Saint-Pargoire
Saint-Pargoire [sÉÌ.paÊ.ÉĄwa.ÊÉ] (en occitan Sant PargĂČri ['sant par.'ÉŁÉ.ri]) est une commune française situĂ©e dans le centre du dĂ©partement de l'HĂ©rault en rĂ©gion Occitanie.
Saint-Pargoire | |
Chevet de l'Ă©glise | |
Blason |
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Administration | |
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Pays | France |
RĂ©gion | Occitanie |
DĂ©partement | HĂ©rault |
Arrondissement | LodĂšve |
Intercommunalité | Communauté de communes Vallée de l'Hérault |
Maire Mandat |
Jean-Luc Darmanin 2020-2026 |
Code postal | 34230 |
Code commune | 34281 |
DĂ©mographie | |
Gentilé | Saint-Pargoriens |
Population municipale |
2 356 hab. (2020 ) |
Densité | 99 hab./km2 |
GĂ©ographie | |
CoordonnĂ©es | 43° 31âČ 43âł nord, 3° 31âČ 11âł est |
Altitude | Min. 18 m Max. 221 m |
Superficie | 23,77 km2 |
Type | Commune rurale |
Unité urbaine | Saint-Pargoire (ville isolée) |
Aire d'attraction | Montpellier (commune de la couronne) |
Ălections | |
DĂ©partementales | Canton de Gignac |
LĂ©gislatives | QuatriĂšme circonscription |
Localisation | |
Liens | |
Site web | www.ville-saintpargoire.com/ |
ExposĂ©e Ă un climat mĂ©diterranĂ©en, elle est drainĂ©e par l'HĂ©rault, le Dardaillon, le ruisseau de la Calade, le Rieutort et par divers autres petits cours d'eau. La commune possĂšde un patrimoine naturel remarquable : trois sites Natura 2000 (la « montagne de la Moure et Causse d'Aumelas », la « plaine de Villeveyrac-Montagnac » et les « garrigues de la Moure et d'Aumelas ») et trois zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique.
Saint-Pargoire est une commune rurale qui compte 2 356 habitants en 2020, aprÚs avoir connu une forte hausse de la population depuis 1975. Elle est dans l'unité urbaine de Saint-Pargoire et fait partie de l'aire d'attraction de Montpellier. Ses habitants sont appelés les Saint-Pargoriens ou Saint-Pargoriennes.
GĂ©ographie
Saint-Pargoire, village de forme ellipsoĂŻdale, est le village le plus au sud du canton de Gignac. Il est gĂ©ographiquement situĂ© au centre du dĂ©partement de lâHĂ©rault : Saint-Pargoire se trouve Ă 35 km de LodĂšve et de BĂ©ziers, Ă 45 km de Montpellier et Ă 20 km de la mer. De fait, en ayant un accĂšs Ă lâA75 par lâĂ©changeur de Paulhan distant de 5 km, Saint-Pargoire pourrait ĂȘtre un carrefour.
La commune sâĂ©tend sur 2400 ha, allant des garrigues arides qui surplombent Villeveyrac Ă la rive gauche de lâHĂ©rault ; le point culminant se trouve Ă 190 m d'altitude au mas de Vedel (sur la D 30), le point le plus bas Ă 25 m au chĂąteau de Rieutor (sur la D32).
La vĂ©gĂ©tation est aussi contrastĂ©e que son relief, dâun cĂŽtĂ© la vigne tient une place prĂ©pondĂ©rante en occupant presque 1000 ha, dâun autre la garrigue avec des chĂȘnes verts, chĂȘnes kermĂšs et des genĂȘts et des arbustes ou plantes indigĂšnes (thym, romarin, bruyĂšre, brachypode rameux), parsemĂ©e de bois de chĂȘnes ou de pins.
Géologie et végétation
Sur la commune de Saint-Pargoire, il y a trois types de sols différents[1] :
- argilo-calcaire, terre cultivable, bonne pour la vigne et les céréales.
- les sols calcaires compacts, non cultivables, mais bons pour l'élevage du mouton (en nette régression).
- les bordures limoneuses ou caillouteuses de l'Hérault qui représentent les 1/20e de la surface de la commune.
La quasi-totalitĂ© de la vĂ©gĂ©tation qui entoure Saint-Pargoire est de la vigne. Le reste est de la garrigue avec, au pied des chĂȘnes verts, quelques truffiĂšres.
