Hinges
Hinges est une commune française située dans le département du Pas-de-Calais en région Hauts-de-France.
Hinges | |||||
La mairie. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Hauts-de-France | ||||
Département | Pas-de-Calais | ||||
Arrondissement | Béthune | ||||
Intercommunalité | Communauté d'agglomération de Béthune-Bruay, Artois-Lys Romane | ||||
Maire Mandat |
Corinne Laversin 2020-2026 |
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Code postal | 62232 | ||||
Code commune | 62454 | ||||
Démographie | |||||
Population municipale |
2 413 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 290 hab./km2 | ||||
Population agglomération |
2 800 hab. | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 50° 33′ 57″ nord, 2° 37′ 23″ est | ||||
Altitude | Min. 16 m Max. 47 m |
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Superficie | 8,31 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Unité urbaine | Béthune (banlieue) |
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Aire d'attraction | Béthune (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Beuvry | ||||
Législatives | Neuvième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Pas-de-Calais
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
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Liens | |||||
Site web | http://www.mairie-hinges.fr/ | ||||
La commune fait partie de la communauté d'agglomération de Béthune-Bruay, Artois-Lys Romane qui regroupe 100 communes et compte 276 238 habitants en 2019.
Géographie
Localisation
Hydrographie
Le territoire de la commune est situé dans le bassin Artois-Picardie.
La commune est traversée deux cours d'eau :
- le canal d'Aire à la Bassée, canal navigable de 39 km, qui prend sa source dans la commune de Bauvin et se jette dans La Lys au niveau de la commune d'Aire-sur-la-Lys[1].
- le courant d'hannebecque, cours d'eau naturel de 3 km, qui prend sa source dans la commune et se jette dans le Grand Nocq, au niveau de la commune de Mont-Bernanchon[2].
Urbanisme
Typologie
Hinges est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1] - [3] - [4] - [5]. Elle appartient à l'unité urbaine de Béthune, une agglomération inter-départementale regroupant 94 communes[6] et 356 052 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[7] - [8].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Béthune dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 23 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[9] - [10].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (80,9 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (87,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (63,7 %), zones urbanisées (19 %), prairies (17,2 %)[11].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[12].
Toponymie
Le nom de la localité est attesté sous les formes Hinges en 1194 (cart. de Saint-Barthélemy, n° 10), Hinghes au XIIIe siècle (chap. de Saint-Barthél., c. i), Hingues en 1469 (Arch. nat., J. 1003, f° 13 r°), Hainges en 1741 (Arch. nat., Q1. 907), Hinge au XVIIIe siècle (Cass.)[13].
Toponyme germanique, pluriel de hangi « pente », Hinges occupe le sommet d'une colline[14].
Histoire
Avant la Révolution française, Hinges était le siège d'une seigneurie. Elle a été érigée en baronnie sous le nom de baronnie Dupire par lettres données à Versailles en juin 1696. La terre d'Hinges était mouvante et relevante du roi à cause du château de Lens. Elle consistait en rentes foncières, argent, chapons, blé, droits casuels, lots et ventes. Plusieurs fiefs nobles sont mouvants de la dite terre et seigneurie qui a justice vicomtière et basse justice (justice seigneuriale), étant fondateur et seigneur de l'église du lieu[15].
Famille Dupire
La famille Dupire est étroitement liée à Hinges : la seigneurie d'Hinges a été érigée en baronnie en 1696 sous le nom de baronnie Dupire, en considération des services des différents membres de la famille. On trouve ainsi :
- Antoine Dupire, écuyer, seigneur de Prelle[15].
- Hector Dupire, écuyer, fils d'Antoine, seigneur de Prelle, est l'époux de Guillemette de Lancotte, suite à contrat de mariage du 3 mai 1537[15].
- Jean Dupire, écuyer, fils d'Hector, seigneur du lieu, a épousé par contrat du 18 décembre 1580, Marie Fournier.
- Jacques Dupire, écuyer, fils de Jean, seigneur de La Montoy, et de Tourlingthun (sur l'actuelle Wirwignies) est devenu le mari de dame Louise Delelé par contrat de mariage du 17 février 1629. Il a été tué au siège de Corbie au début de l'année 1636[15].
- Alexandre Dupire, écuyer, fils de Jacques, seigneur de Tourlingthun, Hinges, La Montoy et Montignie est fait baron d'Hinges en 1696. Il s'est marié par contrat du 23 octobre 1664 avec dame Marguerite Thérèse Fourdin. Il est capitaine d'infanterie dans le régiment de Pressau. Il a trois fils qui vont s'engager dans les armes au service de leur roi. Il commande le second bataillon du régiment royal-infanterie de vaisseaux le 26 février 1689. Deux de ses enfants ont été lieutenants de dragons dans le régiment de Sailly et le troisième a été cornette dans le dit régiment[15].
