, la Nauze et par deux petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de km de longueur totale[9] - [Carte 1].

    La Garonne est un fleuve principalement français prenant sa source en Espagne et qui coule sur 529 km avant de se jeter dans l’océan Atlantique[10].

    Le ruisseau du Rabé, d'une longueur totale de 10,3 km, prend sa source dans la commune de Marquefave et s'écoule vers le nord. Il traverse la commune et se jette dans la Louge à Le Fauga, après avoir traversé 5 communes[11].

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat du Bassin du Sud-Ouest », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[12]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[13].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[12]

    • Moyenne annuelle de température : 13,1 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,1 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 10 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 3] : 15,6 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 729 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 9,8 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 5,7 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[15] complétée par des études régionales[16] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Muret-Lherm », sur la commune de Lherm, mise en service en 1996[17] et qui se trouve à 10 km à vol d'oiseau[18] - [Note 4], où la température moyenne annuelle est de 13,5 °C et la hauteur de précipitations de 606,3 mm pour la période 1981-2010[19]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Toulouse-Francazal », sur la commune de Cugnaux, mise en service en 1922 et à 21 km[20], la température moyenne annuelle évolue de 14,1 °C pour la période 1971-2000[21], à 14,1 °C pour 1981-2010[22], puis à 14,3 °C pour 1991-2020[23].

    Espaces protégés

    La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[24] - [25].

    Un espace protégé est présent sur la commune : « la Garonne, l'Ariège, l'Hers Vif et le Salat », objet d'un arrêté de protection de biotope, d'une superficie de 1 658,7 ha[26].

    Réseau Natura 2000

    Site Natura 2000 sur le territoire communal.

    Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 5]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la directive habitats : « Garonne, Ariège, Hers, Salat, Pique et Neste »[28], d'une superficie de 9 581 ha, un réseau hydrographique pour les poissons migrateurs (zones de frayères actives et potentielles importantes pour le Saumon en particulier qui fait l'objet d'alevinages réguliers et dont des adultes atteignent déjà Foix sur l'Ariège[29].

    Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

    Carte des ZNIEFF de type 1 localisées sur la commune.

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Deux ZNIEFF de type 1[Note 6] sont recensées sur la commune[30] : les « falaises de la Garonne, de Muret à Carbonne » (525 ha), couvrant 8 communes du département[31] et « la Garonne de Montréjeau jusqu'à Lamagistère » (5 075 ha), couvrant 92 communes dont 63 dans la Haute-Garonne, trois dans le Lot-et-Garonne et 26 dans le Tarn-et-Garonne[32] et une ZNIEFF de type 2[Note 7] - [30] : « la Garonne et milieux riverains, en aval de Montréjeau » (6 874 ha), couvrant 93 communes dont 64 dans la Haute-Garonne, trois dans le Lot-et-Garonne et 26 dans le Tarn-et-Garonne[33].

    Urbanisme

    Typologie

    Noé est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 8] - [34] - [I 2] - [35]. Elle appartient à l'unité urbaine de Longages, une agglomération intra-départementale regroupant 3 communes[I 3] et 6 828 habitants en 2020.

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Toulouse, dont elle est une commune de la couronne[Note 9]. Cette aire, qui regroupe 527 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[I 4] - [I 5].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (53,1 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (68 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (29,9 %), zones urbanisées (26,2 %), terres arables (23,2 %), eaux continentales[Note 10] (14,9 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (3,1 %), forêts (2,6 %)[36].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

    Lieux-dits ou hameaux

    Gaillard-du-Port, Les Clauzolles, Les Agnets,

    Voies de communication

    La commune est accessible par l'autoroute A 64, par les sorties : Sortie 28, Sortie 29, Sortie 30.

    Transports

    La gare de Longages - Noé, située à proximité directe du territoire de la commune, est desservie quotidiennement par des TER Occitanie effectuant des missions entre les gares de Toulouse-Matabiau, Boussens, Montréjeau - Gourdan-Polignan et Pau.

