Amélie-les-Bains-Palalda
AmĂ©lie-les-Bains-Palalda (en catalan, Els Banys d'Arles. pour AmĂ©lie-les-Bains et PalaldĂ ou PalaudĂ pour Palalda, soit de nos jours Els Banys i PalaldĂ ) est une commune française crĂ©Ă©e en 1942 et situĂ©e dans le sud-est du dĂ©partement des PyrĂ©nĂ©es-Orientales, en rĂ©gion Occitanie. Sur le plan historique et culturel, la commune est dans le Vallespir, ancienne vicomtĂ© (englobĂ©e au Moyen Ăge dans la vicomtĂ© de Castelnou), rattachĂ©e Ă la France par le traitĂ© des PyrĂ©nĂ©es (1659) et correspondant approximativement Ă la vallĂ©e du Tech, de sa source jusqu'Ă CĂ©ret.
Amélie-les-Bains-Palalda | |||||
![]() Vue générale d'Amélie-les-Bains. | |||||
![]() Blason |
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Administration | |||||
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Pays | ![]() |
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RĂ©gion | Occitanie | ||||
Département | Pyrénées-Orientales | ||||
Arrondissement | CĂ©ret | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes du Haut Vallespir | ||||
Maire Mandat |
Marie Costa 2020-2026 |
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Code postal | 66110 | ||||
Code commune | 66003 | ||||
DĂ©mographie | |||||
Gentilé | Améliens ou Palaldéens | ||||
Population municipale |
3 581 hab. (2020 ![]() |
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Densité | 122 hab./km2 | ||||
GĂ©ographie | |||||
CoordonnĂ©es | 42° 28âČ 34âł nord, 2° 40âČ 21âł est | ||||
Altitude | Min. 176 m Max. 1 424 m |
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Superficie | 29,43 km2 | ||||
Type | Commune urbaine | ||||
Unité urbaine | Amélie-les-Bains-Palalda (ville-centre) |
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Aire d'attraction | Amélie-les-Bains-Palalda (commune-centre) |
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Ălections | |||||
DĂ©partementales | Canton du Canigou (bureau centralisateur) |
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LĂ©gislatives | QuatriĂšme circonscription | ||||
Localisation | |||||
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Pyrénées-Orientales
GĂ©olocalisation sur la carte : Occitanie
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Liens | |||||
Site web | amelie-les-bains.com | ||||
ExposĂ©e Ă un climat ocĂ©anique altĂ©rĂ©, elle est drainĂ©e par le Tech, la riviĂšre d'el Terme, le Mondony. La commune possĂšde un patrimoine naturel remarquable : un site Natura 2000 (« le Tech ») et deux zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique.
Amélie-les-Bains-Palalda est une commune urbaine qui compte 3 581 habitants en 2020. Elle est dans l'unité urbaine d'Amélie-les-Bains-Palalda et est la commune-centre de l'aire d'attraction d'Amélie-les-Bains-Palalda. Ses habitants sont appelés les Améliens ou Améliennes ou Palaldéens.
GĂ©ographie
Localisation
La commune d'Amélie-les-Bains-Palalda se trouve dans le département des Pyrénées-Orientales, en région Occitanie et est frontaliÚre avec l'Espagne (Catalogne)[I 1].
Elle se situe à 31 km à vol d'oiseau de Perpignan[1], préfecture du département, et à 7 km de Céret[2], sous-préfecture.
Les communes les plus proches[Note 1] sont[3] : Montbolo (1,7 km), ReynĂšs (3,0 km), Arles-sur-Tech (3,7 km), Taillet (5,8 km), Taulis (6,3 km), CĂ©ret (6,7 km), Corsavy (7,7 km), Oms (7,9 km).
Sur le plan historique et culturel, AmĂ©lie-les-Bains-Palalda fait partie du Vallespir, ancienne vicomtĂ© (englobĂ©e au Moyen Ăge dans la vicomtĂ© de Castelnou), rattachĂ©e Ă la France par le traitĂ© des PyrĂ©nĂ©es (1659) et correspondant approximativement Ă la vallĂ©e du Tech, de sa source jusqu'Ă CĂ©ret[4].
