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Millas

Millas (prononcé [mijas] ) est une commune française située dans le nord-est du département des Pyrénées-Orientales en région Occitanie. Ses habitants sont appelés les Millassois. Sur le plan historique et culturel, la commune est dans le Roussillon, une ancienne province du royaume de France, qui a existé de 1659 jusqu'en 1790 et qui recouvrait les trois vigueries du Roussillon, du Conflent et de Cerdagne.

Millas
Millas
Vue générale de Millas
Blason de Millas
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Occitanie
Département Pyrénées-Orientales
Arrondissement Prades[1]
Intercommunalité Communauté de communes de Roussillon Conflent
Maire
Mandat
Jacques Garsau
2020-2026
Code postal 66170
Code commune 66108
DĂ©mographie
Gentilé Millassois(e)
Population
municipale
4 261 hab. (2020 en augmentation de 2,72 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 223 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 42° 41â€Č 33″ nord, 2° 41â€Č 47″ est
Altitude Min. 89 m
Max. 500 m
Superficie 19,12 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Millas
(ville isolée)
Aire d'attraction Perpignan
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales VallĂ©e de la TĂȘt
Localisation
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Millas
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Millas
Liens
Site web Site officiel

    ExposĂ©e Ă  un climat mĂ©diterranĂ©en, elle est drainĂ©e par la TĂȘt, le BoulĂšs, la Comelade. La commune possĂšde un patrimoine naturel remarquable composĂ© de trois zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique.

    Millas est une commune rurale qui compte 4 261 habitants en 2020, aprĂšs avoir connu une forte hausse de la population depuis 1962. Elle est dans l'unitĂ© urbaine de Millas et fait partie de l'aire d'attraction de Perpignan. Ses habitants sont appelĂ©s les Millassois ou Millassoises.

    GĂ©ographie

    Localisation

    La commune de Millas se trouve dans le département des Pyrénées-Orientales, en région Occitanie[I 1].

    Elle se situe Ă  16 km Ă  vol d'oiseau de Perpignan[2], prĂ©fecture du dĂ©partement, Ă  24 km de Prades[3], sous-prĂ©fecture, et Ă  km du Le Soler[4], bureau centralisateur du canton de la VallĂ©e de la TĂȘt dont dĂ©pend la commune depuis 2015 pour les Ă©lections dĂ©partementales[I 1]. La commune est par ailleurs ville-centre du bassin de vie de Millas[I 1].

    Les communes les plus proches[Note 1] sont[5] : Saint-FĂ©liu-d'Amont (2,3 km), NĂ©fiach (2,4 km), Corneilla-la-RiviĂšre (2,9 km), Saint-FĂ©liu-d'Avall (3,7 km), CorbĂšre-les-Cabanes (4,1 km), CamĂ©las (4,5 km), CorbĂšre (5,1 km), PĂ©zilla-la-RiviĂšre (6,1 km).

    Sur le plan historique et culturel, Millas fait partie du FenouillÚdes, une dépression allongée entre les CorbiÚres et les massifs pyrénéens recouvrant la presque totalité du bassin de l'Agly. Ce territoire est culturellement une zone de langue occitane[6].

    Situation de Millas.

    GĂ©ologie et relief

    La superficie de la commune est de 1 912 ha. Son altitude varie de 89 m Ă  500 m[7].

    La commune est classée en zone de sismicité 3, correspondant à une sismicité modérée[8].

    Hydrographie

    La commune de Millas est traversĂ©e en son milieu et d'ouest en est par la TĂȘt. Ce fleuve connaĂźt souvent des crues spectaculaires plutĂŽt au printemps mais aussi parfois en hiver, tel l'Ă©pisode de novembre 1892 lors duquel le fleuve atteint le niveau de 4,20 mĂštres Ă  Millas aprĂšs avoir reçu le BoulĂšs[9].

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat méditerranéen franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[10]. En 2020, la commune ressort du type « climat méditerranéen » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en premiÚre approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, les hivers sont doux et les étés chauds, avec un ensoleillement important et des vents violents fréquents[11].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© suivant[10].

