Castelmaurou
Castelmaurou (en occitan CastĂšlmauron) est une commune française situĂ©e dans le nord-est du dĂ©partement de la Haute-Garonne, en rĂ©gion Occitanie. Sur le plan historique et culturel, la commune est dans le Pays toulousain, qui sâĂ©tend autour de Toulouse le long de la vallĂ©e de la Garonne, bordĂ© Ă lâouest par les coteaux du SavĂšs, Ă lâest par ceux du Lauragais et au sud par ceux de la vallĂ©e de lâ AriĂšge et du Volvestre.
Castelmaurou | |||||
Mairie. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
RĂ©gion | Occitanie | ||||
DĂ©partement | Haute-Garonne | ||||
Arrondissement | Toulouse | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes des Coteaux Bellevue | ||||
Maire Mandat |
Diane Esquerre 2020-2026 |
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Code postal | 31180 | ||||
Code commune | 31117 | ||||
DĂ©mographie | |||||
Gentilé | Castelmaurousiens, Castelmaurousiennes | ||||
Population municipale |
4 406 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 263 hab./km2 | ||||
GĂ©ographie | |||||
CoordonnĂ©es | 43° 40âČ 40âł nord, 1° 31âČ 56âł est | ||||
Altitude | Min. 132 m Max. 231 m |
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Superficie | 16,77 km2 | ||||
Type | Commune urbaine | ||||
Unité urbaine | Toulouse (banlieue) |
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Aire d'attraction | Toulouse (commune de la couronne) |
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Ălections | |||||
DĂ©partementales | Canton de Pechbonnieu | ||||
LĂ©gislatives | DeuxiĂšme circonscription | ||||
Localisation | |||||
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : Haute-Garonne
GĂ©olocalisation sur la carte : Occitanie
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Liens | |||||
Site web | Site officiel | ||||
ExposĂ©e Ă un climat ocĂ©anique altĂ©rĂ©, elle est drainĂ©e par le Girou, le ruisseau de la brante, le ruisseau de Pichounelle et par divers autres petits cours d'eau. La commune possĂšde un patrimoine naturel remarquable composĂ© d'une zone naturelle d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique.
Castelmaurou est une commune urbaine qui compte 4 406 habitants en 2020, aprÚs avoir connu une forte hausse de la population depuis 1975. Elle appartient à l'unité urbaine de Toulouse et fait partie de l'aire d'attraction de Toulouse. Ses habitants sont appelés les Castelmaurousiens ou Castelmaurousiennes.
GĂ©ographie
Localisation
- Carte dynamique
- Carte Openstreetmap
- Carte topographique
- Carte avec les communes environnantes
La commune de Castelmaurou se trouve dans le département de la Haute-Garonne, en région Occitanie[I 1].
Elle se situe à 11 km à vol d'oiseau de Toulouse[1], préfecture du département, et à 6 km de Pechbonnieu[2], bureau centralisateur du canton de Pechbonnieu dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[I 1]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Toulouse[I 1].
Les communes les plus proches[Note 1] sont[3] : Rouffiac-Tolosan (1,5 km), Lapeyrouse-Fossat (2,1 km), Saint-Jean (2,5 km), Saint-GeniÚs-Bellevue (3,7 km), Beaupuy (3,8 km), Montrabé (3,9 km), Garidech (4,2 km), Gragnague (4,2 km).
Sur le plan historique et culturel, Castelmaurou fait partie du pays toulousain, une ceinture de plaines fertiles entrecoupées de bosquets d'arbres, aux molles collines semées de fermes en briques roses, inéluctablement grignotée par l'urbanisme des banlieues[4].
Castelmaurou est limitrophe de huit autres communes. Les communes limitrophes sont Bazus, Beaupuy, Garidech, Gragnague, Lapeyrouse-Fossat, Rouffiac-Tolosan, Saint-GeniĂšs-Bellevue et Saint-Jean.
