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Ligny-le-Ribault

Ligny-le-Ribault est une commune française située dans le département du Loiret en région Centre-Val de Loire.

Ligny-le-Ribault
Ligny-le-Ribault
Église Saint-Martin.
Blason de Ligny-le-Ribault
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Centre-Val de Loire
DĂ©partement Loiret
Arrondissement Orléans
Intercommunalité Communauté de communes des Portes de Sologne
Maire
Mandat
Anne Durand-Gaborit
2020-2026
Code postal 45240
Code commune 45182
DĂ©mographie
Gentilé Lignois
Population
municipale
1 238 hab. (2020 en diminution de 3,36 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 21 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 47° 41â€Č 09″ nord, 1° 46â€Č 58″ est
Altitude Min. 84 m
Max. 117 m
Superficie 59,21 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Orléans
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de La Ferté-Saint-Aubin
LĂ©gislatives TroisiĂšme circonscription
Localisation
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Ligny-le-Ribault
Liens
Site web www.lignyleribault.fr

    GĂ©ographie

    Localisation

    Carte de la commune de Ligny-le-Ribault et des communes limitrophes.

    La commune de Ligny-le-Ribault se trouve dans le quadrant sud-ouest du dĂ©partement du Loiret en limite du dĂ©partement de Loir-et-Cher, dans la rĂ©gion agricole de la Sologne[1] et l'aire urbaine d'OrlĂ©ans[2]. À vol d'oiseau, elle se situe Ă  26,2 km d'OrlĂ©ans[3], prĂ©fecture du dĂ©partement, et Ă  12,5 km de La FertĂ©-Saint-Aubin, ancien chef-lieu du canton dont dĂ©pendait la commune avant . La commune fait partie du bassin de vie de La FertĂ©-Saint-Aubin[2].

    Les communes les plus proches sont : Villeny (km, en Loir-et-Cher), Jouy-le-Potier (7,4 km), Yvoy-le-Marron (7,9 km, en Loir-et-Cher), La FertĂ©-Saint-Cyr (8,7 km, en Loir-et-Cher), La Marolle-en-Sologne (11 km, en Loir-et-Cher), Lailly-en-Val (11,8 km), Chaumont-sur-Tharonne (12,2 km, en Loir-et-Cher), La FertĂ©-Saint-Aubin (12,5 km), Ardon (12,6 km) et Saint-Laurent-Nouan (13,1 km)[4].

    GĂ©ologie

    La commune se situe dans le sud du Bassin parisien, le plus grand des trois bassins sĂ©dimentaires français. Cette vaste dĂ©pression, occupĂ©e dans le passĂ© par des mers peu profondes et des lacs, a Ă©tĂ© comblĂ©e, au fur et Ă  mesure que son socle s’affaissait, par des sables et des argiles, issus de l’érosion des reliefs alentours, ainsi que des calcaires d’origine biologique, formant ainsi une succession de couches gĂ©ologiques[5].

    Les couches affleurantes sur le territoire communal sont constituĂ©es de formations superficielles du Quaternaire et de roches sĂ©dimentaires datant du CĂ©nozoĂŻque, l'Ăšre gĂ©ologique la plus rĂ©cente sur l'Ă©chelle des temps gĂ©ologiques, dĂ©butant il y a 66 millions d'annĂ©es. La formation la plus ancienne est des sables et argiles de Sologne remontant Ă  l’époque MiocĂšne de la pĂ©riode NĂ©ogĂšne. La formation la plus rĂ©cente est des alluvions rĂ©centes des lits mineurs remontant Ă  l’époque HolocĂšne de la pĂ©riode Quaternaire. Le descriptif de ces couches est dĂ©taillĂ© dans les feuilles « n°397 - Beaugency » et « n°398 - La FertĂ©-Saint-Aubin » de la carte gĂ©ologique au 1/50 000Ăšme du dĂ©partement du Loiret[6] - [7] et leurs notices associĂ©es[8] - [9].

    Carte géologique de la commune.
    Ère PĂ©riode Époque Formations gĂ©ologiques
    CĂ©nozoĂŻque
    (0 - 66.0)
    Quaternaire
    (0 - 2.58)
    HolocĂšne
    Fz :alluvions récentes des lits mineurs, HolocÚne
    FC :alluvions et colluvions du fond des vallées secondaires, HolocÚne
    Fy-z :alluvions récentes de basse terrasse, HolocÚne
    FybS :alluvions de basse terrasse de Sologne, PléistocÚne (Wurm), terrasse +5 m
    FyaS :alluvions de basse terrasse de Sologne, PléistocÚne (Wurm), terrasse +8 m
    FxS :alluvions de moyenne terrasse de Sologne, PléistocÚne (Mindel), terrasse +10 m
    Fvb :alluvions de haute terrasse, PléistocÚne (Mindel), terrasse +20 m
    PléistocÚne non présent
    NĂ©ogĂšne
    (2.58 - 23.03)
    PliocÚne non présent
    MiocĂšne
    m3-p1SASo :sables et argiles de Sologne, Langhien supérieur à PliocÚne inférieur
    PaléogÚne
    (23.03 - 66.0)
    OligocÚne non présent
    ÉocĂšne non prĂ©sent
    PaléocÚne non présent