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 14,6 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 0,6 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 13 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 3] : 15,8 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation : 713 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 6,1 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 2,6 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[13] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[14] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Thuir », sur la commune de Thuir, mise en service en 1993[15] et qui se trouve Ă  km Ă  vol d'oiseau[16] - [Note 4], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 15 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 576,3 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[17]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche, « Perpignan », sur la commune de Perpignan, mise en service en 1924 et Ă  16 km[18], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 15,4 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[19], Ă  15,7 °C pour 1981-2010[20], puis Ă  16,1 °C pour 1991-2020[21].

    Milieux naturels et biodiversité

    L’inventaire des zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de rĂ©aliser une couverture des zones les plus intĂ©ressantes sur le plan Ă©cologique, essentiellement dans la perspective d’amĂ©liorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux diffĂ©rents dĂ©cideurs un outil d’aide Ă  la prise en compte de l’environnement dans l’amĂ©nagement du territoire. Deux ZNIEFF de type 1[Note 5] sont recensĂ©es sur la commune[22] : le « massif de Força-RĂ©al » (633 ha), couvrant 3 communes du dĂ©partement[23] et la « vallĂ©e de la TĂȘt de Vinça Ă  Perpignan » (554 ha), couvrant 10 communes du dĂ©partement[24] et une ZNIEFF de type 2[Note 6] - [22] : le « massif du FenouillĂšdes » (34 157 ha), couvrant 40 communes dont une dans l'Aude et 39 dans les PyrĂ©nĂ©es-Orientales[25].

    • Carte des ZNIEFF de type 1 et 2 Ă  Millas.
    • Carte des ZNIEFF de type 1 sur la commune.
      Carte des ZNIEFF de type 1 sur la commune.
    • Carte de la ZNIEFF de type 2 sur la commune.
      Carte de la ZNIEFF de type 2 sur la commune.

    Urbanisme

    Typologie

    Millas est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trĂšs peu denses, au sens de la grille communale de densitĂ© de l'Insee[Note 7] - [26] - [I 2] - [27]. Elle appartient Ă  l'unitĂ© urbaine de Millas, une unitĂ© urbaine monocommunale[I 3] de 4 279 habitants en 2017, constituant une ville isolĂ©e[I 4] - [I 5].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Perpignan, dont elle est une commune de la couronne[Note 8]. Cette aire, qui regroupe 118 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de 200 000 Ă  moins de 700 000 habitants[I 6] - [I 7].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (72,5 % en 2018), nĂ©anmoins en diminution par rapport Ă  1990 (77,6 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : cultures permanentes (51,7 %), milieux Ă  vĂ©gĂ©tation arbustive et/ou herbacĂ©e (15,7 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (15,3 %), zones urbanisĂ©es (10,6 %), terres arables (3,8 %), prairies (1,7 %), forĂȘts (1,3 %)[28].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[Carte 1].

    Voies de communication et transports

    La commune compte une gare sur son territoire, la gare de Millas, desservie quotidiennement par des TER Occitanie effectuant des missions entre les gares de Perpignan et de Villefranche - Vernet-les-Bains.

    La ligne 510 du réseau régional liO relie la commune à la gare de Perpignan, la ligne 512 relie également la commune à la gare de Perpignan depuis CorbÚre, la ligne 520 relie la commune à la gare de Perpignan depuis Prades, et la ligne 544 relie la commune à Saint-Cyprien.

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Millas est vulnĂ©rable Ă  diffĂ©rents alĂ©as naturels : inondations, climatiques (grand froid ou canicule), feux de forĂȘts, mouvements de terrains et sĂ©isme (sismicitĂ© modĂ©rĂ©e). Il est Ă©galement exposĂ© Ă  deux risques technologiques, le transport de matiĂšres dangereuses et la rupture d'un barrage, et Ă  un risque particulier, le risque radon[29] - [30].

    Risques naturels

    Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’ĂȘtre affectĂ©es par le risque d’inondation par crue torrentielle de cours d'eau du bassin de la TĂȘt[31].

    Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont soit des mouvements liés au retrait-gonflement des argiles, soit des glissements de terrains, soit des chutes de blocs[32]. Une cartographie nationale de l'aléa retrait-gonflement des argiles permet de connaßtre les sols argileux ou marneux susceptibles vis-à-vis de ce phénomÚne[33].