Hydrographie
La commune est dans le bassin de la Garonne, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne[6]. Elle est drainée par le Girou, le ruisseau de la brante, le ruisseau de Pichounelle, Fossé la Nauze, le ruisseau de bénas, le ruisseau de daydé, le ruisseau de Gilet, le ruisseau de la Brante, le ruisseau de Preissac, le ruisseau de Restes, le ruisseau de Restes et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 20 km de longueur totale[7] - [Carte 1].
Le Girou, d'une longueur totale de 64,5 km, prend sa source dans la commune de Puylaurens et s'écoule du sud-est vers le nord-ouest. Il traverse la commune et se jette dans l'Hers-Mort à Saint-Jory, aprÚs avoir traversé 31 communes[8].
Climat
Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat du Bassin du Sud-Ouest », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[9]. En 2020, la commune ressort du type « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© » dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il sâagit dâune zone de transition entre le climat ocĂ©anique et les climats de montagne et semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[10].
Les paramĂštres climatiques qui ont permis dâĂ©tablir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.
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Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Ănergie et du Climat[12] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[13] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Toulouse-Blagnac », sur la commune de Blagnac, mise en service en 1947[14] et qui se trouve Ă 12 km Ă vol d'oiseau[15] - [Note 4], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 13,3 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[16], Ă 13,8 °C pour 1981-2010[17], puis Ă 14,3 °C pour 1991-2020[18].
Milieux naturels et biodiversité
Lâinventaire des zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de rĂ©aliser une couverture des zones les plus intĂ©ressantes sur le plan Ă©cologique, essentiellement dans la perspective dâamĂ©liorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux diffĂ©rents dĂ©cideurs un outil dâaide Ă la prise en compte de lâenvironnement dans lâamĂ©nagement du territoire. Une ZNIEFF de type 1[Note 5] est recensĂ©e sur la commune[19] : le « bois de Preissac » (107 ha), couvrant 4 communes du dĂ©partement[20].
Urbanisme
Typologie
Castelmaurou est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [21] - [I 2] - [22]. Elle appartient à l'unité urbaine de Toulouse, une agglomération inter-départementale regroupant 81 communes[I 3] et 1 047 829 habitants en 2020, dont elle est une commune de la banlieue. L'agglomération de Toulouse est la cinquiÚme plus importante de la France en termes de population, derriÚre celles de Paris, Lyon, Marseille-Aix-en-Provence et Lille (partie française)[I 4] - [I 5].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Toulouse, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 527 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[I 6] - [I 7].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne dâoccupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (68,2 % en 2018), nĂ©anmoins en diminution par rapport Ă 1990 (76,4 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : terres arables (49,8 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (18,4 %), forĂȘts (15,8 %), zones urbanisĂ©es (14 %), zones industrielles ou commerciales et rĂ©seaux de communication (1,9 %)[23].
L'IGN met par ailleurs Ă disposition un outil en ligne permettant de comparer lâĂ©volution dans le temps de lâoccupation des sols de la commune (ou de territoires Ă des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă aujourd'hui)[Carte 2].
Lieux-dits ou hameaux
Castelviel, le Grez, Rouquet, les Laques, le Fort, Rebel,
Voies de communications et transports
La commune est traversée par la route nationale 88, axe Lyon-Toulouse. AccÚs par l'autoroute A68, sortie 3 Montastruc-la-ConseillÚre ou depuis le périphérique de Toulouse, sortie 14 Cx-Daurade.
La ligne 68 du réseau Tisséo relie le centre de la commune à la station Balma - Gramont du métro de Toulouse et la ligne 76 relie Lapeyrouse-Fossat à la station Argoulets en desservant l'ouest de la ville. La ligne 355 du réseau Arc-en-Ciel permet de relier la commune à la gare routiÚre de Toulouse ou à la station Borderouge jusqu'à Villemur-sur-Tarn.