    Relief

    La superficie cadastrale de la commune publiĂ©e par l’Insee, qui sert de rĂ©fĂ©rences dans toutes les statistiques, est de 59,21 km2[10] - [Note 1]. La superficie gĂ©ographique, issue de la BD Topo, composante du RĂ©fĂ©rentiel Ă  grande Ă©chelle produit par l'IGN, est quant Ă  elle de 58,81 km2[7]. Son relief est relativement plat puisque la dĂ©nivelĂ©e maximale atteint 33 mĂštres. L'altitude du territoire varie entre 84 m et 117 m[13].

    Hydrographie

    Elle est limitrophe et est traversée par le Cosson et la Canne, un affluent important du Cosson dont il reçoit les eaux en amont et à l'est de Ligny-le-Ribault.

    Histoire

    Une gare des tramways de Sologne se situait dans la commune. La dĂ©cision de construction de la ligne a Ă©tĂ© prise le . Elle est dĂ©clarĂ©e d’utilitĂ© publique par le dĂ©cret du et sera ouverte le . En 1917, le train partait Ă  7 h 15 d’OrlĂ©ans pour arriver Ă  Ligny Ă  9 h 21, soit prĂšs de 2 heures. Par la suite, le train ne mettra plus qu’une heure. La ligne sera fermĂ©e en 1935. À OrlĂ©ans, les trains partaient soit du Moulin de la Madeleine soit de Saint-Marceau puis desservaient les gares de Saint-Hilaire, Mareau-aux-PrĂ©s, Saint-Fiacre, ClĂ©ry-Saint-AndrĂ©, Jouy-le-Potier, Ligny-le-Ribault. À partir de 1906, une extension permettait d'aller Ă  Villeny, La Marolle-en-Sologne, Neung-sur-Beuvron et Romorantin, le terminus.

    Toponymie

    Ligny serait propriĂ©tĂ© de l'abbaye Saint-Mesmin de Micy en 508, tandis que font Ă©tat d'un Litiniacense en 836, Liminiacus en 938, Latinacius en 1022, Litiniacus au XIe siĂšcle. Au XIVe siĂšcle apparaĂźt le nom de Lognaco Ribaldi et c'est donc Ă  partir de 1369 ou 1370 que Ligny est reconnu sous ce nom. On relĂšve ensuite, dans un acte notariĂ© de 1486 la dĂ©nomination Ligny-le-Ribaud et ce n'est qu'en 1552 que l'orthographe actuelle de Ribault est notĂ©e, mais mĂȘme le nom de Ribault est contestĂ©. Ribaud pour les uns, Ribault pour les autres, l'origine est la mĂȘme selon l'orthographe retenue.

    HĂ©raldique

    Blason de Ligny-le-Ribault

    Les armes de Ligny-le-Ribault se blasonnent ainsi :

    De sinople Ă  la barre cousue de gueules chargĂ©e d'une barre d'argent surchargĂ©e de l'inscription LIGNY-LE-RIBAULT en lettres capitales de sable, accompagnĂ©e, en chef, d'un ensemble de deux giroles et d'un cerf et, en pointe, d'une bonde d'Ă©tang et d'un Ă©pi de seigle en barre, le tout d'or rangĂ© en deux barres, au chef cousu aussi de gueules chargĂ© de deux lettres L et R capitales en Ă©criture ronde aussi d'argent accostĂ©es de deux petits rameaux de chĂȘne feuillĂ©s de quatre piĂšces du mĂȘme posĂ©s en bande[14].

    Urbanisme

    Typologie

    Ligny-le-Ribault est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2] - [15] - [16] - [17].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'OrlĂ©ans, dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 136 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de 200 000 Ă  moins de 700 000 habitants[18] - [19].

    Occupation des sols

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des forĂȘts et milieux semi-naturels (77,2 % en 2018), en augmentation par rapport Ă  1990 (74,4 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : forĂȘts (77,2 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (13,6 %), terres arables (5,9 %), prairies (1,8 %), zones urbanisĂ©es (1,5 %)[20].