    Ces risques naturels sont pris en compte dans l'aménagement du territoire de la commune par le biais d'un plan de prévention des risques inondations[34].

    • Carte des zones inondables.
      Carte des zones inondables.
    • Carte des zones d'alĂ©a retrait-gonflement des argiles.
      Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des argiles.

    Risques technologiques

    Le risque de transport de matiĂšres dangereuses sur la commune est liĂ© Ă  sa traversĂ©e par une route Ă  fort trafic. Un accident se produisant sur une telle infrastructure est en effet susceptible d’avoir des effets graves au bĂąti ou aux personnes jusqu’à 350 m, selon la nature du matĂ©riau transportĂ©. Des dispositions d’urbanisme peuvent ĂȘtre prĂ©conisĂ©es en consĂ©quence[35].

    Sur le dĂ©partement des PyrĂ©nĂ©es-Orientales, on dĂ©nombre sept grands barrages susceptibles d’occasionner des dĂ©gĂąts en cas de rupture. La commune fait partie des 66 communes susceptibles d’ĂȘtre touchĂ©es par l’onde de submersion consĂ©cutive Ă  la rupture d’un de ces barrages, les barrages de Vinça ou des Bouillouses sur la TĂȘt[36].

    Risque particulier

    Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulĂ© dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Toutes les communes du dĂ©partement sont concernĂ©es par le risque radon Ă  un niveau plus ou moins Ă©levĂ©. Selon la classification de 2018, la commune de Millas est classĂ©e en zone 2, Ă  savoir zone Ă  potentiel radon faible mais sur lesquelles des facteurs gĂ©ologiques particuliers peuvent faciliter le transfert du radon vers les bĂątiments[37].

    Toponymie

    Formes du nom

    Le nom officiel de la commune est Millas, francisation du nom catalan Millars [miˈʎas][38] ; en français le nom de la commune est prononcĂ© [mijas].

    Le nom de Millas apparaĂźt pour la premiĂšre fois en 898 sous la forme Millares dans un texte mentionnant une prise d’eau et un canal desservant Millas et les deux Saint-FĂ©liu. DatĂ© de 953, un autre document laisse apparaĂźtre le nom latinisĂ© de Miliaso comme l'autre nom d'un lieu originellement connu sous le nom de Puliano (in Puliano que alium nomen vocant Miliaso). Au Xe siĂšcle, on trouve aussi les formes Miliare et Villa Miliarii. Au XIe siĂšcle, on rencontre les formes Miliaros, Milars et Milliars, suivies entre les XIIe et XIVe siĂšcles des formes Miliariis et Millars[39]. À partir du XVe siĂšcle apparaĂźt la forme Millas.

    Étant donnĂ© que localement le r n'est pas prononcĂ© (ce qui est frĂ©quent en catalan dans les finales en -r ou en -rs, sans ĂȘtre systĂ©matique[40]), cette lettre a eu tendance Ă  ĂȘtre supprimĂ©e dans la forme Ă©crite, et ce mĂȘme avant la francisation du nom[39]. Aujourd'hui Millars est le nom catalan et Millas le nom officiel selon le COG[38] ; en français les deux formes se rencontrent[41] - [42] - [43], avec la deuxiĂšme dominante.

    Étymologie

    Le nom de Puliano renvoie sans doute à un domaine de l'époque romaine construit avec le nom de son propriétaire, Paulius, suivi du suffixe -anum[39].

    Le nom de Millas paraĂźt avoir deux explications possibles. D’une part, la forme millarium aurait pu renvoyer Ă  l'existence d’une borne milliaire au bord d'une voie romaine. Mais cette origine est peu probable car elle aurait abouti Ă  Milla plutĂŽt que Millas. L'hypothĂšse la plus vraisemblable est donc celle d'un lieu oĂč l'on cultivait du mil (mill en catalan). De nombreux noms des pays catalans sont construits avec le nom d'une plante ou d'une culture suivi du suffixe collectif -aris, indiquant que la dite plante se trouve en grand nombre dans ce lieu. De plus, le terme latin miliarus dĂ©signait dĂ©jĂ  le millet commun[39]. Cette deuxiĂšme interprĂ©tation est, sans doute, la plus plausible si l'on en croit le blason de la ville qui reprĂ©sente une plante semblable Ă  un Ă©pi de millet.

