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Puylaurens

Puylaurens [pÉ„iloʁɛ̃s] (prononciation locale) est une commune française situĂ©e dans le sud du dĂ©partement du Tarn, en rĂ©gion Occitanie. Sur le plan historique et culturel, la commune est dans le Lauragais, l'ancien « Pays de Cocagne », liĂ© Ă  la fois Ă  la culture du pastel et Ă  l’abondance des productions, et de « grenier Ă  blĂ© du Languedoc ».

Puylaurens
Puylaurens
Blason de Puylaurens
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Occitanie
DĂ©partement Tarn
Arrondissement Castres
Intercommunalité Communauté de communes du Sor et de l'Agout
Maire
Mandat
Jean-Louis HormiĂšre
2020-2026
Code postal 81700
Code commune 81219
DĂ©mographie
Gentilé Puylaurentais
Population
municipale
3 194 hab. (2020 en diminution de 2,32 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 39 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 43° 34â€Č 22″ nord, 2° 00â€Č 46″ est
Altitude Min. 147 m
Max. 372 m
Superficie 81,83 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
DĂ©partementales Canton du Pastel
LĂ©gislatives TroisiĂšme circonscription
Localisation
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Puylaurens
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Puylaurens
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Puylaurens
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Puylaurens
Liens
Site web www.puylaurens.fr

    ExposĂ©e Ă  un climat ocĂ©anique altĂ©rĂ©, elle est drainĂ©e par l'Agout, le Girou, le ruisseau de Bagas, le ruisseau d'en Guibaud, Beral Den Alric, le ruisseau de CaudiĂšs, le ruisseau d'Oulmine et par divers autres petits cours d'eau. La commune possĂšde un patrimoine naturel remarquable : un site Natura 2000 (Les « vallĂ©es du Tarn, de l'Aveyron, du Viaur, de l'Agout et du Gijou ») et cinq zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique.

    Puylaurens est une commune rurale qui compte 3 194 habitants en 2020. Ses habitants sont appelĂ©s les Puylaurentais ou Puylaurentaises.

    GĂ©ographie

    Localisation

    Puylaurens domine de ses 375 m la plaine du Lauragais, aux portes de la montagne Noire. La commune est situĂ©e Ă  41 km Ă  l'est de Toulouse et Ă  25 km Ă  l'ouest de Castres[1]. Vers le nord se trouve la vallĂ©e de l'Agout et, vers le sud, la montagne Noire et les PyrĂ©nĂ©es.

    Tout comme ses communes voisines, notamment sur l'axe Toulouse-Castres, Puylaurens profite de sa position de carrefour entre ces deux villes. La RN 126 permet de rejoindre l'est de la périphérie Toulousaine en moins de 45 minutes. L'étalement urbain s'accélérant, Puylaurens pourrait prochainement devenir une commune de l'aire urbaine de Toulouse, comme Cuq-Toulza et Cambon-lÚs-Lavaur depuis 2010.

    Comme ses voisins Saint-FĂ©lix-Lauragais, Montgey ou Saint-Julia-de-Gras-Capou (de l'Occitan chapon gras), le village s'est construit sur un puy (puech ou puĂšg, en occitan) qui lui donne une situation « aĂ©rienne Â» privilĂ©giĂ©e. Depuis 700 ans, Puylaurens a attirĂ© les Ă©leveurs du grand Sud par le commerce du bĂ©tail.

    Carte de la commune de Puylaurens et des communes à proximité.

    Communes limitrophes

    Puylaurens est limitrophe de dix-sept autres communes.

    Voies de communication et transports

    Le village est facilement accessible en voiture par un faisceau de routes (maintenant peu frĂ©quentĂ© avec la rocade et peu de circulation l'Ă©tĂ©) de campagne, hĂ©ritĂ© de l'Ă©poque oĂč les Ă©leveurs et maquignons de la rĂ©gion se retrouvaient sur la grand place, le mercredi matin, pour le marchĂ© au bĂ©tail. Le contournement de Puylaurens, ouvert en 2008, rend au village sa sĂ©rĂ©nitĂ© rurale.

