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Zone urbaine sensible

Une zone urbaine sensible (ou ZUS) Ă©tait un territoire infra-urbain dĂ©fini par les pouvoirs publics français pour ĂȘtre la cible prioritaire de la politique de la ville entre 1996 et 2014. Elles Ă©taient au nombre de 751, dont 718 en France mĂ©tropolitaine, et concernaient prĂšs de 7 % de la population française (soit 4,5 millions de personnes).

La loi no 96-987 du [1] relative Ă  la mise en Ɠuvre du Pacte de relance pour la ville a dĂ©fini dans son article 2 les zones urbaines sensibles (ZUS), parmi lesquelles on distingue les zones de redynamisation urbaine (ZRU) et les zones franches urbaines (ZFU)[2]. Les ZRU et les ZFU bĂ©nĂ©ficient d'aides spĂ©cifiques sous forme d'exonĂ©rations[3] fiscales et sociales.

Les zones urbaines sensibles constituaient un sous-ensemble de l'ensemble plus large des 2 500 quartiers prioritaires objet des contrats urbains de cohĂ©sion sociale (CUCS)[4] qui ont succĂ©dĂ© aux contrats de ville.

L’article 6 de la Loi d'orientation et de programmation pour la ville et la rĂ©novation urbaine du (loi Borloo) modifiĂ© par la loi du dispose par ailleurs que le programme national de rĂ©novation urbaine (PNRU) vise Ă  restructurer, dans un objectif de mixitĂ© sociale et de dĂ©veloppement durable, les quartiers classĂ©s en zone urbaine sensible.

Les ZUS ont été supprimées et remplacées par les quartiers prioritaires de la politique de la ville (QPV) le .

Les zones urbaines sensibles : 4,4 millions d’habitants (en 2006)

Les zones urbaines sensibles formalisent la notion de « quartier en difficultĂ© ». DĂ©finies dans la loi de , elles sont « caractĂ©risĂ©es [notamment] par la prĂ©sence de grands ensembles ou de quartiers d'habitat dĂ©gradĂ© et par un dĂ©sĂ©quilibre accentuĂ© entre l'habitat et l'emploi ». La sĂ©lection des ZUS s’est opĂ©rĂ©e sur des critĂšres qualitatifs (« grands ensembles », « dĂ©sĂ©quilibre emploi/habitat ») et sur une analyse conjointe des Ă©lus et de l’État.

Les ZUS sont au nombre de 751 depuis l'an 2000 (dont 34 dans les DOM). La liste complÚte des ZUS est disponible sur le site de la Délégation interministérielle à la ville sous la forme de l'Atlas des zones urbaines sensibles[5].

Les habitants des ZUS reprĂ©sentaient en 2006 environ 7 % de la population de la France en 2006[6]. La proportion la plus Ă©levĂ©e est atteinte dans les DOM (aux environs de 15 % Ă  la RĂ©union et en Guyane), en mĂ©tropole elle dĂ©passe 10 % dans trois rĂ©gions : Nord-Pas-de-Calais, Île-de-France et Corse. La population habitant dans les ZUS tend Ă  dĂ©croĂźtre lĂ©gĂšrement (-0,3 % par an depuis 1999, contre + 1 % pour l'ensemble de la population).

Les jeunes de moins de 25 ans reprĂ©sentent 39,9 % de la population dans les ZUS[6]. CaractĂ©ristique des grandes agglomĂ©rations – les jeunes dans les agglomĂ©rations accueillant des ZUS reprĂ©sentent 29 % de la population – cette jeunesse de la population est encore plus marquĂ©e dans les ZUS, traduisant en partie la difficultĂ© des jeunes des quartiers ZUS Ă  trouver une issue aux difficultĂ©s d'insertion qu'ils rencontrent. Par ailleurs, environ 60 % des habitants des ZUS (mĂ©nages) sont locataires en HLM, contre seulement 20 % en moyenne dans les agglomĂ©rations correspondantes. Enfin, la proportion de population d'origine Ă©trangĂšre (Ă©trangers ou français par acquisition) y est deux fois plus Ă©levĂ©e dans les Zus (17,5 %) que dans le reste de ces agglomĂ©rations[6].

