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Sémalens

Sémalens [semalɛ̃s] est une commune française située dans le sud du département du Tarn, en région Occitanie. Sur le plan historique et culturel, la commune est dans le Castrais, un territoire essentiellement agricole, entre la rive droite de l'Agout au sud et son affluent, le Dadou, au nord.

Sémalens
Sémalens
Mairie de Sémalens.
Blason de Sémalens
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Occitanie
Département Tarn
Arrondissement Castres
Intercommunalité Communauté de communes du Sor et de l'Agout
Maire
Mandat
Annette Veith
2020-2026
Code postal 81570
Code commune 81281
Démographie
Gentilé Sémalensois(e)s
Population
municipale
2 066 hab. (2020)
Densité 186 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 35′ 32″ nord, 2° 06′ 42″ est
Altitude 160 m
Min. 146 m
Max. 280 m
Superficie 11,12 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Castres
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Plaine de l'Agoût
(bureau centralisateur)
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Sémalens

    Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par l'Agout, le Sor, le ruisseau d'Auques et par divers autres petits cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable : un site Natura 2000 (Les « vallées du Tarn, de l'Aveyron, du Viaur, de l'Agout et du Gijou ») et quatre zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.

    Sémalens est une commune rurale qui compte 2 006 habitants en 2020, après avoir connu une forte hausse de la population depuis 1962. Elle fait partie de l'aire d'attraction de Castres. Ses habitants sont appelés les Sémalensois ou Sémalensoises.

    Le pont Antoinette, dit pont de l'Aiguillou, construit par Paul Séjourné en 1884 sur l'Agout pour la ligne de chemin de fer Montauban - Castres, fait partie du patrimoine historique et architectural, tandis que le pompet de Sémalens (ou poumpet selon la prononciation occitane) est la spécialité du village.

    Rose Barreau (1773-1843), femme-soldat de l'an II, grenadier volontaire de l'armée des Pyrénées orientales à l'âge de 19 ans, personnalité et figure locale, est originaire de Sémalens.

    Géographie

    Localisation

    La commune de Sémalens est située au cÅ“ur d'un triangle délimité par les villes de Castres (12 km), Vielmur-sur-Agout (km) et Soual (km).

    Communes limitrophes

    Géologie et relief

    La commune de Sémalens est située à la limite occidentale du bassin sédimentaire de Castres, une dépression d'orientation est-ouest axée sur la basse vallée de l'Agout, entre les monts du Sidobre à l'est, le môle de Réalmont au nord, et la montagne Noire au sud.

    Le sol est composé de terrains tendres de composition molassique, sableuse ou argilo-sableuse, d'âge Éocène supérieur, avec des reliefs collinaires émoussés, parfois armés par des bancs plus durs de grès dans les monts de Saïx et de poudingues dans les collines du Puylaurentais. À l'ouest, des couches alternativement gréseuses et calcaires se traduisent, dans la topographie, par un relief en cuesta dont l'abrupt relatif domine la plaine de l'Agout à l'est[2].

    Accès et transports

    La commune de Sémalens est traversée par la D 51 (de Puylaurens à La Crémade), et par la D 14 (de Vielmur-sur-Agout à Soual). Elle est desservie par la ligne 768 - Aussillon - Soual - Sėmalens du rėseau TarnBus.

    La gare de Sémalens sur la ligne Toulouse - Castres est désaffectée. Les gares les plus proches de Sémalens se trouvent à Vielmur-sur-Agout et à Castres.

    Hydrographie

    La commune est dans le bassin de la Garonne, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne[3]. Elle est drainée par l'Agout, le Sor, le ruisseau d'Auques, Rieu Sonnier, le ruisseau de Joumatel, le ruisseau d'Enrécourt, le ruisseau du Rivalou et par divers petits cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de 17 km de longueur totale[4] - [Carte 1].

    L'Agout, d'une longueur totale de 194,4 km, prend sa source dans la commune de Cambon-et-Salvergues et s'écoule d'est en ouest. Il traverse la commune et se jette dans le Tarn à Saint-Sulpice-la-Pointe, après avoir traversé 35 communes[5].

    Le Sor, d'une longueur totale de 60,9 km, prend sa source dans la commune d'Arfons et s'écoule du nord-est au sud-ouest puis se réoriente au nord-ouest puis au nord. Il traverse la commune et se jette dans l'Agout sur le territoire communal, après avoir traversé 16 communes[6].

    Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
    Réseaux hydrographique et routier de Sémalens.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat du Bassin du Sud-Ouest », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[7]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[8].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré suivant[7].

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000

    • Moyenne annuelle de température : 13,6 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 1,4 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 11,9 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 16 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 731 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 8,9 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 5,3 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[10] complétée par des études régionales[11] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Castres », sur la commune de Castres, mise en service en 1992[12] et qui se trouve à 11 km à vol d'oiseau[13] - [Note 3], où la température moyenne annuelle est de 14,4 °C et la hauteur de précipitations de 849,1 mm pour la période 1981-2010[14]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Albi », sur la commune du Sequestre, mise en service en 1976 et à 36 km[15], la température moyenne annuelle évolue de 13,4 °C pour 1981-2010[16] à 13,8 °C pour 1991-2020[17].

    Réseau Natura 2000

    Site Natura 2000 sur le territoire communal.

    Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 4]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la directive habitats : Les « vallées du Tarn, de l'Aveyron, du Viaur, de l'Agout et du Gijou »[19], d'une superficie de 17 144 ha, s'étendant sur 136 communes dont 41 dans l'Aveyron, 8 en Haute-Garonne, 50 dans le Tarn et 37 dans le Tarn-et-Garonne. Elles présentent une très grande diversité d'habitats et d'espèces dans ce vaste réseau de cours d'eau et de gorges. La présence de la Loutre d'Europe et de la moule perlière d'eau douce est également d'un intérêt majeur[20].

    Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Trois ZNIEFF de type 1[Note 5] sont recensées sur la commune[21] :

    • les « bois et coteaux de Sémalens et butte de Laudrandié » (414 ha), couvrant 3 communes du département[22] ;
    • les « gravières de Cambounet-sur-le-Sor » (113 ha), couvrant 3 communes du département[23] ;
    • les « gravières de la Ginestière et bords de l'Agoût » (89 ha), couvrant 3 communes du département[24] ;

    et une ZNIEFF de type 2[Note 6] - [21] : les « rivières Agoût et Tarn de Burlats à Buzet-sur-Tarn » (1 364 ha), couvrant 24 communes du département[25].

    • Carte des ZNIEFF de type 1 et 2 à Sémalens.
    • Carte des ZNIEFF de type 1 sur la commune.
      Carte des ZNIEFF de type 1 sur la commune.
    • Carte de la ZNIEFF de type 2 sur la commune.
      Carte de la ZNIEFF de type 2 sur la commune.

    Urbanisme

    Typologie

    Sémalens est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 7] - [26] - [I 1] - [27].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Castres, dont elle est une commune de la couronne[Note 8]. Cette aire, qui regroupe 55 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[I 2] - [I 3].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (79,4 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (89,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (46,9 %), zones agricoles hétérogènes (26,1 %), zones urbanisées (14,9 %), prairies (6,4 %), forêts (5,7 %)[28].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Sémalens est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à deux risques technologiques, le transport de matières dangereuses et la rupture d'un barrage[29]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[30].

    Risques naturels

    Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment l'Agout et le Sor. La cartographie des zones inondables en ex-Midi-Pyrénées réalisée dans le cadre du XIe Contrat de plan État-région, visant à informer les citoyens et les décideurs sur le risque d’inondation, est accessible sur le site de la DREAL Occitanie[31]. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1992, 1996, 1999, 2000, 2003, 2013, 2018 et 2020[32] - [29].

    Sémalens est exposée au risque de feu de forêt. En 2022, il n'existe pas de Plan de Prévention des Risques incendie de forêt (PPRif). Le débroussaillement aux abords des maisons constitue l’une des meilleures protections pour les particuliers contre le feu[Note 9] - [33].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Sémalens.

    La commune est vulnérable au risque de mouvements de terrains constitué principalement du retrait-gonflement des sols argileux[34]. Cet aléa est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 98,1 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (76,3 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 939 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 919 sont en en aléa moyen ou fort, soit 98 %, à comparer aux 90 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[35] - [Carte 3].

    Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[36].

    Risques technologiques

    Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est susceptible d’avoir des effets graves sur les biens, les personnes ou l'environnement, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[37].

    La commune est en outre située en aval d'un barrage de classe A[Note 10]. À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture de cet ouvrage[39].

