Famille de Prelle de la Nieppe
La famille de Prelle de la Nieppe est une ancienne famille noble subsistante originaire du comté de Hainaut remontant à la première moitié du XVe siècle[2] - [3].
Famille de Prelle de la Nieppe | |
Armoiries | |
Blasonnement | Gironné de gueules et d'or de dix pièces, chaque giron de gueules chargé de trois croix recroisettées au pied fiché d’argent ; au chef d’argent chargé de trois étoiles à six rais de gueules. Heaume : d'argent, couronné, grillé, colleté et liseré d'or, fourré et attaché d'azur. Cimier : une aigle issante d’or. Lambrequins : d’or et de gueules. |
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Devise | « Raison partout. » |
Lignées | Maison d'Enghien, seigneurs d'Havré, branche des seigneurs de Presles. |
Période | XVe siècle-XXIe siècle |
Pays ou province d’origine | Comté de Hainaut |
Allégeance | Saint-Empire Royaume d'Espagne Royaume de France République française Empire français Royaume uni des Pays-Bas Royaume de Belgique |
Fiefs tenus | Seigneuries de la Nieppe, de Berlette, de Picquendale, d'Eugies, d'Hensies, d'Edequine et de Secquier. |
Demeures | Château de Fonteneau Château de Prelle Château Valduc |
Charges | Grands baillis du Châtelet, premier président de la Cour d'appel de Bruxelles, procureur général à la Cour d'appel de Bruxelles, premier avocat général à la Cour d'appel de Bruxelles, procureur impérial de Malines, vice-procureur du Roi à Nivelles. |
Fonctions militaires | Lieutenant-colonel de cuirassiers, capitaine-commandant d'artillerie, major au régiment d'élite |
Fonctions ecclésiastiques | Chanoinesse du noble chapitre de Denain |
Récompenses civiles | Commandeurs de l'ordre de Léopold, commandeur de l'ordre de la Couronne, officier de l'ordre de Léopold, officiers de l'ordre de la Couronne, officier de l'ordre de Léopold II, chevaliers de l'ordre de Léopold, chevalier de l'ordre de la Couronne, chevalier de l'ordre de Léopold II, chevalier de l'ordre royal du Lion, croix civiques de 1re classe, grand cordon de l'ordre du Double Dragon, chevalier de l'ordre de l'Épi d'or |
Récompenses militaires | Croix de guerre 1914-1918, croix de l'Yser, médaille de Sainte-Hélène, médaille de la Reconnaissance française |
Preuves de noblesse | |
Autres | Reconnaissance de noblesse le 1er janvier 1823[1]. |
Origine
Deux crayons généalogiques présents dans le fonds Goethals à la bibliothèque royale de Belgique font directement descendre cette famille de la famille d'Havré (olim Havrech), seigneurs de Presles[4] - [5], famille issue des 1ers seigneurs d'Enghien. Cette origine a été reportée par le généalogiste André Borel d'Hauterive en 1883 dans l'une de ses notices historiques sur les familles nobles de Belgique d'origine française[6]. Une généalogie en phase avec cette thèse a fait l'objet d'une publication dans les annales historiques de la commune de Farciennes en 1889[7].
Cette thèse est néanmoins écartée depuis la seconde moitié du XIXe siècle par les généalogistes ayant approfondi l'histoire de cette famille[N 1]. La plupart de ces derniers mentionnent que la famille de Prelle descend de la famille de Havré en ligne cognatique plutôt qu'en ligne agnatique.
Ces crayons généalogiques situent cette famille à ses origines à Arras dans l'Artois.
Origine démontrée
La famille de Prelle est issue de Lambert Compère (° av. 1415 - †av. 1492), maïeur de Gosselies et échevin de la cour de justice de Jumet en 1447, échevin de Jumet, Heigne et Roux en 1461[8] où il signa avec le magistrat une charte relative aux droits des bourgeois de ces communes[9] - [10] - [11] - [12] - [13] - [14] et de Marie de Havrech dite de Presles.
Selon un acte daté du 14 novembre 1430[15], Lambert Compère était veuf de N. de Ghillenghien dite des Weis[16]. Il se remaria ensuite avec Marie de Havrech, fille de Jehan de Havrech (° ca. 1380 - †av. 1446), seigneur de Presles[N 2] et de Gillette de Marbais[N 3] dite de Presles (†ap. 1467), petite-fille du côté paternel de : Gérard III d'Enghien, chevalier banneret, châtelain de Mons, seigneur d'Havré, Biévennes, etc. et de N… de Humières[17]. Du côté maternel, Marie de Havrech était la petite-fille de : Gérard Ier de Marbais, écuyer, seigneur de Loverval, de Baulers, de Prelle et de Villers-la-Potties, décédé le 4 janvier 1484, et de Laurence t'Serclaes[18] - [19], décédée le 10 octobre 1477 et inhumée dans l'église de Saint Paul à Nivelles, issue de 3 des sept familles formant les Lignages de Bruxelles (les t'Serroelofs, les Coudenberg et les Steenweeghs)[20], fille de Heer Everaert IV t'Serclaes, chevalier et de Catherine Taye[N 4], petite fille d'Éverard t'Serclaes, échevin de Bruxelles, le héros bruxellois, et de Béatrice van Eessene[21].
Cette famille déjà présente à Nivelles au XVe siècle, s'y fixa durablement à partir du XVIIe siècle. Deux de ses membres y sont toujours présents[22] - [23].
HĂ©raldique
Armes anciennes
Dès la fin du XVe[24] siècle et au moins jusqu'en 1688[N 5], cette famille portait : Écartelé ; au 1er, gironné de gueules et d'or de dix pièces, chaque giron de gueules chargé de trois croix recroisettées au pied fiché d’argent[N 6] ; au chef d’argent, chargé de trois étoiles à six rais du second ; au 2e, d'azur, au chevron d'argent, accompagné de trois trèfles du même[N 7] ; au 3e, d’or, à une hure de sanglier de sable[N 8] ; au 4e, d'argent, à la fasce de gueules, accompagnée en chef de trois merlettes du même[N 9].
Ces armes pouvaient se voir Ă Nivelles et dans ses environs[25], notamment :
- Sur une verrière d'une maison sur le Grand-Marché de Nivelles. Cette maison portait pour enseigne aux trois Pucelles[25] ;
- Sur une verrière de l'église Notre-Dame de Nivelles, cette verrière datée de 1545, représentait Notre Seigneur au temple entre les docteurs[25] ;
- En l'église Sainte-Gertrude, sur les volets d'un triptyque daté de 1557 et représentant l’Adoration des rois mages[N 10] ;
- En l'église des Récollets de Nivelles, sur le tombeau de François van der Hofstadt dit Tenremonde (†27 janvier 1545), seigneur de Bornival[N 11] ;
- En l'église des Pères Jésuites de Nivelles, sur une verrière datée de 1550 et qui représentait Notre Seigneur devant Pilate[N 12] ;
- En l'église d'Arquennes, sur un tableau représentant la vierge[N 13].
Armes modernes
À partir de 1699 au moins[N 14], seul le premier quartier de ces armes écartelées fut porté. Les armoiries se blasonnent ainsi : Gironné de gueules et d'or de dix pièces, chaque giron de gueules chargé de trois croix recroisettées au pied fiché d’argent ; au chef d’argent chargé de trois étoiles à six rais de gueules. Heaume : d'argent, couronné, grillé, colleté et liseré d'or, fourré et attaché d'azur[26]. Cimier : une aigle naissante d’or. Lambrequins : d’or et de gueules[N 15]. Ces armoiries figurent telles que décrites sur les diplômes de reconnaissance de noblesse octroyés en 1823 par Guillaume Ier des Pays-Bas.
Ces armes peuvent se voir actuellement entre autres :
- Sur un caveau familial au cimetière de Nivelles ;
- Sur une pierre tombale Ă Aiseau-Presles[N 16] ;
- Sur un vitrail de la chapelle du château de Waleffe Saint-Pierre datant de la fin du XVIIIe siècle[27] - [28] - [29] ;
- Sur un vitrail de la chapelle du château de la Forge, à Anthée datant du début du XVIIIe siècle[30] - [31] - [32] - [N 17] ;
- En l'église du chapitre noble de Denain, sur la pierre tombale de Jeanne de Prelle (° ca. 1507, †1603), fille de Jean Compère dit de Prelle et de Grégoirette de Somaing[30] - [33].
Filiation
XVe siècle - XVIIIe siècle
- Gérard Compère[34] (†1503), fils de Lambert Compère et de Marie d'Enghien-Havrech sus-cités, échevin de Feluy (1479-1487), Lieutenant-Maïeur de Feluy[35] (1481-), bailli de Feluy (1488-1503), maïeur de Bonne-Espérance à Feluy, bailly de Tiberchamps. Il épousa Isabeau des Camps[N 18] (†ap. 1532), fille d'Eustache des Camps, bailly de Feluy, et de Jehanne de Sirieux dite Canebustin[36], dont, entre autres :
- Eustache Compère dit de Prelle (†ca. 1530)[37], qualifié d'écuyer[38], seigneur d'Eugies[39], bailly de Saint-Aubert[38], concessionnaire des charbonnages de Fromeries[39]. Il épousa[37] Judith Chamart[N 19], fille de Baudouin Chamart, conseiller de l'archiduc, prévôt de La Longueville, homme de fief de Hainaut, et de Donche de la Vallée, dite de Mortaigne.
- Jean Compère dit de Prelle[40] - [N 20] (†ca. 1525), qualifié d'écuyer[41] - [42] - [43], seigneur d'Hensies[44], maïeur de Feluy[45], du Croquet et de l'Escaille. Il épousa Grégoirette de Somaing[N 21] - [N 22], fille de Jacques de Somaing, écuyer, et de Marguerite le Carlier dite de Carloe[N 23], dont, entre autres :
- Jean Compère dit de Prelle (†ca. 1580)[46] - [47] - [48], échevin de Feluy, bailly de Feluy, homme de fief de l'Escaille. Il épousa Suzanne de Bousies dite de Vertaing (†ca. 1582)[N 24], dont, entre autres :
- Jean de Prelle dit Compère (†1614)[44], homme de fief de la seigneurie de Feluy, échevin de Feluy. Il épousa Florence ou Jeanne del Court[N 25] - [49], dont :
- Jean de Prelle dit Compère (1585-1655), licencié en théologie de l'Université de Louvain, curé de Cordes (1615-1646), confesseur des Dames de l'abbaye noble de Ghislenghien (1646-1655). Il fonda une bourse d'études pour la théologie au collège du Pape à Louvain[50].
- Charles de Prelle dit Compère[N 26] (1558-1608), écuyer[N 27], gentilhomme à la suite de Charles de Gavre[N 28], bailly du marquisat d'Aiseau pour le même seigneur[51] - [52] - [53]. Il épousa Anne de Lannoy[5] - [N 29] fille de Jean de Lannoy et de Yolande[N 30] de Hembise[N 31] et sœur de Dom Jacques de Lannoy (1547-1593), abbé et restaurateur du Monastère d'Eename[N 32] et de Pierre de Lannoy, bailli d'Hellebecq.
- Antoine de Prelle dit Compère[N 33] (†1644), fils du précédent, écuyer, bailly du marquisat d'Aiseau. Il épousa Marguerite le Sire de Gougnies[N 34], fille de François le Sire, écuyer[N 35], seigneur de Gougnies et de Gerpinnes, capitaine d'infanterie au service de Sa Majesté et de Isabeau de Hoves[54] - [N 36], dame d'Audierbois[51] - [52] - [53] - [55], dont, entre autres :
- Emmanuel-François de Prelle dit Compère[N 33] (1629-1700), écuyer, licencié ès-lois, bailly de la terre et marquisat d'Aiseau, 1er juré de la ville de Nivelles[52] - [56] - [57]. Il épousa Bernardine Rauvoet[N 37] (1633-1695), fille de Jean Rauvoet et d'Élisabeth Bonbacque.