    L'Ă©volution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut ĂȘtre observĂ©e sur les diffĂ©rentes reprĂ©sentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et les cartes ou photos aĂ©riennes de l'IGN pour la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[Carte 1].

    • Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
      Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
    • Carte orthophotographique de la commune en 2016.
      Carte orthophotographique de la commune en 2016.

    Planification

    Le conseil municipal prescrit l'Ă©laboration d'un plan local d'urbanisme le , en remplacement du plan d'occupation des sols qui avait Ă©tĂ© Ă©laborĂ© en 1988 puis rĂ©visĂ© en 1996, en application de la loi relative Ă  la solidaritĂ© et au renouvellement urbains, dite loi SRU. AprĂšs l'enquĂȘte publique qui s'est dĂ©roulĂ©e du au , le document est approuvĂ© le . Une demande de modification est ensuite instruite et approuvĂ©e en [21] - [22].

    Documents d'orientations intercommunaux

    La commune est membre du Pays Sologne Val-sud, qui regroupe 29 des communes de la Sologne du Loiret. Ce pays impose un certain nombre de contraintes, que les documents d’urbanisme doivent respecter en Ă©tant compatibles avec les documents d’orientations du Pays. Le pays a notamment Ă©laborĂ© une charte architecturale et paysagĂšre en 2005[23].

    En 2012, les Pays ForĂȘt d'OrlĂ©ans Val de Loire, Loire Beauce et Sologne Val Sud sont les seuls territoires du dĂ©partement du Loiret ne disposant pas de schĂ©ma de cohĂ©rence territoriale (SCoT). Compte tenu de l'intĂ©rĂȘt de cet outil pour l'avenir des territoires, les Ă©lus de ces pays dĂ©cident d'engager une dĂ©marche d'Ă©laboration de SCOT. Le comitĂ© syndical du Pays Sologne Val Sud se prononce majoritairement en pour prendre la compĂ©tence SCoT dans ses statuts. Les quatre communautĂ©s de communes qui composent le Pays dĂ©libĂšrent en avril et pour confier "l'Ă©laboration, la gestion et le suivi du SCoT" au Pays Sologne Val Sud[24]. Les compĂ©tences sont modifiĂ©es en ce sens en [25], le pĂ©rimĂštre du SCOT est arrĂȘtĂ© par le prĂ©fet le . AprĂšs Ă©tude et concertation de 2014 Ă  2017, le document doit ĂȘtre approuvĂ© en 2018[26].

    Voies de communication et transports

    RĂ©seau routier principal de la commune de Ligny-le-Ribault (avec indication du trafic routier 2014).

    Infrastructures routiĂšres

    Le rĂ©seau structurant de la commune est composĂ© de trois routes dĂ©partementales : les RD 15, 19 et 61. La RD 15 relie Olivet Ă  Ligny-le-Ribault et supporte en 2014 un trafic de 2 568 vĂ©hicules/jour au nord du bourg et de 1 138 vĂ©hicules/jour au sud[27]. Les deux autres routes dĂ©partementales sont Ă  faible trafic[Note 4] : la RD 19 (583 vĂ©hicules/jour au nord et 583 vĂ©hicules/jour au sud), qui relie Beaugency Ă  Ligny-le-Ribault[27] et la RD 61 (917 vĂ©hicules/jour Ă  l'est et 1 242 Ă  l'ouest), qui relie La FertĂ©-Saint-Aubin Ă  Ligny-le-Ribault[27].

    Transports en commun

    En 2016, la commune est desservie par la ligne 19 du rĂ©seau Ulys, le rĂ©seau interurbain de transport par autocar du Conseil dĂ©partemental du Loiret. Cette ligne, qui relie Cravant Ă  OrlĂ©ans, propose un nombre de dessertes variable en fonction des jours ouvrables de la semaine[28]. Des correspondances SNCF sont assurĂ©es Ă  la gare d'OrlĂ©ans et TAO et Transbeauce Ă  la Gare routiĂšre d'OrlĂ©ans. À compter du , la compĂ©tence des services de transports routiers interurbains, rĂ©guliers et Ă  la demande est transfĂ©rĂ©e des dĂ©partements aux rĂ©gions, et donc localement du dĂ©partement du Loiret Ă  la rĂ©gion Centre-Val de Loire, consĂ©cutivement Ă  la loi NOTRe du [29].

    Risques majeurs

    La commune de Ligny-le-Ribault est vulnĂ©rable Ă  diffĂ©rents alĂ©as naturels : climatiques (hiver exceptionnel ou canicule), mouvements de terrains ou sismique (sismicitĂ© trĂšs faible). Elle est Ă©galement exposĂ©e Ă  un risque technologique : le risque nuclĂ©aire[30]. Entre 1989 et 2019, huit arrĂȘtĂ©s ministĂ©riels ayant portĂ© reconnaissance de catastrophe naturelle ont Ă©tĂ© pris pour le territoire de la commune : trois pour des inondations et coulĂ©es de boues et cinq pour des mouvements de terrains[31].