Halte SNCF la plus proche : gare de Gragnague sur le réseau TER Occitanie (ligne Toulouse - Brive-la-Gaillarde).
Risques majeurs
Le territoire de la commune de Castelmaurou est vulnĂ©rable Ă diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse), inondations et sĂ©isme (sismicitĂ© trĂšs faible). Il est Ă©galement exposĂ© Ă un risque particulier : le risque de radon[24]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[25].
Risques naturels
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles dâĂȘtre affectĂ©es par le risque dâinondation par dĂ©bordement de cours d'eau, notamment le Girou. La commune a Ă©tĂ© reconnue en Ă©tat de catastrophe naturelle au titre des dommages causĂ©s par les inondations et coulĂ©es de boue survenues en 1982, 1999 et 2009[26] - [24].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas dâalternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie. 99,5 % de la superficie communale est en alĂ©a moyen ou fort (88,8 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 1 504 bĂątiments dĂ©nombrĂ©s sur la commune en 2019, 1 504 sont en en alĂ©a moyen ou fort, soit 100 %, Ă comparer aux 98 % au niveau dĂ©partemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[27] - [Carte 3].
Par ailleurs, afin de mieux apprĂ©hender le risque dâaffaissement de terrain, l'inventaire national des cavitĂ©s souterraines permet de localiser celles situĂ©es sur la commune[28].
Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 1991, 1997, 2002, 2003, 2005, 2007, 2008, 2011, 2012, 2013, 2016, 2017, 2019 et 2020 et par des mouvements de terrain en 1999[24].
Risque particulier
Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulĂ© dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative dâexposition de la population aux rayonnements ionisants. Certaines communes du dĂ©partement sont concernĂ©es par le risque radon Ă un niveau plus ou moins Ă©levĂ©. Selon la classification de 2018, la commune de Castelmaurou est classĂ©e en zone 2, Ă savoir zone Ă potentiel radon faible mais sur lesquelles des facteurs gĂ©ologiques particuliers peuvent faciliter le transfert du radon vers les bĂątiments[29].
Toponymie
Le nom de Castelmaurou signifierait « ChĂąteau des Maures ». Son patrimoine est constituĂ© du ChĂąteau de Preissac ayant reçu François Ier au XVIe siĂšcle. Maurou viendrait du latin maurus qui vient lui-mĂȘme du grec ancien ÎŒÎ±Ï ÏÏÏ signifiant « sombre, noir ».
Histoire
Le cartulaire de Conques rédigé en 1106 pose, dans la mémoire collective, l'écrit le plus ancien concernant Castelmaurou, petit village haut-garonnais situé dans le nord-est toulousain.
Au-delĂ de la longĂ©vitĂ© du site, le document lĂšve le voile sur deux Ă©nigmes qui ont traversĂ© les siĂšcles. La premiĂšre fait rĂ©fĂ©rence au nom mĂȘme de Castel Mauro ou Castri Mauronis (Castelmaurou est ainsi Ă©crit dans le texte). Contrairement au rĂ©flexe populaire qui donnait la signification de ChĂąteau des Maures, la traduction du latin en français conduit à « ChĂąteau du Maure ». Cette mĂȘme traduction rĂ©pond Ă la deuxiĂšme Ă©nigme quant Ă l'origine de la patronne du village Sainte Foy. Le point commun Ă©tant ce fameux Maure appartenant assurĂ©ment Ă l'Ă©lite de l'Ă©poque et reliant Ă travers des propriĂ©tĂ©s Ă Castel Mauro et Conques en Aveyron les deux communautĂ©s.
Ce village a eu Ă©galement ses parts de drames avec la vente de ses terres par l'archevĂȘque de Toulouse Ătienne-Charles de LomĂ©nie de Brienne en 1785, l'expropriation de 52 propriĂ©taires en 1864 afin que puisse passer la ligne de chemin de fer reliant Toulouse Ă Lexos.
