Accueil🇫🇷Chercher

Laroque-d'Olmes

Laroque-d'Olmes (La Ròca d'Òlmes en occitan languedocien) est une commune française, située dans l'est du département de l'Ariège, en région Occitanie. Sur le plan historique et culturel, la commune fait partie du pays d'Olmes, haut lieu de la tragédie cathare alliant des paysages d'une extrême diversité.

Laroque-d'Olmes
Laroque-d'Olmes
Vue de Laroque-d'Olmes.
Blason de Laroque-d'Olmes
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Occitanie
Département Ariège
Arrondissement Pamiers
Intercommunalité Communauté de communes du Pays d'Olmes
Maire
Mandat
Patrick Laffont
2020-2026
Code postal 09600
Code commune 09157
Démographie
Gentilé Laroquais
Population
municipale
2 391 hab. (2020 en diminution de 3,98 % par rapport à 2014)
Densité 167 hab./km2
Géographie
Coordonnées 42° 58′ 16″ nord, 1° 52′ 22″ est
Altitude Min. 408 m
Max. 735 m
Superficie 14,36 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Lavelanet
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Mirepoix
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Laroque-d'Olmes
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Laroque-d'Olmes
Géolocalisation sur la carte : Ariège
Voir sur la carte topographique de l'Ariège
Laroque-d'Olmes
Géolocalisation sur la carte : Occitanie
Voir sur la carte administrative d'Occitanie
Laroque-d'Olmes
Liens
Site web Site officiel

    Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par le Touyre, le ruisseau du Sautel et par divers autres petits cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable composé de sept zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.

    Laroque-d'Olmes est une commune rurale qui compte 2 391 habitants en 2020. Elle appartient à l'unité urbaine de Laroque-d'Olmes et fait partie de l'aire d'attraction de Lavelanet. Ses habitants sont appelés les Laroquais ou Laroquaises.

    Commune de tradition textile, elle appartient au Pays des Pyrénées cathares, labellisé Pays d'art et d'histoire. Il s'agit de la deuxième commune la plus peuplée du Pays d'Olmes, après Lavelanet.

    Le patrimoine architectural de la commune comprend un immeuble protégé au titre des monuments historiques : l'église du Saint-Sacrement, inscrite en 2001.

    Géographie

    Localisation

    Cartographies interactive et OpenStreetMap
    Carte OpenStreetMap
    Carte OpenStreetMap
    Carte topographique
    Carte topographique
    Avec les communes environnantes
    Avec les communes environnantes
    Play Pause Stop Précédent Suivant Select
    1. Carte dynamique
    2. Carte Openstreetmap
    3. Carte topographique
    4. Carte avec les communes environnantes

    La commune de Laroque-d'Olmes se trouve dans le département de l'Ariège, en région Occitanie[I 1].

    Elle se situe à 22 km à vol d'oiseau de Foix[1], préfecture du département, à 27 km de Pamiers[2], sous-préfecture, et à 13 km de Mirepoix[3], bureau centralisateur du canton de Mirepoix dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[I 1]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Lavelanet[I 1].

    Les communes les plus proches[Note 1] sont[4] : Esclagne (2,3 km), Régat (2,3 km), Tabre (2,4 km), Dreuilhe (2,8 km), Aigues-Vives (3,0 km), La Bastide-sur-l'Hers (3,4 km), Léran (3,7 km), Le Peyrat (4,2 km).

    Sur le plan historique et culturel, Laroque-d'Olmes fait partie du pays d'Olmes, haut lieu de la tragédie cathare alliant des paysages d'une extrême diversité[5]. Les communes limitrophes sont Aigues-Vives, La Bastide-sur-l'Hers, Dreuilhe, Esclagne, Lavelanet, Léran, Régat, Sautel et Tabre.

    Laroque-d'Olmes est limitrophe de neuf autres communes.

    Géologie et relief

    La commune est située dans le Bassin aquitain, le deuxième plus grand bassin sédimentaire de la France après le Bassin parisien, certaines parties étant recouvertes par des formations superficielles. Les terrains affleurants sur le territoire communal sont constitués de roches sédimentaires datant du Cénozoïque, l'ère géologique la plus récente sur l'échelle des temps géologiques, débutant il y a 66 millions d'années. La structure détaillée des couches affleurantes est décrite dans la feuille « n°1076 - Lavelanet » de la carte géologique harmonisée au 1/50 000ème du département de l'Ariège[7] - [8] et sa notice associée[9].

