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Castelmaurou

Castelmaurou (en occitan CastĂšlmauron) est une commune française situĂ©e dans le nord-est du dĂ©partement de la Haute-Garonne, en rĂ©gion Occitanie. Sur le plan historique et culturel, la commune est dans le Pays toulousain, qui s’étend autour de Toulouse le long de la vallĂ©e de la Garonne, bordĂ© Ă  l’ouest par les coteaux du SavĂšs, Ă  l’est par ceux du Lauragais et au sud par ceux de la vallĂ©e de l’ AriĂšge et du Volvestre.

Castelmaurou
Castelmaurou
Mairie.
Blason de Castelmaurou
Blason
Castelmaurou
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Occitanie
DĂ©partement Haute-Garonne
Arrondissement Toulouse
Intercommunalité Communauté de communes des Coteaux Bellevue
Maire
Mandat
Diane Esquerre
2020-2026
Code postal 31180
Code commune 31117
DĂ©mographie
Gentilé Castelmaurousiens, Castelmaurousiennes
Population
municipale
4 406 hab. (2020 en augmentation de 7,49 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 263 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 43° 40â€Č 40″ nord, 1° 31â€Č 56″ est
Altitude Min. 132 m
Max. 231 m
Superficie 16,77 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Toulouse
(banlieue)
Aire d'attraction Toulouse
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton de Pechbonnieu
LĂ©gislatives DeuxiĂšme circonscription
Localisation
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Castelmaurou
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Castelmaurou
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Castelmaurou
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Castelmaurou
Liens
Site web Site officiel

    ExposĂ©e Ă  un climat ocĂ©anique altĂ©rĂ©, elle est drainĂ©e par le Girou, le ruisseau de la brante, le ruisseau de Pichounelle et par divers autres petits cours d'eau. La commune possĂšde un patrimoine naturel remarquable composĂ© d'une zone naturelle d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique.

    Castelmaurou est une commune urbaine qui compte 4 406 habitants en 2020, aprĂšs avoir connu une forte hausse de la population depuis 1975. Elle appartient Ă  l'unitĂ© urbaine de Toulouse et fait partie de l'aire d'attraction de Toulouse. Ses habitants sont appelĂ©s les Castelmaurousiens ou Castelmaurousiennes.

    GĂ©ographie

    Localisation

    Cartographies interactive et OpenStreetMap
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    1. Carte dynamique
    2. Carte Openstreetmap
    3. Carte topographique
    4. Carte avec les communes environnantes

    La commune de Castelmaurou se trouve dans le département de la Haute-Garonne, en région Occitanie[I 1].

    Elle se situe Ă  11 km Ă  vol d'oiseau de Toulouse[1], prĂ©fecture du dĂ©partement, et Ă  km de Pechbonnieu[2], bureau centralisateur du canton de Pechbonnieu dont dĂ©pend la commune depuis 2015 pour les Ă©lections dĂ©partementales[I 1]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Toulouse[I 1].

    Les communes les plus proches[Note 1] sont[3] : Rouffiac-Tolosan (1,5 km), Lapeyrouse-Fossat (2,1 km), Saint-Jean (2,5 km), Saint-GeniĂšs-Bellevue (3,7 km), Beaupuy (3,8 km), MontrabĂ© (3,9 km), Garidech (4,2 km), Gragnague (4,2 km).

    Sur le plan historique et culturel, Castelmaurou fait partie du pays toulousain, une ceinture de plaines fertiles entrecoupées de bosquets d'arbres, aux molles collines semées de fermes en briques roses, inéluctablement grignotée par l'urbanisme des banlieues[4].

    Castelmaurou est limitrophe de huit autres communes. Les communes limitrophes sont Bazus, Beaupuy, Garidech, Gragnague, Lapeyrouse-Fossat, Rouffiac-Tolosan, Saint-GeniĂšs-Bellevue et Saint-Jean.

    Hydrographie

    Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
    RĂ©seaux hydrographique et routier de Castelmaurou.

    La commune est dans le bassin de la Garonne, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne[6]. Elle est drainĂ©e par le Girou, le ruisseau de la brante, le ruisseau de Pichounelle, FossĂ© la Nauze, le ruisseau de bĂ©nas, le ruisseau de daydĂ©, le ruisseau de Gilet, le ruisseau de la Brante, le ruisseau de Preissac, le ruisseau de Restes, le ruisseau de Restes et par divers petits cours d'eau, constituant un rĂ©seau hydrographique de 20 km de longueur totale[7] - [Carte 1].

