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Escalquens

Escalquens (prononcĂ© [ɛskalkɛ̃s]) est une commune française situĂ©e dans le nord-est du dĂ©partement de la Haute-Garonne, en rĂ©gion Occitanie. Elle fait partie de la communautĂ© d'agglomĂ©ration du Sicoval. Sur le plan historique et culturel, la commune est dans le Lauragais, l'ancien « Pays de Cocagne », liĂ© Ă  la fois Ă  la culture du pastel et Ă  l’abondance des productions, et de « grenier Ă  blĂ© du Languedoc ».

Escalquens
Escalquens
Le centre historique.
Blason de Escalquens
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Occitanie
DĂ©partement Haute-Garonne
Arrondissement Toulouse
Intercommunalité Sicoval
Maire
Mandat
Jean-Luc Tronco
2020-2026
Code postal 31750
Code commune 31169
DĂ©mographie
Gentilé Escalquinois
Population
municipale
6 982 hab. (2020 en augmentation de 11,3 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 829 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 43° 31â€Č 07″ nord, 1° 33â€Č 42″ est
Altitude Min. 146 m
Max. 232 m
Superficie 8,42 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Toulouse
(banlieue)
Aire d'attraction Toulouse
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton d'Escalquens
(bureau centralisateur)
LĂ©gislatives DixiĂšme circonscription
Localisation
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Escalquens
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Escalquens
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Escalquens
Liens
Site web www.escalquens.fr

    Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par l'Hers-Mort, le ruisseau d'Escalquens et par divers autres petits cours d'eau.

    Escalquens est une commune urbaine qui compte 6 982 habitants en 2020, aprĂšs avoir connu une forte hausse de la population depuis 1975. Elle appartient Ă  l'unitĂ© urbaine de Toulouse et fait partie de l'aire d'attraction de Toulouse.

    Ses habitants sont les Escalquinois et les Escalquinoises.

    GĂ©ographie

    Localisation

    Cartographies interactive et OpenStreetMap
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    1. Carte dynamique
    2. Carte Openstreetmap
    3. Carte topographique
    4. Carte avec les communes environnantes

    La commune d'Escalquens se trouve dans le département de la Haute-Garonne, en région Occitanie[I 1].

    Elle se situe Ă  13 km Ă  vol d'oiseau de Toulouse[1], prĂ©fecture du dĂ©partement.

    Les communes les plus proches[Note 1] sont[2] : Belberaud (1,3 km), Odars (2,3 km), Auzielle (2,7 km), LabĂšge (2,8 km), Montlaur (3,4 km), Lauzerville (4,2 km), Saint-Orens-de-Gameville (4,3 km), PĂ©chabou (4,6 km).

    Sur le plan historique et culturel, Escalquens fait partie du pays toulousain, une ceinture de plaines fertiles entrecoupées de bosquets d'arbres, aux molles collines semées de fermes en briques roses, inéluctablement grignotée par l'urbanisme des banlieues[3].

    Escalquens est limitrophe de sept autres communes. Les communes limitrophes sont Saint-Orens-de-Gameville, Auzielle, Belberaud, Castanet-Tolosan, LabĂšge, Odars et Pompertuzat.

    GĂ©ologie et relief

    La superficie de la commune est de 842 hectares ; son altitude varie de 146 Ă  232 mĂštres[5].

    Hydrographie

    Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
    RĂ©seaux hydrographique et routier d'Escalquens.

    La commune est dans le bassin de la Garonne, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne[6]. Elle est drainĂ©e par l'Hers-Mort, le ruisseau d'Escalquens, le ruisseau de Juncarolle, le ruisseau de la Juncarolle, le ruisseau de Touron, le ruisseau de Tricou et par un petit cours d'eau, constituant un rĂ©seau hydrographique de 11 km de longueur totale[7] - [Carte 1].

    L'Hers-Mort, d'une longueur totale de 89,3 km, prend sa source dans la commune de Laurac (11) et s'Ă©coule du sud-est vers le nord-ouest. Il traverse la commune et se jette dans la Garonne Ă  Grenade, aprĂšs avoir traversĂ© 40 communes[8].

