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LabĂšge

LabÚge est une commune française, limitrophe de Toulouse, située dans le nord-est du département de la Haute-Garonne en région Occitanie.

LabĂšge
LabĂšge
L'église Saint-Barthélémy.
Blason de LabĂšge
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Occitanie
DĂ©partement Haute-Garonne
Arrondissement Toulouse
Intercommunalité Sicoval
(siĂšge)
Maire
Mandat
Laurent Chérubin
2020-2026
Code postal 31670
Code commune 31254
DĂ©mographie
Gentilé Labégeoises, Labégeois
Population
municipale
4 122 hab. (2020 en diminution de 2,25 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 539 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 43° 31â€Č 48″ nord, 1° 31â€Č 51″ est
Altitude Min. 141 m
Max. 202 m
Superficie 7,65 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Toulouse
(banlieue)
Aire d'attraction Toulouse
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton de Castanet-Tolosan
LĂ©gislatives DixiĂšme circonscription
Localisation
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LabĂšge
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LabĂšge
Liens
Site web Site de la Mairie

    Sur le plan historique et culturel, la commune est dans le Lauragais, l'ancien « Pays de Cocagne », liĂ© Ă  la fois Ă  la culture du pastel et Ă  l’abondance des productions, et de « grenier Ă  blĂ© du Languedoc ». ExposĂ©e Ă  un climat ocĂ©anique altĂ©rĂ©, elle est drainĂ©e par l'Hers-Mort, le ruisseau d'Escalquens et par divers autres petits cours d'eau. La commune possĂšde un patrimoine naturel remarquable composĂ© d'une zone naturelle d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique.

    LabĂšge est une commune urbaine qui compte 4 122 habitants en 2020, aprĂšs avoir connu une forte hausse de la population depuis 1975. Elle appartient Ă  l'unitĂ© urbaine de Toulouse et fait partie de l'aire d'attraction de Toulouse. Ses habitants sont appelĂ©s les LabĂšgeois ou LabĂšgeoises.

    Le patrimoine architectural de la commune comprend un immeuble protégé au titre des monuments historiques : le pigeonnier, inscrit en 1977.

    GĂ©ographie

    Localisation

    Cartographies interactive et OpenStreetMap
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    1. Carte dynamique
    2. Carte Openstreetmap
    3. Carte topographique
    4. Carte avec les communes environnantes

    La commune de LabÚge se trouve dans le département de la Haute-Garonne, en région Occitanie[I 1].

    Elle se situe Ă  11 km Ă  vol d'oiseau de Toulouse[1], prĂ©fecture du dĂ©partement, et Ă  km de Castanet-Tolosan[2], bureau centralisateur du canton de Castanet-Tolosan dont dĂ©pend la commune depuis 2015 pour les Ă©lections dĂ©partementales[I 1]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Toulouse[I 1].

    Les communes les plus proches[Note 1] sont[3] : Saint-Orens-de-Gameville (2,5 km), Escalquens (2,8 km), Castanet-Tolosan (3,0 km), Auzielle (3,2 km), PĂ©chabou (3,6 km), Auzeville-Tolosane (3,9 km), Belberaud (4,0 km), Lauzerville (4,1 km).

    Sur le plan historique et culturel, LabÚge fait partie du pays toulousain, une ceinture de plaines fertiles entrecoupées de bosquets d'arbres, aux molles collines semées de fermes en briques roses, inéluctablement grignotée par l'urbanisme des banlieues[4].

    LabĂšge est limitrophe de six autres communes. Les communes limitrophes sont Toulouse, Auzeville-Tolosane, Castanet-Tolosan, Escalquens, Ramonville-Saint-Agne et Saint-Orens-de-Gameville.

    GĂ©ologie

    La superficie de la commune est de 765 hectares ; son altitude varie de 141 Ă  202 mĂštres[6].

    Hydrographie

    Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
    RĂ©seaux hydrographique et routier de LabĂšge.