    La ligne 760 du réseau régional liO assure la desserte de la commune, en la reliant à Castres et à Toulouse[3].

    Hydrographie

    La commune est dans le bassin de la Garonne, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne[4]. Elle est drainĂ©e par l'Agout, le Girou, le ruisseau de Bagas, le ruisseau d'en Guibaud, Beral Den Alric, le ruisseau de CaudiĂšs, le ruisseau d'Oulmine, BĂ©ral d'en Guibaud, la Garenne, le Riafs, Rec de la RicaudiĂ©, Rec d'Engamel, et par divers petits cours d'eau, qui constituent un rĂ©seau hydrographique de 107 km de longueur totale[5] - [Carte 1].

    L'Agout, d'une longueur totale de 194,4 km, prend sa source dans la commune de Cambon-et-Salvergues et s'Ă©coule d'est en ouest. Il traverse la commune et se jette dans le Tarn Ă  Saint-Sulpice-la-Pointe, aprĂšs avoir traversĂ© 35 communes[6].

    Le Girou, d'une longueur totale de 64,5 km, prend sa source dans la commune et s'Ă©coule du sud-est vers le nord-ouest. Il traverse la commune et se jette dans l'Hers-Mort Ă  Saint-Jory, aprĂšs avoir traversĂ© 31 communes[7].

    Le ruisseau de Bagas, d'une longueur totale de 21,1 km, prend sa source dans la commune de Montfa et s'Ă©coule du nord-est au sud-ouest. Il traverse la commune et se jette dans l'Agout sur le territoire communal, aprĂšs avoir traversĂ© 7 communes[8].

    Le ruisseau d'en Guibaud, d'une longueur totale de 10,5 km, prend sa source dans la commune et s'Ă©coule vers le sud puis se rĂ©oriente vers le nord-ouest puis vers le nord-est. Il traverse la commune et se jette dans l'Agout Ă  Saint-Paul-Cap-de-Joux, aprĂšs avoir traversĂ© 3 communes[9].

    Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
    RĂ©seaux hydrographique et routier de Puylaurens.

    Climat

    Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[10]. En 2020, la commune ressort du mĂȘme type de climat dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat ocĂ©anique et les climats de montagne et le climat semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer[11].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© suivant[10].

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 12,7 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 2,2 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 10,2 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 15,7 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation : 929 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 10,4 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 6,1 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[13] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[14] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Revel », sur la commune de Revel, mise en service en 1928[15] et qui se trouve Ă  13 km Ă  vol d'oiseau[16] - [Note 3], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 13,2 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 845,4 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[17]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche, « Albi », sur la commune du Sequestre, mise en service en 1976 et Ă  39 km[18], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 13,4 °C pour 1981-2010[19] Ă  13,8 °C pour 1991-2020[20].

    RĂ©seau Natura 2000

    Site Natura 2000 sur le territoire communal.

    Le rĂ©seau Natura 2000 est un rĂ©seau Ă©cologique europĂ©en de sites naturels d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique Ă©laborĂ© Ă  partir des directives habitats et oiseaux, constituĂ© de zones spĂ©ciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spĂ©ciale (ZPS)[Note 4]. Un site Natura 2000 a Ă©tĂ© dĂ©fini sur la commune au titre de la directive habitats : Les « vallĂ©es du Tarn, de l'Aveyron, du Viaur, de l'Agout et du Gijou »[22], d'une superficie de 17 144 ha, s'Ă©tendant sur 136 communes dont 41 dans l'Aveyron, 8 en Haute-Garonne, 50 dans le Tarn et 37 dans le Tarn-et-Garonne. Elles prĂ©sentent une trĂšs grande diversitĂ© d'habitats et d'espĂšces dans ce vaste rĂ©seau de cours d'eau et de gorges. La prĂ©sence de la Loutre d'Europe et de la moule perliĂšre d'eau douce est Ă©galement d'un intĂ©rĂȘt majeur[23].

    Zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique

    L’inventaire des zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de rĂ©aliser une couverture des zones les plus intĂ©ressantes sur le plan Ă©cologique, essentiellement dans la perspective d’amĂ©liorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux diffĂ©rents dĂ©cideurs un outil d’aide Ă  la prise en compte de l’environnement dans l’amĂ©nagement du territoire. Quatre ZNIEFF de type 1[Note 5] sont recensĂ©es sur la commune[24] :

    • les « bois et coteaux de SĂ©malens et butte de LaudrandiĂ© » (414 ha), couvrant 3 communes du dĂ©partement[25] ;
    • les « bois Grand et bois de Caudeval » (229 ha), couvrant 2 communes du dĂ©partement[26] ;
    • les « coteaux secs du Travers de Gamanel, du chateau d'Arpelle et de la butte Saint-Loup » (188 ha), couvrant 6 communes du dĂ©partement[27] ;
    • les « graviĂšres de Caudeval » (68 ha), couvrant 2 communes du dĂ©partement[28] ;

    et une ZNIEFF de type 2[Note 6] - [24] : les « riviĂšres AgoĂ»t et Tarn de Burlats Ă  Buzet-sur-Tarn » (1 364 ha), couvrant 24 communes du dĂ©partement[29].

    • Carte des ZNIEFF de type 1 et 2 Ă  Puylaurens.
    • Carte des ZNIEFF de type 1 sur la commune.
      Carte des ZNIEFF de type 1 sur la commune.
    • Carte de la ZNIEFF de type 2 sur la commune.
      Carte de la ZNIEFF de type 2 sur la commune.

    Urbanisme

    Typologie

    Puylaurens est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 7] - [30] - [I 1] - [31]. La commune est en outre hors attraction des villes[I 2] - [I 3].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (89,9 % en 2018), une proportion identique Ă  celle de 1990 (90,3 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : terres arables (59,4 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (24,1 %), forĂȘts (9 %), prairies (6,4 %), zones urbanisĂ©es (1,2 %)[32].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[Carte 2].

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Puylaurens est vulnĂ©rable Ă  diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse), inondations, mouvements de terrains et sĂ©isme (sismicitĂ© trĂšs faible). Il est Ă©galement exposĂ© Ă  deux risques technologiques, le transport de matiĂšres dangereuses et la rupture d'un barrage[33]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[34].

    Risques naturels

    Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’ĂȘtre affectĂ©es par le risque d’inondation par dĂ©bordement de cours d'eau, notamment l'Agout, le Girou, le ruisseau de Bagas et le ruisseau d'en Guibaud. La cartographie des zones inondables en ex-Midi-PyrĂ©nĂ©es rĂ©alisĂ©e dans le cadre du XIe Contrat de plan État-rĂ©gion, visant Ă  informer les citoyens et les dĂ©cideurs sur le risque d’inondation, est accessible sur le site de la DREAL Occitanie[35]. La commune a Ă©tĂ© reconnue en Ă©tat de catastrophe naturelle au titre des dommages causĂ©s par les inondations et coulĂ©es de boue survenues en 1982, 1996, 2013, 2018 et 2020[36] - [33].

    Puylaurens est exposĂ©e au risque de feu de forĂȘt. En 2022, il n'existe pas de Plan de PrĂ©vention des Risques incendie de forĂȘt (PPRif). Le dĂ©broussaillement aux abords des maisons constitue l’une des meilleures protections pour les particuliers contre le feu[Note 8] - [37].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Puylaurens.