GĂ©ologie
La superficie de la commune est de 2 943 hectares. L'altitude de la commune varie entre 176 et 1 424 mÚtres[7]. Le centre d'Amélie-les-Bains est à une altitude de 219 m[8].
La commune est classée en zone de sismicité 4, correspondant à une sismicité moyenne[9]. On a relevé des tremblements de terre en 1903, 1920 et 1922.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat méditerranéen altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[10]. En 2020, la commune ressort du type « climat méditerranéen » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en premiÚre approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, les hivers sont doux et les étés chauds, avec un ensoleillement important et des vents violents fréquents[11].
Les paramĂštres climatiques qui ont permis dâĂ©tablir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs[10].
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Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Ănergie et du Climat[13] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[14] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. La station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France installĂ©e sur la commune et mise en service en 1977 permet de connaĂźtre en continu l'Ă©volution des indicateurs mĂ©tĂ©orologiques[15]. Le tableau dĂ©taillĂ© pour la pĂ©riode 1981-2010 est prĂ©sentĂ© ci-aprĂšs.
Mois | jan. | fév. | mars | avril | mai | juin | jui. | août | sep. | oct. | nov. | déc. | année |
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Température minimale moyenne (°C) | 3,1 | 3,5 | 5,7 | 7,8 | 11,2 | 14,8 | 17,2 | 17,1 | 14,2 | 11,1 | 6,5 | 4 | 9,7 |
Température moyenne (°C) | 8,9 | 9,3 | 11,7 | 13,5 | 16,8 | 20,6 | 23,6 | 23,4 | 20,4 | 16,9 | 12,2 | 9,6 | 15,6 |
Température maximale moyenne (°C) | 14,6 | 15,2 | 17,8 | 19,2 | 22,3 | 26,4 | 30 | 29,8 | 26,7 | 22,8 | 17,9 | 15,1 | 21,5 |
Record de froid (°C) date du record |
â12,4 15.01.1985 |
â8,6 11.02.1986 |
â5,4 11.03.10 |
â0,5 14.04.1998 |
0,7 07.05.1982 |
5,1 07.06.1984 |
8 11.07.1993 |
8,8 26.08.1985 |
5,4 28.09.07 |
0,2 29.10.12 |
â4,9 20.11.1985 |
â6,5 02.12.1980 |
â12,4 1985 |
Record de chaleur (°C) date du record |
29 05.01.13 |
28,8 27.02.19 |
30,1 09.03.00 |
32,1 08.04.11 |
35 29.05.01 |
41,4 28.06.19 |
39 17.07.1994 |
41 12.08.03 |
38,4 06.09.16 |
36 01.10.1997 |
29 06.11.13 |
26,6 16.12.1985 |
41,4 2019 |
Précipitations (mm) | 82,4 | 55,5 | 51,2 | 84,8 | 99,3 | 61,5 | 41,1 | 72,5 | 67,9 | 100,2 | 93,4 | 79,8 | 889,6 |
Hydrographie
La ville est arrosée par le fleuve cÎtier Tech qui fait des boucles et donne ce relief si escarpé à la cité. Le Mondony traverse le sud de la ville pour se jeter dans le Tech.
RĂ©seau Natura 2000
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Le rĂ©seau Natura 2000 est un rĂ©seau Ă©cologique europĂ©en de sites naturels d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique Ă©laborĂ© Ă partir des directives habitats et oiseaux, constituĂ© de zones spĂ©ciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spĂ©ciale (ZPS)[Note 4]. Un site Natura 2000 a Ă©tĂ© dĂ©fini sur la commune au titre de la directive habitats : « le Tech »[17], d'une superficie de 1 467 ha, hĂ©berge le Barbeau mĂ©ridional qui prĂ©sente une trĂšs grande variabilitĂ© gĂ©nĂ©tique dans tout le bassin versant du Tech. Le haut du bassin est en outre colonisĂ© par le Desman des PyrĂ©nĂ©es[18].
Zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique
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Lâinventaire des zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de rĂ©aliser une couverture des zones les plus intĂ©ressantes sur le plan Ă©cologique, essentiellement dans la perspective dâamĂ©liorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux diffĂ©rents dĂ©cideurs un outil dâaide Ă la prise en compte de lâenvironnement dans lâamĂ©nagement du territoire.
Deux ZNIEFF de type 2[Note 5] sont recensées sur la commune[19] :
Urbanisme
Typologie
Amélie-les-Bains-Palalda est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [22] - [I 2] - [23]. Elle appartient à l'unité urbaine d'Amélie-les-Bains-Palalda, une agglomération intra-départementale regroupant 2 communes[I 3] et 6 165 habitants en 2017, dont elle est ville-centre[I 4] - [I 5].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Amélie-les-Bains-Palalda, dont elle est la commune-centre[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 6 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[I 6] - [I 7].
Occupation des sols
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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne dâoccupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des forĂȘts et milieux semi-naturels (91,7 % en 2018), une proportion identique Ă celle de 1990 (91,6 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : forĂȘts (80,1 %), milieux Ă vĂ©gĂ©tation arbustive et/ou herbacĂ©e (11,6 %), zones urbanisĂ©es (5,8 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (2,6 %)[24].
L'IGN met par ailleurs Ă disposition un outil en ligne permettant de comparer lâĂ©volution dans le temps de lâoccupation des sols de la commune (ou de territoires Ă des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă aujourd'hui)[Carte 1].
Voies de communication et transports
Elle est desservie par la route départementale 115, qui doit faire l'objet d'aménagements dans la prochaine décennie afin de permettre une meilleure communication entre la ville et la plaine littorale.
La ville Ă©tait de plus desservie par le chemin de fer avant sa destruction par lâinondation de 1940. Une voie verte reliant Le Boulou Ă Arles-sur-Tech emprunte la plateforme de l'ancienne voie ferrĂ©e.
En matiÚre de transports en commun, la commune est desservie par les lignes 530, 531, 532 et 535 du réseau régional liO.
Elle dispose aussi de son propre réseau de bus, Amélia.
Risques majeurs
Le territoire de la commune d'AmĂ©lie-les-Bains-Palalda est vulnĂ©rable Ă diffĂ©rents alĂ©as naturels : inondations, climatiques (grand froid ou canicule), feux de forĂȘts, mouvements de terrains et sĂ©isme (sismicitĂ© moyenne). Il est Ă©galement exposĂ© Ă un risque technologique, le transport de matiĂšres dangereuses, et Ă deux risques particuliers, les risques radon et minier[25] - [26].
Risques naturels
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles dâĂȘtre affectĂ©es par le risque dâinondation par crue torrentielle de cours d'eau du bassin du Tech[27].
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont soit des mouvements liés au retrait-gonflement des argiles, soit des glissements de terrains, soit des chutes de blocs, soit des effondrements liés à des cavités souterraines[28]. Une cartographie nationale de l'aléa retrait-gonflement des argiles permet de connaßtre les sols argileux ou marneux susceptibles vis-à -vis de ce phénomÚne[29]. L'inventaire national des cavités souterraines permet par ailleurs de localiser celles situées sur la commune[30].
Ces risques naturels sont pris en compte dans l'aménagement du territoire de la commune par le biais d'un plan de prévention des risques inondations et mouvements de terrains[31].
- Carte des zones inondables.
- Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des argiles.
Risques technologiques
Le risque de transport de matiĂšres dangereuses sur la commune est liĂ© Ă sa traversĂ©e par une canalisation de transport de gaz. Un accident se produisant sur une telle infrastructure est en effet susceptible dâavoir des effets graves au bĂąti ou aux personnes jusquâĂ 350 m, selon la nature du matĂ©riau transportĂ©. Des dispositions dâurbanisme peuvent ĂȘtre prĂ©conisĂ©es en consĂ©quence[32].