    La superficie cadastrale de la commune publiée par l’Insee, qui sert de références dans toutes les statistiques, est de 14,36 km2[10] - [Note 2]. La superficie géographique, issue de la BD Topo, composante du Référentiel à grande échelle produit par l'IGN, est quant à elle de 14,32 km2[8]. Son relief est relativement accidenté puisque la dénivelée maximale atteint 327 mètres. L'altitude du territoire varie entre 408 m et 735 m[13].

    Hydrographie

    Le Touyre.

    Le Touyre (ou rivière le Touyre)[14] est le principal cours d'eau communal. Il conflue avec le Grand Hers[15], affluent de l'Ariège. Il traverse le territoire communal dans une orientation sud-nord. Au cours de cette traversée, le Touyre reçoit les apports d'eaux des ruisseaux de Coucu Ruch[16] et des Esclauzades (rd), d'Esclagne[17] et de Feyche Longue (rg).

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[18]. En 2020, la commune est du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[19].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[Note 3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré suivant[18].

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000

    • Moyenne annuelle de température : 12,2 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,7 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 8,4 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 4] : 15,5 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 841 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 9,9 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,2 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[21] complétée par des études régionales[22] - [23] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Les Cascades », sur la commune de Roquefort-les-Cascades, mise en service en 1996[24] et qui se trouve à 10 km à vol d'oiseau[25] - [Note 5], où la température moyenne annuelle est de 12,5 °C et la hauteur de précipitations de 1 053,2 mm pour la période 1981-2010[26]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Carcassonne », sur la commune de Carcassonne, dans le département de l'Aude, mise en service en 1948 et à 47 km[27], la température moyenne annuelle évolue de 13,7 °C pour la période 1971-2000[28], à 14,1 °C pour 1981-2010[29], puis à 14,5 °C pour 1991-2020[30].

    Milieux naturels et biodiversité

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Cinq ZNIEFF de type 1[Note 6] sont recensées sur la commune[31] :

    • les « coteaux secs, vallons et collines de l'ouest du bas pays d'Olmes » (6 664 ha), couvrant 19 communes du département[32] ;
    • le « lac de Montbel et partie orientale du bas pays d'Olmes » (7 200 ha), couvrant 38 communes dont 30 dans l'Ariège et 8 dans l'Aude[33] ;
    • « le Plantaurel entre Foix et Lavelanet » (11 312 ha), couvrant 26 communes du département[34] ;
    • « le Plantaurel oriental » (3 272 ha), couvrant 11 communes dont 9 dans l'Ariège et 2 dans l'Aude[35] ;
    • le « réseau hydrographique du Touyre entre Montferrier et Léran » (64 ha), couvrant 10 communes du département[36] ;

    et deux ZNIEFF de type 2[Note 7] - [31] :

    • Carte des ZNIEFF de type 1 et 2 à Laroque-d'Olmes.
    • Carte des ZNIEFF de type 1 sur la commune.
      Carte des ZNIEFF de type 1 sur la commune.
    • Carte des ZNIEFF de type 2 sur la commune.
      Carte des ZNIEFF de type 2 sur la commune.

    Urbanisme

    Typologie

    Laroque-d'Olmes est une commune rurale[Note 8] - [39]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[I 2] - [40]. Elle appartient à l'unité urbaine de Laroque-d'Olmes, une unité urbaine monocommunale[I 3] de 2 391 habitants en 2020, constituant une ville isolée[I 4] - [I 5].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Lavelanet, dont elle est une commune de la couronne[Note 9]. Cette aire, qui regroupe 28 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[I 6] - [I 7].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (54,8 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (58,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (31,2 %), prairies (27,3 %), zones agricoles hétérogènes (20,3 %), zones urbanisées (13,6 %), terres arables (7,2 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (0,5 %)[41].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Habitat et logement

    En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 1 452, alors qu'il était de 1 454 en 2013 et de 1 393 en 2008[I 8].

    Parmi ces logements, 81,4 % étaient des résidences principales, 3,4 % des résidences secondaires et 15,2 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 82,9 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 16,7 % des appartements[I 8].

    Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Laroque-d'Olmes en 2018 en comparaison avec celle de l'Ariège et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (3,4 %) inférieure à celle du département (24,6 %) mais supérieure à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 67,5 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (67,1 % en 2013), contre 66,3 % pour l'Ariège et 57,5 % pour la France entière[I 9].

