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Allonnes (Sarthe)

Allonnes est une commune française, située dans le département de la Sarthe en région Pays de la Loire, peuplée de 11 108 habitants[Note 1].

Allonnes
Allonnes (Sarthe)
Vue aérienne du centre-ville nord.
Blason de Allonnes
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Pays de la Loire
Département Sarthe
Arrondissement Le Mans
Intercommunalité Le Mans Métropole
Maire
Mandat
Gilles Leproust
2020-2026
Code postal 72700
Code commune 72003
Démographie
Gentilé Allonnais
Population
municipale
11 108 hab. (2020 en augmentation de 0,32 % par rapport à 2014)
Densité 615 hab./km2
Population
agglomération
217 299 hab. (2020)
Géographie
Coordonnées 47° 58′ 07″ nord, 0° 09′ 38″ est
Altitude Min. 38 m
Max. 82 m
Superficie 18,07 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Le Mans
(banlieue)
Aire d'attraction Le Mans
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton du Mans-7
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
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Allonnes
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Allonnes
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Allonnes
Liens
Site web allonnes.fr

    La commune fait partie de la province historique du Maine[1], et se situe dans le Haut-Maine (Maine roux).

    Géographie

    Allonnes est située dans la banlieue sud-ouest du Mans, sur les bords de la Sarthe. Couvrant 1 807 hectares, son territoire est le plus étendu de son canton.

    La ville est desservie par le service de transport de la SETRAM par la ligne de bus no 26 et depuis le à 11 h 30 par la ligne no T3 Tempo (BHNS).

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[4]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[5].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[4]

    • Moyenne annuelle de température : 11,2 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,6 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 3,7 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 3] : 14,3 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 4] : 701 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,2 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,8 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[8] complétée par des études régionales[9] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Rouillon », sur la commune de Rouillon, mise en service en 1978[10] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[11] - [Note 5], où la température moyenne annuelle est de 11,4 °C et la hauteur de précipitations de 726,5 mm pour la période 1981-2010[12]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Le Mans », sur la commune du Mans, mise en service en 1944 et à km[13], la température moyenne annuelle évolue de 11,6 °C pour la période 1971-2000[14], à 12 °C pour 1981-2010[15], puis à 12,5 °C pour 1991-2020[16].

    Urbanisme

    Typologie

    Allonnes est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [17] - [18] - [19]. Elle appartient à l'unité urbaine du Mans, une agglomération intra-départementale regroupant 20 communes[20] et 217 299 habitants en 2020, dont elle est une commune de la banlieue[21] - [22].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction du Mans dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 144 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[23] - [24].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (60,8 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (70,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (31,7 %), prairies (18,2 %), zones urbanisées (13,1 %), forêts (11,9 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (11,6 %), zones agricoles hétérogènes (10,9 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (2,1 %), eaux continentales[Note 8] (0,5 %)[25].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[26].

    Toponymie

    Albert Dauzat et Charles Rostaing recensent à l'article Allamps (les formes du type Allon(n)e(s) étant les plus fréquentes) du Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France[27], tous les toponymes et hydronymes dérivés d'Alauna qui semble être une épithète celtique de divinité, bien attestée dans l'épigraphie gallo-romaine, associée par exemple à Mercure : Genio Mercurii Alauni (CIR, 1717) ou encore à Auguste : Sacro Alaunarum Augusti nostri (CIL III, 1883, Munich)[28]. Pierre-Yves Lambert[29] y voit la signification de « nourricier » sur le thème celtique ala signifiant « nourrir », avec un suffixe d'agent issu de -mn-.

    Le gentilé est Allonnais.