    Par ailleurs, il y a trois autres toponymes du mĂȘme nom : Millars, hameau de la commune de Madremanya prĂšs de GĂ©rone, Millars, commune du Pays Valencien (Millares en castillan), et le riu Millars, cours d'eau prĂšs de CastellĂł de la Plana (rĂ­o Mijares en castillan).

    Histoire

    Le territoire de Millas a été habité dÚs l'époque néolithique.

    Le village originel date du premier ùge du fer comme en témoignent les traces archéologiques d'un cimetiÚre de la civilisation des champs d'urnes situé dans la partie occidentale de la commune.

    Le , un accident entre un autocar scolaire et une rame automotrice TER à un passage à niveau automatique situé sur la route de Thuir provoque six morts et une vingtaine de blessés parmi les collégiens présents dans l'autocar[44].

    Politique et administration

    Administration municipale

    Le nombre d'habitants au recensement de 2011 Ă©tant compris entre 3 500 et 4 999 habitants au dernier recensement, le nombre de membres du conseil municipal est de vingt sept[45] - [46].

    Rattachements administratifs et Ă©lectoraux

    Commune faisant partie de la communautĂ© de communes de Roussillon Conflent et du canton de la VallĂ©e de la TĂȘt (avant le redĂ©coupage dĂ©partemental de 2014, Millas Ă©tait le chef lieu de l'ex-canton de Millas).

    Liste des maires

    Liste des maires successifs[47]
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    1791 1794 Joseph Camps
    1794 1796 Joseph Gelade
    1796 1800 Jean Bach
    1800 1815 Laurens Reynal
    1815 1817 Augustin de Çagarriga
    1817 1828 Pierre Boixo
    1828 1830 Jean Thorent
    1830 1831 Dominique Cazes
    1831 1834 Jean Gouzy
    1834 1843 Augustin Carrera Jorda
    1843 1848 Joseph Aragon
    1848 1849 Joseph CarrĂšre
    1849 1850 Jean Sibinde
    1850 1865 Antoine Ferriol
    1865 1870 Jean Thorent Boixo
    1870 1876 Jean Garrigue
    1876 1878 Camille Gouzy
    1878 1884 Antoine Gouzy
    1884 1885 Barthélémy Garrigue
    1885 1924 Joseph Roig
    1924 1928 Jezan Serradeil
    1928 1928 Gaston Monier
    1928 1935 François Laffon
    1935 1939 Paul Malet
    1939 1941 Jacques Senyarich
    1941 1944 Joseph Bousquet
    1944 1944 Paul Trilha
    1944 1945 Henri Domenech
    1945 1945 Paul Malet
    1945 1953 Georges Candille SFIO Épicier, ancien conseiller d'arrondissement
    1953 1956 Jean Gendre
    1956 1965 Gaudérique Narach
    mars 1965 mars 1971 René Pélissier
    mars 1971 1972 Aimé Tarraso
    1972 juin 1995 François Beffara PS Conseiller gĂ©nĂ©ral du canton de Millas (1988 → 1994)
    juin 1995 mars 2001 Christian Bourquin[Note 9] PS Ingénieur agronome
    DĂ©putĂ© de la 3e circonscription des PyrĂ©nĂ©es-Orientales (1997 → 2002)
    Conseiller gĂ©nĂ©ral du canton de Millas (1994 → 2011)
    PrĂ©sident du conseil gĂ©nĂ©ral des PyrĂ©nĂ©es-Orientales (1998 → 2010)
    mars 2001 3 juillet 2020 Damienne Beffara[Note 10] - [48] PS Professeure des écoles retraitée
    ConseillĂšre dĂ©partementale du canton de la VallĂ©e de la TĂȘt (2015 → )
    4e vice-prĂ©sidente du conseil dĂ©partemental des PyrĂ©nĂ©es-Orientales (2015 → )
    3 juillet 2020 En cours Jacques Garsau[49] MR Chargé de communication, conseiller départemental depuis 2021

    Population et société

    DĂ©mographie ancienne

    La population est exprimée en nombre de feux (f) ou d'habitants (H).