    La commune est dans le bassin de la Garonne, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne[7]. Elle est drainĂ©e par l'Hers-Mort, le ruisseau d'Escalquens, le ruisseau de BolĂ©, le ruisseau de Juncarolle, le ruisseau de Tricou et par deux petits cours d'eau, constituant un rĂ©seau hydrographique de 13 km de longueur totale[8] - [Carte 1].

    L'Hers-Mort, d'une longueur totale de 89,3 km, prend sa source dans la commune de Laurac (11) et s'Ă©coule du sud-est vers le nord-ouest. Il traverse la commune et se jette dans la Garonne Ă  Grenade, aprĂšs avoir traversĂ© 40 communes[9].

    Climat

    Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat du Bassin du Sud-Ouest », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[10]. En 2020, la commune ressort du type « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© » dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat ocĂ©anique et les climats de montagne et semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[11].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[10]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 13,5 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 1,4 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 10,7 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 3] : 15,7 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation : 734 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 9,8 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 5,4 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[13] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[14] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Toulouse-Francazal », sur la commune de Cugnaux, mise en service en 1922[15] et qui se trouve Ă  15 km Ă  vol d'oiseau[16] - [Note 4], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 14,1 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[17], Ă  14,1 °C pour 1981-2010[18], puis Ă  14,3 °C pour 1991-2020[19].

    Milieux naturels et biodiversité

    Carte de la ZNIEFF de type 1 localisée sur la commune.

    L’inventaire des zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de rĂ©aliser une couverture des zones les plus intĂ©ressantes sur le plan Ă©cologique, essentiellement dans la perspective d’amĂ©liorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux diffĂ©rents dĂ©cideurs un outil d’aide Ă  la prise en compte de l’environnement dans l’amĂ©nagement du territoire. Une ZNIEFF de type 1[Note 5] est recensĂ©e sur la commune[20] : les « prairies Ă  Jacinthe de Rome de la Ferme cinquante » (34 ha), couvrant 3 communes du dĂ©partement[21].

    Urbanisme

    Typologie

    LabĂšge est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densitĂ© intermĂ©diaire, au sens de la grille communale de densitĂ© de l'Insee[Note 6] - [22] - [I 2] - [23]. Elle appartient Ă  l'unitĂ© urbaine de Toulouse, une agglomĂ©ration inter-dĂ©partementale regroupant 81 communes[I 3] et 1 047 829 habitants en 2020, dont elle est une commune de la banlieue. L'agglomĂ©ration de Toulouse est la cinquiĂšme plus importante de la France en termes de population, derriĂšre celles de Paris, Lyon, Marseille-Aix-en-Provence et Lille (partie française)[I 4] - [I 5].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Toulouse, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 527 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[I 6] - [I 7].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires artificialisĂ©s (63 % en 2018), en augmentation par rapport Ă  1990 (49,8 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : zones industrielles ou commerciales et rĂ©seaux de communication (43,2 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (29 %), zones urbanisĂ©es (19,8 %), terres arables (8 %)[24].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[Carte 2].

    Voies de communication et transports

    Plusieurs lignes de bus Tisséo relient la commune au métro toulousain :

    La commune compte deux gares sur son territoire, la gare de LabÚge-Innopole, située à proximité de la zone commerciale à l'ouest, et la halte de LabÚge-Village, située en centre-ville. Ces deux gares sont desservies par des TER Occitanie effectuant des liaisons entre Toulouse-Matabiau, Castelnaudary, Narbonne et Perpignan.

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de LabĂšge est vulnĂ©rable Ă  diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse), inondations et sĂ©isme (sismicitĂ© trĂšs faible). Il est Ă©galement exposĂ© Ă  un risque technologique, la rupture d'un barrage[25]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[26].

    Risques naturels

    Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’ĂȘtre affectĂ©es par le risque d’inondation par dĂ©bordement de cours d'eau, notamment l'Hers-Mort. La commune a Ă©tĂ© reconnue en Ă©tat de catastrophe naturelle au titre des dommages causĂ©s par les inondations et coulĂ©es de boue survenues en 1982, 1999, 2009 et 2022[27] - [25].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de LabÚge.

    Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas d’alternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie. 99,9 % de la superficie communale est en alĂ©a moyen ou fort (88,8 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 1 021 bĂątiments dĂ©nombrĂ©s sur la commune en 2019, 1 021 sont en en alĂ©a moyen ou fort, soit 100 %, Ă  comparer aux 98 % au niveau dĂ©partemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[28] - [Carte 3].

    Par ailleurs, afin de mieux apprĂ©hender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavitĂ©s souterraines permet de localiser celles situĂ©es sur la commune[29].

    Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 1998, 2003, 2011, 2016, 2017, 2019 et 2020 et par des mouvements de terrain en 1999[25].

    Risques technologiques

    La commune est en outre situĂ©e en aval du barrage de l'Estrade sur la Ganguise (dĂ©partement de l'Aude). À ce titre elle est susceptible d’ĂȘtre touchĂ©e par l’onde de submersion consĂ©cutive Ă  la rupture de cet ouvrage[30].

    Toponymie

    Une forme ancienne est Lapidea (villa), qui proviendrait d'un surnom latin Lapideus, ou de l'adjectif lapideus, en pierre[31].

    Le nom est orthographiĂ© la BĂšge sur les cartes de Cassini (XVIIIe siĂšcle) et d'État-Major (XIXe siĂšcle)[32].

    Histoire

    Quelques traces romaines sont visibles Ă  LabĂšge. Mais aucun village n'est alors prĂ©sent sur cette commune. Il s'agirait essentiellement d'un lieu de passage secondaire entre Toulouse et Narbonne, via BaziĂšge. MĂȘme au Moyen Âge, l'habitat est dispersĂ©. Il existe une Ă©glise, mais annexe de la paroisse de Belberaud, et dont les dĂźmes sont perçues par le chapitre de Saint-Étienne.

    Au XIVe siÚcle, une seigneurie de LabÚge existe dans des documents d'époque. Elle est achetée en 1360, avec celles de Drémil et d'Auzil, par le cardinal Hélie de Talleyrand-Périgord pour assurer des revenus au collÚge Saint-Front de Périgord (plus connu sous le nom de collÚge de Périgord) qu'il vient de fonder à Toulouse, collÚge qui en restera propriétaire pendant quatre siÚcles. Le village se forme alors autour de l'église dÚs la fin de la Renaissance.

    À partir de 1960, Labùge accueille de nombreux bureaux et laboratoires sur le site de Labùge Innopole.

    HĂ©raldique

    LabĂšge

    Son blasonnement est : D'or aux deux pals de sable.

    Politique et administration

    • La mairie
      La mairie

    Administration municipale

    Le nombre d'habitants au recensement de 2017 Ă©tant compris entre 3 500 habitants et 4 999 habitants, le nombre de membres du conseil municipal pour l'Ă©lection de 2020 est de vingt-sept[33] - [34].

    Rattachements administratifs et Ă©lectoraux

    Commune faisant partie de la dixiÚme circonscription de la Haute-Garonne, de la communauté d'agglomération du Sicoval et du canton de Castanet-Tolosan.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    Les données manquantes sont à compléter.
    vers 1958 ? Louis Rogé Rad.ind. Exploitant agricole
    SupplĂ©ant du dĂ©putĂ© Jacques Douzans (1958 → 1962)
    mars 1971 mars 2008 Claude Ducert PS Ingénieur
    Député de la Haute-Garonne (3e circ.) (1988-1993)
    Conseiller général de Castanet-Tolosan (1983-1992)
    Président du Sicoval (1975-2001)
    mars 2008[36] mars 2014 Christian Lavigne[37] PS Retraité
    Vice-président du Sicoval
    mars 2014 mars 2016 Claude Ducert EELV Ingénieur
    Président du Sicoval (2014-2015)
    DĂ©missionnaire[38]
    mars 2016[39] En cours
    (au 2 février 2023)
    Laurent Chérubin EELV[40]
    puis PRG[41]
    Cadre commercial
    Conseiller régional d'Occitanie (depuis 2021)
    Vice-président du Sicoval
    RĂ©Ă©lu pour le mandat 2020-2026[42]

    Politique de développement durable

    La commune a engagé une politique de développement durable en lançant une démarche d'Agenda 21[43].

