Essars
Essars est une commune française située dans le département du Pas-de-Calais en région Hauts-de-France, près de Béthune. Ses habitants sont appelés les Essarois.
Essars | |||||
La mairie. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Hauts-de-France | ||||
Département | Pas-de-Calais | ||||
Arrondissement | Béthune | ||||
Intercommunalité | CA de Béthune-Bruay, Artois-Lys Romane | ||||
Maire Mandat |
Gérard Malbranque 2020-2026 |
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Code postal | 62400 | ||||
Code commune | 62310 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Essarois | ||||
Population municipale |
1 758 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 473 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 50° 32′ 52″ nord, 2° 39′ 55″ est | ||||
Altitude | Min. 18 m Max. 23 m |
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Superficie | 3,72 km2 | ||||
Type | Commune urbaine | ||||
Unité urbaine | Béthune (banlieue) |
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Aire d'attraction | Béthune (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Beuvry | ||||
Législatives | 9e circonscription du Pas-de-Calais | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Pas-de-Calais
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
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Liens | |||||
Site web | mairie-essars.fr | ||||
La commune fait partie de la communauté d'agglomération de Béthune-Bruay, Artois-Lys Romane qui regroupe 100 communes et compte 276 238 habitants en 2019.
Géographie
Localisation
Le finage d'Essars s'étend sur 372 ha[1].
En quittant la ville de Béthune par le nord, Essars se trouve être la première commune de la plaine de Flandre, dans sa partie appelée localement le « bas-pays d'Artois ».
Le territoire de la commune est limitrophe de ceux de quatre communes :
Essars possède environ 3,2 km de limites communes avec Béthune au sud (dont 1,7 km marquées par le canal), 1 km avec Annezin à l'ouest, 2,7 km avec Locon au nord et 2,1 km avec Beuvry à l'est.
Géologie et relief
Le relief est plat, la variation totale d'altitude ne dépassant pas 5 mètres.
Le terroir, aux sols argileux, a été gagné au Moyen Âge sur des bois et des marais. L'important réseau de fossés de drainage, qui permit l'assèchement des terres, tend à disparaître en raison de l'urbanisation et du remplacement par des drains enterrés.
Hydrographie
Le territoire de la commune est situé dans le bassin Artois-Picardie.
La commune est traversée par la Lawe, cours d'eau naturel de 40,97 km, affluent de la Lys[2].
En bordure nord-est du territoire communal, un ruisseau secondaire, d'une longueur de 11 km, le courant de la Goutte sépare Essars de Beuvry puis de Locon avant de se jeter dans la Lawe[3]. Au nord-ouest, le courant du Turbeauté longe les terres d'Annezin.
Le canal d'Aire à la Bassée[4] - [5] marque en grande partie la limite communale avec Béthune.
Climat
La station de relevés météorologiques la plus proche est celle de Richebourg, à environ 9 km. Elle a fonctionné de à .
Mois | jan. | fév. | mars | avril | mai | juin | jui. | août | sep. | oct. | nov. | déc. | année |
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Température minimale moyenne (°C) | 1,5 | 1,6 | 3 | 4,3 | 8,2 | 10,7 | 12,6 | 12,5 | 10,1 | 7,1 | 3,8 | 1,5 | 6,4 |
Température moyenne (°C) | 4,4 | 5,1 | 7,3 | 9,8 | 13,8 | 16,3 | 18,4 | 18,4 | 15,3 | 11,5 | 7,1 | 4,4 | 11 |
Température maximale moyenne (°C) | 7,3 | 8,3 | 11,7 | 15,3 | 19,4 | 21,6 | 24,2 | 24,3 | 20,5 | 15,9 | 10,5 | 7,2 | 15,6 |
Record de froid (°C) date du record |
−13 02.1997 |
−9 28.2005 |
−9 04.2005 |
−5,5 11.2003 |
−1,5 05.1996 |
3,5 01.2006 |
4 07.1996 |
4,5 29.1993 |
1 22.1997 |
−7 30.1997 |
−9,5 23.1998 |
−13,5 29.1996 |
−13,5 1996 |
Record de chaleur (°C) date du record |
15 18.2007 |
19,5 15.1998 |
22 16.2005 |
27,5 12.1991 |
33 27.2005 |
35,5 07.1996 |
37 19.2006 |
38,5 10.2003 |
32 11.1999 |
26 09.1995 |
20,5 12.1995 |
16 19.1993 |
38,5 2003 |
Précipitations (mm) | 58,1 | 47,8 | 50,1 | 46,9 | 63,6 | 63 | 77,9 | 73,3 | 70,4 | 60,9 | 72,9 | 77,2 | 762,1 |
dont nombre de jours avec précipitations ≥ 1 mm | 12 | 11 | 11,4 | 10 | 10,7 | 9,6 | 10,5 | 9,9 | 11,2 | 11,6 | 13,4 | 13,7 | 135 |
dont nombre de jours avec précipitations ≥ 5 mm | 4,4 | 3,4 | 3,6 | 3,2 | 4,4 | 4,3 | 5,1 | 4,8 | 5,2 | 4,7 | 5,5 | 5,8 | 54,5 |
dont nombre de jours avec précipitations ≥ 10 mm | 1,4 | 0,8 | 0,7 | 0,8 | 1,7 | 2 | 2,9 | 2,1 | 2,2 | 1,4 | 1,8 | 2,2 | 19,9 |
Diagramme climatique | |||||||||||
J | F | M | A | M | J | J | A | S | O | N | D |
7,3 1,5 58,1 | 8,3 1,6 47,8 | 11,7 3 50,1 | 15,3 4,3 46,9 | 19,4 8,2 63,6 | 21,6 10,7 63 | 24,2 12,6 77,9 | 24,3 12,5 73,3 | 20,5 10,1 70,4 | 15,9 7,1 60,9 | 10,5 3,8 72,9 | 7,2 1,5 77,2 |
Moyennes : • Temp. maxi et mini °C • Précipitation mm |
Milieux naturels et biodiversité
Hormis quelques petites parcelles de peupleraies et la couverture arborée des buttes de déblais le long du canal, les boisements sont inexistants.