Plus prĂšs de nous eut lieu l'exĂ©cution de quinze rĂ©sistants dans le bois de la Reulle par des soldats de la triste division Das Reich, le . Les SS les ont contraints Ă creuser Ă mains nues leur tombe avant de les exĂ©cuter. Un seul rescapĂ© a pu transmettre les faits. Aujourd'hui encore, cinq corps parmi les quinze victimes restent non identifiĂ©s et leurs sĂ©pultures sont au cimetiĂšre de Castelmaurou. Ă ce jour, un seul rĂ©sistant reste encore inconnu. En effet, grĂące au travail du Groupe de Recherche du bois de la Reulle Castelmaurou/Gragnague et Ă l'association Le Souvenir français de Castelmaurou prĂ©sidĂ© au moment des recherches par Louis Gibert, quatre des cinq inconnus ont pu ĂȘtre identifiĂ©s rĂ©cemment : en 2012, un aviateur et rĂ©sistant belge du nom de Charley de HepcĂ©e (nĂ© le Ă Ixelles (Belgique) ; en 2013 Marcel Joyeux (officier dâactive de lâarmĂ©e de lâAir, dessinateur industriel, rĂ©sistant de la Haute-Garonne des groupes Combat, AS, GFL, et des rĂ©seaux Morhange et Mithridate, de la Vienne et de la Haute-Vienne, un des cadres les plus en vue de la R4 (1942-1944)), nĂ© le Ă Saint-Denis (Seine-Saint-Denis) ; en 2014, Pierre Carthelet (instituteur, dirigeant des Compagnons de France dans les PyrĂ©nĂ©es-Orientales, membre de plusieurs rĂ©seaux et de lâORA des PyrĂ©nĂ©es-Orientales), nĂ© le Ă Taillette (Ardennes) ; enfin en 2017, Jean-Baptiste AndrĂ© Giorgetti (sous-lieutenant des Forces françaises libres, agent secret du BCRA de Londres, hĂ©ros de la RĂ©sistance), nĂ© le Ă Venaco (Haute-Corse).
HĂ©raldique
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Son blasonnement est : D'or au pal ondé de sable. |
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Politique et administration
Administration municipale
Le nombre d'habitants au recensement de 2011 Ă©tant compris entre 3 500 habitants et 4 999 habitants, le nombre de membres du conseil municipal pour l'Ă©lection de 2014 est de vingt sept[30] - [31].
Rattachements administratifs et Ă©lectoraux
Commune faisant partie de la deuxiÚme circonscription de la Haute-Garonne de la communauté de communes des Coteaux-Bellevue et du canton de Pechbonnieu (avant le redécoupage départemental de 2014, Castelmaurou faisait partie de l'ex-canton de Toulouse-15).
Liste des maires
Politique de développement durable
Le projet territorial de dĂ©veloppement durable de la commune de Castelmaurou a Ă©tĂ© reconnu « Agenda 21 local France » par le ministĂšre de l'Ăcologie, du DĂ©veloppement Durable, des Transports et du Logement au titre de la StratĂ©gie nationale de dĂ©veloppement durable, dans le cadre de la sixiĂšme session de reconnaissance des « projets territoriaux de dĂ©veloppement durable et agendas 21 locaux ». Cette reconnaissance, prononcĂ©e pour trois ans (Ă partir de 2012), souligne la qualitĂ© du projet portĂ© et animĂ© par le territoire, et veut encourager Ă poursuivre la dĂ©marche dans une dynamique d'amĂ©lioration continue[36].
Tous les ans, les habitants sont invités à participer à la journée écocitoyenne (débats, découverte et nettoyage du village...).
DĂ©mographie
L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[37]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2006[38].