    Risques naturels

    Le territoire de la commune peut ĂȘtre concernĂ© par un risque d'effondrement de cavitĂ©s souterraines non connues. Une cartographie dĂ©partementale de l'inventaire des cavitĂ©s souterraines et des dĂ©sordres de surface a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ©e. Il a Ă©tĂ© recensĂ© sur la commune plusieurs effondrements de cavitĂ©s[32].

    Par ailleurs, le sol du territoire communal peut faire l'objet de mouvements de terrain liés à la sécheresse. Le phénomÚne de retrait-gonflement des argiles est la conséquence d'un changement d'humidité des sols argileux. Les argiles sont capables de fixer l'eau disponible mais aussi de la perdre en se rétractant en cas de sécheresse[33]. Ce phénomÚne peut provoquer des dégùts trÚs importants sur les constructions (fissures, déformations des ouvertures) pouvant rendre inhabitables certains locaux. Celui-ci a particuliÚrement affecté le Loiret aprÚs la canicule de l'été 2003. Une grande partie du territoire de la commune, dont le bourg, est soumise à un aléa « moyen » face à ce risque, selon l'échelle définie par le Bureau de recherches géologiques et miniÚres (BRGM)[34].

    Depuis le , la France dispose d’un nouveau zonage sismique divisant le territoire national en cinq zones de sismicitĂ© croissante [35]. La commune, Ă  l’instar de l’ensemble du dĂ©partement, est concernĂ©e par un risque trĂšs faible[31].

    Risques technologiques

    Dans le domaine des risques technologiques, une partie du territoire de la commune peut ĂȘtre concernĂ©e par le risque nuclĂ©aire. En cas d’accident grave, certaines installations nuclĂ©aires sont en effet susceptibles de rejeter dans l’atmosphĂšre de l’iode radioactif. Or la commune se situe partiellement Ă  l'intĂ©rieur du pĂ©rimĂštre de 20 km du Plan particulier d'intervention de la centrale nuclĂ©aire de Saint-Laurent-des-Eaux. À ce titre les habitants de la commune, comme tous ceux rĂ©sidant dans le pĂ©rimĂštre proche de 20 km de la centrale ont bĂ©nĂ©ficiĂ©, Ă  titre prĂ©ventif, d'une distribution de comprimĂ©s d’iode stable dont l’ingestion avant rejet radioactif permet de pallier les effets sur la thyroĂŻde d’une exposition Ă  de l’iode radioactif[Note 5]. En cas d'incident ou d'accident nuclĂ©aire, des consignes de confinement ou d'Ă©vacuation peuvent ĂȘtre donnĂ©es et les habitants peuvent ĂȘtre amenĂ©s Ă  ingĂ©rer, sur ordre du prĂ©fet, les comprimĂ©s en leur possession[37].

    Politique et administration

    Bloc communal : Commune et intercommunalités

    La paroisse de Ligny acquiert le statut de municipalitĂ© avec le dĂ©cret du de l'AssemblĂ©e Nationale[38] puis celui de « commune », au sens de l'administration territoriale actuelle, par le dĂ©cret de la Convention nationale du 10 brumaire an II ()[39]. Il faut toutefois attendre la loi du sur l'organisation municipale pour qu'un rĂ©gime juridique uniforme soit dĂ©fini pour toutes les communes de France, point de dĂ©part de l’affirmation progressive des communes face au pouvoir central[40].

    La commune apparaĂźt orthographiĂ©e Ligny-le-Ribault dans l'arrĂȘtĂ© de 1801. Aucun Ă©vĂ©nement de restructuration majeure du territoire, de type suppression, cession ou rĂ©ception de territoire, n'a affectĂ© la commune depuis sa crĂ©ation[41].

    La commune est membre de la communauté de communes du canton de La Ferté-Saint-Aubin depuis sa création le [42], qui devient communauté de communes des Portes de Sologne le [43].

    Circonscriptions de rattachement

    Sous l'Ancien RĂ©gime, Ă  la veille des États gĂ©nĂ©raux de 1789, la paroisse de Ligny Ă©tait rattachĂ©e sur le plan ecclĂ©siastique au diocĂšse d'OrlĂ©ans, sur le plan judiciaire au bailliage d'OrlĂ©ans, sur le plan militaire au gouvernement d'OrlĂ©ans et sur le plan administratif Ă  la gĂ©nĂ©ralitĂ© d'OrlĂ©ans[44].

