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Lailly-en-Val

Lailly-en-Val est une commune française, située dans le département du Loiret en région Centre-Val de Loire.

Lailly-en-Val
Lailly-en-Val
La mairie.
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Centre-Val de Loire
DĂ©partement Loiret
Arrondissement Orléans
Intercommunalité Communauté de communes des Terres du Val de Loire
Maire
Mandat
Philippe Gaudry
2020-2026
Code postal 45740
Code commune 45179
DĂ©mographie
Gentilé Laillylois
Population
municipale
3 101 hab. (2020 en augmentation de 4,34 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 68 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 47° 46â€Č 14″ nord, 1° 41â€Č 14″ est
Altitude Min. 78 m
Max. 115 m
Superficie 45,61 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Lailly-en-Val
(ville isolée)
Aire d'attraction Orléans
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton de Beaugency
LĂ©gislatives PremiĂšre circonscription
Localisation
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Lailly-en-Val
Liens
Site web laillyenval.fr

    La commune est située dans le périmÚtre du Val de Loire inscrit au patrimoine mondial de l'UNESCO[1] et constitue à elle seule l'unité urbaine de Lailly-en-Val[2].

    Ses habitants sont appelés les Laillylois[3].

    GĂ©ographie

    Localisation

    Carte de la commune de Lailly-en-Val et des communes limitrophes

    La commune de Lailly-en-Val se trouve dans le quadrant sud-ouest du dĂ©partement du Loiret, dans la rĂ©gion agricole de la Sologne[4] et l'aire urbaine d'OrlĂ©ans[5]. À vol d'oiseau, elle se situe Ă  21,7 km d'OrlĂ©ans[6], prĂ©fecture du dĂ©partement, et Ă  4,8 km de Beaugency, ancien chef-lieu du canton dont dĂ©pendait la commune avant . La commune fait partie du bassin de vie de Beaugency[5].

    Les communes les plus proches sont : Dry (3,4 km), Baule (4,6 km), Beaugency (4,8 km), Messas (km), Tavers (6,1 km), Meung-sur-Loire (6,1 km), ClĂ©ry-Saint-AndrĂ© (7,2 km), Villorceau (7,8 km), Le Bardon (8,6 km) et Saint-Laurent-Nouan (8,6 km)[7].

    GĂ©ologie

    La commune se situe dans le sud du Bassin parisien, le plus grand des trois bassins sĂ©dimentaires français. Cette vaste dĂ©pression, occupĂ©e dans le passĂ© par des mers peu profondes et des lacs, a Ă©tĂ© comblĂ©e, au fur et Ă  mesure que son socle s’affaissait, par des sables et des argiles, issus de l’érosion des reliefs alentours, ainsi que des calcaires d’origine biologique, formant ainsi une succession de couches gĂ©ologiques[8].

    Les couches affleurantes sur le territoire communal sont constituĂ©es de formations superficielles du Quaternaire et de roches sĂ©dimentaires datant du CĂ©nozoĂŻque, l'Ăšre gĂ©ologique la plus rĂ©cente sur l'Ă©chelle des temps gĂ©ologiques, dĂ©butant il y a 66 millions d'annĂ©es. La formation la plus ancienne est du calcaire de Pithiviers remontant Ă  l’époque MiocĂšne de la pĂ©riode NĂ©ogĂšne. La formation la plus rĂ©cente est des alluvions rĂ©centes des lits mineurs remontant Ă  l’époque HolocĂšne de la pĂ©riode Quaternaire. Le descriptif de ces couches est dĂ©taillĂ© dans les feuilles « n°397 - Beaugency » et « n°429 - Bracieux » de la carte gĂ©ologique au 1/50 000Ăšme du dĂ©partement du Loiret[9] - [10] et leurs notices associĂ©es[11] - [12].

    Carte géologique de la commune.
    Ère PĂ©riode Époque Formations gĂ©ologiques
    CĂ©nozoĂŻque
    (0 - 66.0)
    Quaternaire
    (0 - 2.58)
    HolocĂšne
    Fz :alluvions récentes des lits mineurs, HolocÚne
    FC :alluvions et colluvions du fond des vallées secondaires, HolocÚne
    Fy :alluvions récentes des levées et montilles de la Loire et des basses terrasses du Loing, HolocÚne
    Fw :alluvions de haute terrasse de la Loire, PléistocÚne (Riss), terrasse +10 -15 m
    Fvb :alluvions de haute terrasse, PléistocÚne (Mindel), terrasse +20 m
    PléistocÚne
    qCC :alluvions Fu dites des '-Cailloutis culminants'- de Sologne, PliocÚne supérieur à PléistocÚne inférieur, terrasse à +50 à 60 m
    NĂ©ogĂšne
    (2.58 - 23.03)
    PliocÚne non présent
    MiocĂšne
    m3-p1SASo :sables et argiles de Sologne, Langhien supérieur à PliocÚne inférieur
    m1CPi :calcaire de Pithiviers, Aquitanien
    PaléogÚne
    (23.03 - 66.0)
    OligocÚne non présent
    ÉocĂšne non prĂ©sent
    PaléocÚne non présent

    Relief

    La superficie cadastrale de la commune publiĂ©e par l’Insee, qui sert de rĂ©fĂ©rences dans toutes les statistiques, est de 45,61 km2[13] - [Note 1]. La superficie gĂ©ographique, issue de la BD Topo, composante du RĂ©fĂ©rentiel Ă  grande Ă©chelle produit par l'IGN, est quant Ă  elle de 46,11 km2[10]. Son relief est relativement plat puisque la dĂ©nivelĂ©e maximale atteint 37 mĂštres. L'altitude du territoire varie entre 78 m et 115 m[16].