    Le logement à Laroque-d'Olmes en 2018.
    Typologie Laroque-d'Olmes[I 8] Ariège[I 10] France entière[I 11]
    Résidences principales (en %) 81,4 65,7 82,1
    Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 3,4 24,6 9,7
    Logements vacants (en %) 15,2 9,7 8,2

    Accès routiers

    Laroque-d'Olmes se trouve à la jonction des routes[42] :

    • D 625, route départementale qui traverse la commune dans un axe nord-sud, et relie Mirepoix (14 km) à Lavelanet (km).
    • D 1 qui relie Laroque-d'Olmes à Foix, la métropole située à l'ouest, distant de 28 km.
    • D 620 qui la relie à l'est à Limoux, distant de 40 km, via Chalabre.
    • D 928 reliant Laroque-d'Olmes à Léran, commune au nord-est, distante de 4,5 km.
    • D 528, jonction à gauche à la sortie nord du bourg, mène au village voisin d'Esclagne, distant de 3,5 km.

    Transports

    Ancienne voie ferrée transformée en voie verte.

    La commune est située sur la ligne de bus régionale Lavelanet-Pamiers via Mirepoix qui assure plusieurs aller-retours quotidiens.

    La commune n'est plus desservie par la SNCF ; la L'ancienne voie ferrée qui passait par la commune est devenue, de Lavelanet à Mirepoix, la « Voie Verte en Pyrénées Cathares, le chemin des Filatiers »[43]. La gare la plus proche est celle de Foix à 34 km (TER, Intercités). Celle de Laroque est fermée.

    L'aéroport le plus proche est celui de Carcassonne distant de 58 km.

    Piste cyclable

    Vers Lavelanet ou Mirepoix par la voie verte aménagée sur l'ancienne voie ferrée de Moulin-Neuf à Lavelanet.

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Laroque-d'Olmes est vulnérable à différents aléas naturels : inondations, climatiques (grand froid ou canicule), feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité modérée). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[44] - [45].

    Risques naturels

    Zonage de l'aléa retrait-gonflement des argiles sur la commune de Laroque-d'Olmes.

    Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement, crue torrentielle d'un cours d'eau, le Touyre, ou ruissellement d'un versant. L’épisode de crue le plus marquant dans le département reste sans doute celui de 1875. Parmi les inondations marquantes plus récentes concernant le Touyre figurent les crues de 1992[46].

    Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont soit des chutes de blocs, soit des glissements de terrains, soit des effondrements liés à des cavités souterraines, soit des mouvements liés au retrait-gonflement des argiles. Près de 50 % de la superficie du département est concernée par l'aléa retrait-gonflement des argiles, dont la commune de Laroque-d'Olmes[47]. L'inventaire national des cavités souterraines permet par ailleurs de localiser celles situées sur la commune[48].

    Ces risques naturels sont pris en compte dans l'aménagement du territoire de la commune par le biais d'un plan de prévention des risques (PPR) inondation et mouvement de terrain approuvé le 7 juillet 2008[49].

    Risques technologiques

    Le risque de transport de matières dangereuses par une infrastructure routière ou ferroviaire ou par une canalisation de transport de gaz concerne la commune. Un accident se produisant sur une telle infrastructure est en effet susceptible d’avoir des effets graves au bâti ou aux personnes jusqu’à 350 m, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[50].

    Toponymie

    Laroque-d'Olmes devient La Ròca d’Òlmes en occitan. La ròca signifie la roche, le gros rocher. Laroque-d’Olmes veut dire « la Roche du Pays des Ormes (ou Olmensé) »[51].

    Politique et administration

    Découpage territorial

    La commune de Laroque-d'Olmes est membre de la communauté de communes du Pays d'Olmes[I 12], un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé le dont le siège est à Lavelanet. Ce dernier est par ailleurs membre d'autres groupements intercommunaux[52].

    Sur le plan administratif, elle est rattachée à l'arrondissement de Pamiers, au département de l'Ariège, en tant que circonscription administrative de l'État, et à la région Occitanie[I 12].

    Sur le plan électoral, elle dépend du canton de Mirepoix pour l'élection des conseillers départementaux, depuis le redécoupage cantonal de 2014 entré en vigueur en 2015[I 12], et de la deuxième circonscription de l'Ariège pour les élections législatives, depuis le redécoupage électoral de 1986[53].

    Administration municipale

    Le nombre d'habitants au recensement de 2011 étant compris entre 2 500 habitants et 3 499 habitants, le nombre de membres du conseil municipal pour l'élection de 2014 est de vingt trois[54] - [55].