    La loi du divise le pays en 83 dĂ©partements dĂ©coupĂ©s chacun en six Ă  neuf districts eux-mĂȘmes dĂ©coupĂ©s en cantons regroupant des communes. Les districts, tout comme les dĂ©partements, sont le siĂšge d’une administration d’État et constituent Ă  ce titre des circonscriptions administratives. La commune de Ligny-le-Ribault est alors incluse dans le canton de Lailli, le district de Beaugency et le dĂ©partement du Loiret[45].

    La recherche d’un Ă©quilibre entre la volontĂ© d’organiser une administration dont les cadres permettent l’exĂ©cution et le contrĂŽle des lois d’une part, et la volontĂ© d’accorder une certaine autonomie aux collectivitĂ©s de base (paroisses, bourgs, villes) d’autre part, s’étale de 1789 Ă  1838[46]. Les dĂ©coupages territoriaux Ă©voluent ensuite au grĂ© des rĂ©formes visant Ă  dĂ©centraliser ou recentraliser l'action de l'État. La rĂ©gionalisation fonctionnelle des services de l'État (1945-1971) aboutit Ă  la crĂ©ation de rĂ©gions[47]. L'acte I de la dĂ©centralisation de 1982-1983 constitue une Ă©tape importante en donnant l'autonomie aux collectivitĂ©s territoriales, rĂ©gions, dĂ©partements et communes[48]. L'acte II intervient en 2003-2006[49], puis l'acte III en 2012-2015.

    Le tableau suivant présente les rattachements, au niveau infra-départemental, de la commune de Ligny-le-Ribault aux différentes circonscriptions administratives et électorales ainsi que l'historique de l'évolution de leurs territoires.

    Circonscription Nom PĂ©riode Type Évolution du dĂ©coupage territorial
    DistrictBeaugency1790-1795AdministrativeLa commune est rattachée au district de Beaugency de 1790 à 1795[41] - [45]. La Constitution du 5 fructidor an III, appliquée à partir de vendémiaire an IV (1795) supprime les districts, rouages administratifs liés à la Terreur, mais maintient les cantons qui acquiÚrent dÚs lors plus d'importance[50].
    CantonLailli1790-1801Administrative et électoraleLe , la municipalité de Ligny-le-Ribault est rattachée au canton de Lailli[51]. Les cantons acquiÚrent une fonction administrative avec la disparition des districts en 1795.
    La FertĂ©-Saint-Aubin1801-2015Sous le Consulat, un redĂ©coupage territorial visant Ă  rĂ©duire le nombre de justices de paix ramĂšne le nombre de cantons dans le Loiret de 59 Ă  31[52]. Ligny-le-Ribault est alors rattachĂ©e par arrĂȘtĂ© du 9 vendĂ©miaire an X () au canton de La-FertĂ©-Saint-Aubin[53] - [41].
    La FertĂ©-Saint-Aubin2015-ÉlectoraleLa loi du [54] et ses dĂ©crets d'application publiĂ©s en fĂ©vrier et [55] introduisent un nouveau dĂ©coupage territorial pour les Ă©lections dĂ©partementales. La commune est alors rattachĂ©e au nouveau canton de La FertĂ©-Saint-Aubin[55]. Depuis cette rĂ©forme, plus aucun service de l'État n'exerce sa compĂ©tence sur un territoire s'appuyant sur le nouveau dĂ©coupage cantonal. Le canton a disparu en tant que circonscription administrative de l'État ; il est dĂ©sormais uniquement une circonscription Ă©lectorale dĂ©diĂ©e Ă  l'Ă©lection d'un binĂŽme de conseillers dĂ©partementaux siĂ©geant au conseil dĂ©partemental[56].
    ArrondissementOrléans1801-AdministrativeLigny-le-Ribault est rattachée à l'arrondissement d'Orléans depuis sa création en 1801[41] - [53].
    Circonscription lĂ©gislative3e circonscription2010-ÉlectoraleLors du dĂ©coupage lĂ©gislatif de 1986, le nombre de circonscriptions lĂ©gislatives passe dans le Loiret de 4 Ă  5. Un nouveau redĂ©coupage intervient en 2010 avec la loi du . En attribuant un siĂšge de dĂ©putĂ© « par tranche » de 125 000 habitants, le nombre de circonscriptions par dĂ©partement varie dĂ©sormais de 1 Ă  21[57] - [58]. Dans le Loiret, le nombre de circonscriptions passe de cinq Ă  six[59]. Ligny-le-Ribault, initialement rattachĂ©e Ă  la premiĂšre circonscription, est, aprĂšs 2010, rattachĂ©e Ă  la troisiĂšme circonscription[60].