    Sites Natura 2000

    Le rĂ©seau Natura 2000 est un rĂ©seau Ă©cologique europĂ©en de sites naturels d’intĂ©rĂȘt Ă©cologique Ă©laborĂ© Ă  partir des Directives «Habitats » et «Oiseaux ». Ce rĂ©seau est constituĂ© de Zones SpĂ©ciales de Conservation (ZSC) et de Zones de Protection SpĂ©ciale (ZPS). Dans les zones de ce rĂ©seau, les États membres s'engagent Ă  maintenir dans un Ă©tat de conservation favorable les types d'habitats et d'espĂšces concernĂ©s, par le biais de mesures rĂ©glementaires, administratives ou contractuelles. L'objectif est de promouvoir une gestion adaptĂ©e des habitats tout en tenant compte des exigences Ă©conomiques, sociales et culturelles, ainsi que des particularitĂ©s rĂ©gionales et locales de chaque État membre. les activitĂ©s humaines ne sont pas interdites, dĂšs lors que celles-ci ne remettent pas en cause significativement l’état de conservation favorable des habitats et des espĂšces concernĂ©s[17] - [18].

    Les sites Natura 2000 présents sur le territoire communal de Lailly-en-Val sont au nombre de quatre[INPN 1].

    Sites d'importance communautaire (Directive "Habitats")
    NumĂ©ro Type Nom ArrĂȘtĂ© Localisation
    FR2400528SICVallĂ©e de la Loire de Tavers Ă  Belleville-sur-LoireArrĂȘtĂ© du [19] En frange nord-ouest de la commune[20].
    FR2400556SICNord-ouest SologneArrĂȘtĂ© du [21] Dans les parties est et sud-est de la commune[22].
    FR2402001SICSologneArrĂȘtĂ© du [23] Dans les parties est et sud-est de la commune[22].

    Le site de la « VallĂ©e de la Loire de Tavers Ă  Belleville-sur-Loire », d'une superficie de 7 120 ha, concerne 51 communes. La dĂ©limitation de ce site Natura 2000 est trĂšs proche de celle correspondant Ă  la Directive Oiseaux. L'intĂ©rĂȘt majeur du site repose sur les milieux ligĂ©riens liĂ©s Ă  la dynamique du fleuve, qui hĂ©bergent de nombreuses espĂšces citĂ©es en annexe II de la directive Habitats[INPN 2].

    La ZSC « Nord-ouest Sologne », d'une superficie totale de 1 337 ha, concerne trois communes : Dry, Lailly-en-Val et Jouy-le-Potier. Le site regroupe un ensemble d'habitats typiques de la Sologne du nord et de l'ouest. On observe des boisements Ă  chĂȘne tauzin dont les stations sont en limite nord-est de rĂ©partition, des mares nombreuses pour partie oligotrophes, pour partie eutrophes, y compris des dĂ©pressions tourbeuses Ă  hottonie des marais (protĂ©gĂ©e sur le plan rĂ©gional), divers types de landes sĂšches dont des formations Ă  lichens sur sables secs, des landes humides en particulier Ă  bruyĂšre quaternĂ©e et des boisements Ă  chĂȘne pĂ©donculĂ© sur molinie.

    La ZSC « Sologne », d'une superficie totale de 346 184 ha, constitue une vaste Ă©tendue Ă©maillĂ©e d'Ă©tangs, situĂ©e en totalitĂ© sur les formations sĂ©dimentaires du burdigalien. L'agriculture est en recul et on observe une fermeture des milieux naturels (landes). Plusieurs ensembles naturels de caractĂšre diffĂ©rent se distinguent sur ce site[INPN 3] :

    • la Sologne des Ă©tangs ou Sologne centrale, qui recĂšle plus de la moitiĂ© des Ă©tangs de la rĂ©gion ; les sols sont un peu moins acides que dans le reste du pays ;
    • la Sologne sĂšche ou Sologne du Cher, qui se caractĂ©rise par une plus grande proportion de landes sĂšches Ă  bruyĂšre cendrĂ©e, callune et HĂ©lianthĂšme faux-alysson ;
    • la Sologne maraĂźchĂšre, qui abrite encore une agriculture active et possĂšde quelques grands Ă©tangs en milieu forestier ;
    • la Sologne du Loiret, au nord, qui repose en partie sur des terrasses alluviales de la Loire issues du remaniement du soubassement burdigalien, ensemble auquel appartient la commune de Lailly-en-Val.
    Zones de protection spéciale (Directive "Oiseaux")
    NumĂ©ro Type Nom ArrĂȘtĂ© Localisation
    FR2410017ZPSVallĂ©e de la Loire du LoiretArrĂȘtĂ© du [24].Frange sud de la commune[20].

    Le site de la « VallĂ©e de la Loire du Loiret » s'Ă©tend sur 7 684 ha et concerne la vallĂ©e de la Loire dans le Loiret. Cette ZPS se poursuit en amont et en aval sur les dĂ©partements voisins. L'intĂ©rĂȘt majeur du site repose sur les milieux et les espĂšces ligĂ©riens liĂ©s Ă  la dynamique du fleuve. Ces milieux hĂ©bergent de nombreuses espĂšces citĂ©es en annexe I de la directive Oiseaux. Le site est caractĂ©risĂ© par la prĂ©sence de colonies nicheuses de sternes naine et pierregarin et de mouette mĂ©lanocĂ©phale. Des sites de pĂȘche du Balbuzard pĂȘcheur sont Ă©galement prĂ©sents. Le site est Ă©galement lieu de reproduction du bihoreau gris, de l'aigrette garzette, de la bondrĂ©e apivore, du milan noir, de l'ƓdicnĂšme criard, du martin-pĂȘcheur, du pic noir, de la pie-griĂšche Ă©corcheur[INPN 4].

    Zones nationales d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique

    Carte des ZNIEFF de la commune et de ses abords.