    Toponymie

    Sémalens est un nom d'origine germanique, formé de Semela ou Sémélé, du grec Ζεμελώ, nom de divinité phrygienne, et du suffixe germanique ing, indiquant une propriété, soit « le Domaine de Sémélé ». Semelingus était cité dès le début du IXe siècle, puis Semalenx en 1277[40] - [41].

    En occitan, un semal ou semàou est le nom de la cuve en bois (la comporte) servant à transporter le raisin de la vigne au pressoir. Un lien entre cet usage linguistique et le choix du blasonnement du village est probable.

    Histoire

    Un peuplement primitif semble s’être établi au confluent du Sor et de l’Agoût (lieu-dit Agulhon) en raison de la découverte de haches néolithiques.

    Le premier document sur l’existence du village date du VIIe siècle où Semelingus fut donné à St Didier, évêque de Cahors.

    De 1261 à 1284 le fief appartenait à Raimundus Berenganus, abbé de la puissante abbaye St Benoît de Castres.

    En 1277 Semelingus est devenu Semalenx. En 1328 le fief passa à la vicomté de Lautrec. En 1477 les principaux taillables (imposables) étaient : Peyre Berenguier, Mme de Vielmur, le vénérable chapitre de Lavaur et Johan Bastard de la Bastardié.

    La famille Berenguier posséda Sémalens du Xe siècle jusqu’en 1722. D’après les coutumes de Sémalens chaque année, le jour de la St Barthélémy, le seigneur choisissait 3 consuls parmi les 6 candidats proposés par les 3 consuls précédents. Ils géraient les affaires courantes.

    Pendant les guerres de religion le village était une place forte catholique. Le vicomte de Paulin, protestant, à la tête de soldats de Vielmur et Puylaurens, fit mettre le siège devant le village en . Les soldats de Sémalens sortirent des fortifications et il y eut 45 tués. Les 23 et les protestants prirent à nouveau le château de Sémalens.

    En 1631 et 1652 une épidémie de peste toucha le village. L’église, en ruine après les guerres de religion, fut reconstruite en 1655-1656.

    Les seigneurs Bérenguier (ou Brenguier) dans la misère ont vendu leur seigneurie au comte de Belle Isle qui la cèda en 1741 à l’abbesse de Vielmur. En 1770 on construisit un pont sur les fossés. Le village comptait environ 500 à 600 habitants au début du XVIIIe siècle pour atteindre 700 en 1789 lors de la création de la commune. Une épidémie de suette qui fit 70 morts la ravagea entre 1852 et 1856. Vers 1860 le village comptait de nombreux ateliers de tissage, une filature et s'est spécialisé dans la production de castraise (tissu grossier). À la fin du XIXe siècle Sémalens était réputé aussi pour la culture de céréales de toutes espèces, de légumes, de fruits et de son vin de bonne qualité. En 1883, l’école publique fut créée. Le pont Antoinette ou pont de l Aiguillou bâti par Paul Séjourne, magnifique ouvrage sur l’Agoût, fut inauguré en 1888 par la Compagnie du Midi. En 1894 inauguration du superbe bâtiment de la mairie et des écoles. Pendant la guerre 14-18 le village perdra 31 soldats, 2 furent tués en 39-45. L’électrification du village fut votée en 1923. En 1948 le blason de Sémalens est déposé[42].

    Politique et administration

    Sémalens fait partie de la Communauté de communes Sor et Agout.

    Liste des maires

    Jumelages

    Sémalens n'est jumelée avec aucune autre ville.

    Population et société

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[44]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[45].

    En 2020, la commune comptait 2 006 habitants[Note 11], en diminution de 1,76 % par rapport à 2014 (Tarn : +1,71 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    6287889159559591 0681 1651 3231 326
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 3451 4431 5821 9141 8941 7531 6701 5131 335
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 1691 1501 083880933858908885953
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
    9771 0041 2321 4121 6511 8431 9812 0111 976
    2014 2019 2020 - - - - - -
    2 0422 0082 006------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[46] puis Insee à partir de 2006[47].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 29,2 %, soit en dessous de la moyenne départementale (30,7 %). De même, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 29,7 % la même année, alors qu'il est de 31,9 % au niveau départemental.

    En 2018, la commune comptait 990 hommes pour 1 021 femmes, soit un taux de 50,77 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,78 %).

    Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[48]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,8
    90 ou +
    1,3
    9,0
    75-89 ans
    9,9
    18,5
    60-74 ans
    19,9
    23,0
    45-59 ans
    23,2
    16,7
    30-44 ans
    19,1
    13,6
    15-29 ans
    12,0
    18,3
    0-14 ans
    14,6
    Pyramide des âges du département du Tarn en 2018 en pourcentage[49]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    1,2
    90 ou +
    2,7
    9,3
    75-89 ans
    12
    19
    60-74 ans
    19,6
    21
    45-59 ans
    20,3
    16,9
    30-44 ans
    16,4
    15,2
    15-29 ans
    13,5
    17,4
    0-14 ans
    15,5

    Manifestations culturelles et festivités

    La fête de Sémalens a lieu chaque année lors du week-end de la Saint-Michel (le 29 septembre).

    Équipements culturels

    Sémalens dispose d'une MJC, d'une bibliothèque municipale et d'un cinéma.

    Économie

    Revenus

    En 2018, la commune compte 858 ménages fiscaux[Note 12], regroupant 2 054 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 20 850 â‚¬[I 4] (20 400 â‚¬ dans le département[I 5]). 44 % des ménages fiscaux sont imposés[Note 13] (42,8 % dans le département).

    Emploi

    Taux de chômage
    200820132018
    Commune[I 6]7,8 %7,4 %8,6 %
    Département[I 7]8,2 %9,9 %10 %
    France entière[I 8]8,3 %10 %10 %

    En 2018, la population âgée de 15 Ã  64 ans s'élève à 1 222 personnes, parmi lesquelles on compte 75,9 % d'actifs (67,3 % ayant un emploi et 8,6 % de chômeurs) et 24,1 % d'inactifs[Note 14] - [I 6]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département.

    La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Castres, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 4] - [I 9]. Elle compte 214 emplois en 2018, contre 224 en 2013 et 247 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 832, soit un indicateur de concentration d'emploi de 25,7 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 55,8 %[I 10].

    Sur ces 832 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 115 travaillent dans la commune, soit 14 % des habitants[I 11]. Pour se rendre au travail, 93 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 1,2 % les transports en commun, 2 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 3,7 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 12].

    Secteurs d'activités

    123 établissements[Note 15] sont implantés à Sémalens au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 16] - [I 13].

    Secteur d'activitéCommuneDépartement
    Nombre % %
    Ensemble123
    Industrie manufacturière,
    industries extractives et autres
    1814,6 %(13 %)
    Construction1613 %(12,5 %)
    Commerce de gros et de détail,
    transports, hébergement et restauration
    3730,1 %(26,7 %)
    Information et communication32,4 %(2,1 %)
    Activités financières et d'assurance43,3 %(3,3 %)
    Activités spécialisées, scientifiques et techniques
    et activités de services administratifs et de soutien
    108,1 %(13,8 %)
    Administration publique, enseignement,
    santé humaine et action sociale
    2217,9 %(15,5 %)
    Autres activités de services1310,6 %(9 %)

    Le secteur du commerce de gros et de détail, des transports, de l'hébergement et de la restauration est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 30,1 % du nombre total d'établissements de la commune (37 sur les 123 entreprises implantées à Sémalens), contre 26,7 % au niveau départemental[I 14].

    Entreprises et commerces

    L'entreprise ayant son siège social sur le territoire communal qui génère le plus de chiffre d'affaires en 2020 est[50] :

    • ETS Alain Rouffiac Et Fils, travaux d'installation d'eau et de gaz en tous locaux (881 k€)

    Agriculture

    La commune est dans la « plaine de l'Albigeois et du Castrais », une petite région agricole occupant le centre du département du Tarn[51]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 17] sur la commune est la polyculture et/ou le polyélevage[Carte 5].

    1988200020102020
    Exploitations38202110
    SAU[Note 18] (ha)791591401553

    Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 38 lors du recensement agricole de 1988[Note 19] à 20 en 2000 puis à 21 en 2010[53] et enfin à 10 en 2020[Carte 6], soit une baisse de 74 % en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 58 % de ses exploitations[54] - [Carte 7]. La surface agricole utilisée sur la commune a également diminué, passant de 791 ha en 1988 à 553 ha en 2020[Carte 8]. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 21 à 55 ha[53].