- Nicolas Alexandre Dupire, fils d'Alexandre, seigneur d'Hinges, Tourlingthun, Montignie, Courtaubus et Dulieu, ci-devant capitaine, aide-major du régiment de dragons de Sailly. A commencé sa carrière avec ses frères au service du roi, en étant à peine en âge de porter les armes, dans la compagnie des gentilshommes de Brisack en 1684. Il y sert jusqu'en 1687. Il a été honoré d'une sous-lieutenance dans le second bataillon du régiment royal-infanterie de vaisseaux. En cette qualité, il sert en Allemagne en 1688, dans l'armée du Dauphin. Il sert dans le régiment de Sailly et participe aux campagnes de 1689 dans les vallées de Luzerne et de Saint-Martin en Piémont contre les Vaudois et dans l'armée du Piémont en 1690. A été dangereusement blessé le même jour que ses frères en défendant le poste de Berqueros qui était le passage de Pignerol à Luzerne. Lors de cette même campagne, il a été fait aide-major du régiment. Il a participé à plusieurs faits d'armes, dont le siège de Villefranche en Piémont, le bombardement de Liège, la bataille de Steinquerque, le siège de Namur, le bombardement de Charleroi, et en dernier lieu le siège de Furnes. Lors de ce dernier, il a assuré la charge de major-général de dragons de l'armée avec satisfaction du maréchal Louis François de Boufflers. il a alors été honoré de la charge de grand-bailli de Béthune[15].
- Claude François Dupire, fils d'Alexandre, seigneur d'Hinges et La Montoy, capitaine de dragons dans le régiment de Sailly. A commencé sa carrière avec ses frères au service du roi , en étant à peine en âge de porter les armes, dans la compagnie des gentilshommes de Brisack en 1684. Il y sert jusqu'en 1687. Il a été honoré d'une sous-lieutenance dans le second bataillon du régiment royal-infanterie de vaisseaux. En cette qualité, il sert en Allemagne en 1688, dans l'armée du Dauphin. Il sert dans le régiment de Sailly et participe aux campagnes de 1689 dans les vallées de Luzerne et de Saint-Martin en Piémont contre les Vaudois et dans l'armée du Piémont en 1690. A été dangereusement blessé le même jour que ses frères en défendant le poste de Berqueros qui était le passage de Pignerol à Luzerne. Il a été fait capitaine du régiment de Sailly. Il a participé à plusieurs campagnes dont le siège de Villefranche en Piémont, le bombardement de Liège, la bataille de Steinquerque, le siège de Namur, le bombardement de Charleroi , et en dernier lieu le siège de Furnes. il continue de servicr dans la régiment de Sailly en qualité de capitaine, suivant le certificat du marquis de Sailly, maréchal de camp, colonel dudit régiment de dragons en date du 28 janvier 1698[15].
- Jacques Alexandre Dupire, fils d'Alexandre. A commencé sa carrière avec ses frères au service du roi , en étant à peine en âge de porter les armes, dans la compagnie des gentilshommes de Brisack en 1684. Il y sert jusqu'en 1687. Il a été honoré d'une sous-lieutenance dans le second bataillon du régiment royal-infanterie de vaisseaux. En cette qualité, il sert en Allemagne en 1688, dans l'armée du Dauphin. Il sert dans le régiment de Sailly et participe aux campagnes de 1689 dans les vallées de Luzerne et de Saint-Martin en Piémont contre les Vaudois et dans l'armée du Piémont en 1690. A été dangereusement blessé le même jour que ses frères en défendant le poste de Berqueros qui était le passage de Pignerol à Luzerne. Jacques Alexandre guéri, était membre d'un détachement commandé par le marquis de Molac, mestre de camp de cavalerie, pour aller brûler Ruiolt, a été tué au retour de cette campagne[15].
- Pour se distinguer de la famille de Charles Dupire, écuyer, seigneur du Buisson et de La Brayette, les barons Dupire (Alexandre, ses successeurs et ayant-cause et les successeurs d'iceux en légitime mariage pourront ajouter à leurs armesd eux licornes (portant bannières) pareilles au cimier de leurs armes[15].
Château d'Hinges et son parc
En 1851, en plein centre de Hinges est érigé sur la colline un château, entouré d'un parc de quatorze hectares environ.
Dans ce parc, on trouvait alors plusieurs pièces d'eau reliées entre-elles par des cascades. On pouvait y pêcher la carpe, le gardon et autres espèces de poissons. Aussi, on pouvait y pratiquer la chasse notamment dans la partie boisée où il pouvait y avoir des lièvres, des bécasses etc. Le parc du château faisait le délice des promeneurs et des familles avec ses bancs mis à disposition et sa végétation verdoyante qui permettait de créer des allées ombragées pour prendre le repas sans craindre le soleil durant les beaux-jours.
Mais de cette propriété, on retient principalement sa tour qui servait de pavillon de chasse pour le tir aux oiseaux. Aujourd'hui, cette tour reste le seul vestige épargné lors de la Première Guerre mondiale et reste visible parmi la végétation en passant par la rue du Plouy. En effet, lors de ce conflit, le château était un lieu stratégique dans la commune puisqu'il était utilisé comme quartier général par certains corps britanniques. C'est notamment pour cela qu'en 1918, le centre du village est défiguré par les bombardements et le château est particulièrement touché au point d'en sortir totalement en ruines[16].