Urbanisme
Typologie
Essars est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1] - [6] - [7] - [8].
Elle appartient à l'unité urbaine de Béthune, une agglomération inter-départementale regroupant 94 communes[9] et 356 052 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[10] - [11].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Béthune dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 23 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[12] - [13].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (79 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (81,5 %). L'agriculture est consacrée aux céréales, à la betterave sucrière, aux pommes de terre ou au maraîchage.
La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (78,8 %), zones urbanisées (17,1 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (3,9 %), zones agricoles hétérogènes (0,2 %)[14].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[15].
Lieux-dits, hameaux et écarts
Le village d'Essars compte actuellement deux hameaux : le Long Cornet (en direction de Hinges) et Sévelingue (sur la route de Locon). Depuis les extensions pavillonnaires des années 1980, l'agglomération bâtie est cependant devenue continue depuis le bourg d'Essars jusqu'à Sévelingue.
Une partie du village (la rue du Silo et l'ancienne route d'Armentières) s'est trouvée également séparée du reste du territoire lors du creusement du nouveau tracé du canal entre les deux guerres mondiales et rejetée sur la rive sud.
Les documents historiques mentionnent d'autres noms de hameaux : Monchicourt (où se trouvaient les anciennes écluses sur la Lawe), la Motte (dont il subsiste une ferme, rue de la Motte au Bois) et la ferme du Roy (dont l'emplacement est maintenant situé sur le territoire béthunois dans la zone industrielle).
Voies de communication
Le village d'Essars est traversé par le CD 171, la route de Béthune à Armentières, tandis que le CD 845, la route de Béthune à Estaires, passe dans le hameau de Sévelingue.
Depuis 2014, la déviation du CD 945 permet de rallier directement l'entrée d'Essars à la zone industrielle de Lestrem, notamment les établissements Roquette Frères en évitant les traversées des secteurs habités de Sévelingue et de Locon.
Transports
Le « canal d'Aire à La Bassée » constitue l'un des tronçons de la liaison fluviale Dunkerque-Escaut.
La commune se trouve à 4 km, au nord-est, de la gare de Béthune, située sur les lignes d'Arras à Dunkerque-Locale et de Fives à Abbeville, desservie par des TGV inOui et des trains régionaux du réseau TER Hauts-de-France[16].
Dans la commune fonctionnait, de 1899 à 1932, la ligne de tramway de Béthune à Estaires, une ancienne ligne de tramway qui circulait de Béthune (Pas-de-Calais) jusqu’à Estaires (Nord).
Toponymie
Au cours des époques, la graphie du toponyme est longtemps restée instable, se terminant parfois par un « t », parfois par un « s », parfois par les deux[1].
Le nom de la localité est attesté sous les formes Sart en 1087 ; Sarta vers 1190 ; Sarti en 1222 ; Les Sars en 1308 ; Essart au XVIIIe siècle ; Sars ou Essart en 1739[17], Essars en 1793 ; Essarts et Essars depuis 1801[1].
Un acte de donation daté d'environ 1190, compilé dans le cartulaire de Saint-Barthélémy de Béthune, fait mention de la localité par l'expression In Sartis sub Bethunia (dans les défrichés sous Béthune)[18]. Très certainement, l'étymologie est donc celle de l'essart (du latin médiéval sartum qui désigne un terrain défriché).
Histoire
Moyen Âge
À la fin du XIIe siècle, on cultivait à Essars des céréales, car l'endroit était redevable aux prêtres de l'église de Béthune de deux boisseaux de blé, auxquels s'ajoutaient quarante-huit chapons et quarante-huit deniers parisiens[18].