- Charles de Prelle dit Compère (1631-1698)[58], écuyer, seigneur des fiefs et nobles tenements de la Nieppe[N 38] - [59] - [60] - [61] et de Berlette[62] - [63], seigneur de Picquendale[64], capitaine d'une compagnie de cent cuirassiers au régiment du baron de Lumbre[65] au service de Sa Majesté Catholique ensuite, sergent-major d'un terce de cavalerie au service de Sa Majesté Catholique[66]. Il épousa Catherine-Thérèse de Coppehem, dame héritière de la Nieppe, de Berlette, de Picquendale et de Secquier, fille de Jean, écuyer, seigneur des fiefs précités, conseiller au conseil d'Artois, conseiller de Sa Majesté en son bailliage de Saint-Omer (premier office)[67], lieutenant particulier du bailliage de Saint-Omer et de Anne de Le Nef[N 39], dont, entre autres :
- Jean-Charles de Prelle dit Compère (1669-1740)[68], écuyer, seigneur des fiefs et nobles tenements de la Nieppe[N 40] - [N 41] et de Berlette[N 42], fiefs possédant justice foncière et vicomtière, seigneur d'Edequine[69] et de Secquier[70], juré de la ville de Nivelles[66]. Il épousa Bernardine-Jacqueline van der Beke[N 43], fille de Pierre van der Beke, écuyer, greffier de Sinnay et Belcele et de Jossine Rauvoet[N 44], petite-fille de Jacques-Philippe van der Beken, écuyer, seigneur de Sassinghien, lieutenant civil de la ville de Gand, ensuite haut-échevin du Pays de Waes[71], dont, entre autres :
- Charles-Siméon[N 45] de Prelle (1702-1738), écuyer, capitaine d'infanterie au régiment de Staremberg au service de Sa Majesté Impériale et Catholique Charles VI, tué sur le champ de bataille de Madia (ou Mehadia) au cours de la quatrième guerre austro-turque (1735-1739)[66].
- Hyacinthe[N 46] de Prelle (1711-1773)[72], écuyer, seigneur des fiefs vicomtiers de la Nieppe[N 47] et de Berlette[N 48], cadet dans la compagnie flamande de la garde du corps du Roi Philippe ensuite capitaine de cavalerie au service du Roi d'Espagne. Il épousa Marie-Josèphe Marcq[N 49], fille d'Adrien-Nicolas-Joseph Marcq, écuyer, licencié ès-lois, avocat au conseil souverain de Brabant, premier juré de la ville de Nivelles, administrateur des biens de l'abbaye d'Affligem, et de Marie-Catherine-Josèphe Sotteau[N 50].
- Jean-Charles de Prelle dit Compère (1669-1740)[68], écuyer, seigneur des fiefs et nobles tenements de la Nieppe[N 40] - [N 41] et de Berlette[N 42], fiefs possédant justice foncière et vicomtière, seigneur d'Edequine[69] et de Secquier[70], juré de la ville de Nivelles[66]. Il épousa Bernardine-Jacqueline van der Beke[N 43], fille de Pierre van der Beke, écuyer, greffier de Sinnay et Belcele et de Jossine Rauvoet[N 44], petite-fille de Jacques-Philippe van der Beken, écuyer, seigneur de Sassinghien, lieutenant civil de la ville de Gand, ensuite haut-échevin du Pays de Waes[71], dont, entre autres :
- François-Louis de Prelle dit Compère[N 33] (1637-1700[N 51]), écuyer, grand bailly de Châtelet[73], d'Aiseau, Farciennes, Pont-de-Loup, Bouffioulx, Memberzée et leurs dépendances[74], fieffé des pêcheries et coultures de Sclayn[N 52] - [75] - [76]. Il épousa Anne Marie Françoise André, de Huy[73] (†1714), dont, entre autres :
- Charles Joseph de Prelle dit Compère (1685–1753)[77], écuyer, seigneur du fief des pêcheries de Sclayn[N 53], bailly de Châtelet, gentilhomme de la bouche de S. A. E. l'évêque et prince de Liège et archevêque de Cologne, Joseph-Clément de Bavière. Il eut pour marraine Anne-Waltrude de Gavre. Il ne contracta pas d'alliance.
- Antoine de Prelle dit Compère[N 33] (†1644), fils du précédent, écuyer, bailly du marquisat d'Aiseau. Il épousa Marguerite le Sire de Gougnies[N 34], fille de François le Sire, écuyer[N 35], seigneur de Gougnies et de Gerpinnes, capitaine d'infanterie au service de Sa Majesté et de Isabeau de Hoves[54] - [N 36], dame d'Audierbois[51] - [52] - [53] - [55], dont, entre autres :
- Jean de Prelle dit Compère (†1614)[44], homme de fief de la seigneurie de Feluy, échevin de Feluy. Il épousa Florence ou Jeanne del Court[N 25] - [49], dont :
- Jean Compère dit de Prelle (†ca. 1580)[46] - [47] - [48], échevin de Feluy, bailly de Feluy, homme de fief de l'Escaille. Il épousa Suzanne de Bousies dite de Vertaing (†ca. 1582)[N 24], dont, entre autres :
XIXe siècle - XXIe siècle
- Hyacinthe de Prelle (1711-1773), sus-mentionné, eut pour descendance :
- Jean-Charles[N 54] de Prelle de la Nieppe (1755-1832), fils du précédent, écuyer, dernier seigneur du fief vicomtier de la Nieppe, licencié ès-lois. Il obtint, le 1er janvier 1823, reconnaissance de noblesse, il figure sur la première liste officielle des nobles et il était inscrit dans l'ordre équestre du Brabant Méridional[78]. Il épousa Mathilde Claire Marie Thérèse Félicité Wellens[N 55] (1780–1863), fille de Charles André Joseph Wellens (nl), écuyer, échevin de Nivelles et de Marie Catherine Félicité Thiry, dont, entre autres :
- Charles[N 56] de Prelle de la Nieppe (1803-1847)[79] - [N 57], écuyer, docteur en droit, échevin de la ville de Nivelles ensuite, major de la garde civique de Nivelles[80] ensuite, capitaine commandant de deuxième classe au régiment d'élite (infanterie de ligne) (1835)[81] ensuite, capitaine commandant de première classe au régiment d'élite (grenadiers) (1845)[66] - [82].
- Emmanuel[N 58] de Prelle de la Nieppe (1809-1887)[83] - [84] - [85], écuyer, commis-greffier au tribunal de première instance de Nivelles ensuite, vice-procureur du Roi près le tribunal de première instance de Charleroi ensuite, juge d'instruction près le tribunal de première instance de Charleroi ensuite, vice-président près le tribunal de première instance de Charleroi ensuite, président près le tribunal de première instance de Charleroi ensuite, conseiller à la cour d'appel de Bruxelles ensuite, président de chambre à la cour d'appel de Bruxelles ensuite, premier président honoraire de la cour d'appel de Bruxelles, commandeur de l'ordre de Léopold, décoré de la croix civique de première classe. Il épousa Charlotte-Eugénie-Sophie-Marie-Josèphe de Haussy (1820–1883), fille de François-Philippe-Louis-Hyacinthe de Haussy (1789–1869), baron, premier gouverneur de la Banque nationale de Belgique de 1850 à 1865, député aux États provinciaux, sénateur, ministre de la justice, avocat, commandeur de l'ordre de Léopold et de Anne-Marie-Sophie-Eugénie Desmanet d'Erquennes. Leur fille, Claire épousa Auguste van Maldeghem, dont, entre autres :
- Charles[N 59] de Prelle de la Nieppe (1846–1915)[86] - [87], écuyer, docteur en droit, premier avocat général à la cour d'appel de Bruxelles ensuite procureur général près la cour d'appel de Bruxelles, commandeur de l'ordre de Léopold, décoré de la croix civique de première classe, décoré de la médaille commémorative du règne du roi Léopold II. Il était réputé pour ses « mercuriales sensationnelles »[88], dont: L'œuvre de M. le président Magnaud (1908), Sur l'introduction des lois sur la conscription militaire en Belgique (1909), L'institution des justices de paix (1910) et La gendarmerie (1912)[89]. À sa mort, le 9 mai 1815, la place de procureur général de Bruxelles resta vacante jusqu'à la nomination de Jean Servais (1856-1946) qui eut lieu le 13 décembre 1918[90]. Il épousa Pauline-Thérèse-Adolphine Simons (1851–1928), fille de Chrétien-Louis Simons, lieutenant-général, gouverneur de la province de Liège, grand officier de l'ordre de Léopold et de Pauline-Charlotte Thomeret, dont, entre autres :
- Edmond[N 60] de Prelle de la Nieppe (1873-1959)[91], écuyer, docteur en droit, conseiller de légation honoraire, secrétaire de légation de Sa Majesté le Roi des Belges, chevalier de l'ordre de Léopold, grand cordon de l'ordre du Double Dragon (Chine). Il épousa en premières noces Maria Mavromichalis (1873–1938), fille de Pétros Mavromichális, ministre de la Justice, commissaire royal au Saint-Synode, et de Kleopatra Kladou. Veuf, il épousa en secondes noces Jeanne-Marie-Louise Gonzalès de Linarès[N 61] - [N 62], fille de Paul-Amédée Gonzalès de Linarès et de Marie-Clara-Alexandrine Brunet de la Martinière.
- Paul[N 63] de Prelle de la Nieppe (1876-1919)[91], écuyer, bourgmestre de Manage. Il épousa Marie-Henriette-Louise-Félicité-Jeanne-Ghislaine Tiberghien (1880–1935), fille du sénateur Félix-Paul Tiberghien, premier bourgmestre de Manage, et de Elisa-Constance-Marie Libert.
- Maxime[N 64] de Prelle de la Nieppe (1861–1944)[91], écuyer, avocat, médaille de vermeil de la Reconnaissance française[92], fils d'Emmanuel de Prelle de la Nieppe (1809-1887). Il épousa Louise-Augusta-Bertha-Elise Allard (1868–1938)[N 65], fille de Joseph Gustave Ernest Allard, avocat, homme politique belge membre du parti libéral et d'Élise Rombaut.
- Charles[N 59] de Prelle de la Nieppe (1846–1915)[86] - [87], écuyer, docteur en droit, premier avocat général à la cour d'appel de Bruxelles ensuite procureur général près la cour d'appel de Bruxelles, commandeur de l'ordre de Léopold, décoré de la croix civique de première classe, décoré de la médaille commémorative du règne du roi Léopold II. Il était réputé pour ses « mercuriales sensationnelles »[88], dont: L'œuvre de M. le président Magnaud (1908), Sur l'introduction des lois sur la conscription militaire en Belgique (1909), L'institution des justices de paix (1910) et La gendarmerie (1912)[89]. À sa mort, le 9 mai 1815, la place de procureur général de Bruxelles resta vacante jusqu'à la nomination de Jean Servais (1856-1946) qui eut lieu le 13 décembre 1918[90]. Il épousa Pauline-Thérèse-Adolphine Simons (1851–1928), fille de Chrétien-Louis Simons, lieutenant-général, gouverneur de la province de Liège, grand officier de l'ordre de Léopold et de Pauline-Charlotte Thomeret, dont, entre autres :
- Emmanuel[N 66] de Prelle (1757-1834), fils de Hyacinthe de Prelle (1711-1773), licencié en droit, juge au tribunal de 1re instance de Malines, procureur impérial au tribunal de 1re instance de Malines.
