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Corée

La CorĂ©e est un pays d'Asie de l'Est divisĂ© depuis 1945 en deux États souverains et antagonistes, la CorĂ©e du Nord et la CorĂ©e du Sud, qui revendiquent la reprĂ©sentation de l'ensemble de la CorĂ©e. Le territoire de la CorĂ©e a des frontiĂšres terrestres avec la Chine et la Russie, une frontiĂšre maritime avec le Japon, et trois façades maritimes sur la mer Jaune Ă  l'ouest, le dĂ©troit de CorĂ©e au sud et la mer du Japon Ă  l'est que les CorĂ©ens appellent mer de l'Est. Il occupe une superficie de 220 258 km2[1] - [2]. La CorĂ©e s'Ă©tend principalement sur la pĂ©ninsule de CorĂ©e, entourĂ©e de nombreuses Ăźles ainsi que des terres situĂ©es entre l'isthme de CorĂ©e et les fleuves Yalou et Tumen.

Corée

ìĄ°ì„ /æœéźź ChosƏn (CorĂ©e du Nord)

한ꔭ/韓朋 Hanguk (CorĂ©e du Sud (en))

Hymne

en corĂ©en : Chant patriotique (CorĂ©e du Nord) (Aegukka, « Chanson de l'amour pour le pays »), ì• ê”­ê°€

en corĂ©en : Aegukga (CorĂ©e du Sud) (Aegukga, « Chanson de l'amour pour le pays »), ì• ê”­ê°€
Description de l'image Korea (orthographic projection).svg.
GĂ©ographie
Superficie totale 220 258 km2
DĂ©mographie
Gentilé Coréen
Population totale (2017) 77 000 000 hab.
DensitĂ© 349,06 hab./km2

La CorĂ©e est peuplĂ©e de plus de 75 millions d’habitants presque exclusivement corĂ©ens. À la suite de la fin de la colonisation japonaise (1905 – 1945), la CorĂ©e acquiert son indĂ©pendance. Les tensions entre le camp des communistes, soutenus par l'URSS et la Chine, et le Sud, soutenu par les États-Unis, empĂȘchent de trouver un accord sur la formation d'un gouvernement unifiĂ©. La pĂ©ninsule est divisĂ©e en 1945 par l'URSS et les États-Unis sous promesse de rĂ©unifier rapidement le pays par un gouvernement unitaire dĂ©mocratiquement Ă©lu. Le climat politique turbulent et les intĂ©rĂȘts gĂ©opolitiques des deux grandes puissances empĂȘchent cette rĂ©unification. Par consĂ©quent, les deux camps divisĂ©s se constituent en États,

La division étatique ne permet pas de stabiliser le climat politique sur la péninsule. Le 25 juin 1950, la Corée bascule dans la guerre et demeure depuis 1953, à la suite de la signature de l'armistice de Panmunjeom, un conflit gelé.

Les deux CorĂ©es ont la mĂȘme langue officielle, le corĂ©en, supposĂ© d’origine altaĂŻque. Jusqu’au XVe siĂšcle, la langue corĂ©enne n'avait pas d’écriture propre et utilisait les sinogrammes chinois par les systĂšmes Idu et Hyangchal. Aujourd’hui, le corĂ©en s’écrit avec l'alphabet hangeul.

En plus des deux États indĂ©pendants, le peuple corĂ©en a une large diaspora aux États-Unis, dans les ex-rĂ©publiques soviĂ©tiques et en Chine. Les Chinois ethniquement corĂ©ens habitent la prĂ©fecture autonome corĂ©enne de Yanbian, au nord-est de la province du Jilin. Cette rĂ©gion peut ĂȘtre assimilĂ©e Ă  l'un des trois royaumes historiques, celui de Goguryeo.

La CorĂ©e est surnommĂ©e le pays du Matin calme (litt. : « pays du Matin frais » : Joseon (ou Chosǒn) (ìĄ°ì„ , æœéźź).

GĂ©ographie

Topographie

Le paysage se compose Ă  70 % de zones montagneuses partiellement couvertes de forĂȘts Ă  l’est et sĂ©parĂ©es par des vallĂ©es profondes et Ă©troites. Dans l’ouest et le sud, on trouve des plaines cĂŽtiĂšres peuplĂ©es et cultivĂ©es.