Communes limitrophes
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat méditerranéen franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du type « climat méditerranéen » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en premiÚre approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, les hivers sont doux et les étés chauds, avec un ensoleillement important et des vents violents fréquents[3].
Les paramĂštres climatiques qui ont permis dâĂ©tablir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© suivant[2].
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Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Ănergie et du Climat[5] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[6] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Le Pouget », sur la commune du Pouget, mise en service en 1980[7] et qui se trouve Ă 7 km Ă vol d'oiseau[8] - [Note 3], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 14,6 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 680,8 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[9]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche, « Sete », sur la commune de SĂšte, mise en service en 1949 et Ă 20 km[10], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 15 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[11], Ă 15,4 °C pour 1981-2010[12], puis Ă 15,8 °C pour 1991-2020[13].
RĂ©seau Natura 2000
Le rĂ©seau Natura 2000 est un rĂ©seau Ă©cologique europĂ©en de sites naturels d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique Ă©laborĂ© Ă partir des directives habitats et oiseaux, constituĂ© de zones spĂ©ciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spĂ©ciale (ZPS)[Note 4]. Un site Natura 2000 a Ă©tĂ© dĂ©fini sur la commune au titre de la directive habitats[15] :
- la « montagne de la Moure et Causse d'Aumelas », d'une superficie de 10 694 ha, prĂ©sentant sur 20 % de son territoire un couvert de pelouses mĂ©diterranĂ©ennes Ă brachypode rameux (Brachypodium ramosum) bien entretenues grĂące Ă une pratique pastorale encore trĂšs frĂ©quente. Des landes, broussailles, recrus, maquis et garrigues et phrygana couvrent 45 %, et des forĂȘts sempervirentes non-rĂ©sineuses (chĂȘnaie verte et blanche avec de grands houx arborescents) pour 25 %. Sept espĂšces de chauve-souris, dont 3 d'intĂ©rĂȘt communautaire, prĂ©sentes sur le site[16]
et deux au titre de la directive oiseaux[15] :
- la « plaine de Villeveyrac-Montagnac », d'une superficie de 5 265 ha, constituée d'une mosaïque de milieux particuliÚrement favorable à de nombreuses espÚces d'oiseaux à forte valeur patrimoniale. Pour certains de ces oiseaux, le Languedoc-Roussillon a une forte responsabilité, accueillant une part importante de leur effectif national : Pie-griÚche à poitrine rose, Faucon crécerellette, notamment.[17] ;
- les « garrigues de la Moure et d'Aumelas », d'une superficie de 9 015 ha, abritant un couple nicheur d'Aigles de Bonelli. Ce site est aussi important pour l'aigle royal, comme zone d'alimentation des individus erratiques et d'un couple nicheur à proximité[18].
Zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique
Lâinventaire des zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de rĂ©aliser une couverture des zones les plus intĂ©ressantes sur le plan Ă©cologique, essentiellement dans la perspective dâamĂ©liorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux diffĂ©rents dĂ©cideurs un outil dâaide Ă la prise en compte de lâenvironnement dans lâamĂ©nagement du territoire. Une ZNIEFF de type 1[Note 5] est recensĂ©e sur la commune[19] : les « coteaux viticoles de Saint-Pons-de-Mauchiens et Saint-Pargoire » (3 006 ha), couvrant 4 communes du dĂ©partement[20] et deux ZNIEFF de type 2[Note 6] - [19] :
- le « causse d'Aumelas et montagne de la Moure » (16 237 ha), couvrant 16 communes du département[21] ;
- la « plaine de Villeveyrac-Montagnac » (5 793 ha), couvrant 5 communes du département[22].
- Carte de la ZNIEFF de type 1 sur la commune.
- Carte des ZNIEFF de type 2 sur la commune.
Urbanisme
Typologie
Saint-Pargoire est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 7] - [23] - [I 1] - [24]. Elle appartient à l'unité urbaine de Saint-Pargoire, une unité urbaine monocommunale[I 2] de 2 276 habitants en 2017, constituant une ville isolée[I 3] - [I 4].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Montpellier, dont elle est une commune de la couronne[Note 8]. Cette aire, qui regroupe 161 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[I 5] - [I 6].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne dâoccupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (63,8 % en 2018), en augmentation par rapport Ă 1990 (61,8 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : cultures permanentes (49,2 %), milieux Ă vĂ©gĂ©tation arbustive et/ou herbacĂ©e (26,5 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (13,2 %), forĂȘts (5,1 %), zones urbanisĂ©es (4,5 %), terres arables (1,4 %)[25].