    Climat

    Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat du Bassin du Sud-Ouest », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[9]. En 2020, la commune ressort du type « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© » dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat ocĂ©anique et les climats de montagne et semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[10].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[9]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 13,2 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 1,8 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 10,1 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 3] : 15,7 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation : 715 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 9,6 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 5,3 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[12] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[13] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « SĂ©greville », sur la commune de SĂ©greville, mise en service en 1961[14] et qui se trouve Ă  15 km Ă  vol d'oiseau[15] - [Note 4], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 13 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 734,5 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[16]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche, « Toulouse-Francazal », sur la commune de Cugnaux, mise en service en 1922 et Ă  18 km[17], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 14,1 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[18], Ă  14,1 °C pour 1981-2010[19], puis Ă  14,3 °C pour 1991-2020[20].

    Milieux naturels et biodiversité

    Aucun espace naturel prĂ©sentant un intĂ©rĂȘt patrimonial n'est recensĂ© sur la commune dans l'inventaire national du patrimoine naturel[21] - [22] - [23].

    Urbanisme

    Typologie

    Escalquens est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densitĂ© intermĂ©diaire, au sens de la grille communale de densitĂ© de l'Insee[Note 5] - [24] - [I 2] - [25]. Elle appartient Ă  l'unitĂ© urbaine de Toulouse, une agglomĂ©ration inter-dĂ©partementale regroupant 81 communes[I 3] et 1 047 829 habitants en 2020, dont elle est une commune de la banlieue. L'agglomĂ©ration de Toulouse est la cinquiĂšme plus importante de la France en termes de population, derriĂšre celles de Paris, Lyon, Marseille-Aix-en-Provence et Lille (partie française)[I 4] - [I 5].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Toulouse, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 527 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[I 6] - [I 7].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (56,5 % en 2018), nĂ©anmoins en diminution par rapport Ă  1990 (67,1 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : zones urbanisĂ©es (43,5 %), terres arables (42 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (14,4 %), prairies (0,1 %)[26].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[Carte 2].

    Morphologie urbaine

    L'habitat, diffus, est essentiellement constituĂ© de maisons individuelles dans un cadre champĂȘtre. La municipalitĂ© souhaite maĂźtriser cette Ă©volution et crĂ©er un cƓur de village afin que la commune garde toute sa dimension humaine.

    Voies de communication et transports

    La gare d'Escalquens permet de rejoindre rapidement le centre-ville de Toulouse.

    Plusieurs lignes de bus Tisséo relient la commune au métro toulousain :

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune d'Escalquens est vulnĂ©rable Ă  diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse), inondations et sĂ©isme (sismicitĂ© trĂšs faible). Il est Ă©galement exposĂ© Ă  deux risques technologiques, et le risque industriel et la rupture d'un barrage[27]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[28].

    Risques naturels

    Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’ĂȘtre affectĂ©es par le risque d’inondation par dĂ©bordement de cours d'eau, notamment l'Hers-Mort. La commune a Ă©tĂ© reconnue en Ă©tat de catastrophe naturelle au titre des dommages causĂ©s par les inondations et coulĂ©es de boue survenues en 1982, 1983, 1994, 1999 et 2009[29] - [27].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux d'Escalquens.

    Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas d’alternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie. 96,8 % de la superficie communale est en alĂ©a moyen ou fort (88,8 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 2 141 bĂątiments dĂ©nombrĂ©s sur la commune en 2019, 1 979 sont en en alĂ©a moyen ou fort, soit 92 %, Ă  comparer aux 98 % au niveau dĂ©partemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[30] - [Carte 3].

    Par ailleurs, afin de mieux apprĂ©hender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavitĂ©s souterraines permet de localiser celles situĂ©es sur la commune[31].

    Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 1991, 1994, 1998, 2002, 2003, 2005, 2007, 2012, 2016, 2017, 2019 et 2020 et par des mouvements de terrain en 1983 et 1999[27].