    Le Girou, d'une longueur totale de 64,5 km, prend sa source dans la commune de Puylaurens et s'Ă©coule du sud-est vers le nord-ouest. Il traverse la commune et se jette dans l'Hers-Mort Ă  Saint-Jory, aprĂšs avoir traversĂ© 31 communes[8].

    Climat

    Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat du Bassin du Sud-Ouest », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[9]. En 2020, la commune ressort du type « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© » dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat ocĂ©anique et les climats de montagne et semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[10].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[9]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 13,2 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 1,9 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 10,6 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 3] : 15,9 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation : 738 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 9,2 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 5,2 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[12] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[13] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Toulouse-Blagnac », sur la commune de Blagnac, mise en service en 1947[14] et qui se trouve Ă  12 km Ă  vol d'oiseau[15] - [Note 4], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 13,3 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[16], Ă  13,8 °C pour 1981-2010[17], puis Ă  14,3 °C pour 1991-2020[18].

    Milieux naturels et biodiversité

    Carte de la ZNIEFF de type 1 localisée sur la commune.

    L’inventaire des zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de rĂ©aliser une couverture des zones les plus intĂ©ressantes sur le plan Ă©cologique, essentiellement dans la perspective d’amĂ©liorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux diffĂ©rents dĂ©cideurs un outil d’aide Ă  la prise en compte de l’environnement dans l’amĂ©nagement du territoire. Une ZNIEFF de type 1[Note 5] est recensĂ©e sur la commune[19] : le « bois de Preissac » (107 ha), couvrant 4 communes du dĂ©partement[20].

    Urbanisme

    Typologie

    Castelmaurou est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densitĂ© intermĂ©diaire, au sens de la grille communale de densitĂ© de l'Insee[Note 6] - [21] - [I 2] - [22]. Elle appartient Ă  l'unitĂ© urbaine de Toulouse, une agglomĂ©ration inter-dĂ©partementale regroupant 81 communes[I 3] et 1 047 829 habitants en 2020, dont elle est une commune de la banlieue. L'agglomĂ©ration de Toulouse est la cinquiĂšme plus importante de la France en termes de population, derriĂšre celles de Paris, Lyon, Marseille-Aix-en-Provence et Lille (partie française)[I 4] - [I 5].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Toulouse, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 527 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[I 6] - [I 7].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (68,2 % en 2018), nĂ©anmoins en diminution par rapport Ă  1990 (76,4 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : terres arables (49,8 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (18,4 %), forĂȘts (15,8 %), zones urbanisĂ©es (14 %), zones industrielles ou commerciales et rĂ©seaux de communication (1,9 %)[23].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[Carte 2].

    Lieux-dits ou hameaux

    Castelviel, le Grez, Rouquet, les Laques, le Fort, Rebel,

    Voies de communications et transports

    La commune est traversée par la route nationale 88, axe Lyon-Toulouse. AccÚs par l'autoroute A68, sortie Sortie 3 Montastruc-la-ConseillÚre ou depuis le périphérique de Toulouse, sortie Sortie 14 Cx-Daurade.

    La ligne 68 du réseau Tisséo relie le centre de la commune à la station Balma - Gramont du métro de Toulouse et la ligne 76 relie Lapeyrouse-Fossat à la station Argoulets en desservant l'ouest de la ville. La ligne 355 du réseau Arc-en-Ciel permet de relier la commune à la gare routiÚre de Toulouse ou à la station Borderouge jusqu'à Villemur-sur-Tarn.

    Halte SNCF la plus proche : gare de Gragnague sur le réseau TER Occitanie (ligne Toulouse - Brive-la-Gaillarde).

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Castelmaurou est vulnĂ©rable Ă  diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse), inondations et sĂ©isme (sismicitĂ© trĂšs faible). Il est Ă©galement exposĂ© Ă  un risque particulier : le risque de radon[24]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[25].

    Risques naturels

    Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’ĂȘtre affectĂ©es par le risque d’inondation par dĂ©bordement de cours d'eau, notamment le Girou. La commune a Ă©tĂ© reconnue en Ă©tat de catastrophe naturelle au titre des dommages causĂ©s par les inondations et coulĂ©es de boue survenues en 1982, 1999 et 2009[26] - [24].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Castelmaurou.

    Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas d’alternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie. 99,5 % de la superficie communale est en alĂ©a moyen ou fort (88,8 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 1 504 bĂątiments dĂ©nombrĂ©s sur la commune en 2019, 1 504 sont en en alĂ©a moyen ou fort, soit 100 %, Ă  comparer aux 98 % au niveau dĂ©partemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[27] - [Carte 3].

    Par ailleurs, afin de mieux apprĂ©hender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavitĂ©s souterraines permet de localiser celles situĂ©es sur la commune[28].

    Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 1991, 1997, 2002, 2003, 2005, 2007, 2008, 2011, 2012, 2013, 2016, 2017, 2019 et 2020 et par des mouvements de terrain en 1999[24].

    Risque particulier

    Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulĂ© dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Certaines communes du dĂ©partement sont concernĂ©es par le risque radon Ă  un niveau plus ou moins Ă©levĂ©. Selon la classification de 2018, la commune de Castelmaurou est classĂ©e en zone 2, Ă  savoir zone Ă  potentiel radon faible mais sur lesquelles des facteurs gĂ©ologiques particuliers peuvent faciliter le transfert du radon vers les bĂątiments[29].

    Toponymie

    Le nom de Castelmaurou signifierait « ChĂąteau des Maures ». Son patrimoine est constituĂ© du ChĂąteau de Preissac ayant reçu François Ier au XVIe siĂšcle. Maurou viendrait du latin maurus qui vient lui-mĂȘme du grec ancien Όαυρός signifiant « sombre, noir ».

    Histoire

    Le cartulaire de Conques rédigé en 1106 pose, dans la mémoire collective, l'écrit le plus ancien concernant Castelmaurou, petit village haut-garonnais situé dans le nord-est toulousain.

    Au-delĂ  de la longĂ©vitĂ© du site, le document lĂšve le voile sur deux Ă©nigmes qui ont traversĂ© les siĂšcles. La premiĂšre fait rĂ©fĂ©rence au nom mĂȘme de Castel Mauro ou Castri Mauronis (Castelmaurou est ainsi Ă©crit dans le texte). Contrairement au rĂ©flexe populaire qui donnait la signification de ChĂąteau des Maures, la traduction du latin en français conduit Ă  « ChĂąteau du Maure ». Cette mĂȘme traduction rĂ©pond Ă  la deuxiĂšme Ă©nigme quant Ă  l'origine de la patronne du village Sainte Foy. Le point commun Ă©tant ce fameux Maure appartenant assurĂ©ment Ă  l'Ă©lite de l'Ă©poque et reliant Ă  travers des propriĂ©tĂ©s Ă  Castel Mauro et Conques en Aveyron les deux communautĂ©s.

    Ce village a eu Ă©galement ses parts de drames avec la vente de ses terres par l'archevĂȘque de Toulouse Étienne-Charles de LomĂ©nie de Brienne en 1785, l'expropriation de 52 propriĂ©taires en 1864 afin que puisse passer la ligne de chemin de fer reliant Toulouse Ă  Lexos.

    Plus prĂšs de nous eut lieu l'exĂ©cution de quinze rĂ©sistants dans le bois de la Reulle par des soldats de la triste division Das Reich, le . Les SS les ont contraints Ă  creuser Ă  mains nues leur tombe avant de les exĂ©cuter. Un seul rescapĂ© a pu transmettre les faits. Aujourd'hui encore, cinq corps parmi les quinze victimes restent non identifiĂ©s et leurs sĂ©pultures sont au cimetiĂšre de Castelmaurou. À ce jour, un seul rĂ©sistant reste encore inconnu. En effet, grĂące au travail du Groupe de Recherche du bois de la Reulle Castelmaurou/Gragnague et Ă  l'association Le Souvenir français de Castelmaurou prĂ©sidĂ© au moment des recherches par Louis Gibert, quatre des cinq inconnus ont pu ĂȘtre identifiĂ©s rĂ©cemment : en 2012, un aviateur et rĂ©sistant belge du nom de Charley de HepcĂ©e (nĂ© le Ă  Ixelles (Belgique) ; en 2013 Marcel Joyeux (officier d’active de l’armĂ©e de l’Air, dessinateur industriel, rĂ©sistant de la Haute-Garonne des groupes Combat, AS, GFL, et des rĂ©seaux Morhange et Mithridate, de la Vienne et de la Haute-Vienne, un des cadres les plus en vue de la R4 (1942-1944)), nĂ© le Ă  Saint-Denis (Seine-Saint-Denis) ; en 2014, Pierre Carthelet (instituteur, dirigeant des Compagnons de France dans les PyrĂ©nĂ©es-Orientales, membre de plusieurs rĂ©seaux et de l’ORA des PyrĂ©nĂ©es-Orientales), nĂ© le Ă  Taillette (Ardennes) ; enfin en 2017, Jean-Baptiste AndrĂ© Giorgetti (sous-lieutenant des Forces françaises libres, agent secret du BCRA de Londres, hĂ©ros de la RĂ©sistance), nĂ© le Ă  Venaco (Haute-Corse).