Le suivi de la politique sociale dans les Zus est assurĂ© par l'Observatoire national des zones urbaines sensibles (ONZUS)[7], crĂ©Ă© par la loi du 1er aoĂ»t 2003 et placĂ© auprĂšs du ministre chargĂ© de la ville. L'observatoire a reçu mission de « mesurer l’évolution des inĂ©galitĂ©s sociales et des Ă©carts de dĂ©veloppement dans chacune des zones urbaines sensibles [
], de mesurer les moyens spĂ©cifiques mis en Ɠuvre et d’en Ă©valuer les effets par rapport aux objectifs [de la loi] ». Il publie chaque annĂ©e un rapport sur l’évolution des Ă©carts entre les zones urbaines sensibles et le reste de leur agglomĂ©ration sur la base d’indicateurs spĂ©cifiques : chĂŽmage, logement, dĂ©veloppement Ă©conomique, rĂ©ussite scolaire, accĂšs au systĂšme de santĂ©, sĂ©curitĂ©...

Les zones de redynamisation urbaine (ZRU) et les zones franches urbaines (ZFU)

Parmi les zones urbaines sensibles, certaines ont Ă©tĂ© qualifiĂ©es zones de redynamisation urbaine (ZRU), d'autres zones franches urbaines (ZFU), suivant un ordre de soutien croissant correspondant Ă  des difficultĂ©s particuliĂšres elles-mĂȘmes croissantes :

  • les zones de redynamisation urbaine (ZRU) sont caractĂ©risĂ©es par un taux de chĂŽmage Ă©levĂ©, une large proportion de personnes non diplĂŽmĂ©es et un faible potentiel fiscal. Au nombre de 416 (dont 20 dans les DOM), ces ZRU reprĂ©sentent un peu plus de la moitiĂ© des ZUS en nombre et un peu plus des deux tiers de la population des ZUS (3,2 millions d'habitants en 1999) ;
  • les zones franches urbaines (ZFU) sont des ZRU d'une taille supĂ©rieure Ă  8 500 habitants et nĂ©cessitent l'aide la plus importante. Les entreprises qui s'y implantent reçoivent des aides incitatives, d'oĂč le nom de zone franche. Au nombre de 100 (dont 7 dans les DOM), les ZFU reprĂ©sentent un peu moins du tiers de la population des ZUS (1,4 million d'habitants en 1999). Le dispositif des ZFU a Ă©tĂ© Ă©largi progressivement : aux 38 ZFU[8], crĂ©Ă©es en 1997 pour une durĂ©e de vingt ans, sont venues s'ajouter 41 nouvelles ZFU crĂ©Ă©es en 2004 pour une durĂ©e de quatre ans et 15 ZFU dites de troisiĂšme gĂ©nĂ©ration Ă  l'Ă©tĂ© 2006[9]. Les ZFU, crĂ©Ă©es Ă  l'origine pour cinq ans, ont Ă©tĂ© prorogĂ©es jusqu'au , puis reconduites jusqu'au avec un durcissement des conditions d'accĂšs aux exonĂ©rations fiscales, dĂ©sormais conditionnĂ©es aux exonĂ©rations de cotisations sociales patronales ZFU.

Dispositions particuliĂšres concernant les ZUS

L'article 19 de la loi du 5 mars 2007 relative à la prévention de la délinquance introduit l'article L. 300-7 dans le Code de l'urbanisme, autorisant le préfet à obliger le propriétaire d'un centre commercial dégradé à le rénover, lorsque celui-ci est situé dans une ZUS et que son état compromet « la rénovation urbaine d'un quartier »[10] - [11].

ChÎmage élevé et difficultés d'insertion des jeunes

Évolution comparĂ©e du taux de chĂŽmage dans les quartiers des Zones urbaines sensibles (ZUS) et en France (MĂ©tropole) entre 2003 et 2008

En 2009, le taux de chĂŽmage a atteint 18,6 % en ZUS contre 9,5 % pour l'ensemble du territoire (France y compris DOM)[12]. Entre 2008 et 2009, l'impact de la crise s'est traduit par une progression de 1,7 point du taux de chĂŽmage dans les ZUS comme sur l'ensemble du territoire. L'Ă©cart de taux de chĂŽmage entre ZUS et l'ensemble du territoire est stable Ă  9,1 % aprĂšs avoir atteint un maximum en 2005.

La population jeune des ZUS est particuliĂšrement atteinte par le chĂŽmage : en 2009, le taux de chĂŽmage des jeunes (15 - 29 ans) y atteint 29,5 %, contre 16,9 % pour l'ensemble des jeunes de la mĂȘme tranche d'Ăąge sur l'ensemble du territoire[13].