    Évolution de la population
    1365 1378 1470 1515 1553 1643 1709 1720 1730
    90 f86 f142 f155 f105 f200 f248 f303 f290 f
    1765 1767 1774 1789 - - - - -
    600 H1 356 H290 f332 f-----
    (Sources : Jean-Pierre Pélissier, Paroisses et communes de France : dictionnaire d'histoire administrative et démographique, vol. 66 : Pyrénées-Orientales, Paris, CNRS, , 378 p. (ISBN 2-222-03821-9))

    DĂ©mographie contemporaine

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[50]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2005[51].

    En 2020, la commune comptait 4 261 habitants[Note 11], en augmentation de 2,72 % par rapport Ă  2014 (PyrĂ©nĂ©es-Orientales : +3,52 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 2181 2741 4561 7741 9702 1002 0902 2512 176
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    2 0902 0352 0902 0132 2602 2792 2392 4602 208
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    2 2442 2142 1992 1062 1252 1602 0672 1082 215
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
    2 4532 4892 5692 8243 0913 4523 7313 7663 924
    2015 2020 - - - - - - -
    4 2184 261-------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[7] puis Insee Ă  partir de 2006[52].)
    Histogramme de l'évolution démographique
    Évolution du rang de la commune
    selon la population municipale des années : 1968[53] 1975[53] 1982[53] 1990[53] 1999[53] 2006[54] 2009[55] 2013[56]
    Rang de la commune dans le département 21 22 24 26 27 27 26 25
    Nombre de communes du département 232 217 220 225 226 226 226 226

    Enseignement

    Millas fait partie de l'académie de Montpellier.

    La commune possÚde une école maternelle (rue de la Fontaine), une école élémentaire (avenue de la gare), et un collÚge Christian-Bourquin (impasse du Capitoul), inauguré en 2015[57] il est nommé ainsi en l'honneur de Christian Bourquin (1954-2014), ancien président de la région Languedoc-Roussillon.

    Manifestations culturelles et festivités

    FĂȘte patronale et communale : 10 et [58], marchĂ© le mardi, fĂ©ria de Millas : la ville est membre du l'Union des villes taurines françaises.

    Il est prĂ©sent une mĂ©diathĂšque, un comitĂ© des fĂȘtes, ainsi que de nombreuses associations.

    Sports

    • Club de rugby Ă  XV : Union Sportive Millas Ă©volue dans le Championnat Honneur pendant la saison 2013-2014. Il a Ă©tĂ© sacrĂ© champion de France Honneur en 1987, ainsi que champion de France de FĂ©dĂ©rale 3 en 1993.

    Ils évoluent actuellement en 2Úme série.

    • Club de Boxe Française : club qui prĂ©sente les plus beaux palmarĂšs, multiple champion de France, du monde, d'Europe.

    Économie

    Revenus

    En 2018, la commune compte 1 700 mĂ©nages fiscaux[Note 12], regroupant 3 940 personnes. La mĂ©diane du revenu disponible par unitĂ© de consommation est de 18 520 â‚Ź[I 8] (19 350 â‚Ź dans le dĂ©partement[I 9]). 37 % des mĂ©nages fiscaux sont imposĂ©s[Note 13] (42,1 % dans le dĂ©partement).

    Emploi

    Taux de chĂŽmage
    200820132018
    Commune[I 10]11,6 %15,5 %11,7 %
    DĂ©partement[I 11]10,3 %12,9 %13,3 %
    France entiĂšre[I 12]8,3 %10 %10 %

    En 2018, la population ĂągĂ©e de 15 Ă  64 ans s'Ă©lĂšve Ă  2 436 personnes, parmi lesquelles on compte 68,7 % d'actifs (57 % ayant un emploi et 11,7 % de chĂŽmeurs) et 31,3 % d'inactifs[Note 14] - [I 10]. En 2018, le taux de chĂŽmage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est infĂ©rieur Ă  celui du dĂ©partement, mais supĂ©rieur Ă  celui de la France, alors qu'en 2008 il Ă©tait supĂ©rieur Ă  celui du dĂ©partement.