La chaĂźne principale est constituĂ©e par les monts Taebaek, qui occupent le versant oriental de la pĂ©ninsule. Il existe Ă©galement une cinquantaine de montagnes dĂ©passant les 2 000 m d’altitude, pour la plupart situĂ©es dans le Hamgyong au nord, dont le point culminant est le mont Paektu (2 744 m).

Hydrographie

Le Yalou et le Tuman sont les deux fleuves les plus importants (790 km et 520 km respectivement). Ils marquent la frontiĂšre avec la rĂ©publique populaire de Chine et la CorĂ©e du Nord. Le Han (514 km), qui traverse SĂ©oul, et le Nakdong (506 km) assurent aussi bien les besoins en eau des villes que ceux de l’agriculture.

Littoral et Ăźles

La CorĂ©e du Sud occupe la partie mĂ©ridionale de la pĂ©ninsule corĂ©enne, qui s’étend sur 1 100 km, du continent asiatique vers le sud. Cette pĂ©ninsule montagneuse est baignĂ©e Ă  l'ouest par la mer Jaune et Ă  l'est par la mer de l'Est (ou, comme l'appellent les Japonais, la mer du Japon, mais cette appellation n'est pas reconnue par la communautĂ© internationale,). Au sud, le dĂ©troit de CorĂ©e sĂ©pare les cĂŽtes corĂ©enne et japonaise.

Ses cĂŽtes sont trĂšs dĂ©coupĂ©es, et on y compte plus de trois mille Ăźles dont la principale est Jeju, situĂ©e Ă  85 km au sud de la pĂ©ninsule.

Le cas des rochers Liancourt (appelĂ©s aussi « Dokdo ») est particulier : bien qu’ils soient administrĂ©s par la CorĂ©e du Sud et compris dans le territoire corĂ©en depuis 1954, ils sont toujours revendiquĂ©s par le Japon.

Climat

Le climat local est typique des façades orientales des continents, mais avec des nuances selon les zones. La cÎte sud a un climat subtropical humide et est touchée par le régime des moussons appelé localement le jangma, permettant notamment la culture du riz. En remontant vers le nord, le climat devient trÚs vite continental avec des hivers de plus en plus rudes car plus influencé par la Sibérie. Les hivers sont relativement secs.

La pĂ©ninsule reste exposĂ©e aux alĂ©as climatiques : ainsi, les inondations en CorĂ©e du Nord ont causĂ©, en , plus de 600 morts et disparus et touchĂ© plus d’un million de personnes[3], entraĂźnant une demande d’aide internationale du gouvernement nord-corĂ©en et des appels Ă  dons d’ONG[4].

Flore

La vĂ©gĂ©tation naturelle dans la pĂ©ninsule corĂ©enne peut ĂȘtre classifiĂ©e selon quatre Ă©corĂ©gions principales, essentiellement en fonction de la rudesse des hivers. Tout au sud, sur la cĂŽte exposĂ©e Ă  un climat subtropical et pratiquement Ă  l'abri des gelĂ©es, elle est normalement constituĂ©e d'une forĂȘt toujours verte de type laurisylve (forĂȘts sempervirentes de CorĂ©e mĂ©ridionale) tandis que la plus grande partie de la pĂ©ninsule est couverte par des arbres Ă  feuilles caduques (forĂȘts dĂ©cidues de CorĂ©e centrale). Toutefois, ce sont des rĂ©gions trĂšs peuplĂ©es, en grande partie urbanisĂ©es ou consacrĂ©es Ă  l'agriculture. Dans les montagnes et dans le Nord de la CorĂ©e, les conifĂšres se font de plus en plus prĂ©sents, notamment le pin blanc de CorĂ©e et le sapin de Mandchourie : ce sont les zones des forĂȘts mixtes de Mandchourie et celle des monts Changbai[5].

Faune

La faune de Corée appartient à l'écozone paléarctique. Parmi les espÚces natives ou endémiques de la péninsule coréenne, on trouve le liÚvre coréen, le cerf d'eau, le mulot coréen, la grenouille brune coréenne ou encore l'épinette coréenne (en). La zone coréenne démilitarisée constitue une réserve naturelle faunique inédite, abritant des espÚces menacées telles que la grue à couronne rouge et le léopard de l'Amour.