    La commune est vulnĂ©rable au risque de mouvements de terrains constituĂ© principalement du retrait-gonflement des sols argileux[38]. Cet alĂ©a est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas d’alternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie. 99,3 % de la superficie communale est en alĂ©a moyen ou fort (76,3 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 1 541 bĂątiments dĂ©nombrĂ©s sur la commune en 2019, 1 539 sont en en alĂ©a moyen ou fort, soit 100 %, Ă  comparer aux 90 % au niveau dĂ©partemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[39] - [Carte 3].

    Par ailleurs, afin de mieux apprĂ©hender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavitĂ©s souterraines permet de localiser celles situĂ©es sur la commune[40].

    Risques technologiques

    Le risque de transport de matiĂšres dangereuses sur la commune est liĂ© Ă  sa traversĂ©e par des infrastructures routiĂšres ou ferroviaires importantes ou la prĂ©sence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est susceptible d’avoir des effets graves sur les biens, les personnes ou l'environnement, selon la nature du matĂ©riau transportĂ©. Des dispositions d’urbanisme peuvent ĂȘtre prĂ©conisĂ©es en consĂ©quence[41].

    La commune est en outre situĂ©e en aval d'un barrage de classe A[Note 9]. À ce titre elle est susceptible d’ĂȘtre touchĂ©e par l’onde de submersion consĂ©cutive Ă  la rupture de cet ouvrage[43].

    Toponymie

    Le nom de la commune en occitan est PuĂšglaurenç (prononcĂ© localement [pɛlljaurens]), ce qui a Ă©tĂ© francisĂ© en Puylaurens. Il est intĂ©ressant de noter qu'en occitan le g ne se prononce pas, mais provoque une gĂ©mination du l qui suit. Le premier Ă©lĂ©ment, puĂšg, provient du latin podium « hauteur, lieu Ă©levĂ© », tandis que le deuxiĂšme laurenç est la forme occitane du prĂ©nom Laurent et fait probablement rĂ©fĂ©rence Ă  un ancien notable de la ville.

    Histoire

    Le chĂąteau de Cap de Castel

    L'Ă©dification du chĂąteau Cap de Castel, dont la fin de construction date de 1258, a Ă©tĂ© confiĂ©e aux corvĂ©es cathares sur ordre de Saint Louis, dont les parents Blanche de Castille et Louis VIII auraient sĂ©journĂ© Ă  Puylaurens. Ce bĂątiment de briques inscrit Ă  l'inventaire supplĂ©mentaire des monuments historiques est situĂ© Ă  la tĂȘte du village (Lou Cap, en Occitan) et a servi les intĂ©rĂȘts convergents de Rome et de Paris dans la rĂ©pression des Cathares. Deux fonctions parallĂšles, politique et religieuse, lui Ă©taient assignĂ©es : chapelle et prison du village. Il est aujourd'hui intĂ©grĂ© Ă  l'hĂŽtel qui porte son nom.

    En , par ses lettres patentes, le roi Louis XI (1423-1483) autorisa trois foires annuelles par an, en confirmant les privilÚges de la ville attribuées par ses prédécesseurs[44].

    En 1534 Jehan Baile est capitaine de Puylaurens, aux gages de 48 livres tournois par an. (Cf quittance en parchemin)

    De 1660 Ă  1685, l'acadĂ©mie de Puylaurens joue un rĂŽle important dans l’histoire de l’Église rĂ©formĂ©e.

    C'est à Puylaurens, en 1792, que le cordonnier Guillaume Lavabre composa la musique La Garisou de Marianno, qui a donné son nom à Marianne, allégorie de la République française[45].

    HĂ©raldique et devise

    Blason de Puylaurens

    Les armes de Puylaurens se blasonnent ainsi : D'argent au laurier terrassĂ© de sinople, au chef d'azur chargĂ© de trois fleurs de lys d'or, soutenu d'une divise du mĂȘme.

    La devise de Puylaurens est « Virescit vulnere virtus » en latin (« la blessure renforce le courage »).