    La collecte et le traitement des déchets des ménages et des déchets assimilés ainsi que la protection et la mise en valeur de l'environnement se font dans le cadre du Sicoval[44].

    DĂ©mographie

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[45]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2008[46].

    En 2020, la commune comptait 4 122 habitants[Note 8], en diminution de 2,25 % par rapport Ă  2014 (Haute-Garonne : +7,44 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    355367393416467508509538476
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    453473485469412443428440424
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    432467448423416440438439498
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
    5856831 4031 6282 1483 1523 4613 5254 260
    2018 2020 - - - - - - -
    3 9724 122-------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[47] puis Insee Ă  partir de 2006[48].)
    Histogramme de l'évolution démographique
    Évolution du rang de la commune
    selon la population municipale des années : 1968[49] 1975[49] 1982[49] 1990[49] 1999[49] 2006[50] 2009[51] 2013[52]
    Rang de la commune dans le département 105 67 75 65 50 53 53 51
    Nombre de communes du département 592 582 586 588 588 588 589 589

    Économie

    Revenus

    En 2018 (donnĂ©es Insee publiĂ©es en ), la commune compte 1 529 mĂ©nages fiscaux[Note 9], regroupant 3 441 personnes. La mĂ©diane du revenu disponible par unitĂ© de consommation est de 25 530 â‚Ź[I 8] (23 140 â‚Ź dans le dĂ©partement[I 9]). 56 % des mĂ©nages fiscaux sont imposĂ©s[Note 10] (55,3 % dans le dĂ©partement).

    Emploi

    Taux de chĂŽmage
    200820132018
    Commune[I 10]4 %6,7 %6,7 %
    DĂ©partement[I 11]7,7 %9,6 %9,3 %
    France entiĂšre[I 12]8,3 %10 %10 %

    En 2018, la population ĂągĂ©e de 15 Ă  64 ans s'Ă©lĂšve Ă  2 762 personnes, parmi lesquelles on compte 62,5 % d'actifs (55,8 % ayant un emploi et 6,7 % de chĂŽmeurs) et 37,5 % d'inactifs[Note 11] - [I 10]. Depuis 2008, le taux de chĂŽmage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est infĂ©rieur Ă  celui de la France et du dĂ©partement.

    La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Toulouse, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pĂŽle[Carte 4] - [I 13]. Elle compte 14 267 emplois en 2018, contre 12 350 en 2013 et 12 475 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi rĂ©sidant dans la commune est de 1 558, soit un indicateur de concentration d'emploi de 915,7 % et un taux d'activitĂ© parmi les 15 ans ou plus de 51 %[I 14].

    Sur ces 1 558 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 416 travaillent dans la commune, soit 27 % des habitants[I 15]. Pour se rendre au travail, 79,4 % des habitants utilisent un vĂ©hicule personnel ou de fonction Ă  quatre roues, 8,2 % les transports en commun, 9,8 % s'y rendent en deux-roues, Ă  vĂ©lo ou Ă  pied et 2,6 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 16].

    Secteurs d'activités

    1 664 Ă©tablissements[Note 12] sont implantĂ©s Ă  LabĂšge au . Le tableau ci-dessous en dĂ©taille le nombre par secteur d'activitĂ© et compare les ratios avec ceux du dĂ©partement[Note 13] - [I 17].

    Secteur d'activitéCommuneDépartement
    Nombre % %
    Ensemble1 664100 %(100 %)
    Industrie manufacturiĂšre,
    industries extractives et autres
    835 %(5,7 %)
    Construction915,5 %(12 %)
    Commerce de gros et de détail,
    transports, hébergement et restauration
    44226,6 %(25,9 %)
    Information et communication20212,1 %(4,1 %)
    Activités financiÚres et d'assurance1297,8 %(3,8 %)
    Activités immobiliÚres583,5 %(4,2 %)
    Activités spécialisées, scientifiques et techniques
    et activités de services administratifs et de soutien
    44126,5 %(19,8 %)
    Administration publique, enseignement,
    santé humaine et action sociale
    1448,7 %(16,6 %)
    Autres activités de services744,4 %(7,9 %)

    Le secteur du commerce de gros et de dĂ©tail, des transports, de l'hĂ©bergement et de la restauration est prĂ©pondĂ©rant sur la commune puisqu'il reprĂ©sente 26,6 % du nombre total d'Ă©tablissements de la commune (442 sur les 1664 entreprises implantĂ©es Ă  LabĂšge), contre 25,9 % au niveau dĂ©partemental[I 18].