    Histoire

    « Terre de contraste », Allonnes est une commune proche du Mans dont le paysage est marqué par les grands ensembles des années 1960-1970. Pourtant la commune possède un passé riche. Les vestiges les plus anciens associés à un contexte archéologique, remontent au IVe siècle avant notre ère. Allonnes était donc déjà occupée à l'époque gauloise. C'est pourtant la période gallo-romaine qui laisse le plus d'empreintes et de vestiges dans le sous-sol allonnais. La présence des sanctuaires des Perrières et de Mars Mullo[30], les thermes Pasteur ainsi que le quartier d'habitat et/ou d'artisanat d'Argenton-le-Marin laisse à penser, sans que pour autant on en connaisse le statut exact, à l'établissement d'une agglomération relativement importante

    Les recherches archéologiques passées et actuelles sur la commune ne montrent pas, dans l'état actuel des données, une occupation médiévale conséquente malgré quelques découvertes isolées, notamment un cimetière.

    Allonnes restera longtemps un village modeste jusqu'à l'explosion urbaine de la fin des années 1950. En 1961, la création de la ZUP (Zone à urbaniser en priorité) transforme Allonnes en une cité de 15 000 habitants (12 332 en 1999). L'extension de la zone commerciale et artisanale du Vivier, la rénovation de la ZUP dans le cadre d'un projet de convention avec l'ANRU qui améliorera le cadre de vie dans les grands ensembles, la création de nouveaux quartiers d'habitations en périphérie urbaine, la zone industrielle de Monnée, la vie associative et culturelle variée (poumon de la ville d'Allonnes), et l'implantation de l'usine NTN, sont autant d'atouts pour Allonnes qui continue à poursuivre son développement urbain, économique et humain.

    Par le décret du , une partie de territoire de la commune du Mans est rattachée à la commune d'Allonnes [31].

    Politique et administration

    Liste des maires

    La mairie.
    Liste des maires[32]
    Période Identité Étiquette Qualité
    1935 mars 1959 Arsène Tessier
    mars 1959 mars 1971 Georges Garnier UNR garagiste et propriétaire-gérant d'une station-service
    mars 1971[33] mars 1977 Gabriel Paillereau
    mars 1977 mars 2008[34] Yvon Luby[35] PCF Instituteur puis professeur de collège, conseiller général du canton du Mans-Sud-Ouest (1979 → 1982), conseiller général du canton d'Allonnes (1982 → 1992 puis 1998 → 2011)
    mars 2008 En cours Gilles Leproust[36] PCF Fonctionnaire territorial, conseiller général du canton d'Allonnes (2011 → 2015), conseiller départemental du canton du Mans-7 (2016 → ), 4e vice-président de la communauté urbaine Le Mans Métropole (2014 → )
    Les données manquantes sont à compléter.
    Pour les données antérieures, dérouler la boîte ci-dessous.

    Le conseil municipal est composé de trente-trois membres dont le maire et neuf adjoints[36].

    Label

    La commune est une ville fleurie (deux fleurs) au concours des villes et villages fleuris[37].

    La commune possède trois "@" au label Ville Internet[38].

    La ville possède deux lauriers au label Ville Active & Sportive[39].

    Jumelages

    Équipements et services publics

    Enseignement

    Allonnes compte 11 écoles primaires publiques et deux privées, deux collèges publics et un lycée public, le lycée André-Malraux.

    Santé

    La commune héberge l'établissement public de santé mentale de la Sarthe[41].

    Établissements culturels

    La ville compte un théâtre, un complexe polyvalent accueillant concerts et spectacles, et une médiathèque.

    Population et société

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par sondage auprès d'un échantillon d'adresses représentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans[42] - [Note 9].

    En 2020, la commune comptait 11 108 habitants[Note 10], en augmentation de 0,32 % par rapport à 2014 (Sarthe : −0,31 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    466492538579725822840872851
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    828834857854861825874883971
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    9309429619369579339161 0831 246
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    4 98311 57015 85215 62313 56112 33211 30111 19511 102
    2020 - - - - - - - -
    11 108--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[43] puis Insee à partir de 2006[44].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 35,1 %, soit un taux supérieur à la moyenne départementale (34,6 %). Le taux de personnes d'un âge supérieur à 60 ans (30,8 %) est supérieur au taux départemental (28,2 %).