    La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Perpignan, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pĂŽle[Carte 2] - [I 13]. Elle compte 978 emplois en 2018, contre 919 en 2013 et 949 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi rĂ©sidant dans la commune est de 1 408, soit un indicateur de concentration d'emploi de 69,5 % et un taux d'activitĂ© parmi les 15 ans ou plus de 49,2 %[I 14].

    Sur ces 1 408 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 348 travaillent dans la commune, soit 25 % des habitants[I 15]. Pour se rendre au travail, 87,6 % des habitants utilisent un vĂ©hicule personnel ou de fonction Ă  quatre roues, 1,9 % les transports en commun, 7,3 % s'y rendent en deux-roues, Ă  vĂ©lo ou Ă  pied et 3,2 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 16].

    Secteurs d'activités

    324 établissements[Note 15] sont implantés à Millas au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 16] - [I 17].

    Secteur d'activitéCommuneDépartement
    Nombre % %
    Ensemble324100 %(100 %)
    Industrie manufacturiĂšre,
    industries extractives et autres
    247,4 %(8,7 %)
    Construction5717,6 %(14,3 %)
    Commerce de gros et de détail,
    transports, hébergement et restauration
    7824,1 %(30,5 %)
    Information et communication51,5 %(1,9 %)
    Activités financiÚres et d'assurance134 %(3 %)
    Activités immobiliÚres257,7 %(6,2 %)
    Activités spécialisées, scientifiques et techniques
    et activités de services administratifs et de soutien
    5115,7 %(13 %)
    Administration publique, enseignement,
    santé humaine et action sociale
    3711,4 %(13,9 %)
    Autres activités de services3410,5 %(8,5 %)

    Le secteur du commerce de gros et de dĂ©tail, des transports, de l'hĂ©bergement et de la restauration est prĂ©pondĂ©rant sur la commune puisqu'il reprĂ©sente 24,1 % du nombre total d'Ă©tablissements de la commune (78 sur les 324 entreprises implantĂ©es Ă  Millas), contre 30,5 % au niveau dĂ©partemental[I 18].

    Entreprises et commerces

    Les cinq entreprises ayant leur siÚge social sur le territoire communal qui génÚrent le plus de chiffre d'affaires en 2020 sont[59] :

    • BF Participations, commerce de gros (commerce interentreprises) de produits chimiques (20 941 k€)
    • Sanerick, supermarchĂ©s (7 264 k€)
    • SAS Beck Et Cie, travaux d'Ă©tanchĂ©ification (5 314 k€)
    • Bureau D'expertise Et Assistance Ferroviaire - BEA Ferroviaire, ingĂ©nierie, Ă©tudes techniques (2 426 k€)
    • Pierre Robin, restauration de type rapide (500 k€)

    Millas possÚde deux zones d'activités économiques.

    Agriculture

    La commune est dans la « plaine du Roussillon », une petite région agricole occupant la bande cÎtiÚre et une grande partie centrale du département des Pyrénées-Orientales[60]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 17] sur la commune est la culture de fruits ou d'autres cultures permanentes[Carte 3].

    1988200020102020
    Exploitations2251204732
    SAU[Note 18] (ha)848674562653

    Le nombre d'exploitations agricoles en activitĂ© et ayant leur siĂšge dans la commune est passĂ© de 225 lors du recensement agricole de 1988[Note 19] Ă  120 en 2000 puis Ă  47 en 2010[62] et enfin Ă  32 en 2020[Carte 4], soit une baisse de 86 % en 32 ans. Le mĂȘme mouvement est observĂ© Ă  l'Ă©chelle du dĂ©partement qui a perdu pendant cette pĂ©riode 73 % de ses exploitations[63] - [Carte 5]. La surface agricole utilisĂ©e sur la commune a Ă©galement diminuĂ©, passant de 848 ha en 1988 Ă  653 ha en 2020[Carte 6]. ParallĂšlement la surface agricole utilisĂ©e moyenne par exploitation a augmentĂ©, passant de 4 Ă  20 ha[62].