Temps modernes
La carte de Cassini, au XVIIIe siècle, fait apparaître le village sous l'écriture « Eßart », avec le symbole d'une église et l'abréviation Succ. indiquant qu'il ne s'agissait pas d'une paroisse autonome. Le village d'Essars fut en effet doté d'une église en 1545 mais qui, pour autant, ne fut desservie que par un chapelain placé sous l'autorité du curé de la paroisse Saint-Vaast de Béthune[19]. Les habitants étaient d'ailleurs tenus de se rendre deux fois par an à la messe à Béthune.
Pendant longtemps, seule la Lawe, canalisée en 1500[20], servit de voie navigable permettant le commerce fluvial entre Béthune et la Lys.
Époque contemporaine
En 1825, le canal d'Aire fut inauguré. “L'ancien canal” faisait une boucle jusqu'aux portes de Béthune en passant au sud de la ferme du Roy. Un tracé plus direct, celui du “nouveau canal”, qui coupait en deux le territoire d'Essars, fut ensuite creusé dans les années 1920.
Durant la Première Guerre mondiale, Essars est le siège d'un cantonnement britannique[21]. Pendant la plus grande partie de la guerre, malgré quelques canonnades et la proximité du front, le secteur reste relativement calme. Quelques habitants des communes voisines qui ont fui les zones de combat sont venus se réfugier à Essars[22]. En , les enfants de Beuvry viennent même recevoir leur confirmation à l'église d'Essars plutôt qu'à Béthune, jugé moins sûr[23]. Mais en , les forces allemandes lancent une violente offensive et déclenchent la bataille de la Lys. La population civile de toute la région est contrainte d'évacuer dans la précipitation. Les Allemands parviennent à enfoncer la ligne de front que tenaient les Alliés, mais au sud de cette avancée, ils sont arrêtés le entre Locon et Essars et n'atteignent pas Béthune. Des bombardements intenses se poursuivront alors jusqu'à la fin de la guerre, provoquant la destruction du village, tout comme celle de Béthune.
Politique et administration
Découpage territorial
La commune se trouve dans l'arrondissement de Béthune du département du Pas-de-Calais, depuis 1801[1].
Commune et intercommunalités
Essars participait à la communauté d'agglomération de l'Artois (Artois Comm.). Elle fait désormais partie de la communauté d'agglomération de Béthune-Bruay, Artois-Lys Romane.
Circonscriptions administratives
Avant le redécoupage cantonal de 2014, la commune était rattachée au canton de Béthune-Est. Elle est aujourd'hui rattachée au Canton de Beuvry.
Circonscriptions électorales
Pour l'élection des députés, la commune fait partie de la neuvième circonscription du Pas-de-Calais.
Liste des maires
Équipements et services publics
Enseignement
La commune est située dans l'académie de Lille et dépend, pour les vacances scolaires, de la zone B.
La commune administre l'école primaire Pierre Bachelet[27].
Justice, sécurité, secours et défense
La commune dépend du tribunal judiciaire de Béthune, du conseil de prud'hommes de Béthune, de la cour d'appel de Douai, du tribunal de commerce d'Arras, du tribunal administratif de Lille, de la cour administrative d'appel de Douai, du pôle nationalité du tribunal judiciaire de Béthune et du tribunal pour enfants de Béthune[28].
Population et société
Les habitants sont appelés les Essarois[29].
Évolution démographique
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[30]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[31].
En 2020, la commune comptait 1 758 habitants[Note 3], en augmentation de 10,98 % par rapport à 2014 (Pas-de-Calais : −0,71 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Pyramide des âges
En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 32,6 %, soit en dessous de la moyenne départementale (36,7 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 27,2 % la même année, alors qu'il est de 24,9 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 835 hommes pour 907 femmes, soit un taux de 52,07 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,5 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Économie
Entreprises et commerces
À proximité immédiate du territoire communal, en rive sud du canal, sur des terrains qui furent cédés en 1958 par la commune d'Essars à celle de Béthune, se trouve une grande zone industrielle créée au début des années 1960 dans le cadre de la reconversion industrielle du bassin minier du Nord-Pas-de-Calais. Sous le nom actuel de « Parc Washington », elle accueille le port fluvial, l'usine de pneumatiques Bridgestone (auparavant Firestone), l'unité de production européenne de résines synthétiques de SI Group (anciennement Schenectady), le fabricant de cheminées Philippe, etc.
La commune dispose d'un supermarché ainsi que divers petits commerces de proximité.