    Collectivités de rattachement

    La commune de Ligny-le-Ribault est rattachĂ©e au dĂ©partement du Loiret et Ă  la rĂ©gion Centre-Val de Loire[61], Ă  la fois circonscriptions administratives de l'État et collectivitĂ©s territoriales.

    Conseil municipal et maire

    Depuis les Ă©lections municipales de 2014, le conseil municipal de Ligny-le-Ribault, commune de plus de 1 000 habitants, est Ă©lu au scrutin proportionnel de liste Ă  deux tours (sans aucune modification possible de la liste)[62], pour un mandat de six ans renouvelable[63]. Il est composĂ© de 15 membres [64]. L'exĂ©cutif communal, est constituĂ© par le maire, Ă©lu par le conseil municipal, parmi ses membres, pour un mandat de six ans, c'est-Ă -dire pour la durĂ©e du mandat du conseil.

    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    1800 1816 Charles Pierre Longuet
    1816 1826 Nicolas de Clinchamp Propriétaire à Vieux-Maisons
    1826 1830 Auguste de Lange Propriétaire à La Cantée
    1830 1830 Louis Pobity
    1831 1834 Étienne François Cleyette
    1834 1836 Isidore Huet
    1836 1838 Ernest du Pré de Saint Maur Propriétaire à Bon-HÎtel
    1838 1847 Étienne François Cleyette
    1847 1856 Édouard du Faur de Pibrac PropriĂ©taire Ă  La Cour
    1856 1878 Ernest du PrĂ© de Saint Maur[65] Auditeur au Conseil d'État
    Propriétaire à Bon-HÎtel
    Conseiller général du canton de La Ferté-Saint-Aubin
    1878 1902 Georges du Pré de Saint Maur Propriétaire à Bon-HÎtel
    Conseiller général du canton de La Ferté-Saint-Aubin
    1902 1903 Arthur du Pré de Saint Maur Propriétaire à Bon-HÎtel
    1903 1918 Alexandre André Propriétaire à La Frogerie
    1919 1941 Jacques André Propriétaire à La Frogerie
    1941 1941Identité=Léon Cailleteau
    1942 1945 Médéric de Vasselot de Régné Propriétaire à La Cour
    1945 1953 Georges Ubald Bocquet Propriétaire à La Frogerie
    1953 1964 Olivier Pajon
    1964 (25.9) 1964 (6.10) Denyse Durant des Aulnois
    1964 1977 Jean Bracquemont
    1977 2008 Gilles Durant des Aulnois RPR puis UMP Notaire honoraire
    2008 2014 Gilles Landré de la Saugerie UMP Colonel de l'armée française
    2014 En cours Anne Durand-Gaborit DVD ConseillÚre départementale

    Équipements et services

    Gestion des déchets

    En 2016, la commune est membre du syndicat mixte intercommunal pour le ramassage et le traitement des ordures mĂ©nagĂšres (SMIRTOM) de la rĂ©gion de Beaugency, crĂ©Ă© en 1971. Celui-ci assure la collecte et le traitement des ordures mĂ©nagĂšres rĂ©siduelles[Note 6] en porte Ă  porte, des emballages mĂ©nagers recyclables en porte Ă  porte ou en points d’apport volontaire, du verre en points d’apport volontaire et des papiers en points d’apport volontaire [66]. Un rĂ©seau de sept dĂ©chĂšteries, dont une est situĂ©e sur le territoire communal, accueille les encombrants et autres dĂ©chets spĂ©cifiques (dĂ©chets verts, dĂ©chets dangereux, gravats, ferraille, cartons
)[66]. L'Ă©limination et la valorisation Ă©nergĂ©tique des dĂ©chets est effectuĂ©e dans l'UIOM de Saran depuis 1996, exploitĂ©e par la sociĂ©tĂ© Orvade, filiale du groupe VĂ©olia, par dĂ©lĂ©gation de service de la communautĂ© urbaine OrlĂ©ans-MĂ©tropole[67].

    La loi NOTRe du rend obligatoire l’exercice de la compĂ©tence « gestion des dĂ©chets mĂ©nagers » pour les communautĂ©s de communes Ă  partir du [68], qui ne fait donc dĂ©sormais plus partie des compĂ©tences de la commune mais de celle de la communautĂ© de communes des Portes de Sologne. Dans ce cadre, le prĂ©fet du Loiret indique dans un courrier du aux prĂ©sidents des communautĂ©s de communes concernĂ©es que le SMIRTOM de la rĂ©gion de Beaugency sera dissout le [69].