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    octobre 1947 mars 1971 LĂ©opold Raynaud SFIO Artisan
    Conseiller gĂ©nĂ©ral du canton de Puylaurens (1951 → 1970)
    mars 1971 mars 1983 Louis Maruéjouls CD puis UDF Artisan
    Conseiller gĂ©nĂ©ral du canton de Puylaurens (1970 → 1988)
    mars 1983 mars 2001 Louis FournĂšs PS Enseignant
    Conseiller gĂ©nĂ©ral du canton de Puylaurens (1988 → 1994)
    mars 2001 avril 2018[46]
    (démission)
    Anne Laperrouze UDF puis MoDem
    puis AC puis DVC
    Directrice de projet
    DĂ©putĂ©e europĂ©enne (2004 → 2009)
    Conseiller gĂ©nĂ©ral du canton de Puylaurens (2001 → 2015)
    Conseiller dĂ©partemental du canton du Pastel (2015 → )
    3e vice-présidente de la CC du Sor et de l'Agout
    avril 2018[47] 2020 Patricia Rosenthal[48] DVC Biologiste retraitée
    2020 En cours Jean-Louis HormiĂšre Artisan plĂątrier
    Les données manquantes sont à compléter.

    DĂ©mographie

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[49]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2004[50]. En 2020, la commune comptait 3 194 habitants[Note 10], en diminution de 2,32 % par rapport Ă  2014 (Tarn : +1,71 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    5 1095 6486 0036 1126 1606 2806 0956 0946 178
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    5 8995 9405 6495 5115 1415 0124 9454 5854 372
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    4 1034 1244 0783 4733 4823 5063 3683 2453 207
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
    3 0882 9362 7822 7782 7082 7922 8712 8913 118
    2014 2019 2020 - - - - - -
    3 2703 1603 194------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[51] puis Insee Ă  partir de 2006[52].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Jumelage

    Église Saint-Jean de Saint-Jean-de-Tourtray

    Économie

    Revenus

    En 2018, la commune compte 1 406 mĂ©nages fiscaux[Note 11], regroupant 3 193 personnes. La mĂ©diane du revenu disponible par unitĂ© de consommation est de 20 040 â‚Ź[I 4] (20 400 â‚Ź dans le dĂ©partement[I 5]). 40 % des mĂ©nages fiscaux sont imposĂ©s[Note 12] (42,8 % dans le dĂ©partement).

    Emploi

    Taux de chĂŽmage
    200820132018
    Commune[I 6]7,5 %10,2 %9,5 %
    DĂ©partement[I 7]8,2 %9,9 %10 %
    France entiĂšre[I 8]8,3 %10 %10 %

    En 2018, la population ĂągĂ©e de 15 Ă  64 ans s'Ă©lĂšve Ă  1 815 personnes, parmi lesquelles on compte 76,7 % d'actifs (67,2 % ayant un emploi et 9,5 % de chĂŽmeurs) et 23,3 % d'inactifs[Note 13] - [I 6]. Depuis 2008, le taux de chĂŽmage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est infĂ©rieur Ă  celui de la France et du dĂ©partement.

    La commune est hors attraction des villes[Carte 4] - [I 9]. Elle compte 996 emplois en 2018, contre 991 en 2013 et 907 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi rĂ©sidant dans la commune est de 1 256, soit un indicateur de concentration d'emploi de 79,2 % et un taux d'activitĂ© parmi les 15 ans ou plus de 53,7 %[I 10].

    Sur ces 1 256 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 416 travaillent dans la commune, soit 33 % des habitants[I 11]. Pour se rendre au travail, 84,1 % des habitants utilisent un vĂ©hicule personnel ou de fonction Ă  quatre roues, 1,5 % les transports en commun, 6,1 % s'y rendent en deux-roues, Ă  vĂ©lo ou Ă  pied et 8,2 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 12].

    Secteurs d'activités

    295 établissements[Note 14] sont implantés à Puylaurens au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 15] - [I 13].

