Lestrem
Lestrem [letÊÉm] est une commune française situĂ©e dans le dĂ©partement du Pas-de-Calais en rĂ©gion Hauts-de-France. Historiquement situĂ©e en Flandre française, elle fait partie de la communautĂ© de communes Flandre Lys.
Lestrem | |||||
La rue du Bourg et l'église Saint-Amé depuis la place du 8 mai. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
RĂ©gion | Hauts-de-France | ||||
DĂ©partement | Pas-de-Calais | ||||
Arrondissement | BĂ©thune | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Flandre Lys | ||||
Maire Mandat |
Jacques Hurlus 2020-2026 |
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Code postal | 62136 | ||||
Code commune | 62502 | ||||
DĂ©mographie | |||||
Population municipale |
5 104 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 241 hab./km2 | ||||
GĂ©ographie | |||||
CoordonnĂ©es | 50° 37âČ 23âł nord, 2° 41âČ 09âł est | ||||
Altitude | Min. 13 m Max. 20 m |
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Superficie | 21,15 km2 | ||||
Type | Commune urbaine | ||||
Unité urbaine | Béthune (banlieue) |
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Aire d'attraction | Lille (partie française) (commune de la couronne) |
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Ălections | |||||
DĂ©partementales | Canton de Lillers | ||||
LĂ©gislatives | NeuviĂšme circonscription | ||||
Localisation | |||||
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : Pas-de-Calais
GĂ©olocalisation sur la carte : Hauts-de-France
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Liens | |||||
Site web | ville-lestrem.fr | ||||
GĂ©ographie
Localisation
Lestrem est située à la limite des anciennes provinces d'Artois et de Flandre.
Elle est à la limite du département du Nord.
La commune fait partie du canton de Laventie et de l'arrondissement de BĂ©thune.
Lestrem est située à 11 km de Béthune, 35 de Lille et 45 d'Arras.
Son territoire d'une superficie de 2 215 hectares est plat, sans aucun relief mais entrecoupé de nombreux fossés et de courants (dont les courants à plaques qui sont des fossés de drainage, typiques de la Flandre maritime et d'une partie de la région, parfois étayés par des plaques de béton pour notamment lutter contre les dégùts du rat-musqué) introduit et devenu invasif dans ces milieux.
La commune est traversée par la Lawe qui l'irrigue ou le draine (selon la saison et les aléas climatiques).
Les communes limitrophes sont La Gorgue, Merville, Calonne-sur-la-Lys, La Couture, Hinges, Locon, Richebourg et Vieille-Chapelle.
Hydrographie
Le territoire de la commune est situé dans le bassin Artois-Picardie.
La commune est traversée par la Lawe, cours d'eau naturel de 40,97 km, qui prend sa source dans la commune de Magnicourt-en-Comte et se jette dans la Lys au niveau de la commune de La Gorgue[1].
Milieux naturels et biodiversité
La commune a fait figure de pionniĂšre dans le domaine de la Trame verte et bleue, en agrĂ©ant, via son conseil municipal, une Ă©tude de faisabilitĂ© de rĂ©seau local de corridors biologiques, dans le cadre de l'un des premiers Contrats de corridor biologique signĂ© en 1995 par l'association Lestrem-Nature [2] avec le conseil rĂ©gional du Nord-Pas-de-Calais, avec le soutien de la DIREN. La commune voisine de Mont-Bernanchon s'est associĂ©e Ă l'Ă©tude et a Ă©galement dĂ©veloppĂ© un rĂ©seau de corridors biologiques, en lien direct avec ceux de Lestrem (elle a aussi construit des amĂ©nagements pour valoriser et faire dĂ©couvrir la biodiversitĂ© locale). Lestrem a ainsi Ă©tĂ© la premiĂšre commune de France Ă bĂ©nĂ©ficier d'une cartographie des corridors biologiques et Ă la mettre en Ćuvre sur le terrain, avec l'association Lestrem-Nature (pour les aspects naturalistes) et avec l'association d'insertion RĂ©agir (pour sa restauration et gestion). En 2007, le Grenelle de l'Environnement a validĂ© le principe d'une trame verte et bleue nationale, dĂ©clinĂ© dans le droit de l'Environnement par les lois dites Grenelle 1 et Grenelle 2. L'Ă©tude avait mis en Ă©vidence l'importance des zones humides et du rĂ©seau de fossĂ©s pour la gestion de l'eau et prĂ©vention des inondations. Le syndicat intercommunal qui gĂšre les cours dâeau est partenaire de la gestion des corridors qui continuent Ă faire l'objet d'Ă©tudes et de suivis sous l'Ă©gide de Lestrem-Nature avec de nombreux partenaires naturalistes. Un plan de restauration Ă©cologique a Ă©tĂ© commandĂ© par le S.I.A.A.A.H. (Syndicat Intercommunal dâAssainissement Agricole et dâAmĂ©nagement Hydraulique du Bas Pays de BĂ©thune) Ă l'association Lestrem-Nature. La Fondation de France a retenu[3] et soutenu ce projet lors de la cĂ©lĂ©bration de ses 40 ans dâexistence en 2009 (« 1969 â 2009 - 40 projets, 40 ans dâhumanitĂ© »), parmi 40 qu'elle avait choisi dans le monde, pour leur exemplaritĂ©. Un programme scientifique associant notamment le CNRS et l'association Lestrem Nature, intitulĂ© Corecol, soutenu par la RĂ©gion et la FRB porte sur l'Ă©tude affinĂ©e du rĂŽle des corridors biologiques que jouent les fossĂ©s dans le paysage[4].