    En 2018, la commune comptait 5 061 hommes pour 6 014 femmes, soit un taux de 54,3 % de femmes, supérieur au taux départemental (51,34 %).

    Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit :

    Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[I 1]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    1,0
    90 ou +
    3,4
    8,9
    75-89 ans
    12,9
    17,2
    60-74 ans
    17,6
    20,1
    45-59 ans
    18,6
    15,7
    30-44 ans
    14,1
    15,5
    15-29 ans
    16,7
    21,5
    0-14 ans
    16,8
    Pyramide des âges du département de la Sarthe en 2018 en pourcentage[45]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,9
    90 ou +
    2,1
    7,6
    75-89 ans
    10,6
    17,3
    60-74 ans
    17,9
    20,3
    45-59 ans
    19,6
    17,6
    30-44 ans
    16,9
    17,2
    15-29 ans
    15,5
    19,1
    0-14 ans
    17,3

    Sports et loisirs

    Les équipements sportifs municipaux se composent de trois gymnases, une piscine municipale, des terrains de football et d'athlétisme, un centre équestre, et trois courts de tennis.

    La Jeunesse sportive d'Allonnes fait évoluer deux équipes de football en divisions de district[46]. Cette association regroupe en outre une quinzaine de sections (athlétisme, basket-ball, handball, natation, tennis…)[47].

    Le Football Club Vidéo Plus d'Allonnes fait évoluer une équipe de futsal en division de district[48]

    L'association Le Mans Parkour 72 propose régulièrement des entraînements au parkour (art du déplacement) un peu partout dans la ville et ses alentours[49].

    Le cross Allonnes-Le Maine libre possède une renommée internationale. En 2014, il fête sa cinquantième édition, parrainé par l’athlète française Marie-José Pérec[50].

    École coranique : au sein d'une mosquée islamiste

    Une école coranique est hébergée au sein de la mosquée intégrée en 2009 dans l’espace associatif interculturel Yvon-Luby, « accueillant environ 110 enfants devant lesquels a été valorisé le jihad armé et qui constitue donc un lieu d’endoctrinement[51]. » Cette mosquée de 300 fidèles a, par arrêté de la préfecture de la Sarthe du lundi 25 octobre 2021 (à la demande du ministère de l'Intérieur), été fermée administrativement pour six mois afin de prévenir la commission d’actes d'apologie de terrorisme et provocation à commettre des actes terroristes ainsi que de propagande de l’islam salafiste radical.

    Les dirigeants et membres d'associations gestionnaires de ce lieu de culte radicalisé (dont les avoirs des deux associations[52] et de huit dirigeants ont été gelés) sont soupçonnés de promouvoir l'islamisme (haine et discrimination, charia, djihad armé, mort en martyr, etc.)[53] - [54] - [55] - [56] - [57].

    Économie

    Allonnes a été pendant longtemps une commune dortoir abritant les employés de l'usine Renault du Mans, elle ne possédait que quelques commerces. Depuis 2001, une usine de 800 employés (NTN) s'est installée et a permis un changement de l'image d'Allonnes.

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    L'église Saint-Martin d'Allonnes.
    • Une église romane du XIIIe siècle.

    Le sanctuaire de Mars Mullo

    Le sanctuaire de Mars Mullo (autrefois nommé « la tour aux Fées ») est connu des érudits et des collectionneurs depuis le XVIIIe siècle. Il est redécouvert par Pierre Térouanne à la suite des indications de son fils Jean-Noël en 1953. Une violente tempête ayant déraciné un arbre, celui-ci vit apparaître ce qui ressemblait fort à un mur. Il alerta son père, passionné d'archéologie, qui commença alors à faire les premières fouilles.

    Tambour de colonne provenant d'un des sanctuaires d'Allonnes.