    L’inventaire des zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de rĂ©aliser une couverture des zones les plus intĂ©ressantes sur le plan Ă©cologique, essentiellement dans la perspective d’amĂ©liorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux diffĂ©rents dĂ©cideurs un outil d’aide Ă  la prise en compte de l’environnement dans l’amĂ©nagement du territoire. Le territoire communal de Lailly-en-Val comprend une ZNIEFF[INPN 5] : La Loire orlĂ©anaise. Cette zone, d'une superficie de 35 hectares, s'Ă©tend sur 37 communes, dont Ouzouer-sur-Loire, et se superpose pour la commune Ă  la zone Natura 2000 de nom similaire. Elle correspond Ă  la boucle septentrionale du fleuve[DREAL 1]. Son altitude varie entre 80 et 135 m[INPN 6]. Elle se caractĂ©rise par un lit mineur largement occupĂ© par des Ăźles et grĂšves sableuses. Ces milieux soumis au marnage annuel recĂšlent de multiples habitats plus ou moins temporaires. C'est pratiquement la seule section qui prĂ©sente des mĂ©andres. On observe, sur les basses terrasses, quelques formations sablo-calcaires[INPN 7].

    Histoire

    Le hameau de Monçay Ă©tait une baronnie importante. L’église Saint-Nicolas y a Ă©tĂ© dĂ©truite Ă  la RĂ©volution française.

    Le village de Lailly fut brûlé par les troupes prussiennes en 1870, ainsi que le rapporte Léon Bloy dans Sueurs de sang.

    Urbanisme

    Typologie

    Lailly-en-Val est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trĂšs peu denses, au sens de la grille communale de densitĂ© de l'Insee[Note 2] - [25] - [26] - [27]. Elle appartient Ă  l'unitĂ© urbaine de Lailly-en-Val, une unitĂ© urbaine monocommunale[28] de 3 112 habitants en 2017, constituant une ville isolĂ©e[29] - [30].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'OrlĂ©ans, dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 136 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de 200 000 Ă  moins de 700 000 habitants[31] - [32].

    Occupation des sols

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des forĂȘts et milieux semi-naturels (51,1 % en 2018), une proportion sensiblement Ă©quivalente Ă  celle de 1990 (49,8 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : forĂȘts (51,1 %), terres arables (20,9 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (13,6 %), prairies (9,3 %), zones urbanisĂ©es (4,5 %), eaux continentales[Note 4] (0,5 %)[33].

    L'Ă©volution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut ĂȘtre observĂ©e sur les diffĂ©rentes reprĂ©sentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et les cartes ou photos aĂ©riennes de l'IGN pour la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[Carte 1].

    • Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
      Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
    • Carte orthophotographique de la commune en 2016.
      Carte orthophotographique de la commune en 2016.

    Plan local d'urbanisme

    L'Ă©laboration d'un plan local d'urbanisme est prescrite par le conseil municipal en 2002. AprĂšs enquĂȘte publique qui se dĂ©roule du au , le document est approuvĂ© le . Une demande de modification est ensuite instruite et approuvĂ©e en [34].

    Documents d'orientations intercommunaux

    La commune est membre du Pays Loire Beauce, qui regroupe 38 communes. En 2012 les Pays ForĂȘt d'OrlĂ©ans Val de Loire, Loire Beauce et Sologne Val-sud sont les seuls territoires du dĂ©partement du Loiret ne disposant pas de schĂ©ma de cohĂ©rence territoriale (SCoT). Compte tenu de l'intĂ©rĂȘt de cet outil pour l'avenir des territoires, les Ă©lus de ces pays dĂ©cident d'engager une dĂ©marche commune d'Ă©laboration de SCOT. Le comitĂ© syndical du Pays Loire Beauce se prononce majoritairement en pour prendre la compĂ©tence « Elaboration, gestion et suivi du SchĂ©ma de CohĂ©rence Territoriale » dans ses statuts[35]. Le pĂ©rimĂštre de SCoT Ă  l'Ă©chelle des 38 communes composant le Pays Loire Beauce est arrĂȘtĂ© par le ComitĂ© Syndical le [36]. Les trois SCoT sont lancĂ©s officiellement et simultanĂ©ment Ă  La FertĂ©-Saint-Aubin le [37], l'assistance Ă  maĂźtrise d'ouvrage Ă©tant confiĂ©e Ă  un seul bureau d'Ă©tudes[38]. AprĂšs Ă©tude et concertation de 2014 Ă  2017, le document doit ĂȘtre approuvĂ© en 2018[39].

    Voies de communication et transports

    RĂ©seau routier principal de la commune de Lailly-en-Val (avec indication du trafic routier 2014).

    Infrastructures routiĂšres

    La commune est traversée par trois routes départementales : trois sections à trafic modéré (la RD951, la RD 103 et la RD 19 au nord du bourg) et deux sections de route à faible trafic[Note 5] (la RD 19 au sud du bourg).

    La RD 951 est l'ancienne route nationale 751, qui avait Ă©tĂ© crĂ©Ă©e en 1933 et Ă©tait dĂ©finie comme la route de Cosne-sur-Loire Ă  la pointe de Saint-Gildas par la rive gauche de la Loire[40]. La section traversant le Loiret, reliant Beaulieu-sur-Loire Ă  Lailly-en-Val, a Ă©tĂ© transfĂ©rĂ©e au dĂ©partement du Loiret par arrĂȘtĂ© du [41]. En 2014, elle supporte sur le territoire communal un trafic de 2 869 vĂ©hicules/jour dont 301 poids-lourds (7 % du trafic total)[42]. La RD 103 (2 052 vĂ©hicules/jour) relie Lailly-en-Val Ă  Jouy-le-Potier[42] et la RD 19 (583 vĂ©hicules/jour) relie Beaugency Ă  Ligny-le-Ribault[42].