Le une charte de dĂ©veloppement de corridors biologiques sur le territoire de Lestrem[5] a Ă©tĂ© signĂ©e pour pĂ©renniser ce travail avec les acteurs locaux, et pour encourager la signature d'une telle charte sur d'autres communes et territoires. Elle vise notamment Ă restaurer le potentiel de biodiversitĂ© et entretenir le patrimoine Ă©cologique par un maillage des milieux naturels et une gestion diffĂ©renciĂ©e de lâespace.
Urbanisme
Typologie
Lestrem est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1] - [6] - [7] - [8]. Elle appartient à l'unité urbaine de Béthune, une agglomération inter-départementale regroupant 94 communes[9] et 356 052 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[10] - [11].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Lille (partie française) dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 201 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[12] - [13].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne dâoccupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (78,2 % en 2018), nĂ©anmoins en diminution par rapport Ă 1990 (87,3 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : terres arables (65,7 %), zones urbanisĂ©es (13,1 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (9,5 %), zones industrielles ou commerciales et rĂ©seaux de communication (8,7 %), prairies (3 %)[14].
L'IGN met par ailleurs Ă disposition un outil en ligne permettant de comparer lâĂ©volution dans le temps de lâoccupation des sols de la commune (ou de territoires Ă des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă aujourd'hui)[15].
Transport aérien
Sur la commune se trouve l'aĂ©roport de Merville - Calonne utilisĂ© pour la formation de pilotes professionnels et de techniciens en maintenance aĂ©ronautique et pour la pratique dâactivitĂ©s de loisirs et de tourisme (aviation lĂ©gĂšre, aviation commerciale, hĂ©licoptĂšre et aĂ©romodĂ©lisme).
Toponymie
Le nom de la localitĂ© est attestĂ© sous les formes Strumum in Bethuniensi pago (1140) ; Lestrom (1165) ; Lestruem (1183) ; Estruem (1274) ; Estroem (XIIIe siĂšcle) ; Lestroem (XIIIe siĂšcle) ; Strueem (1282) ; Lestreum prope Bethuniam (1323) ; Lestreem (1348) ; LâEstroen (1354) ; LâEstren (1427) ; LâEstrun (1469) ; LâEstreun (1587) ; LestrĂ©e-en-Lalleu (1603-1604) ; Lestrem (1720) ; LâEstrem (1739) ; LâEstrĂšme (XVIIIe siĂšcle)[16].
L'origine du nom de la commune est le terme flamand strem qui signifie riviÚre ; en l'occurrence, cette riviÚre est la Lawe, affluent de la Lys ; en néerlandais, il se dit De Stroom et en picard, Létrin[17].
Histoire
Moyen Ăge
Sur l'ancienne Lestrem, existait une collégiale supprimée en 1221 : l'abbaye Notre-Dame de Beaupré-sur-la-Lys est fondée à La Gorgue en 1221 par les seigneurs Robert et Daniel, avoués de Béthune. Elle prend la succession de la collégiale de Lestrem, supprimée avec l'autorisation du pape, et la convertissent en une abbaye de femmes[18].
1346-1347 : Lestrem est saccagée et brûlée par les Flamands.
1405 : Lestrem est pillée et brûlée par les Anglais.
PremiĂšre Guerre mondiale
Pendant la PremiÚre Guerre mondiale, Lestrem est détruite.