    Risques technologiques

    La commune est exposée au risque industriel du fait de la présence sur son territoire d'une entreprise soumise à la directive européenne SEVESO[32].

    La commune est en outre situĂ©e en aval du barrage de l'Estrade sur la Ganguise (dĂ©partement de l'Aude). À ce titre elle est susceptible d’ĂȘtre touchĂ©e par l’onde de submersion consĂ©cutive Ă  la rupture de cet ouvrage[33].

    HĂ©raldique

    Escalquens

    Son blasonnement est : ÉcartelĂ© : au premier et au quatriĂšme de gueules aux deux fasces d'argent, au deuxiĂšme et au troisiĂšme d'or au lion naissant d'azur.

    Politique et administration

    Administration municipale

    Le nombre d'habitants au recensement de 2017 Ă©tant compris entre 5 000 habitants et 9 999 habitants, le nombre de membres du conseil municipal pour l'Ă©lection de 2020 est de vingt-neuf[34] - [35].

    Rattachements administratifs et Ă©lectoraux

    Commune faisant partie de la dixiÚme circonscription de la Haute-Garonne, du Sicoval et du canton d'Escalquens (avant le redécoupage départemental de 2014, Escalquens faisait partie de l'ex-canton de Montgiscard).

    Liste des maires

    La mairie
    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    1945 1947 Antoine Escaffre
    1947 1953 Jean Lacroux
    1953 1995 Jean Cassan Rad. puis MRG
    puis PRG
    Industriel retraité
    Conseiller gĂ©nĂ©ral de Montgiscard (1958 → 2001)
    1995 2020 Alain Serieys PS Retraité France Télécom, maire honoraire (2021)
    Vice-président du Sicoval
    2020 En cours Jean-Luc Tronco DVD Magistrat

    Politique de développement durable

    La commune a engagé une politique de développement durable en lançant une démarche d'Agenda 21 en 2009[36].

    DĂ©mographie

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[37]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2006[38].

    En 2020, la commune comptait 6 982 habitants[Note 7], en augmentation de 11,3 % par rapport Ă  2014 (Haute-Garonne : +7,44 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    320383400461506489536513537
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    524479453416388427397381384
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    350357374346351348345374388
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    4538962 0512 8844 3235 4775 6786 0556 557
    2020 - - - - - - - -
    6 982--------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[39] puis Insee Ă  partir de 2006[40].)
    Histogramme de l'évolution démographique
    Évolution du rang de la commune
    selon la population municipale des années : 1968[41] 1975[41] 1982[41] 1990[41] 1999[41] 2006[42] 2009[43] 2013[44]
    Rang de la commune dans le département 83 46 36 27 29 30 31 31
    Nombre de communes du département 592 582 586 588 588 588 589 589

    Économie

    Revenus

    En 2018 (donnĂ©es Insee publiĂ©es en ), la commune compte 2 922 mĂ©nages fiscaux[Note 8], regroupant 7 011 personnes. La mĂ©diane du revenu disponible par unitĂ© de consommation est de 26 730 â‚Ź[I 8] (23 140 â‚Ź dans le dĂ©partement[I 9]). 67 % des mĂ©nages fiscaux sont imposĂ©s[Note 9] (55,3 % dans le dĂ©partement).

    Emploi

    Taux de chĂŽmage
    200820132018
    Commune[I 10]4,3 %5,2 %6,3 %
    DĂ©partement[I 11]7,7 %9,6 %9,3 %
    France entiĂšre[I 12]8,3 %10 %10 %

    En 2018, la population ĂągĂ©e de 15 Ă  64 ans s'Ă©lĂšve Ă  4 563 personnes, parmi lesquelles on compte 76,9 % d'actifs (70,6 % ayant un emploi et 6,3 % de chĂŽmeurs) et 23,1 % d'inactifs[Note 10] - [I 10]. Depuis 2008, le taux de chĂŽmage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est infĂ©rieur Ă  celui de la France et du dĂ©partement.