Risque particulier
La commune est concernĂ©e par le risque minier, principalement liĂ© Ă lâĂ©volution des cavitĂ©s souterraines laissĂ©es Ă lâabandon et sans entretien aprĂšs lâexploitation des mines[33].
Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulĂ© dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative dâexposition de la population aux rayonnements ionisants. Toutes les communes du dĂ©partement sont concernĂ©es par le risque radon Ă un niveau plus ou moins Ă©levĂ©. Selon la classification de 2018, la commune d'AmĂ©lie-les-Bains-Palalda est classĂ©e en zone 3, Ă savoir zone Ă potentiel radon significatif[34].
Toponymie
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- Amélie-les-Bains
AmĂ©lie-les-Bains Ă©tait jadis connue sous le nom Els Banys d'Arles (« Les Bains d'Arles »). Le nom d'Arles (Arulas en 934) viendrait des racines Ar et El, dĂ©signant une vallĂ©e se transformant en plaine et la prĂ©sence d'une riviĂšre dans cette mĂȘme vallĂ©e[35]. Les « Bains d'Arles » Ă©taient les sources chaudes, situĂ©es Ă proximitĂ© d'Arles, puis les thermes romains liĂ©s Ă ce lieu.
à la suite de la construction du fort par Vauban en 1670, le territoire prend le nom de « Fort-les-Bains[36] ».
La commune change de nom le [37] pour devenir « Amélie-les-Bains » en hommage à la reine Marie-Amélie de Bourbon-Siciles, épouse de Louis-Philippe Ier[8]. Par la suite, la reine Amélie découvre Les Bains d'Arles en 1848, sans doute grùce à l'invitation du général de Castellane, gouverneur militaire du Roussillon à l'époque. Elle en devient alors une propagandiste enthousiaste[38] - [36].
- Palalda
Palalda est citée dÚs 814 sous le nom de villam Paladdanum. Les mentions suivantes donnent de Palatiodano (874), in Palatioatan (881) puis in Palaldano et Palatio Dan (1091). Une famille de Palauda est mentionnée au XIIIe siÚcle[8].
- Montalba-d'Amélie
Pour le diffĂ©rencier du village de Montalba situĂ© prĂšs d'Ille-sur-TĂȘt, le hameau est mentionnĂ© Ă partir du XVIIIe siĂšcle sous le nom de MontalbĂ dels Banys ou Montalba les Bains, en rĂ©fĂ©rence Ă l'ancien nom d'Els Banys, puis Ă partir de 1840, Montalba d'AmĂ©lie lorsque Els Banys ou Les Bains devient « AmĂ©lie-les-Bains[39] ». On rencontre Ă©galement au dĂ©but du XXe siĂšcle le nom de Montalba d'Arles, en rĂ©fĂ©rence Ă la ville d'Arles-sur-Tech situĂ©e Ă proximitĂ© au nord-est[40].
Le , Montalba change officiellement de nom pour devenir « Montalba-d'Amélie[37] ».
- Amélie-les-Bains-Palalda
AprÚs la fusion d'Amélie-les-Bains et de Palalda le , le nom de la nouvelle commune devient « Amélie-les-Bains-Palalda ». Il ne change pas aprÚs le rattachement de la commune de Montalba-d'Amélie le .
En catalan, le nom de la commune est Els Banys d'Arles pour Amélie-les-Bains et Palaldà ou Palaudà pour Palalda, soit de nos jours Els Banys d'Arles i Palaldà [41].
Histoire
Un arrĂȘtĂ© prĂ©fectoral du rattache, le , la commune de Palalda Ă celle d'AmĂ©lie-les-Bains pour former la nouvelle commune d'AmĂ©lie-les-Bains-Palalda[37].
Le , un arrĂȘtĂ© prĂ©fectoral rattache la commune de Montalba-d'AmĂ©lie Ă celle d'AmĂ©lie-les-Bains-Palalda[37], sans le changement du nom de cette derniĂšre.
Politique et administration
Canton
En 1790, les communes des Bains d'Arles, Montalba-les-Bains et Palalda sont toutes trois incluses dans le nouveau canton d'Arles, dont elles font toujours partie à ce jour à travers la commune d'Amélie-les-Bains-Palalda[37]. à compter des élections départementales de 2015, la commune devient le bureau centralisateur du nouveau canton du Canigou.