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    mai 1945 mars 1959 Urbain Rouch PCF Conseiller général du canton de Mirepoix(1945-1958)
    mars 1977 mars 1983 Roseline Tournil[56] PCF Institutrice, militante syndicale
    Elue conseillère municipale de Lavelanet en 2001
    mars 1983 juin 1995 Roger Déjean PCF 2 mandats de maire
    juin 1995 mars 2008 Lucienne Ispa UMP Professeur des écoles retraitée 2 mandats de maire
    mars 2008 mars 2014 Christian Poma PS Professeur de lycée honoraire
    mars 2014 En cours
    (au 17 mars 2021)
    Patrick Laffont SE Employé (Conseiller départemental 2015-2021)

    Jumelages

    Politique de développement durable

    La commune a engagé une politique de développement durable en lançant une démarche d'Agenda 21[57].

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[58]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[59]. En 2020, la commune comptait 2 391 habitants[Note 10], en diminution de 3,98 % par rapport à 2014 (Ariège : +0,9 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
    Évolution de la population [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    7007798458019841 1511 2931 3431 375
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 3731 4511 4161 3931 3591 2721 2261 1211 213
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 1781 2171 3731 5452 0182 1292 1052 1732 504
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
    2 6402 8943 1143 1243 1062 6572 6982 7122 524
    2018 2020 - - - - - - -
    2 4122 391-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[60] puis Insee à partir de 2006[61].)
    Histogramme de l'évolution démographique
    Évolution du rang de la commune
    selon la population municipale des années : 1968[62] 1975[62] 1982[62] 1990[62] 1999[62] 2006[63] 2009[64] 2013[65]
    Rang de la commune dans le département 8 7 8 7 9 10 10 12
    Nombre de communes du département 340 328 330 332 332 332 332 332

    Économie

    Revenus

    En 2018, la commune compte 1 172 ménages fiscaux[Note 11], regroupant 2 399 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 18 240 [I 13] (19 820  dans le département[I 14]). 31 % des ménages fiscaux sont imposés[Note 12] (40,7 % dans le département).

    Emploi

    Taux de chômage
    Division200820132018
    Commune[I 15]10,4 %14,4 %12,9 %
    Département[I 16]8,9 %11,1 %11,2 %
    France entière[I 17]8,3 %10 %10 %

    En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 1 318 personnes, parmi lesquelles on compte 68,3 % d'actifs (55,4 % ayant un emploi et 12,9 % de chômeurs) et 31,7 % d'inactifs[Note 13] - [I 15]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est supérieur à celui de la France et du département.

    La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Lavelanet, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 2] - [I 18]. Elle compte 813 emplois en 2018, contre 1 013 en 2013 et 1 315 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 744, soit un indicateur de concentration d'emploi de 109,2 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 43,7 %[I 19].

    Sur ces 744 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 249 travaillent dans la commune, soit 34 % des habitants[I 20]. Pour se rendre au travail, 88,2 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 1,2 % les transports en commun, 6,1 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 4,6 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 21].

    Activités hors agriculture

    220 établissements[Note 14] sont implantés à Laroque-d'Olmes au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 15] - [I 22].

    Secteur d'activitéCommuneDépartement
    Nombre%%
    Ensemble220100 %(100 %)
    Industrie manufacturière,
    industries extractives et autres
    4319,5 %(12,9 %)
    Construction3013,6 %(14,2 %)
    Commerce de gros et de détail,
    transports, hébergement et restauration
    6228,2 %(27,5 %)
    Information et communication41,8 %(1,8 %)
    Activités financières et d'assurance115 %(2,8 %)
    Activités immobilières94,1 %(4,2 %)
    Activités spécialisées, scientifiques et techniques
    et activités de services administratifs et de soutien
    219,5 %(13,2 %)
    Administration publique, enseignement,
    santé humaine et action sociale
    2410,9 %(14,4 %)
    Autres activités de services167,3 %(8,8 %)

    Le secteur du commerce de gros et de détail, des transports, de l'hébergement et de la restauration est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 28,2 % du nombre total d'établissements de la commune (62 sur les 220 entreprises implantées à Laroque-d'Olmes), contre 27,5 % au niveau départemental[I 23]. Les cinq entreprises ayant leur siège social sur le territoire communal qui génèrent le plus de chiffre d'affaires en 2020 sont[66] :

    • Sage Automotive Interiors (ex Adient, ex Michel Thierry), France - Mtsa, tissage (31 221 k€)
    • Societe Armengol, sciage et rabotage du bois, hors imprégnation (15 189 k€)
    • Nico, supermarchés (14 630 k€)
    • Ram, commerce de détail de quincaillerie, peintures et verres en grandes surfaces (400 m² et plus) (3 449 k€)
    • Quatiris France, commerce de gros (commerce interentreprises) de fournitures et équipements industriels divers (420 k€)

    Industrie : Ancienne cité textile.