    La ligne 359 du réseau Arc-en-Ciel relie le centre de la commune à la gare routière de Toulouse depuis Montesquieu-Volvestre, la ligne 361 relie le centre de la commune à la gare routière de Toulouse depuis Le Fousseret et la ligne 380 relie le centre de la commune à la gare routière de Toulouse depuis Cazères.

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Noé est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque technologique, la rupture d'un barrage[37]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[38].

    Risques naturels

    Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment le ruisseau du Rabé. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1999, 2000, 2007, 2009 et 2018[39] - [37].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Noé.

    La commune est vulnérable au risque de mouvements de terrains constitué principalement du retrait-gonflement des sols argileux[40]. Cet aléa est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (88,8 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 1 134 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 1 134 sont en en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 98 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[41] - [Carte 3].

    Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[42].

    Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2003 et par des mouvements de terrain en 1999, 2001 et 2004[37].

    Risques technologiques

    La commune est en outre située en aval du barrage de Cap de Long sur la Neste de Couplan (département des Hautes-Pyrénées). À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture de cet ouvrage[43].

    Histoire

    Antiquité et Moyen Åge

    Des populations de culture celtique et ibérique, les Volques, ont occupé quelques siècles avant J-C à l'âge du fer, les bords de la Garonne à Noé vers la terminaison du chemin de Barthe (Lieu de l'ancienne déchetterie). Toutefois rien sur place ne permet de l’identifier.

    L'actuelle commune de Noé est située sur la voie romaine qui reliait Tolosa à Lugdunum Convenarum (actuel village de Saint-Bertrand-de-Comminges) aux pieds des Pyrénées.

    En 721, les Omeyyades venus de la péninsule ibérique saccagent le village et ses cultures[44].

    À partir du Moyen Âge jusqu'à sa disparition en 1790 pendant la Révolution française, Noé faisait partie du diocèse de Rieux.

    Seconde Guerre mondiale

    En 1937, le ministère de la guerre décide de créer sur un terrain de 14 hectares au nord de Noé, un cantonnement à la frontière avec le village Le Fauga, celui-ci est relié par la gare de Longages. Il a pour but de rassembler les réfugiés espagnols qui fuient la guerre d'Espagne. Durant la Seconde Guerre mondiale, ce cantonnement se transforme en véritable camp de concentration. Entre 1942 et 1944, le camp de Noé représente l'un des deux camps de la vallée de la Garonne, avec le camp du Récébédou. Les Juifs internés sont déportés vers le camp de transit de Drancy en région parisienne puis vers la Pologne dans les centres de mise à mort d'Auschwitz-Birkenau et Majdanek-Lublin[45]. En , les Allemands décident de vider le camp des hommes encore valides, on compte alors 306 personnes encore sur place, essentiellement des femmes, des mutilés de la guerre et des malades.

    Le camp est délivré par les maquisards le [46].

    Photographie d'une partie du cimetière de Noé consacrée aux tombes de Juifs morts au camp de Noé durant la Seconde Guerre mondiale.

    Le cimetière communal possède un carré juif, on y compte environ 200 tombes d'anciens internés. À ce titre et en mémoire, une œuvre d'art a été érigée à l'entrée en mémoire des morts.

    Un lieu d'histoire qui s'est perdu dans les mémoires.

    Une partie d'un quartier de Noé (appelé aujourd'hui quartier Sainte-Marie) correspond à peu près à son ancien emplacement. S'y trouvent actuellement des maisons pour la plupart construites après la Seconde Guerre mondiale, une école maternelle et primaire, un terrain de football, un jardin de jeu pour les enfants, une médiathèque, un groupe médical, et un petit parking. Certains habitants de Noé utilisent le mot "camp" pour désigner le quartier Sainte-Marie. Cela prouve que la mémoire du lieu est présente dans le vocabulaire utilisé.