    Entreprises et commerces

    Les cinq entreprises ayant leur siÚge social sur le territoire communal qui génÚrent le plus de chiffre d'affaires en 2020 sont[53] :

    • Scalian DS, conseil en systĂšmes et logiciels informatiques (109 651 k€)
    • Bernard Pages, commerce de gros (commerce interentreprises) de minerais et mĂ©taux (91 349 k€)
    • Scalian Op, conseil pour les affaires et autres conseils de gestion (71 322 k€)
    • Premium Auto Distribution, commerce de voitures et de vĂ©hicules automobiles lĂ©gers (61 848 k€)
    • Plastisud, fabrication de moules et modĂšles (55 119 k€)

    La commune est constituée de deux pÎles complÚtement différents. Au nord-ouest vers Toulouse, se trouve LabÚge Innopole rebaptisé Enova[54], le centre économique de la commune avec des centres commerciaux (centre commercial Carrefour LabÚge 2), un cinéma Gaumont, des restaurants et de nombreuses entreprises (Diagora, Sud Radio) ainsi que l'IoT Valley, une communauté d'entreprises (e.g. Sigfox, Donecle) spécialisée dans l'internet des objets.

    Au sud-est se trouve le pÎle résidentiel avec LabÚge-village qui est le village avec ses commerces de proximité et la plupart de ses habitants. Ces deux zones sont séparées par une zone verte.

    Agriculture

    1988200020102020
    Exploitations168104
    SAU[Note 14] (ha)304254213

    La commune est dans le Lauragais, une petite région agricole occupant le nord-est du département de la Haute-Garonne, dont les coteaux portent des grandes cultures en sec avec une dominante blé dur et tournesol[55]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 15] sur la commune est la polyculture et/ou le polyélevage[Carte 5]. Quatre exploitations agricoles ayant leur siÚge dans la commune sont dénombrées lors du recensement agricole de 2020[Note 16] (16 en 1988). La superficie agricole utilisée est de 13 ha[57] - [Carte 6] - [Carte 7].

    Vie pratique

    À LabĂšge Innopole a lieu une fois par an le Toulouse Game Show Springbreak, le rendez-vous des amoureux des jeux vidĂ©o et de l'animation japonaise.


    Enseignement

    LabÚge fait partie de l'académie de Toulouse.

    L'Ă©ducation est assurĂ©e sur la commune de LabĂšge par une crĂšche, une Ă©cole maternelle et une Ă©cole primaire, ainsi que par l'École nationale supĂ©rieure des ingĂ©nieurs en arts chimiques et technologiques.

    La premiĂšre Ă©cole primaire a Ă©tĂ© dĂ©cidĂ©e par le conseil municipal le . Pascal Avignon qui exerçait dĂ©jĂ  sur la commune en tant qu’instituteur libre a Ă©tĂ© nommĂ© instituteur. Auparavant l'instruction Ă©tait donnĂ©e par les curĂ©s de la paroisse[58].

    Santé

    Centre Médical de l'Autan, Clinique vétérinaire, maison de retraite Bastide Médicis,

    Culture et festivités

    ComitĂ© des fĂȘtes, MĂ©diathĂšque

    Activités sportives

    Une salle de sport, ainsi que le plus grand club de pétanque de la région, club de football le LabÚge Football Club, cyclisme, trial, handball (CIEL 31), Basket-ball (BLAC[59]), savate

    Basket-ball

    Le basket-ball est en 2017 sous la tutelle du Basket LabĂšge Auzeville Club qui associe les Ă©quipes de LabĂšge et d'Auzeville Tolosane.