    Usine textile spécialisée dans les tissus pour les sièges automobiles. Créée en 1955 et connue pendant plus de 50 ans sous le nom de Michel Thierry, l'entreprise a ensuite appartenu aux groupes industriels américains Johnson Controls, Adient et désormais Sage Automotive Interiors, et emploie plus de 200 personnes à Laroque. L'entreprise a innové dans la production temporaire de masques lavables et de surblouses pour répondre à la demande de la crise liée au Covid-19[67], elle innove par ailleurs dans le domaine des géotextiles.

    Les deux zones industrielles (Moulin d'Enfour au nord, Entounadou au sud) situées sur la commune accueillent de nombreuses entreprises (Ariège Composites, Icre, Armengol ...).

    Commerce : Laroque possède des commerces de toutes sortes situés au centre-ville, au Centre commercial de Castillanes/RD625 ainsi que trois grandes surfaces sur la zone industrielle nord (Intermarché, Bricomarché, DistriClub Médical).

    Depuis les années 2000, un projet de création d'une zone commerciale en face l'usine Michel Thierry divise la population. Celui-ci concerne l'installation d'un magasin Leader Price, d'une grande surface de bricolage, d'une enseigne de restauration et de deux autres enseignes non dévoilées. Remis sur la table courant 2009, le conseil municipal s'y est opposé, rassurant les petits commerçants de la ville et l'ensemble des grandes surfaces de Laroque et Lavelanet. En 2012, le projet est relancé avec la perspective avancée de voir la grande surface Intermarché de la ville déménager et s'implanter sur ce terrain, avec une enseigne de restauration. Ce projet aboutit et permet l'installation d'Intermarché, McDonalds puis Lidl.

    Agriculture : Très peu d'agriculteurs sont présents sur la commune.

    Agriculture

    198820002010
    Exploitations1487
    Superficie agricole utilisée (ha)495307353

    La commune fait partie de la petite région agricole dénommée « Coteaux de l'Ariège »[68]. En 2010, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 16] sur la commune est l'élevage de bovins pour la viande[69]. Sept exploitations agricoles ayant leur siège dans la commune sont dénombrées lors du recensement agricole[Note 17] de 2010 (douze en 1988). La superficie agricole utilisée est de 353 ha[69].

    Vie locale

    Enseignement

    Écoles : maternelle Joliot-Curie, élémentaire Mixte 1 Joliot-Curie (CP au CE2). collèges et lycées dans les villes voisines de Lavelanet et Mirepoix.

    Services Publics

    La commune fait partie de la communauté de communes du Pays d'Olmes (à qui elle a délégué les compétences économie et tourisme) et adhère à quelques syndicats intercommunaux : SAEPPO (Syndicat d'alimentation en eau potable du Pays d'Olmes) pour la gestion de l'eau et qui a son siège à Laroque, SDCEA (Syndicat des collectivités électrifiées de l'Ariège), SMECTOM du Plantaurel (Syndicat mixte de collecte traitement des ordures ménagères). Elle gère en régie municipale l'assainissement.

    • Services communaux : administratifs (comptabilité, urbanisme, secrétariat, état civil, cadastre) à l'hôtel de ville, police municipale à l'hôtel de ville, services techniques (espaces verts, assainissement, voirie, bâtiments, travaux) à l'impasse Victor-Hugo, culturel (musique au Château municipal, bibliothèque en mairie), enfance jeunesse (au Château municipal et à la MJC).

    Police municipale. La gendarmerie a fermé en 2011, Laroque dépend maintenant de la BTA de Lavelanet.

    • Trésorerie : la trésorerie de Laroque-d'Olmes a fermé en 2009. La commune dépend maintenant du centre des impôts de Lavelanet.
    • La Poste : bureau de poste ouvert tous les jours et le samedi matin, rue Georges-Clemenceau. centre de tri à Dreuilhe.

    Les autres services de l'État (Pôle emploi, Caisse d'allocations familiales, Sécurité sociale) se trouvent à Lavelanet.

    Santé

    Rugby à XV

    L'Étoile Sportive Laroque Bélesta est un club issu de la fusion entre l'Étoile Sportive Laroquaise (créée en 1925) et l'AS Bélesta en 2009. L'ESLB est en entente avec le Stade Lavelanétien et l'Union Sportive Chalabre-Kercorb-La Bastide-Le Peyrat (USKCBP) pour l'École de Rugby, les cadets et les juniors (Rugby Pays d'Olmes). Le club évolue pour la saison 2012-2013 en Honneur Midi-Pyrénées (élite régionale). Alors minime, Fabien Barthez, y a touché ses premiers ballons[71].