    Peu de gens, hormis certains historiens (comme Éric Malo) ayant travaillé sur le camp de Noé, des personnes âgées et vraiment originaires de la commune, savent qu'à Noé (sur l'emplacement d'un quartier voulu neuf après guerre, il fallait faire table rase du passé à l'heure de la reconstruction du pays) furent détenus dans des conditions épouvantables des femmes et des hommes lors du dernier conflit mondial du fait de la politique du régime de Vichy, et que des Juifs y furent détenus et envoyés en Pologne (dans les centres de mise à mort d'Auschwitz-Birkenau et de Majdanek-Lublin) pour être assassinés dans le cadre de la Solution finale orchestrée par l'Allemagne nazie[47].

    Le cimetière de la commune gardait une trace de ce passé tragique jusqu'à ce qu'un mémorial soit inauguré le 22 octobre 2021. Il est situé juste à côté du groupe médical.

    Rappelons ici ces mots du Cardinal Saliège, archevêque de Toulouse, envoyés aux curés du diocèse pour qu'ils soient lus devant les fidèles lors de la messe du dimanche :

    « Dans notre Diocèse, des scènes d’épouvante ont eu lieu dans les camps de Noé et de Récébédou. Les Juifs sont des hommes, les Juives sont des femmes. Les étrangers sont des hommes, les étrangères sont des femmes. Tout n’est pas permis contre eux, contre ces hommes, contre ces femmes, contre ces pères et mères de famille. Ils sont nos frères comme tant d’autres. Un chrétien ne peut l’oublier[48]. »

    Héraldique

    Blason de Noé Blason
    Losangé d’or et de gueules[49]
    Détails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Politique et administration

    Administration municipale

    Le nombre d'habitants au recensement de 2011 étant compris entre 2 500 habitants et 3 499 habitants, le nombre de membres du conseil municipal pour l'élection de 2014 est de vingt trois[50] - [51].

    Rattachements administratifs et électoraux

    Commune faisant partie de la septième circonscription de la Haute-Garonne, de la communauté de communes du Volvestre et du canton d'Auterive (avant le redécoupage départemental de 2014, Noé faisait partie de l'ex-canton de Carbonne) et avant le elle faisait partie de la communauté de communes de Garonne Louge.

    Liste des maires

    Jean-Baptiste Doumeng, maire de Noé, en 1974.
    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Jean-Baptiste Doumeng PCF Homme d'affaires
    Conseiller général du canton de Carbonne (1970 → 1976)
    [52]
    (décès)
    Jean-Paul Feuillerac DVD Ingénieur
    En cours Max Cazarré DVG Retraité
    Les données manquantes sont à compléter.

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[53]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[54].

    En 2020, la commune comptait 2 938 habitants[Note 11], en augmentation de 2,62 % par rapport à 2014 (Haute-Garonne : +7,44 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    596631742736838894875920947
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    9911 001951866827862857763693
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    6846346296216196105691 517746
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
    8351 0341 2721 5431 9752 0662 3352 4372 603
    2014 2019 2020 - - - - - -
    2 8632 9122 938------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[55] puis Insee à partir de 2006[56].)
    Histogramme de l'évolution démographique
    Évolution du rang de la commune
    selon la population municipale des années : 1968[57] 1975[57] 1982[57] 1990[57] 1999[57] 2006[58] 2009[59] 2013[60]
    Rang de la commune dans le département 62 71 83 74 77 79 78 75
    Nombre de communes du département 592 582 586 588 588 588 589 589

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • Vue de l'église.
      Vue de l'église.
    • Pyramide de démarcation de la Guyenne et du Languedoc
      Pyramide de démarcation de la Guyenne et du Languedoc
    • Une maison à colombages
      Une maison à colombages
    • Statue de la Vierge à l'Enfant
      Statue de la Vierge à l'Enfant
    • L'église Saint-Martin
      L'église Saint-Martin
    • Le clocher de l'église Saint-Martin
      Le clocher de l'église Saint-Martin

    Personnalités liées à la commune

    Économie

    Revenus

    En 2018 (données Insee publiées en ), la commune compte 1 161 ménages fiscaux[Note 12], regroupant 2 999 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 21 660 [I 6] (23 140  dans le département[I 7]). 49 % des ménages fiscaux sont imposés[Note 13] (55,3 % dans le département).