    Production et distribution d'eau

    Le service public d’eau potable est une compĂ©tence obligatoire des communes depuis l’adoption de la loi du 30 dĂ©cembre 2006 sur l’eau et les milieux aquatiques[70]. Au , la production et la distribution de l'eau potable sur le territoire communal sont assurĂ©es par la commune elle-mĂȘme[71]. La loi NOTRe du 7 aoĂ»t 2015 prĂ©voit que le transfert des compĂ©tences « eau et assainissement » vers les communautĂ©s de communes sera obligatoire Ă  compter du . Le transfert d’une compĂ©tence entraĂźne de facto la mise Ă  disposition gratuite de plein droit des biens, Ă©quipements et services publics utilisĂ©s, Ă  la date du transfert, pour l'exercice de ces compĂ©tences et la substitution de la communautĂ© dans les droits et obligations des communes[72] - [73].

    Assainissement

    La compĂ©tence assainissement, qui recouvre obligatoirement la collecte, le transport et l’épuration des eaux usĂ©es, l’élimination des boues produites, ainsi que le contrĂŽle des raccordements aux rĂ©seaux publics de collecte[74], est assurĂ©e par la commune elle-mĂȘme[75]. La commune est raccordĂ©e Ă  une station d'Ă©puration situĂ©e sur le territoire communal, mise en service le et dont la capacitĂ© nominale de traitement est de 1 000 EH, soit 150 m3/jour. Cet Ă©quipement utilise un procĂ©dĂ© d'Ă©puration biologique dit « Ă  boues activĂ©es ». Son exploitation est assurĂ©e par Ligny le Ribault[76] - [77].

    L’assainissement non collectif (ANC) dĂ©signe les installations individuelles de traitement des eaux domestiques qui ne sont pas desservies par un rĂ©seau public de collecte des eaux usĂ©es et qui doivent en consĂ©quence traiter elles-mĂȘmes leurs eaux usĂ©es avant de les rejeter dans le milieu naturel[78]. En 2017, la communautĂ© de communes des Portes de Sologne assure le service public d'assainissement non collectif (SPANC), qui a pour mission de vĂ©rifier la bonne exĂ©cution des travaux de rĂ©alisation et de rĂ©habilitation, ainsi que le bon fonctionnement et l’entretien des installations[79] - [80].

    Prix de l'eau

    Le « prix de l’eau » doit permettre de financer l’ensemble des investissements (mise en place de nouveaux ouvrages, mise aux normes du patrimoine existant, renouvellement du patrimoine, etc.) mais aussi les frais de fonctionnement du service (frais de personnel du service, Ă©lectricitĂ©, produits de traitement, renouvellement du matĂ©riel, analyses, Ă©limination des dĂ©chets, etc.)[81]. L'observatoire national des services d'eau et d'assainissement publie la description actualisĂ©e des services publics d'eau potable et d'assainissement, qu’il s’agisse de leur organisation, de leur tarif ou de leur performance[82]. Le prix au m3 est calculĂ© pour une consommation annuelle de 120 m3 (rĂ©fĂ©rence INSEE)[83].

    DomaineCommune201020112012201320142015
    Eau potableLigny-le-RibaultNC[84]NC[85]NC[86]3,00[87]1,72[88]1,78[89]
    Loiret1,76[90]1,7[91]1,66[92]1,69[93]
    France1,93[90]1,96[91]2[92]2,03[93]
    AssainissementLigny-le-RibaultNC[84]NC[85]NC[86]3,82[87]2,34[88]2,40[89]
    Loiret2,07[90]2,19[91]2,25[92]2,38[93]
    France1,73[90]1,82[91]1,85[92]1,89[93]

    Population et société

    DĂ©mographie

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[94]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2006[95].

    En 2020, la commune comptait 1 238 habitants[Note 7], en diminution de 3,36 % par rapport Ă  2014 (Loiret : +1,88 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    780644670783738825788837839
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    8059391 0231 1901 2991 3661 4021 3501 358
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 2881 3791 4771 3481 3081 2121 1581 1661 138
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    1 0329398959601 0331 1211 2981 2901 243
    2020 - - - - - - - -
    1 238--------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[96] puis Insee Ă  partir de 2006[97].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Patrimoine

    Les chĂąteaux

    Autres

    • La tuilerie de la BretĂšche inscrite Ă  l'inventaire des Monuments historiques[103] ;
    • L'Ă©glise Saint-Martin[104] ;
    • L'Ă©comusĂ©e de l'association « ÉcomusĂ©e - Patrimoine de Ligny-le-Ribault » dont le but est la sauvegarde du patrimoine du village et de la Sologne[105] ;
    • La maison des expositions ;
    • Le lavoir communal[106].
    • La Maison du cerf, installĂ©e entre 1993 et 2005 Ă  Ligny, a Ă©tĂ© transfĂ©rĂ©e Ă  Villeny (Loir-et-Cher), Ă  km de Ligny[107].
    • Patrimoine
    • Le clocher de l'Ă©glise Saint-Martin
      Le clocher de l'Ă©glise Saint-Martin
    • Le chĂąteau de Bon-HĂŽtel
      Le chĂąteau de Bon-HĂŽtel
    • La tuilerie de la BretĂšche
      La tuilerie de la BretĂšche

    Économie

    Le village comporte l'une des rares briqueteries en fonction de Sologne, la tuilerie de la BretÚche. Elle conserve un vieux four à brique désaffecté datant de 1890. Le four et les séchoirs de la fin du XIXe siÚcle sont inscrits monument historique depuis le [108].