Administration municipale
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Liste des maires
Population et société
DĂ©mographie
L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[44]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2005[45].
En 2020, la commune comptait 3 581 habitants[Note 8], en augmentation de 0,76 % par rapport à 2014 (Pyrénées-Orientales : +3,52 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Avant 1946, la population recensée est celle d'Amélie-les-Bains exclusivement.
à partir de 1968, la population recensée inclut également celle de Montalba-d'Amélie.
Enseignement
La commune d'Amélie-les-Bains-Palalda possÚde une école maternelle publique, avec un effectif de 48 élÚves en 2014[52], une école élémentaire publique, avec un effectif de 120 élÚves en 2014[53], et une école primaire publique (maternelle et élémentaire), avec un effectif de 92 élÚves en 2014[54].
Manifestations culturelles et festivités
Santé
- Association caritatives
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- La Croix-Rouge a commencĂ© Ă Ćuvrer dans cette ville en 1888[58]. En 2021 elle continue son Ćuvre au 5 rue Joseph Coste.
Sports
- Rugby
Lors de la saison 2013-2014, l'Entente Vallespir Arles-sur-Tech-Amélie-les-Bains-Palalda (EVAAP) a été championne de France de 3e série en battant l'US Quint-Fonsegrives 19 à 3[59] - [60] - [61].
Ăconomie
Revenus
En 2018, la commune compte 2 147 mĂ©nages fiscaux[Note 9], regroupant 3 613 personnes. La mĂ©diane du revenu disponible par unitĂ© de consommation est de 17 530 âŹ[I 8] (19 350 ⏠dans le dĂ©partement[I 9]). 33 % des mĂ©nages fiscaux sont imposĂ©s[Note 10] (42,1 % dans le dĂ©partement).
Emploi
2008 | 2013 | 2018 | |
---|---|---|---|
Commune[I 10] | 15,1 % | 17,9 % | 19,2 % |
DĂ©partement[I 11] | 10,3 % | 12,9 % | 13,3 % |
France entiĂšre[I 12] | 8,3 % | 10 % | 10 % |
En 2018, la population ùgée de 15 à 64 ans s'élÚve à 1 706 personnes, parmi lesquelles on compte 66,8 % d'actifs (47,6 % ayant un emploi et 19,2 % de chÎmeurs) et 33,2 % d'inactifs[Note 11] - [I 10]. Depuis 2008, le taux de chÎmage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est supérieur à celui de la France et du département.
La commune est la commune-centre de l'aire d'attraction d'Amélie-les-Bains-Palalda[Carte 2] - [I 13]. Elle compte 1 205 emplois en 2018, contre 1 368 en 2013 et 1 495 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 843, soit un indicateur de concentration d'emploi de 142,9 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 37 %[I 14].
Sur ces 843 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 460 travaillent dans la commune, soit 55 % des habitants[I 15]. Pour se rendre au travail, 72,4 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 4,2 % les transports en commun, 16,3 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 7,2 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 16].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
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- Chapelle Saint-Joseph de Pujol de Dalt.
- Chapelle Notre-Dame de Can FĂ©lix.
- Temple de l'Ăglise protestante unie de France d'AmĂ©lie-les-Bains-Palalda.
- Amélie-les-Bains
- L'ancienne église Saint-Quentin est mentionnée en 869, elle avait été édifiée sans doute peu aprÚs la fondation du monastÚre pour les habitants qui s'étaient établis aux environs. Consacrée de nouveau en 1061 à la suite de travaux de restauration (ou d'agrandissement), elle fut remaniée à l'époque gothique puis protégée à l'époque moderne, classée monument historique. Elle est malheureusement déclassée et rasée en 1932 afin de permettre la construction de chambres d'hÎtel[8].