- Bernard[N 67] de Prelle de la Nieppe (1758–1844)[93], frère du précédent, écuyer, licencié ès-lois, membre du conseil municipal de Nivelles. Il obtint en même temps que son frère aîné, le 1er janvier 1823, reconnaissance de noblesse, il figure sur la première liste officielle des nobles et il était inscrit dans l'ordre équestre du Brabant Méridional[78]. Il épousa Marie-Anne-Thérèse-Françoise de Biseau (1751–1817), dame de Carville, fille de Charles-Urbain-Joseph de Biseau (1726–1764), seigneur de Familleureux, Besonrieux et Pleuseghem et de Marie Thérèse Victoire Tacquenier[N 68], dont, entre autres :
- Auguste[N 69] de Prelle de la Nieppe (1790-1865)[94] - [95], écuyer, licencié en droit, officier de cavalerie au régiment impérial des gardes d'honneur de Napoléon Ier (campagnes d'Allemagne et de France), premier juge de paix du canton de Nivelles, membre de la commission administrative des hospices de Nivelles, membre du conseil d'administration du mont-de-piété de Nivelles, chevalier de l'ordre de Léopold, décoré de la médaille de Sainte-Hélène[66]. Il épousa sa cousine germaine : Elisabeth de Prelle de la Nieppe (1811–1885), fille de Jean-Charles-François-Ghislain de Prelle de la Nieppe (1755–1832), écuyer, licencié- ès-lois et de Mathilde-Claire-Marie-Thérèse-Félicité Wellens (1780–1863).
- Fernand[N 70] de Prelle (1846–1883)[96] - [N 71], écuyer, lieutenant d'infanterie au 14e régiment de ligne.
- Edgar[N 72] de Prelle de la Nieppe (1854-1915)[3] - [95], écuyer, conservateur honoraire du musée de la Porte de Hal[N 73] et des musées royaux du Cinquantenaire[97], fondateur du musée archéologique de Nivelles[97], receveur des hospices de Nivelles, chevalier de l'ordre de Léopold, décoré de la médaille civique de première classe, décoré de la croix commémorative du règne de Sa Majesté Léopold II. Il épousa Jeanne-Joséphine-Louise Verhaegen[N 74] (1863–1957), fille de Jean-Baptiste-François-Eugène Verhaegen, avocat, conseiller communal de Watermael-Boitsfort et de Marie-Florence-Caroline-Joséphine Nève, petite-fille du côté paternel de Pierre-Théodore Verhaegen, avocat, bourgmestre de Watermael-Boitsfort, président de la Chambre des représentants, fondateur de l'Université libre de Bruxelles et de Jeanne-Philippine-Françoise-Josèphe Barbanson[N 75] - [N 76].
- Adrien[N 77] de Prelle de la Nieppe (1893-1914)[98], écuyer, maréchal des logis au 2e régiment de Guides, tué sur le champ de bataille de Budingen[N 78] - [99], chevalier de l'ordre de Léopold II avec palme, croix de guerre 1914-18 à titre posthume.
- Roger[N 79] de Prelle de la Nieppe (1895-1953)[98], écuyer, lieutenant au premier régiment de carabiniers aux troupes coloniales, capitaine d'infanterie honoraire, commandant de la garde militaire de Belgique à Pékin, volontaire de guerre 1914-18, officier de l'ordre de la Couronne avec glaives, officier de l'ordre de Léopold II avec glaives, officier de l'ordre de l'Épi d'or (Chine), chevalier de l'ordre de Léopold avec palme, chevalier de l'ordre Royal du Lion avec palme, croix de guerre 1914-18 avec 3 palmes et un lion en bronze, décoré de la croix de l'Yser, décoré de la médaille du volontaire combattant, décoré de la médaille de la victoire, décoré de la médaille commémorative de la guerre 1914-18, décoré de la médaille commémorative en argent des campagnes d'Afrique, deux citations à l'ordre du jour de l'armée, une citation à l'ordre du jour du régiment. Il épousa la baronne Marie-Louise-Catherine-Marguerite Moncheur[N 80], fille du baron Ludovic-Alfred-Joseph-Ghislain Moncheur et de Mary-Daisy Holman[N 81], petite-fille du côté paternel de François-Désiré-Victor Moncheur et de Louise-Joséphine-Ghislaine Bauchau, dont, entre autres :
- Alain[N 82] de Prelle de la Nieppe (1922-1955)[100], écuyer, journaliste, écrivain, globe-trotter, correspondant de guerre à l'ONU en Corée, tué en mission de reportage de guerre au Maroc. Il épousa Purificación Hernaiz Van den Eynden (1924–2011)[N 83], fille de Andrés Hernaiz et de Gloria Escorza, et fille adoptive de Marie-Joseph-Jean-François Van den Eynden et de Marie-Léopoldine Tessens.
- Réginald[N 84] de Prelle de la Nieppe (1926-2014)[100], écuyer, journaliste indépendant, correspondant de guerre[N 85], écrivain. Il épousa Marthe-Yvonne-Marie Gept[N 86] (1925-2014), directrice-rédactrice en chef de l'hebdomadaire Femmes d'Aujourd'hui, chevalier de l'ordre de Léopold II, décoration du travail de 1re classe, fille de René Gept, ingénieur agronome, chevalier de la Légion d'honneur, et de Geneviève Couston, dont, entre autres :
- Yves[N 87] de Prelle de la Nieppe (1951-)[101] - [23], écuyer, licencié en droit, vice-procureur du Roi honoraire au tribunal de première instance de Nivelles[N 88] - [102], procureur du Roi[103] - [104] faisant fonction au tribunal de première instance de Nivelles (2009), commandeur de l'ordre de la Couronne[N 89], officier de l'ordre de Léopold[N 90]. Il épousa Michèle Maria-Maurice-Juliette Vanhoorne (1950-)[N 91], fille de Rogier Vanhoorne et de Juliette-Maria-Frans-Kamiel Tolleneer.
- Auguste[N 69] de Prelle de la Nieppe (1790-1865)[94] - [95], écuyer, licencié en droit, officier de cavalerie au régiment impérial des gardes d'honneur de Napoléon Ier (campagnes d'Allemagne et de France), premier juge de paix du canton de Nivelles, membre de la commission administrative des hospices de Nivelles, membre du conseil d'administration du mont-de-piété de Nivelles, chevalier de l'ordre de Léopold, décoré de la médaille de Sainte-Hélène[66]. Il épousa sa cousine germaine : Elisabeth de Prelle de la Nieppe (1811–1885), fille de Jean-Charles-François-Ghislain de Prelle de la Nieppe (1755–1832), écuyer, licencié- ès-lois et de Mathilde-Claire-Marie-Thérèse-Félicité Wellens (1780–1863).
- Jean-Charles[N 54] de Prelle de la Nieppe (1755-1832), fils du précédent, écuyer, dernier seigneur du fief vicomtier de la Nieppe, licencié ès-lois. Il obtint, le 1er janvier 1823, reconnaissance de noblesse, il figure sur la première liste officielle des nobles et il était inscrit dans l'ordre équestre du Brabant Méridional[78]. Il épousa Mathilde Claire Marie Thérèse Félicité Wellens[N 55] (1780–1863), fille de Charles André Joseph Wellens (nl), écuyer, échevin de Nivelles et de Marie Catherine Félicité Thiry, dont, entre autres :
Demeures et possessions
Châteaux
- Château de Fonteneau à Nivelles, sis à la Chaussée de Bruxelles[105], domaine classé le 12 avril 1977. Hyacinthe de Prelle (1711-1773) fait construire le château en 1756. Il reste dans la famille jusqu'en 1995, date à laquelle il est vendu à la famille Van Overdijk. Il est ensuite revendu à Univell SA, une société de consultance. Le domaine compte 14 hectares en 1927. Il en compte encore 6 à l'heure actuelle[106] - [107] - [108] - [109].
- Château de Prelle dit aussi château de la Cour au Bois[23] à Manage[110]. Ce château passe à la famille de Prelle de la Nieppe dans la seconde moitié du XIXe siècle à la suite d'une alliance avec la famille Tiberghien. Il reste la propriété de cette famille pendant deux générations avant d'être revendu en 1985. La ferme de la Courte au Bois qui faisait partie intégrante du domaine est vendue séparément[111] - [112].
- Château Valduc à Auderghem. Le baron Paul de Cartier fait construire le château en 1870 avant de le revendre à Emmanuel de Prelle de la Nieppe (1809-1887) le 12 septembre 1876. Le château passe ensuite à la famille van Maldeghem à la suite de l'alliance de Claire de Prelle de la Nieppe, fille d'Emmanuel, avec Auguste van Maldeghem[113].
Seigneuries
- Seigneurie vicomtière de la Nieppe à Tilques[59] - [60] - [61].
- Seigneurie vicomtière de Berlette à Merck-Saint-Liévin[62] - [63].
- Seigneurie de Picquendale Ă Leulinghem (fief mouvant de la seigneurie de Saint-Bertin Ă Quelmes)[64].
- Seigneurie d'Eugies[114] - [115] - [116] - [117].
- Seigneurie d'Hensies[44]
- Seigneurie d'Edequine[69]
- Seigneurie de Secquier[70]
HĂ´tels particuliers
- Hôtel particulier de Prelle (anciennement Hôtel de Herzelle ou Herzelles)[119] à Nivelles, sis à la rue de Mons. Hôtel cité dès 1340 lorsque l'abbesse de Nivelles y descendait pour revêtir son riche manteau garni d'hermine[120]. L'hôtel passe en 1687 de la famille Servais-Rauvoet à la famille de Prelle de la Nieppe par héritage. Cette dernière s'en sépare au début du XXe siècle lors de la nomination à Bruxelles d'Edgar de Prelle (1854-1915) en tant que conservateur du musée de la porte de Hal. Il sera détruit lors du bombardement de Nivelles par les Allemands en 1940. L'hôtel fait l'objet de la visite du prince et de la princesse Albert de Belgique, le 21 juin 1903[121] - [122].
- Hôtel particulier dit de Roben à Nivelles, sis à la Grand-Place en face de la collégiale Sainte Gertrude. La famille de Prelle de la Nieppe occupe cet hôtel au commencement du XIXe siècle avant qu'il ne passe à la douairière Baronne de Roben de Clabecq née marquise de la Croix de Chevrières de Sayve ensuite, à M. Corbisier de Méaulsart, président du tribunal de Nivelles[123] - [124].
- HĂ´tel particulier de Prelle de la Nieppe, avenue Louise, 58, Ă Bruxelles, construit en 1891 selon les plans de l'architecte Henri Maquet[125].
Autres
- Pavillon des Sphinx[N 92] à Beez en bord de Meuse, villa de style mosan construite par le vicomte de Baré de Comogne. Elle était située dans un immense parc en face de l'ancienne maison communale[126]. Elle fut occupée par Roger de Prelle (1895-1953), sa femme, née baronne Marguerite Moncheur (1899-1972), et leurs trois enfants[N 93] pendant la 1re moitié du XXe siècle.
- Refuge des Trinitaires du Prieuré d'Orival, qui héberge actuellement le musée de la ville de Nivelles. Grande maison construite à l'endroit de l'ancienne église Saint-André supprimée par les religieux d'Orival. Les matériaux de construction de cette bâtisse proviennent en partie d'une chapelle dite chapelle de Saint Jean de Jérusalem qui avait servi précédemment pour les offices religieux des chevaliers Templiers[127]. Ce refuge fut racheté en 1804 par Marie-Anne de Biseau (1751–1817), épouse de Bernard de Prelle (1758–1844). Ce dernier en fit don aux pauvres de la ville[128], bien du Bureau de Bienfaisance de la ville de Nivelles - où fut implanté un atelier de charité de tisserands - avant de devenir le siège de la Société Archéologique de Nivelles (SAN) créée en 1876. Trois années plus tard, le 10 juin 1956, eut lieu l'inauguration du musée et le bâtiment fut classé[129] - [130].