    HĂ©raldique

    Castelmaurou

    Son blasonnement est : D'or au pal ondé de sable.

    Politique et administration

    Administration municipale

    Le nombre d'habitants au recensement de 2011 Ă©tant compris entre 3 500 habitants et 4 999 habitants, le nombre de membres du conseil municipal pour l'Ă©lection de 2014 est de vingt sept[30] - [31].

    Rattachements administratifs et Ă©lectoraux

    Commune faisant partie de la deuxiÚme circonscription de la Haute-Garonne de la communauté de communes des Coteaux-Bellevue et du canton de Pechbonnieu (avant le redécoupage départemental de 2014, Castelmaurou faisait partie de l'ex-canton de Toulouse-15).

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    1944 1944 Pierre Jeanne
    1944 1969 Marius Alphonse Fontanier
    1969 1971 Raymond Pichou
    1971 1977 Roland Waysbort MR Docteur en médecine
    1977 2001 Lucien Pouget[32] (1940-2011) SE Artisan
    2001 2008 Claude Giusti DVG Retraité du ministÚre des Finances (DirCoFi), maire honoraire
    2008 2020 Magali Mirtain Schardt DVD[33] Commerciale
    4e vice-prĂ©sidente de la CC des Coteaux Bellevue (2014 → 2020)
    2020[34] En cours Diane Esquerré DVG[35] Ingénieure à l'INRA
    2e vice-prĂ©sidente de la CC des Coteaux Bellevue (2020 → )

    Politique de développement durable

    Le projet territorial de dĂ©veloppement durable de la commune de Castelmaurou a Ă©tĂ© reconnu « Agenda 21 local France » par le ministĂšre de l'Écologie, du DĂ©veloppement Durable, des Transports et du Logement au titre de la StratĂ©gie nationale de dĂ©veloppement durable, dans le cadre de la sixiĂšme session de reconnaissance des « projets territoriaux de dĂ©veloppement durable et agendas 21 locaux ». Cette reconnaissance, prononcĂ©e pour trois ans (Ă  partir de 2012), souligne la qualitĂ© du projet portĂ© et animĂ© par le territoire, et veut encourager Ă  poursuivre la dĂ©marche dans une dynamique d'amĂ©lioration continue[36].

    Tous les ans, les habitants sont invités à participer à la journée écocitoyenne (débats, découverte et nettoyage du village...).

    DĂ©mographie

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[37]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2006[38].

    En 2020, la commune comptait 4 406 habitants[Note 8], en augmentation de 7,49 % par rapport Ă  2014 (Haute-Garonne : +7,44 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    674810788843824822802804845
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    807807802777716737721713666
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    716705676629589625645693790
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    8099181 4581 6112 8493 2613 3733 9274 238
    2020 - - - - - - - -
    4 406--------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[39] puis Insee Ă  partir de 2006[40].)
    Histogramme de l'évolution démographique
    Évolution du rang de la commune
    selon la population municipale des années : 1968[41] 1975[41] 1982[41] 1990[41] 1999[41] 2006[42] 2009[43] 2013[44]
    Rang de la commune dans le département 77 62 71 48 47 56 56 56
    Nombre de communes du département 592 582 586 588 588 588 589 589

    Économie

    Revenus

    En 2018 (donnĂ©es Insee publiĂ©es en ), la commune compte 1 601 mĂ©nages fiscaux[Note 9], regroupant 4 096 personnes. La mĂ©diane du revenu disponible par unitĂ© de consommation est de 26 700 â‚Ź[I 8] (23 140 â‚Ź dans le dĂ©partement[I 9]). 69 % des mĂ©nages fiscaux sont imposĂ©s[Note 10] (55,3 % dans le dĂ©partement).