L'IGN met par ailleurs Ă disposition un outil en ligne permettant de comparer lâĂ©volution dans le temps de lâoccupation des sols de la commune (ou de territoires Ă des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă aujourd'hui)[Carte 1].
Risques majeurs
Le territoire de la commune de Saint-Pargoire est vulnĂ©rable Ă diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse), inondations, feux de forĂȘts et sĂ©isme (sismicitĂ© faible). Il est Ă©galement exposĂ© Ă deux risques technologiques, le transport de matiĂšres dangereuses et la rupture d'un barrage[26]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[27].
Risques naturels
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles dâĂȘtre affectĂ©es par le risque dâinondation par dĂ©bordement de cours d'eau, notamment l'HĂ©rault, le Dardaillon et le ruisseau de la Calade. La commune a Ă©tĂ© reconnue en Ă©tat de catastrophe naturelle au titre des dommages causĂ©s par les inondations et coulĂ©es de boue survenues en 1982, 1984, 1994, 1996, 1997, 1999, 2002, 2003, 2014 et 2019[28] - [26].
Saint-Pargoire est exposĂ©e au risque de feu de forĂȘt. Un plan dĂ©partemental de protection des forĂȘts contre les incendies (PDPFCI) a Ă©tĂ© approuvĂ© en juin 2013 et court jusqu'en 2022, oĂč il doit ĂȘtre renouvelĂ©. Les mesures individuelles de prĂ©vention contre les incendies sont prĂ©cisĂ©es par deux arrĂȘtĂ©s prĂ©fectoraux et sâappliquent dans les zones exposĂ©es aux incendies de forĂȘt et Ă moins de 200 mĂštres de celles-ci. LâarrĂȘtĂ© du rĂ©glemente l'emploi du feu en interdisant notamment dâapporter du feu, de fumer et de jeter des mĂ©gots de cigarette dans les espaces sensibles et sur les voies qui les traversent sous peine de sanctions. L'arrĂȘtĂ© du rend le dĂ©broussaillement obligatoire, incombant au propriĂ©taire ou ayant droit[Note 9] - [29].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas dâalternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie. 95,9 % de la superficie communale est en alĂ©a moyen ou fort (59,3 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 1 066 bĂątiments dĂ©nombrĂ©s sur la commune en 2019, 1 066 sont en en alĂ©a moyen ou fort, soit 100 %, Ă comparer aux 85 % au niveau dĂ©partemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[30] - [Carte 2].
Par ailleurs, afin de mieux apprĂ©hender le risque dâaffaissement de terrain, l'inventaire national des cavitĂ©s souterraines permet de localiser celles situĂ©es sur la commune[31].
Risques technologiques
Le risque de transport de matiĂšres dangereuses sur la commune est liĂ© Ă sa traversĂ©e par des infrastructures routiĂšres ou ferroviaires importantes ou la prĂ©sence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est susceptible dâavoir des effets graves sur les biens, les personnes ou l'environnement, selon la nature du matĂ©riau transportĂ©. Des dispositions dâurbanisme peuvent ĂȘtre prĂ©conisĂ©es en consĂ©quence[32].
La commune est en outre situĂ©e en aval du Barrage du Salagou, un ouvrage de classe A[Note 10] sur le Salagou, mis en service en 1968 et disposant d'une retenue de 102 millions de mĂštres cubes. Ă ce titre elle est susceptible dâĂȘtre touchĂ©e par lâonde de submersion consĂ©cutive Ă la rupture de cet ouvrage[34].
Histoire
L'origine du nom du village vient de Pargoire, riche seigneur corse qui fut martyrisĂ© avec ParthĂ©e, ParthĂ©nĂ©e et SĂ©verin, ses esclaves, Ă une Ă©poque incertaine. Leurs restes ont Ă©tĂ© transportĂ©s Ă Noli, prĂšs de Savone, dans lâancien Ătat de GĂȘnes, oĂč la cathĂ©drale leur est dĂ©diĂ©e. On reprĂ©sente ordinairement saint Pargoire montĂ© sur un cheval entourĂ© de ses compagnons.