- Ferme du Petit Baulers à Nivelles, située à l'arrière du château de Fonteneau, sise chemin du Petit-Baulers[131]. Elle date du XIXe siècle mais comporte un ancien pavillon en forme de tour datant de 1645. Elle entre dans le patrimoine familial en même temps que le domaine de Fonteneau et de la Potte au XVIIe siècle[132]. Elle appartient et est occupée actuellement par le chef de famille : Cédric de Prelle de la Nieppe[22] (1949-), fils d'Alain, écuyer, country business manager chez Nestlé.
- Cense de la Grande Hayette, à Aiseau. Cette ferme comprenant jardins, prairies et terres pour un total d'environ 32 bonniers fut bâtie en 1623 et existait toujours en 1904[133]. Elle appartint longtemps à la famille de Prelle, son dernier propriétaire fut Hyacinthe de Prelle (1711-1773). Il l'avait hérité de feu son cousin Charles Joseph de Prelle dit Compère (1685–1753), bailli de Châtelet, mort sans hoirs[134]. Hyacinthe décéda à 62 ans, laissant derrière lui 7 enfants tous mineurs. Leur oncle, Thomas-Philippe Marcq, écuyer, en tant que tuteur[N 94], revendit ladite cense à Alexis-Thomas de Lalou, fils de Charles-Philippe de Lalou, écuyer, bailli puis seigneur de Farciennes au nom du comte de Stubick (second mari de Marie-Philippine de Longueval)[135] - [136].
Alliances
- XVe siècle : Camps (des), Havrech (de), Sorbruecq (de), Weis de Ghislenghien (de), Wyerves (de).
- XVIe siècle :Baye, Berselle (de), Blois (de), Bousies de Vertain (de), Bruyère (de le), Chamart, Chizaire, Court (del), Daele (van den), La Falize (de), Fortamps, Lannoy (de)[5], Pierco, Pitepance (de), Prince (Le), Samme (de), Somaing (de), Thimé.
- XVIIe siècle : André, Castelain (de), Balicq de Sciry, Beke (van der), Behault (de), Binst (van), Coppehem de la Nieppe et de Berlette (de), Fossé (de), Franchier, Gozée (de), Hongre (le), Houx (du), Lannoy (de), Rauvoet, Sire de Gougnies (de), Wauthier.
- XVIIIe siècle : Biseau de Familleureux (de), Le Hoye (de), Marcq, Sire de Gougnies (de), Tricot.
- XIXe siècle : Allard, Bois (du), Dewandre, Gheyssens, Haussy (de), Hults (de), Kramer, Maldeghem (van), Mersman, Simons, Tiberghien, Verhaegen, Wellens.
- XXe siècle : Bauchau, Cumont, Dewit, Gasquet, Gept, Gonzalès de Linarès, Hernaiz Van den Eynden, Heylen, Isoard de Chènerilles (d'), Iweins d'Eeckhoutte, Jonghe d'Ardoye (de), Lamarche, Marcke de Lummen (van), Mavromichalis, Moncheur, Navez[N 95], Oultremont (d'), Prins van Westdorpe (nl), Radzitzky d'Ostrowick (de), Rigano, Ryckman de Betz (de), Sisteron, Vaillant du Chatelet de Jollain (le), Vanhoorne.
- XXIe siècle : André-Dumont, Lagrange, Miller, Vriesendorp (nl), Nguyen.
Galeries
Portraits
- Emmanuel-François de Prelle (1629-1700), bailli de la terre et marquisat d'Aiseau, 1er juré de la ville de Nivelles.
- Charles de Prelle, seigneur de la Nieppe, de Berlette et de Picquendale (1631–1698), capitaine d'une compagnie de cent cuirassiers au régiment du baron de Lumbre au service de Sa Majesté Catholique, sergent-major d'un terce de cavalerie au service de Sa Majesté Catholique.
- Catherine-Thérèse de Coppehem (1634-1701), dame de la Nieppe, de Berlette, de Picquendale et de Secquier, épouse de Charles de Prelle (1631–1698).
- Jean-Charles de Prelle de la Nieppe (1669-1740), seigneur de la Nieppe, de Berlette, d'Edequine et de Secquier, juré de la ville de Nivelles.
- Bernardine-Jacqueline van der Beken (1673-1746), Ă©pouse de Jean-Charles de Prelle de la Nieppe (1669-1740).
- Charles-Siméon de Prelle de la Nieppe (1702–1738), capitaine d'infanterie au régiment de Staremberg au service de Sa Majesté Impériale et Catholique Charles VI, tué sur le champ de bataille de Mehadia au cours de la quatrième guerre austro-turque.
- Hyacinthe de Prelle de la Nieppe (1711–1773), seigneur de la Nieppe et de Berlette, capitaine de cavalerie au service du Roi d'Espagne.
- Marie-Josèphe Marcq (1722–1768), épouse de Hyacinthe de Prelle de la Nieppe (1711–1773).
- Auguste de Prelle (1790-1865), officier de cavalerie au régiment impérial des gardes d'honneur de Napoléon Ier, premier juge de paix du canton de Nivelles.
- Romain de Prelle de la Nieppe (1805–1832), docteur en droit, avocat.
- Emmanuel de Prelle de la Nieppe (1809-1887), premier président honoraire de la cour d'appel de Bruxelles, commandeur de l'ordre de Léopold.
- Jeanne de Prelle de la Nieppe (1844-1931), épouse du comte Eugène du Bois (1818-1893) et mère du comte Albert du Bois.
- Edgar de Prelle de la Nieppe (1854-1915), conservateur du musée de la Porte de Hal, conservateur des musées royaux du Cinquantenaire.
- Edmond de Prelle de la Nieppe (1873-1959), docteur en droit, conseiller de légation honoraire, secrétaire de légation de Sa Majesté le Roi des Belges.
- Marie-Henriette Tiberghien (1880-1935), Ă©pouse de Paul de Prelle de la Nieppe (1876-1919), bourgmestre de Manage.
- Adrien de Prelle de la Nieppe (1893-1914), maréchal des logis au 2e régiment de Guides, tué sur le champ de bataille de Budingen.
- Roger de Prelle de la Nieppe (1895-1953), lieutenant au premier régiment de carabiners aux troupes coloniales, capitaine d'infanterie honoraire, commandant de la garde militaire de Belgique à Pékin.
- Alain de Prelle de la Nieppe (1922-1955), journaliste, écrivain, globe-trotter, correspondant de guerre à l'ONU en Corée, tué en mission de reportage de guerre au Maroc.
- Marthe de Prelle, née Gept, en 1962 (1925-2014), directrice-rédactrice en chef de l'hebdomadaire Femmes d'Aujourd'hui, épouse de Réginald de Prelle (1926-2014).
Monuments funéraires
- Caveau familial de la famille de Prelle de la Nieppe au cimetière de Nivelles
- Chapelle des familles du Bois et de Prelle de la Nieppe à Écaussinnes-d'Enghien.
- Chœur de la chapelle des familles du Bois et de Prelle de la Nieppe.
- Plaque funéraire gauche dans le chœur de la chapelle des familles du Bois et de Prelle de la Nieppe.
- Plaque funéraire droite dans le chœur de la chapelle des familles du Bois et de Prelle de la Nieppe.
- Tombeau de Jeanne-Julie-Ghislaine de Prelle de la Nieppe, comtesse du Bois (1844-1931).
- Pierre tombale de Charles de Prelle dit Compère (1558–1608) et d'Antoine de Prelle dit Compère (†1644).
- Pierre tombale de Charles de Prelle dit Compère (1558–1608) et d'Antoine de Prelle dit Compère (†1644).
- Épitaphe funéraire de Charles de Prelle dit Compère, seigneur de la Nieppe, major au service de Sa Majesté Catholique, et de Catherine-Thérèse de Coppehem.
- Épitaphe funéraire de Charles de Prelle dit Compère, seigneur de la Nieppe, major au service de Sa Majesté Catholique, et de Catherine-Thérèse de Coppehem.
- Tombe de Pauline de Prelle (1793-1853) dans le caveau familial de la famille de le Hoye au cimetière de Nivelles.
Demeures
- Château de Fonteneau à Nivelles.
- Ancien HĂ´tel de Roben Ă Nivelles.
- Pavillon des Sphinx Ă Beez (anciennement Villa Belle Vue).
Bibliographie
- René Goffin, Compère, Coppe et de Prelle, dans Généalogies Nivelloises, parues dans Annales de la Société Archéologique et Folklorique de Nivelles et du Brabant Wallon A. S. B. L., première partie, tome XV, 1951, p. 162-179.
- Vicomte Roger de Prelle de la Nieppe, Les seigneuries suzeraines de la Nieppe et Berlette et leurs vicomtes, vassaux des roys de France de 1668 Ă 1789, Bruxelles, 1931.
- Baudouin Duvieusart, Coppe, Compère et de Prelle : comprendre les études de Goffin, Le Parchemin, Bulletin bimestriel édité par l'Association royale Office Généalogique et Héraldique de Belgique, 77e année, juillet-août 2012, no 400, p. 335-353.
- Prelle, dans Annuaire de la noblesse belge, 1862, p. 161-197.
- Prelle de la Nieppe (de), dans Annuaire de la noblesse belge, 1890, p. 154-171.
- Prelle de la Nieppe (de), dans Annuaire de la noblesse belge, 1894, p. 153-157.
- Prelle de la Nieppe (de), dans Annuaire de la noblesse belge, 1899, p. 124-127.
- Georges de Hemptinne et Oscar Coomans de Brachène, État présent de la noblesse du royaume de Belgique, tome XV, Bruxelles, 1967, p. 75-79.
- Oscar Coomans de Brachène, État présent de la noblesse belge, Annuaire de 1980, première partie Pot-Ri, Bruxelles, 1980, p. 62-67.
- Oscar Coomans de Brachène, État présent de la noblesse belge, Annuaire de 1996, seconde partie Pon-Pro, Bruxelles, 1996, p. 333-339.
- Comte Humbert de Marnix, État présent de la noblesse belge, Annuaire de 2011, seconde partie Pot-Rob, Bruxelles, 2011, p. 348-351.
- Baron Fernand de Ryckman de Betz, Armorial général de la noblesse belge: orné des armoiries figurées dans les lettres patentes originales., H. Dessain, 1957, p. 379.
- Charles Poplimont, La Belgique HĂ©raldique, Tome IX Pot-R, Paris, 1867, p. 55-60.
- Paul Janssens et Luc Duerloo, Armorial de la Noblesse belge, du XVe au XXe siècle, Bruxelles, Crédit Communal, 1992.
- Jean-François Houtart, Anciennes familles de Belgique, Recueil LXI de l'Association royale Office Généalogique et Héraldique de Belgique, Bruxelles, 2008, p. 127.
- Edgar de Prelle de la Nieppe, Généalogie de la famille de Prelle de la Nieppe, Bruxelles, 1904.
- Edgar de Prelle de la Nieppe, Épitaphes et armoiries recueillies dans les églises du Hainaut, article paru dans les Annales du Cercle Archéologique de Mons, Tome XXIV, Mons, 1896, pp. 177-194.
- Jean Vandendries, Gens de robe, Gens de Nivelles... et d'ailleurs, Éditions de la Francité, Nivelles, 1994.
- G. Willame, La révolution de 1830 à Nivelles, Nivelles, 1895.
- G. Willame, Essai de bibliographie nivelloise, Tome X des Annales de la Société Archéologique de l'arrondissement de Nivelles, Nivelles, 1911.