En 2020, la commune comptait 4 406 habitants[Note 8], en augmentation de 7,49 % par rapport Ă 2014 (Haute-Garonne : +7,44 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Ăconomie
Revenus
En 2018 (donnĂ©es Insee publiĂ©es en ), la commune compte 1 601 mĂ©nages fiscaux[Note 9], regroupant 4 096 personnes. La mĂ©diane du revenu disponible par unitĂ© de consommation est de 26 700 âŹ[I 8] (23 140 ⏠dans le dĂ©partement[I 9]). 69 % des mĂ©nages fiscaux sont imposĂ©s[Note 10] (55,3 % dans le dĂ©partement).
Emploi
2008 | 2013 | 2018 | |
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Commune[I 10] | 5,2 % | 6,3 % | 6,6 % |
DĂ©partement[I 11] | 7,7 % | 9,6 % | 9,3 % |
France entiĂšre[I 12] | 8,3 % | 10 % | 10 % |
En 2018, la population ùgée de 15 à 64 ans s'élÚve à 2 675 personnes, parmi lesquelles on compte 73,6 % d'actifs (67 % ayant un emploi et 6,6 % de chÎmeurs) et 26,4 % d'inactifs[Note 11] - [I 10]. Depuis 2008, le taux de chÎmage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département.
La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Toulouse, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pÎle[Carte 4] - [I 13]. Elle compte 850 emplois en 2018, contre 859 en 2013 et 710 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 1 824, soit un indicateur de concentration d'emploi de 46,6 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 57,3 %[I 14].
Sur ces 1 824 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 282 travaillent dans la commune, soit 16 % des habitants[I 15]. Pour se rendre au travail, 87,4 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 6,1 % les transports en commun, 3,3 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 3,1 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 16].
Secteurs d'activités
354 établissements[Note 12] sont implantés à Castelmaurou au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 13] - [I 17].
Secteur d'activité | Commune | Département | |
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Nombre | % | % | |
Ensemble | 354 | 100 % | (100 %) |
Industrie manufacturiĂšre, industries extractives et autres | 15 | 4,2 % | (5,7 %) |
Construction | 56 | 15,8 % | (12 %) |
Commerce de gros et de détail, transports, hébergement et restauration | 70 | 19,8 % | (25,9 %) |
Information et communication | 12 | 3,4 % | (4,1 %) |
Activités financiÚres et d'assurance | 12 | 3,4 % | (3,8 %) |
Activités immobiliÚres | 13 | 3,7 % | (4,2 %) |
Activités spécialisées, scientifiques et techniques et activités de services administratifs et de soutien | 75 | 21,2 % | (19,8 %) |
Administration publique, enseignement, santé humaine et action sociale | 65 | 18,4 % | (16,6 %) |
Autres activités de services | 36 | 10,2 % | (7,9 %) |
Le secteur des activités spécialisées, scientifiques et techniques et des activités de services administratifs et de soutien est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 21,2 % du nombre total d'établissements de la commune (75 sur les 354 entreprises implantées à Castelmaurou), contre 19,8 % au niveau départemental[I 18].
Entreprises et commerces
Les cinq entreprises ayant leur siÚge social sur le territoire communal qui génÚrent le plus de chiffre d'affaires en 2020 sont[45] :
- Clinique Du Vieux Chateau D'oc, activitĂ©s hospitaliĂšres (9 855 kâŹ)
- Entreprise Jean Oules Et Compagnie, construction de rĂ©seaux pour fluides (6 405 kâŹ)
- Maison De Famille La Cerisaie, hĂ©bergement mĂ©dicalisĂ© pour personnes ĂągĂ©es (3 978 kâŹ)
- Holding Elzo, activitĂ©s des siĂšges sociaux (1 019 kâŹ)
- TP Michel, travaux de terrassement courants et travaux prĂ©paratoires (875 kâŹ)
La commune de Castelmaurou sâĂ©tend sur 1 677 hectares. Son territoire est composĂ© de 76 % de terres agricoles et naturelles prĂ©servĂ©es. C'est un territoire Ă dominante rurale avec la prĂ©sence de nombreux bois et une activitĂ© agricole encore forte. De nombreuses PME sont prĂ©sentes avec de multiples commerces de proximitĂ©. Une maison de retraite et deux cliniques rĂ©pondent aux besoins du territoire.