Des fouilles et des recherches rĂ©alisĂ©es sur la commune indiquent que des populations Ă©taient prĂ©sentes Ă Saint-Pargoire 3 000 ans av. J.-C. Plusieurs menhirs et dolmens tĂ©moignent de leur prĂ©sence ; dans le tĂšnement de Peyreficade entre Saint-Marcel et la D 2 il y avait le « menhir de Saint-Pargoire » qui Ă©tait une pierre dressĂ©e de 3 m de haut, qui fut dĂ©truit dans les annĂ©es trente, en 1976 on dĂ©comptait dans le dĂ©partement de lâHĂ©rault plus de 130 menhirs.
Les abbĂ©s de Saint-Guilhem-le-DĂ©sert (Gellone) sont les premiers seigneurs de Saint-Pargoire que lâon connaisse. Ils succĂ©dĂšrent sans doute aux seigneurs guerriers qui avaient Ă©tĂ© prĂ©posĂ©s Ă la garde de la Septimanie ; mais lorsque celle-ci fut entiĂšrement soumise, le pays dĂ©nommĂ© Miliacus (dâoĂč le nom des Hauts de Miliac) prit le nom de saint Pargoire, martyr auquel lâimposante Ă©glise fut dĂ©diĂ©e.
Lors de la RĂ©volution française, les citoyens de la commune se rĂ©unissent au sein de la sociĂ©tĂ© rĂ©volutionnaire, baptisĂ©e « sociĂ©tĂ© des amis de la constitution » Ă sa crĂ©ation en avril 1792. Puis, aprĂšs la chute de la monarchie, elle change de nom pour « sociĂ©tĂ© populaire des sans-culottes montagnards », et compte 142 membres en brumaire an III[35]. Ce nombre correspond Ă un des taux dâadhĂ©sion les plus Ă©levĂ©s du dĂ©partement, en partie explicable par le fait que des membres de la sociĂ©tĂ© viennent des communes voisines : Saint-Pons-de-Mauchiens, Cabrials (actuellement Ă Aumelas), Plaissan, BĂ©larga, Campagnan, Puilacher. NĂ©anmoins, environ 10 % des habitants de la commune en sont membres, ce qui tĂ©moigne de lâengagement de la population locale dans la RĂ©volution[36].
Au cours de la Révolution française, la commune porte le nom de Pargoire-l'Hérault[37].
En 1970, fermeture de la gare SNCF de Saint-Pargoire et de la ligne Paulhan - Montpellier.
Politique et administration
DĂ©mographie
Au dernier recensement, la commune comptait 2356 habitants.
L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[39]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2008[40]. En 2020, la commune comptait 2 356 habitants[Note 11], en augmentation de 6,22 % par rapport Ă 2014 (HĂ©rault : +7,37 %, France hors Mayotte : +1,9 %). |
Ăconomie
Revenus
En 2018, la commune compte 956 mĂ©nages fiscaux[Note 12], regroupant 2 386 personnes. La mĂ©diane du revenu disponible par unitĂ© de consommation est de 19 430 âŹ[I 7] (20 330 ⏠dans le dĂ©partement[I 8]). 38 % des mĂ©nages fiscaux sont imposĂ©s[Note 13] (45,8 % dans le dĂ©partement).
Emploi
2008 | 2013 | 2018 | |
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Commune[I 9] | 8,3 % | 9,5 % | 10 % |
DĂ©partement[I 10] | 10,1 % | 11,9 % | 12 % |
France entiĂšre[I 11] | 8,3 % | 10 % | 10 % |
En 2018, la population ùgée de 15 à 64 ans s'élÚve à 1 309 personnes, parmi lesquelles on compte 78,9 % d'actifs (68,9 % ayant un emploi et 10 % de chÎmeurs) et 21,1 % d'inactifs[Note 14] - [I 9]. Depuis 2008, le taux de chÎmage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui du département, mais supérieur à celui de la France.
La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Montpellier, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pÎle[Carte 3] - [I 12]. Elle compte 369 emplois en 2018, contre 388 en 2013 et 380 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 916, soit un indicateur de concentration d'emploi de 40,3 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 58,1 %[I 13].
Sur ces 916 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 242 travaillent dans la commune, soit 26 % des habitants[I 14]. Pour se rendre au travail, 88,3 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 1,6 % les transports en commun, 6,4 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 3,7 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 15].
Secteurs d'activités
209 établissements[Note 15] sont implantés à Saint-Pargoire au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 16] - [I 16].