    La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Toulouse, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pĂŽle[Carte 4] - [I 13]. Elle compte 1 739 emplois en 2018, contre 1 512 en 2013 et 1 365 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi rĂ©sidant dans la commune est de 3 246, soit un indicateur de concentration d'emploi de 53,6 % et un taux d'activitĂ© parmi les 15 ans ou plus de 60,5 %[I 14].

    Sur ces 3 246 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 488 travaillent dans la commune, soit 15 % des habitants[I 15]. Pour se rendre au travail, 83,6 % des habitants utilisent un vĂ©hicule personnel ou de fonction Ă  quatre roues, 7,6 % les transports en commun, 5,9 % s'y rendent en deux-roues, Ă  vĂ©lo ou Ă  pied et 2,9 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 16].

    Secteurs d'activités

    499 établissements[Note 11] sont implantés à Escalquens au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 12] - [I 17].

    Secteur d'activitéCommuneDépartement
    Nombre % %
    Ensemble499100 %(100 %)
    Industrie manufacturiĂšre,
    industries extractives et autres
    285,6 %(5,7 %)
    Construction5911,8 %(12 %)
    Commerce de gros et de détail,
    transports, hébergement et restauration
    11723,4 %(25,9 %)
    Information et communication285,6 %(4,1 %)
    Activités financiÚres et d'assurance244,8 %(3,8 %)
    Activités immobiliÚres224,4 %(4,2 %)
    Activités spécialisées, scientifiques et techniques
    et activités de services administratifs et de soutien
    10721,4 %(19,8 %)
    Administration publique, enseignement,
    santé humaine et action sociale
    7414,8 %(16,6 %)
    Autres activités de services408 %(7,9 %)

    Le secteur du commerce de gros et de dĂ©tail, des transports, de l'hĂ©bergement et de la restauration est prĂ©pondĂ©rant sur la commune puisqu'il reprĂ©sente 23,4 % du nombre total d'Ă©tablissements de la commune (117 sur les 499 entreprises implantĂ©es Ă  Escalquens), contre 25,9 % au niveau dĂ©partemental[I 18].

    Entreprises et commerces

    Les cinq entreprises ayant leur siÚge social sur le territoire communal qui génÚrent le plus de chiffre d'affaires en 2020 sont[45] :

    • Tridem Pharma, gestion de fonds (198 363 k€)
    • Sterling Automobiles, commerce de voitures et de vĂ©hicules automobiles lĂ©gers (61 397 k€)
    • Gaches Chimie SA, commerce de gros (commerce interentreprises) de produits chimiques (35 942 k€)
    • DG Diffusion, commerce de gros (commerce interentreprises) d'autres biens domestiques (21 278 k€)
    • Ateliers Tofer, mĂ©canique industrielle (6 710 k€)

    MĂȘme si la majoritĂ© de la population active migre tous les jours vers Toulouse et ses grandes sociĂ©tĂ©s (EADS Astrium Satellites, Airbus, Thales Alenia Space, Motorola, Thomson, CNES, France TĂ©lĂ©com
) ou vers le vivier d'entreprises de LabĂšge-Innopole et du Parc technologique du Canal, Escalquens accueille quelques sociĂ©tĂ©s gĂ©nĂ©ratrices d'emplois (Midi-PyrĂ©nĂ©es Plastiques, La Toulousaine, Gaches Chimie
). De plus, la commune d'Escalquens accueillera d'ici peu une zone commerciale d'importance avec notamment un magasin DĂ©cathlon qui a ouvert en aoĂ»t 2008.

    Ces activités sont complétées par de nombreux artisans et commerçants. Les universités, instituts de technologies et autres écoles d'ingénieurs de Toulouse, situés à proximité, offrent également la possibilité de poursuivre des études supérieures.