En 2009, seulement 20 % des jeunes actifs des ZUS sont diplĂŽmĂ©s du supĂ©rieur, contre 32 % pour l’ensemble des jeunes en mĂ©tropole. Mais le moindre niveau de formation n'explique pas Ă  lui seul les difficultĂ©s rencontrĂ©es par les jeunes des ZUS. À sexe, diplĂŽme et origine gĂ©ographique comparables les jeunes des ZUS ont une probabilitĂ© plus Ă©levĂ©e d’ĂȘtre au chĂŽmage aprĂšs la fin de leurs Ă©tudes ou d’occuper un poste non qualifiĂ©[13].

Pauvreté, risques d'exclusion

La part des personnes vivant en dessous du seuil de pauvretĂ© (949 euros mensuels) Ă©tait de 28,8 % en 2008 dans les zones urbaines sensibles contre 12 % dans le reste du territoire[14]. Le revenu moyen des habitants des ZUS est infĂ©rieur d'environ 40 % au revenu moyen des agglomĂ©rations concernĂ©es[15]. La proportion de bĂ©nĂ©ficiaires du revenu minimum d’insertion (RMI) est deux fois plus importante dans les ZUS que sur l’ensemble du territoire mĂ©tropolitain, soit 18 % contre 9,3 %[16].

Les difficultés d'accÚs à l'emploi, le cumul des facteurs aggravants (notamment la proportion plus élevée de familles nombreuses ou de familles monoparentales) conduisent à un risque d'exclusion accru. Bien que la fréquence de la pauvreté dans les ZUS n'ait pas progressé (depuis 2006), son intensité a progressé ces derniÚres années[17].

Cette concentration de précarités dans un environnement parfois défavorisé[18] peut amener à parler de ségrégation à l'échelle des quartiers concernés. Ce risque de ségrégation, sociale, démographique, exprime aussi un risque de ségrégation suivant l'origine nationale ou géographique. Parmi les immigrés[19] et leurs enfants, ceux originaires du Maghreb, d'Afrique Noire et de Turquie, qui connaissent le plus fort risque de ségrégation quant à leur résidence, constituent plus du tiers de la population des quartiers ZUS[20].

Population des ZUS des principales Unités urbaines

Source : Données urbaines infra-communales par quartier (ZUS et CUCS) sur le site de l'Insee
Unité urbaine (agglomération) Population ZUS (1999) Rang population ZUS (1999) Population unité urbaine (1999) Rang unité urbaine (1999) Pourcentage ZUS Nombre de ZUS Population moyenne ZUS (1999)
Paris (agglomĂ©ration parisienne) 1 262 037 1 9 644 507 1 13,1 % 148 8 527
Marseille- Aix-en-Provence 247 022 2 1 349 772 2 18,3 % 18 13 723
Lyon 201 765 3 1 348 832 3 14,2 % 28 6 862
Lille 193 727 4 1 000 900 4 19,4 % 16 12 108
Bordeaux 99 166 5 705 564 7 14,1 % 13 7 628
Creil et son Bassin 83 255 6 86 765 10 19,5 % 10 8 326
Douai-Lens 75 386 7 518 739 9 14,5 % 20 3 769
Nice 53 525 8 888 784 5 6,0 % 5 10 705
Valenciennes 52 620 9 357 395 13 14,7 % 16 3 289
Toulouse 46 657 10 761 090 6 6,1 % 5 9 331
Toulon 46 566 11 298 004 16 15,6 % 9 5 174
Nantes 46 330 12 544 932 8 8,5 % 6 7 722
Rennes 46 227 13 272 263 20 17,0 % 5 9 245
Rouen 45 835 14 389 862 12 11,8 % 10 4 584
Grenoble 41 026 15 419 334 11 9,8 % 7 5 861
Nancy 39 603 16 331 363 14 12,0 % 6 6 601
Montpellier 33 443 17 287 981 19 11,6 % 5 6 689
Metz 30 992 18 322 526 15 9,6 % 6 5 165
Tours 21 235 19 297 631 17 7,1 % 4 5 309
Saint-Étienne 19 951 20 291 960 18 6,8 % 5 3 990
OrlĂ©ans N/C N/C 275 928 23 N/C 6 N/C
Ensemble principales unitĂ©s urbaines 2 676 739 N/C 20 734 612 N/C 13,1 % 349 7 827