Secteur d'activité | Commune | Département | |
---|---|---|---|
Nombre | % | % | |
Ensemble | 209 | 100 % | (100 %) |
Industrie manufacturiĂšre, industries extractives et autres | 19 | 9,1 % | (6,7 %) |
Construction | 52 | 24,9 % | (14,1 %) |
Commerce de gros et de détail, transports, hébergement et restauration | 59 | 28,2 % | (28 %) |
Information et communication | 2 | 1 % | (3,3 %) |
Activités financiÚres et d'assurance | 4 | 1,9 % | (3,2 %) |
Activités immobiliÚres | 11 | 5,3 % | (5,3 %) |
Activités spécialisées, scientifiques et techniques et activités de services administratifs et de soutien | 26 | 12,4 % | (17,1 %) |
Administration publique, enseignement, santé humaine et action sociale | 18 | 8,6 % | (14,2 %) |
Autres activités de services | 18 | 8,6 % | (8,1 %) |
Le secteur du commerce de gros et de détail, des transports, de l'hébergement et de la restauration est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 28,2 % du nombre total d'établissements de la commune (59 sur les 209 entreprises implantées à Saint-Pargoire), contre 28 % au niveau départemental[I 17].
Entreprises et commerces
Les cinq entreprises ayant leur siÚge social sur le territoire communal qui génÚrent le plus de chiffre d'affaires en 2020 sont[42] :
- Les Chais De Blanville, commerce de gros (commerce interentreprises) de boissons (927 kâŹ)
- Angelyk, vente Ă distance sur catalogue spĂ©cialisĂ© (621 kâŹ)
- SAS VDS, vinification (506 kâŹ)
- 2A Maconnerie, travaux de maçonnerie gĂ©nĂ©rale et gros Ćuvre de bĂątiment (331 kâŹ)
- D.b-Clim, travaux d'installation d'eau et de gaz en tous locaux (234 kâŹ)
La viticulture est la trame du tissu Ă©conomique du village (comme de toute la rĂ©gion). Avec ses 950 ha plantĂ©s en vigne, la commune vit autour de la viticulture; de nombreuses sources de revenus dĂ©coulent de la vigne (mĂ©canique agricole, entreprises de travaux agricoles, caves, ouvriers, exploitants, etc.) et se rĂ©percutent sur lâactivitĂ© Ă©conomique de Saint-Pargoire. Saint-Pargoire fait partie du pays CĆur d'HĂ©rault.
Cependant, l'activitĂ© principale de Saint-Pargoire est liĂ©e au secteur tertiaire : commerces et de services (boucherie, boulangeries/pĂątisseries, Ă©piceries, quincaillerie/droguerie, fleuriste, salons de coiffure, kinĂ©sithĂ©rapeutes, mĂ©decins, notaire, dentiste, infirmiĂšres, menuisiers, plombiers, maçons, Ă©lectriciens, garagistes, taxis, cabinet dâarchitecture, bureau d'Ă©tudes des fluides spĂ©cialisĂ© dans le traitement naturel et les Ă©conomies d'eau, bar, restaurants, ferme auberge, tabac/presse, pharmacie, un point vert CrĂ©dit agricole, agence Groupama, un bureau de poste ainsi quâune annexe de lâĂ©cole de musique de Gignac, une caserne de pompiers, une maison de retraite).
La commune dispose de deux lieux de culte : lâĂ©glise et le temple (avenue de la Gare).
Agriculture
La commune est dans la « Plaine viticole », une petite région agricole occupant la bande cÎtiÚre du département de l'Hérault[43]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 17] sur la commune est la viticulture[Carte 4].
Le nombre d'exploitations agricoles en activitĂ© et ayant leur siĂšge dans la commune est passĂ© de 234 lors du recensement agricole de 1988[Note 19] Ă 141 en 2000 puis Ă 102 en 2010[45] et enfin Ă 94 en 2020[Carte 5], soit une baisse de 60 % en 32 ans. Le mĂȘme mouvement est observĂ© Ă l'Ă©chelle du dĂ©partement qui a perdu pendant cette pĂ©riode 67 % de ses exploitations[46] - [Carte 6]. La surface agricole utilisĂ©e sur la commune a Ă©galement diminuĂ©, passant de 1258 ha en 1988 Ă 866 ha en 2020[Carte 7]. ParallĂšlement la surface agricole utilisĂ©e moyenne par exploitation a augmentĂ©, passant de 5 Ă 9 ha[45].