Culture et arts

Dans les textes chinois antiques, la CorĂ©e est dĂ©signĂ©e sous le nom de « fleuves et montagnes brodĂ©s dans la soie » (錩çčĄæ±Ÿć±±) et « la nation orientale du dĂ©corum » (東æ–č穼愀äč‹ćœ‹). Aux VIIe et VIIIe siĂšcles, la route de la soie a reliĂ© la CorĂ©e Ă  l’Arabie. DĂšs 845, les commerçants arabes ont Ă©crit : « au-delĂ  de la Chine est une terre oĂč l’or abonde et qui est appelĂ©e Silla. Les musulmans qui y sont allĂ©s ont Ă©tĂ© charmĂ©s par le pays et tendent Ă  s’y installer et Ă  abandonner toute idĂ©e de partir. »

Le hanbok est le vĂȘtement traditionnel corĂ©en. D'apparence gĂ©nĂ©rale assez sobre, il peut comporter certains raffinements.

Le tigre blanc (백혞), le dragon bleu (ìȭ룥), le phĂ©nix rouge (ìŁŒìž‘) et la tortue noire (현묮) sont les quatre gardiens de la CorĂ©e ancestrale dans la mythologie corĂ©enne[6].

Musique et danse

Il existe traditionnellement plusieurs types de musiques, selon les cultures, en Corée :

- les musiques de cour, telles les aak et tangak, d'inspiration chinoise, ou le hyangak, qui, Ă  partir du VIe siĂšcle, devient plus local,

- les musiques chamaniques, telles que le samulnori et ses danses tournantes, dans les nongak ou le sinawi, improvisé,

- la musique bouddhique, reprenant généralement les rituels apportés de Chine du bouddhisme chån (appelé son localement et zen au Japon), tandis que le hwach'ong s'inspire davantage du folklore local,

- le Pansori, musique chantée accompagnée de percussions janggu, qui est classé au patrimoine culturel immatériel par l'UNESCO.

Cuisine

Tteok (pates de riz gluant) au gochujang (sauce pimentée).

La péninsule coréenne se distingue également par sa cuisine, qui fait la part belle aux plats d'accompagnements (banchan servi lorsque l'on consomme du riz), parmi lesquels il existe une grande variété de légumes saumurés (kimchi), et parfois trÚs épicés. On remarque une grande présence du sésame et de l'huile de sésame grillée, ainsi que, depuis le milieu du XXe siÚcle, de nombreux plats pimentés. Les plats les plus souvent représentés à l'étranger sont :

- le bulgogi (barbecue corĂ©en), utilisant gĂ©nĂ©ralement des fines tranches de bƓuf (viande, langue) marinĂ©e, souvent de porc et parfois de fruits de mer,

- le bibimbap (plat de riz couvert de cinq aliments de couleurs différentes),

- les gimbap (mets proche du makizushi japonais, mais au sésame et généralement végétarien),

- la crĂȘpe corĂ©enne (sorte d'omelette trĂšs fine),

- le japchae (nouilles de patates douces avec poivron, lentin du chĂȘne, carottes, etc.) avec bƓuf ou vĂ©gĂ©tarien, souvent en entrĂ©e, plus rarement en plat,

- les tteok (aliments à base de pùte de riz gluant), base de différents plats, salés ou sucrés,

- les mandu (Ă©quivalent des jiaozi chinois). Comme dans pour les gyoza japonais, ils sont gĂ©nĂ©ralement frits quand servis Ă  l'Ă©tranger, mais comme pour les jiaozi, ils peuvent Ă©galement ĂȘtre bouillis ou cuits Ă  la vapeur en CorĂ©e.

Administration

Drapeau proposé pour la Corée réunifiée.

La pĂ©ninsule est aujourd’hui divisĂ©e, Ă  peu prĂšs au 38e parallĂšle (휎전선, 䌑戰線) en deux États indĂ©pendants antagonistes :

De fortes tensions ont toujours existĂ© entre les parties depuis la guerre froide, celles-ci trouvant son paroxysme durant la guerre de CorĂ©e de 1950 Ă  1953. Depuis, la zone tampon situĂ©e le long de la frontiĂšre entre les deux États, dite « zone corĂ©enne dĂ©militarisĂ©e » (DMZ), concentre le plus grand nombre de forces armĂ©es au monde[7]. Le village de Panmunjeom, lieu de signature du cessez-le-feu de 1953, est l’endroit oĂč se dĂ©roulent traditionnellement les nĂ©gociations entre les deux CorĂ©e.