    Secteur d'activitéCommuneDépartement
    Nombre % %
    Ensemble295100 %(100 %)
    Industrie manufacturiĂšre,
    industries extractives et autres
    3712,5 %(13 %)
    Construction3812,9 %(12,5 %)
    Commerce de gros et de détail,
    transports, hébergement et restauration
    7023,7 %(26,7 %)
    Information et communication82,7 %(2,1 %)
    Activités financiÚres et d'assurance93,1 %(3,3 %)
    Activités immobiliÚres103,4 %(4,2 %)
    Activités spécialisées, scientifiques et techniques
    et activités de services administratifs et de soutien
    3913,2 %(13,8 %)
    Administration publique, enseignement,
    santé humaine et action sociale
    5819,7 %(15,5 %)
    Autres activités de services268,8 %(9 %)

    Le secteur du commerce de gros et de dĂ©tail, des transports, de l'hĂ©bergement et de la restauration est prĂ©pondĂ©rant sur la commune puisqu'il reprĂ©sente 23,7 % du nombre total d'Ă©tablissements de la commune (70 sur les 295 entreprises implantĂ©es Ă  Puylaurens), contre 26,7 % au niveau dĂ©partemental[I 14].

    Entreprises et commerces

    Les cinq entreprises ayant leur siÚge social sur le territoire communal qui génÚrent le plus de chiffre d'affaires en 2020 sont[53] :

    • SA Des Abattoirs Puylaurentais, transformation et conservation de la viande de boucherie (3 228 k€)
    • Silastef, supermarchĂ©s (2 484 k€)
    • Midi Pyrenees Environnement - Mpe, services d'amĂ©nagement paysager (1 591 k€)
    • Eco Invest, activitĂ©s des sociĂ©tĂ©s holding (576 k€)
    • Les Circuits De L'aubepine, location et location-bail d'articles de loisirs et de sport (458 k€)

    Agriculture

    La commune est dans le Lauragais tarnais, une petite région agricole située dans le sud-ouest du département du Tarn[54]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 16] sur la commune est la polyculture et/ou le polyélevage[Carte 5].

    1988200020102020
    Exploitations18314010894
    SAU[Note 17] (ha)5 8635 2664 7924 992

    Le nombre d'exploitations agricoles en activitĂ© et ayant leur siĂšge dans la commune est passĂ© de 183 lors du recensement agricole de 1988[Note 18] Ă  140 en 2000 puis Ă  108 en 2010[56] et enfin Ă  94 en 2020[Carte 6], soit une baisse de 49 % en 32 ans. Le mĂȘme mouvement est observĂ© Ă  l'Ă©chelle du dĂ©partement qui a perdu pendant cette pĂ©riode 58 % de ses exploitations[57] - [Carte 7]. La surface agricole utilisĂ©e sur la commune a Ă©galement diminuĂ©, passant de 5 863 ha en 1988 Ă  4 992 ha en 2020[Carte 8]. ParallĂšlement la surface agricole utilisĂ©e moyenne par exploitation a augmentĂ©, passant de 32 Ă  53 ha[56].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Personnalités liées à la commune

    Vie pratique

    Enseignement

    L'éducation est assurée sur la commune de Puylaurens depuis la crÚche jusqu'au collÚge.