    Emploi

    Taux de chômage
    200820132018
    Commune[I 8]7,1 %9,2 %9,4 %
    Département[I 9]7,7 %9,6 %9,3 %
    France entière[I 10]8,3 %10 %10 %

    En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 1 823 personnes, parmi lesquelles on compte 76,7 % d'actifs (67,3 % ayant un emploi et 9,4 % de chômeurs) et 23,3 % d'inactifs[Note 14] - [I 8]. En 2018, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est supérieur à celui du département, mais inférieur à celui de la France, alors qu'il était inférieur à celui du département et de la France en 2008.

    La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Toulouse, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 4] - [I 11]. Elle compte 975 emplois en 2018, contre 843 en 2013 et 739 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 1 237, soit un indicateur de concentration d'emploi de 78,8 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 61,3 %[I 12].

    Sur ces 1 237 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 202 travaillent dans la commune, soit 16 % des habitants[I 13]. Pour se rendre au travail, 88,9 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 3,8 % les transports en commun, 4 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 3,3 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 14].

    Secteurs d'activités

    342 établissements[Note 15] sont implantés à Noé au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 16] - [I 15].

    Secteur d'activitéCommuneDépartement
    Nombre % %
    Ensemble342100 %(100 %)
    Industrie manufacturière,
    industries extractives et autres
    4112 %(5,7 %)
    Construction7923,1 %(12 %)
    Commerce de gros et de détail,
    transports, hébergement et restauration
    8625,1 %(25,9 %)
    Information et communication61,8 %(4,1 %)
    Activités financières et d'assurance102,9 %(3,8 %)
    Activités immobilières92,6 %(4,2 %)
    Activités spécialisées, scientifiques et techniques
    et activités de services administratifs et de soutien
    5616,4 %(19,8 %)
    Administration publique, enseignement,
    santé humaine et action sociale
    3510,2 %(16,6 %)
    Autres activités de services205,8 %(7,9 %)

    Le secteur du commerce de gros et de détail, des transports, de l'hébergement et de la restauration est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 25,1 % du nombre total d'établissements de la commune (86 sur les 342 entreprises implantées à Noé), contre 25,9 % au niveau départemental[I 16].

    Entreprises et commerces

    Les cinq entreprises ayant leur siège social sur le territoire communal qui génèrent le plus de chiffre d'affaires en 2020 sont[63] :

    • Irrijardin, centrales d'achat non alimentaires (67 393 k€)
    • SARL Christal, supermarchés (20 487 k€)
    • Sol Facade, travaux de revêtement des sols et des murs (11 296 k€)
    • Transports - Developpement Volvestre, transports routiers de fret de proximité (5 151 k€)
    • Chetcuti Affretement Transport, affrètement et organisation des transports (4 814 k€)

    Commerces en 2016 : un distributeur de matériau de construction, un atelier de réparation automobile, bureau de tabac, une poste, 2 boulangeries, 2 coiffeurs, une auto école, une pharmacie un dentiste un docteur et kinésithérapeute, 2 agences immobilières, une épicerie et également un Super U un hôtel-restaurant, ainsi qu'une pizzeria.