Principales communes de France (hors Île-de-France) à ZUS importante

Source : journal du net
Voir aussi : Données urbaines infra-communales par quartier (ZUS et CUCS) sur le site de l'Insee.
DĂ©partement Commune Population ZUS Population commune 1999 % Population ZUS 1999
OiseCreil34 42939 28387,59 %
AubeLa Chapelle-Saint-Luc12 06414 44783,50 %
GirondeLormont16 88621 34379,12 %
NordRoubaix74 38296 98476,70 %
SartheAllonnes9 36112 33275,91 %
CĂŽte-d'OrChenĂŽve10 97416 25767,50 %
RhĂŽneVaulx-en-Velin26 50340 30066%
OiseMontataire18 44628 36765,03 %
Seine-MaritimeCanteleu9 02115 43058,46 %
Pas-de-CalaisLe Portel6 21210 72057,95 %
MoselleCreutzwald8 13614 36056,66 %
NordMons-en-BarƓul12 78723 01755,55 %
MoselleWoippy7 53213 75554,76 %
MoselleFameck6 87212 63554,39 %
DoubsMontbĂ©liard14 46227 57052,46 %
GardBeaucaire7 20113 74852,38 %
OiseVillers-Saint-Paul6 01712 04849,94 %
RhĂŽneSaint-Fons7 81515 67149,87 %
Meurthe-et-MoselleVandƓuvre-lĂšs-Nancy15 95232 04849,78 %
Eure-et-LoirDreux15 55631 84948,84 %
NordHem9 28319 67547,18 %
CĂŽte-d'OrFontaine d'Ouche5 73612 17647,11 %
OiseNogent-sur-Oise4 67029 96346,87 %
Meurthe-et-MoselleLaxou7 13315 28846,66 %
MarneVitry-le-François7 59016 73745,35 %
CharenteSoyaux4 57410 17744,94 %
NordSaint-Pol-sur-Mer10 47123 33744,87 %
AisneSaint-Quentin26 49159 06644,85 %
Seine-MaritimeGonfreville-l'Orcher4 4399 93844,67 %
Haute-MarneSaint-Dizier13 49530 90043,67 %
OiseLaigneville8 29619 15143,32 %
OrneAlençon12 31828 93542,57 %
NordCondĂ©-sur-l'Escaut4 45910 52742,36 %
Pas-de-CalaisHarnes5 66413 70041,34 %
RhĂŽneVĂ©nissieux23 11456 06141,23 %
Pas-de-CalaisLiĂ©vin13 67433 42740,91 %
NordHautmont6 52416 02940,70 %
MarneChĂąlons-en-Champagne19 22747 33940,62 %
Maine-et-LoireAngers60 000157 00038,2 %
SavoieChambĂ©ry20 74359 49034,60 %

Principales communes d'Île-de-France à ZUS importante

Source : journal du net
Voir aussi : Données urbaines infra-communales par quartier (ZUS et CUCS) sur le site de l'Insee.
DĂ©partement Commune Population ZUS Population commune 1999 % Population ZUS 1999
Essonne Étampes 12 000 21 842 48,77 %
EssonneGrigny22 96224 51292,58 %
EssonneÉpinay-sous-SĂ©nart11 04912 79786,34 %
EssonneBrĂ©tigny-sur-Orge10 42221 65051,86 %
Val-d'OiseArgenteuil46 06557 87179,60 %
Seine-Saint-DenisClichy-sous-Bois21 54328 28876,70 %
YvelinesChanteloup-les-Vignes6 5138 98072,52 %
Seine-Saint-DenisÉpinay-sur-Seine30 73646 40966,23 %
Val-d'OiseSarcelles15 98326 14561,13 %
Val-d'OiseVilliers-le-Bel16 02426 26361,01 %
EssonneEvry-Courcouronnes8 282 13 95459,35 %
YvelinesMantes-la-Jolie25 50343 67258,40 %
Val-de-MarneBonneuil10 61215 36169,08 %
Val-de-MarneVitry-sur-Seine40 67778 15468,13 %
Val-de-MarneChampigny-sur-Marne15 000
Seine-et-MarneMeaux27 11449 42154,86 %
EssonneLes Ulis14 03225 78554,42 %
Seine-et-MarneMelun18 85935 69552,83 %
YvelinesAchĂšres9 63718 94250,88 %
EssonneMassy18 78337 71249,81 %
Seine-Saint-DenisSevran23 41547 06349,75 %
EssonneVigneux-sur-Seine12 73525 65249,65 %
Hauts-de-SeineNanterre41 40284 28149,12 %
Hauts-de-SeineColombes37 08876 75748,32 %
YvelinesCarriĂšres-sous-Poissy6 21013 47246,10 %
YvelinesLimay5 15921 66744,22 %
Seine-Saint-DenisLa Courneuve15 56635 31044,08 %
Val-de-MarneVilleneuve-Saint-Georges7 70317 83743,19 %
YvelinesLes Mureaux13 68231 73943,11 %
Seine-et-MarneLe MĂ©e-sur-Seine9 08621 21742,82 %
Seine-et-MarneDammarie-lĂšs-Lys8 81520 65942,67 %
Hauts-de-SeineVilleneuve-la-Garenne9 36822 34941,92 %
Seine-et-MarneNemours5 32212 89841,26 %
Hauts-de-SeineChĂątenay-Malabry12 24530 62139,99 %
EssonneSainte-GeneviĂšve-des-Bois8 68932 12827%