    Transports en commun

    En 2016, la commune est desservie par deux lignes de transports par autocar du Conseil dĂ©partemental du Loiret : la ligne 8 du rĂ©seau Ulys, qui relie Cravant Ă  OrlĂ©ans, et la ligne 8 Saint-Laurent-Nouan - Lailly-en-Val Ă  OrlĂ©ans via ClĂ©ry-Saint-AndrĂ©. Ces lignes proposent un nombre de dessertes variable en fonction des jours ouvrables de la semaine[43] - [44]. Des correspondances SNCF sont assurĂ©es Ă  la gare d'OrlĂ©ans et TAO et Transbeauce Ă  la Gare routiĂšre d'OrlĂ©ans. À compter du , la compĂ©tence des services de transports routiers interurbains, rĂ©guliers et Ă  la demande est transfĂ©rĂ©e des dĂ©partements aux rĂ©gions, et donc localement du dĂ©partement du Loiret Ă  la rĂ©gion Centre-Val de Loire, consĂ©cutivement Ă  la loi NOTRe du [45]. Dans ce cadre, le RĂ©seau de mobilitĂ© interurbaine « RĂ©mi » remplace chacun des rĂ©seaux de transports interurbains dĂ©partementaux et en particulier le rĂ©seau Ulys dans le Loiret et entre en service Ă  compter de la rentrĂ©e scolaire du [46].

    Risques majeurs

    Zone inondable de la commune de Lailly-en-Val.
    SystĂšme d'endiguement du val d'Ardoux.

    La commune de Lailly-en-Val est vulnĂ©rable Ă  diffĂ©rents alĂ©as naturels : inondations (par dĂ©bordement de la Loire), climatiques (hiver exceptionnel ou canicule), mouvements de terrains ou sismique (sismicitĂ© trĂšs faible). Elle est Ă©galement exposĂ©e Ă  un risque technologique : le risque nuclĂ©aire [47]. Entre 1989 et 2019, quatre arrĂȘtĂ©s ministĂ©riels ayant portĂ© reconnaissance de catastrophe naturelle ont Ă©tĂ© pris pour le territoire de la commune : deux pour des inondations et coulĂ©es de boues et deux pour des mouvements de terrains[48].

    Risques naturels

    La zone inondable de la commune fait partie du val d'Ardoux et s’étend sur une partie assez large de la commune jusqu'Ă  la limite du bourg. Quelques fermes isolĂ©es se situent dans cette zone, ainsi qu’une partie du bourg le long de la route dĂ©partementale. Elle est traversĂ©e par un fossĂ© jurĂ© et trois cours d’eau : le Grand et le Petit Ardoux ainsi qu’un affluent du Grand Ardoux. Les biens situĂ©s en zone inondable sont environ 150 maisons d’habitation (dont 26 en alĂ©a fort, les autres en alĂ©a moyen ou faible), une quinzaine de fermes et une quarantaine de hangars agricoles dont environ le tiers est en alĂ©a fort, le reste en alĂ©a moyen ou faible, la station d’épuration (en alĂ©a fort), une maison de retraite (en alĂ©a fort), une partie du bourg tout le long de la route en zone inondable (en alĂ©a moyen), l’église, divers commerces, la poste, la salle des fĂȘtes (en alĂ©a moyen)[49]. Le risque d'inondation est pris en compte dans l'amĂ©nagement du territoire de la commune par le biais du Plan de prĂ©vention du risque inondation (PPRI) du val d'Ardoux, approuvĂ© le [50].

    Le territoire de la commune peut Ă©galement ĂȘtre concernĂ© par un risque d'effondrement de cavitĂ©s souterraines non connues. Une cartographie dĂ©partementale de l'inventaire des cavitĂ©s souterraines et des dĂ©sordres de surface a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ©e. Il a Ă©tĂ© recensĂ© sur la commune plusieurs effondrements de cavitĂ©s[51].

    Par ailleurs, le sol du territoire communal peut faire l'objet de mouvements de terrain liés à la sÚcheresse. Le phénomÚne de retrait-gonflement des argiles est la conséquence d'un changement d'humidité des sols argileux. Les argiles sont capables de fixer l'eau disponible mais aussi de la perdre en se rétractant en cas de sÚcheresse[52]. Ce phénomÚne peut provoquer des dégùts trÚs importants sur les constructions (fissures, déformations des ouvertures) pouvant rendre inhabitables certains locaux. Celui-ci a particuliÚrement affecté le Loiret aprÚs la canicule de l'été 2003. Une grande partie du territoire de la commune est exposée à un aléa « moyen » face à ce risque, selon l'échelle définie par le Bureau de recherches géologiques et miniÚres (BRGM)[53].

    Depuis le , la France dispose d’un nouveau zonage sismique divisant le territoire national en cinq zones de sismicitĂ© croissante[54]. La commune, Ă  l’instar de l’ensemble du dĂ©partement, est concernĂ©e par un risque trĂšs faible[48].

    Risques technologiques

    Dans le domaine des risques technologiques, une partie du territoire de la commune peut ĂȘtre concernĂ©e par le risque nuclĂ©aire. En cas d’accident grave, certaines installations nuclĂ©aires sont en effet susceptibles de rejeter dans l’atmosphĂšre de l’iode radioactif. Or la commune se situe en totalitĂ© Ă  l'intĂ©rieur du pĂ©rimĂštre de 20 km du Plan particulier d'intervention de la centrale nuclĂ©aire de Saint-Laurent-des-Eaux. À ce titre les habitants de la commune, comme tous ceux rĂ©sidant dans le pĂ©rimĂštre proche de 20 km de la centrale ont bĂ©nĂ©ficiĂ©, Ă  titre prĂ©ventif, d'une distribution de comprimĂ©s d’iode stable dont l’ingestion avant rejet radioactif permet de pallier les effets sur la thyroĂŻde d’une exposition Ă  de l’iode radioactif[Note 6]. En cas d'incident ou d'accident nuclĂ©aire, des consignes de confinement ou d'Ă©vacuation peuvent ĂȘtre donnĂ©es et les habitants peuvent ĂȘtre amenĂ©s Ă  ingĂ©rer, sur ordre du prĂ©fet, les comprimĂ©s en leur possession[56].