    Agriculture

    1988200020102020
    Exploitations201496
    SAU[Note 13] (ha)498500400357

    La commune est dans le Lauragais, une petite région agricole occupant le nord-est du département de la Haute-Garonne, dont les coteaux portent des grandes cultures en sec avec une dominante blé dur et tournesol[46]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 14] sur la commune est la culture de céréales et/ou d'oléoprotéagineuses[Carte 5]. Six exploitations agricoles ayant leur siÚge dans la commune sont dénombrées lors du recensement agricole de 2020[Note 15] (20 en 1988). La superficie agricole utilisée est de 357 ha[48] - [Carte 6] - [Carte 7].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Deux monuments, situĂ©s Ă  100 mĂštres l'un de l'autre, en plein cƓur du village :

    • L'Ă©glise Saint-Martin
      L'Ă©glise Saint-Martin
    • Le monument aux Morts
      Le monument aux Morts

    Vie locale

    La salle des fĂȘtes.

    Enseignement

    Escalquens fait partie de l'académie de Toulouse.

    L'éducation est assurée sur la commune d'Escalquens depuis la crÚche en passant par les écoles maternelles (Lavandes et Romarins) jusqu'à l'école élémentaire Petit Bois. Sur la commune voisine de Saint-Orens-de-Gameville, le collÚge Jacques Prévert et le Lycée Pierre-Paul Riquet prennent le relais de la scolarité de la jeunesse locale.

    À noter qu'un collĂšge est en construction dans la commune[49]. À la rentrĂ©e scolaire 2020, le chantier ayant pris du retard, le collĂšge accueille ses premiers Ă©lĂšves de 6e temporairement au sein du lycĂ©e Pierre Paul Riquet Ă  Saint-Orens-de-Gameville. Les Ă©lĂšves et le personnel intĂ©greront les nouveaux bĂątiments du collĂšge en dĂ©but de l'annĂ©e 2021.

    Santé

    Maison de retraite type ehpad Borde-Haute, pharmacie, des infirmiers, des médecins généralistes,

    Activités sportives

    Tennis, rugby à XV, football, taekwondo, karaté, aïkido, boxe française, skate park,

    Culture

    Salle des fĂȘtes, mĂ©diathĂšque, thĂ©Ăątre, danse, maison de la jeunesse et de la culture.

    Écologie et recyclage

    La collecte et le traitement des déchets des ménages et des déchets assimilés ainsi que la protection et la mise en valeur de l'environnement se font dans le cadre du Sicoval[50].

    Personnalités liées à la commune

    Jumelages

    Pour approfondir

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
    2. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[11].
    3. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en celle d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    8. Un mĂ©nage fiscal est constituĂ© par le regroupement des foyers fiscaux rĂ©pertoriĂ©s dans un mĂȘme logement. Son existence, une annĂ©e donnĂ©e, tient au fait que coĂŻncident au moins une dĂ©claration indĂ©pendante de revenus et l’occupation d’un logement connu Ă  la taxe d’habitation.
    9. La part des ménages fiscaux imposés est le pourcentage des ménages fiscaux qui ont un impÎt à acquitter au titre de l'impÎt sur le revenu des personnes physiques. L'impÎt à acquitter pour un ménage fiscal correspond à la somme des impÎts à acquitter par les foyers fiscaux qui le composent.
    10. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élÚves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
    11. L'Ă©tablissement, au sens de l’Insee, est une unitĂ© de production gĂ©ographiquement individualisĂ©e, mais juridiquement dĂ©pendante de l'unitĂ© lĂ©gale. Il produit des biens ou des services.
    12. Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
    13. Les donnĂ©es relatives Ă  la surface agricole utilisĂ©e (SAU) sont localisĂ©es Ă  la commune oĂč se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc ĂȘtre interprĂ©tĂ©s avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activitĂ© sur plusieurs communes, ou plusieurs dĂ©partements voire plusieurs rĂ©gions.
    14. L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
    15. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[47].
    • Cartes
    1. « Carte hydrographique d'Escalquens » sur Géoportail (consulté le 5 novembre 2021).
    2. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    3. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
    4. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
    5. « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    6. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    7. « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

    Site de l'Insee

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    Autres sources

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    5. Répertoire géographique des communes, publié par l'Institut national de l'information géographique et forestiÚre, [lire en ligne].
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