    Auparavant, ce sport se pratiquait sous l'égide du foyer rural. Le premier "terrain" dans les années 1963 environ était la place du village. Plus tard, un terrain fut aménagé derriÚre la mairie, à cÎté de l'ancienne école primaire. Les encadrants étaient des bénévoles, la responsable du club a amené les enfants (garçons et filles) en gravissant au plus haut des échelons régionaux.

    Le Pétanque Club Labégeois, créé en 1962, s'est doté le , d'un boulodrome couvert.

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • La place Saint-BarthĂ©lemy avec sa maison de maĂźtre ornĂ©e d'un cadran solaire, de 1906, la Maison Pastel et la Maison Salvan, le restaurant et la sculpture-fontaine. De la place partent la rue Baratou en direction de Castanet, la rue de la Mairie et la rue de l'Ancien ChĂąteau qui passe devant l'Ă©glise et ceinture le reste du vieux village.
    • La maison Salvan, espace consacrĂ© Ă  l'art contemporain (expositions et rĂ©sidences d'artistes nationaux et internationaux), mais Ă©galement Ă  la crĂ©ation contemporaine (concerts, confĂ©rences, atelier pĂ©dagogiques, etc.)[60].
    • Église Saint-BarthĂ©lemy du XIXe siĂšcle ; il est fait mention d'une premiĂšre Ă©glise en 1232 ; plusieurs Ă©glises brĂ»lĂ©es et reconstruites, notamment la deuxiĂšme de 1518 Ă  1570, dĂ©truite par les Huguenots.
    • L'ancien presbytĂšre aujourd'hui Ă©cole de musique dĂ©diĂ©e Ă  Claude Nougaro.
    • Le pigeonnier du Bouysset datant du XVIIIe siĂšcle inscrit aux monuments historiques depuis le .
    • Le monument aux morts prĂšs du cimetiĂšre.
    • Les fontaines Saint-Sernin et du Laurier sont connues pour leurs eaux curatives. Une lĂ©gende raconte que saint Sernin se serait arrĂȘtĂ© Ă  LabĂšge et donna Ă  la fontaine de Saint-Sernin le pouvoir de guĂ©rir.
    • Place Saint-BarthĂ©lemy - maison de maĂźtre
      Place Saint-Barthélemy - maison de maßtre
    • Cadran solaire de 1906
      Cadran solaire de 1906
    • La façade de l'Ă©glise Saint-BarthĂ©lemy.
      La façade de l'église Saint-Barthélemy.
    • L'Ă©cole de musique Claude-Nougaro
      L'Ă©cole de musique Claude-Nougaro
    • Pigeonnier du Bouysset.
      Pigeonnier du Bouysset.
    • Le monument aux morts
      Le monument aux morts

    Personnalités liées à la commune

    Le , le curé Druilhe est élu premier maire de LabÚge[61].

    Pour approfondir

    Bibliographie

    • LabĂšge au siĂšcle des lumiĂšres de Françoise SalomĂ©

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
    2. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[12].
    3. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en gĂ©nĂ©ral limitĂ©e, caractĂ©risĂ©s par la prĂ©sence d’espĂšces, d’association d’espĂšces ou de milieux rares, remarquables, ou caractĂ©ristiques du milieu du patrimoine naturel rĂ©gional ou national.
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en celle d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    9. Un mĂ©nage fiscal est constituĂ© par le regroupement des foyers fiscaux rĂ©pertoriĂ©s dans un mĂȘme logement. Son existence, une annĂ©e donnĂ©e, tient au fait que coĂŻncident au moins une dĂ©claration indĂ©pendante de revenus et l’occupation d’un logement connu Ă  la taxe d’habitation.
    10. La part des ménages fiscaux imposés est le pourcentage des ménages fiscaux qui ont un impÎt à acquitter au titre de l'impÎt sur le revenu des personnes physiques. L'impÎt à acquitter pour un ménage fiscal correspond à la somme des impÎts à acquitter par les foyers fiscaux qui le composent.
    11. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élÚves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
    12. L'Ă©tablissement, au sens de l’Insee, est une unitĂ© de production gĂ©ographiquement individualisĂ©e, mais juridiquement dĂ©pendante de l'unitĂ© lĂ©gale. Il produit des biens ou des services.
    13. Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
    14. Les donnĂ©es relatives Ă  la surface agricole utilisĂ©e (SAU) sont localisĂ©es Ă  la commune oĂč se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc ĂȘtre interprĂ©tĂ©s avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activitĂ© sur plusieurs communes, ou plusieurs dĂ©partements voire plusieurs rĂ©gions.
    15. L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
    16. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[56].
    • Cartes
    1. « Carte hydrographique de LabÚge » sur Géoportail (consulté le 5 novembre 2021).
    2. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    3. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
    4. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
    5. « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    6. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    7. « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