- L'église Saint-Quentin, dédiée à saint Quentin, elle est l'actuelle église paroissiale d'Amélie, construite de 1868 à 1871. Elle conserve une statue de la Vierge d'art roman du XIIIe siÚcle, provenant de l'ancienne église Saint-Quentin. Le clocher est doté d'un carillon de sept cloches.
- Ăglise Sainte-Marie d'AmĂ©lie-les-Bains.
- Chapelle Saint-Christ d'Amélie-les-Bains.
- Fort-les-Bains (
Classé MH (1909)) : fort surplombant la ville et construit en 1670.
- Les thermes romains (
Classé MH (1905)) et l'hÎpital thermal des armées (
Inscrit MH (2007)).
- CimetiĂšres :
- Amélie-les-Bains possÚde sept nécropoles sur son territoire : l'ancien et le nouveau cimetiÚres, le cimetiÚre militaire, le cimetiÚre protestant, prÚs de la maison du gardien, Montalba-d'Amélie, l'ancien et le nouveau cimetiÚres de Palalada, et le cimetiÚre du Rosaire, prÚs de l'église Saint-Martin.
- Dans ces cimetiÚres reposent toutes les personnes appartenant au peuple, au clergé, à la noblesse, et à l'armée. Leur histoire se raconte à la lecture de leur stÚle, et tous ces personnages font de la principale nécropole amélienne, un petit PÚre Lachaise. En 1996, Jerry de Pierregot écrivit un ouvrage sur les Nécroples améliennes à la fin du XXe siÚcle.
- Tombe d'un samouraï japonais au cimetiÚre communal d'Amélie-les-bains.
La commune a vu passer beaucoup de personnages célÚbres. Tous n'y sont pas inhumés. Y sont morts, par exemple le maréchal Achille Baraguey d'Hilliers ou le médecin-major Ernest Duchesne, qui découvrit le pénicillium trente ans avant Fleming, et dont un square rappelle la mémoire. Quelques grandes maisons françaises sont représentées dans ces nécropoles, telles que Maupeou d'Ableiges, Arcis de Chazournes, Saint-James, Chaudoir, Gavrel de Loupiac, Juest de Mire, Lamer, Lemonier de La Haitrée, Lelarge de Lourdoueix, Viaris de Lesegno, Bradisch de Wexford, un prince indien, etc. On y trouve également des personnages hétéroclites, le fondateur de la République rouge de Palalda, un boulanger qui inventa un pétrin à pédales, un samouraï, des créateurs d'apéritif (pi-flip), des officiers.
- Pont sur le Tech : pont en arc en béton armé à trois articulations construit par Simon Boussiron en 1909[62].
Palalda
Le village a une allure médiévale, avec la place au centre de l'ancien chùteau donnant sur l'église Saint-Martin.
- L'Ă©glise Saint-Martin est mentionnĂ©e pour la premiĂšre fois en 967, est composĂ©e d'une nef unique voĂ»tĂ©e d'un berceau "Ă©crasĂ©" du XIe ou du XIIe siĂšcle. La partie orientale de l'Ă©difice fut totalement reconstruite au XVIe siĂšcle. Le chĆur conserve un superbe retable baroque datĂ© de 1656 ainsi que d'autres Ćuvres.
- Le calvaire, haut de 8 m est situé au sommet d'une colline.
- Chapelle Notre-Dame-du-Rosaire de Palalda.
- MusĂ©e postal (dĂ©partemental) et musĂ©e d'art et traditions populaires dans le mĂȘme bĂątiment, sont situĂ©s Ă cĂŽtĂ© de l'Ă©glise.
- Ăglise Saint-Martin de Palalda
- Chapelle Notre-Dame-du-Rosaire de Palalda
- La Vérité Sortant du Puits de Fanny Marc
- Nouvelle fontaine et le théùtre, sculpture de Fanny Marc, entre 1918 et 1937
- Montalba-d'Amélie
- Ăglise Sainte-Marie : bĂątie au XVIIe siĂšcle et situĂ©e au sein du village, elle contient un retable du XVIIe siĂšcle et une Vierge Ă l'Enfant de la fin du XIVe siĂšcle.