    Emploi

    Taux de chĂŽmage
    200820132018
    Commune[I 10]5,2 %6,3 %6,6 %
    DĂ©partement[I 11]7,7 %9,6 %9,3 %
    France entiĂšre[I 12]8,3 %10 %10 %

    En 2018, la population ĂągĂ©e de 15 Ă  64 ans s'Ă©lĂšve Ă  2 675 personnes, parmi lesquelles on compte 73,6 % d'actifs (67 % ayant un emploi et 6,6 % de chĂŽmeurs) et 26,4 % d'inactifs[Note 11] - [I 10]. Depuis 2008, le taux de chĂŽmage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est infĂ©rieur Ă  celui de la France et du dĂ©partement.

    La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Toulouse, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pĂŽle[Carte 4] - [I 13]. Elle compte 850 emplois en 2018, contre 859 en 2013 et 710 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi rĂ©sidant dans la commune est de 1 824, soit un indicateur de concentration d'emploi de 46,6 % et un taux d'activitĂ© parmi les 15 ans ou plus de 57,3 %[I 14].

    Sur ces 1 824 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 282 travaillent dans la commune, soit 16 % des habitants[I 15]. Pour se rendre au travail, 87,4 % des habitants utilisent un vĂ©hicule personnel ou de fonction Ă  quatre roues, 6,1 % les transports en commun, 3,3 % s'y rendent en deux-roues, Ă  vĂ©lo ou Ă  pied et 3,1 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 16].

    Secteurs d'activités

    354 établissements[Note 12] sont implantés à Castelmaurou au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 13] - [I 17].

    Secteur d'activitéCommuneDépartement
    Nombre % %
    Ensemble354100 %(100 %)
    Industrie manufacturiĂšre,
    industries extractives et autres
    154,2 %(5,7 %)
    Construction5615,8 %(12 %)
    Commerce de gros et de détail,
    transports, hébergement et restauration
    7019,8 %(25,9 %)
    Information et communication123,4 %(4,1 %)
    Activités financiÚres et d'assurance123,4 %(3,8 %)
    Activités immobiliÚres133,7 %(4,2 %)
    Activités spécialisées, scientifiques et techniques
    et activités de services administratifs et de soutien
    7521,2 %(19,8 %)
    Administration publique, enseignement,
    santé humaine et action sociale
    6518,4 %(16,6 %)
    Autres activités de services3610,2 %(7,9 %)

    Le secteur des activitĂ©s spĂ©cialisĂ©es, scientifiques et techniques et des activitĂ©s de services administratifs et de soutien est prĂ©pondĂ©rant sur la commune puisqu'il reprĂ©sente 21,2 % du nombre total d'Ă©tablissements de la commune (75 sur les 354 entreprises implantĂ©es Ă  Castelmaurou), contre 19,8 % au niveau dĂ©partemental[I 18].

    Entreprises et commerces

    Les cinq entreprises ayant leur siÚge social sur le territoire communal qui génÚrent le plus de chiffre d'affaires en 2020 sont[45] :

    • Clinique Du Vieux Chateau D'oc, activitĂ©s hospitaliĂšres (9 855 k€)
    • Entreprise Jean Oules Et Compagnie, construction de rĂ©seaux pour fluides (6 405 k€)
    • Maison De Famille La Cerisaie, hĂ©bergement mĂ©dicalisĂ© pour personnes ĂągĂ©es (3 978 k€)
    • Holding Elzo, activitĂ©s des siĂšges sociaux (1 019 k€)
    • TP Michel, travaux de terrassement courants et travaux prĂ©paratoires (875 k€)

    La commune de Castelmaurou s’étend sur 1 677 hectares. Son territoire est composĂ© de 76 % de terres agricoles et naturelles prĂ©servĂ©es. C'est un territoire Ă  dominante rurale avec la prĂ©sence de nombreux bois et une activitĂ© agricole encore forte. De nombreuses PME sont prĂ©sentes avec de multiples commerces de proximitĂ©. Une maison de retraite et deux cliniques rĂ©pondent aux besoins du territoire.