    Politique et administration

    Bloc communal : commune et intercommunalités

    La paroisse de Lailli acquiert le statut de municipalitĂ© avec le dĂ©cret du de l'AssemblĂ©e Nationale[57] puis celui de « commune », au sens de l'administration territoriale actuelle, par le dĂ©cret de la Convention nationale du 10 brumaire an II ()[58]. Il faut toutefois attendre la loi du sur l'organisation municipale pour qu'un rĂ©gime juridique uniforme soit dĂ©fini pour toutes les communes de France, point de dĂ©part de l’affirmation progressive des communes face au pouvoir central[59]. La commune est orthographiĂ©e Lailly et Moncay dans l'arrĂȘtĂ© de 1801. Elle change de dĂ©nomination en 1918 et prend le nom de Lailly-en-Val. Aucun Ă©vĂ©nement de restructuration majeure du territoire, de type suppression, cession ou rĂ©ception de territoire, n'a affectĂ© la commune depuis sa crĂ©ation[60].

    La commune est membre de la communauté de communes du canton de Beaugency depuis sa création le [61].

    Circonscriptions de rattachement

    Sous l'Ancien RĂ©gime, Ă  la veille des États gĂ©nĂ©raux de 1789, la paroisse de Lailli Ă©tait rattachĂ©e sur le plan ecclĂ©siastique Ă  l'archidiaconĂ© de Beaugency, sur le plan judiciaire au bailliage royal de Beaugency[62], sur le plan militaire au gouvernement d'OrlĂ©ans et sur le plan administratif Ă  la gĂ©nĂ©ralitĂ© d'OrlĂ©ans[63].

    La loi du divise le pays en 83 dĂ©partements dĂ©coupĂ©s chacun en six Ă  neuf districts eux-mĂȘmes dĂ©coupĂ©s en cantons regroupant des communes. Les districts, tout comme les dĂ©partements, sont le siĂšge d’une administration d’État et constituent Ă  ce titre des circonscriptions administratives. La commune de Lailly-en-Val est alors incluse dans le canton de Lailli, le district de Beaugency et le dĂ©partement du Loiret[64].

    La recherche d’un Ă©quilibre entre la volontĂ© d’organiser une administration dont les cadres permettent l’exĂ©cution et le contrĂŽle des lois d’une part, et la volontĂ© d’accorder une certaine autonomie aux collectivitĂ©s de base (paroisses, bourgs, villes) d’autre part, s’étale de 1789 Ă  1838[65]. Les dĂ©coupages territoriaux Ă©voluent ensuite au grĂ© des rĂ©formes visant Ă  dĂ©centraliser ou recentraliser l'action de l'État. La rĂ©gionalisation fonctionnelle des services de l'État (1945-1971) aboutit Ă  la crĂ©ation de rĂ©gions[66]. L'acte I de la dĂ©centralisation de 1982-1983 constitue une Ă©tape importante en donnant l'autonomie aux collectivitĂ©s territoriales, rĂ©gions, dĂ©partements et communes[67]. L'acte II intervient en 2003-2006[68], puis l'acte III en 2012-2015.

    Le tableau suivant présente les rattachements, au niveau infra-départemental, de la commune de Lailly-en-Val aux différentes circonscriptions administratives et électorales ainsi que l'historique de l'évolution de leurs territoires.

    Circonscription Nom PĂ©riode Type Évolution du dĂ©coupage territorial
    DistrictBeaugency1790-1795AdministrativeLa commune est rattachée au district de Beaugency de 1790 à 1795[60] - [64]. La Constitution du 5 fructidor an III, appliquée à partir de vendémiaire an IV (1795) supprime les districts, rouages administratifs liés à la Terreur, mais maintient les cantons qui acquiÚrent dÚs lors plus d'importance[69].
    CantonLailli1790-1801Administrative et électoraleLe , la municipalité de Lailli est rattachée au canton de Lailli[70]. Les cantons acquiÚrent une fonction administrative avec la disparition des districts en 1795.
    Beaugency1801-2015Sous le Consulat, un redĂ©coupage territorial visant Ă  rĂ©duire le nombre de justices de paix ramĂšne le nombre de cantons dans le Loiret de 59 Ă  31[71]. Lailly-en-Val est alors rattachĂ©e par arrĂȘtĂ© du 9 vendĂ©miaire an X () au canton de Beaugency[72] - [60].
    Beaugency2015-ÉlectoraleLa loi du [73] et ses dĂ©crets d'application publiĂ©s en fĂ©vrier et [74] introduisent un nouveau dĂ©coupage territorial pour les Ă©lections dĂ©partementales. La commune est alors rattachĂ©e au nouveau canton de Beaugency[74]. Depuis cette rĂ©forme, plus aucun service de l'État n'exerce sa compĂ©tence sur un territoire s'appuyant sur le nouveau dĂ©coupage cantonal. Le canton a disparu en tant que circonscription administrative de l'État ; il est dĂ©sormais uniquement une circonscription Ă©lectorale dĂ©diĂ©e Ă  l'Ă©lection d'un binĂŽme de conseillers dĂ©partementaux siĂ©geant au conseil dĂ©partemental[75].
    ArrondissementOrléans1801-AdministrativeLailly-en-Val est rattachée à l'arrondissement d'Orléans depuis sa création en 1801[60] - [72].
    Circonscription lĂ©gislative1re circonscription2010-ÉlectoraleLors du dĂ©coupage lĂ©gislatif de 1986, le nombre de circonscriptions lĂ©gislatives passe dans le Loiret de 4 Ă  5. Un nouveau redĂ©coupage intervient en 2010 avec la loi du . En attribuant un siĂšge de dĂ©putĂ© « par tranche » de 125 000 habitants, le nombre de circonscriptions par dĂ©partement varie dĂ©sormais de 1 Ă  21[76] - [77]. Dans le Loiret, le nombre de circonscriptions passe de cinq Ă  six[78]. La rĂ©forme n'affecte pas Lailly-en-Val qui reste rattachĂ©e Ă  la premiĂšre circonscription[79].