    Culture locale et patrimoine

    Les géants de la féria de Millas
    La sardane de la féria de Millas

    Monument et lieux touristiques

    Personnalités liées à la commune

    HĂ©raldique

    Blason de Millas Blason
    D'azur à deux épis de millet adossés, tigés et feuillés d'or ; au chef retrait cousu de gueules[65].
    DĂ©tails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
    2. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[12].
    3. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en gĂ©nĂ©ral limitĂ©e, caractĂ©risĂ©s par la prĂ©sence d’espĂšces, d’association d’espĂšces ou de milieux rares, remarquables, ou caractĂ©ristiques du milieu du patrimoine naturel rĂ©gional ou national.
    6. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    7. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    8. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    9. Beau-fils de François Beffara.
    10. Fille de François Beffara et épouse de Christian Bourquin.
    11. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    12. Un mĂ©nage fiscal est constituĂ© par le regroupement des foyers fiscaux rĂ©pertoriĂ©s dans un mĂȘme logement. Son existence, une annĂ©e donnĂ©e, tient au fait que coĂŻncident au moins une dĂ©claration indĂ©pendante de revenus et l’occupation d’un logement connu Ă  la taxe d’habitation.
    13. La part des ménages fiscaux imposés est le pourcentage des ménages fiscaux qui ont un impÎt à acquitter au titre de l'impÎt sur le revenu des personnes physiques. L'impÎt à acquitter pour un ménage fiscal correspond à la somme des impÎts à acquitter par les foyers fiscaux qui le composent.
    14. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élÚves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
    15. L'Ă©tablissement, au sens de l’Insee, est une unitĂ© de production gĂ©ographiquement individualisĂ©e, mais juridiquement dĂ©pendante de l'unitĂ© lĂ©gale. Il produit des biens ou des services.
    16. Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
    17. L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
    18. Les donnĂ©es relatives Ă  la surface agricole utilisĂ©e (SAU) sont localisĂ©es Ă  la commune oĂč se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc ĂȘtre interprĂ©tĂ©s avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activitĂ© sur plusieurs communes, ou plusieurs dĂ©partements voire plusieurs rĂ©gions.
    19. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[61].
    20. État civil complet : Maurice FĂ©lix Joseph Gravas
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    2. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
    3. « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    4. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    5. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée par département », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    6. « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

    Site de l'Insee

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    4. « Base des unités urbaines 2020 », (consulté le ).
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    6. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Perpignan » (consulté le ).
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    9. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans les Pyrénées-Orientales » (consulté le ).
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    11. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans les Pyrénées-Orientales » (consulté le ).
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    Autres sources

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    3. Stephan Georg, « Distance entre Millas et Prades », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
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    5. « Communes les plus proches de Millas », sur www.villorama.com (consulté le ).
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      Concernant la prononciation du -r final, on peut remarquer une différenciation nord-sud assez nette. Millas/Millars, quant à elle, est clairement dans la zone d'amuïssement.
      .
    41. SociĂ©tĂ© des historiens mĂ©diĂ©vistes de l'Enseignement supĂ©rieur public, Montagnes mĂ©diĂ©vales : XXXIVe CongrĂšs de la SHMES, ChambĂ©ry, 23-25 mai 2003, Paris, Publications de la Sorbonne, coll. « Histoire ancienne et mĂ©diĂ©vale », , 444 p. (ISBN 2-85944-513-7, lire en ligne), p. 205 : Document utilisĂ© pour la rĂ©daction de l’article
      « [
] De la mĂȘme maniĂšre, durant la mĂȘme dĂ©cennie en Roussillon, aux gardes des cols d'Estagel – garda dels ports d'Estagell et de tots sos termes – de Tautavel et de Millars – garda de les coses vedades en lo pas de Milars e en los termes de Millars226 – [
] 226. « Garde des produits interdits sur le passage de Millars et sur les territoires communaux de Millars » »
      .
    42. « Porte Nord, dite de Millars », Guide du Routard, (consulté le ).
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 », sur armorialdefrance.fr.
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