Seconde Guerre mondiale
Pendant la Seconde Guerre mondiale, au cours de la bataille de France, le , dans le hameau dit le Paradis, rattaché à la commune, 97 soldats anglais prisonniers ont été massacrés à la mitrailleuse par les SS de la 14e compagnie du 1er bataillon du 2e régiment de la division Totenkopf, compagnie placée sous le commandement de Fritz Knöchlein[19].
Politique et administration
Liste des maires
Ăquipements et services publics
Espaces publics
La commune dispose du parc de la Giclais, réouvert en 2022, et entiÚrement refait. C'est sur ce lieu que se trouvait le chùteau de la Giclais qui a été détruit au cours de la PremiÚre Guerre mondiale[21].
Population et société
DĂ©mographie
Les habitants sont appelés les Lestremois[29].
Le nom jeté des habitants est chés fitus d'Létrin (il s'agit d'un jeu de mots sur le picard fitu d'étrain = fétu de paille) [30].
Ăvolution dĂ©mographique
L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[31]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2007[32].
En 2020, la commune comptait 5 104 habitants[Note 3], en augmentation de 16,11 % par rapport Ă 2014 (Pas-de-Calais : â0,71 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Pyramide des Ăąges
En 2018, le taux de personnes d'un Ăąge infĂ©rieur Ă 30 ans s'Ă©lĂšve Ă 36,7 %, ce qui est Ă©gal Ă la moyenne dĂ©partementale (36,7 %). Le taux de personnes d'Ăąge supĂ©rieur Ă 60 ans est de 22,0 % la mĂȘme annĂ©e, alors qu'il est de 24,9 % au niveau dĂ©partemental.
En 2018, la commune comptait 2 270 hommes pour 2 340 femmes, soit un taux de 50,76 % de femmes, légÚrement inférieur au taux départemental (51,50 %).
Les pyramides des ùges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Ăconomie
L'économie locale a longtemps été servie par l'agriculture, puis par l'industrie agroalimentaire, avec la croissance réguliÚre de l'amidonnerie du groupe Roquette FrÚres (la plus grosse d'Europe et l'une des plus importantes dans le monde).
Culture locale et patrimoine
Monument historique
L'Ă©glise Saint-AmĂ© : Ă l'exception du clocher et du porche latĂ©ral sud, fait lâobjet dâun classement au titre des monuments historiques par arrĂȘtĂ© du [37].
Autres lieux et monuments
- La commune de Lestrem possĂšde trois monuments aux morts : au hameau de Paradis-Lestrem, au hameau de La Fosse-Lestrem et Ă Lestrem-Centre (prĂšs de l'Ă©glise)[38].
- La stÚle à la mémoire des victimes du massacre du Paradis[38].
- Le Paradis War Cemetery dans lequel sont inhumés les soldats massacrés le [38] - [39].
- L'ancienne gare.
Personnalités liées à la commune
- François-Joseph Gombert (1725-1801), architecte, enseignant à l'école des beaux-arts de Lille, est mort au chùteau du Rault.
- Pierre Justin Marie Macquart (1778-1855), entomologiste, maire de Lestrem et conseiller général.
- Louis Fruchart (1791-1851[40]), résistant contre-révolutionnaire dit « le chouan du Nord », officier, chevalier de la Légion d'honneur, né à Merville (59), mort à Lestrem[41].
- Edward Mannock (1887-1918), as de l'aviation britannique pendant la PremiÚre Guerre mondiale, a été abattu au-dessus de Lestrem, le .
- Jacques Selosse (1923-1995), éducateur et professeur émérite de psychologie sociale, né à Lestrem.
HĂ©raldique
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Les armes de la ville se blasonnent ainsi : dâor, Ă trois huchets contournĂ©s de gueules, embouchĂ©s et virolĂ©s dâargent. |
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Pour approfondir
Articles connexes
Liens externes
- Site officiel
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative Ă plusieurs domaines :
- Ressource relative Ă la musique :
- Ressource relative aux organisations :
- Dossier Insee relatif aux rattachements de la commune, [lire en ligne]
- « Lestrem » sur Géoportail.
Notes et références
Notes
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
Références
- Sandre, « Fiche cours d'eau - Lawe (E3660600 ) » (consulté le )
- Site de l'association Lestrem-nature, avec illustrations et comptes rendus relatifs au suivi des corridors biologiques.
- Fondation de France, Fiche de description du projet et reportage photo
- Une étude sur le rÎle des fossés alimente la reconnaissance scientifique de Lestrem Nature, La Voix du Nord, 4 octobre 2011.