    Collectivités de rattachement

    La commune de Lailly-en-Val est rattachĂ©e au dĂ©partement du Loiret et Ă  la rĂ©gion Centre-Val de Loire[80], Ă  la fois circonscriptions administratives de l'État et collectivitĂ©s territoriales.

    Conseil municipal et maire

    Depuis les Ă©lections municipales de 2014, le conseil municipal de Lailly-en-Val, commune de plus de 1 000 habitants, est Ă©lu au scrutin proportionnel de liste Ă  deux tours (sans aucune modification possible de la liste)[81], pour un mandat de six ans renouvelable[82]. Il est composĂ© de 23 membres[83]. L'exĂ©cutif communal, est constituĂ© par le maire, Ă©lu par le conseil municipal, parmi ses membres, pour un mandat de six ans, c'est-Ă -dire pour la durĂ©e du mandat du conseil.

    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    mars 1989 mars 2014 Yves Fichou DVG Professeur retraité
    Président de la communauté de communes du canton de Beaugency
    mars 2014 En cours Philippe Gaudry[84] - [85] Ancien cadre
    Les données manquantes sont à compléter.

    Équipements et services

    Gestion des déchets

    Au , la commune est membre du syndicat mixte intercommunal pour le ramassage et le traitement des ordures mĂ©nagĂšres (SMIRTOM) de la rĂ©gion de Beaugency, crĂ©Ă© en 1971. Celui-ci assure la collecte et le traitement des ordures mĂ©nagĂšres rĂ©siduelles[Note 7] en porte Ă  porte, des emballages mĂ©nagers recyclables en porte Ă  porte ou en points d’apport volontaire, du verre en points d’apport volontaire et des papiers en points d’apport volontaire [86]. Un rĂ©seau de sept dĂ©chĂšteries accueille les encombrants et autres dĂ©chets spĂ©cifiques (dĂ©chets verts, dĂ©chets dangereux, gravats, ferraille, cartons
). La dĂ©chĂšterie la plus proche de la commune est celle de Ligny-le-Ribault[86]. L'Ă©limination et la valorisation Ă©nergĂ©tique des dĂ©chets est effectuĂ©e dans l'UIOM de Saran depuis 1996, exploitĂ©e par la sociĂ©tĂ© Orvade, filiale du groupe VĂ©olia, par dĂ©lĂ©gation de service de la communautĂ© urbaine OrlĂ©ans-MĂ©tropole[87].

    La loi NOTRe du rend obligatoire l’exercice de la compĂ©tence « gestion des dĂ©chets mĂ©nagers » pour les communautĂ©s de communes Ă  partir du [88], qui ne fait donc dĂ©sormais plus partie des compĂ©tences de la commune mais de celle de la communautĂ© de communes des Terres du Val de Loire. Dans ce cadre, le prĂ©fet du Loiret indique dans un courrier du aux prĂ©sidents des communautĂ©s de communes concernĂ©es que le SMIRTOM de la rĂ©gion de Beaugency sera dissout le [89].

    Production et distribution d'eau

    Le service public d’eau potable est une compĂ©tence obligatoire des communes depuis l’adoption de la loi du 30 dĂ©cembre 2006 sur l’eau et les milieux aquatiques[90]. Au , la production et la distribution de l'eau potable sur le territoire communal sont assurĂ©es par le syndicat intercommunal d'assainissement et d'alimentation en eau potable de Lailly-Dry. La commune est alimentĂ©e par un forage profond de 79 m pour lequel des pĂ©rimĂštres de protection de captage, immĂ©diate, rapprochĂ©e et Ă©loignĂ©e ont Ă©tĂ© instituĂ©s en [91].

    La loi NOTRe du 7 aoĂ»t 2015 prĂ©voit que le transfert des compĂ©tences « eau et assainissement » vers les communautĂ©s de communes sera obligatoire Ă  compter du . Le transfert d’une compĂ©tence entraĂźne de facto la mise Ă  disposition gratuite de plein droit des biens, Ă©quipements et services publics utilisĂ©s, Ă  la date du transfert, pour l'exercice de ces compĂ©tences et la substitution de la communautĂ© dans les droits et obligations des communes[92] - [93].

    Assainissement

    La compĂ©tence assainissement, qui recouvre obligatoirement la collecte, le transport et l’épuration des eaux usĂ©es, l’élimination des boues produites, ainsi que le contrĂŽle des raccordements aux rĂ©seaux publics de collecte[94], est assurĂ©e par la commune elle-mĂȘme, qui est membre du syndicat intercommunal d'assainissement et d'alimentation en eau potable de Lailly-Dry[95]. La commune est raccordĂ©e Ă  une station d'Ă©puration situĂ©e sur le territoire communal, mise en service le et dont la capacitĂ© nominale de traitement est de 3 600 EH, soit 1 000 m3/jour. Cet Ă©quipement utilise un procĂ©dĂ© d'Ă©puration biologique dit « Ă  boues activĂ©es ». Son exploitation est assurĂ©e en 2017 par Nantaise des Eaux[96] - [97].

    L’assainissement non collectif (ANC) dĂ©signe les installations individuelles de traitement des eaux domestiques qui ne sont pas desservies par un rĂ©seau public de collecte des eaux usĂ©es et qui doivent en consĂ©quence traiter elles-mĂȘmes leurs eaux usĂ©es avant de les rejeter dans le milieu naturel[98]. Depuis le , la CommunautĂ© de communes des Terres du Val de Loire assure le service public d'assainissement non collectif (SPANC), aprĂšs la fusion des communautĂ©s de communes du Val des Mauves, du Canton de Beaugency, du Val d'Ardoux et de la Beauce oratorienne situĂ©e dans le Loir-et-Cher qui l'assuraient auparavant. Celui-ci a pour mission de vĂ©rifier la bonne exĂ©cution des travaux de rĂ©alisation et de rĂ©habilitation, ainsi que le bon fonctionnement et l’entretien des installations[99].