- F. Bernaert, Fastes militaires des Belges au service de la France, 1789-1815, Bruxelles, Lamertin, 1898, in-8°, p. 195.
Notes et références
Notes
- Isidore de Stein d'Altenstein, Charles Poplimont, René Goffin, Baudouin Duvieusart (OGHB), Jean-François Houtart (OGHB), Edgar de Prelle….
- Jehan de Havrech était le fils bâtard de Gérard III d'Enghien, seigneur de Havrech (Havré), châtelain de Mons et de N. de Humières (D'argent fretté de sable). Source: chancelier Villers, chanoine de la cathédrale de Tournai, dans Fragmens généalogiques, tome III, Genève, 1776, pp. 15-18 : "Gerard d'Enghien, seigneur de Havrech, châtelain de Mons, vivoit en 1320. Il eut de.... de Humieres un fils bâtard, nommé Jean, qui suit, laquelle sous promesse de mariage se laissa abuser, & Gerard mourut avant de pouvoir l'effectuer. (…)".
- Voici ce que dit Baudouin Duvieusart à propos de la famille de Marbais dans le Parchemin, no 400, p. 353: "Selon le chevalier de Kessel, déjà cité, la maison de Marbais, issue des anciens princes d'Austrasie, tire son nom d'une baronnie qui était autrefois un alleu ne relevant que de Dieu et du soleil. Ces domaines se trouvaient dans la vallée de la Thyle, affluent de la Dyle, zone longtemps disputée entre les ducs de Brabant et les comtes de Namur. Ils jouèrent subtilement les deux cartes et se retrouvèrent vassaux de ces deux suzerains. Le premier Marbais auquel cette famille puisse se rattacher, Walter, avait épousé la fille du seigneur de Loupoigne au XIe siècle."
- Catherine Taye ou Catharina Tays Ă©tait la fille de Jean Tays de Gaasbeek, Ă©chevin de Bruxelles (1394, 1399).
- Voir le sceau armorié de Charles de Prelle dit Compère (1631-1698) apposé sur un document de Rapport et dénombrement de ses fiefs.
- Armes de la famille d'Enghien, branche des seigneurs de Havrech
- Armes de Descamps.
- Armes de Sirieux de Canebustin incomplet.
- Armes de Marbais.
- Ce tableau portant la date de 1557 avait été donné à la Collégiale de Nivelles par Isabeau Compère, fille de Gérard Compère dit de Prelle (†1503).
- La présence des armes de la famille de Prelle sur cette tombe est due aux armes de la femme du défunt : Françoise Le Prince, fille de Marie de Compère dite de Prelle (†1558), petite-fille de Gérard Compère dit de Prelle (†1503). La présence de ces armes est attestée par le notaire De l'Estienne, Nivelles, 3 février 1702.
- Les armes sont représentées dans un losange mi-parti de gueules à la fasce d'or chargée de trois croissants de gueules et accompagnée en chef de deux maillets et en pointe d'une étoile à six rais le tout d'or (armes de la famille Le Prince), mi-parti des armes écartelées de Prelle. La présence de cette verrière est attestée par le notaire De l'Estienne, Nivelles, 3 février 1702.
- Les armes étaient représentées de la façon suivante : mi-parti des armes écartelées de Prelle, mi-parti d'azur à la croix d'argent (armes de la maison de Bousies). Elles étaient celles du couple Jean Compère dit de Prelle (†1574) et de sa femme Suzanne de Bousies de Vertain (†1582). La présence de ces armes en ce lieu est attestée par le notaire du Houx, Nivelles, 27 juin 1744, qui déclare de plus : "avoir vu l'original en parchemin d'un acte passé devant les mayeur et échevins de Jumet près de Gosselies 28 mars 1583, où se voit que Jean Compère avait été conjoint avec Suzanne de Bousies dite de Vertain.". Un tableau récemment restauré et placé dans le chœur de l'église de Feluy fait référence à celui-ci : cf. vidéo YouTube.
- Le premier sceau portant les armes contemporaines est celui que l'on pouvait voir sur le testament de Messire Emmanuel François de Prelle dit Compère (1629-1700) daté du 26 novembre 1699.
- variante: gironné de dix pièces d'or et de gueules, chaque giron de gueules chargé de trois croisettes recroisettées au pied fiché d'argent, les pieds dirigés vers l'abîme ; au chef du même, chargé de trois étoiles du second. Casque : couronné. Cimier : une aigle issante d'or. Lambrequins : d'or et de gueules. Devise : RAISON PARTOUT. Source: Prelle (de) (anciennement Compère de Presles), dans Armorial général précédé d'un dictionnaire des termes du blason, par J. B. Rietstap, tome II, deuxième édition refondue et augmentée, Gouda, G. B. van Goor Zonen, 1887, p. 484, à consulter ici et ici.
- Pierre qui repose dans le parterre incliné face à l'entrée de l'église d'Aiseau et qui, précédemment, était encastrée dans un mur de l'ancienne église détruite et reconstruite depuis lors.
- La photo de ce vitrail est visible sur le site web du château d'Anthée : Lien
- Armes : d'azur au chevron et 3 trèfles d'argent. Le patronyme s'écrivait aussi Descamps ou encore Deschamps dans les actes.
- Elle était veuve de Gérard de Gemblœux.
- Selon les travaux de recherches de René Goffin sur cette famille publiés dans les Généalogies Nivelloises, Jean Compère est le premier auquel le surnom de PRELLE fut donné dans les actes.
- Armes : d'argent, au lion de gueules, à la bordure engrêlée d'azur. Cri : Wallincourt !
- Son frère, Charles de Somaing, chevalier, maître d'hôtel du prince de Chimay et de son prévôt de Quiévrain, s'était marié en premières noces avec Valentine de Ligne, et en secondes noces avec Jeanne de L’Esclatière dont postérité.
- Armes : d'or à trois fleurs de lis (sic) de sable. Source : Manuscrit de Butkens, consultable à l'ancienne bibliothèque royale de Bourgogne à Bruxelles.
- Voici ce que dit René Goffin dans les Généalogies Nivelloises à propos de Suzanne de Bousies : Un crayon généalogique de LAISNE (Bibl. publ. de Mons, mss., t. II, p. 336, Cartulaire p. 20) en fait une fille naturelle du seigneur de Vertaing, mais on peut la croire plus vraisemblablement enfant légitime de l'un des bâtards qu'Eustace de Bousies, chevalier, seigneur de Vertaing, Feluy, etc., eut de Barbe Lorent, veuve de Jean l'Escailleteur (STROOBANT, Histoire de la commune de Feluy, p. 93).
- D'azur au chevron, accompagné en chef de deux coquilles et en pointe d'une merlette, le tout d'or.
- ou de Presle(s) dit Compère selon les sources.
- Par application de l'édit du 23 septembre 1595. Lire : Chevalier Xavier de Ghellinck Vaernewyck, Aperçu historique sur la noblesse de Belgique, paru dans le numéro spécial "1936-1986" du bulletin de l'Association de la Noblesse du Royaume de Belgique édité à l'occasion de ses cinquante ans d'existence, p. 35 : "(…) on pouvait entrer au « second ordre » par prescription, c'est-à -dire par une possession d'état suffisamment prolongée (« de mémoire d'homme », soit trois générations dès 1595, quatre à partir de 1754), publique et continue pour ne plus être contestable, le temps étant générateur d'un véritable droit (…)".
- Charles de Gavre, comte de Beaurieux et du Saint-Empire, seigneur de Frézin, d'Ollignies et d'Inchy.
- Armes : d'argent à trois lions de sinople, armés et lampassés de gueules, couronnés d'or ; au franc-quartier de gueules.
- Yolande vulgo Adynne.
- Famille qui portait les armes de Trazegnies: bandé d’or et d’azur de six pièces, à l’ombre de lion de sable, brochant sur le tout, à la bordure engrêlée de gueules.
- Ses armes ecclésiastiques personnelles étaient : d’or à la fasce de sinople, chargée de trois coquilles du champ, sommée d’une croisette du second et accompagnée en pointe d’un lion de sable.
- ou de Compère dit de Prelle selon les sources.
- Armoiries : d'or à une hure de sanglier au naturel, défendue d'argent ; l'écu sommé d'un heaume d'argent, grillé, colleté et liseré d'or, doublé et attaché de gueules aux bourrelet et lambrequins d'or et de sable. Cimier: un dextrochère posé en pal, armé et enrichi d'or, brandissant une épée d'argent, gernie d'or.
- anobli en 1610.
- Isabeau de Hoves est la fille de Philippe de Hoves, écuyer, seigneur des Estinnes, de Préau, etc., prévôt de la ville de Valenciennes, enseigne de la compagnie d'hommes d'armes du comte de Berlaimont, lieutenant-général de la ville d'Ath et de Jeanne de Bousies, dame d'Audierbois. Jeanne de Bousies était la fille de Claude de Bousies, écuyer, et d'Isabeau de Trazegnies.
- Armes : écartelé, aux 1 et 4 tranché de gueules sur argent, à deux croissants d'argent sur le gueules et deux roses de gueules sur l'argent ; aux 2 et 3, d'or, à la trompe de sable virolée d'argent aux pendants de gueules, qui est de Roels.
- Relief de la Seigneurie de la Nieppe en l'an 1688 : "A tous ceux qui les présentes lettres verrons : Nous, Anthoine de Lens, seigneur d'Alluaigne, Lottinghem et conseillier du Roy et son lieutenant general civil et criminel de la ville et bailliage de St Omer, salut : Scavoir faisons que nous avons vu et diligement visité les lettres de raport de dame Catherinne de Coppehem dont de mot a autre la teneur sensuit : c'est le rapport et denombrement que dame Catherinne Therese de Coppehem compagne et procuratrisse speciale de Charle de Presle dit Compere escuyer seigneur de Laniepe cy devant sergeant major de cavaillierie au service du Roy catholicq fait et baille a tres haut, tres puissant, tres excellent et tres souverain monarque Louis quatorzieme Roy de France de Navarre comte d'Arthois, etc. d'un fief et noble tenement nommé le fief de Laniepe quil tien et advoue tenir de sadite Majesté accause de son comté d'Arthois, etc. En temoins de quoy nous avons fait mettre le seel es presentes." Signé Girardot : le 28 de Lan 1688.
- Armes : d'azur à la fasce d'or chargée de trois fers de lance de gueules et accompagnée de trois lévriers d'argent, deux en chef et un en pointe.
- 1702 - Consistence de la Seigneurie de la Niepe : "Les Presidens, et Tresoriers de France, Generaux de Finence, de la generalité de Lille; scavoir faison, qu'il nous est a paru Jean Charles de Prelle de Comper Escuier Seigneur de la Niepe avoir fait en nos mains la foy et hommage qu'il étoit tenu de faire au Roy pour raison du Fief et Seigneurie de la Niepe qu'il a avoué tenir de sa Majesté, à cause de son Conté d'Artois bailliage de St. Omer, et son Château de la Motte donc le raport consiste en Rentes Seigneuriales Bleds, Froments, Châpons, Œufs et Argent, avec le dixième Denier des Biens venduës; et aussi laditte Seigneurie de la Niepe, toutes Justice Fonciere et Vicontier; laquelle lui a partient par la mort de Charle de Prelle de Comper, Escuier vivant Major de Cavallerie et Capitaine d'une Compagnie de cent Chevaux Cuirassiers; et de dame Catherine Therese de Coppehem Fille de Jean de Coppehem Conseiller du Païs d'Artois ses Peres et Meres. Le dit Relief a été fait en la ville de Lille le 7 Decembre 1702." Signée de Baumarets.