    Palmarès de l'Équipe 1 :

    • Champion de France, 3e série, 1964
    • Champion des Pyrénées, Honneur, 1977, 1986, 2009, 2016
    • Champion de France, Honneur, 1993
    • Champion des Pyrénées, Promotion Honneur, 2006
    • Vainqueur de la coupe Voivenel 2009 (trophée des clubs de fédérale Ariégeois)

    Football

    Laroque-d'Olmes est le siège du Football Club Laroquais, en entente avec Léran-Aigues-Vives et Villeneuve d'Olmes au niveau de l'école de football (Football Pays d'Olmes).

    Autres sports

    Tourisme et Loisirs

    Culture locale et patrimoine

    Église du Saint-Sacrement

    L'église est inscrite à l'inventaire des monuments historiques depuis 2001[72].

    Chapelle Notre-Dame-du-Pont
    Chapelle Notre-Dame.

    La chapelle Notre-Dame[73] se trouve au nord-est du bourg, en face et à l'est du cimetière, par delà la rivière le Touyre qu'une passerelle permet de traverser à cet endroit.

    Le bâtiment est de plan simple, à nef unique. Une abside semi-pentagonale prolonge la nef. Six vitraux ornent les façades latérales, et quatre autres l'abside. Une statue de la Vierge et l'Enfant est flanquée sur le côté droit. Est présent un petit clocher à deux niveaux, avec trois cloches.

    La façade principale, semi-hexagonale, chapeautée d'un triangle isocèle, possède au-dessus du portail, une niche avec une statue de la Vierge et l'Enfant, blanche. Autour du portail sont flanquées deux fenêtres avec barreaux.

    L'édifice a été restauré deux fois, comme on le lit gravé sur la façade principale : "Restorato Anno DNI 1778", et au-dessus, "Restaurée en 1956".

    • Façade principale de la chapelle Notre-Dame.
      Façade principale de la chapelle Notre-Dame.
    • Chœur de la chapelle Notre-Dame.
      Chœur de la chapelle Notre-Dame.
    • Vitrail sainte Anne de la chapelle Notre-Dame.
      Vitrail sainte Anne de la chapelle Notre-Dame.
    • Vitrail Jésus de la chapelle Notre-Dame.
      Vitrail Jésus de la chapelle Notre-Dame.
    • Orgue de la chapelle Notre-Dame.
      Orgue de la chapelle Notre-Dame.
    Autres
    • Chapelle Saint-Roch[74] qui a été construite à la suite de la grande peste de 1549. L'édifice religieux se situe à environ km « à vol d'oiseau », au sud-est de église du Saint-Sacrement. Elle a été construite isolément, sur une ligne de crête, à près de 550 m d'altitude, faisant face au sud à la Serre de Galinat.
    Jardin d'agrément dit parc des Ricalens

    Le jardin d'agrément dit « parc des Ricalens » situé rue Georges-Clemenceau, propriété de la commune, figure au pré-inventaire des jardins remarquables. Il est repris à l'Inventaire général du patrimoine culturel (documentation préalable)[75].

    Autres
    Monument aux morts.
    • Monument aux morts, situé au sud du cimetière, à l'entrée du bourg par la route D 928.
    • Présence des traces d'un sarcophage dans les murs d'enceinte du cimetière (origine romaine ?).

    Personnalités liées à la commune

    Héraldique

    Blason de Laroque-d'Olmes Blason
    De gueules à trois rocs d'échiquier d'or.
    Détails
    La municipalité utilise alternativement les deux blasons et porte celui de gueules légèrement modernisé en logo.
    Alias
    Alias du blason de Laroque-d'Olmes
    Alias du blason de Laroque-d'Olmes
    D'azur à trois rochers d'argent[76].

    Pour approfondir

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les distances sont mesurées entre chef-lieux de communes à vol d'oiseau.
    2. La superficie publiée par l’Insee est la superficie évaluée en 1975 par le service du cadastre de la Direction Générale des Impôts, corrigée des modifications communales intervenues depuis 1975. Elle comprend toutes les surfaces du domaine public et privé, cadastrées ou non cadastrées, à l'exception des lacs, étangs et glaciers de plus d'un kilomètre carré ainsi que des estuaires et ne correspond pas obligatoirement à la surface géographique[11] - [12]
    3. Les normales servent à représenter le climat dans lequel nous vivons. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[20].
    4. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    5. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    6. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
    7. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    8. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    9. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    10. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    11. Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
    12. La part des ménages fiscaux imposés est le pourcentage des ménages fiscaux qui ont un impôt à acquitter au titre de l'impôt sur le revenu des personnes physiques. L'impôt à acquitter pour un ménage fiscal correspond à la somme des impôts à acquitter par les foyers fiscaux qui le composent.
    13. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
    14. L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
    15. Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
    16. L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
    17. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[70].
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le )
    2. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).