    Prix de l'eau

    Le « prix de l’eau » doit permettre de financer l’ensemble des investissements (mise en place de nouveaux ouvrages, mise aux normes du patrimoine existant, renouvellement du patrimoine...) mais aussi les frais de fonctionnement du service (frais de personnel du service, Ă©lectricitĂ©, produits de traitement, renouvellement du matĂ©riel, analyses, Ă©limination des dĂ©chets...)[100]. L'observatoire national des services d'eau et d'assainissement publie la description actualisĂ©e des services publics d'eau potable et d'assainissement, qu’il s’agisse de leur organisation, de leur tarif ou de leur performance[101]. Le prix au m3 est calculĂ© pour une consommation annuelle de 120 m3 (rĂ©fĂ©rence INSEE)[102].

    DomaineCommune201020112012201320142015
    Eau potableLailly-en-ValNC[103]NC[104]1,25[105]1,26[106]1,27[107]1,30[108]
    Loiret1,76[109]1,7[110]1,66[111]1,69[112]
    France1,93[109]1,96[110]2[111]2,03[112]
    AssainissementLailly-en-ValNC[103]NC[104]1,30[105]1,46[106]1,66[107]1,67[108]
    Loiret2,07[109]2,19[110]2,25[111]2,38[112]
    France1,73[109]1,82[110]1,85[111]1,89[112]

    Santé

    Une maison de retraite (FHP) et des services médicaux et paramédicaux sont implantés sur le territoire de la commune.

    Population et société

    DĂ©mographie

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[113]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2005[114].

    En 2020, la commune comptait 3 101 habitants[Note 8], en augmentation de 4,34 % par rapport Ă  2014 (Loiret : +1,88 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 5501 4251 4331 6241 7351 9431 9672 1432 212
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    2 2292 2232 2322 0522 0671 9401 8791 9421 830
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 7541 6511 5481 3421 2451 1841 1161 1371 212
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
    1 2791 3111 4271 8752 0542 2512 3672 4032 639
    2015 2020 - - - - - - -
    3 0433 101-------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[115] puis Insee Ă  partir de 2006[116].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    Le patrimoine Ă©conomique de la commune regroupe huit siĂšges d’exploitations agricoles dont six pratiquent l’élevage. La cynĂ©gĂ©tique et la sylviculture sont des activitĂ©s connexes dans la partie solognote de la commune ; une dizaine d’entreprises commerciales ; une quarantaine d’artisans et de petites et moyennes entreprises.

    Une zone d'activitĂ© de sept hectares dont l’amĂ©nagement a Ă©tĂ© terminĂ© en 2001 est entiĂšrement occupĂ©e. La zone d’activitĂ© de la communautĂ© de communes du Val d'Ardoux la complĂšte.

    La commune étant classée zone de développement prioritaire, les nouvelles entreprises qui s'y installent bénéficient allÚgements fiscaux.

    Par ailleurs, dans le cadre d’une « opĂ©ration de redynamisation de l'artisanat et du commerce » (ORAC) du syndicat mixte du pays Loire Beauce, certains artisans et commerçants peuvent bĂ©nĂ©ficier d’aides pour rĂ©nover et mettre aux normes leur outil professionnel.

    Culture locale et patrimoine

    Église Saint-Sulpice

    L’église Saint-Sulpice est de style roman. Elle reposerait sur des fondations anciennes (le pape Innocent II l’ayant citĂ©e en 1139). La nef centrale, le bas-cĂŽtĂ© sud ainsi que le clocher Ă  contreforts ont Ă©tĂ© reconstruits au dĂ©but du XVIe siĂšcle, le bas-cĂŽtĂ© nord en 1828 et le chƓur vers 1841, tout comme le presbytĂšre attenant, aujourd’hui propriĂ©tĂ© privĂ©e.

    Les cloches, dont une de 750 kilos, ont été fondues sur place par la maison « Bollée ». Les boiseries de la chapelle dite de « Semaine », proviennent du chùteau de Pully.

    Les vitraux portant des armoiries ont été offerts par des chùtelains locaux. Trois vitraux des ateliers Lorin de Chartres sont signés et figurent à l'Inventaire général du patrimoine culturel : sainte Cécile (1882), saint-Vincent (1913) et saint Joseph[117] - [118] - [119].

    Le Chemin de Croix et plusieurs piÚces du mobilier sont répertoriés dans la base Palissy.

    • L'Ă©glise Saint-Sulpice
    • La façade sud de l'Ă©glise.
      La façade sud de l'église.
    • Saint Sulpice.
      Saint Sulpice.
    • Sainte CĂ©cile, d'aprĂšs RaphaĂ«l (1882).
      Sainte Cécile, d'aprÚs Raphaël (1882).
    • Saint Vincent (1913).
      Saint Vincent (1913).
    • Saint Joseph.
      Saint Joseph.

    Autres lieux et monuments

    Les chĂąteaux

    • Fonpertuis : construit au XVe siĂšcle par Constant II, seigneur de Lailly, Charles le bon, sire d’Armagnac y est nĂ©, Jean François de Maupassant, chevalier de Saint Louis y est dĂ©cĂ©dĂ©. Devenu propriĂ©tĂ© de Guy Émeric Anne de Durfort-Civrac (1767-1837), duc de Lorges, il a Ă©tĂ© vendu en 1956 au Fonds Humanitaire Polonais et amĂ©nagĂ© en maison de retraite[122]
    • Les GaschetiĂšres : style Louis XIII, dĂ©but XVIIIe siĂšcle, demeure en briques de Sologne, entourĂ©e de douves. Construit en 1753 sur un ancien rendez-vous de chasse de François Ier[123]
    • Les Bordes : construit en 1800 par Vincent Gaillard, crĂ©ateur des « Messageries Gaillard-Lebrun ». Son gendre EugĂšne Sue, s’y rĂ©fugia de 1843 Ă  1849. Le chĂąteau est acquis en 1977 par Marcel Bich qui le fera dĂ©molir en 1979 pour transformer le domaine en golf international ouvert depuis 1987[124]
    • Pully : de l'ancien chĂąteau construit en 1763, il ne reste que les communs[125] ; la clĂŽture et la grille sont inscrits Ă  l'inventaire des Monuments historiques[126].
    • Le monument aux morts.
      Le monument aux morts.
    • ChĂąteau de Fonpertuis.
      ChĂąteau de Fonpertuis.