- charte de développement de corridors biologiques sur le territoire de Lestrem (signée le 11 septembre 2004, avec notamment la région et la DIREN, la mairie, le département du Pas-de-Calais, et le ministÚre chargé du Travail.
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune urbaine - dĂ©finition », sur le site de lâInsee (consultĂ© le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Béthune », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
- « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
- Vianney Costemalle, « Toujours plus dâhabitants dans les unitĂ©s urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des Ă©tudes Ă©conomiques, (consultĂ© le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Lille (partie française) », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans lâaire dâattraction dâune ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des Ă©tudes Ă©conomiques, (consultĂ© le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Ăvolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă droite ou Ă gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă gauche de l'Ă©cran.
- Comte Auguste De Loisne, Dictionnaire topographique du département du Pas-de-Calais, Paris, (lire en ligne), p. 221.
- Centre de Recherche généalogique Flandre-Artois
- AbbĂ© Parenty, Vie de madame MaĂ«s, nĂ©e Taffin du Hocquet, nommĂ©e en religion sĆur Françoise de Saint-Omer, Lille, 1841, p. 73, lire en ligne.
- La France occupée de Bruno Kartheuser page 18
- Pierre Lesieu, "Lestrem Un livre pour raconter lâhistoire dâun ancien maire et entomologiste de renom", La Voix du Nord, 11 octobre 2017
- Isabelle Mastin (photogr. Ludovic Maillard), « Ă Lestrem, un coin de nature sur les traces du chĂąteau de la Giclais. Refait de fond en comble, le parc de la Giclais renoue avec la superbe des siĂšcles passĂ©s. Et mĂȘme sâil reste peu de traces visibles du chĂąteau, la famille de la Giclais fait encore de discrets clins dâĆil Ă qui sait les voir. », La Voix du Nord,â (lire en ligne, consultĂ© le ).
- RaphaĂ«lle Remande, « Lestrem : Marc Delannoy arrĂȘte la politique aprĂšs des annĂ©es au service de la Flandre Lys : Moins on parle de lui, mieux il se porte, glisse-t-il. Si Marc Delannoy, prĂ©sident de la CommunautĂ© de communes Flandre Lys (CCFL) se veut â et se fait souvent â discret, il est pourtant montĂ© au front sur de nombreux dossiers dĂ©licats ces derniĂšres annĂ©es (Ă©cole de pilotage, piscine). Dans deux mois, lâhomme, Ă©galement maire de Lestrem de 1989 Ă 2010, se retirera complĂštement de la vie politique. Lâoccasion de revenir sur le parcours dâun passionnĂ©. », La Voix du Nord,â (lire en ligne, consultĂ© le ).
- Chr. D, « D'Ablain-Saint-Nazaire à Zutkerque : les maires du Pas-de-Calais jusqu'en mars 2014 », sur http://www.echo62.com, (consulté le ).
- « Liste des communes et des maires » [xls], Préfecture du Pas-de-Calais, (consulté le ).
- « Répertoire national des maires » [txt], Répertoire national des élus, sur https://www.data.gouv.fr, (consulté le ).
- « Résultats des élections municipales et communautaires 2020 », sur Le site du MinistÚre de l'Intérieur (consulté le ).
- « https://pastel.diplomatie.gouv.fr/cncdext/dyn/public/atlas/rechercheAtlasFrance.html?criteres.collectiviteId=26367 »
- « http://www.ville-lestrem.fr/decouvrir-lestrem/une-commune-jumelee/ »
- « Lestrem (62136) », sur le site habitants.fr (consulté le ).
- André Accart, Les sobriquets des habitants du Pas-de-Calais, les éditions Nord-Avril, 456 paches, (ISBN 2-915800-05-7), ( 2006 )
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'Ăcole des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- Insee, « Ăvolution et structure de la population en 2018 - Commune de Lestrem (62502) », (consultĂ© le ).
- Insee, « Ăvolution et structure de la population en 2018 - DĂ©partement du Pas-de-Calais (62) », (consultĂ© le ).
- « Classement de l'église Saint-Amé », notice no PA00108329, base Mérimée, ministÚre français de la Culture.
- « Les monuments aux morts », sur Mémoires de pierres (consulté le ).
- (en) « Le Paradis War Cemetry », sur le site du Commonwealth War Graves Commission (consulté le ).
- Archives départementales du Pas de Calais : acte, en date du 10 janvier 1851, du décÚs, le 8 précédent, de Louis Célestin Fruchart.
- « Louis Fruchart, chouan des Flandres », sur politiquemagazine.fr (consulté le ).