- Relief fait à Lille le seize juin 1730 pour la Seigneurie de Lanieppe et deux autres fief : au sujet de Lavènement de Louis XV a la couronne de France : "Les presidens tresoriers de France generaux des finances et grand voyers de la généralité de Lille : A tous ceux qui ses presentes lettres verons salut : Scavoir faisons que Jean Charle de Prelle dit Compere escuyer Seigneur de Lanieppe : at fait en nos mains : par moi Jean Batiste Janssens advocat en cette ville et fondé a ces fins de procuration, etc. Les foys et homage quil doit au roy accause de son heureux avenement a la couronne par la morte de Louis quatorze son bisayeul pour raison de son fief et noble tenement nommé La Seigneurie de la Nieppe sistuez au village de Tilques : et pour 15 mesures de terres tant labour que bruyeres scitués au terroir de Wisernes : faisant deux fiefs dont lun contien nœuf mesures et lautres six mesures tout trois tenus et mouvant de Sa Majesté accause de sont chateau de St Omer apartenant audt Seigneur de Lanieppe ausquels fois et homage il at esté reçu sauve le droit du Roy, etc. Donné au bureau de finance et domaine de la generalité de Lille sous notre seel ordinaire le 16 juin 1730." Signé de Beaumarest.
- 1741 3 sept. — Jean-Bapte (sic) de Prelle, éc. demeurant a Nivelle tient aussi un fief et noble tenement nomme le fief et seigneurie de Berlettes en la paroisse dud. St Lievin, se consistant en rentes foncières, reliefs et droits. (Arch. du Nord. Bur. des Fin. C. 178. Rapport et dénombr. De la seigneurie de La Motte Warnecque inséré dans le Rapport du Comté de Fauquembergues, f° 234.)
- Armes : d'argent à trois fasces ondées d'azur accompagnées de trois coquilles de Saint-Jacques de gueules, deux en chef et une en pointe.
- Armes : écartelé aux 1 et 4 tranché de gueules sur argent à deux croissants d'argent sur le gueules et deux roses de gueules sur l'argent ; aux 2 et 3 d'or à la trompe de sable virolée d'argent aux pendants de gueules, qui est de Roels.
- Son prénom complet s'écrit : Charles-Siméon-Ghislain-Joseph.
- Son prénom complet s'écrit : Hyacinthe-François-Bernard.
- Lille 1743, 24 Septembre. Rapport et denombrement qu'a tres haut, très puissant et très excellent prince Louis Quinze du nom Roy de France et de Navarre, fait et rend pour son acquit et décharge le sieur Hiacinthe de Prelle, escuir (sic) Seigneur de la Nieppe, etc., d'un fief et noble tenement nommé le fief de la Nieppe, situé au village de Tilque tenu et mouvant de Sa Majesté a cause de son chateau de Saint Omer a luy echeu par le trépas du sieur Jean Charles de Prelle son pere, arrivé au mois d'avril mils sept cens quarante, se comprenant ledit fief comme s'ensuit: Primes, Mademoiselle Françoise Caroline Joseph de Beauffremez fille de feu messire Charles Alexandre Chevalier, marquis de Beauffremez et de feu dame Françoise Louise Decroix, tient neuf mesures dix sept verges de terre au lieu nommez le Briez listant zude a messieurs les religieux et abbé de Saint Bertin, nort a….. (sic), aboutant weste au sieur Nicolas Antoine Taffin, escuier, Seigneur du Hocquet, doivent par an le dimanche apres les Roy douze deniers parisis et sept œufs, cij : 12 d. parisis 7 œufs. (Suivent l'énumération, la situation et les rentes foncières des 49 parties de la Seigneurie vicomtière de la Nieppe tenues par des vassaux tenanciers.) Lequel fief et seigneurie m'apartient par la mort de Jean Charles Deprelle dit Comper, ecuyer, seigneur de la Nieppe, mon pere, arrivée au mois d'avril mil sept cent quarante, me doivent mes dits tenanciers plaid generaux trois fois l'an sur amende de trois sols parisis aux defailliants outres lesquelles droits lesdits tenanciers doivent a la vente le dixieme deniers et outre ce par l'acheteur le relief et auquel fief j'ay toute justice fonsiere et viccontiere, bailly, amant et echevins que je peut mestre et demetre toute les fois que bon me semblera de mes dits tenanciers lesquels ne peuvent refuser de l'exercer, sergeant et officiers pour madite seigneurie maintenire et garantire et si gi ait flot et flegard, amende de soixante sols parisis et en desous telle qu'a ma justice appartient, tonlieu, fourage, epaven batard et chose perdue et tous autres droit qu'a justice vicomtiere et fonsiere doit conster et appartenire, lequel mondit fief, j'avoue tenir de sadite Majesté a cause de son Chateau de Saint Omer pour dix livres parisis de relief, vingt sols parisis de cambelage a la mort, vente, don, transport, permutation d'homme et toutefois que le cas echoit, le quint denier a la vente, service de plaid en son dit Chateau de Saint Omer toutefois que je suis sufisament ajournée avecq telle droit, service, redevabilité que doivent tous autres fiefs pareille tenus du chateaux semblable a mondit fief. Lequel raport et denombrement ledit sieur Hiacinte de Prelle presente a Sa Majesté par maitre Jean Baptiste Joseph Cadran avocat en Parlement, chargé de procuration, joint a l'hommage fait dudit fief avecq pouvoir de le changer, diminuer ou augmenter s'il y echet au surplus sous les offres et protestations de non prejudice ordinaire et de droit, ainsi fait et signé a Lille le vingt quatre de septembre mil sept cens quarante trois." Signé : J. B. J. Cadran. "Le soussigné, procureur au Bureau des finances de Lille, certifie que c'est icy l'aveu et denombrement que ledit sieur de Prelle entent rendre a Sa Majesté pour le fief cy dessus enoncé, tenu du chateau de Saint Omer. Ainsi fait, signé et certifié a Lille, le vingt quatre septembre mil sept cens quarante trois." S. Rostin.
- La seigneurie de Berlette est vendue par Hyacinthe de Prelle au duc Claude Alexandre de Croÿ le 18 janvier 1745: 1745, 18 janvier. - Hîacinte-François Bernard de Prelle, dit Compère, écuyer, seigneur de la Nieppe et autres lieux, demeurant en la ville de Nivelle (Brabant-Wallon), vend à Monseigneur Ferdinand-Gaston-Claude-Alexandre-Joseph, duc de Croy, seigneur de Crecque, Rebecque, Saint Liévin, Warnecque, Houdain, etc., etc., résidant en la ville de Mons, par l'intermédiaire de son représentant Pierre Fayolle, procureur(r)-es v. et bailliage de St Omer, la terre et seigneurie fonssière et viscomtière de Berlette en la paroisse dud. St Liévin et aussy l'arrentement nommé Secquier sur plusieurs mesures de terres relevantes de différents seigneurs ; dont le titre primordial est de l'an 1531, se consistans en rentes seigneuriales, reliefs, droits seigneuriaux, et autres casuelles appartenance et dépendances ; mouv(t) de sad. Altesse (de Croy) en fief à cause de sa terre et seigneurie dud. Warnecque. Prix principal : 1500 florins de Flandres faisant en argent de France 1875 livres. (Gros de Saint-Omer. Ventes : liasse de 1741 (sic) n° 30.)
- Armes : d'argent Ă trois pals de gueules.
- Armes : écartelé aux 1er et 4e d'azur à trois fleurs de lis d'argent; aux 2e et 3e d'argent au sautoir de gueules accompagné, en chef d'une fleur de lis, et dans chacun des autres cantons, d'un maillet le tout de gueules.
- Jean-Charles de Prelle, Notes manuscrites, dans Archives de la famille de Prelle de la Nieppe : 1700. Le 15 mars 1700 mon oncle François-Louis de Prelle dit Compère Bailly de Chatelet : ayant fait mettre toutte la bourgoisie sur les armes aux environs de Chatelet pour faire honneur au prince de Liège, Clément de Bavière, qui passoit par là : à la première décharge qu'on at fait : son cheval fut malheureusement emporté, et est tombé mort en bas de son dit cheval ayant esté suffocqué par une courtresse d'haleine, comme l'on croit, âgé de soixante-trois ans; il est enterré en l'Église à Chatelet.
- Relief le 11 avril 1685. On lit dans l'Annuaire de la Noblesse belge de 1894: "François-Louis, avait relevé le fief des Pêcheries et Coultures de Sclayn le 11 avril 1685 par le décès de son beau-frère Jean-Jacques de Fossez."
- Relief le 19 novembre 1700. On lit dans l'Annuaire de la Noblesse belge de 1890, p. 160: "Ce fut Madame Jacquier de Fontenelle, sa cousine germaine, née Isabelle de Gozée, qui, à son décès, hérita de ce fief et en fit le relief le 30 juin 1755".
- Son prénom complet s'écrit : Jean-Charles-François-Ghislain.
- d'azur, à trois étoiles à huit rais d'or, 1 en chef à senestre et 2 en pointe, au franc-quartier d'argent, chargé de trois chevrons de sable.
- Son prénom complet s'écrit : Charles-Adrien-Joseph-Ghislain.
- Il est enregistré dans les registres de l'armée belge sous le nom Charles-Adrien-Joseph-Ghislain de Presle de la Nieppe, variante du nom de Prelle de la Nieppe porté par les membres de cette famille avant la reconnaissance de noblesse en 1823 sous le régime hollandais (qui imposa l'orthographe actuelle).
- Son prénom complet s'écrit : Emmanuel-François-Marie-Joseph-Ghislain.
- Son prénom complet s'écrit : Charles-Emmanuel-Léon-Bernard.
- Son prénom complet s'écrit : Edmond-Paul-Emmanuel.
- Jeanne Gonzalès de Linarès était la veuve du cousin d'Edmond de Prelle de la Nieppe (1873-1959) : le comte Albert du Bois.
- Armes : d'or à deux fasces de sinople, surmontées d'un lion léopardé passant, au naturel, portant une ceinture de gueules et d'argent ; parti de gueules au lion d'or ; à la bordure cousue d'azur chargée de huit étoiles d'argent, 3, 2, 3.
- Son prénom complet s'écrit : Paul-Marie-Édouard.
- Son prénom complet s'écrit : Maxime-Guillaume-Marie-Joseph.
- Dont sont issues Christine, Suzanne et Madeleine.
- Son prénom complet s'écrit : Emmanuel-Marie-Joseph-Ghislain.
- Son prénom complet s'écrit : Bernard-Hyacinthe-Marie-Charles-Ghislain.
- Armes : écartelé aux 1er et 4e, d’or à trois maillets (droits) ; aux 2e et 3e, cinq points d’or, équipolés à quatre points de sable.
- Son prénom complet s'écrit : Auguste-Marie-Adrien-Joseph-Ghislain.
- Son prénom complet s'écrit : Fernand-Paul-Louis-Ghislain.