Agriculture
La commune est dans le Lauragais, une petite région agricole occupant le nord-est du département de la Haute-Garonne, dont les coteaux portent des grandes cultures en sec avec une dominante blé dur et tournesol[46]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 14] sur la commune est la polyculture et/ou le polyélevage[Carte 5].
Le nombre d'exploitations agricoles en activitĂ© et ayant leur siĂšge dans la commune est passĂ© de 51 lors du recensement agricole de 1988[Note 16] Ă 30 en 2000 puis Ă 24 en 2010[48] et enfin Ă 21 en 2020[Carte 6], soit une baisse de 59 % en 32 ans. Le mĂȘme mouvement est observĂ© Ă l'Ă©chelle du dĂ©partement qui a perdu pendant cette pĂ©riode 57 % de ses exploitations[49] - [Carte 7]. La surface agricole utilisĂ©e sur la commune a Ă©galement diminuĂ©, passant de 1 018 ha en 1988 Ă 824 ha en 2020[Carte 8]. ParallĂšlement la surface agricole utilisĂ©e moyenne par exploitation a augmentĂ©, passant de 20 Ă 39 ha[48].
Vie locale
Enseignement
Castelmaurou fait partie de l'académie de Toulouse.
L'éducation est assurée sur la commune par la crÚche et le groupe scolaire Marcel-Pagnol maternelle + élémentaire. ce dernier compte en 2015, plus de 400 élÚves inscrits qui disposent d'un restaurant scolaire construit en 2010 et dont les repas sont reconnus de qualité, puisque la municipalité a fait le choix de préparer les repas sur place et d'inclure des repas bios réguliers. Le projet d'une nouvelle école maternelle est en cours de réalisation.
Service public
Castelmaurou possÚde un bureau de poste réalisé par l'architecte Claude Victor Lindor.
Santé
La commune possÚde un centre communal d'action sociale, une clinique (Monvert convalescence), des médecins généralistes, ainsi qu'une pharmacie. La commune dispose aussi de vétérinaires et d'une clinique vétérinaire.
Culture
Sont prĂ©sents sur la commune : un cinĂ©ma « Le MĂ©liĂšs », une salle des fĂȘtes rĂ©alisĂ©e par l'architecte Claude Victor Lindor, elle est utilisĂ©e par les nombreuses associations de la commune, une mĂ©diathĂšque municipale l'AlphaB[50], rĂ©alisĂ©e l'architecte Joseph Almudever, et inaugurĂ©e en par le maire Magali Mirtain.
Ăquipements sportifs
Un gymnase omnisport, trois terrains de tennis, deux terrains de football, un dojo, Aire de Loisir jeunes (un skatepark, un city stade) et table de ping-pong.
La Ligue de Midi-Pyrénées de football (présidée par Lilian Buzzichelli) et un centre de pré-formation sont basés à Castelmaurou.
Footballeurs issus du centre de pré-formation de Castelmaurou
Alaixys Romao, Guillaume Borne, Aurélien Mazel, Loïc Poujol, Pierrick Cros, Mathieu Peybernes, Pierre Espanol.
Associations sportives
Plusieurs associations sportives sont présentes sur la commune : Cyclo-club des Violettes, Volley-Ball, Basket club, Société Bouliste, Plaisir Danse, Chasse ACCA, Football club et Foot vétérans, Gymnastique volontaire, Judo/Yoga, Tai chi chuan, Tennis loisir et Tennis club, Handball les coteaux, Club d'aéromodélisme Castelmaurou, une entreprise Natura Game (paintball, accro-branche...), centre de pré-formation de football.