- Ăglise Sainte-EngrĂące : Ă©glise romane isolĂ©e Ă l'ouest de Montalba-d'AmĂ©lie.
- Vestiges du chĂąteau de Mondony.
- Ăglise Saint-Sauveur de Mondony.
- Ăglise Sainte-Marie de Montalba d'AmĂ©lie
- Ăglise Sainte-EngrĂące d'AmĂ©lie-les-Bains
Personnalités liées à la commune
- Augustin de Chazelles (1779-1862) : prĂ©fet, conseiller dâĂtat, directeur des Postes, mort Ă AmĂ©lie-les-Bains.
- Marie-Amélie de Bourbon-Siciles (1782-1866) : aristocrate à l'origine du nom actuel de la ville.
- Jacques Honoré Lelarge de Lourdoueix (1787-1860) : journaliste français[63].
- Maximilien de Chaudoir (1816-1881) : entomologiste mort à Amélie-les-Bains [63].
- Jean Forné (1829-1912) : ancien maire de la commune et député.
- Arthur Grottger (1837-1867) : peintre polonais, mort à Amélie-les-Bains.
- Max Lebaudy (1873-1895) : jeune millionnaire mort au sanatorium militaire.
- Gaston Brun (1873-1918) : peintre, y est mort.
- Ernest Duchesne (1874-1912) : médecin mort à Amélie-les-Bains.
- Augustin Ringeval (1882-1967) : coureur cycliste mort à Amélie-les-Bains.
- Clément Blanc (1897-1982) : général d'armée, originaire d'Amélie-les-Bains, le rond-point à l'entrée d'Amélie porte son nom.
- Alphonse Mias (1903-1950) : homme politique et écrivain né à Palalda.
- Joseph Katz (1907-2001) : général d'armée, décédé à Amélie-les-Bains.
- Pierre Restany (1930-2003) : critique d'art, né à Amélie-les-Bains-Palalda.
- Jacques Séguéla (né en 1934) : sa famille est originaire d'Amélie-les-Bains.
- Domingo Dulce (1808-1869) : militaire espagnol décédé à Amélie-les-Bains.
- Frédéric Molas[64] (né en 1982) : vidéaste français ayant passé une partie de son enfance à Amélie-les-Bains-Palalda.
HĂ©raldique
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Les armes peuvent se blasonner ainsi : Parti, au premier d'azur Ă saint Quentin d'or tenant de sa main dextre une palme de sinople, au second de gueules aux deux tours rondes d'argent coulissĂ©es de sable, rangĂ©es en barre et posĂ©es Ă plomb, Ă un soleil non figurĂ© d'or brochant en chef sur la partition, Ă la champagne du mĂȘme chargĂ©e de quatre pals aussi de gueules. |
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Voir aussi
Bibliographie
- Albert Cazes (abbé), Amélie-les-Bains-Palaldà , Guide Touristique Conflent, 1975.
Articles connexes
- Liste des communes des Pyrénées-Orientales
- Liste des anciennes communes des Pyrénées-Orientales
- Liste de communes de France dont le nom commémore une personnalité
- Randonnée dans les Pyrénées-Orientales
- Syndicat mixte CanigĂł Grand Site
- Massif du Canigou
- Station thermale
- Vicomté de Castelnou
Liens externes
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative Ă plusieurs domaines :
- Ressource relative Ă la musique :
- Ressource relative aux organisations :
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : AmĂ©lie-les-Bains-Palalda », sur ehess.fr, Ăcole des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
- Site de la mairie
- Amélie-les-Bains-Palalda sur le site de l'Institut géographique national
- Amélie-les-Bains-Palalda sur le site de l'Insee
- La famine vainqueur du gouverneur Michel Daudies et de ses 440 hommes
- Ressources relatives à la géographie :
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. AprÚs les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[12].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Dans les sites Natura 2000, les Ătats membres s'engagent Ă maintenir dans un Ă©tat de conservation favorable les types d'habitats et d'espĂšces concernĂ©s, par le biais de mesures rĂ©glementaires, administratives ou contractuelles[16].
- Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
- Un mĂ©nage fiscal est constituĂ© par le regroupement des foyers fiscaux rĂ©pertoriĂ©s dans un mĂȘme logement. Son existence, une annĂ©e donnĂ©e, tient au fait que coĂŻncident au moins une dĂ©claration indĂ©pendante de revenus et lâoccupation dâun logement connu Ă la taxe dâhabitation.
- La part des ménages fiscaux imposés est le pourcentage des ménages fiscaux qui ont un impÎt à acquitter au titre de l'impÎt sur le revenu des personnes physiques. L'impÎt à acquitter pour un ménage fiscal correspond à la somme des impÎts à acquitter par les foyers fiscaux qui le composent.
- Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élÚves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
- Cartes
- IGN, « Ăvolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă droite ou Ă gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă gauche de l'Ă©cran.
- Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
Site de l'Insee
- « Métadonnées de la commune d'Amélie-les-Bains-Palalda » (consulté le ).
- « Commune urbaine - définition » (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 d'Amélie-les-Bains-Palalda » (consulté le ).
- « Base des unités urbaines 2020 », (consulté le ).
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- « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Amélie-les-Bains-Palalda » (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans lâaire dâattraction dâune ville », (consultĂ© le ).
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- « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans les Pyrénées-Orientales » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Amélie-les-Bains-Palalda » (consulté le ).
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- « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
- « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Amélie-les-Bains-Palalda » (consulté le ).
- « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
- « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
Autres sources
- Stephan Georg, « Distance entre Amélie-les-Bains-Palalda et Perpignan », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
- Stephan Georg, « Distance entre Amélie-les-Bains-Palalda et Céret », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
- « Communes les plus proches d'Amélie-les-Bains-Palalda », sur www.villorama.com (consulté le ).
- Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 227-228.
- Carte IGN sous GĂ©oportail
- Institut cartographique de Catalogne, « Visualisateur cartographique Vissir » (consulté le ).
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : AmĂ©lie-les-Bains-Palalda », sur ehess.fr, Ăcole des hautes Ă©tudes en sciences sociales (consultĂ© le ).
- Jean Sagnes (dir.), Le pays catalan, t. 2, Pau, Société nouvelle d'éditions régionales, , 579-1133 p. (ISBN 2904610014).
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- Réseau européen Natura 2000, MinistÚre de la transition écologique et solidaire
- « Liste des zones Natura 2000 de la commune d'Amélie-les-Bains-Palalda », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
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- Annuaire du MinistĂšre de l'Ăducation nationale, Ă©cole maternelle publique d'AmĂ©lie-les-Bains-Palalda
- Annuaire du MinistĂšre de l'Ăducation nationale, Ă©cole Ă©lĂ©mentaire publique d'AmĂ©lie-les-Bains-Palalda
- Annuaire du MinistĂšre de l'Ăducation nationale, Ă©cole primaire publique d'AmĂ©lie-les-Bains-Palalda
- Michel de La Torre, Pyrénées-Orientales : Le guide complet de ses 224 communes, Paris, Deslogis-Lacoste, coll. « Villes et villages de France », (ISBN 2-7399-5066-7).
- Site de Festibanyes
- Martial Mehr, Il n'y aura pas le feu aux vachettes à Amélie-les-Bains, L'indépendant du 6 septembre 2013
- Société de Secours aux Blessés Militaires, « Bulletin Société de Secours aux Blessés Militaires », sur BNF, (consulté le )
- les résultats de l'EVAAP 2013-2014
- L'Entente Vallespir en finale
- Entente Vallespir championne de France : des hommes d'honneur (diaporama + vidéo)
- Augustin Mesnager, « Pont en bĂ©ton armĂ© Ă trois articulations d'AmĂ©lie-les-Bains et applications du mĂȘme systĂšme de semi-articulations », dans Le GĂ©nie civil, 27 aoĂ»t 1910, tome LVII, no 17, no 1472 p. 313-316, planche XVII
- Les Nécropoles Améliennes, 1996
- « Joueur du Grenier », dans Wikipédia, (lire en ligne)