    Emploi

    En 2012, le nombre total d'actifs sur la commune de Sémalens était de 716, se répartissant dans les divers secteurs économiques comme suit :

    Répartition de l'emploi[I 15]
    TertiaireIndustrieConstructionAgriculture
    Sémalens52,5 %26,6 %16,8 %4,2 %
    Moyenne nationale71,5 %18,3 %6,1 %4,1 %

    Le taux de chômage était de 12,2 % en 2006, et de 10,6 % en 2011[I 15].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • Le pont Antoinette, dit pont de l'Aiguillou, construit par Paul Séjourné en 1884 sur l'Agout pour la ligne de chemin de fer Montauban - Castres.
    • Église Saint-Michel de Sémalens en partie gothique, datant du XVe siècle, avec bénitier Renaissance, objet classé Monument historique[55] en 1911. Ce bénitier, frappé du blason royal, serait l’œuvre en 1546 du sculpteur italien Benvenuto Cellini attiré à la cour du roi François 1er. Une vouivre sur l'un des chapiteaux de la nef est appelée « la pierre du diable »[56]. L'église a été remaniée en 1610-1613 et reconstruite en partie à la fin du XVIIe siècle après les guerres de religion, puis agrandie en 1843. Le clocher a été élevé en 1708. Pointu à l'origine, sa toiture a été refaite en 1905[57].
    • Les Promenades : place à platanes construite autour du cÅ“ur de l'ancien village fortifié.
    • L'église Saint-Michel.
      L'église Saint-Michel.
    • Pont de l'Aiguillou.
      Pont de l'Aiguillou.

    Patrimoine environnemental

    Près de Sémalens se trouve une importante réserve ornithologique naturelle, avec de nombreux points d'observation de la faune, ainsi que le centre de loisirs des étangs, qui propose autour de plusieurs plans d'eau diverses activités (camping, voile, canoë, centre équestre).

    Spécialités culinaires ou gastronomiques

    Le pompet de Sémalens (ou poumpet selon la prononciation occitane) est un gâteau à base de pâte feuilletée et sucrée, au citron et à la graisse d'oie. Il se mange froid ou tiède.

    Personnalités liées à la commune

    Rose-Alexandrine « Liberté » Barreau (1773-1843), originaire de Sémalens, femme-soldat de l'an II, grenadier volontaire de l'armée des Pyrénées orientales à l'âge de 19 ans sous le commandement de Théophile-Malo de La Tour d'Auvergne-Corret[58]. Elle s'illustra notamment pour son rôle au sein du 2e bataillon du Tarn dans les actions de Bera-Vera de Bidasoa et de Biriatou.

    Héraldique

    Sémalens

    Son blasonnement est : De gueules à une comporte de vendange au naturel, contenant une grappe de raisin feuillée et tigée au naturel, au chef d'azur chargé de trois fleurs de lys d'or.

    • Variantes :
      • De gueules à la comporte de vendange d'or contenant une grappe de raisin d'argent feuillée et tigée de sinople ; au chef d'azur chargé de trois fleurs de lis d'or.
      • D'azur à l'échalas d'or chargé d'une grappe de raisin d'argent, surmonté de trois fleurs de lis d'or mal ordonnées.

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[9].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[18].
    5. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
    6. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    7. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    8. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    9. Le principe d’un débroussaillement efficace consiste à couper et éliminer tous les bois morts, les broussailles et les herbes sèches 50 mètres autour des habitations et 2 mètres de part et d’autre des voies, élaguer les branches basses des arbres, espacer les arbres et les arbustes situés dans la zone à débroussailler pour éviter que le feu ne se propage d’arbre en arbre, éliminer les arbustes sous les grands arbres pour éviter que le feu ne se propage vers la cime des arbres, toujours se débarrasser des végétaux coupés par compostage, par évacuation en décharge autorisée ou par incinération en respectant la réglementation sur le brûlage et entretenir régulièrement la zone débroussaillée, tous les 2 ou 3 ans maximum sur le pourtour, tous les ans à proximité de l’habitation
    10. Le classement des barrages est fonction de deux paramètres : hauteur et volume retenu[38].
    11. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    12. Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
    13. La part des ménages fiscaux imposés est le pourcentage des ménages fiscaux qui ont un impôt à acquitter au titre de l'impôt sur le revenu des personnes physiques. L'impôt à acquitter pour un ménage fiscal correspond à la somme des impôts à acquitter par les foyers fiscaux qui le composent.
    14. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
    15. L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
    16. Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
    17. L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
    18. Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
    19. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[52].
    • Cartes
    1. « Réseau hydrographique de Sémalens » sur Géoportail (consulté le 10 décembre 2021).
    2. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le )
    3. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
    4. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
    5. « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    6. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    7. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée par département », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    8. « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