    Agriculture

    La commune est dans le Lauragais, une petite région agricole occupant le nord-est du département de la Haute-Garonne, dont les coteaux portent des grandes cultures en sec avec une dominante blé dur et tournesol[46]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 14] sur la commune est la polyculture et/ou le polyélevage[Carte 5].

    1988200020102020
    Exploitations51302421
    SAU[Note 15] (ha)1 018930755824

    Le nombre d'exploitations agricoles en activitĂ© et ayant leur siĂšge dans la commune est passĂ© de 51 lors du recensement agricole de 1988[Note 16] Ă  30 en 2000 puis Ă  24 en 2010[48] et enfin Ă  21 en 2020[Carte 6], soit une baisse de 59 % en 32 ans. Le mĂȘme mouvement est observĂ© Ă  l'Ă©chelle du dĂ©partement qui a perdu pendant cette pĂ©riode 57 % de ses exploitations[49] - [Carte 7]. La surface agricole utilisĂ©e sur la commune a Ă©galement diminuĂ©, passant de 1 018 ha en 1988 Ă  824 ha en 2020[Carte 8]. ParallĂšlement la surface agricole utilisĂ©e moyenne par exploitation a augmentĂ©, passant de 20 Ă  39 ha[48].

    Vie locale

    Enseignement

    Castelmaurou fait partie de l'académie de Toulouse.

    L'éducation est assurée sur la commune par la crÚche et le groupe scolaire Marcel-Pagnol maternelle + élémentaire. ce dernier compte en 2015, plus de 400 élÚves inscrits qui disposent d'un restaurant scolaire construit en 2010 et dont les repas sont reconnus de qualité, puisque la municipalité a fait le choix de préparer les repas sur place et d'inclure des repas bios réguliers. Le projet d'une nouvelle école maternelle est en cours de réalisation.

    Service public

    La Poste de Castelmaurou.

    Castelmaurou possÚde un bureau de poste réalisé par l'architecte Claude Victor Lindor.

    Santé

    La commune possÚde un centre communal d'action sociale, une clinique (Monvert convalescence), des médecins généralistes, ainsi qu'une pharmacie. La commune dispose aussi de vétérinaires et d'une clinique vétérinaire.

    Culture

    Façade de la Salle des fĂȘtes

    Sont prĂ©sents sur la commune : un cinĂ©ma « Le MĂ©liĂšs », une salle des fĂȘtes rĂ©alisĂ©e par l'architecte Claude Victor Lindor, elle est utilisĂ©e par les nombreuses associations de la commune, une mĂ©diathĂšque municipale l'AlphaB[50], rĂ©alisĂ©e l'architecte Joseph Almudever, et inaugurĂ©e en par le maire Magali Mirtain.

    Équipements sportifs

    Un gymnase omnisport, trois terrains de tennis, deux terrains de football, un dojo, Aire de Loisir jeunes (un skatepark, un city stade) et table de ping-pong.

    La Ligue de Midi-Pyrénées de football (présidée par Lilian Buzzichelli) et un centre de pré-formation sont basés à Castelmaurou.

    Footballeurs issus du centre de pré-formation de Castelmaurou

    Alaixys Romao, Guillaume Borne, Aurélien Mazel, Loïc Poujol, Pierrick Cros, Mathieu Peybernes, Pierre Espanol.

    Associations sportives

    Plusieurs associations sportives sont présentes sur la commune : Cyclo-club des Violettes, Volley-Ball, Basket club, Société Bouliste, Plaisir Danse, Chasse ACCA, Football club et Foot vétérans, Gymnastique volontaire, Judo/Yoga, Tai chi chuan, Tennis loisir et Tennis club, Handball les coteaux, Club d'aéromodélisme Castelmaurou, une entreprise Natura Game (paintball, accro-branche...), centre de pré-formation de football.

    Écologie et recyclage

    La collecte et le traitement des déchets des ménages et des déchets assimilés ainsi que la protection et la mise en valeur de l'environnement se font dans le cadre de la communauté de communes des Coteaux Bellevue[51].

    Les déchÚteries les plus proches sont situées sur les communes de Garidech, L'Union ou Saint-Alban.