    En 1993, une équipe de l'UMR 8546 du CNRS/ENS reprend les fouilles du sanctuaire. Les résultats sont particulièrement importants et permettent de mettre au jour une succession d'occupations de la protohistoire jusqu'au IVe siècle apr. J.-C. L'ensemble des données est publié en 2003 dans un ouvrage intitulé Le Sanctuaire de Mars Mullo, Allonnes (Sarthe)[58].

    Depuis 1998, le Centre allonnais de prospection et de recherches archéologiques (CAPRA)[59] entreprend sur tout le territoire de la commune des activités de médiation scientifique (visites, ateliers pédagogiques…) et de recherche complétant ainsi une carte archéologique particulièrement riche en vestiges.

    À proximité du site, le CAPRA est installé dans un bâtiment consacré à la recherche et à la diffusion du savoir archéologique et disposant d'un espace muséal, le CERAM (Centre d'études et de recherches archéologiques du Maine). Ce bâtiment est baptisé du nom de Pierre Térouanne[60].

    Personnalités liées à la commune

    Héraldique

    Armes d'Allones

    Les armoiries de Allonnes se blasonnent ainsi :
    Divisé en chevron : au 1er d’azur au cheval courant d’or, accompagné de deux besants du même en pointe et aux flancs, au 2e de sinople à la tour d’or crénelée de cinq pièces d'argent et maçonnée de sable ; au chevron abaissé d’argent brochant sur la partition[61].

    Notes et références

    Notes

    1. Population municipale 2020.
    2. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[6].
    3. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    4. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[7].
    5. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    9. Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.
    10. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Site de l'Insee

    Autres sites

    1. Claude-Marin Saugrain, Dictionnaire universel de la France ancienne et moderne et de la Nouvelle France, vol. 1, , p. 73
    2. « Géoportail (IGN), couche « Limites administratives » activée ».
    3. « Géoportail (IGN), couche « Limites administratives » activée ».
    4. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    5. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    6. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    7. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    8. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    9. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Pays de la Loire », sur pays-de-la-loire.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    10. « Station Météo-France Rouillon - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    11. « Orthodromie entre Allonnes et Rouillon », sur fr.distance.to (consulté le ).
    12. « Station Météo-France Rouillon - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    13. « Orthodromie entre Allonnes et Le Mans », sur fr.distance.to (consulté le ).
    14. « Station météorologique de Le Mans - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Station météorologique de Le Mans - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    16. « Station météorologique de Le Mans - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    17. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    18. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    19. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    20. « Unité urbaine 2020 du Le Mans », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    21. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    22. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    23. « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Le Mans », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
    24. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    25. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    26. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    27. Librairie Guénégaud, Paris 1978. (ISBN 2-85023-076-6).
    28. François de Beaurepaire, Les noms des communes et anciennes paroisses de la Manche, Éditions Picard 1985. (ISBN 2-7084-0299-4).
    29. La langue gauloise, édition errance 1994. (ISBN 2-87772-089-6).
    30. Véronique Brouquier-Reddé,Katherine Gruel (dir.), Le sanctuaire de Mars Mullo chez les Aulerques Cénomans (Allonnes, Sarthe) Ve s. av; J.-C.-IVe s; ap. J.-C., Gallia, 61, 2004, p. 291-396 Lire en ligne
    31. Décret no 2019-117 du 19 février 2019 portant modification des limites territoriales de communes et de cantons du département de la Sarthe.
    32. « Site communal - Les maires d'Allonnes » (consulté le ).
    33. « Un parc rend hommage à l'ancien maire, Gabriel Paillereau », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
    34. « Gilles Leproust conduit une liste de rassemblement », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
    35. Gérard Boëldieu, « Notice biographique », sur maitron.fr : « 9 février 2012, dernière modification le 21 septembre 2017 ».
    36. « Municipales 2020. Allonnes : Gilles Leproust, une troisième réélection », sur Ouest-France, .
    37. « Palmarès du concours des villes et villages fleuris » (consulté le ).
    38. « Allonnes », sur Villes Internet (consulté le ).
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    Voir aussi

    Article connexe

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