Seconde Guerre mondiale
Au début de la Seconde Guerre mondiale, au cours de la bataille de France, le , dix civils, âgés de 26 à 53 ans, sont exécutés par l'armée allemande, au bord d'un trou d'obus datant de la guerre précédente et ils y sont enterrés[17].
Le , deux des éléments de la SS Totenkopf qui ont abattu dix otages la veille, vont exécuter un autre civil du village. Alors que la boulangerie Dufour-Rocourt n'a plus de pains suite à l'afflux de réfugiés venant du Nord, une cliente ne croit pas la boulangère et fait venir les deux soldats allemands. Les SS fouillent la boutique et trouvent trois pains. Ils s'en prennent au père de la boulangère qui déclare être un réfugié mais la cliente dénonciatrice confirme devant les allemands que l'homme est bien de la famille de la commerçante. Les soldats entraînent l'homme dans une prairie et l'exécutent. La dénonciatrice, elle, est arrêtée et condamnée à la Libération.
Politique et administration
Liste des maires
Population et société
Évolution démographique
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[25]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[26].
En 2020, la commune comptait 2 413 habitants[Note 3], en augmentation de 0,12 % par rapport à 2014 (Pas-de-Calais : −0,71 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Pyramide des âges
En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 32,0 %, soit en dessous de la moyenne départementale (36,7 %). De même, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 24,4 % la même année, alors qu'il est de 24,9 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 1 196 hommes pour 1 230 femmes, soit un taux de 50,70 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,50 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Cimetière militaire du Commonwealth de la Première Guerre mondiale :
- L'église Sainte-Marguerite.
- Le monument aux morts.
- La tour du château
Personnalités liées à la commune
- Philippe Debureau, handballeur, né à Hinges.
Héraldique
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Les armes de la ville se blasonnent ainsi : D'azur à la fleur de lis d'or en pointe surmontée de deux étoiles du même; au chef d'or chargé d'une étoile d'azur. |
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Pour approfondir
Bibliographie
- Bruno Monnier, Hinges à travers les siècles, Hinges, [31].
Articles connexes
Liens externes
- Site officiel
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Ressource relative aux organisations :
Notes et références
Notes
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
Références
- Sandre, « Fiche cours d'eau - canal d'Aire à la Bassée (E35-0282 ) » (consulté le )
- Sandre, « Fiche cours d'eau - courant d'hannebecque (E3640850) » (consulté le )
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Béthune », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
- « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
- Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Béthune », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- Auguste De Loisne, Dictionnaire topographique du département du Pas-de-Calais, Paris, (lire en ligne), p. 202.
- Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, vol. 2, Genève, Droz, , p. 719.
- Amédée le Boucq de Ternas, Recueil de la noblesse des Pays-Bas, de Flandre et d'Artois, Douai, 1884, p. 60-62, lire en ligne.
- Informations recueillies dans la brochure sur le village donné à tous les habitants par la Mairie et intitulée Hinges, un village accueillant, vers 2009.
- « La tragédie de Hinges du 24 mai 1940 », Seconde Guerre Mondiale - Non ! Plus Jamais ça, Club d'histoire de Beuvry (consulté le ).
- Les maires de la commune d’Hinges depuis la Révolution française
- « Hinges : Corinne Laversin passe du poste d’adjoint à celui de maire : Pas de surprise pour la succession d’André Delory dans le fauteuil majoral. Corinne Laversin, ex-adjointe, succède au premier magistrat prochainement nommé maire honoraire », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
- Jean-Pierre Glorian (CLP), « Hinges : André Delory, nouveau chéri de la confrérie des charitables : À l'occasion de la traditionnelle remise de décorations aux charitables de Saint-Éloi, dimanche, le maire Corinne Laversin a remis la médaille de Saint-Éloi à un nouveau « chéri » : André Delory, ancien maire et récemment nommé maire honoraire par le préfet », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
- « Hinges : Corinne Laversin, nouveau maire, planche déjà sur ses priorités : Au conseil municipal depuis 2001, propulsée maire voilà quelques jours, la Franc-Comtoise est arrivée dans le Nord pour des raisons professionnelles dans les années 80 et s’y est trouvée bien. Bienvenue chez les Ch’tis ! », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
- « Liste des communes et des maires » [xls], Préfecture du Pas-de-Calais, (consulté le ).
- « Répertoire national des maires » [txt], Répertoire national des élus, sur https://www.data.gouv.fr, (consulté le ).
- « Résultats des élections municipales et communautaires 2020 », sur Le site du Ministère de l'Intérieur (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune d'Hinges (62454) », (consulté le ).
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département du Pas-de-Calais (62) », (consulté le ).
- Étienne Maire, « Bruno Monnier a écrit le premier livre retraçant l’histoire d’Hinges », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).