    Site de l'Insee

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    2. « Commune urbaine - définition » (consulté le ).
    3. « Unité urbaine 2020 de Toulouse » (consulté le ).
    4. « Base des unités urbaines 2020 », (consulté le ).
    5. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unitĂ©s urbaines », (consultĂ© le ).
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    8. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à LabÚge » (consulté le ).
    9. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans la Haute-Garonne » (consulté le ).
    10. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à LabÚge » (consulté le ).
    11. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la Haute-Garonne » (consulté le ).
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    17. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à LabÚge » (consulté le ).
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    Autres sources

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    2. Stephan Georg, « Distance entre LabÚge et Castanet-Tolosan », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    3. « Communes les plus proches de LabÚge », sur www.villorama.com (consulté le ).
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    6. Répertoire géographique des communes, publié par l'Institut national de l'information géographique et forestiÚre, [lire en ligne].
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    32. GĂ©oportail
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    39. Sophie Arutunian, « Laurent ChĂ©rubin, Ă©lu maire de LabĂšge, succĂšde Ă  Claude Ducert », La Tribune Toulouse,‎ (lire en ligne).
    40. « Le nouveau maire de LabĂšge : "pas un transfuge de l'ex-UMP" », La Tribune Toulouse,‎ (lire en ligne).
      « Je n'ai jamais Ă©tĂ© adhĂ©rent ou mĂȘme sympathisant de l'UMP (aujourd'hui Les RĂ©publicains), nous affirme-t-il aujourd'hui. Je tiens d'ailleurs Ă  souligner que je suis adhĂ©rent du parti Europe Ecologie Les Verts (EELV) depuis 2015. »
    41. J.-N. G., « Laurent ChĂ©rubin, nouveau prĂ©sident du PRG », La DĂ©pĂȘche,‎ (lire en ligne).
    42. « LabĂšge. Laurent ChĂ©rubin investi dans sa mission de maire », La DĂ©pĂȘche,‎ (lire en ligne).
    43. FICHE | Agenda 21 de Territoires - LabÚge, consultée le 26 octobre 2017
    44. http://www.sicoval.fr/fr/mon-logement/dechets.html
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    46. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    47. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
    48. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    49. INSEE, « Population selon le sexe et l'ùge quinquennal de 1968 à 2012 (1990 à 2012 pour les DOM) », sur insee.fr, (consulté le ).
    50. INSEE, « Populations légales 2006 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
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    53. « Entreprises à LabÚge », sur entreprises.lefigaro.fr (consulté le ).
    54. JEAN-NOEL GROS, « Et c'est parti pour la construction de la "Silicon Valley toulousaine" », La DĂ©pĂȘche,‎ (lire en ligne, consultĂ© le ).
    55. « Les régions agricoles (RA), petites régions agricoles(PRA) - Année de référence : 2017 », sur agreste.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    56. PrĂ©sentation des premiers rĂ©sultats du recensement agricole 2020, MinistĂšre de l’agriculture et de l’alimentation, 10 dĂ©cembre 2021
    57. « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siÚge dans la commune de LabÚge - Données générales », sur recensement-agricole.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    58. source Monographie de LabĂšge en 1885
    59. http://www.blac.ayosport.com/
    60. http://maison-salvan.fr
    61. tiré de LabÚge au siÚcle des lumiÚres de Françoise Salomé
    62. monographie LabĂšge 1885
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