- On lit ceci dans le quotidien le Courrier de Nivelles du 24 mars 1883 à propos de la mort de Fernand de Prelle : "Un jeune homme pour qui l'avenir s'ouvrait plein d'espérance et de promesses, M. Fernand de Prelle, lieutenant au 14e de ligne, vient de mourir en notre ville à l'âge de 36 ans. Cette mort prématurée jette la désolation au sein d'une des familles les plus considérées de notre Brabant-Wallon ; elle ravit à l'affection de nombreux amis, un de ces hommes forts et énergiques, un de ces caractères droits et fermes dont l'amitié s'impose à tous ceux que les rapports quotidiens de la vie ont mis à même d'apprécier de si nobles qualités. Fernand de Prelle avait choisi la carrière des armes parce qu'elle répondait à son caractère viril et à sa nature enthousiaste. Quoique bien doté de la fortune il avait voulu conquérir ses grades par son travail et c'est à la caserne, en vivant de la vie du soldat, qu'il avait fait l'apprentissage de son rude et noble métier. Nous avons vu ses amis et ses chefs suivre ses funérailles et nous les avons entendu faire l'éloge de ce cœur noble et généreux, de cet ami dévoué et fidèle que tous considéraient bien plus comme un frère que comme un collègue ou un subordonné. Libéral sincère et convaincu, Fernand de Prelle n'avait jamais failli à ses devoirs de citoyen : il considérait l'inaction ou l'indifférence politique comme un danger contre lequel il ne cessait de réagir ; aussi, à chaque scrutin, le voyons-nous accourir de loin pour venir apporter à nos amis politiques un gage de ses sentiments d'estime et de confiance. Les funérailles de cet homme estimé ont eu lieu mercredi, au milieu d'un immense concours de parents et d'amis qui, par leur attitude recueillie, témoignaient de leurs profonds regrets et de leur admiration pour celui qu'une mort trop prompte enlevait à leur affection."
- Son prénom complet s'écrit : Edgar-Bernard-Albert-François-Auguste-Ghislain.
- Publications sur le site WorldCat.org.
- Armes : d'azur à la bande d'argent accosté en chef d'une jambe toute cuirassée et éperonnée du même, et en pointe d'un renard passant d'or sur une terrasse de sinople.
- Armes : d'argent à trois lions de gueules couronnés et armés d'or.
- Jeanne Barbanson était la fille de Jean-Baptiste Barbanson (1765-1831), IUL, qui prêta serment d'avocat au Conseil de Brabant le 3 avril 1786, capitaine de la garde bourgeoise du lignage Sweerts, nommé le 4 juin 1790, puis président du tribunal de première instance de Bruxelles de 1823 à 1830 à l'époque du Royaume uni des Pays-Bas, et de Marie-Thérèze Schwartz (ou Schwarts). Voir filiation no 97, approuvée par l'Association royale des descendants des lignages de Bruxelles. Lire : Beaudouin Walckiers, Filiations lignagères bruxelloises contemporaines, Bruxelles, 1999, p. 115 et Marie-Pierre Verhaegen, "Pierre-Théodore Verhaegen : L'homme et sa famille", dans : Pierre-Théodore Verhaegen. L'homme, sa vie, sa légende, Bruxelles, 1996, p. 25, ainsi que Henry-Charles van Parys, La garde bourgeoise de Bruxelles sous l'Ancien Régime et ses capitaines, Bruxelles, 2001. Notice biographique de Jean-Baptiste Barbançon, pp. 317-318.
- Son prénom complet s'écrit : Adrien-Alfred-Jules-Bernard-Joseph-Marie-Ghislain.
- Voir le monument funéraire à Budingen ici
- Son prénom complet s'écrit : Roger-Jules-Jean-Bernard-Joseph-Marie-Ghislain.
- Armes : de gueules à la fasce d’argent chargée de trois marteaux (penchés) de sable.
- Armes : de sinople au chevron d'or accompagné en chef de deux… d'argent et en pointe d'un… d'argent.
- Son prénom complet s'écrit : Alain-Roger-Edgard-Adrien-Jean-Ludovic-Marie-Ghislain.
- Dont sont issus: Patricia (°1947), Cédric (°1949), Mauriella (°1952) et Yola (°1956).
- Son prénom complet s'écrit : Réginal-Ghislain
- Guerres d'Irlande du Nord, du Biafra et de Palestine.
- Référencée sous le nom Gept de Sauvian dans le High Life de Belgique. La famille Gept porte indûment les armes de la famille de Gep, seigneurs de Fos, de Sauvian et de Ginestet, auxquels ils ont longtemps pensé être rattachés - sans preuves. Néanmoins, la proche orthographe des deux patronymes et la région d'origine commune aux deux familles (le Languedoc) prêtent à confusion.
- Son prénom complet s'écrit : Yves-Christian-Marie.
- « Par arrêté royal du 21 février 2010, entrant en vigueur le 31 janvier 2011, M. de Prelle de la Nieppe, Y., premier substitut du procureur du Roi près le tribunal de première instance de Nivelles, est admis à la retraite à sa demande. Il est admis à faire valoir ses droits à la pension et est autorisé à porter le titre honorifique de ses fonctions. », paru dans Le Moniteur belge, 21 février 2010, consulter sur www.ejustice.just.fgov.be.
- « Par arrêté royal du 26 novembre 2010, M. de Prelle de la Nieppe, Y., premier substitut du procureur du Roi près le tribunal de première instance de Nivelles, est promu Commandeur de l'Ordre de la Couronne. », paru dans Le Moniteur belge, 26 novembre 2010, consulter sur www.ejustice.just.fgov.be.
- « Par arrêtés royaux du 1er juin 2008 : (…) - Sont promus au grade d'Officier de l'Ordre de Léopold : (…) de Prelle de la Nieppe Y., premier substitut du procureur du Roi près le tribunal de première instance de Nivelles (08.04.2005); (…) », paru dans Le Moniteur belge, 1er juin 2008, consulter sur www.ejustice.just.fgov.be.
- Dont sont issus: Magali (° 1979), chanteuse lyrique ; Arnaud (° 1982), ingénieur civil (ULB) ; Bertrand (° 1984), physicien.
- Anciennement Villa Belle Vue, elle fut renommée en Pavillon des Sphinx après que l'on y eut installé deux statues représentant l'animal mythologique.
- Marie-Marguerite dite Daisy (1919-2002), Alain (1922-1955) et RĂ©ginald (1926-2014).
- Désigné par le conseil souverain de Brabant.
- De la famille du peintre François Navez.
- Jean de Compère dit de Prelle était le fils de Jean Compère dit de Prelle (†ca. 1580) et de Suzanne de Bousies dite de Vertaing (†ca. 1582).
Références
- Législation héraldique du Royaume des Pays-Bas. Liste des arrêtés royaux renfermant des dispositions en matière de noblesse. Troisième partie, dans Annuaire de la Noblesse de Belgique, 1857, p. 240: « 239. Arrêté royal donné à Bruxelles 1 janvier 1823, no 149 : Jean-Charles-François-Ghislain de Prelle de la Nieppe et Bernard-Hyacinthe-Marie-Charles-Ghislain de Prelle obtiennent reconnaissance de noblesse. »
- René Goffin, Compère, Coppe et de Prelle, dans Généalogies Nivelloises, parues dans Annales de la Société Archéologique et Folklorique de Nivelles et du Brabant Wallon A. S. B. L., première partie, tome XV, 1951, p. 162-163.
- Jean-François Houtart, Anciennes familles de Belgique, Recueil LXI de l'Association royale Office Généalogique et Héraldique de Belgique, Bruxelles, 2008, p. 127.
- Bibliothèque Royale de Belgique, Cabinet des Manuscrits, Fonds Goethals, manuscrit no 753, fo 152.
- Bibliothèque Royale de Belgique, Cabinet des Manuscrits, Fonds Goethals, manuscrit no 759, p. 92.
- André Borel d'Hauterive, Notice historique sur les familles nobles de Belgique (cinquième article): PRELLE, in Annuaire de la noblesse de France de des Maisons souveraines de l'Europe, 1883, pp. 197-198. Lire en ligne.
- J. Kaisin, Annales historiques de la commune de Farciennes, tome 1, Imprimerie C. Duculot-Roulin Librarie-Éditeur, Tamines, 1889, pp. 383-397. Lire en ligne.
- Baudouin Duvieusart, Coppe, Compère et de Prelle : comprendre les études de Goffin, Le Parchemin, Bulletin bimestriel édité par l'Association royale Office Généalogique et Héraldique de Belgique, 77e année, juillet-août 2012, no 400, p. 337.
- Mémoires et publications de la Société des sciences, des arts et des lettres du Hainaut, Maison Léon Lasseau, 1889, p. 273.
- F. Bastin Lefebvre, Jumet, Heigne, Roux et Sart-les-Moines, Charleroi, 1895, p. 34 et 75.
- E. Prud'homme, Les échevins et leurs actes dans la province du Hainaut, dans Mémoires et publications de la Société des sciences, des arts et des lettres du Hainaut, Mons, 1890, p. 273.
- René Goffin, La Maison d'Enghien, parue dans Généalogies Enghiennoises, Livre I: "Marie d'ENGHIEN-HAVRECH conjointe à Lambert COMPERE, né vers 1415, maïeur de Gosselies en 1447, échevin de Jumet en 1447 et 1461."
- Archives de l'État à Mons, Abbaye de Lobbes, cartulaire
- U. Berliere, Recherches historiques sur Gosselies, tome I, p. 69.
- Chirographe de Nivelles, 14 novembre 1430.
- René Goffin, Généalogies nivelloises, deuxième partie, p. 313 (corrections).
- Baudouin Duvieusart, Coppe, Compère et de Prelle : comprendre les études de Goffin, Le Parchemin, Bulletin bimestriel édité par l'Association royale Office Généalogique et Héraldique de Belgique, 77e année, juillet-août 2012, no 400, p. 339-342.
- Goethals, Généalogie de la famille t'Serclaes, dans Dictionnaire généalogique.
- Edgar de Prelle de la Nieppe, Epitaphier de Nivelles, p. 25, Librairie de Charles Guignardé, Imprimeur de la Société Archéologique, Boulevard des Arbalétriers à Nivelles.
- Baudouin Duvieusart, Coppe, Compère et de Prelle : comprendre les études de Goffin, Le Parchemin, Bulletin bimestriel édité par l'Association royale Office Généalogique et Héraldique de Belgique, 77e année, juillet-août 2012, no 400, p. 353.
- François de Cacamp, "Généalogie des familles inscrites au lignage t'Serroelofs en 1376", "T'Serclaes", dans : Généalogies des familles inscrites aux Lignages de Bruxelles en 1376, Bruxelles, 1971, tome III, pp, 842 à 879, surtout p. 853.
- Memo Mondain 2013, Les Ă©ditions C.L.B. SA, 2013, p. 619-620
- High Life de Belgique, 104e année, 1984, p. 1004.
- Baudouin Duvieusart, Coppe, Compère et de Prelle : comprendre les études de Goffin, Le Parchemin, Bulletin bimestriel édité par l'Association royale Office Généalogique et Héraldique de Belgique, 77e année, juillet-août 2012, no 400, p. 343.
- Prelle, dans Annuaire de la noblesse belge, 1862, pp. 162-163.
- Baron Fernand de Ryckman de Betz, Armorial général de la noblesse belge, H. Dessain, Liège, 1957, p. 379.
- Baron H. De Meester de Betzenbroeck, Épigraphie de la Hesbaye hutoise, Société des Bibliophiles liégeois, 1975, pp. 119-135.
- Dominique de Kerckhove dit van der Varent, Vitraux armoriés de la chapelle du château de Waleffe, paru dans Le Parchemin, Bulletin bimestriel édité par l'Association royale Office généalogique et héraldique de Belgique, septembre-octobre, 2014, pp. 387-406.
- Ajouts et corrections, Le Parchemin, Bulletin bimestriel édité par l'Association royale Office généalogique et héraldique de Belgique, novembre-décembre, no 426bis, 2016, p. 704.
- Baudouin Duvieusart, Coppe, Compère et de Prelle : comprendre les études de Goffin, Le Parchemin, Bulletin bimestriel édité par l'Association royale Office Généalogique et Héraldique de Belgique, 77e année, juillet-août 2012, no 400, p. 347.
- Marc Belvaux, Un vitrail armorié au château de la Forge à Anthée, Bulletin bimestriel édité par l'Association royale Office Généalogique et Héraldique de Belgique, 71e année, mai-juin 2006, no 363, p. 202.