    Agriculture

    1988200020102020
    Exploitations261374
    SAU[Note 17] (ha)529380258130

    La commune est dans « les Vallées », une petite région agricole consacrée à la polyculture sur les plaines et terrasses alluviales qui s’étendent de part et d’autre des sillons marqués par la Garonne et l’Ariège[64]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 18] sur la commune est la polyculture et/ou le polyélevage[Carte 5]. Quatre exploitations agricoles ayant leur siège dans la commune sont dénombrées lors du recensement agricole de 2020[Note 19] (26 en 1988). La superficie agricole utilisée est de 130 ha[66] - [Carte 6] - [Carte 7].

    Vie pratique

    Enseignement

    Collège Nelson Mandela en construction (fin 2012)
    Agrandissement en 2020

    Noé fait partie de l'académie de Toulouse.

    Sur la commune, il existe une école maternelle et une école primaire, le tout étant complété par la bibliothèque municipale. Jusqu'en 2013 le collège était celui de la commune voisine de Carbonne, mais depuis la rentrée 2013 Noé a son propre collège, le collège Nelson Mandela, en 2020 une extension est réalisé (6 classes supplémentaires) pour passer d’une capacité d’accueil de 600 à 700 places.

    Une médiathèque est également présente entre les 2 écoles primaires et maternelles.

    Culture

    Diverses associations dont une école de musique de danse et de dessin, chorale, phototèque,

    Activités sportives

    Associations sportives : tennis, le football, la pétanque, basket-ball, chasse, pêche, gymnastique[67].

    Équipements sportifs

    Une piscine, 2 terrains de tennis extérieurs, le stade de football Jean Rougé, un gymnase et une salle de tennis couverte : la salle Faugères qui comprend également un terrain de pétanque.

    Écologie et recyclage

    La collecte et le traitement des déchets des ménages et des déchets assimilés ainsi que la protection et la mise en valeur de l'environnement se font dans le cadre de la communauté de communes du Volvestre[68].

    Une déchèterie est gérée par la communauté de communes[69] est présente sur la commune de Carbonne en limite de Peyssies, ainsi que sur la commune ou il existe une déchèterie pour déchets verts chemin Peyrefil.

    Pour approfondir

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Site de l'Insee

    1. « Métadonnées de la commune de Noé » (consulté le ).
    2. « Commune rurale - définition » (consulté le ).
    3. « Unité urbaine 2020 de Longages » (consulté le ).
    4. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
    5. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).
    6. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Noé » (consulté le ).
    7. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans la Haute-Garonne » (consulté le ).
    8. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Noé » (consulté le ).
    9. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la Haute-Garonne » (consulté le ).
    10. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
    11. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
    12. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Noé » (consulté le ).
    13. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
    14. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
    15. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Noé » (consulté le ).
    16. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans la Haute-Garonne » (consulté le ).