Controverse de janvier 2015

En , aprÚs l'attentat contre Charlie Hebdo, plusieurs commentateurs de Fox News ont affirmé, à de nombreuses reprises et pendant plusieurs jours, que les zones urbaines sensibles étaient des « no-go zone (en) », des zones interdites aux non-musulmans, désinformant ainsi les téléspectateurs du monde entier[21].

Ces informations contestables, ont été relayées, avec humour[22], par le Petit Journal sur Canal+ qui a exigé des excuses de la chaßne de télévision d'information en continu américaine[23]. Fox News s'est excusée quelques jours plus tard pour les commentaires inexacts sur les musulmans en Europe.

Le , la mairie de Paris annonce qu'elle va porter plainte contre la chaßne américaine[24] - [25].

Notes et références

  1. loi no 96-987 du 14 novembre 1996
  2. Géographie réglementaire des ZUS, ZRU, ZFU sur le site de la politique de la ville
  3. Comparaison des exonérations applicables en ZUS et ZFU (janvier 2009)
  4. Géographie réglementaire des CUCS sur le site de la Politique de la Ville
  5. Atlas des zones urbaines sensibles sur le site de la Délégation Interministérielle à la Ville
  6. La population des zones urbaines sensibles (Insee) - décembre 2010
  7. Présentation de l'Observatoire national des zones urbaines sensibles sur le site du comité interministériel de la ville
  8. L’activitĂ© Ă©conomique dans les zones franches urbaines
  9. Projet de loi pour l'égalité des chances, (voir la version adoptée par la Commission mixte paritaire à l'article 6, qui devrait devenir l'article 26 dans la loi promulguée).
  10. article 19 de la loi du 5 mars 2007
  11. article L300-7 du Code de l'urbanisme
  12. Les zones urbaines sensibles en 2009 : l’impact de la crise (www.vie-publique.fr)
  13. Emploi et chĂŽmage des 15-29 ans - Direction de l’animation de la recherche, des Ă©tudes et des statistiques (Dares) - Octobre 2010
  14. Fabienne Keller, sénatrice UMP, prÎne "un autre regard sur les quartiers fragiles", Le Monde, 16 mars 2011
  15. Rapport ONZUS 2010 -décembre 2010 - Les revenus des habitants en 2007
  16. Les allocataires des caisses d’Allocations familiales des zones urbaines sensibles Ă  la fin 2008 - CNAF - fĂ©vrier 2010
  17. Rapport 2010 de l'Observatoire national de la pauvreté et de l'exclusion sociale - p. 12, 13
  18. La ségrégation des immigrés en France : état des lieux - Jean-Louis Pan Ké Shon, Population & Sociétés (INED) - no 477 - avril 2011
  19. personnes nĂ©es Ă©trangĂšres Ă  l’étranger, et rĂ©sidant en France ; elles peuvent avoir la nationalitĂ© française si elle l’ont acquise aprĂšs avoir immigrĂ©, ou ĂȘtre restĂ©e de nationalitĂ© Ă©trangĂšre
  20. La ségrégation des immigrés en France : état des lieux - Jean-Louis Pan Ké Shon, Population & Sociétés (INED) - no 477 - avril 2011
  21. Voir
  22. "Ferme-la Fox News"
  23. "No go zones": aprĂšs une campagne au bazooka du Petit Journal, Fox News s'excuse sur lexpress.fr
  24. Ariane Nicolas, « La mairie de Paris va porter plainte contre Fox News aprÚs la polémique sur les "no-go zones" », sur Francetv info, (consulté le ).
  25. La mairie de Paris va porter plainte contre Fox News aprÚs la polémique sur les "no-go zones" sur francetvinfo.fr

Bibliographie

  • Olivier Mandon, Tableau de bord des zones franches urbaines en Ile-de-France, Ă©ditions IAURIF, Paris, 2007 (60 pages)

Voir aussi

Articles connexes

Liens externes

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