    Patrimoine culturel

    L’espace international de sculptures et beaux-arts Ă©tait une galerie privĂ©e ouverte le et qui a Ă©tĂ© clos en dĂ©cembre 2005.

    Personnalités liées à la commune

    • Étienne Bonnot de Condillac (1715-1780), philosophe, Ă©crivain et acadĂ©micien français y mourut et y est enterrĂ© ;
    • EugĂšne Sue (1804-1857), Ă©crivain français, rĂ©sida au chĂąteau des Bordes[127]. Il y Ă©crivit « Les mystĂšres de Paris », « Le juif errant », « Martin l’enfant trouvĂ© » et «Les sept pĂ©chĂ©s capitaux » ;
    • Marcel Bich (1914-1994), industriel italo-français, racheta le chĂąteau des Bordes en 1977 ;
    • Yoland Cazenove (1914-2009), cĂ©ramiste, y est enterrĂ©[128].
    • Vicente Uribe (1902-1961), ancien ministre espagnol de la Seconde RĂ©publique. Il y sĂ©journa en , avant son dĂ©part pour le Mexique.

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. La superficie publiĂ©e par l’Insee est la superficie Ă©valuĂ©e en 1975 par le service du cadastre de la Direction GĂ©nĂ©rale des ImpĂŽts, corrigĂ©e des modifications communales intervenues depuis 1975. Elle comprend toutes les surfaces du domaine public et privĂ©, cadastrĂ©es ou non cadastrĂ©es, Ă  l'exception des lacs, Ă©tangs et glaciers de plus d'un kilomĂštre carrĂ© ainsi que des estuaires et ne correspond pas obligatoirement Ă  la surface gĂ©ographique[14] - [15]
    2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    4. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    5. Une route est dite Ă  faible trafic lorsqu'elle supporte un trafic infĂ©rieur Ă  1 500 vĂ©hicules/jour.
    6. Le pĂ©rimĂštre de sĂ»retĂ© des centrales nuclĂ©aires ayant Ă©tĂ© portĂ© au niveau national de 10 Ă  20 km en 2018, le calendrier national prĂ©voit une distribution d’iode aux populations du rayon 10 Ă  20 km, qui n'en avaient jusqu'Ă  prĂ©sent pas Ă©tĂ© destinataires, Ă  partir de septembre 2019[55].
    7. Les déchets ménagers résiduels comprennent les déchets obtenus aprÚs extraction des autres fractions, valorisables, de déchets.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution comparĂ©e de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ).

    Inventaire national du patrimoine naturel

    Site de la Direction régionale de l'environnement, de l'aménagement et du logement Centre-Val de Loire

    Autres sources

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    3. Gentilés des communes du Loiret
    4. « Zonage en petites régions agricoles », sur http://agreste.agriculture.gouv.fr/ (consulté le ).
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    6. « Orthodromie entre "Lailly-en-Val" et "Orléans », sur le site lion1906 de Lionel Delvarre (consulté le ).
    7. « Villes les plus proches de Lailly-en-Val », sur le site lion1906 de Lionel Delvarre (consulté le ).
    8. « Histoire gĂ©ologique du Bassin parisien », sur le site du SystĂšme d’information pour la gestion des eaux souterraines en Seine-Normandie (consultĂ© le ).
    9. « Carte géologique de Lailly-en-Val » sur Géoportail (consulté le 30 mai 2022).
    10. « CaractĂ©ristiques gĂ©ologiques et hydrogĂ©ologiques de la commune de Lailly-en-Val », sur le SystĂšme d’information pour la gestion des eaux souterraines (SIGES) en Occitanie (consultĂ© le )
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    12. « Notice associée à la feuille n°429 - Bracieux de la carte géologique harmonisée au 1/50 000Úme de la France métropolitaine », sur Infoterre, le site du BRGM (consulté le )
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    22. « Cartographie des zones naturelles protégées sur Lailly-en-Val », sur l'application cartographique du MinistÚre de l'écologie, du développement et de l'aménagement durables (consulté le ).
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    Pour approfondir

    Ouvrages

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    • Collectif, Loiret : un dĂ©partement Ă  l'Ă©lĂ©gance naturelle, Paris, Christine Bonneton, , 319 p. (ISBN 978-2-86253-234-9)
    • AbbĂ© Patron, DĂ©partement du Loiret : Dictionnaire des communes, Paris, ComĂ©dit, 1991, rĂ©Ă©dition de 1870, 511 p. (ISBN 978-2-909112-01-5 et 2-909112-01-2)
    • Claude Motte, Isabelle SĂ©guy & Christine ThĂ©rĂ©, avec la collaboration de Dominique Tixier-Basse, Communes d’hier, communes d’aujourd’hui : Les communes de la France mĂ©tropolitaine, 1801-2001. Dictionnaire d’histoire administrative, Paris, Institut National d’Études DĂ©mographiques, , 408 p. (ISBN 978-2-7332-1028-4, lire en ligne)

    Rapports

    • Plan de prĂ©vention des risques d'inondations dans le Val d'Ardoux : Rapport de prĂ©sentation, (lire en ligne) - RĂšglement - Carte du zonage rĂ©glementaire de Lailly-en-Val.

    Articles connexes

    Liens externes

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