    Autres sources

    1. Stephan Georg, « Distance entre Noé et Toulouse », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    2. Stephan Georg, « Distance entre Noé et Muret », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    3. Stephan Georg, « Distance entre Noé et Auterive », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    4. « Communes les plus proches de Noé », sur www.villorama.com (consulté le ).
    5. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 384-385.
    6. Carte IGN sous Géoportail
    7. Répertoire géographique des communes, publié par l'Institut national de l'information géographique et forestière, [lire en ligne].
    8. « Le réseau hydrographique du bassin Adour-Garonne. » [PDF], sur draaf.occitanie.agriculture.gouv.fr (consulté le )
    9. « Fiche communale de Noé », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Occitanie (consulté le )
    10. Sandre, « la Garonne »
    11. Sandre, « le ruisseau du Rabé »
    12. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    13. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    14. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    15. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    16. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
    17. « Station Météo-France Muret-Lherm - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    18. « Orthodromie entre Noé et Lherm », sur fr.distance.to (consulté le ).
    19. « Station Météo-France Muret-Lherm - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    20. « Orthodromie entre Noé et Cugnaux », sur fr.distance.to (consulté le ).
    21. « Station météorologique de Toulouse-Francazal - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    22. « Station météorologique de Toulouse-Francazal - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
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    24. « Les différents espaces protégés. », sur http://www.observatoire-biodiversite-centre.fr/ (consulté le )
    25. « Liste des espaces protégés sur la commune », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le )
    26. « - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    27. Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire
    28. « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Noé », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    29. « site Natura 2000 FR7301822 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le )
    30. « Liste des ZNIEFF de la commune de Noé », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    31. « ZNIEFF les « falaises de la Garonne, de Muret à Carbonne » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    32. « ZNIEFF « la Garonne de Montréjeau jusqu'à Lamagistère » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    33. « ZNIEFF « la Garonne et milieux riverains, en aval de Montréjeau » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    34. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    35. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    36. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    37. « Les risques près de chez moi - commune de Noé », sur Géorisques (consulté le )
    38. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le )
    39. « Dossier départemental des risques majeurs dans la Haute-Garonne », sur www.haute-garonne.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Risque inondation.
    40. « Dossier départemental des risques majeurs dans la Haute-Garonne », sur www.haute-garonne.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Mouvements de terrain.
    41. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
    42. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Noé », sur http://www.georisques.gouv.fr/ (consulté le )
    43. « Dossier départemental des risques majeurs dans la Haute-Garonne », sur www.haute-garonne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque rupture de barrage.
    44. AD31/ Monographie communale de 1885.
    45. « Carte des convois de déportation vers la Pologne », sur memorialdelashoah.org (consulté le ).
    46. .http://www.musee-resistance31.fr/index.php?option=com_content&view=article&id=202&Itemid=263
    47. « Itinéraires des convois de déportations vers la Pologne », sur memorialdelashoah.org (consulté le ).
    48. L'honneur d'un cardinal
    49. La Dépêche
    50. art L. 2121-2 du code général des collectivités territoriales.
    51. « Résultats des élections municipales et communautaires 2014 », sur interieur.gouv.fr (consulté le ).
    52. « Le dernier adieu à Jean-Paul Feuillerac », La Dépêche, (lire en ligne).
    53. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    54. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    55. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    56. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    57. INSEE, « Population selon le sexe et l'âge quinquennal de 1968 à 2012 (1990 à 2012 pour les DOM) », sur insee.fr, (consulté le ).
    58. INSEE, « Populations légales 2006 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
    59. INSEE, « Populations légales 2009 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
    60. INSEE, « Populations légales 2013 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
    61. Notice no PA00094409, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    62. « Borne », notice no PA00094379, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 1 décembre 2011.
    63. « Entreprises à Noé », sur entreprises.lefigaro.fr (consulté le ).
    64. « Les régions agricoles (RA), petites régions agricoles(PRA) - Année de référence : 2017 », sur agreste.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    65. Présentation des premiers résultats du recensement agricole 2020, Ministère de l’agriculture et de l’alimentation, 10 décembre 2021
    66. « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans la commune de Noé - Données générales », sur recensement-agricole.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    67. « Les associations sportives », sur Site officiel de la mairie de Noé, (consulté le ).
    68. « Accueil », sur Communauté de communes du Volvestre (consulté le ).
    69. « Accueil », sur Communauté de communes du Volvestre (consulté le ).

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
    2. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[14].
    3. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[27].
    6. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
    7. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    8. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    9. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    10. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    11. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    12. Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
    13. La part des ménages fiscaux imposés est le pourcentage des ménages fiscaux qui ont un impôt à acquitter au titre de l'impôt sur le revenu des personnes physiques. L'impôt à acquitter pour un ménage fiscal correspond à la somme des impôts à acquitter par les foyers fiscaux qui le composent.
    14. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
    15. L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
    16. Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
    17. Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
    18. L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
    19. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[65].
    • Cartes
    1. « Carte hydrographique de Noé » sur Géoportail (consulté le 5 novembre 2021).
    2. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    3. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
    4. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
    5. « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    6. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    7. « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
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