- Marc Belvaux, Témoignages héraldiques des familles de Jacquier de Rosée et alliées., Bulletin bimestriel édité par l'Association royale Office Généalogique et Héraldique de Belgique, 87e année, juillet-août 2022, no 460, p. 360.
- Laurent Le Blond, Quartiers Généalogiques, p. 365 : "Dans l'église de l'abbaye des Dames de Denain se trouve, près de l'autel de la Sainte Vierge, une pierre bleue représentant une chanoinesse avec une lozange, parti au premier de l'écu de Havrech, au chef d'argent à trois étoiles de... au deuxième d'argent au lion de gueules, à l'orle édenté de même, avec l'épitaphe suivante: Cy git noble et vertueuse demoiselle Jeanne de Prelle, en son temps demoiselle de cette maison, laquelle a fait plusieurs ouvrages en l'honneur de Dieu, entr'autres une châsse d'argent des 11000 vierges, laquelle est décédée en l'âge de 96 ans, le 4 mai 1603, ayant vescu en ladite maison l'espace de 85 ans. Priez Dieu pour son âme."
- René Goffin, Compère, Coppe et de Prelle, dans Généalogies Nivelloises, parues dans Annales de la Société Archéologique et Folklorique de Nivelles et du Brabant Wallon A. S. B. L., première partie, tome XV, 1951, p. 164.
- Corneille Stroobant, Histoire de la commune de Feluy, Volume 1, Bruxelles, 1858, p. 78. Lire en ligne.
- René Goffin, La Famille de SIRIEU dite CANEBUSTIN, Soignies, Imprimerie Delattre, pp. 3,7: Armes : d'or à un demi-sanglier au naturel ou de sable, défendu d'argent. Ce blason, vraiment unique, fut souvent remplacé par le suivant: d'or à une hure de sanglier de sable, très répandu (1). Sirieu(x) est un hameau de Thieusies. Canebustin est un panier ventru, muni d'une anse. (1) Et c'est encore ainsi qu'il fut porté, en écartelure, aux XVe – XVIe siècles par les Descamps et les Compère (depuis, de Prelle), issus des époux Descamps-Canebustin.
- René Goffin, Compère, Coppe et de Prelle, dans Généalogies Nivelloises, parues dans Annales de la Société archéologique et folklorique de Nivelles et du Brabant Wallon A. S. B. L., première partie, tome XV, 1951, p. 165.
- Jean le Carpentier, Histoire de Cambray et du Cambrésis, 3e partie, p. 676: (…) Deux autres Chartes (qui se voyent à S. Aubert avec les precedentes) dés années 1493 & 1500, font mention de Jean de Haynecourt dit le Borge Escuyer, de Jeanne de Tortequenne sa mere, d'Adrienne de Beaumont sa femme, de Jean dit le Borgne son fils aisné, & d'Anthoine de Haynecourt Sieur de Layens son fils puisné. Il y parle pareillement de Jacque de Tortequesne, de Jeanne de Haynecourt, sa femme, fille du sus-dit Jean, de Marie le Leu son ayeule, & d'Eustache Compere de Presle Escuyer Bailly de S. Aubert. (…)
- Mémoires et publications de la Société des sciences, des arts et des lettres du Hainaut, Société des sciences, des arts et des lettres du Hainaut, Maison Léon Lasseau., 1879.
- René Goffin, Compère, Coppe et de Prelle, dans Généalogies Nivelloises, parues dans Annales de la Société Archéologique et Folklorique de Nivelles et du Brabant Wallon A. S. B. L., première partie, tome XV, 1951, p. 171.
- Baudouin Duvieusart, Coppe, Compère et de Prelle : comprendre les études de Goffin, Le Parchemin, Bulletin bimestriel édité par l'Association royale Office Généalogique et Héraldique de Belgique, 77e année, juillet-août 2012, no 400, p. 352.
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- Les fiefs du Comté de Namur, p. 217, IIIe Livraison.
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- Voir notice biographique : Aude Hendrick, "de Prelle de la Nieppe Emmanuel", dans : Dictionnaire d'Histoire de Bruxelles, Bruxelles, Ă©ditions Prosopon, 2013, p. 257.
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- Voir notice biographique : Aude Hendrick, "de Prelle de la Nieppe Charles", dans : Dictionnaire d'Histoire de Bruxelles, Bruxelles, Ă©ditions Prosopon, 2013, p. 257.
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- Oscar Coomans de Brachène, État présent de la noblesse belge, Annuaire de 1996, seconde partie Pon-Pro, Bruxelles, 1996, p. 333-339.
- Journal des débats politiques et littéraires, Mercredi 21 juin 1921, no 179, 133e année, Paris, p. 2:"M. de Prelle de la Nieppe (Maxime), de nationalité belge, membre du service franco-belge de l'agence des prisonniers de la Croix-Rouge internationale : a fait preuve de 1915 à 1919 d'abnégation et d'un zèle infatigables dans un travail destiné à renseigner les familles sur l'emplacement des tombes des soldats français morts au champ d'honneur ; s'est dépensé sans compter durant toute la guerre à la cause française."
- Prelle de la Nieppe (de), dans Annuaire de la noblesse belge, 1890, p. 168.
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- Docteur F. Le Bon, « Nos vieiles maisons », Annales de la Société Archéologique de Nivelles, Nivelles, 1898, Tome VI, p. 104 : Hôtel de Messire de Herzelle, rue de Mons, no 47. - Dès 1340, lorsqu'une abbesse de Nivelles " faisait son entrée ", c'est dans cette maison qu'elle descendait et qu'elle revêtait son riche manteau garni d'hermine, insigne de sa dignité. Un membre de la famille de Herzelle devint évêque d'Anvers en 1743. Cet hôtel est la propriété de la famille de Prelle de la Nieppe depuis le XVIIe siècle ; depuis cette époque, cette famille n'a cessé de l'habiter. Il est mentionné comme faisant partie de la part attribuée à Messire Emmanuel de Prelle, premier juré de Nivelles, dans le partage entre lui et sa femme, Bernardine Rauvoet, en date du 10 novembre 1694; Bernardine Rauvoet en avait hérité par testament en date du 23 mai 1687 de Marie-Jeanne Roels, veuve de Messire Guillaume Servais, écuyer, seigneur de la Potte, maïeur royal de la seigneurie de Rognon. En 1618, cette maison, dont on remarque encore actuellement l'encadrement gothique de la porte, était déjà la propriété de la famille Servais, ainsi que le prouve une pierre encastrée dans une des murailles du jardin, portant les armoiries des Servais entre les initiales F. S., ainsi que le millésime 1618.
- « Ville de Nivelles, Exposition de photographie d'intérêt local, organisée par la société archéologique de l'arrondissement de Nivelles », Catalogue, 1912, p. 30-31.
- G. Willame, Edgar de Prelle de la Nieppe (1854-1915), dans les Annales de la Société Archéologique de Nivelles, 23 octobre 1915.
- Emile de Lalieux, « Les Seigneurs de Bornival », p. 122.
- Docteur F. Le Bon, « Nos vieiles maisons », Annales de la Société Archéologique de Nivelles, Tome VI, Nivelles, 1898, p. 106-107 : Hôtel de Roben. - Cette demeure est située sur la Grand'place no 6, en face de la collégiale Ste Gertrude. Nous avons connu cet hôtel dans le premier tiers de ce siècle. Il était encore dans toute sa splendeur : on y admirait deux salons de style Louis XV, dont les murs sont recouverts de panneaux finement sculptés, ainsi qu'un grand escalier, chef-d'œuvre de la menuiserie nivelloise. Le 24 décembre 1674, le sieur Baron de Bornival présente une "requête tendante à ce que comme les buses des fontaines de la ville passent vis-à -vis du blanc lévrier où la Cour de Sa Seigneurie du fieff de Roignon tient les plaids, on voudroit lui permettre d'attacher à ses frais un petit tuyau aux buses des dittes fontaines... Les trois membres eu égard aux services que le dit seigneur a rendu à la ville et qu'il prétend de continuer encor cy après, luy ont accordé de pouvoir attacher aux buses et en tirer un filet d'eau". Cet hôtel était habité, au commencement du siècle d'abord par la famille de Prelle de la Nieppe, ensuite par la douairière Baronne de Roben de Clabecq, née marquise de la Croix de Chevrières de Sayve. Celle-ci est morte en 1823, regrettée de toute notre population. Après sa mort, son hôtel fut vendu à M. Corbisier de Méaulsart, devenu président du tribunal. Ce magistrat l'occupa jusqu'en 1830. Ce fut ensuite l'Hôtel de la Couronne et de Ste Gertrude. L'ouverture du chemin de fer de Manage à Wavre restreignit tellement la clientèle de cet établissement, que le propriétaire dut en cesser l'exploitation et le vendre à M. Auguste Despret, qui y a établi une imprimerie-librairie et un atelier de photographie.
- Photographie dans : L'Émulation, 1910, pl. VI. Voir aussi, Archives de la Ville de Bruxelles , no 14775, permis de bâtir à de Prelle de 1891. En 1871 déjà , Emmanuel de Prelle de la Nieppe (1809-1887), premier président de la Cour d'appel, avait acquis un hôtel particulier en cette même avenue qui commençait à se lotir. Lire : Xavier Duquenne, L'avenue Louise à Bruxelles, Bruxelles, 2007, p. 174, ainsi que pp. 150, 178, 183, 188 et 189.
- Villas d'hier sur le site officiel de la ville de Beez
- François Lemaire, Notice historique sur la ville de Nivelles, et sur les abbesses qui l'ont successivement gouvernée depuis sa fondation jusqu'à la dissolution de son chapitre, Nivelles, F. Guisenaire imprimeur-éditeur, 1848, pp. 214-215, 335 p. Lire en ligne.
- Recueil des lois de la République Française, des actes du gouvernement et des autorités constituées depuis l'erection de l'Empire Français, tome Ier, cahier Ier, Bruxelles, p. 315: (N.° 386.) Décret impérial qui autorise l'administration générale, des pauvres de Nivelles, département de la Dyle; à accepter la Donation faite par la dame Debiseau-Decarville, épouse de Mr. Bernard-Deprelle, de la maison dite le Refuge d'Orival et ses dépendances, à l'effet d'y établir un atelier de travail pour les pauvres. (Saint-Cloud, 19 Brumaire an 13.)
- Le musée : histoire de la maison, sur le site officiel de la ville de Nivelles, à consulter ici
- 1815 Nivelles avant… et après la bataille, sur le site Les monuments de l'Empire, à consulter ici
- « Topo map viewer », www.ngi.be, © 2012 IGN Topomapviewer.
- Arrondissement de Nivelles, dans Le Patrimoine Monumental de la Belgique, volume 2, partie 5, p. 410.
- D. Hallet, Documents et rapports de la Société royale paléontologique et archéologique de l'arrondissement judiciaire de Charleroi, Tome XXX, 1904, p. 112.
- Lettres patentes signées par Anne-Caroline de Lierneux épouse de Monsieur de Sire de Melun, François de Sire, Hyacinthe de la Nieppe, le mayeur et les échevins de la haute Cour et Justice de Presle.
- Edgar de Prelle de la Nieppe, Cartulaire de la famille de Prelle de la Nieppe, 1904.
- J. Kaisin, Annales de la commune de Farciennes, Tome II, Tamines, 1889, p. 448-449.
Voir aussi
Familles alliées
Articles connexes
Liens externes
- Descendance capétienne sur le site www.capet.org, la descendance capétienne.
- Généalogie de la famille de Prelle de la Nieppe.
- Restauration du tableau La Vierge à l'Enfant, Un tableau, de l'ombre à la lumière, dimanche 7 octobre 2012, église paroissiale Sainte-Aldegonde à Feluy.