    Personnalités liées à la commune

    • RenĂ© Jamet (1889-1971), peintre français, nĂ© Ă  Ligny-le-Ribault et mort Ă  Cannes, a peint des tableaux reprĂ©sentant le village et ses alentours.
    • Pierre SĂ©gelle (1899-1960), ministre, y a exercĂ© la profession de mĂ©decin[109].

    Divers

    * Une des scÚnes de la série les Brigades du Tigre a été tournée prÚs du cimetiÚre du village. On peut y voir des impacts de balles sur le mur.

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. La superficie publiĂ©e par l’Insee est la superficie Ă©valuĂ©e en 1975 par le service du cadastre de la Direction GĂ©nĂ©rale des ImpĂŽts, corrigĂ©e des modifications communales intervenues depuis 1975. Elle comprend toutes les surfaces du domaine public et privĂ©, cadastrĂ©es ou non cadastrĂ©es, Ă  l'exception des lacs, Ă©tangs et glaciers de plus d'un kilomĂštre carrĂ© ainsi que des estuaires et ne correspond pas obligatoirement Ă  la surface gĂ©ographique[11] - [12]
    2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    4. Une route est dite Ă  faible trafic lorsqu'elle supporte un trafic infĂ©rieur Ă  1 500 vĂ©hicules/jour.
    5. Le pĂ©rimĂštre de sĂ»retĂ© des centrales nuclĂ©aires ayant Ă©tĂ© portĂ© au niveau national de 10 Ă  20 km en 2018, le calendrier national prĂ©voit une distribution d’iode aux populations du rayon 10 Ă  20 km, qui n'en avaient jusqu'Ă  prĂ©sent pas Ă©tĂ© destinataires, Ă  partir de septembre 2019[36].
    6. Les déchets ménagers résiduels comprennent les déchets obtenus aprÚs extraction des autres fractions, valorisables, de déchets.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    • Cartes
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    Références

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    108. « La briqueterie de la BretĂȘche », notice no PA45000005, base MĂ©rimĂ©e, ministĂšre français de la Culture.
    109. « Pierre Ségelle, de la médecine à la politique », Reflets du Loiret, septembre-octobre 2010, p. 25.
    110. Laurent Coursimault, « Cyclisme : Paris-Nice dans le Loiret ce lundi, tous les détails du parcours », sur www.larep.fr, (consulté le ).

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Louis Marie Prudhomme, Dictionnaire gĂ©ographique et mĂ©thodique de la RĂ©publique française en 120 dĂ©partements, volume 1, Paris, Louis Marie Prudhomme, , 673 p. (lire en ligne).
    • Camille Bloch, Cahiers de dolĂ©ances du bailliage d'OrlĂ©ans pour les États gĂ©nĂ©raux de 1789 - tome 1, OrlĂ©ans, MinistĂšre de l'Instruction publique, (lire en ligne)
    • Camille Bloch, Cahiers de dolĂ©ances du bailliage d'OrlĂ©ans pour les États gĂ©nĂ©raux de 1789 - tome 2, OrlĂ©ans, MinistĂšre de l'Instruction publique, (lire en ligne)
    • Collectif, Loiret : un dĂ©partement Ă  l'Ă©lĂ©gance naturelle, Paris, Christine Bonneton, , 319 p. (ISBN 978-2-86253-234-9)
    • AbbĂ© Patron, DĂ©partement du Loiret : Dictionnaire des communes, Paris, ComĂ©dit, 1991, rĂ©Ă©dition de 1870 (ISBN 978-2-909112-01-5 et 2-909112-01-2)
    • Claude Motte, Isabelle SĂ©guy & Christine ThĂ©rĂ©, avec la collaboration de Dominique Tixier-Basse, Communes d’hier, communes d’aujourd’hui : Les communes de la France mĂ©tropolitaine, 1801-2001. Dictionnaire d’histoire administrative, Paris, Institut National d’Études DĂ©mographiques,, , 408 p. (ISBN 978-2-7332-1028-4, lire en ligne)

    Articles connexes

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