La dĂ©claration conjointe Nord-Sud du est la pierre angulaire des nouvelles relations qu’entretiennent les deux États, en vue d’une rĂ©unification de la pĂ©ninsule.

Le , la CorĂ©e du Nord annonce qu'elle met fin aux accords de non-agression avec la CorĂ©e du Sud et qu'elle coupe, par la mĂȘme occasion, le tĂ©lĂ©phone rouge entre Pyongyang et SĂ©oul.

Histoire

  • Le 3 octobre 2333 av. J.-C. : fondation mythique de la CorĂ©e par Dangun, fils de Hwanung et d’une ourse transformĂ©e en femme. Plus tard, Gaya apporte des Ă©lĂ©ments civilisationnels de Chine (culture du riz, tissage et Ă©levage des vers Ă  soie). On appelle aujourd’hui la CorĂ©e de cette Ă©poque Go-Joseon (signifiant CorĂ©e ancienne)[8] - [9].
  • PrĂ©sence chinoise de 108 av. J.-C. Ă  313 apr. J.-C.
  • Les Trois Royaumes : Silla (신띌), Baekje (백제) et Goguryeo (êł ê”Źë €) de 57 av. J.-C. Ă  668. ConfĂ©dĂ©ration de Gaya (가알).
  • PĂ©riode Silla (신띌) : la CorĂ©e est unifiĂ©e en un seul royaume, de 668 Ă  935[10].
  • Royaume de Balhae (발핮) (698-926).
  • Royaume de Goryeo (êł ë €) (918-1392).
  • Invasion mongole en 1231.
  • PĂ©riode Joseon (ìĄ°ì„ ) (la dynastie fondĂ©e par le gĂ©nĂ©ral Yi Seong-gye) (1392-1910).
  • Tentatives d’invasion japonaise en 1592, l'annĂ©e du Dragon, et 1597-98, repoussĂ©es par l’amiral Yi Sun-sin (읎순신), hĂ©ros national.
  • DĂ©faite et vassalisation de la CorĂ©e par les Chinois mandchous en 1637, dynastie des Qing, la CorĂ©e est surnommĂ©e le royaume ermite et les Ă©trangers qui entrent ont interdiction d’en sortir.
  • 1894 : les paysans corĂ©ens sont trĂšs mĂ©contents et rĂ©clament des rĂ©formes Ă©conomiques et sociales, Ă  cause de l’augmentation des impĂŽts et de l’inflation du prix des biens de premiĂšre nĂ©cessitĂ©. Ne pouvant gĂ©rer la crise, la CorĂ©e demande de l’aide Ă  la Chine.
  • Fin : la CorĂ©e est obligĂ©e de signer une alliance militaire avec le Japon.
  • 1905 : la CorĂ©e devient protectorat japonais.
  • Annexion par le Japon le , qui en fait une province.
  • 1er mars 1919, soulĂšvement contre l'occupant japonais.
Portrait d’une mùre et de sa fille (entre 1910 et 1920).

Pont et point de passage entre la Chine et le Japon, depuis ses origines, la CorĂ©e a vu sa dĂ©colonisation ĂȘtre un Ă©chec : le Nord, se rapprochant de la rĂ©publique populaire de Chine, a adoptĂ© une politique communiste basĂ©e sur le culte de la personne (juche), tandis que le Sud est sous l' influence des États-Unis. La guerre de CorĂ©e a rendu ces deux parties dĂ©pendantes de leurs parrainages. Le Sud est en coopĂ©ration compĂ©titive Ă©conomique avec le Japon pour s’affirmer. Le Nord s’affirme vis-Ă -vis du parrain chinois en se faisant plus communiste encore. L’Union soviĂ©tique et les États-Unis se sont affrontĂ©s par pays interposĂ©s, Ă©vitant un conflit direct qui, Ă  l’époque aurait pu mener Ă  une escalade atomique (le limogeage de MacArthur en Ă©tait une preuve). TrĂšs vite prĂ©occupĂ©e par la situation en Europe, l’Union soviĂ©tique s’est dĂ©sengagĂ©e du conflit, laissant la place Ă  la rĂ©publique populaire de Chine.