    Pour approfondir

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[12].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent Ă  maintenir dans un Ă©tat de conservation favorable les types d'habitats et d'espĂšces concernĂ©s, par le biais de mesures rĂ©glementaires, administratives ou contractuelles[21].
    5. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en gĂ©nĂ©ral limitĂ©e, caractĂ©risĂ©s par la prĂ©sence d’espĂšces, d’association d’espĂšces ou de milieux rares, remarquables, ou caractĂ©ristiques du milieu du patrimoine naturel rĂ©gional ou national.
    6. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    7. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    8. Le principe d’un dĂ©broussaillement efficace consiste Ă  couper et Ă©liminer tous les bois morts, les broussailles et les herbes sĂšches 50 mĂštres autour des habitations et 2 mĂštres de part et d’autre des voies, Ă©laguer les branches basses des arbres, espacer les arbres et les arbustes situĂ©s dans la zone Ă  dĂ©broussailler pour Ă©viter que le feu ne se propage d’arbre en arbre, Ă©liminer les arbustes sous les grands arbres pour Ă©viter que le feu ne se propage vers la cime des arbres, toujours se dĂ©barrasser des vĂ©gĂ©taux coupĂ©s par compostage, par Ă©vacuation en dĂ©charge autorisĂ©e ou par incinĂ©ration en respectant la rĂ©glementation sur le brĂ»lage et entretenir rĂ©guliĂšrement la zone dĂ©broussaillĂ©e, tous les 2 ou 3 ans maximum sur le pourtour, tous les ans Ă  proximitĂ© de l’habitation
    9. Le classement des barrages est fonction de deux paramĂštres : hauteur et volume retenu[42].
    10. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    11. Un mĂ©nage fiscal est constituĂ© par le regroupement des foyers fiscaux rĂ©pertoriĂ©s dans un mĂȘme logement. Son existence, une annĂ©e donnĂ©e, tient au fait que coĂŻncident au moins une dĂ©claration indĂ©pendante de revenus et l’occupation d’un logement connu Ă  la taxe d’habitation.
    12. La part des ménages fiscaux imposés est le pourcentage des ménages fiscaux qui ont un impÎt à acquitter au titre de l'impÎt sur le revenu des personnes physiques. L'impÎt à acquitter pour un ménage fiscal correspond à la somme des impÎts à acquitter par les foyers fiscaux qui le composent.
    13. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élÚves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
    14. L'Ă©tablissement, au sens de l’Insee, est une unitĂ© de production gĂ©ographiquement individualisĂ©e, mais juridiquement dĂ©pendante de l'unitĂ© lĂ©gale. Il produit des biens ou des services.
    15. Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
    16. L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
    17. Les donnĂ©es relatives Ă  la surface agricole utilisĂ©e (SAU) sont localisĂ©es Ă  la commune oĂč se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc ĂȘtre interprĂ©tĂ©s avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activitĂ© sur plusieurs communes, ou plusieurs dĂ©partements voire plusieurs rĂ©gions.
    18. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[55].
    • Cartes
    1. « Réseau hydrographique de Puylaurens » sur Géoportail (consulté le 10 décembre 2021).
    2. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le )
    3. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
    4. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
    5. « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    6. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    7. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée par département », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    8. « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

    Site de l'Insee

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    2. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
    3. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consultĂ© le ).
    4. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Puylaurens » (consulté le ).
    5. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans le Tarn » (consulté le ).
    6. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Puylaurens » (consulté le ).
    7. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans le Tarn » (consulté le ).
    8. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entiÚre » (consulté le ).
    9. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
    10. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Puylaurens » (consulté le ).
    11. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
    12. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
    13. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Puylaurens » (consulté le ).
    14. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans le Tarn » (consulté le ).

    Autres sources

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    2. Carte IGN sous GĂ©oportail
    3. « Documents - Site web de la région Occitanie » (consulté le ).
    4. « Le réseau hydrographique du bassin Adour-Garonne. » [PDF], sur draaf.occitanie.agriculture.gouv.fr (consulté le )
    5. « Fiche communale de Puylaurens », sur le systÚme d'information pour la gestion des eaux souterraines en Occitanie (consulté le )
    6. Sandre, « l'Agout »
    7. Sandre, « le Girou »
    8. Sandre, « le ruisseau de Bagas »
    9. Sandre, « le ruisseau d'en Guibaud »
    10. Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
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    13. « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
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    53. « Entreprises à Puylaurens », sur entreprises.lefigaro.fr (consulté le ).
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