Culture locale et patrimoine
Église Saint-Jacques
La première église, dédiée à Saint Jacques, est construite en 1545 sous le règne de Charles Quint, Essars faisant alors partie des Pays-Bas espagnols. Elle reste cependant dépendante de la paroisse béthunoise de Saint-Vaast. En 1645, elle est incendiée lors du siège et de la prise de Béthune par les Français[35]. Réparée grâce à diverses donations, elle est à nouveau saccagée durant la Révolution française. L'église ancienne, qui se dressait à l'angle de l'actuelle rue Warembourg, est entièrement détruite pendant la Première Guerre mondiale. Le bâtiment actuel est édifié une quarantaine de mètres plus loin dans la direction d'Armentières.
Croix de Fer
Au lieu-dit la Croix de Fer se trouve un ensemble d'une grotte avec des statues représentant la « Lamentation du Christ » surmonté d'une croix de fer et entouré de deux chapelles-oratoires. Ce triple monument fut inauguré en 1874.
Lieux et monuments commémoratifs des guerres
- Le monument aux morts[36].
- Dans le cimetière communal d'Essars se trouvent une vingtaine de tombes de guerre de la Commonwealth War Graves Commission[36].
- Une rue de la commune porte le nom du 19 mars 1962, en mémoire de la fin de la guerre d'Algérie[36].
Personnalités liées à la commune
- Pontus Payen est seigneur des Essars le , date à laquelle il est anobli par lettres données à Lisbonne. Il est apparenté à Pierre Payen seigneur de Bellacourt (hameau sur Rivière) et Hautecloque, et à Paris Payen, seigneur d'Écoivre[37].
Héraldique
Blason | D'azur plain au chef d'argent chargé de trois arbres de sinople[38]. |
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Détails | Armes de la famille des De Saluces (alias Saluzzo, d'origine italienne). Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Pour approfondir
Articles connexes
Liens externes
- Site officiel
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Ressource relative aux organisations :
- Dossier Insee relatif aux rattachements de la commune, [lire en ligne]
- « Essars » sur Géoportail.
Notes et références
Notes
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en , en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
Références
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Sandre, « Fiche cours d'eau - Lawe (E3660600 ) » (consulté le )
- Sandre, « Fiche cours d'eau - Courant de la Goutte (E3660740 ) » (consulté le )
- Sandre, « Fiche cours d'eau - canal d'Aire à la Bassée (E35-0282 ) » (consulté le )
- IGN Geoportail
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Béthune », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
- « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
- Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Béthune », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- © les contributeurs d’OpenStreetMap, « Distance entre la commune et la gare de Béthune », sur le site OpenStreetMap (consulté le ).
- Dictionnaire topographique du Pas-de-Calais : comprenant les noms de lieu anciens et modernes, Bibliothèque nationale de France.
- Le cartulaire de Saint-Barthélemy de Béthune / publié ou analysé avec extraits textuels et précédé d'une introduction par le comte A. de Loisne
- Histoire de Béthune. Tome 2 / par le chanoine Éd. Cornet p. 380
- J. Dutens,Histoire de la navigation intérieure de la France, Volume 1, p. 63
- (en) « A. Gregson The 1/7th Battalion King's Liverpool Regiment and the Great War–the Experience of a Territorial Battalion and its Home Towns. Chapter 5 », (consulté le ).
- « Journal de la Guerre 1914-1918. Notes de l'Abbé Routier, curé de Bours et de Marest », (consulté le ).
- « Conférence du curé de Beuvry sur sa paroisse pendant la Grande Guerre », (consulté le ).
- « Essars: Gérard Malbranque entame son troisième mandat avec cinq adjoints », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
- « Liste des communes et des maires » [xls], Préfecture du Pas-de-Calais, (consulté le ).
- David Cierniak, « Essars : le restaurant scolaire sort de terre, livraison prévue en février : C'était « LE » débat de la campagne électorale des municipales. Il est « LE » projet de ce début de mandat et restera certainement comme « LE » chantier des six prochaines années. La construction du nouveau restaurant scolaire, d'un coût de 1,36 M €, a débuté. L'occasion pour Gérard Malbranque de repréciser les enjeux de cette réalisation. Début de notre série sur les projets des maires », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
- « Établissement scolaire de la commune », sur le site du ministère de l’Éducation nationale et de la jeunesse (consulté le ).
- « Tribunaux dont la commune dépend », sur justice.fr (consulté le ).
- Roger Brunet, « France, le trésor des régions », sur tresordesregions.mgm.fr (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune d'Essars (62310) », (consulté le ).
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département du Pas-de-Calais (62) », (consulté le ).
- Daniel Haigneré, commission départementale des monuments historiques,Dictionnaire historique et archéologique du Pas-de-Calais
- « Le monument aux morts », sur Mémoires de pierres (consulté le ).
- Amédée le Boucq de Ternas, Recueil de la noblesse des Pays-Bas, de Flandre et d'Artois, Douai, 1884, p. 162, lire en ligne.
- « Blason », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).