Ăcologie et recyclage
La collecte et le traitement des déchets des ménages et des déchets assimilés ainsi que la protection et la mise en valeur de l'environnement se font dans le cadre de la communauté de communes des Coteaux Bellevue[51].
Les déchÚteries les plus proches sont situées sur les communes de Garidech, L'Union ou Saint-Alban.
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Le monument aux Morts
- L'église Sainte-Foy[52] fut construite en 1832[53]. Elle renferme une phalange d'un petit doigt de la petite martyre, dont les ossements sont dans l'abbaye aveyronnaise depuis l'an 866. Cette phalange a été coulée dans l'autel.
L'édifice religieux, toujours en bon état, a succédé à un premier, détruit lors de la Révolution française de 1789. Il se trouvait du cÎté des cimetiÚres et du hameau du Fort. Cette église est une des figures de Castelmaurou qui n'hésite pas à le fixer sur des cartes postales pour en assurer sa promotion.
- Le monument aux Morts
- L'Ă©glise
- Façade et clocher en peigne de L'église Sainte-Foy.
Personnalités liées à la commune
- Charles de Hepcée aviateur et résistant belge mort sur la commune.
- Jean-Pierre de Lassus Saint-GeniÚs général de corps d'armée mort sur la commune.
- Vital de Castelmourou archevĂȘque de Toulouse.
Pour approfondir
Articles connexes
Liens externes
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. AprÚs les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[11].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs dâune superficie en gĂ©nĂ©ral limitĂ©e, caractĂ©risĂ©s par la prĂ©sence dâespĂšces, dâassociation dâespĂšces ou de milieux rares, remarquables, ou caractĂ©ristiques du milieu du patrimoine naturel rĂ©gional ou national.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en celle d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
- Un mĂ©nage fiscal est constituĂ© par le regroupement des foyers fiscaux rĂ©pertoriĂ©s dans un mĂȘme logement. Son existence, une annĂ©e donnĂ©e, tient au fait que coĂŻncident au moins une dĂ©claration indĂ©pendante de revenus et lâoccupation dâun logement connu Ă la taxe dâhabitation.
- La part des ménages fiscaux imposés est le pourcentage des ménages fiscaux qui ont un impÎt à acquitter au titre de l'impÎt sur le revenu des personnes physiques. L'impÎt à acquitter pour un ménage fiscal correspond à la somme des impÎts à acquitter par les foyers fiscaux qui le composent.
- Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élÚves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
- L'Ă©tablissement, au sens de lâInsee, est une unitĂ© de production gĂ©ographiquement individualisĂ©e, mais juridiquement dĂ©pendante de l'unitĂ© lĂ©gale. Il produit des biens ou des services.
- Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
- L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
- Les donnĂ©es relatives Ă la surface agricole utilisĂ©e (SAU) sont localisĂ©es Ă la commune oĂč se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc ĂȘtre interprĂ©tĂ©s avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activitĂ© sur plusieurs communes, ou plusieurs dĂ©partements voire plusieurs rĂ©gions.
- Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[47].
- Cartes
- « Carte hydrographique de Castelmaurou » sur Géoportail (consulté le 5 novembre 2021).
- IGN, « Ăvolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă droite ou Ă gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă gauche de l'Ă©cran.
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
- Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée par département », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
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Site de l'Insee
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- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans lâaire dâattraction dâune ville », (consultĂ© le ).
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- « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans la Haute-Garonne » (consulté le ).
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- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la Haute-Garonne » (consulté le ).
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- « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Castelmaurou » (consulté le ).
- « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
- « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
- « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Castelmaurou » (consulté le ).
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Autres sources
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- Stephan Georg, « Distance entre Castelmaurou et Pechbonnieu », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
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- Carte IGN sous GĂ©oportail
- « Le réseau hydrographique du bassin Adour-Garonne. » [PDF], sur draaf.occitanie.agriculture.gouv.fr (consulté le )
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- Sandre, « le Girou »
- Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,â (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
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- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions dâoutre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
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