Un accord de paix historique a Ă©tĂ© signĂ© le entre les deux prĂ©sidents, le sud-corĂ©en Roh Moo-hyun et le nord-corĂ©en Kim Jong-Il. Il met officiellement fin Ă  la guerre de CorĂ©e, dĂ©butĂ©e en 1950. En effet, un simple armistice avait Ă©tĂ© signĂ© en 1953[12]. Mais depuis peu, la CorĂ©e du Nord, devenue le neuviĂšme pays Ă  possĂ©der l'arme atomique, multiplie les « provocations », notamment avec ses essais nuclĂ©aires et des bombardements dĂ©libĂ©rĂ©s du territoire sud-corĂ©en, dont celui de Yeonpyeong le est l’incident le plus sĂ©rieux depuis la fin de la guerre en 1953. Pour certains analystes[13], le rĂ©gime de Pyongyang chercherait par son attitude belliqueuse Ă  maintenir sa population dans un semi-Ă©tat de guerre permanent permettant de lui faire accepter les privations qu’elle subit, d’autant plus que la situation alimentaire de la CorĂ©e du Nord s’est aggravĂ©e de façon catastrophique ces derniĂšres annĂ©es, avec des menaces rĂ©currentes de famine[14]. Cette dictature adopte cependant un comportement paradoxal. En effet, un mois avant le bombardement de Yeonpyeong, elle rĂ©clamait encore une aide humanitaire Ă  sa voisine du sud qui ne la lui avait jamais refusĂ©e jusque-lĂ [15] : une attitude qui trahit un affaiblissement significatif du rĂ©gime totalitaire de Pyongyang.

Notes et références

  1. (en) « North Korea », The World Factbook (consulté le ).
  2. (en) « South Korea », The World Factbook (consulté le ).
  3. Philippe Pons, « Mobilisation internationale pour aider Pyongyang », Le Monde, .
  4. Catastrophes naturelles : la solidarité sur tous les continents, Secours populaire français, .
  5. Voir aussi : Tomax Cerny et al., « Classification of Korean forests: patterns along geographic and environmental gradients », Applied Vegetation Science, 2014. doi: 10.1111/avsc.12124 ainsi que la liste de la faune du Wildfinder.
  6. « Connaissez vous les 4 gardiens de La Corée ? », sur planÚte corée, (consulté le )
  7. « Ces murs qui divisent », Le Point, , p. 50.
  8. Ogmios, « Chronologie des entitĂ©s politiques de l’histoire de CorĂ©e [-2333 ~ 1948] », sur Focus, (consultĂ© le )
  9. Ogmios, « Chronologie abrĂ©gĂ©e de l’histoire de CorĂ©e [-2333 ~ 1994] », sur Focus, (consultĂ© le )
  10. Maria Anna Dudek, « Chronologie de la Corée - PlanÚte Corée - Histoire de la Corée », sur PlanÚte Corée, (consulté le )
  11. Maria Anna Dudek, « Chronologie de la Corée - PlanÚte Corée - Histoire de la Corée », sur PlanÚte Corée, (consulté le )
  12. Voir l'article « Declaring an End to the Korean War », www.korea.net.
  13. Article du JDD du 29/11/2010.
  14. L’article de HumanitĂ© du 17/11/2010.
  15. Article du Point du 27/10/2010.

Annexes

Bibliographie

  • AndrĂ© Fabre, Histoire de la CorĂ©e, Paris, Langues & Mondes - l’AsiathĂšque, 2000.al Dayez-Burgeon, Les CorĂ©ens, Tallandier, 2011.
  • PascDayez-Burgeon, Histoire de la CorĂ©e : Des origines Ă  nos jours, Tallandier, 2019, 568 p. (ISBN 979-1021040151)
  • Patrick Maurus, La CorĂ©e dans ses fables, Actes Sud, 2010 (ISBN 2742795286).
  • Li Ogg, La CorĂ©e, des origines Ă  nos jours, 1996.
  • Li Ogg, Histoire de la CorĂ©e, 1969.
  • Li Ogg, La mythologie corĂ©enne et son expression artistique, 1995.
  • (en) Gi-Wook Shin/Michael Robinson (Ă©d.), Colonial modernity in Korea, Cambridge, Harvard University, Asia Center, 1999 (ISBN 978-0-674-14255-8).

Articles connexes

Liens externes

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