    Site de l'Insee

    1. « Métadonnées de la commune de Laroque-d'Olmes » (consulté le ).
    2. « Commune urbaine-définition » (consulté le ).
    3. « Unité urbaine 2020 de Laroque-d'Olmes », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    4. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    5. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », (consulté le ).
    6. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
    7. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).
    8. « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Laroque-d'Olmes - Section LOG T2 » (consulté le ).
    9. « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Laroque-d'Olmes - Section LOG T7 » (consulté le ).
    10. « Chiffres clés - Logement en 2018 dans l'Ariège - Section LOG T2 » (consulté le ).
    11. « Chiffres clés - Logement en 2018 dans la France entière - Section LOG T2 » (consulté le ).
    12. « Code officiel géographique- Rattachements de la commune de Laroque-d'Olmes » (consulté le ).
    13. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Laroque-d'Olmes » (consulté le ).
    14. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 en Ariège » (consulté le ).
    15. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Laroque-d'Olmes » (consulté le ).
    16. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 en Ariège » (consulté le ).
    17. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
    18. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
    19. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Laroque-d'Olmes » (consulté le ).
    20. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
    21. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
    22. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Laroque-d'Olmes » (consulté le ).
    23. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 en Ariège » (consulté le ).

    Autres sources

    1. Stephan Georg, « Distance entre Laroque-d'Olmes et Foix », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    2. Stephan Georg, « Distance entre Laroque-d'Olmes et Pamiers », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    3. Stephan Georg, « Distance entre Laroque-d'Olmes et Mirepoix », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    4. « Communes les plus proches de Laroque-d'Olmes », sur www.villorama.com (consulté le ).
    5. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 348-349.
    6. Carte IGN sous Géoportail
    7. « Carte géologique de Laroque-d'Olmes » sur Géoportail (consulté le 22 avril 2022).
    8. « Caractéristiques géologiques et hydrogéologiques de la commune de Laroque-d'Olmes », sur le Système d’information pour la gestion des eaux souterraines (SIGES) en Occitanie (consulté le )
    9. « Notice associée à la feuille n°1076 - Lavelanet de la carte géologique harmonisée au 1/50 000ème de la France métropolitaine », sur Infoterre, le site du BRGM (consulté le )
    10. Insee, « Comparateur de territoire - Commune de Laroque-d'Olmes », sur le site de l'Insee (consulté le )
    11. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Indicateurs en données ouvertes (superficie) », sur l'Observatoire des territoires (consulté le )
    12. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Répertoire géographique des communes d'Île-de-France - définition de certains champs (dont la superficie) », sur data.iledefrance.fr (consulté le )
    13. IGN, « Répertoire géographique des communes (RGC) 2014 », sur drive.google.com
    14. Sandre, « Fiche cours d'eau - Le Touyre (O14-0430) » (consulté le )
    15. Sandre, « Fiche cours d'eau - Grand Hers (O1--0290) » (consulté le )
    16. Sandre, « Fiche cours d'eau - Ruisseau du Concu Ruch (O1490560) » (consulté le )
    17. Sandre, « Fiche cours d'eau - Ruisseau d'Esclagne (O1490570) » (consulté le )
    18. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    19. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    20. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    21. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    22. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
    23. [PDF]« Le changement climatique dans les Pyrénées : impacts, vulnérabilités et adaptation. », sur opcc-ctp.org (consulté le ).
    24. « Station Météo-France Les Cascades - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    25. « Orthodromie entre Laroque-d'Olmes et Roquefort-les-Cascades », sur fr.distance.to (consulté le ).
    26. « Station Météo-France Les Cascades - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    27. « Orthodromie entre Laroque-d'Olmes et Carcassonne », sur fr.distance.to (consulté le ).