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    L'édifice religieux, toujours en bon état, a succédé à un premier, détruit lors de la Révolution française de 1789. Il se trouvait du cÎté des cimetiÚres et du hameau du Fort. Cette église est une des figures de Castelmaurou qui n'hésite pas à le fixer sur des cartes postales pour en assurer sa promotion.

    • Le monument aux Morts
      Le monument aux Morts
    • L'Ă©glise
      L'Ă©glise
    • Façade  et clocher en peigne de L'Ă©glise Sainte-Foy.
      Façade et clocher en peigne de L'église Sainte-Foy.

    Personnalités liées à la commune

    Pour approfondir

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
    2. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[11].
    3. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en gĂ©nĂ©ral limitĂ©e, caractĂ©risĂ©s par la prĂ©sence d’espĂšces, d’association d’espĂšces ou de milieux rares, remarquables, ou caractĂ©ristiques du milieu du patrimoine naturel rĂ©gional ou national.
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en celle d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    9. Un mĂ©nage fiscal est constituĂ© par le regroupement des foyers fiscaux rĂ©pertoriĂ©s dans un mĂȘme logement. Son existence, une annĂ©e donnĂ©e, tient au fait que coĂŻncident au moins une dĂ©claration indĂ©pendante de revenus et l’occupation d’un logement connu Ă  la taxe d’habitation.
    10. La part des ménages fiscaux imposés est le pourcentage des ménages fiscaux qui ont un impÎt à acquitter au titre de l'impÎt sur le revenu des personnes physiques. L'impÎt à acquitter pour un ménage fiscal correspond à la somme des impÎts à acquitter par les foyers fiscaux qui le composent.
    11. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élÚves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
    12. L'Ă©tablissement, au sens de l’Insee, est une unitĂ© de production gĂ©ographiquement individualisĂ©e, mais juridiquement dĂ©pendante de l'unitĂ© lĂ©gale. Il produit des biens ou des services.
    13. Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
    14. L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
    15. Les donnĂ©es relatives Ă  la surface agricole utilisĂ©e (SAU) sont localisĂ©es Ă  la commune oĂč se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc ĂȘtre interprĂ©tĂ©s avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activitĂ© sur plusieurs communes, ou plusieurs dĂ©partements voire plusieurs rĂ©gions.
    16. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[47].
    • Cartes
    1. « Carte hydrographique de Castelmaurou » sur Géoportail (consulté le 5 novembre 2021).
    2. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    3. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
    4. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
    5. « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    6. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    7. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée par département », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    8. « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

    Site de l'Insee

    1. « Métadonnées de la commune de Castelmaurou » (consulté le ).
    2. « Commune urbaine - définition » (consulté le ).
    3. « Unité urbaine 2020 de Toulouse » (consulté le ).
    4. « Base des unités urbaines 2020 », (consulté le ).
    5. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unitĂ©s urbaines », (consultĂ© le ).
    6. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
    7. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consultĂ© le ).
    8. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Castelmaurou » (consulté le ).
    9. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans la Haute-Garonne » (consulté le ).
    10. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Castelmaurou » (consulté le ).
    11. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la Haute-Garonne » (consulté le ).
    12. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entiÚre » (consulté le ).
    13. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
    14. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Castelmaurou » (consulté le ).
    15. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
    16. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
    17. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Castelmaurou » (consulté le ).
    18. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans la Haute-Garonne » (consulté le ).

    Autres sources

    1. Stephan Georg, « Distance entre Castelmaurou et Toulouse », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    2. Stephan Georg, « Distance entre Castelmaurou et Pechbonnieu », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    3. « Communes les plus proches de Castelmaurou », sur www.villorama.com (consulté le ).
    4. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 378-379.
    5. Carte IGN sous GĂ©oportail
    6. « Le réseau hydrographique du bassin Adour-Garonne. » [PDF], sur draaf.occitanie.agriculture.gouv.fr (consulté le )
    7. « Fiche communale de Castelmaurou », sur le systÚme d'information pour la gestion des eaux souterraines en Occitanie (consulté le )
    8. Sandre, « le Girou »
    9. Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
    10. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    11. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    12. « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
    13. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
    14. « Station météofrance Toulouse-Blagnac - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
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    18. « Station météorologique de Toulouse-Blagnac - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
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    48. l'AlphaB
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