Vie locale
Enseignement
La commune de Saint-Pargoire dispose de trois établissements scolaires : un établissement privé, l'école Sainte-Jeanne d'Arc, une école maternelle publique, l'école Jean-JaurÚs, située dans l'ancienne école des filles, et une école primaire, l'école Jules-Ferry construite en 1882[47], ancienne école de garçons.
Santé
Des services de santé sont présents dans la commune[1]. On y trouve une pharmacie, trois médecins, un kinésithérapeute, des infirmiÚres et un dentiste.
Vie associative
De nombreuses associations animent Saint-Pargoire : des associations sportives (judo, pĂ©tanque, football, chasse, boxeâŠ), de solidaritĂ©, de secourisme, des associations festives (groupe folklorique, groupes musicaux, comitĂ© des fĂȘtesâŠ), des associations liĂ©es Ă la vie scolaire ("les Pitchouns", lâAPELâŠ), des associations du 3e Ăąge, des Anciens combattants, des associations culturelles. Le "RĂ©veil Saint-Pargorien" est l'harmonie du village et compte une trentaine de musiciens amateurs.
Les associations ont un rĂŽle important dans la vie de Saint-Pargoire, elles constituent un lien entre les diffĂ©rents groupes de la sociĂ©tĂ©, liens dâamitiĂ©, liens de solidaritĂ© ; elles participent activement Ă la vie du village offrant Ă chacun la possibilitĂ© de rencontrer ou de dĂ©couvrir ses habitants.
FĂȘte locale le premier week-end d'aoĂ»t.
Marché hebdomadaire, tous les mardis matin.
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Ăglise Saint-Pargoire gothique remarquable par sa grandeur date du Moyen Ăge ( XIVe siĂšcle). L'Ă©difice a Ă©tĂ© classĂ© au titre des monuments historiques en 1862[48].
- Cave coopérative vinicole réputée pour de trÚs bons crus.
- Mairie datant de 1895, rénovée en 2004 (inscrite à l'inventaire général[49]).
- Croix de mission datant du début du XIXe siÚcle.
- La pinÚde (appelée localement « la plantation ») située dans un bas-fond le long de la route de SÚte (D2) mérite un détour : plantée en 1931 par les habitants du village, elle comporte une centaine de variétés de pins et de cyprÚs sur 40 ha.
- Temple protestant situé au carrefour de l'avenue de la Gare et de la rue du Temple
HĂ©raldique
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Les armes de Saint-Pargoire se blasonnent ainsi [50] : De vair au sautoir losangé d'argent et de sinople. |
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Personnalités liées à la commune
- Henri Bellugou, écrivain, historien, auteur de La révolution dans le canton de Saint-Pargoire 1789-1800, Contes et légendes occitanes.
- David Durand, Ă©crivain et pasteur.
- Amans Gaussel (1871-1937), professeur à la Faculté de médecine de Montpellier
- André Gazagnes, chercheur, historien, auteur de Saint-Pargoire, 2000 ans d'histoire d'une commune languedocienne. Prix de l'Académie française, prix d'histoire 1997.
- Victor Gouton (1922-2004), ancien député de LozÚre.
- Gabriel Lardat (1900-1994), peintre figuratif, Bénézit - 2006.
- Franz Jehan Leenhardt (1902-1990), théologien protestant et professeur à l'université de GenÚve
Voir aussi
Bibliographie
- Henri Bellugou, La révolution dans le canton de Saint-Pargoire, Hérault : 1789-1800, Montpellier, Impr. de la Charité, , 404 p.
- André Gazagnes, Saint-Pargoire : deux mille ans d'histoire d'une commune languedocienne, S.l., s.n., , 223 p.
- Jean Lalanne, Saint-Pargoire, diocĂšse de Montpellier, Montpellier, J. Rouquette, , 23 p.
Fonds d'archives
- Fonds : Archives communales de Saint-Pargoire (1555-1852) [2,40 ml]. Cote : 281 EDT. Montpellier : Archives départementales de l'Hérault (présentation en ligne).
Articles connexes
Liens externes
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative Ă plusieurs domaines :
- Ressource relative aux organisations :
- Site officiel de la commune
- Site de l'Office de tourisme de la Vallée de l'Hérault
- Saint-Pargoire sur le site de l'Institut géographique national
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. AprÚs les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[4].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Dans les sites Natura 2000, les Ătats membres s'engagent Ă maintenir dans un Ă©tat de conservation favorable les types d'habitats et d'espĂšces concernĂ©s, par le biais de mesures rĂ©glementaires, administratives ou contractuelles[14].
- Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs dâune superficie en gĂ©nĂ©ral limitĂ©e, caractĂ©risĂ©s par la prĂ©sence dâespĂšces, dâassociation dâespĂšces ou de milieux rares, remarquables, ou caractĂ©ristiques du milieu du patrimoine naturel rĂ©gional ou national.
- Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Le dĂ©broussaillement s'applique notamment aux abords de constructions, chantiers, travaux ou installations sur une largeur de 50 mĂštres (selon un principe du droit des assurances, tout propriĂ©taire est tenu dâassurer la protection de ses biens), et de 5 mĂštres de part et dâautre des voies privĂ©es y donnant accĂšs.
- Le classement des barrages est fonction de deux paramĂštres : hauteur et volume retenu[33].
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
- Un mĂ©nage fiscal est constituĂ© par le regroupement des foyers fiscaux rĂ©pertoriĂ©s dans un mĂȘme logement. Son existence, une annĂ©e donnĂ©e, tient au fait que coĂŻncident au moins une dĂ©claration indĂ©pendante de revenus et lâoccupation dâun logement connu Ă la taxe dâhabitation.
- La part des ménages fiscaux imposés est le pourcentage des ménages fiscaux qui ont un impÎt à acquitter au titre de l'impÎt sur le revenu des personnes physiques. L'impÎt à acquitter pour un ménage fiscal correspond à la somme des impÎts à acquitter par les foyers fiscaux qui le composent.
- Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élÚves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
- L'Ă©tablissement, au sens de lâInsee, est une unitĂ© de production gĂ©ographiquement individualisĂ©e, mais juridiquement dĂ©pendante de l'unitĂ© lĂ©gale. Il produit des biens ou des services.
- Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
- L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
- Les donnĂ©es relatives Ă la surface agricole utilisĂ©e (SAU) sont localisĂ©es Ă la commune oĂč se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc ĂȘtre interprĂ©tĂ©s avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activitĂ© sur plusieurs communes, ou plusieurs dĂ©partements voire plusieurs rĂ©gions.
- Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[44].
- Cartes
- IGN, « Ăvolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă droite ou Ă gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă gauche de l'Ă©cran.
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
- Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée par département », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
Site de l'Insee
- « Commune rurale - définition » (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Saint-Pargoire » (consulté le ).
- « Base des unités urbaines 2020 », (consulté le ).
- Vianney Costemalle, « Toujours plus dâhabitants dans les unitĂ©s urbaines », (consultĂ© le ).
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- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans lâaire dâattraction dâune ville », (consultĂ© le ).
- « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Saint-Pargoire » (consulté le ).
- « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans le Hérault » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Saint-Pargoire » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans le Hérault » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entiÚre » (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
- « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Saint-Pargoire » (consulté le ).
- « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
- « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
- « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Saint-Pargoire » (consulté le ).
- « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans le Hérault » (consulté le ).
Notes
Site de l'Insee
Autres sources
- La commune sur le site de l'Ă©cole
- Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,â (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions dâoutre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
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- « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Saint-Pargoire », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « site Natura 2000 FR9101393 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « site Natura 2000 FR9112021 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
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- Article R214-112 du code de lâenvironnement
- « Les risques majeurs dans l'Hérault », sur www.herault.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque rupture de barrage.
- Jean-François Dubost, « Le réseau des Sociétés Politiques dans le département de l'Hérault pendant la Révolution Française (1789-1795) », Annales historiques de la Révolution française, no 278, 1989. p. 416.
- Dubost, ââLe rĂ©seau des sociĂ©tĂ©sâŠââ, op. cit., p. 396
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'Ăcole des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
- Ălection du nouveau maire, sur ville-saintpargoire.com
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- « Entreprises à Saint-Pargoire », sur entreprises.lefigaro.fr (consulté le ).
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- PrĂ©sentation des premiers rĂ©sultats du recensement agricole 2020, MinistĂšre de lâagriculture et de lâalimentation, 10 dĂ©cembre 2021
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- « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siÚge dans le département de l'Hérault » (consulté le ).
- L'école de Saint-Pargoire, sur le site de free.fr (consulté le 22 juillet 2017)
- « Eglise Saint-Pargoire », sur www.pop.culture.gouv.fr (consulté le )
- Notice no IA00028654, base Mérimée, ministÚre français de la Culture.
- Banque de blason, sur labanquedublason2.com