    28. « Station météorologique de Carcassonne - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    29. « Station météorologique de Carcassonne - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    30. « Station météorologique de Carcassonne - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    31. « Liste des ZNIEFF de la commune de Laroque-d'Olmes », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    32. « ZNIEFF les « coteaux secs, vallons et collines de l'ouest du bas pays d'Olmes » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    33. « ZNIEFF le « lac de Montbel et partie orientale du bas pays d'Olmes » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    34. « ZNIEFF « le Plantaurel entre Foix et Lavelanet » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    35. « ZNIEFF « le Plantaurel oriental » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    36. « ZNIEFF le « réseau hydrographique du Touyre entre Montferrier et Léran » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    37. « ZNIEFF les « coteaux du Palassou » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    38. « ZNIEFF « le Plantaurel » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    39. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    40. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    41. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    42. ViaMichelin.fr
    43. La Voie Verte sur le Web
    44. « Dossier départemental des risques majeurs (DDRM) de l'Ariège » [PDF], sur le site de la préfecture, (consulté le ), chapitre Liste des risques par commune.
    45. « Les risques près de chez moi - commune de Laroque-d'Olmes », sur Géorisques (consulté le )
    46. « Dossier départemental des risques majeurs (DDRM) de l'Ariège » [PDF], sur le site de la préfecture, (consulté le ), chapitre Risque inondation.
    47. « Dossier départemental des risques majeurs (DDRM) de l'Ariège » [PDF], sur le site de la préfecture, (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
    48. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Laroque-d'Olmes », sur http://www.georisques.gouv.fr/ (consulté le )
    49. « Plans de Préventions des Risques naturels - Base de données actualisée à septembre 2020 », sur georisques.gouv.fr/ (consulté le )
    50. « Dossier départemental des risques majeurs (DDRM) de l'Ariège » [PDF], sur le site de la préfecture, (consulté le ), chapitre Risque transport de matières dangereuses.
    51. « Laroque d’Olmes (09) », sur France Bleu (consulté le )
    52. « communauté de communes du Pays d'Olmes - fiche descriptive au », sur la Base nationale sur l'intercommunalité (consulté le ).
    53. « Découpage électoral de l'Ariège (avant et après la réforme de 2010) », sur http://www.politiquemania.com/ (consulté le ).
    54. art L. 2121-2 du code général des collectivités territoriales.
    55. « Résultats des élections municipales et communautaires 2014 », sur https://www.interieur.gouv.fr/Elections/Les-resultats/Municipales/elecresult__MN2014 (consulté le ).
    56. http://maitron-en-ligne.univ-paris1.fr/spip.php?article174633, notice SÉGUÉLA Roseline épouse TOURNIL par Jacques Girault, version mise en ligne le 19 juillet 2015, dernière modification le 19 juillet 2015.
    57. FICHE | Agenda 21 de Territoires - Laroque d'Olmes, consultée le 28 octobre 2017
    58. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    59. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    60. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    61. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    62. INSEE, « Population selon le sexe et l'âge quinquennal de 1968 à 2012 (1990 à 2012 pour les DOM) », sur insee.fr, (consulté le ).
    63. INSEE, « Populations légales 2006 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
    64. INSEE, « Populations légales 2009 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
    65. INSEE, « Populations légales 2013 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
    66. « Entreprises à Laroque-d'Olmes », sur entreprises.lefigaro.fr (consulté le ).
    67. A. C., « Reconversion de l’entreprise Sage à Laroque d’Olmes : “la relocalisation, ce n’est pas encore concret” », La Gazette ariégeoise, (lire en ligne)
    68. « Les régions agricoles (RA), petites régions agricoles(PRA) - Année de référence : 2017 », sur agreste.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    69. « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans la commune de Laroque-d'Olmes - Données générales », sur recensement-agricole.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    70. Présentation des premiers résultats du recensement agricole 2020, Ministère de l’agriculture et de l’alimentation, 10 décembre 2021
    71. Rugby Amateur : on a retrouvé la licence de Fabien Barthez chez les Minimes de l'ES Laroquaise
    72. « Eglise du Saint-Sacrement », sur www.pop.culture.gouv.fr (consulté le )
    73. Laissez-vous conter les Pyrénées cathares : Laroque d'Olmes, la chapelle Notre-Dame-du-Pont
    74. Laissez-vous conter les Pyrénées cathares : Laroque d'Olmes, la chapelle Saint-Roch
    75. Notice no IA09000028, base Mérimée, ministère français de la Culture
    76. Denis-François Gastelier de La Tour, Armorial des États de Languedoc, Paris, Vincent, , 248 p. (lire en ligne)
    Cet article est issu de wikipedia. Text licence: CC BY-SA 4.0, Des conditions supplémentaires peuvent s’appliquer aux fichiers multimédias.