    Site de l'Insee

    1. « Commune rurale - définition » (consulté le ).
    2. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Castres » (consulté le ).
    3. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).
    4. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Sémalens » (consulté le ).
    5. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans le Tarn » (consulté le ).
    6. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Sémalens » (consulté le ).
    7. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans le Tarn » (consulté le ).
    8. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
    9. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
    10. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Sémalens » (consulté le ).
    11. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
    12. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
    13. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Sémalens » (consulté le ).
    14. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans le Tarn » (consulté le ).
    15. Site de l'INSEE, consulté le 26 mai 2015.

    Autres sources

    1. Carte IGN sous Géoportail
    2. « Géomorphologie du bassin de Castres », sur asnat.fr, Revue du Tarn, (consulté le ).
    3. « Le réseau hydrographique du bassin Adour-Garonne. » [PDF], sur draaf.occitanie.agriculture.gouv.fr (consulté le )
    4. « Fiche communale de Sémalens », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Occitanie (consulté le )
    5. Sandre, « l'Agout »
    6. Sandre, « le Sor »
    7. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    8. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    9. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    10. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    11. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
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    13. « Orthodromie entre Sémalens et Castres », sur fr.distance.to (consulté le ).
    14. « Station météofrance Castres - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    15. « Orthodromie entre Sémalens et Le Sequestre », sur fr.distance.to (consulté le ).
    16. « Station météorologique d'Albi - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    17. « Station météorologique d'Albi - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    18. Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire
    19. « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Sémalens », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    20. « site Natura 2000 FR7301631 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le )
    21. « Liste des ZNIEFF de la commune de Sémalens », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
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    23. « ZNIEFF les « gravières de Cambounet-sur-le-Sor » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    24. « ZNIEFF les « gravières de la Ginestière et bords de l'Agoût » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    25. « ZNIEFF les « rivières Agoût et Tarn de Burlats à Buzet-sur-Tarn » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    26. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
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    36. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Sémalens », sur http://www.georisques.gouv.fr/ (consulté le )
    37. « Les risques majeurs dans le Tarn », sur www.tarn.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque transport de matières dangereuses.
    38. Article R214-112 du code de l’environnement
    39. « Les risques majeurs dans le Tarn », sur www.tarn.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque rupture de barrage.
    40. Communes du Tarn – Archives et Patrimoine, Conseil Général du Tarn - Archives départementales
    41. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France : 2 - Formations non romanes, formations dialectales, vol. 2, Librairie Droz, (lire en ligne), p. 801.
    42. Ecole Publique de Sémalens, Regards sur un village d'hier et d'aujourd'hui, .
    43. Liste affichée en mairie.
    44. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    45. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    46. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    47. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    48. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Sémalens (81281) », (consulté le ).
    49. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département du Tarn (81) », (consulté le ).
    50. « Entreprises à Sémalens », sur entreprises.lefigaro.fr (consulté le ).
    51. « Les régions agricoles (RA), petites régions agricoles(PRA) - Année de référence : 2017 », sur agreste.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    52. Présentation des premiers résultats du recensement agricole 2020, Ministère de l’agriculture et de l’alimentation, 10 décembre 2021
    53. « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans la commune de Sémalens - Données générales », sur recensement-agricole.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    54. « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans le département du Tarn » (consulté le ).
    55. Voir fiche n°PM81000539 sur la base Palissy
    56. Monts et piémont pyrénéens - Fédération des sociétés académiques et savantes Languedoc-Pyrénées-Gascogne, Actes du 48e congrès d'études tenu à Lannemezan et Saint-Plancard les 24, 25 et 26 juin 1994.
    57. Ecole publique, Regards sur un village d'hier et d'aujourd'hui SEMALENS, .
    58. « La confusion des sexes », sur lexpress.fr, (consulté le ).

    Voir aussi

    Liens externes

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